Dimanche 27 octobre 7 27 /10 /Oct 05:06

MON MAITRE

Auteur Ecrivaillon

Mike est un motard âgé de 40 ans. Sa corpulence correspond bien à son métier de docker même si aujourd'hui tout est mécanisé. Avec son mètre quatre-vingt-dix et sa carrure d'athlète quand il descend de sa moto et retire son casque, le regard des filles est assez éloquent sur ce qu'elles ressentent mais leur chance d'entrer dans son lit sont minimes car il préfère les hommes depuis des années.

Je l'ai rencontré sur un site de rencontres  où je me suis inscrit à la partie gratuite qui m'a tellement convaincu (et excité) que j'ai pris un abonnement à leur site de rencontres qui fonctionne bien et qui permet, chose rare, de mixer les passions et fétichismes.

Le pied ! Nous avons joué bondage, domination, soumission. J'étais tellement en confiance que j'ai ensuite passé un week-end chez lui sous le prétexte d'un « stage d'éducation SM ».

Depuis ce fameux week-end où j'ai un peu souffert, je ne suis plus le même et j'appartiens corps et âme à ce docker et Maître alors que je n'étais que bisexuel et non pas gay. Mes attirances ont toujours été claires, vivre avec un homme ne m'avait jamais effleuré même s'il m'est arrivé lors de soirée de prendre du plaisir avec des soumis ou des Maîtres dans le cadre de jeux sexuels et SM. Sa fermeté, sa force tant physique que de caractère en font un gros dominant naturel, sa gentillesse et son savoir vivre en font un Maître de qualité.

Sa vision de la vie de couple est soit un esclave dévoué et je te rendrai heureux mais ne te loupe pas parce que je te le ferai regretter ou te jetterais au sens propre du terme. OUF !

Au départ, j'ai conservé mon appartement même si je passais tout mon temps libre chez lui mais lorsque l'entreprise pour laquelle je travaillais a déposé le bilan il m'a proposé de venir vivre chez lui et de devenir sa chose à temps complet. Sa compagnie étant extrêmement agréable au quotidien, les sorties en moto et vacances en sa compagnie grisantes et les soirées coquines sublimes j'ai accepté sa proposition et là, ma vie a totalement changé. Je suis réellement passé d'ami joueur soumis à esclave au sens propre du terme même s'il y a des moments difficiles.

Je suis sous cage de chasteté en permanence, il ne me libère que rarement mais cela ne m'empêche pas d'avoir une vie sexuelle très riche. La nature ayant été généreuse avec lui, quand il me fait l'amour j'atteins des sommets inimaginables entre ses bras bien que j'aime moins ses exigences matinales. Tous les matins, je dois le réveiller en lui apportant son café et passer sous les draps pour apaiser « la pressions » comme il dit. Au départ se fut dur car si lors des soirées j'ai appris à le boire, le matin au réveil ce fut extrêmement difficile. Pour me contraindre à abdiquer, il m'a mis sous camisole de force et en couche toutes les nuits pour que je n'utilise pas le prétexte des envies naturelles et tous les matins il m'a carrément violé la bouche. Déjà que mes bras ne font que la moitié des siens, sous camisole de force, essayer de lui échapper aurait été une ineptie.

Ce week-end prolongé où il a décidé de m'apprendre à boire sur commande fut hard, mon estomac s'est rebellé une fois et a restitué mon repas mais je n'ai pas été puni. J'ai eu le choix d'accepter ma « formation » ou de la refuser mais en l'acceptant je savais par avance que même en le suppliant je n'aurai pas d'autre choix que de faire ce qu'il voulait. La discussion devenait tendue, mes envies de progresser et de lui faire plaisir se heurtaient à la résistance de mon corps, quand il m'a tendu les menottes en me disant « attache-toi » en signe d'acceptation, je me suis menotté mains dans le dos comme on se jette à la mer quand le bateau coule. Le vendredi soir, il a organisé une soirée pour moi et a invité deux amis.

Pour me préparer psychologiquement à boire, ils m'ont entravé solidement couché sur une table, ma tête d'un côté mes fesses de l'autre, je n'en menais pas large. Après une semaine de cage de chasteté mes fesses devenaient très gourmandes car source de plaisir de fait, le premier que j'ai bu je m'en suis à peine rendu compte parce que son ami me prenait sauvagement en même temps qu'il déversait sa semence dans une bouche agitée. Le deuxième fut mon Maître pendant que le troisième larron me pilonnait en claquant mes fesses. L'ayant déjà bu et étant dans les sphères de mon masochisme cela ne m'a pas posé trop de problème mais pour le troisième se fut bien plus difficile car je devais être volontaire. Pour forcer un peu ma volonté à pomper un mec qui attendait mains sur les hanches que « j'officie » mon Maître me cravachait sévèrement dès que je ralentissais. J'ai éprouvé beaucoup de difficultés à être volontaire car « violé » on ne peut résister, là il attendait que j'aille le chercher en agitant ma tête. Pour que je savoure bien, en guise de « diplôme » ils m'ont posé un bâillon et un gros plug puis m'ont laissé mariner sur la table pendant qu'ils se vidaient une bouteille de champagne à ma santé. Mike a tenu à me préparer pour la nuit devant les invités en bloquant le plug par un sévère shibari puis en me mettant en couche avant de me passer la camisole de force.

J'étais mort de honte et épuisé quand ils m'ont couché en se moquant du gros bébé. Je me suis rapidement endormi même si je savais ce qui m'attendais le lendemain, Ma nuit fut peuplée de songes érotiques et de cauchemars. Au petit matin mes fesses poussaient le plug en vain, les articulations de mes épaules se révoltaient, cela devenait abominable. Même si j'avais peu d'espoir, j'ai essayé d'échapper à la « bonne pipe du matin ». Mes tentatives de négociation avec Mike eurent autant d'effet que si j'avais négocié avec une statue de marbre. Il a été gentil parce que dans la dernière ligne droite sous les draps, ses mains m'ont forcée ce qui m'a permis d'entrer un peu dans un délire de viol et contrainte.

Ce qui m'a surpris le plus ensuite c'est qu'au lieu de me libérer il s'est totalement occupé de moi de A à Z sans me retirer la camisole de force dont il a juste délié les bras pour soulager mes épaules. Le retrait du plug était à hauts risques mais il n'en avait que faire. Je lui ai indiqué que cela me gênait mais il m'a répondu qu'assumer son rôle de Maître qui prend soin de son esclave était sa vision des choses. On ne discute pas SA vision des choses même si pour certaines choses pourtant naturelles on préfère être seul....

Après m'avoir lavé et fait un lavement, il m'a ensuite entravé dans son donjon sur un pilori pendant qu'il faisait le ménage à ma place..... Vers onze heures il est venu mettre des poids à mes testicules et des pinces lestées à mes seins. Vers midi, il m'a offert son « apéro » naturel et 100% bio à prendre avec passion si je voulais qu'il retire tous les poids posés sur mon corps. Comme je m'appliquais pour ne plus souffrir son Priape afficha une forme resplendissante, ce qui provoqua en lui des envies. Mes fesses en firent les frais, les poids s'agitèrent pendant mon « viol » et quand il se retira de mes reins pour venir plonger dans ma bouche j'ai fermé les yeux de peur. Sa verge n'avait par chance aucun goût malgré sa longue visite de l'autre côté de mon tube digestif ce qui m'a permis de comprendre pourquoi il m'avait fait un lavement. Je n'aurai jamais imaginé être capable de faire cinq fellations jusqu'au bout en à peine plus de douze heures.

