Mardi 5 novembre 2 05 /11 /Nov 08:38

Les fessées de Laura

 


35 ans, toutes ses dents, Laura aime la fessée mais avec son mari trop coincé c’est impossible. Elle a bien essayé de lui en parler mais il lui a répondu qu’ils n’étaient plus des gamins pour jouer à pan-pan cul-cul. Pour assouvir ses passions, Laura a trouvé un moyen simple, les sites de rencontres où elle chasse les hommes mariés afin de ne pas être harcelée par la suite.

Elle a rendez-vous à 14h30 chez un commerçant pour y recevoir sa fessée hebdomadaire. Arrivée chez lui à 14h45 avec un quart d’heure de retard volontaire, selon le processus établi à l’avance, il lui montrera sa salle de bain où elle ira mettre sa tenue. Quelques minutes plus tard, elle en ressort vêtue d’une jupe à carreau lui arrivant à mi-cuisse, un petit chemisier blanc, des chaussettes blanches et des baskets roses. Avec cette tenue, les couettes qu’elle s’est faite lui donnent l’allure d’une grande ado qui a fait une bêtise quand elle rentre dans le salon où l’attend son fesseur. L’homme la gronde pour son retard, elle ment outrageusement en disant que c’est faux, que sa montre n’était pas à l’heure, que ce n’est pas de sa faute.

Jack râle, peste avant de lui annoncer que cela mérite une fessée. Laura de plus en plus excitée par l’adrénaline de ces rencontres avec des inconnus qui vont découvrir et flatter ses fesses pleurniche et fait la moue. Lorsqu’il se lève pour lui prendre la main elle essaye d’esquiver par principe mais en vain. L’homme lui tient fermement le bras, à partir de cet instant, elle sait qu’elle ne lui échappera pas, c’est convenu ainsi. Si elle se débat et résiste, l’homme doit lui donner une bonne et réelle fessée.

Avec ses épaules de la taille d’une armoire normande, Jack mesurant près de deux mètres impressionne Laura se demandant si son choix est judicieux mais il est trop tard pour faire marche arrière. Devant sa résistance physique, il la saisit par la taille pour la mettre sous son bras et la porter comme un simple baluchon jusqu’à la chaise posée au milieu du salon. Cette chaise lui donne soudain l’impression d’un échafaud. Son fesseur s’assoie puis la couche sur ses genoux sans aucun effort malgré sa résistance. Plus elle lui résiste, plus elle l’excite. Sa jambe en forme de pilier de pont bloque celles de Laura qui supplie et lui demande de ne pas être trop sévère.

Quand il lui relève la jupe, affolée Laura tente de contrôler sa respiration mais en fesseur sadique, Jack la fait patienter un instant sans rien dire. Penchée en avant sur ses genoux, les fesses de Laura même recouvertes de sa sage culotte sont un véritable appel à la fessée et au viol. La main s’abat soudain sur son délicat fessier avec une force mesurée, mesurée pour Jack, pas pour Laura qui fait un bon en avant. Avec la régularité d’un métronome, la main claque le joufflu bondissant à chaque coup. D’une fesse à l’autre, l’énorme main claque laissant à chaque fois en sensation de brûlure alors qu’elle porte encore sa culotte.

L’aberrante sympathie pour la honte et la douleur générée par la fessée commence à envahir le cerveau embrumé de Laura. Cette souffrance-là, elle a appris à jouir mais la folie des sens jetant parfois dans les plus frénétiques et excessifs égarements, elle se demande quand même si cette fois, elle n’est pas allée trop loin en confiant son fessier à une véritable armoire normande musclée comme un docker.

Si jusqu’à présent il lui fallait un temps assez long pour que de la douleur sa chair passe peu à peu à l'émoi, la régularité du battoir commence à l’emmener aux bordures du vertige. A chaque fois, quand les fesseurs étaient de bon fesseurs, cette transformation d’un mal physique devient source d’intenses émotions qui la laissent toute pantelante. Les effets de la voluptueuse souffrance la font gémir de plaisir quand soudain, Jack fait une pause pour retirer le fin rempart de tissu.

Telle une gazelle face à un mammouth, elle essaye de résister en serrant les cuisses, mais en vain, la culotte glisse inexorablement sur ses cuisses. Le mammouth, bloque à nouveau les jambes de la gazelle agitée soudain par une sourde inquiétude, dans son plaisir, elle n’avait plus conscience que la fessée devait se terminer déculottée.

Ses hanches à peine rondes mettent en valeur ses sublimes fesses rouges, petites et pommées à souhait pour la main du fesseur expérimenté. La sévère fessée promise peut commencer lui indique Jack. Avant même qu’elle ne réponde ou cherche à supplier, le battoir fait son ouvrage mais avec un appui bien supérieur à la précédente fessée. Laura hurle, se débat, crie que c’est trop fort mais comme convenu, ses cris n’arrêteront pas son fesseur. Elle le sait, c’est prévu mais a soudain l’impression que ses fesses prennent feu, les larmes montent à ses yeux avant de ruisseler sur son visage cramoisi.

Au bout d’un long moment, une chaleur, une brûlure incomparable embrase ses reins, une fièvre indescriptible s’empare du corps de Laura, un courant continu de plaisirs longe sa colonne vertébrale et la fait s’extasier. Elle perd la tête et va même jusqu’à tendre les fesses pour mieux apprécier encore cette voluptueuse souffrance. Par instant elle écarte involontairement ses cuisses, démasquant l'étroite vallée intime, son petit espace où s'allonge sa fente humide bordée par ses grandes lèvres épaisses, dilatées par l’excitation. Elle est soudain prise de convulsions, son corps tout entier se met à trembler, à se contracter, un orgasme fulgurant la fait couler au sens propre du terme, chose qui ne lui était jamais arrivé.

Jack s’est arrêté, tout étonné, il la laisse silencieusement dans sa transe orgasmique. Bien que son pantalon soit mouillé, il est heureux d’avoir pu conduire cette femme au plaisir. Quelques minutes plus tard, il l’aide à se relever puis lui indique le coin où elle doit se rendre. Laura le remercie puis, à petit pas pour cause de culotte sur les chevilles, va prendre place comme une mauvaise élève. Jack lui ordonne de relever sa jupe pour que l’on voit bien qu’elle a été vilaine et punie. Elle s’exécute aussitôt. La tête dans l’angle des murs, elle essaie de reprendre son souffle, ses fesses sont réellement cramoisies et en feu, des bleus commencent même à se former.

Une demi-heure plus tard, quand elle va se changer dans la salle de bain, la couleur de son fessier l’inquiète, si son mari voit ça, les questions ne manqueront pas mais elle s’en accommodera, se cachera ou inventera une histoire.

Alors qu’elle s’était jurée de n’aller qu’une fois chez chaque homme pour éviter les soucis, Jack sera le premier fesseur chez qui elle reviendra allez donc savoir pourquoi ?

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Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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Mardi 5 novembre 2 05 /11 /Nov 08:37

Formation à la soumission par un Gay SM ouvert à l’ABDL


Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

ATTENTION, ce texte écrit il y a deux ans pour un ami est assez hard voir crade. Etant prévenu, le lecteur ne pourra me tenir rigueur si quelque chose le gêne.

 

Formation à la soumission par un Gay SM ouvert à l’ABDL

J’ai rencontré un gay SM très ouvert à l’ABDL sur un site de rencontres et comme les femmes nurses sont assez rares, étant bi, je me suis dit pourquoi pas. Pourquoi ne pas passer une soirée chez lui histoire de vivre.com/phpBB3/fetichisme-medical/colon-h quelques passions. La rencontre s’est faite le plus naturellement possible, échanges d’émail, tel et RDV. Je fus très surpris par sa personnalité, derrière son sourire et ses agréables conversation, se cache un Maître particulièrement sévère. Lors de la première rencontre, nous avons discutés longuement avant qu’il ne s’occupe de moi comme une nurse le ferait avec un enfant, hormis quelques claques sur mes fesses, il n’a pas fait de SM avec moi. Il a fait pire.

Il s’est amusé à mettre le feu à mes neurones puis à créer de nouveaux fantasmes en me faisant voir des photos de soumis entre ses mains et celles de ses amis. Pendant la soirée, Greg me parlait souvent des stages que des soumis étaient venus faire chez lui Le matériel de folie, le cadre et l’ambiance des photos m’ont donné envie d’aller plus loin pour voir. J’ai donc accepté de venir faire un stage chez lui, un stage BDSM pas trop hard disait-il avec des couches pour certaines pratiques. L’envie de vivre un stage DL forcé me séduisant, nous avons donc pris date pour les vacances de la Toussaint. Côté pratique, je devais lui donner 200 euros en espèce pour contribuer aux frais de la semaine pendant laquelle il me fournirait tout, tout signifiant, le gîte, le couvert, les couches, les lubrifiants, préservatifs. Pendant la semaine, mes neurones se sont enflammés à en avoir mal aux mains.

Le vendredi de mon arrivée, il m’a envoyé prendre une douche et me faire un lavement afin que mon colon soit propre. La chose faite, il m’a posé un collier d’esclave fermant à clé puis m’a offert un whisky coca monstrueusement tassé en m’expliquant les règles du jeu. Sécurité maximum pour tout, le « non » m’était interdit, il allait me faire vivre un stage progressif mais comme si j’avais été enlevé. Le whisky coca terminé, j’ai signé une décharge pour qu’il ne soit pas ennuyé en cas d’accident, chose pouvant hélas arriver malgré les précautions d’usage. Je n’ai rien lu, j’ai signé en lui faisant confiance avant de le laisser m’enfiler une camisole de force. Une fois fermée, il m’a attrapé par la queue pour me conduire dans son donjon où je dus prendre place sur son sling. Sous camisole de force, dans le sling avec les jambes attachées en V, je ne pouvais pas lui être plus offert. Les mains gantées, il s’est immédiatement attaqué à mon cul qu’il trouva étroit, et pour cause, hormis pour les choses naturelles, il ne sert que très rarement et accueille de petits plugs sans prétention. Greg fut relativement doux mais il s’entêta à me dilater le cul. Il massa ma prostate avec un savoir faire tel qu’il me fit tourner la tête et que mon sexe même mou se mit à couler.