En guise de récompense, après le repas il m'offrit une ballade en moto mais ne me retira pas ma cage de chasteté. La cage et les vibrations de la moto générèrent des envies d'uriner fréquentes ce qui me valut de me faire traiter de gonzesse et une grosse fessée sur le bord de la route puis la promesse de port de couche à chaque sortie. Une moto en panne sur le bord de la route me permis d'esquiver une séquence fellation au cinéma le soir (merci à la solidarité des motards) et un repas chez le couple hétéro non joueurs. A peine arrivé à la maison, les hostilités reprirent par une séquence SM pendant laquelle j'ai un peu dégusté pour lui avoir cassé les pieds avec mes pipis de gonzesse. Ce jour là, il a eu l'idée de me féminiser et m'a commandé des fringues sur ebay pendant que sous le bureau j'officiais en bon esclave. Le coucher se fit à nouveau pour moi sous camisole de force et couche et le matin fut aussi « délicat ».

Le dimanche il y a des puces à Marseille, nous y sommes allés en moto mais cette fois, il m'imposa le port de la couche. J'avais l'impression que tout le monde me regardait et quand il acheta ma première chemise de nuit pour un euros, si j'avais pu me fondre dans le goudron du parking, je l'aurai fait car les gens qui vendaient toutes les merdes du grenier de la grand-mère ont compris. Ce jour là, j'ai vraiment détesté mon Maître et je le lui ai dit. Il était enchanté de l'apprendre et cela m'a valu des promesses de formations..... Après le repas, quand il m'a ordonné de préparer nos maillots et des serviettes puis de retirer ma couche j'étais blême car la cage se voit sous un maillot. Nous avons pris la route vers une destination inconnue qui me terrifiait car elle ne pouvait être pour moi qu'une épreuve supplémentaire. Au départ il n'a pas été trop méchant avec moi-même s'il m'a été difficile de me baigner sur la plage de Port Saint Louis avec ma cage de chasteté à peine masquée par mon maillot. Nous sommes ensuite partis dans les dunes du fond de la plage près du Rhône et là, sous les regards amusés des voyeurs j'ai du intégralement nu avec ma cage de chasteté bien visible lui faire une fellation. Si le mordre avait été sans conséquence, je l'aurai mordu au sang.

J'ai compris en arrivant à Marseille que nous n'allions pas à la maison. Il a pris la direction de la Rose ce qui m'inquiéta car quand Mike a une idée quelque part, il ne l'a pas ailleurs et comme ma « formation » n'était pas terminée....

C'est avec sa prudence habituelle qu'il s'engagea dans l'allée d'une superbe villa retirée à Plan-de-Cuques. A peine arrêté et casques posés, il me posa mon collier et me fit entrer dans un garage m'ordonna de me mettre nu puis m'attacha debout par le cou à une chaine pendue au plafond. Nous ne pouvions qu'être chez des adeptes du SM car les accessoires posés sur un gros congélateur étaient sans équivoque possible. Deux minutes plus tard sans que nous ayons vu quelqu'un, il me plantait là après m'avoir menotté mains dans le dos et m'avoir aveuglé avec une cagoule s'arrêtant juste sous le nez. L'attente fut aussi longue que cruelle pour mes neurones. Je fus tiré de mes pensées par des coups de martinets et de cravaches, il en pleuvait de partout, sur mes fesses, mon buste, mes cuisses, mon dos hormis encaisser et essayer de garder l'équilibre je ne pouvais rien faire. A ce moment là, je n'avais aucune idée de combien ils étaient et si je n'avais pas une confiance absolu en Mike, j'aurais vraiment eu très peur. La séquence dura un moment, mon corps était en feu, ma cage de chasteté ballotait dans tous les sens.

- Une salope bien battue suce mieux quand elle a pris une bonne raclée ! Me dit le mec qui me fit boire un whisky coca ultra tassé. J'espère que tu vas t'appliquer parce qu'ici on ne plaisante pas. Suis-je clair ?

- Oui monsieur.

- On répond oui Maître.

- Non monsieur, je n'ai qu'un Maître, c'est Mike.

- Mais c'est qu'elle a du caractère la petite salope. Humm, on va s'éclater. Me répondit le mec en me collant une grande claque sur les fesses qui me fit faire un bon en avant.

Ils entreprirent de me libérer pour remplacer aussitôt mon collier par un autre avec une chaine et des menottes intégrées dans le dos où ils fixèrent mes poignets rendant mes fesses sans défense. Toujours à l'aveugle ils me firent marcher à l'extérieur, l'air frais me fit du bien mais j'avais peur. Cette peur grandit soudain lorsqu'ils me firent descendre dans une piscine où ils m'attachèrent par le cou à l'échelle. J'avais pieds mais je n'étais pas rassuré. Un mec vient s'asseoir et attira ma tête entre ses jambes vous avez compris pourquoi. La fellation ne sembla pas à son gout, il me repoussa puis plongea ma tête sous l'eau ! La peur me vrilla le ventre car le jeu prenait une tournure qui ne me plaisait pas. Dès que j'eus la tête hors de l'eau j'ai appelé Mike et on me répondit qu'il m'avait laissé en stage pour la nuit ce qui me glaça le sang. Quand le mec m'attira à nouveau entre ses jambes, je mis toute mon énergie à faire ce qu'il attendait de moi quand un autre plongea dans la piscine et vint se lover contre mon dos.

Son sexe bandait même dans l'eau presque froide, ce n'est pas à mes fesses qu'il en voulait mais à mes tétons qu'il entreprit de martyriser comme une brute. J'avais beau me « défouler de la tête et de la langue » l'homme ne venait pas, j'étais fou de rage et de douleur sous les pinces digitales de plus en plus féroces. A force de volonté je suis parvenu à faire craquer l'homme que je suçais comme un fou, sa semence généreuse accompagna les soubresauts de sa verge qu'il enfonça profondément au point de me provoquer à en vomir. Un autre pris sa place, plongea ma tête dans l'eau puis se fit sucer pendant que les autres s'amusaient dans la piscine. Au troisième j'ai dit avoir froid, il m'indiqua que j'aurai le droit de sortir quand j'aurai terminé. C'est donc sans aucun plaisir que j'ai « officié » longuement jusqu'à la conclusion. Ces peaux de vache m'ont sorti mais séché à coup de serviette me faisant regretter d'avoir dit que j'avais froid. J'ai du ensuite m'agenouiller sur une serviette et en sucer un autre mais celui-là, fut un plaisir parce que c'était mon maître d'Amour.

Je ne garde pas un bon souvenir de ce « module de formation » parce que j'ai souvent eu peur au sens propre du terme mais je sais maintenant que quoi qu'il arrive Mike veille sur moi comme il me l'a toujours promis. Je n'ai jamais vu les gens chez qui nous étions, car ils ont pris les mêmes précautions qu'à l'arrivé.

Le soi-même, mon grand gourmand de Maître m'a demandé de lui faire l'amour avec passion et c'est avec passion et tendresse que j'ai mangé chaque parcelle de son corps. Entre mes mains et sous ma langue sa verge vibrait de plaisir mais à mon tour je jouais avec lui en retardant la conclusion le plus possible ce qui m'a valu un qualificatif commençant par un S. Au petit matin, sans aucune contrainte ni accessoire hormis ma cage de chasteté je suis passé sous les draps après lui avoir apporté son café du matin.