Quand il a sorti sa bite, j’ai compris pourquoi il m’avait préparé le cul ! Je me suis fait défoncer à en perdre le souffle pendant un bon moment sans aucune possibilité de résister. Mon corps se balançait avec le sling dans un bruit de chaîne accompagné de mes cris, j’ai vécu cela comme un véritable viol tant il fut rude. Il se retira soudain, arracha son préservatif pour venir me la mettre dans la bouche. Je n’avais jamais avalé ni même reçu du sperme dans la bouche, mais je n’ai rien dit. Le sucer fut douloureux pour mes mâchoires, plusieurs fois j’ai du luter pour ne pas vomir quand il allait jusqu’au fond de ma gorge. Il a soudain bloqué ma tête pour s’enfoncer le plus loin possible dans ma bouche en poussant des grognements. Tant bien que mal j’ai avalé sa semence généreuses et salée pendant qu’il agitait ma tête comme un malade. Après s’être vidé les couilles, Greg est revenu s’occuper de mon cul en me disant qu’il fallait me dilater. Il a introduit un gros plug dans mon anus avant de me mettre une grosse couche qu’il a renforcé avec du scotch d’emballage. Un quart d’heure plus tard, complètement chamboulé par ce début de stage, je mangeais comme un chien des petits pois en boite dans une gamelle à même le sol du donjon. Greg m’a ensuite libéré de la camisole de force pour me mettre des menottes « spécial police » avant de me pousser sans ménagement dans une cage. Je pensais que cela allait s’arrêter là mais non, il fixa une chaîne à mes menottes pour me bloquer les mains sur les barreaux juste au-dessous d’un gros rond en métal, laissant imaginer que la bouche des soumis passés dans cette cage était parfois utilisée. En guise de boisson, il m’a donné un biberon de whisky coca toujours autant tassé.

La nuit en cage fut difficile et très inconfortable. Difficile car mon cul s’est révolté, ma bite s’est mise à bander mais avec les mains enchaînées, je ne pouvais rien faire. J’avais beau essayer de pousser pour chasser son plug, à par me faire mal, je n’arrivais à rien. Sans lumière il est difficile d’avoir une notion de l’heure, hormis dormir ou essayer de dormir, on ne peut rien faire pour tuer le temps. Une odeur me gênait, ma couche me semblait bien pleine, alors que je n’avais souvenir d’avoir bu au point de la remplir ainsi. Si la nuit fut difficile, le réveil fut hard ! Il m’arracha de mon sommeil pour me faire passer la tête dans le trou et quand j’ai voulu résister, il a pris un truc électrique pour me balancer des décharges. Quand j’ai voulu arrêter le stage, il m’a remis deux décharges supplémentaires en me rappelant que je n’avais plus que deux droits : me taire et subir. Son truc électrique faisant un mal de chien, j’ai donc passé ma tête dans le trou. A peine passée, il a glissé deux plaques m’emprisonnant comme un pilori. A quatre pattes dans la cage avec la tête dehors, face à Greg tenant toujours son truc électrique infernal, je n’ai pas eu d’autre choix que d’ouvrir ma bouche quand il me l’a demandé. Dix minutes et quelques haut-le-cœur plus tard, j’ai reçu une décharge de sperme en guise de café.

La chose faite, il a libéré ma tête puis m’a tendu un biberon de café froid avant de quitter les lieux et d’éteindre la lumière sans plus de considération. Quand je me suis calé dans la cage, dans ma couche ce fut Beyrouth, les odeurs s’en échappant me firent comprendre que j’avais eu de très sérieuses fuites anales malgré le plug. Une bonne heure plus tard, à la louche car dans le noir on ne peut qu’imaginer, il est venu me sortir en me criant « à la douche gros porc ». J’étais debout dans sa douche quand il a retiré ma couche pleine de merde. Il m’a lavé à grand d’eau sans être gêné par la matière ou les odeurs avant de me sécher sommairement et de me remettre une couche pour me reconduire à la cage. Le plug que j’avais dans le cul était un plug de dilatation percé pour pouvoir être porté 24/24. Vers midi, enfin je suppose, il me redonna un biberon de whisky coca toujours autant tassé et un jambon beurre en guise de repas. En fin d’après-midi, il vint me chercher pour me conduire à nouveau à la douche qui fut aussi dégueulasse que la précédente mais cette fois, il me retira le plug à l’aide de lubrifiant avant de me faire un lavement façon gay avec un tube se fixant sur la douche. Il me tartina ensuite l’anus d’une crème apaisante en me complimentant sur ma résistance psychologique tout en instant sur le fait que d’autres auraient craqué. Il me remit une petite couche avant de m’offrir un apéro avec son éternel whisky coca toujours autant chargé.

- Ce soir va être un grand soir pour toi, m’annonça t-il en me fixant des fers de bagnards aux pieds, tu vas t’éclater et vivre des choses superbes, quand tu repartiras, tu auras la tête pleine de souvenir et tu auras énormément progressé dans ta soumission. Attend-toi à jouir comme un malade.

Il me retira les menottes pour me faire mettre une camisole de force en gros cuir noir, avec des ouvertures au niveau des tétons. Greg me prit par la tête pour me conduire à l’entrée de sa maison où je découvris une drôle d’installation. Sur le mur, il avait fixé une barre verticale avec une sorte d’équerre portant un plug de bonne taille recouvert d’un préservatif et d’un peu de lubrifiant. Il m’ordonna de m’empaler dessus, chose que je fis sans trop de peine, mon anus étant bien ouvert par les traitements subits depuis mon arrivée. Il ajusta l’équerre avant de me faire écarter les jambes pour y fixer une barre d’écartement. En écartant les pieds je n’ai pas eu d’autres choix que de m’empaler totalement et très profondément. Il me posa un bâillon puis fixa ma tête à la barre verticale avant de poser des pinces à sein diaboliques reliées par une chaîne. Il me posa un cockring en cuir puis un étireur de couilles et malgré mes cris une cage de chasteté dent de Kali sur la queue. Abandonné ainsi dans l’entrée, j’avais mal de partout et quand j’ai voulu me plaindre en geignant je me suis fait traiter de chochotte. La sonnette m’a fait bondir, Greg a ouvert la porte à deux de ses amis, leur a fait la bise et m’a présenté comme le stagiaire et accessoirement le portemanteau. L’un d’eux n’a pas hésité un instant, il a posé sa veste, l’a posée sur un cintre qu’il a accroché à la chaîne de mes pinces à sein. La douleur me fit crier dans le bâillon ce qui ne l’offusqua pas pour autant. Il me flatta les couilles y accrocha son sac et me souhaita une bonne soirée. Des envies de meurtre me sont passées par la tête.

Un bon moment plus tard, Greg est venu me soulager en retirant avec beaucoup de douceur les horribles pinces. Il fixa une laisse au cadenas de la cage de Kali pour me conduire à ses invités. L’un des deux était nu aux pieds de son Maître avec une gamelle posée devant lui. Dans sa grande générosité, Greg me servit une gamelle de whisky coca, retira mon bâillon et m’invita à prendre l’apéro avec eux. Sans plus aucune honte, j’avais tant soif que j’ai bu comme un fou aux pieds de Maître Henri. Quelques instants plus tard, quand il a sorti une cagoule uro de son sac, j’ai pris peur ! Le soumis habitué présenta sa tête sans aucune résistance pour qu’il la lui pose et là, Maître Henri se leva pour s’y soulager la vessie. Le soumis buvait son urine bruyamment mais à aucun moment il n’a essayé de fuir. Greg fit de même un moment plus tard, le pauvre soumis avala sans jamais se rebeller, au contraire, il bandait ! ! ! Greg m’attrapa la tête en m’ordonnant de lécher la goûte chose que je fis avec une certaine appréhension pour finalement me rendre compte que ce n’est pas si horrible que je ne l’imaginais. En guise de repas quatre étoiles, nous avons partagé deux pizzas surgelées arrosées au whisky coca. La soirée fut accès sexe pour sexe sur les soumis, nos bouches et culs furent copieusement utilisés par des doigts, des bites, des godes et une main entière pour le soumis qui se fit copieusement fister.

Le comble de l’horreur pour moi est arrivé juste après !

Greg me fit monter sur le sling pour m’introduire le plug de dilatation qu’il fixa avec des cordelettes par peur que je ne le rejette. Pendant ce temps, Maître Henri passait une camisole de force à soumis carpette qu’il entrava solidement sous une sorte de chaise carcan faite en gros bois avec l’assise faite de deux barres servant de pieds mobiles. Greg m’entrava jambes écartées sur cette chaise, mon cul était juste au dessus du visage de soumis carpette. Il me retira la cage de chasteté de Kali pour pouvoir mettre mon sexe et mes couilles dans une sorte de préservatif le recouvrant totalement. A l’extrémité du tube servant à loger le pénis, il y avait un tube permettant d’uriner. C’est quand ils ont mis une grosse cagoule ouverte à soumis carpette que j’ai compris leurs intentions, ou du moins, que j’ai cru comprendre. Sur cette cagoule ils y ont vissé un ballon rigide avant d’y placer deux tubes. Le premier fut relié à mon sexe pour qu’il collecte mes urines, le deuxième à mon plug de dilatation dont Greg retira le bouchon pour y brancher le tube. Devant ma révolte et mon agitation, ils ont doublé mes entraves et m’ont collé de force la cagoule uro. Par chance, ils n’ont pas uriné dans le réceptacle, mais ils y ont vidé un peu de leurs bières en trinquant avec moi. Après avoir pas mal picolé et m’avoir fait boire de la bière, ils nous ont souhaité bonne nuit en nous laissant sans éteindre la lumière. Comme chacun sait, la bière fait pisser. Sachant que je ne tiendrais pas la nuit, j’ai donc abreuvé soumis carpette qui n’eut aucun mouvement dé révolte. Un bon moment plus tard, alors que je commençais à m’endormir, soumis carpette s’est mis à s’agiter et à faire de drôles de bruits. Et là, j’ai pris conscience de ce qu’il se passait. Le plug de dilation sans bouchon ne retenait rien de…. J’étais écoeuré à deux doigts de vomir mais je me suis retenu comme un fou car avec la cagoule uro sur le visage les résultats risquaient d’être dramatiques.

Un très long moment plus tard, ils sont venus nous libérer, je fus mis en couche et menotté dans ma cage comme la première nuit. Le matin, Maître Henri voulu tester mes « qualités buccales », je n’ai opposé aucune résistance car le truc électrique de Greg est vraiment horrible. Après l’abominable douche et le lavement donnée par Greg, il mit le bouchon à mon anneau de dilatation et m’ordonna de faire le ménage, soumis carpette ayant pour mission de préparer le repas du midi. Si le repas se déroula normalement, les Maîtres à table et les soumis par terre en gamelle, la sieste quant à elle fut très SM. Soumis carpette se fit copieusement fouetter pendant que Greg s’amusait à me dilater le cul avec un plug gonflant. Greg me fit m’allonger sur le ventre sur le sling, pour que mon petit cul « qui deviendra grand » lui soit bien offert. Il m’entrava sérieusement. La pauvre carpette ayant le corps strié, Maître Henri décida de lui donner un peu de repos en lui ordonnant de passer sous le sling pour me faire une pipe. Les lanières du martinet me firent bondir plusieurs fois, mais Greg étant modéré, cela était très supportable d’autant que carpette suce comme un dieu. Mon cul fut offert à Maître Henri qui ne s’en priva pas. Etant maintenant bien ouvert analement, entre ses coups de bites et la pipe de carpette, j’allais m’envoler quand Greg armé d’un fouet court me tendit sa bite en m’ordonnant de boire. Je pense qu’ils ont conjugué leur effort pour me faire franchir le pas de l’uro, j’ai bu à la source en me faisant défoncer le cul et sucer par un vorace et le pire c’est que j’ai jouis comme un fou. Avant de libérer la loque humaine que j’étais, Greg m’a mis un anneau de dilatation encore plus gros puis une couche avant de m’envoyer menotté retrouver ma cage.

La semaine fut plus calme, j’ai beaucoup dormi. Le rituel du matin ne changea pas, pipe, douche, couche, cage jusqu’au soir avec deux biberons et deux sandwichs. Le soir, j’avais droit au martinet, à de l’étirement de couille, de la dilatation, il me baisait le cul avant de venir finir dans ma bouche qu’il semble apprécier. Le jeudi soir, il est parvenu à me fister et à me faire grimper aux rideaux.

Le dernier soir, fut très hard, mon état d’esprit ayant changé, j’acceptais tout sans résister en prenant du plaisir quand cela m’était accordé. Je me suis fait fouetter pour la première fois pendant que carpette me bouffait la bite comme un malade avec interdiction de me faire jouir. J’avais un plug de 10 centimètres dans le cul quand je me suis laissé mettre la cagoule uro, Greg s’y est soulagé pendant que carpette avait comme ordre de me faire jouir. J’ai bu, j’y ai trouvé du plaisir alors que je n’aurai jamais pensé faire cela un jour. J’ai du remercier carpette de ma bouche, je l’ai fait avec plaisir et conviction pour le remercier de m’avoir si bien accompagné dans toutes les épreuves que j’avais vécu en sa compagnie. Ce soir là, Greg me mit une couche mais pas les menottes, il ne ferma pas la cage dans laquelle j’ai dormi. Cette soudaine liberté me gêna presque, tout comme le fait de devoir aller prendre mon café avec Greg assis à la table de la cuisine. Nous avons longuement discuté de ce qu’il s’est passé dans la semaine, j’ai tenu à lui faire sa pipe du matin, il a accepté avec le sourire du conquistador en coin. Greg ma conseillé de porter des couches pendant quelques jours, je temps que je redevienne 100 % continent. Quitter ces lieux de débauche totale m’a ému, je ne le remercierai jamais de m’avoir fait vivre tout cela.

Ma sexualité n’a pas changé, je suis toujours bisexuel, disons que je prends maintenant bien plus de plaisir avec les hommes, avant ils n’étaient pour moi, qu’un exutoire en remplacement des femdom ou nurses. Le gag, c’est que je viens d’en rencontrer une qui semble craquer pour moi, croisons les doigts pour que cela dure.

Ecrivaillon

 

 

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : plaisirs SM
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Dimanche 3 novembre 7 03 /11 /Nov 09:55

Voyeurisme et exhibitionnisme : jeux et enjeux du regard

La vie privée s'étale sur facebook et sur des sites internet, Secret story, star academy dont les programmes sont souvent assez pauvres à première vue, suscitent un engouement indéniable qu’on le veuille ou non. C’est aussi une forme de voyeurisme. Cependant, il serait simpliste et malhonnête de jeter la responsabilité de nos dérives perverses sur les médias.

Voyeurisme exhibitionnisme

En effet, analysons les comportements en club libertin où de nombreux couples se rendent pour simplement satisfaire leurs passions pour le voyeurisme et exhibitionnisme. Ces couples là, franchiront-il un jour la pas de l’échangisme rien n’est sûr, voir et / ou être vu leur suffit parfois pour ranimer une libido défaillante ou tout simplement pour le plaisir de satisfaire leur besoin d’exhibitionnisme.

Vouloir être vu dans son intimité s’appelle l’exhibitionnisme, et se passionner pour ce genre de spectacle se nomme voyeurisme. Ces pulsions sont normalement présentes dans le psychisme de chacun, elles sont tantôt assouvies, tantôt jugées honteuses et condamnées par la part morale de l’inconscient, le surmoi. Ainsi l’enfant qui se donne en spectacle devant un parent ou un public, satisfait sans honte une pulsion exhibitionniste. Pour autant, cet enfant, n’est pas un pervers ! Il s’agit donc de pulsion naturelle, satisfaite ou non, jugée ou non en fonction des âges.

Avoir un blog, ce n’est pas seulement écrire sur soi ou sur un sujet qui nous passionne, c’est aussi écrire publiquement. Bloguer c’est donc s’exposer volontairement. Toute personne a en elle une part d’exhibitionnisme, preuve en est, les nombreux réseaux sociaux qui se développent (facebook, myspace), où les individus prennent plaisir à exposer une part de leur intimité. Mais ceci montre également à quel point nous sommes voyeuristes. On ne prendrait pas plaisir à s’exposer si d’autres ne prenaient pas plaisir à nous regarder.

En clair, si le voyeurisme et exhibitionnisme n’existaient pas, internet perdrait beaucoup d’intérêt……

ET L’EROTISME DANS TOUT CA ?

Si l’on approfondit en orientant le sujet vers des choses plus coquines et diverses pratiques, les jeux et enjeux du regard ou de l’oreille il apparaît clairement que le voyeurisme et exhibitionnisme est très présent chez beaucoup de personnes qu’elles l’acceptent ou non.

Quelques exemples ?

1°) Les clubs BDSM ! On ne s’y rend pas que pour rencontrer du monde, on y a aussi pour voir et être vu.

2°) Les ABDL adepte de la couche ! Si porter une couche plait à quelqu’un, être vu sans être jugé est très souvent dans son fantasme. Si ce n’est pas de porter une couche qui anime la personne, c’est de voir une personne en porter.

3°) Les clubs libertins comme indiqué au début de cet article.

4°) Les adeptes de la fessée n’y échappent pas non plus. Pourquoi passent-ils du temps sur le net ? Est-ce juste pour apprendre des techniques ou pour les confidences ou pour voir des fesses rouges ? Si c’est juste pour voir des fesses rouges il y a bien une notion de voyeurisme non ?

5°) Les fétichistes du collant, du latex, du …. font la même chose. Ils surfent sur les fétichismes qui motivent leur envie de voir, c’est donc une forme de voyeurisme.

Entre passer du voyeurisme à l’exhibitionnisme pur et donc passer à l’acte en public, il y a un plusieurs étapes.

La première étape pour passer du voyeurisme à l’exhibitionnisme est parfois le miroir, se voir faire l’amour est ou étape, tout comme la photo ou la vidéo personnelle que l’on ne dévoilera jamais. Il arrive que l’on s’excite en les faisant mais que l’on se sente honteux en les regardant ou inversement. Peu importe, on l’a fait dans l’intimité et on n’en meurt pas.

La deuxième étape est Internet avec les sites et blogs avec des photos personnelles permettant de dévoiler aux internautes une partie de son anatomie ou de ses passions sans faire voir son visage par peur d’être reconnu. L’exhibitionniste timide se contentera de voler des photos en essayant de faire croire que c’est lui.

La troisième étape consiste à oser sortir, aller dans des lieux publics où l’on ne dévoilera presque rien en étant convaincu que tout le monde vous regarde. Combien de femmes sont sorties sans culotte sous leur jupe juste pour satisfaire le « risque d’être vue », combien de soumis avec leur cage de chasteté avec un long manteau, combien d'hommes en collants ou avec des sous-vêtement féminin et combien d’ABDL, sont sortis en couche avec un grand manteau d’hiver pour qu’on ne puisse voir ce qu’ils portaient sur eux ? (Ce ne sont que des exemples, mais si l’on creuse un peu, il y en a bien d’autres)

Après il y a les clubs, SM ou libertin, puis les rencontres privées réalisées grâce à des sites de rencontre. Là, les premiers pas sont parfois difficiles, combien de personnes ont fait demi-tour avant de sonner chez ceux qui devaient les recevoir ?

Entre l’exhibitionnisme virtuel et la réalité la marche est donc difficile pour certains.

Etre vus excite les exhibitionnistes tout comme être entendus. Etre entendu en train de faire l’amour est grisant pour certains, honteux pour d’autres, mais ceux qui trouvent cela honteux tapent rarement à la cloison pour faire taire ces bruits, allez donc savoir pourquoi ?

Ensuite, il y a ceux qui assument et que cela excite.

ET vous ;

Aimez-vous vous voir faire l’amour dans le miroir ?
Etes-vous excité à l’idée d’êtres entendu
Etes-vous excité à l’idée que l’on pourrait vous voir ?
Etes-vous excité à l’idée d’être vu ?

Pourquoi je ne vous demande pas si vous êtes voyeurs ?
Deux questions en guise de réponse : pourquoi êtes-vous sur ce site ? Avez-vous déjà regardé des photos érotiques ?

Rendez-vous sur le forum Voyeurisme et exhibitionnisme pour en parler

http://www.fessestivites.com/phpBB3/exhibitionnisme-et-voyeurisme/

Par TSM - Communauté : Mondes Libertins
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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 09:39

Entre fantasme, réalité et curiosité, comment savoir quelles pratiques réaliser et quelles pratiques garder en imagination ?

Entre fantasme et réalité

Débat jeudi 31 octobre à 21h sur le chat de Fessestivites

Entre fantasme, réalité et curiosité ?

Passer du fantasme à la réalité implique que l'on passe de la toute puissance imagination à une action réelle mais là, arrive nos « blocages ».

Certes le fantasme serait sans saveur s'il n'y avait pas la tentation d'y succomber oui mais y succomber comment et jusqu'où ?

La toute puissance imagination génère en nos pensées d'agréables sensations quand il s'agit des fantasmes, toutefois la réalité est parfois décevante ou aussi magique qu'on ne l'imaginait.

Réalité est parfois décevante oui est non car son contraire existe bel est bien souvent avec un effet « recul » traduire qu'après la réalisation de son fantasme on regrette de ne pas être allé plus loin, plus fort. Il arrive même souvent qu'après la réalisation d'autres fantasmes voient le jour.

DE MULTIPLES QUESTIONS SE POSENT

- Quels fantasmes pouvons nous réaliser sans prendre le risque d'être déçu ou comment les aborder pour ne pas l'être ?