La fin de la formation fut gratifiante à la façon de Mike qui outre la cage de chasteté me fit mettre une couche et un pantalon dont il remplaça la ceinture par une chaine et un cadenas pour m'empêcher d'avoir du plaisir en jouant avec mes plugs. La journée fut longue avec une seule couche qui eut des fuites qu'il aperçût dès son arrivée. Comme à son habitude il assuma sans broncher ni gêne ma toilette et me libéra de ma cage le temps de me laver. Ma gratification promise mais inconnue prit la forme d'un gros câlin fait avec beaucoup de douceur et de tendresse. Il retira le cadenas de la cage de chasteté et me fit à son tour une fellation qui me rendit FOU. Mike ne se retira pas quand ma verge tendue à rompre se mit à exploser. Ce fut comme Hiroshima, mon corps était pris de convulsions j'ai cru l'ombre d'un instant que j'allais mourir d'une crise cardiaque.

Ca c'est un Maître ! ! !

Ecrivaillon

 

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Vendredi 25 octobre 5 25 /10 /Oct 08:12

Jeux de viol et gang bang forcé

 


Auteur: Ecrivaillon

J’ai vu un film jeux de viol sur Fessestivites, comme il ne s’agissait pas d’un vrai viol, mes neurones se sont enflammés à la vue de cette superbe fille se débattant pour échapper à son viol par des hommes très décidés. Leur complicité se voyait, voilà pourquoi j’ai aimé ce film même si c’était chaud chaud. J’en ai parlé à mon mari qui est un ancien libertin et ne m’a pas loupée quand je lui ai dit que je m’imaginais être à la place de la fille.

- Quand je te parle de libertinage, tu m’envoies balader mais quand tu rêves de jouer le viol en groupe, ce n’est plus du libertinage.

Je lui ai répondu que ce n’était pas la même chose mais ses arguments concernant ce film m’ont ennuyés. Et là, il m’a surprise car jamais nous n’avions fait ça. Il s’est levé pour aller chercher la ceinture d’un peignoir. Quand il s’est approché de moi en me disant « donne tes mains, je vais te violer » je suis restée sans voix. La tête baissée je ne savais plus quoi dire, alors il m’a attrapée par les cheveux pour me jeter sur le ventre dans le canapé. En un rien de temps j’avais les mains attachées dans le dos, il faut dire que je n’ai pas trop résisté. Mon string n’a pas résisté deux secondes à ses gros bras musclés. Quand il a commencé à me tripoter comme un sauvage, j’ai eu droit à des commentaires très élogieux du type « tu mouilles comme une salope » et le pire c’est que c’était vrai.

Ce soir là il m’a fait la totale, il était déchaîné, ses gestes brusques mais pas violents, m’ont transportée vers des sommets que je n’aurai jamais imaginés. Je l’ai même sucé sans gêne après qu’il m’ait sodomisée, c’est dire….. Après ce pseudo viol nous avons échangé quelques mots pendant lesquels il est revenu sur le libertinage et son envie de m’emmener un soir dans un club libertin.

Deux jours plus tard, il m’a bandé les yeux avant de m’attacher sur le lit bras et jambes écartées. Pendant la soirée il est venu plusieurs fois me tripoter puis me prendre en jouant le rôle du proxénète qui a mis une de ses prostituées à l’abatage. Il introduisait les clients dans la chambre, parlait de moi puis jouait ensuite le rôle des clients venus se servir de la marchandise humaine. A chaque fois il s’arrangeait pour me laisser sur ma faim et me laissait plantée là, toute pantelante la tête pleine d’envie, de fantasmes, de sensations. Des commentaires graveleux accompagnaient mes pseudos viols, au plus je tirais sur les liens au plus s’était bon, au plus je m’envolais, c’est comme si ces liens me libéraient. C’était torride, j’ai adoré être sans défense ainsi offerte à ses hommes imaginaires si bien que lorsqu’il ma prise la dernière fois et s’est abandonné en moi, j’ai connu la plus puissante des jouissance de ma vie. Même quand il s’est retiré, mon corps tout entier était encore agité de convulsions.

Mon mari est revenu à la charge avec son libertinage en me forçant à avouer que j’avais de sérieuses inclinaisons pour l’amour sauvage et des rapports sexuels sans amour avec plusieurs hommes. Il a insisté sur le « sans amour » pour me faire reconnaître que ma réponse : « je ne peux baiser avec des inconnus » n’était pas la vraie raison de mon refus de faire du libertinage. De fils en aiguilles, j’ai reconnu qu’il avait raison et qu’en fait, c’est une part de jalousie et de pudeur qui me freinaient. Quand il m’a proposé d’organiser pour moi un pseudo viol avec ses amis libertins, je n’ai pas dit « non » et quand je lui ai dit « si je dis stop vous arrêterez » sa réponse a été claire :

- Non, tu n’auras que deux choix possibles, accepter la soirée ou la refuser. Si tu dis oui après il sera trop tard. Je te présenterai tes violeurs, ce sont des gens charmants ultra respectueux dans la vie mais qui adorent ce genre de plan tout comme le BDSM.

Une semaine plus tard, nous sommes sortis pour aller chez un de ses amis libertins. Sa maison fait rêver, c’est une magnifique maison d’architecte. Il n’était pas seul chez lui, d’autres amis à lui étaient là, des gens charmants, souriants, gentils avec qui discuter était un plaisir. La conversation a rapidement dérivée sur le libertinage mais avec des mots choisis, sans vulgarité et relativement respectueux envers les femmes ce qui m’a permis d’être assez à l’aise. Quand mon mari m’a demandé si je me sentais en danger en leur compagnie je ne pouvais que répondre « non » et c’est là qu’il m’a appris qu’ils allaient être mes violeurs.

Guy, le propriétaire de cette magnifique maison m’a expliqué qu’il dispose d’une pièce secrète dans laquelle des choses aussi inavouables que sadiques se déroulent parfois, en ajoutant que celles qui s’y sont aventurées y reviennent avec plaisir. Quand il m’a proposée de la voir j’ai accepté avec une petite boule sur l’estomac. Cette pièce aux murs de béton brut est très épurée, un gros carré de moquette au milieu, une espèce de table avec des anneaux et un petit placard représentent le seul mobilier. Il s’y dégageait une ambiance bizarre bien différente de la maison, bizarre mais en même temps très érotique.

- C’est dans cette pièce que nous violons des femmes, elle crient parfois au début mais jouissent beaucoup après, c’est ce qui fait le charme de ce type de jeux sexuels. Avec nous tu ne risques rien, hormis avoir peur au début avant de monter au septième ciel. Comme tu peux le constater, ici on ne force personne, tu peux sortir librement, aucun mal ne te seras fait, par contre, si tu acceptes de jouer, nos attitudes seront différentes mais sans aucune violence rassure-toi.

Mon mari nous a rejoint avec ses amis, nous avons achevé une bouteille de champagne dans cette pièce où j’allais me jeter dans les griffes du loup. Les hommes me souriaient mais restaient à distance comme pour me faire voir qu’ils n’allaient pas me manger. Quand mon époux m’a enlacée dans ses bras en me disant de m’abandonner et de m’éclater j’ai pris la folle décision de le faire. J’avais à la fois peur et j’étais terriblement excitée. Il a pris la flutte de champagne de ma main en me disant de lutter mais sans violence, d’essayer de m’échapper, de leur résister puis il est sorti de la pièce. Guy m’a alors regardée dans les yeux en me rappelant que ce n’était qu’un jeu, un jeu fou mais si jouissif qu’il me faudrait au moins deux jours pour me remettre de toutes mes jouissances. Comme s’ils étaient habitués à ce genre de jeux, ils se sont écartés pour me laisser sortir et qui m’a dit avec un grand sourire charmeur :

- Soit tu sors immédiatement de la pièce et la soirée et finie, soit tu restes mais si tu restes ….. Ne parle pas, ou tu sors ou tu restes.