- Avec qui, quoi et où réaliser un fantasme ?

- Quels fantasmes doivent rester du monde des fantasmes, quels fantasmes sont réalisables ou partiellement réalisables ?

- Quelle est la différence entre curiosité et réel fantasme ? Exemple essayer pour voir sans que cela ne soit un réel fantasme.

OSER PARLE DES SES FANTASMES

- Oui mais à qui et dans quel but ?

- Oui mais vais-je être pris pour un fou ou une folle ?

Ces sujets seront débattus ce jeudi 31 octobre à 21h sur le chat de Fessestivites, avec des personnes qui ont déjà réalisé leurs fantasmes et ceux pour qui le fantasme n'est pas encore ou ne sera jamais une réalité.

http://www.fessestivites.com/fre/chat.html

Par TSM - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 09:38

Soumis transformé par deux lesbiennes

 

L'annonce

Soumis aux femmes je suis, soumis aux femmes je suis fier d’être. Ma volonté n’a rien de copulatoire, les servir suffit à me combler.

Je recherche donc une Maîtresse mais comme je n’aspire en aucun cas à des rapports sexuels, si une lesbienne est intéressée ou un couple de lesbiennes est intéressé par un soumis serviteur, qu’elle n’hésite pas à me contacter.

Disponible à toutes heures mais pour éviter les plaisantins un entretien téléphonique est obligatoire avant que je me déplace.

Discrétion et sérieux assurés
………………………..

Après des années de recherches effrénées sur le net, je commençais à désespérer de trouver une Maîtresse. J’ai donc fait un copier coller de mon annonce pour la publier sur Fessestivites, après tout, je n’étais plus à ça près. Deux mois plus tard, je reçu le message ci-dessous dans ma messagerie.

« Etes-vous réellement sérieux et jusqu’où irez-vous pour me le prouver si j’aspire à vous recevoir comme soumis avec mon amie » ?

Avant de répondre, j’ai consulté le profil de la personne qui m’écrivait. Elle s’annonçait lesbienne et en couple. Mon cœur se mit à battre la chamade !

« Madame, je m’estime réellement sérieux, comme première preuve je vous donne mon numéro de téléphone 06 00 00 00 00 appelez-moi à votre convenance pour vérifier que je suis bien disponible. Jusqu’où irai-je pour vous prouver mon sérieux ? Mettez-moi au défi je le ferai et vous adresserai les photos que vous pourriez me demander, mais si ce défi ressemble à une plaisanterie, je ne donnerai pas suite. Comme vous le constatez, tout comme vous pour un premier contact je reste méfiant malgré le sérieux qui me caractérise et l’engagement qui peut être le mien ».

Sa réponse n’a pas tardée !

"Soumis, j’aime beaucoup ta réponse, elle ne ressemble pas à ces êtres capables de jurer monts et merveilles sans même savoir à qui ils jurent. Pour la peine, je vais te donner un défi simple à réaliser, tu m’adresseras la photo par email. Si dans 24 heures je n’ai pas cette photo, nos relations en resteront là. Je désire que tu poses torse nu avec un journal dans la bouche comme un chien. Tu devras avoir les mains dans le dos et le mot soumis écrit sur ton torse".

Je passe sur notre correspondance, pour en arriver au principal, une semaine plus tard, j’étais « convoqué » le vendredi soir chez Maîtresse Aline et sa compagne.

………………………………………………………………..

Une femme bien enrobée, blonde aux yeux bleus m’ouvrit la porte et me fit entrer. Sans même me débarrasser de la bouteille de champagne et du bouquet de fleurs, elle me montra le chemin de la cuisine. Un papier m’attendait sur la table.

« Met-toi nu, enfile la culotte rose et le tablier, fait la vaisselle et attend que l’on t’appelle » indiquait le texte sur le dos d’une enveloppe usagée. Autant dire que l’entrée en matière me parue rude car la féminisation et le travestissement n’est pas mon truc. Bien décidé à ne pas la décevoir, je me suis exécuté en m’autorisant le fait de mettre la bouteille de champagne au réfrigérateur. La vaisselle faite, j’attendais patiemment dans la cuisine quand Maîtresse Aline m’appela. En entrant dans le salon, je pus découvrir sa compagne, une brune à l’antithèse du profil de Maîtresse Aline, petite, fluette avec un regard sévère.

- Soumis, ramène ta bouteille de champagne et deux flûtes, elles sont dans le placard de la cuisine, m’ordonna Maîtresse Aline avant de reprendre sa discussion avec son amie.

A mon retour, je dus les servir avant qu’elles m’imposent la position à quatre pattes comme un chien. Alors qu’elles sirotaient leur champagne, la compagne de Maîtresse Aline se leva pour aller chercher une gamelle de chien dans laquelle elle vida un peu de champagne avant de m’ordonner de laper. J’appris pendant la conversation que la compagne de Maîtresse Aline s’appelle Julie. D’un caractère critique, elle me parut finalement plus que sévère dans ses analyses, mais je ne me permis pas de donner mon point de vue, n’étant pas invité à parler.

- Qu’est-ce qu’on va faire de toi ? Me demanda Julie en me regardant d’un air dédaigneux. Un mec ici, qui l’aurait cru ? Et en plus un poilu !

- On va en faire notre bonniche mais tu as raison Julie, ses poils sont dégoûtants. Va à la salle de bain, tu as 10 minutes pour me faire partir tout ça, mais tu as intérêt à faire le ménage après car si je trouve des poils dans ma salle de bain, je te massacre. Exécution !

Etant convaincu qu’elles me testaient, j’avais décidé d’être irréprochable lors de cette première rencontre. Faisant fi des remarques corrosives et de l’absence de communication à mon égard, autre que des ordres, je me suis donc rendu dans leur salle de bain où j’ai trouvé de quoi raser mon corps dans leur douche à la vitesse grand V. De retour au salon, je me suis fait incendier pour mon retard avant une inspection rigoureuse de mon anatomie qui me valut des reproches sur mon rasage. Maîtresse Aline m’ordonna de me pencher en avant et de lui offrir mes fesses. Trois coups, seulement trois coups de cravache mais d’une force telle que j’ai faillis hurler et lui mettre une gifle.

- Tu l’as compris, on n’aime pas les hommes, si tu veux être notre soumis, il va falloir que tu ressembles à une femme, sans quoi tu ne feras pas de vieux os ici. Me dit Maîtresse Aline en m’attrapant par l’oreille comme si j’étais un gamin.

- Bien madame, mais la féminisation n’est pas trop mon truc, mon corps ne s’y prête pas.

Est-ce que l’on t’a demandé ton avis soumis ? Me répondit Maîtresse Aline

Je me suis excusé platement avant de proposer de les resservir, quand Julie fut soudain mue par une envie de s’occuper de ma personne. Elle se leva pour m’attraper par l’oreille et me conduire dans la maison vers une de leurs chambres. Elle jeta des bas et une robe sur le lit en m’ordonnant de les passer sans tarder puis de revenir me présenter au salon pour la suite du service. J’ai eu envie de partir car la féminisation n’est vraiment pas mon truc tout comme les trois coups de cravache ultra violents et le traitement de ma personne comme un objet mais je m’en suis tenu à mes idées premières. A mon retour au salon, « j’avais l’air d’un con ma mère » ! Julie s’est levée pour m’exhiber et m’humilier en me faisant tourner sur moi-même comme si mon corps ressemblait à celui d’une star au festival de Canne.

- Avec des talons, une perruque et une touche de maquillage, soumis pourrait commencer à devenir intéressant qu’en penses-tu ? Demanda Julie.

Maîtresse Aline approuva et trouva cette idée très amusante contrairement à moi. Et là, je suis soudain devenu l’objet de toutes leurs attentions. Elles me firent asseoir et entreprirent de me refaire une « beauté ». J’étais mort de honte. Entre leur mains, je n’étais plus qu’un jouet que l’on manipule, que l’on habille, que l’on maquille, si bien qu’une heure plus tard, je me suis retrouvé perché sur des chaussures à talon haut, maquillé vêtu d’une robe à froufrou et avec un soutien-gorge.

C’est chiant un soutien-gorge ! Cela gratte, cela serre, cela gêne et son utilité sur moi n’avait qu’un but : m’humilier. Marcher avec des talons hauts me fut très difficile, j’avais l’horrible impression que j’allais m’écrouler à chaque pas. Un bâillement Maîtresse Aline m’annonça que la fin de la soirée approchait mais il n’en fut rien. Elle m’envoyèrent à la cuisine voir si elles y étaient, en clair, de les laisser seules. Quelques minutes plus tard, je fus rappelé auprès de ses dames de nouvelles surprises m’attendaient, cela se voyait sur leur visage. Elles entreprirent de me déshabiller puis me firent enfiler une chemise de nuit de la grand-mère de Julie, avec comme indication que je devais la porter fièrement. Si le vêtement ne me séduisait guère, le vêtement laissait sous-entendre que j’allais dormir ici. Ce fut le cas mais version sadiques.

Maîtresse Aline et Julie posèrent des bracelets à mes poignets et à mes chevilles puis un collier de chien avant de m’ordonner de me mettre à quatre pattes pour me conduire à leur chambre à coucher. Une petite merveille, superbement décorée avec un magnifique et immense lit à baldaquin, leur chambre ressemble à une reconstitution historique de la maison de Barbie version lupanar. Elles m’invitèrent à passer sous leur lit et à m’étendre sur le ventre bras et jambes en croix. A l’aide de cordes, elles entreprirent de fixer mes poignets et mes chevilles mais grande chance pour moi, m’accordèrent d’aller aux toilettes avant afin de soulager ma vessie prête à exploser.

A mon retour, je fus prestement entravé sous le lit avant d’être abandonné là. Je commençais à me poser des questions quand au bout d’un long moment elles sont revenues pour se coucher. Julie m’annonça que si je ronflais, je risquais gros ce qui ne me rassura point. Et là, elles se couchèrent et firent l’amour le plus simplement du monde en se moquant totalement de ma présence. Les entendre et les sentir câliner au-dessus de moi me mit dans tous mes états, malgré l’inconfortable position. En guise de participation, elles me jetèrent leurs petites culottes à renifler silencieusement…. J’avoue qu’encore une fois, que ce qu’elles prirent pour une humiliation combla mes sens olfactifs car j’aime le parfum du corps des dames.

Ma nuit fut aussi inconfortable qu’érotique, car être attaché à la merci de deux femmes compte de mes fantasmes. Au petit matin, Maîtresse Aline se leva pour aller aux toilettes puis me délivra en murmurant d’aller préparer le petit déjeuner et d’attendre tranquillement à la cuisine. Elle m’autorisa à prendre un petit déjeuner puis me congédia de la main.