La sortie me tendait les bras ! Je n’avais que quelques pas à faire pour quitter les lieux et en grande folle je ne suis pas sortie. D’un regard Guy leur a fait signe qu’ils pouvaient. L’un d’eux ma dit d’essayer de leur échapper, pendant un instant c’est devenu comme un jeu d’enfant, le plus fou c’est que je m’éclatais comme une grande ado. Le cercle c’est refermé, leurs mains sont devenues plus précises, fermes mais sans me faire mal. S’ils avaient voulu m’attraper et me plaquer au sol, cela aurait été d’une grande facilité pour eux mais ils jouaient le jeu des sadiques qui jouent avec leur proie. Attrapée à bras le corps j’ai été soulevée et couchée sur le sol, ils s’amusaient à me toucher, ils se sont attaqués à ma culotte et sont arrivés à me la retirer malgré mes tentatives pour les en empêcher. Après un moment de lutte acharnée je me suis retrouvée nue et les choses n’ont pas tardées.

Leurs mains sur moi n’avaient rien de violent ou de méchant, par contre, comme ils me maintenaient avec fermeté, je ne pouvais y échapper. Quand ils m’ont mise de force à quatre pattes et que l’un d’eaux s’est mis derrière-moi j’ai vraiment pris conscience que j’allais y passer, que j’allais vivre les choses folles peuplant mes rêves coquins les plus fous. Au moment ou le sexe de Guy a touché le mien pour y trouver la faille, j’ai voulu fuir, j’ai pris réellement peur mais je n’ai pu y échapper. Ses mouvements en moi, m’ont perturbée tout autant que de voir les autres hommes se dévêtir. Maintenue par les cheveux, ma tête fut dirigée vers un sexe bandé, j’ai fait ce que son propriétaire attendait de moi pendant qu’un troisième me malaxait ou plutôt, me pétrissait les seins.

En un rien de temps, je suis devenue chienne, le sexe me labourant m’a rendu chienne sous les yeux de mon mari venu participer lui aussi à le curée. Ils m’ont prise mainte et mainte fois en me tournant, dans tous les sens en me soulevant, en maintenant mes jambes écartées. Entre leurs mains j’ai compris le sens réel d’être un « pantin de chair ». Mon corps et ma bouche leur appartenaient, ils en faisaient ce qu’ils voulaient, je ne pouvais plus y échapper. Je commençais réellement à perdre pied, je suçais les verges tendues comme un échappatoire aux très fortes sensations de mon intimité chahutée.

Soudain, ils m’ont soulevée pour me porter jusqu’à la table où ils m’ont entravée sur le dos jambes écartées. Ainsi attachée, je ne pouvais leur être plus offerte et c’est là que mon mari est entré dans le jeu. Après deux mouvements en moi il s’est attaqué à ma petite rose peureusement contractée pendant qu’un autre chahutait mon clitoris comme un malade. Pourquoi je ne saurai le dire, mais être sodomisée devant tout le monde m’a énormément gênée. Cette gêne n’a pas durée car entre leurs mains, la pudeur s’envole.

Les sensations énormes m’ont faite chavirer dans un univers où toutes mes neurones se sont centrés sur mon corps pour essayer de suivre les dites sensations. Pour être crue, les seins pincés, tripotés, une bite dans chaque main et une dans la bouche pendant qu’une autre vous défonce l’anus devenant gourmant, vous perdez la tête. Vous aimeriez à la fois que les choses se calment et en même temps vous avez envie de plus, c’est inexplicable et indescriptible.

Prise de partout par tous les hommes, je devenais vraiment folle et j’ai atteint des sommets de jouissances inconnues surtout quand en même temps ils ont posé sur mon clitoris un truc magique ressemblant à un micro. Quand ils m’ont détachée, j’ai cru que c’était fini mais non, ils en voulaient encore ou plutôt, ils avaient décidé de me faire vivre la double pénétration. L’un d’eux s’est étendu sur le sol, on pas plus portée que guidée sur son sexe pour m’y empaler. Quand une verge s’est posée sur mon anus j’ai cru que j’allais avoir mal, il n’en fut rien mais il faut dire qu’avec ce qu’il avait pris avant il ne pouvait qu’être accueillant. La double pénétration maintenant je sais, c’est terrible, frustrant quand l’un des deux s’arrête et extrêmement fort quand ils arrivent à s’accorder.

Ils m’ont achevée ! Ils voulaient m’achever et y sont parvenus. A tour de rôle ils m’ont ensuite prise comme des forcenés, leur seul but : me faire rendre l’âme. J’ai rendue l’âme, j’ai crié, jouis à n’en plus pouvoir, je n’en voulais plus, j’avais ma dose mais en même temps quand un autre prenait la place devant ou derrière je redevenais chienne. A la fin, ils se sont tous libérés sur moi, je n’étais plus qu’une loque humaine recouverte de sperme et le pire c’est que là aussi j’y ai pris plaisir alors que jusqu’à présent, ce truc ne m’avait jamais excitée. Bien au contraire les images de ce type que l’on voit sur le net me dégoûtaient.

Le jeu terminé, ils m’ont lavée avec des lingette et couverte avec un peignoir avant de m’offrir une flute de champagne. Leurs sourires complices, leur attitude à nouveau dès plus respectueuse m’ont accompagnée dans mon retour sur terre, celles qui ont vécu des gangs bangs doivent comprendre le sens de mes mots. Guy m’a accompagnée à sa salle de bain pour que je puisse me doucher. Mon mari m’y a rejointe pour m’apporter mes vêtements et m’aider à me sécher entre deux énormes bisous d’amour.

Je ne sais pas si je recommencerai car c’est vraiment très chaud mais je ne regrette pas de l’avoir vécu. Mon mari m’attache de plus en plus souvent pour faire l’amour et sait maintenant que je prends plaisir à être réellement sa soumise sexuelle, son jouet, sa chienne.

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Vendredi 25 octobre 5 25 /10 /Oct 06:49

Garçon manqué devient Maîtresse phallique

 

Pendant toute ma jeunesse j’ai été jalouse de mes frères, pendant qu’ils jouaient, j’ai du participer à la vie de famille ou réaliser des taches ménagères puis, pendant mon adolescence, j’ai du faire la nounou au lieu d’aller m’amuser comme mes copines. Mon premier amant fut lamentable, autant dire que pour lui j’étais une « décharge » car il s’occupait de son plaisir et jamais du mien ce qui ne m’a pas beaucoup motivée pour les câlins. Bien qu’il me l’ait faite connaître une fois la jouissance, mon fiancé était un fainéant de première, c’est moi qui montais les meuble casto ou autre que nous achetions parce qu’il disait que cela lui « prenait la tête » quand il ne les cassait pas en hurlant. Ce mec royal s’est barré avec ma meilleure amie…..

De mon enfance à l’âge adulte, j’ai donc développé des regrets de ne pas être un homme et de ne pas avoir une verge à la place d’un vagin puisque les hommes avaient à mes yeux d’énormes avantages et beaucoup de plaisir.