Une heure plus tard, Maîtresse Aline m’appela en réclamant le petit déjeuner. Ayant prévu le coup, deux minutes plus tard je pénétrais dans leur chambre avec un plateau. La nature humaine étant ce qu’elle est, les voir assises toutes les deux côte à côte dans leurs déshabillés vaporeux mit le feu aux poudres sous la ceinture que je n’avais pas ayant toujours sur moi la chemise de la grand-mère. Aline s’en aperçue et m’incendia avant de s’en plaindre à Maîtresse Aline qui la rassura en lui disant que si elles me gardaient, je porterai une cage de chasteté ce qui bloquerait ce genre de dérapage naturel.

- Ca te plairait de nous voir nues hein gros porc ? Me demanda Julie.

- Il me plaira ce qu’il vous plaira mesdames, je ne suis pas là pour mon plaisir mais pour votre bien être. Leur ai-je répondu à la volée pour éviter de dire une ânerie.

- Tu es mielleux ! Me dit Maîtresse Aline, mais c’est une excellente réponse. Si tu restes avec nous, tu auras l’occasion de nous voir nues bien plus que tu ne l’imagines, mais il faudra le mériter. Après avoir desservit, tu iras me faire couler un bain, je l’aime très chaud, file !

Pendant que le bain coulait, je fis la vaisselle du matin avant d’être appelé à la salle de bain. A mon arrivée, Maîtresse Aline s’y trouvait nue, je fis volte-face pour ne point la regarder et lui demander ce qu’elle désirait. Elle m’ordonna d’entrer et de me mettre à genoux. Dans la position demandée, mes yeux se trouvaient en bonne place si j’avais été voyeur mais je fis très attention à les garder baissés afin de ne pas attirer son courroux. Sans aucune gêne quant à sa nudité, elle prit place dans la baignoire en m’ordonnant de venir laver ses pieds, chose que je fis avec une attention particulière. Une demi-heure plus tard, elle m’ordonna de les lécher. Ma langue leur fit l’amour avec une extrême douceur,

- Mais il te fait l’amour ce porc ! Cria soudain Julie dans mon dos.

- Non, il fait l’amour à mes pieds et j’avoue que sa façon de faire et très agréable. Répondit Maîtresse Aline

- Prend-le dans ton bain tant que tu y es ! Pesta Julie.

- Tien, c’est une idée ça, on va le laver à ma façon. Clama Maîtresse Aline en sortant du bain avant de m’ordonner d’y entrer.

Quand on vous propose d’entrer dans une baignoire, après vous êtres mis nu, votre premier réflexe est de vous y allonger, chose que je fis et qui me valut deux tonnes de reproche. Je dus y prendre place à quatre pattes où je fus lavé par deux furies. En guise de rinçage elles m’obligèrent à m’allonger sur le ventre dans la baignoire pleine d’eau, en mettant mes mains dans le dos. Trente secondes plus tard, elles étaient sur moi et m’y enfoncèrent totalement. La tête sous l’eau j’ai pris peur et je me suis débattu mais coincé sous leurs corps je ne pus faire grand-chose hormis mettre de l’eau de partout et battre des pieds dans leurs produits.

Maîtresse Aline sortit ma tête de l’eau pour me permettre de respirer en m’incendiant pour mon manque de confiance. Que répondre à cela ? Ma tête replongea aussitôt pour un temps que j’ai trouvé très long mais elle m’en ressortit quelques secondes plus tard.

- Rince-toi, éponge tes conneries et fait le ménage de la salle de bain, tu as 15 minutes.

Pour ne pas les gêner avec ma nudité, j’ai donc enfilé la chemise de nuit avant de les rejoindre au salon où une surprise de taille m’attendait. Julie avait trouvé des vêtements amples et plus ou moins extensibles dans les vêtements de la grand-mère. Je dus les enfiler ainsi qu’un corset des temps anciens qu’elles se mirent à serrer comme des malades si bien que ne parvint pas à mettre les escarpins qui m’étaient destinés.

- Ce sera ta tenue pour la journée, ce matin nous sortons mais j’ai caché tes vêtements et tes papiers. Si tu veux t’échapper tu le peux, mais ce sera ainsi vêtu. Rassure-toi, je ne vais pas te voler ton sac, je veux juste m’assurer que tu seras réellement la bonne que je veux trouver à notre retour. Démerde-toi comme tu veux mais fais-nous un bon repas pour midi. M’indiqua Maîtresse Aline

- Sois sage ! Ajouta Julie vêtue comme une déesse avant de claquer la porte derrière elles.

Arfff ! OUffff. Dur dur ! Je sais, il n’y a rien de français dans ces mots, mais reconnaissez que pour une première rencontre et pour un homme qui n’a aucune attirance pour la féminisation, la marche était haute ! Cette saloperie de corset m’a énormément gêné, pour me baisser je n’avais pas eu d’autre choix que de me mettre à genoux. Allez aux toilettes fut une étape délicate, surtout pour remonter la culotte de grand-mère……

Elles sont revenues vers 11h30 et ont apprécié les parfums de ma cuisine. Enfin un compliment. Maîtresse Aline se rendit aux toilettes faire un gros pipi, si j’ai ce détail c’est parce qu’elle a laissé la porte ouverte.

- Soumis vient ici, tu vas avoir droit à ta récompense ! M’ordonna Maîtresse Aline

Je me suis donc approché des toilettes en gardant les yeux baissés pour ne pas la gêner mais elle ne le semblait pas du tout !!!! Elle se leva, fit demi-tour en me disant : « lèche la goutte, c’est ta récompense ». Heuuuuuuuuuuuuu ! Je me suis donc mis à genoux derrière elle et j’ai tendu la langue quand soudain, sa main a attrapé mes cheveux pour me plaquer contre son intimité odorante, mouillée et un brin salée.

- Je suis satisfaite de tes services, Julie va te rendre tes vêtements et tu vas pouvoir rentrer chez toi. Si tu veux devenir notre bonniche, tu as maintenant un aperçu de ce que nous sommes et voulons. Par contre, si tu reviens, nous exigeons que tu ais une cage de chasteté et des vêtement de bonniche que tu devras acheter. Nous te donnerons les adresses pour les vêtements. A toi de voir ce que tu décides. J’attends une amie, presse-toi d’aller te vêtir et de partir. Tu me donneras ta réponse par email.

Quelques minutes plus tard, je quittais leur domicile mais j’étais si perturbé que j’ai mis un quart d’heure pour retrouver ma voiture. Quand j’ai ouvert mon sac pour prendre une cigarette, il y avait une enveloppe à l’intérieur. Je l’ai décachetée pour voir ce quelle contenait. Il y avait un papier et un billet de 50 euros. Sur le papier il était indiqué : « je joue sur toi, les 50 euros seront ma participation pour la cage de chasteté, ne me déçois pas ». Le papier était signé Maîtresse Aline.

J’avoue que je m’interroge mais quelque chose me dit que malgré la féminisation qui m’ennuie je vais leur céder. Allez donc savoir pourquoi ?

 

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 09:54

La fessée fait rêver, fantasmer pourquoi s'en priver ?

Pour partager vos doutes, vos passions vos confidences, le forum fessée du Reseau Fessestivites vous est ouvert

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Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

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Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 09:50

Femme seule plaisir solitaire

Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivite

Après avoir pris mon premier café et fumé ma première cigarette, j'ai eu besoin d’une bonne douche pour me réveiller. Une fois séchée, je m'enduisais le corps de crème hydratante tout en réfléchissant à ce que j'allais porter. Mes mouvements se faisaient plus lent, plus langoureux, s'attardant sur un téton ou dans le creux d'une cuisse.
Je me forçais à reprendre mes esprits mais n’y parvenais pas, mes mains devenaient de plus en plus entreprenantes. Comme ce n'était pas le moment, j’ai choisis une culotte de coton noir et un soutien gorge assorti bordé de quelques dentelles soulignant parfaitement la rondeur de mon 90C.

Je choisis une jupe légère en coton noir parsemée de quelques dessins rouges qui m'arrivait au genou et un tee-shirt rouge sans manche car les températures annoncées promettaient d'être estivales ! En passant par ma chambre que j'entrepris de ranger, à la vue des vêtements jonchant le sol en direction du lit, le souvenir de nos ébats de la veille acheva ma sagesse.
Cette pensée m'émoustilla et me remémora la nuit, ses mains sur moi puis quand il était en moi en me parlant avec des mots crus. Ses souvenirs réveillaient en moi une certaine excitation en me faisant regretter son absence.

J'entrepris alors de me satisfaire seule en m'allongeant sur notre lit défait. Il était parfumé de l'odeur de notre étreinte ce qui me permit d'imaginer qu'il était là, que c'était ses mains et non les miennes qui passaient sur mon corps et caressaient mes seins en pinçant mes tétons. La danse de mes mains m'arrachait des soupirs et ma respiration s'accéléra. J'écartais ma culotte et me caressait plus franchement alors qu'un doigt pénétrait mon vagin m’arrachant un gémissement de plaisir.

Mes pensées vagabondaient, voyaient le corps nu de mon homme quand soudain il me parla en m’ordonnant de lui offrir une danse du cul. Le petit gode dans le tiroir de la table de nuit a rejoint mes mains naturellement, mon corps mue comme par enchantement se leva pour se rendre à la commode située aux pieds du lit.
Après avoir léché le gode un instant, j’ai mouillé mon petit anneau pour l’introduire en moi. Il est passé tout seul ou presque, signe d’un désir de folies sodomites peut-être. Mes fesses se sont posées sur a commode, enfonçant en moi le gode jusqu’au plus profond de mes reins. Et là, jambes écartées face au lit pour qu’il me voit bien, je me suis caressée en l’allumant, mes mains devenaient folles.

Je commençais à haleter franchement lorsqu’une vague de chaleur m'envahit. J'ondulais et remuais les fesses au rythme de la pression de mes doigts sur mon clitoris tout en malaxant ma poitrine.

La jouissance était sur le point de me submerger lorsque la sonnette de la porte retentit et m'interrompit un instant en plein élan. Mon homme a crié « entre » et m’a ordonné de continuer. Un de ses amis est entré silencieusement dans la chambre, malgré ma gêne j’ai continué, la situation gênante m’excitait. La sonnette a retenti une seconde fois, c’était un autre ami venu assister à mon humiliante exhibition. J’ai implosé, explosé, j’ai fait fontaine en soulevant totalement les pieds du sol pour m’empaler plus encore.
La sonnette maudite ramena mes pieds sur terre au sens propre comme au sens figuré. Je me suis levé d'un bond, le petit gode se dissimula dans mes vêtements jetés sur le sol, j’arrangeait ma jupe et m'avançait jusqu'à la fenêtre pour voir partir mon homme, il avait oublié ses clés.

Le soir même je lui ai tout avoué, il m’a obligée en guise punition à recommencer, se fut bien plus dur que la matin même mais quand il a décidé de prendre la place de gode, je suis devenue chienne.

Et vous, allez-vous oser avouer vos plaisirs solitaires sur le forum ?

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 09:48

Enlèvement et sexe en Haïti


Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Encore un de mes vieux textes hard qui peut-être alimentera vos fantasmes les plus fous si vous êtes adepte du BDSM et du sexe soi-disant sous la contrainte. 


Le tremblement de terre de 2010 en Haïti est un tremblement de terre d'une magnitude de 7,0 à 7,3 survenu le 12 janvier 2010 à 16 heures 53 minutes.

17 heures

Le bateau d’un milliardaire particulièrement sadique mouillé à Port-au-Prince a simplement vibré dans ses amarres. Les cris et lamentations sur le ponton l’ont arraché à sa sieste. En montant sur le pont, la vision apocalyptique de la ville ravagée l’attriste à peine.

Fred semble plus furieux. Niché au creux des poumons, il y a un organe qui s’appelle le cœur. Tous les êtres humains en ont un. Tous sauf lui. A la place, il y a un bloc de fonte que rien n’atteint.

Ses « esclaves » surnom qu’il donne à ses deux matelots grassement payés auraient du faire les courses hier, sa réserve de champagne diminue à vue d’œil et présentement, il va être difficile de se réapprovisionner. Ce n’est pas un sentiment humaniste qui le pousse vers la ville mais sa curiosité malsaine.

Au milieu des immeubles effondrés, les habitants vivent des moments de panique, à la recherche notamment de leurs proches, d’autres, agars, marchent vers nulle part. Les cris de désespoir et lamentations des gens atterrés devant les ruines des immeubles et maisons l’ennuient. Une femme courant comme une dératée le bouscule, au lieu d’être compatissant pour cette mère affolée se rendant à l’école sûrement détruite, il peste, l’engueule, mais elle ne l’entend pas. Agacé, il fait volte face pour retourner sur son yacht.

18 heures 30

Ses deux matelots ne sont pas rentrés, Fred peste de plus en plus, il aimerait appareiller pour fuir ce lieu maudit et toute cette misère. Naviguer seul ne lui pose pas de problème, mais sans personnel pour le service, c’est chiant. Sur le pont supérieur, vautré dans un fauteuil avec un cocktail à la main, il suit de loin les allers et venues quand soudain lui vient une idée. Il va y avoir des centaines, que dis-je des milliers de morts et de disparues, une de plus ou une de moins, ne fera pas la différence…..

Son instinct franchement esclavagiste s’emballe, l’image d’une belle femme nue hurlant de douleur sous son fouet traversant son esprit, lui fait l’effet d’un coup de pied dans son caleçon. Une disparue de plus ou de moins ne changerait pas grand-chose…..

19 heures 30

C’est dans cet état d’esprit que Fred abandonne son bateau pour retourner au milieu des ruines. Faire son marché parmi cette population n’est pas aussi évident qu’il ne le pensait. Les belles jeunes filles lui paraissent soudain moins belles.

20 heures 15

C’est dans la rue, assise sur un tas de gravas qu’il aperçoit une jolie et jeune blanche métissée avec de longs cheveux blonds pleurant toutes les larmes de son corps dans l’ignorance la plus totale. En vacances avec ses parents à l'hôtel Montana, Aline était sortie pour aller flâner sur le port que son père, ancien marin connaît très bien puisque c’est ici qu’il y rencontré celle qui allait devenir sa maman.

En perdition totale et broyée de chagrin et d’inquiétude elle s’abandonne et craque dans les bras réconfortants de Fred avant de le suivre sans aucune méfiance jusqu’à son yacht d’où ils pourront téléphoner. En chemin, entre deux crises de larmes, il apprend qu’ils sont venus en Haïti pour fêter ses dix-huit ans et qu’ils viennent de Paris.

Aline monte à bord sans aucune crainte ou méfiance et sans aucune considération pour le luxe écrasant du yacht qui l’aurait fait rêver en d’autres circonstances. Frigorifiées et couchée en chien de fusil dans une immense chauffeuse, elle attend avec inquiétude qu’il revienne lui donner des nouvelles mais ce n’est pas des informations qu’il lui apporte mais un grand chocolat chaud en lui indiquant que les lignes semblent saturées. Elle veut repartir pour chercher ses parents mais il l’en dissuade en lui expliquant qu’il va contacter des amis sauveteurs et qu’elle devra les guider. Murée dans le silence et morte de peur, les yeux d’Aline fixent de sol, derrière-elle Fred ferme les rideaux puis s’approche doucement comme un prédateur vers sa proie.

L’attaque du sportif musclé est rapide, précise, efficace. A l’issue d’une courte lutte inégale, elle est bâillonnée et se retrouve couchée par terre avec les bras liés dans le dos. Il la soulève comme s’il s’agissait d’un véritable poids plume pour la jeter sur son épaule, les jambes battant dans le vide elle perd l’une de ses chaussures. A l’entrée d’une coursive, sa tête heurte le mur, mais il n’en a que faire.

22 heures

Le bateau vogue à pleine vitesse cap sur la mer des Antilles en longeant les côtes de l’île de la Gonâve. Aline solidement entravée sur le lit ne peut que tirer inutilement sur ses liens et pleurer sur son sort.

22 heures 30

Ni tenant plus, Fred jette l’encre pour aller s’amuser avec son nouveau jouet. Certes des filles il en a eu, il en a martyrisée mais c’est la première fois qu’il en a une qui lui appartient totalement et avec laquelle il va pouvoir faire tout ce qu’il veut. Totalement captive et vulnérable à souhait, entravée couchée sur le dos jambes écartées et bras dans le dos, Aline supplie dans son bâillon puis fait des « non » de la tête en voyant son ravisseur entrer avec un grand sourire malsain sur son visage. Son tee-shirt portant l’inscription « Y love you » avec un gros cœur rouge ne traduit pas les sentiments éprouvés par Aline à l’instant où il s’assoit près d’elle en posant la main sur sa poitrine.

Il palpe ses seins avec douceur, comme pour faire connaissance avec ce corps juvénile malgré les vaines tentatives de fuite.

Particulièrement oppressé et tétanisée par l’horreur elle croit défaillir quand il arrache soudain son tee-shirt. Il n’a pas de pitié pour le soutien-gorge trop pressé de voir sa belle poitrine juvénile. La plénitude de ses jeunes seins généreux et de la courbe parfaite de ses hanches sont un véritable appel à la caresse. Caressée puis palpée plus fermement à pleines mains, Aline couine dans son bâillon. Fred ne cesse de se repaître de sa poitrine qu’il embrasse du bout des lèvres avant de grignoter les tétons qu’il s’amuse à pincer de plus en plus en arrachant à leur propriétaire de longs cris dont il se délecte. Sentir ce corps fragile bondir de douleur sous lui, l’excite au plus haut point.

La main de Fred descend plus bas, Aline se tend comme un arc quand ses caresses deviennent on ne peut plus précises. Elle s’insinue dans son short doucement comme pour faire durer le plaisir, glisse dans le string puis s’incruste dans ses chairs intimes à la recherche du puits qu’il espère inviolé en y enfonçant un doigt.

- Tu n’es plus vierge et en plus tu t’épiles, mais c’est que tu serais une petite salope…. Hummmm je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux.

Fred ouvre délicatement comme s’il ouvrait un cadeau fragile le bouton du short en toile puis découvre en en écartant les pans, un petit éléphant comme motif sur le string rose.

- Mais c’est que tu trompes ton monde toi, coquine, je vais te faire voir une belle trompe moi dans un petit moment, je suis sûr que tu vas apprécier d’en avoir une vraie….

Pressé par la gourmandise, il saisit le short qu’il se met à écarter de toutes ses forces. La fermeture éclair décorative et le tissu ne résistent pas à sa faim de jouvencelle et se déchirent arrachant à Aline le bien faible rempart la protégeant encore de son violeur. Le string n’est qu’une modalité pour le sportif. Aline, les yeux fermés pleure en silence et attendant de vivre ce qu’elle pense être son pire cauchemar. Elle entrouvre les paupières lorsque qu’il manipule la ceinture de son pantalon et le voit avec effroi l’ouvrir puis le baisser en même temps que son caleçon en offrant à son regard une longue et grosse verge gorgée de désir.

Quand il monte sur le lit, elle ferme les yeux comme pour échapper à l’horreur. Tétanisée elle ne bouge pas quand il se couche sur elle, ce n’est qu’au moment où de la main guide le gland pour chercher la faille, que mue par l’énergie du désespoir elle se cabre comme une furie mais en vain. Encore plus excité par cette tentative dérisoire de lui échapper, il s’amuse à la fouiller un instant avant de s’enfoncer profondément en elle d’un seul coup. La pénétration brutale horriblement douloureuse arrache un cri d’agonie à Aline qui se débat sous les assauts du bélier de chair dure et brûlante. Fred se délecte des agitations de ce corps, des seins fermes qu’il malaxe, de la peau du cou laiteuse qu’il se plait à lécher.

Aline épuisée s’est calmée et ne pousse plus que de petits gémissements plaintifs pendant qu’il la prend à grand coups de reins. La chaleur du corps de son violeur, la fait abondamment transpirer. Résignée elle attend maintenant la fin de son calvaire et ne réagit plus. Au bout d’un moment où il se met à ahaner puis à beugler comme un porc en libérant un flot de sperme épais en son ventre profané avant de s’écrouler sur elle tout essoufflé.

Pris d’une soudaine envie câline, il caresse son visage défait, ravagé, lui fait de petits baisers et lèche ses larmes.

- « Pleur » pas bébé, on va s’amuser tous les deux, je vais de faire vivre des sensations si intenses et si fortes que tu n’imagines pas à quel point tu vas jouir. Je suis ce que l’on appelle un Maître, je vais te dresser et te rendre folle de sexe, tu vas connaître des jouissances folles. Regarde ce que j’ai pour te faire vibrer ! Dit-il en se levant pour aller ouvrir un immense placard et dévoiler au regard terrorisé d’Aline une gigantesque panoplie d’accessoires SM bien rangé.