La révélation !

Bien que déçue des rapports humains, j’avais tout de même des envies et donc des plaisirs solitaires en visionnant sur fessestivites des photos pornos. Le jour où j’ai découvert la photo d’une femme harnachée d’un gode ceinture en train de sodomiser son amant, ce fut une véritable révélation pour moi. Mes phalanges sont devenues folles….

Je me suis donc décidée à prendre un abonnement sur ce site de rencontre que j’aime bien ce qui m’a permis d’accéder aux annonces et aux chats. Pour m’amuser je me suis fait un profil de Maîtresse, dès le premier soir, j’avais trente messages dont certains totalement débiles. Certains contacts étant à des centaines de kilomètres de chez moi, après avoir fait un premier tri par département, j’ai entrepris de répondre. Sentir les hommes prêt à ramper à mes pieds m’a beaucoup excitée, ma première nuit fut très courte tant je m’amusais sur le site. Je suis même parvenue le premier soir à obliger un mec à se branler pour moi en webcam et à lécher son sperme.

Un des soumis me parut sympathique, je me suis donc ouverte à lui en lui expliquant que je débutais et que je n’avais pas de matériel. Il me parlait de ses fantasmes, je lui en ai confié quelques uns des miens en tant que Maîtresse. Soumis35 m’a proposé de m’offrir un gode-ceinture pour que je m’en serve sur lui et cette proposition m’a donnée des idées. Lors de la première rencontre, j’étais plus gênée que lui surtout quand j’ai du mettre le gode-ceinture à ma taille. Ce soumis a été adorable et ne s’est pas moqué de moi, au contraire, il me guidait.

C’est donc avec lui que j’ai fait mes premiers pas en Maîtresse, que j’ai appris plein de choses. Mon équipement de Maîtresse grandissait de semaine en semaine et une certaine complicité voyait le jour mais lorsque sa femme a découvert le pot aux roses, notre relation a immédiatement pris fin. Bien que déçue car je l’aimais bien, je me suis remis en chasse et là un espèce de « choumis » aussi narquois que macho m’a permis de me découvrir un côté sadique. J’ai pris un pied pas possible à lui tanner le cul à la cravache. Autant dire qu’il n’est pas revenu.

De fils en aiguilles, j’ai appris à me faire offrir des choses en échange de mes prestations en donnant les liens des vêtements ou accessoires qui me plaisaient. Je tenais à ce qu’ils me les emmènent et non pas à ce qu’ils me donnent de l’argent. Vous me direz que c’est du pareil au même mais pour moi c’est différent. J’accepte les cadeaux pas l’argent, l’argent cela fait professionnelle, le cadeau cela fait profiteuse, l’image n’est pas du tout la même nous en conviendrons. Par contre, je leur offre quelque chose d’intime en échange de leur cadeau. Quand ils s’en vont, je retire la culotte que je porte pour la leur offrir, quand je ne m’en sers pas avant comme bâillon ou pour les humilier.

Chastesoum a su retenir mon attention, célibataire et bricoleur doté d’un certain humour, voilà un bon parti me suis-je dit lorsque j’ai accepté de le recevoir. Comme cadeau, il m’a offert une très belle paire de menottes en acier et les étrennées le soir même en se tortillant comme un malade sur mon lit pendant que je lui démontais le cul avec mon gode-ceinture. Allongé sur le ventre avec les mains menottées à la tête du lit et avec un gros coussin sous le ventre, ses fesses ne pouvaient pas m’être plus offertes et j’en ai profitées. Lors de notre première rencontre, quand je lui au fait cadeau de mon string, il l’a portée aussitôt à son visage pour l’humer en me remerciant comme si je lui avais offert la lune.

Cadre supérieur dans une grande entreprise, Chastesoum a des moyens financiers que je n’ai pas mais jamais au grand jamais je n’en ai abusés. Pour exemple, il m’a proposée de m’emmener dans de grands restaurants, de m’offrir des tonnes de trucs mais je suis restée cantonnée à mes principes de petits cadeaux simples et pratiques en échange de mes culottes portées. Etant célibataire, il a pu rester à la maison pour un week-end pendant lequel il s’est lancé dans le bricolage ce qui m’a permis d’avoir maintenant de jolis éclairages que je ne me serai pas aventurée à installer. Le samedi soir, j’ai été une véritable garce en l’obligeant à faire la cuisine (qu’il fait très bien d’ailleurs) nu avec comme seul vêtement sa cage de chasteté et un tablier de cuisinière. Je n’ai pas arrêté de le martyriser, de l’engueuler pour un oui, pour un non, au plus je l’engueulais et lui claquais les fesses au plus il me semblait heureux.

Devant ses réactions à chaque claque sur ses fesses, ce samedi soir je me suis aussi découvert une passion pour la fessée. Etendu sur mes genoux, j’ai aimé le sentir vibrer et se contorsionner sous les grandes claques que je lui donnais. Ce n’est que la couleur de ses fesses qui m’a arrêtée car je me suis vraiment éclatée. Sa première nuit, il l’a passée sur le tapis de la salle de bain que nous avions mis aux pieds de mon lit avec une simple couverture en guise de couchage. Le matin, quand je me suis levée dans le brouillard comme d’habitude je lui ai marché dessus et j’ai bien faillit me casser la cheville. Il était tout honteux alors que c’est moi qui avais fauté. Ce petit incident m’a permis de découvrir que Chastesoum a de sérieuses prédispositions pour les massages.

De par sa gentillesse et sa générosité d’âme puis son humour il m’a donnée envie de le revoir, quand je lui ai dit que j’accepterai sûrement qu’il devienne mon soumis, ses yeux se sont mouillés. Il était si mignon que je n’ai pas pu résister à l’envie de le prendre dans mes bras pour le consoler. Je me suis rapidement reprise de mes élans affectifs en l’envoyant acheter un cadenas à combinaison pour sa cage de chasteté. L’idée du cadenas à combinaison me vient de Fessestivites, il y a pas mal d’astuces et d’idées à prendre pour les jeux BDSM ou libertins.

Il lui a fallu trois heures pour le trouver car un dimanche matin, il n’y a pas beaucoup de magasins de bricolage ouverts. Je commençais à m’inquiéter mais le bruit de la sonnette m’a rassurée. Ce grand fou est très particulier, vous l’envoyez acheter un cadenas, il vous rapporte un mixer, un grille-pain et un repas acheté chez un traiteur en plus du cadenas !

Pour le remercier de sa grande générosité, après le repas j’ai enfilé mon gode-ceinture qu’il a eu le droit de lécher avant que je m’occupe de son petit cul. Entre les claques et sur fesses et le gode-ceinture, je l’ai un peu bousculé et pour me faire pardonner, je l’ai autorisé à retirer sa cage et à se masturber devant moi. Il n’a pas refusé de lécher sa semence mais m’a prévenue qu’il risquait de vomir, ce qui a motivé ma clémence. Par contre, après sa toilette, il n’a pas coupé à la pose du cadenas à combinaison.

Pendant la semaine, nous avons communiqué par internet mais il m’a manqué. Chastesoum a quelque chose de particulier en lui qui le rend différent des autres hommes. Il est gentil, attentionné, posé, j’aime son humour, sa façon d’être et de parler. Son respect envers la femme est palpable et chose rare, en tant que soumis il ne demande rien et prend ce qu’on lui donne comme un présent.