Il extrait d’une caisse deux vibromasseurs filaires avant de revenir vers sa proie avec un sourire sadique posé sur ses lèvres. Après avoir fait un passage dans son sexe pollué, le plus petit des vibros force son anus rapidement suivi par le gros équipé de billes tournantes. Pour les maintenir en place, il les scotche en se gardant bien de couvrir le clitoris pour lequel il a d’autres projets. Fred installe ensuite un socle équipé d’une perche avec un gros vibromasseur en forme de micro scotché à son extrémité. Il pose la grosse boule sur le clitoris d’Aline avant de bloquer le tout par une petite sangle.

Impuissante Aline ne peut que le regarder et trembler de peur quand il branche les prises électriques dans une multiprise. Fred démarre un à un les vibros arrachant des suppliques désespérées à sa victime. Le vibro anal vibre bien sûr mais à l’intérieur une bille décentrée monte et descend dans le tube de forme phallique générant une sensation de pénétration. Celui qui est profondément enfoncé dans son vagin est équipé de mini billes qui se mettent à tourner autour du gros gode, massant ainsi les parois en vibrant. Tout cela n’a rien de douloureux mais affole Aline. Quand Fred allume le gros vibro en forme de micro qui est posé sur son clitoris, elle pousse un cri de surprise car c’est ultra puissant. Pour compléter son abominable machination sexuelle, il lui pose deux électrodes sur les seins et les relie à un boîtier d’électro stimulation.

- Elle n’est pas belle la vie ! Lui indique Fred en s’installant confortablement dans un fauteuil. Regarder une femme luter contre le plaisir avec un bon cigare et un bon verre est quelque chose qui m’amuse beaucoup, résiste au plaisir, mes yeux ne se lassent pas de cette lutte.

« Comment une femme violée peut-elle prendre du plaisir » a envie de lui hurler Aline en lui criant toutes les insultes lui passant par la tête. Elle parvient à contrôler son excès de rage par peur de représailles. Son intimité est monstrueusement chahutée, cet équipement diabolique l’ennuie fortement mais elle reconnaît intérieurement qu’en d’autres circonstances, elle aurait pu apprécier de vivre cela. Pour essayer de mettre un terme à son calvaire, elle mime le plaisir et commence à geindre en espérant qu’il y croit.

- Même pas en rêve petite, je n’en crois rien, mais dans un moment, tu chanteras réellement avant de te mettre à hurler de plaisir.

Fred se lève, affine les réglages de ses instruments diaboliques en augmentant la puissance, et là, Aline sent que des choses se passent en elle. Les picotements électriques sur ses seins détournent son attention sur autre chose que son intimité. Ils varient d’intensité, les fréquences se rapprochent, cela commence réellement à piquer. Puis c’est au tour de son anus de perturber ses pensées, le gode semble s’accélérer. Tout en vibrant, son proche voisin logé dans son vagin entretient un massage pendant que son clitoris commence à s’affoler.

Quelques minutes plus tard, elle tire en vain sur ses liens pour fuir la jouissance qu’elle sent honteusement arriver. Ses mâchoires se mettent à trembler, sa respiration s’accélère, son ventre et ses orifices commencent à se contracter malgré elle. Elle claque des dents, tourne la tête dans tous les sens pour essayer de lutter, elle ne veut lui accorder le plaisir de la voir jouir. Fred se lève et vient inonder son ventre de lubrifiant avant de reprendre place sur son fauteuil, il sait qu’elle va craquer, aucune fille n’a pu résister à ses machines diaboliques.

Confusion indicible commence envahir Aline, son corps est secoué de spasmes comme au paroxysme de la jouissance physique. Elle se met à haleter. Un sentiment de honte puis d'exaltation la submerge. Son regard devient vitreux, son corps tendu comme un arc fibrille un instant avant de se cabrer de volupté sous un embrasement intégral des sens. Une marée de plaisir inonde sa caverne intime en attisant dans son sexe un embrasement de perversité, c’est maintenant un véritable l'incendie qui couve entre ses cuisses s’agitant pour fuir le trop de plaisir, ce plaisir si intense qu’il rend fou.

Elle vient de jouir éperdument mais, une fois sa chair emplie de lave, d’autres spasmes pointent le nez à l’horizon. Elle gémit en implorant avec des mots inaudibles qu’il arrête ses machines mais en même temps se surprend à agiter ses reins.

Fred ne se lasse pas de la voir se contorsionner dans ses liens, quand un bruit de pas sur le pont attire son attention. Il bondit de son fauteuil pour prendre son révolver dans sa chambre avant de se précipiter dehors pour voir qui s’est permis de monter sur son bateau. Quatre pirates sont à l’avant, il braque son arme et leur hurle de sauter par dessus bord quand soudain un violent coup de crosse sur la tête le coupe net dans ses élans. Le pirate qui l’a assommé lui donne encore quelques coups pour s’assurer de son calme, l’un d’eux l’atteint à la nuque lui autant la vie en une fraction de seconde.

Ils se lancent dans une inspection du bateau à la recherche d’autres occupants et découvrent Aline qui à leur entré se met à hurler avant de crier « help help ». Ils poursuivent leur visite du navire avant de revenir vers elle. Les cris qu’elle pousse et ses « help » répétés comme une femme affolée les titillent. Quand l’un d’eux la libère, elle se jette dans ses bras en pleurant puis en le remerciant.

Les pirates peu habitués à ce que leurs victimes leur sautent dans les bras et les remercient comprennent aussitôt que cette fille à été enlevée. Le bateau, fouillé et pillé, ils l’abandonnent sur le navire avec comme seul compagnon le cadavre de Fred. Dans sa folie, elle descend en courrant chercher les cordes la maintenant sur le lit pendant son viol avant de venir lier les mains et les jambes de son tortionnaire sans même se rendre compte qu’il est mort.

Une fois vêtue, elle se précipite dans le bateau à la recherche d’un téléphone. Il est codé et ne peut s’en servir. Au pas de course elle monte au poste de pilotage et s’acharne sur la radio. Elle lui explique la situation et demande de l’aide. L’homme suspicieux demande des précisions avant de lui expliquer comment prévenir la police maritime et indiquer sa position, car il ne veut pas être impliqué. Devant les suppliques désespérées de la femme qu’il a sur la radio, il accepte de prévenir la police pour elle mais il refuse de venir la chercher sur le bateau par peur que les pirates ne reviennent ou que la police le soupçonne.

Trois heures plu tard, un siècle pour Aline, un bateau de la police maritime accoste celui du milliardaire.

Ecrivaillon

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Lundi 28 octobre 1 28 /10 /Oct 06:44

Chasteté mon rêve s'est enfin réalisé


Une modératrice de Fessestivites m'a gentiment expliqué que mon annonce n'était pas claire puis que ma façon d'aborder les femmes dominatrices n'était pas la bonne. Comme cela faisait des années que je surfais en vain pour n'arriver à rien sauf sur des professionnelles, j'ai décidé de suivre ses conseils sur son site. Il est même allé jusqu'à m'aider à faire mon annonce. Après tout, je n'avais rien à perdre à suivre ses conseils.

Il m'avait également prévenu que ce serait long car trouver une Maîtresse célibataire qui en plus serait en recherche d'un homme pour vivre une vie de couple représente beaucoup de choses à faire coïncider en termes de paramètres.

En février 2012, l'idée d'adresser un email de bonne Sait Valentin à toutes les Maîtresses m'est venue, je n'ai eu que trois réponses dont une qui allait me permettre de réaliser mon rêve de vie. Après x et x échanges par email puis sur le forum BDSM sur lequel je me suis exprimé en faisant attention à mes propos, la belle a accepté de me parler en privé sur le chat et même de se montrer en webcam quand nous étions en privé.

Comme me l'avait indiqué le webmaster, au lieu de lui parler de mes désirs, je me suis intéressé à elle dans tous nos échanges et c'est elle qui un jour m'a demandé de lui parler de mes envies et fantasmes. Je lui ai alors expliqué que je désirai. Ma réponse fut claire.

Je désirais vivre une vie de couple normale mais avec une femme dominante que je prendrai plaisir à rendre heureuse mais qui accepterait de prendre en charge ma sexualité voir même de gérer ma cage de chasteté. Je lui ai indiqué que je n'étais pas une larve dans la vie. J'ai ensuite ajouté que si j'acceptais avec grand plaisir de me soumettre sexuellement à ma femme, si une affinité naissait entre nous je ne serai jamais un compagnon carpette.

Ma réponse lui a plu, (ouf) et elle m'a demandé sur le chat de lui donner mon numéro de téléphone en privé, chose que j'ai faite immédiatement. Son appel n'a pas tardé, nous sommes restés trois heures au téléphone........ Rendez-vous fut pris chez elle pour le vendredi suivant mais sans que je connaisse son adresse. Je devais l'attendre assis à la terrasse d'une brasserie de sa ville à 18h avec un sac de vêtements pour le week-end ainsi que toutes les clés du cadenas ma cage de chasteté sur moi .

J'ai pris le risque de faire 200 kilomètres pour rien et d'aller à ce rendez-vous et j'ai bien fait car depuis nous ne nous sommes plus quittés hormis le temps de l'organisation pratique de mon déménagement dans une ville plus proche de chez elle. En fait, je faisais 80 kilomètres aller retour pour aller travailler, en déménageant je n'en faisais plus que 60.

Le premier week-end j'ai dû me soumettre à ses caprices qui en fait étaient très softs, par contre, nous sommes allés acheter un cadenas à combinaison pour ma cage de chasteté. Elle me l'a posé elle-même le dimanche soir avant que je ne reprenne la route pour rentrer chez moi le cœur chamboulé. Toute la semaine nous avons échangé de messages par email et en chat privé, elle me racontait ses journées, je lui racontais les miennes, elle jouait un peu les inquisitrice en me demandant de lui montrer ma cage de chasteté que je porte avec fierté depuis 2012 pour ma Maîtresse d'Amour. En janvier 2013 j'ai déménagé pour venir m'installer chez elle.

NOTRE VIE BDSM

Je ne vous parlerai pas ici de notre vie vanille ni des travaux que j'ai fait dans la maison, vous n'en avez rien à faire, mais plutôt de nous dans notre vie BDSM.

Vous l'avez compris, je suis sous cage de chasteté 24h sur 24h ce qui n'est pas incompatible à de la tendresse et à de l'amour. N'étant pas maso, ma Maîtresse est très modérée dans ses pratiques SM avec moi, bien que d'après elle je progresse. Ma Maîtresse aime que je la masse, que je la caresse et que je lèche son intimité pour la conduire au plaisir. Son plaisir étant mon plaisir, je peux affirmer que je m'investis totalement dans cette tâche avec conviction et passion car j'adore cela. J'aime la sentir vibrer sous ma langue quand mes doigts fureteurs fouillent la vallée de tantale faisant tourner la tête aux hommes.

Pour assouvir mes besoins, nous avons essayé le milking mais sans succès, j'ai donc le droit quand elle le décide de me masturber devant elle et d'éjaculer sur ses très jolis pieds. Là où c'est moins amusant c'est que je dois les lécher ensuite pour « déguster » ma semence..... Une fois par mois en moyenne voir un peu moins, nous faisons l'amour de façon conventionnelle, mais ma sadique de Maîtresse adorée n'étant pas très portée sur la pénétration fait tout ce qu'elle peut pour que je termine très vite. Elle appelle cela la pollution mais l'accepte malgré tout car elle sait que je l'aime et que je n'ai pas pour simple objectif de me vider les couilles. Après chaque rapport sexuel, nous pratiquons le facesitting pendant lequel je dois la lécher pour qu'elle soit propre avant de la faire jouir avec ma langue qu'elle adore.

Ne pensez pas que nous ne faisons que ça, nos étreintes et caresses intimes sont très fusionnelles, tout comme nos baisers fougueux. Elle a trouvé son équilibre affectif, câlin et sexuel ainsi, cet équilibre vient à ravir compléter notre vie de couple. De mon côté, je suis ravi même si je n'aime pas mon sperme mais pour ma belle que ne ferais-je point ? Me révolter ? J'ai essayé une fois, je suis resté 30 jours sous cage sans aucune pause hormis la toilette et cela m'a rendu fou.

Merci de m'avoir lu

Ecrivaillon

 

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Dimanche 27 octobre 7 27 /10 /Oct 08:58

Emprisonnée au mur de baise

Auteur Ecrivaillon

A l’attention du lecteur. Ce vieux texte hard écrit à l’époque des groupes Mots n’est pas consensuel, il n’est pas destiné aux âmes sensibles.

………………………

Alex a trouvé une astuce pour faire tourner son club de nuit : offrir des femmes !

Les clients ne les voient pas réellement, ils ne voient que leurs jambes et leur intimité offerte. Le renard chassant loin de son terrier, elles sont enlevées dans les départements voisins et endormie au chloroforme pour les faire taire pendant le trajet. Lucie est l’une d’entre elle. Enchaînée par le cou comme une bête dans une cave, âgée de 24 printemps, cette étudiante en médecine se désespère et attend son heure convaincue de mourir sous peu.

Lorsque Alex ouvre la porte de la cave, elle n'arrive pas à concevoir ce qu'il lui arrive, elle ne peut pas admettre ce qui va se passer. Par prudence il est toujours cagoulé, ce qui ne permet pas à Lucie de connaître son visage. A son approche, elle se recule contre le mur couvert de salpètre et se met à crier.

- Je te conseille de ne pas crier trop tôt !! Tu as bien le temps !! Lui dit Alex toujours très calme même quand elles se débattent.

Il lui tend un bâillon et lui demande de le mettre puis lui donne une cagoule afin qu’elle ne puisse reconnaître les lieux, la tuer l’ennuierait, ce n’est pas son truc. Rapidement menottée, elle se laisse guider à l’aveugle dans les escaliers où elle butte sur les marches inégales. Arrivée dans la pièce des horreurs, Lucie est étendue sur le dos à même une solide planche de bois posée à 80 centimètres du sol sur des barreaux d’acier. Une chaîne autour de son buste vient compléter le dispositif pour l’entraver et lui ôter toute possibilité de fuite.

La planche et Lucie sont ensuite poussés à travers un trou fait dans un premier mur de placoplâtre insonorisé par de très épaisses couches d’isolants pour étouffer ses cris, précaution supplémentaire car de l’autre côté, la musique doit en principe couvrir les plaintes et hurlements. Alex sort de la pièce pour faire le tour et entrer dans son club avant de se diriger vers le mur de baise situé dans un box près des toilettes. C’est bien pense t’il la petite n’a pas bougé.

Il se saisit des pieds de l’étudiante et la tire fortement d’un seul coup à travers le mur de brique. Habitué aux gestes de défense il plaque aussitôt une jambe contre le mur avec son épaule pendant qu’il entrave la jambe droite avec des bracelets qu’il cadenasse. Ces bracelets sont doublés avec de la fourrure pour faire croire à ses clients qu’il prend soin des filles. L’autre jambe subit le même sort. A ce stade, il ne lui reste plus qu’à découper le fin rempart de tissu protégeant l’intimité de l’étudiante et à pousser sa jupe derrière la cloison.

Les clients ne verront de Lucie que ses jambes attachées en V contre le mur et son intimité offerte. L’imagination perverse d’Alex lui a permis de concevoir une sorte de glory hole où ce n’est pas le sexe de l’homme qui entre dans le trou, mais seulement l’intimité de la fille qui dépasse. Au dessus de son horrible dispositif il est écrit en gros :

Cette salope ne vous a fait aucun mal, merci de ne pas la blesser.
Le préservatif est obligatoire
Merci de jeter vos préservatifs dans la poubelle prévue à cet effet.

Alex revient dans la salle des horreurs pour finir de combler le trou du mur afin qu’un client trop curieux ne puisse apercevoir les entraves. Lucie pleure à chaudes larmes, supplie mais en vain, il n’a que faire de ses suppliques. Une fois son travail d’isolation achevé, il sort de la pièce et coupe la lumière.

21h le club ouvre ses portes, le videur monte la garde devant la porte, rappelant aux clients de par sa présence qu’en ces lieux le respect est obligatoire comme indiqué sur la porte. L’entrée de son club est à 40 euros avec une consommation. Les premiers clients entrent et viennent chercher leur conso avant de s’étaler sur les banquettes face à la scène où une fille viendra dans un moment s’exhiber à la barre. Un des habitués ne tard pas à se rentre aux toilettes puis à bifurquer vers le box maudis. Il palpe les merveilles avec douceur, comme pour faire connaissance avant d’ouvrir sa braguette pour en sortir son sexe bandé et de passer un préservatif.

Lucie hurle, la musique assourdissante et son bâillon couvre ses cris. Ses vaines tentatives de fuite sous les mains odieuses ne servent à rien, ses jambes ne bougent pas de plus d’un demi centimètre. Des doigts parcoururent la toison d'or et s’incrustent dans ses chairs intimes arrachant à Lucie des plaintes et des larmes de désespoir. Constatant qu’elle est sèche, le client prend du lubrifiant au distributeur à savon devenu distributeur de lubrifiant qui est vissé au mur.

Il joue d’une main avec sa fourrure intime pendant que l’autre lubrifie ses lèvres et sa chatte on ne peut plus offerte. La malheureuse serre les cuisses par réflexe pour se soustraire à ces attouchements mais en vain.

Elle sent une verge s'ajuster sur sa vulve à la recherche de l’entrée de son nid d’amour. Le gland l’ouvre, l’écarte et la remplit soudain sans plus de précaution. Lucie ne peut retenir un cri de douleur inaudible sous l'assaut du bélier de chair dure et brûlante. Sous l’effet de la saillie sauvage elle hurle silencieusement sa rage et son désespoir. Lucie sait maintenant qu’elle est moins qu’une fille à plaisir, elle est devenue un simple objet à satisfaire les hommes. Ses frêles jambes écartées lutent encore mais en vain.

Un autre homme ne tarde pas à arriver, il ajusta son sexe face à la vulve offerte puis la pénètre sans autre formalité. Lucie subit les assauts et coups de butoir depuis plus d'une demi heure quand elle prend conscience que rien ne lui sera épargné. Un nouveau contact la fait frémir des pieds à la tête. Un doigt touche son anus et la pénètre à sec générant d’horribles douleurs. L’homme met un peu de lubrifiant, pose son Priape au centre de l'orifice étroit et se met à forcer cette petite ouverture encore vierge. Le rectum s’élargit à outrance arrachant à sa propriétaire de hurlement de douleur. D’une seule poussée il s’enfonce dans l’anus vierge et contracté. Lucie pousse un cri de bête forcée en se débattant inutilement dans ses entraves sans pouvoir se dérober à l’intrusion de la bite féroce.

Complètement rompue par le désespoir elle se laisse tout entière aller au rythme du ballottement ignoble des hommes venant se servir du réceptacle humain. L’intimité vulnérable de Lucie haletante est en feu. Ses poignets agités de vaines contractions, rythment le martèlement quasi continuel jusqu’à une heure du matin, un horaire imposé par la préfecture.

Après avoir fait sa caisse et fermé le club, Alex libère Lucie qui est quasiment inconsciente. Esclaves sans âme ni raison elle le laisse nettoyer et soigner ses orifices en feu et reconduire à la cave sans aucune réfutation, elle n’en a plus la force.

………………..

Le club est sous la surveillance de la police depuis quelques temps car il y a toujours quelqu’un pour parler. Alex a répondu au policier en civil venu comme un client et qui n’a fait que mimer une pénétration, que les filles sont soit des salopes en manque de baise hard soit des soumises sexuelles mise en pâture par des Maîtres par plaisir ou en guise de punition. Au quartier général de la PJ, même si l’on sait que cela existe dans le monde libertins et BDSM, qu’Alex ait autant de contact génère des questions tout comme le fait qu’on ne voit pas sortir les filles après la fermeture hormis la danseuse. Un rapprochement est fait entre les enlèvements et ce que racontent les filles totalement désorientées ou devenues folles que l’on découvre ces derniers temps dans les départements voisins.

Le procureur et le préfet alertés dans la nuit donnent l’ordre d’investir les lieux. Le GIGN investit simultanément le club et le domicile d’Alex à 6h01. Alex tiré de son sommeil par l’alarme infrarouge de sa propriété se barricade et tire sur les policiers. Prévenu par radio que le résultat de l’intervention est tristement positif, le préfet donne carte blanche au GIGN. Deux minutes plus tard, par chance ou malchance pour Alex, la balle à destination de son cerveau se dévie en traversant le triple vitrage et lui arrache la moitié de la main droite. Il est donc interpellé et transporté sous bonne garde au centre hôtelier.

Un mois plus tard, Alex est incarcéré à la maison d’arrêt de Fresnes en attendant son procès. Le père de Lucie étant gardien de prison dans une autre maison d’arrêt de la région parisienne, la solidarité fonctionne pour rendre la vie d’Alex particulièrement odieuse. Les détenus sont parfois de véritables sauvages mais lorsqu’ils apprennent qu’un pédophile et violeur d’enfants et dans les murs, la vie du détenu accusé de ces horreurs est un véritable calvaire et ne tient qu’à un fil. Ales nie, c’est faux, elles étaient toutes majeures mais on ne le croit pas. Il ne connaîtra pas la honte du jugement il a été retrouvé mort une semaine plus tard avec son propre sexe dans sa bouche.

Ecrivaillon

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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