Le week-end suivant, égal à lui-même, il a répondu présent à ma convocation pour le vendredi en me précisant qu’il ne pouvait arriver avant 21h pour cause professionnelle en s’en excusant mais en indiquant qu’il s’occupait du repas. En guise de repas, cette fois il ne s’était pas arrêté chez un traiteur, il est arrivé avec un repas de roi ou plutôt de reine avec des feuilletés au saumon et au foie gras maison et un civet de marcassin le tout accompagné des vins pour chaque plat. J’étais terriblement gênée de tant de générosité car en prime il avait un paquet cadeau sous un de ses bras chargés.

Il a demandé de me servir et que j’attende la fin du repas pour ouvrir mon cadeau, demande que j’ai acceptée. A la fin du repas, il a débarrassé la table et m’a servie un café avant de se mettre à genou devant moi et de me tendre son paquet cadeau. Lorsque je l’ai ouvert, j’ai pu découvrir une magnifique robe de soirée. J’ai joué mon rôle de maîtresse en lui ordonnant de ne pas bouger et je suis allée l’essayer. Elle était superbe et m’allait à la perfection ! Quand je lui ai demandé comment il avait fait pour avoir ma taille, il m’a répondu honteusement avoir regardé dans mon coffre à linge pour avoir toutes mes tailles.

Que répondre à cela ? Rien !

Par principe, je lui ai donné une fessée pour avoir fouillé dans mon coffre à linge, mais cette fessée n’avait rien de méchant, bien au contraire. Après sa fessée j’ai craqué et je l’ai embrassé.

Et là une nouvelle vie a commencé.

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Domination et amour...
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Lundi 21 octobre 1 21 /10 /Oct 07:12

La fessée et le BDSM, deux mondes à part ?

our certains, la fessée et le BDSM sont réellement deux mondes à part. Les puristes de la fessée vont même parfois jusqu’à prendre les adeptes du BDSM pour des fous et vice et versa.

Une réelle fessée cela fait mal et implique une logique de soumission rétorquent les adeptes du BDSM. 


Analysons donc les différences entre les pratiques de la fessée pour adultes et celles du BDSM pour en comprendre les nuances et les prises de positions parfois très violentes en termes de choix de mots.

LES ZONES CORPORELLES

Pour les adeptes de la fessée dite aussi « spanking » en anglais ou de la discipline conjugale dite DD par les puristes, les pratiques physiques se limitent aux fesses. (Parfois les cuisses) 

Pour les adeptes du BDSM, l’ensemble du corps est utilisé comme les fesses certes mais aussi les seins, le sexe (masculin/féminin), le dos, la langue (pince) et autres…. 

LES INSTRUMENTS

Pour les adeptes de la fessée, les instruments pour rougir les fesses vont de la main nue aux accessoires du type martinet, canne anglaise, paddle, brosse à cheveux, ceinture et autres accessoires destinés aux fesses…..

Pour les adeptes du BDSM, aux instruments ci-dessus indiqués, il est fréquent de trouver des pinces, des aiguilles, des fouets, des contraintes du type gode, plug, cage à barreau, chaînes, rosebud, dispositif de chasteté, des entraves aussi diverses que multiples et du bondage ou shibari au sens large du mot puis …….

Pour les adeptes de la fessée, si lors d’une rencontre vous commencez à sortir vos aiguilles et vos pinces et un plug il y a de fortes chances qu’un malaise s’installe.

LES POSITIONS

Pour les adeptes de la fessée, les positions vont de la fessée traditionnelle sur les genoux, à des positions debout fesses offertes, la position couchée fesses relevées ou non puis à d’autres positions n’ayant qu’un but : exposer les fesses. Il existe des bancs à fessée où il est possible d’entraver facilement la personne fessée.

Pour les adeptes du BDSM les positions peuvent reprendre celles ci-dessus indiquées mais il est possible d’en trouver bien d’autres comme la croix de Saint André, les suspensions, à quatre pattes puis à d’autres positions certaines ayant pour but d’offrir la totalité du corps aux sévices physiques et même parfois sexuels.

PRATIQUES SEXUELLES SUR CES DIFFÉRENCES (plusieurs variables)

Pour les adeptes de la fessée, il n’y a aucun rapport avec le sexe. Si sexe il y a entre les deux partenaires, cela sera après la « punition » et sous la couette. 

Pour certains des adeptes du BDSM il n’y a aucun rapport avec le sexe bien qu’il arrive que l’on y touche pour le faire « souffrir » ou pour humilier, ou pour en jouer.

Pour certains des adeptes du BDSM le sexe n’est pas incompatible, ils peuvent par exemple (j’ai écrit exemple) cravacher le dos et les fesses d’une soumise en se faisant faire une fellation voir plus..... 

Pour les adeptes de la fessée, si lors d’une rencontre vous parlez de préservatif et vous faites faire une fellation par votre soumise à quatre pattes, il risque rapidement d’y avoir des tensions.

POSTURES DÉRIVÉES

Pour les adeptes de la fessée, il est fréquent d’entendre parler de posture pouvant s’associer à des positions humiliantes pour un adulte comme d’aller au coin fesses rouges nues bien visible avec les mains sur la tête, un bonnet d’âne, autres…….

Pour les adeptes du BDSM le panel des positions est aussi large que leur imagination. Exemple à quatre pattes, couché nu sur une table, entravé aux pieds du lit ou parfois sur la descente de lit, ou servir de table basse, ou …….. 
 
Pour les adeptes de la fessée, si lors d’une rencontre vous mettez votre soumis(e) nu(e) avec un plug dans les fesses et un plateau sur le dos pour le/la transformer en table vivante, il risque rapidement d’y avoir des tensions.

LES TENUES VESTIMENTAIRES

Pour les adeptes de la fessée, les tenues sont totalement conventionnelles mais il est fréquent de trouver des tenues du type écolier ou écolière et quelque fois des corsets.

Pour les adeptes du BDSM le panel des tenues est aussi large que leur imagination. Latex, cuir, harnais, corset, robe fendue, pantalon ouvert (chaps) puis des culottes affriolantes (quand il y en a…)

Pour les adeptes de la fessée, si lors d’une rencontre vous êtes bardé de cuir et que la personne soumise vous accompagnant porte un harnais de cuir, il risque rapidement d’y avoir des tensions.

JUGEMENTS DES UNS ET DES AUTRES
 
Comme toujours, il est plus facile de voir la paille dans l’œil du voisin que la poutre que l’on a dans le sien…….

Les puristes de la fessée trouveront jolie la femme exposant ses fesses bien rouges et vêtue comme une grande adolescente qui est au coin de la pièce avec les mains sur la tête. Par contre, certains (trop hélas) traiteront de fous et de dépravés les BDSM.

Les puristes du BDSM trouveront jolie la femme entravée portant des vêtements de dissimulant rien de son corps strié ni du rosebud qui brille entre ses fesses aux yeux de tous.  Par contre, certains (trop hélas) traiteront de malades mentaux ou de personnes en « régression » celle qui est au coin en jupette d'écolière.

VOILA POURQUOI en tant que webmaster j’ai tenu à séparer la fessée du BDSM dans les forums, les articles, les photos et vidéos !  Le but est de limiter les tensions, chacun pouvant choisir son forum ou sa rubrique préférée.

Et vous, êtes vous adeptes de la fessée + du BDSM ou simplement adeptes de la fessée ?

Aviez-vous perçu toutes ces différences entre monde de la fessée et du BDSM ?

Pour en parler rendez-vous sur le forum fessée 

 

Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

1400 vidéos fessée (Hommes et femmes) sans pub

624 galeries de XX photos fessée (Hommes et femmes)

 

Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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Vendredi 18 octobre 5 18 /10 /Oct 10:56

Selfbondage en couple j'aime me sentir prisonnière

J'aime me sentir prisonnière, pourquoi je ne sais pas mais j'aime ça. Peut-être est-ce à cause des livres d'Histoire de l'école ou des photos et vidéos de selfbondage que j'ai vu sur le site du réseau Fessestivites.

Mon mari qui n'est pas très branché BDSM est parfois ravi, parfois furieux quand je vais trop loin. Mes plus grands plaisirs sont quand il profite de la situation quand il rentre et me découvre entravée et offerte. Il y a des fois où il me prend comme un rustre avant de me laisser toute pantelante de désir dans mes entraves si je n'ai pas atteints l'orgasme pendant son « viol ». Le mot « viol » n'est pas adapté parce que nous sommes mari et femme et c'est pour moi la réalisation partielle de mes fantasmes que d'être baisée ainsi soi-disant de force.

Une fois je suis allée bien trop loin dans mon selfbondage, j'aurai pu mourir étouffée car je m'étais mise une corde autour du cou. Dans mes mouvements elle s'est serrée et là j'ai eu vraiment très peur. Je pense que s'il était rentré une heure plus tard, je serai morte. Quand il est rentrée et s'est rendu compte de la situation, il était furieux. Une fois libérée, en guise de câlin je me suis prise une fessée, c'était la première fois qu'il me fessait et il n'y est pas allé de main morte. Je ne lui en ai jamais voulu car il n'aime pas trop mes selfbondage et a eu très peur. J'aimerai bien qu'il me fesse ou me fasse du SM quand je suis entravée, mais ce n'est vraiment pas son truc. Il tolère mes folies parce qu'il a compris que pour moi c'est comme une drogue, j'aime vraiment me sentir prisonnière et à sa merci.

Jusqu'à la semaine dernière, j'ai toujours refusé la sodomie et quand j'ai lu sur Fessestivites qu'il y a beaucoup d'hommes qui aiment ça, j'ai décidé de lui offrir ce plaisir. Dans l'entrée de la maison, un message original l'attendait devant la porte. En entrant il ne pouvait pas le louper, la chaise étant en plein milieu du couloir.

« Mon chéri, ce soir je t'offre la petite porte que je t'ai toujours refusée. Je t'en prie, va doucement parce que j'ai peur d'avoir mal. Ta victime ne peut plus t'échapper, elle est entravée sur le lit ».

Rien que de lui écrire ça et d'imaginer qu'il allait abuser de moi, je mouillais comme jamais malgré une pointe d'inquiétude. Pour me rassurer, j'ai callé mon gros vibro entre mes jambes de manière à ce qu'il enflamme mes sens et me rende folle avant son arrivée. Si j'étais super excitée, ma première sodomie se passerait sûrement mieux. Pour m'offrir à lui, j'ai mis mes cordes à chaque angle du lit avec un noeud coulant dans lequel une fois que mes mains ou me chevilles passées, en tirant sur les cordes, j'allais vraiment être à sa merci. Comme presque tous mes rituels je me suis bâillonnée avec une petite culotte roulée en boule dans ma bouche puis plusieurs morceaux de gros scotch pour m'interdire de la recracher.

Pour que mon gros gode vibrant ne puisse glisser et me priver de plaisir, je l'ai aussi attaché. Après avoir testé mes réglages, j'ai entravé mes chevilles et allumé le gode vibrant et je me suis allongée. Mon état d'excitation était tel, que j'étais à deux doigts de jouir quand il est entré en contact avec mon sexe. Sans tarder j'ai rapidement passé mes poignets dans les cordes attachées aux coins du lit et j'ai tiré dessus.

Etendue sur le ventre, fesses offertes avec les membres en croix attachés très courts, je ne pouvais que très peu bouger et donc échapper à mon bourreau. Avec toutes ces idées dans la tête, attachée et le magic wand massager en bonne place, j'ai rapidement atteint le plaisir. Le premier orgasme m'a terrassée, laminée par la vague titanesque, j'aurai bien fait une petite pose mais le vibro n'en savait rien..... En tirant sur mes poignets j'arrivais à peine à en limiter les effets. Soumise au plaisir divin, j'y suis rapidement retournée pour d'autres moments tout aussi jouissifs. Le temps me paraissant long, trop long, j'ai essayé d'attraper le téléphone qui me sert aussi de sécurité et là, j'ai pris peur en constatant mon erreur : il était trop loin pour que je l'atteigne.

Mon mari est rentré plus tard que d'habitude, j'étais épuisée, les lèvres de mon sexe et mon clitoris étaient en feu. Je n'étais plus vraiment dans le trip ni le souhait de mes fantasmes fous. Il est venu me voir, vérifier comme à son habitude que je ne m'étais pas trop exposée au danger mais avec une attention particulière qui m'a fait chaud au cœur quand il murmuré à mon oreille : « je t'aime » avant de me laisser plantée là. J'aurai aimé lui crier que je souhaitais reporter mon cadeau, mais le bâillon me l'interdisait.

Une demi-heure plus tard environ, il est entré dans la chambre et m'a sourie avant de monter sur le lit. Avec patience il a lubrifié mon anus en essayant de le détendre, quand un peu de lubrifiant a coulé sur mon sexe, cela m'a soulagée car un vibro trop longtemps posé au même endroit cela irrite. Malgré mes tentatives de réfutation et mes muettes plaintes, il a joué mon jeu et mon fantasme avec conviction. J'ai même eu droit à quelques claques et les fesses et insultes qui comme chacun sait, n'en sont pas dans ces moments de complicité.

J'ai clairement bien compris « que la salope allait se faire enculer » et autres quolibets tout aussi romantiques..... Quand il a commencé à forcer ma petite porte j'avais mal et l'impression que mon anus s'enflammait. Etendu sur moi et rivé au plus profond des mes reins, il s'est amusé à me tirer les cheveux, à me bousculer comme les autres fois en me disant des mots crus.

Est-ce d'être attachée et réellement sans aucune possibilité de fuite ou une fougue que je ne lui connaissais pas qui m'a faite décoller mais passé quelques moments difficiles, j'ai fini par entrer dans la bulle secrète et mes fantasmes inavouables. Quand il a senti que mon anus se décontractait, il m'a carrément défoncée. Je ne savais plus où j'étais, je perdais la tête, j'étais emportée par ces moments de plaisir qui sont si forts qu'ils font presque mal.

Pour la première fois j'avais vécu de réelles sensations de viol quand il a commencé à me sodomiser mais sans la peur avant de sombrer dans un état second où plus rien ne compte que le coït sauvage et contre nature. J'ai eu mal à l'anus pendant presque deux jours mais je garde un souvenir impérissable de cette aventure et si j'ai bien compris ces mots, cela ne sera pas la dernière si je continue de prendre le risque de m'offrir à lui ainsi.

Il est seize heures, écrire cette confession m'a excitée comme une puce, j'ai deux heures devant moi, l'appel des cordes est très fort.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mardi 8 octobre 2 08 /10 /Oct 07:18

La doraphilie fétichisme de la fourrure

La Doraphilie ne signifie pas être excité sexuellement tous les matins en regardant Dora l'exploratrice à la télévision. Non la Doraphilie est le mot savant pour le fétichisme de la fourrure.

Glorifié dans « La Vénus à la fourrure » de Leopold von Sacher-Masoch, le fétichisme de la fourrure compte de nombreux d'adeptes qui se cachent souvent pour éviter les foudres de la SPA ou des écolos. Que l'on se rassure il y en a aussi des synthétiques.

doraphilie fétichisme de la fourrure

Ce fétiche n'est ni une partie du corps féminin, ni une partie des vêtements de la femme, mais une étoffe déterminée qui par elle-même, en tant que matière peut faire naître ou accentuer les sentiments sexuels.

Ces cas se distinguent des faits précédents de fétichisme érotique du vêtement par le fait que ces étoffes ne sont pas, comme le linge, en rapports étroits avec le corps féminin et n'ont pas, comme les souliers ou les gants, une corrélation avec des parties déterminées du corps féminin ou ne sont pas une signification symbolique quelconque de ces parties.

Certaines sensations tactiles comme la douceur puis une sorte de chatouillement qui a une parenté éloignée avec les sensations voluptueuses, sont, chez des individus hyperesthésiques, la cause première de ce genre de fétichisme.

Pour la femme, outre la beauté et l'élégance, il y a le bonheur, la sensation excitante d'être en tenue légère sous un manteau de fourrure... en chemin pour une soirée libertine. Sachez toutefois mesdames qu'un véritable manteau de vison est lourd à porter.

Outre le fameux manteau de vison, le renard ou le lapin sont d'excellentes peaux qui séduisent, les peaux de lapin cousue étant plus accessible financièrement.

La doraphilie se caractérise par la recherche de bien-être procuré par la chaleur et la douceur. La fourrure offre au doraphile à la fois un retour à la nature et au naturel et une réponse à son besoin de douceur. Ainsi donc, ne sont pas considérés comme doraphile les gens qui portent de la fourrure dans un but social (afficher sa réussite, suivre la mode, etc...). Le doraphile a clairement un besoin tactile et irrépressible d'être au contact quasi permanent de la fourrure.

La fourrure sera principalement naturelle, celle-ci offrant un bien meilleur toucher, mais il n'est pas exclus que le doraphile retrouve son plaisir dans la fourrure artificielle. Ce fétichisme est proche et comparable à celui de la laine angora ou éventuellement du satin et de la soie. Ces dernières matières offrant toutes douceur au toucher. Bien que souvent liée à la sexualité, le doraphilie peut se limiter à la sensualité.

La fourrure n'est pas à la hauteur de toutes les bourses, mais voici tout de même quelques trucs pour acheter un manteau de fourrure le moins cher possible.

  • Magasiner dans les friperies
  • Les vides grenier.
  • Les sites de petites annonces classées.
  • Ebay
  • Acheter un manteau de fourrure synthétique.
Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Le sexe sans tabous
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Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 09:14

J'ai osé avec 4 hommes

Mon copain m'avait plaquée, mon cœur était mort, mon corps profitait des hommes sans histoire de cœur. J'avais 23 ans, brune 1m65, 60 kilos ce qu'il faut là où il faut et j'aime le sexe. L'idée de découvrir le BDSM me titillait tout comme d'être une fille soumise que l'on baise quand on veut où l'on veut. Cette idée m'aurait permis de m'éclater sans histoire de cœur mais fallait-il encore ne pas tomber dans un piège avec des fous. Fessestivites m'a permis d'entrer en contact avec un homme qui annonce clairement être marié en indiquant qu'il organise des soirées chaudes pour des filles gourmandes sachant vivre.

Stéphane est à la fois directif et à l'écoute, respectueux et ferme dans ses propos, il sait parler aux femmes tout en étant rassurant sur ses intentions. Sans être vulgaire, il sait également les sonder pour aller chercher au fond de nous ce qui ne s'avoue pas au premier venu, nos envies de sexe et nos fantasmes. Avec lui, les mots coulent dans la décontraction, les choses sont si simples qu'on accepte rapidement de lui donner notre téléphone et de le rencontrer dans un lieu public comme il propose spontanément. Il a plus de deux fois mon âge mais pour un plan baise, un homme mûr c'est bien et comme il est grand et costaud cela laisse imaginer des choses surtout quand il vous promet d'assurer votre sécurité lors d'une telle rencontre.

Lors de la première rencontre, il m'a clairement indiqué vouloir vérifier que j'étais bien celle que j'indiquais, une fille pas farouche qui sait ce qu'elle veut. Pour qu'il organise quelque chose avec moi et pour moi, je devais le lui prouver sans quoi, il ne m'en voudrait pas mais nous en resterions là et il jetterait mon numéro de téléphone. Il m'a expliqué qu'il ne pouvait faire déplacer des gens pour rien si je n'étais pas celle que je lui disais. J'ai donc accepté de le suivre au parking pour y vivre ma première chaleur. Il prenait son temps pour m'allumer et ne cherchait pas à me faire monter dans sa voiture et quand il m'a demandé d'écarter les jambes, j'ai eu un petit moment d'hésitation mais je l'ai fait. Sa main s'est insinuée sous ma jupe pour me masser le sexe à travers mon string, en même temps son regard clair et son sourire malicieux m'ont fait monter d'un cran dans l'excitation.

- Toujours décidée à t'éclater petite coquine ?

« Oui monsieur » lui ai-je répondu doucement comme si l'on pouvait nous entendre. Il m'a ouvert sa portière de sa voiture et invitée à monter. Quelques minutes plus tard, quand nous sommes entrés dans un entrepôt dont il avait les clés je me suis traitée de folle. Toujours avec le même calme, il m'a invitée à descendre mais cette fois, loin des regards, ses mains sont devenues plus entreprenantes. L'ordre de lui faire voir mes seins est tombé pendant que sa main s'insinuait dans mon string, j'ai donc retiré mon chemisier et mon soutien-gorge pour les lui offrir.

- Je vais te baiser, montre-toi chienne et soumise et je te monterai ton plan cul avec des hommes. Crois-moi tu vas t'éclater avec eux, ils vont te baiser sans relâche pendant des heures comme tu ne l'as jamais été. Mais fais-moi voir que tu es une bonne salope. Suce-moi pour commencer. M'a dit Stéphane en ouvrant son pantalon pour sortir un sexe déjà bien fier.

Je me suis accroupie pour faire ce qu'il me demandait, sa main accompagnait ma tête mais sans la forcer. Au fur et à mesure que je le suçais, il est devenu plus directif en me traitant de bonne salope. Comme convenu, il a sorti un préservatif qu'il a enfilé sous mes yeux puis il m'a relevée et plaquée contre la voiture. J'avais la tête et les mains sur le capot chaud, les fesses offertes quand il m'a prise en douceur. Quelques secondes plus tard, je me faisais défoncer comme une chienne et s'était bon, torride. Entre ses mains, je devenais une véritable salope comme il dit. Prestement retournée puis soulevée je me suis retrouvée couchée sur le dos jambes écartées. Pendant qu'il me possédait, une de ses mains caressait mes seins l'autre mon clitoris avec un savoir faire qui ne laisse pas de marbre. J'ai pris un pied pas possible dans cet entrepôt. J'aurai aimé que cela dure des heures mais il en a décidé autrement. Pendant que je me rhabillais, il m'a tendue une petite bouteille d'eau en me souriant, un geste de courtoisie que j'ai apprécié, qui change de l'attention que les hommes nous portent après nous avoir baisée.

- Je te dépose au parking et je fille à mon rendez-vous et si tu veux que je te monte un plan cul comme prévu, je suis d'accord. Tu es vraiment une chouette fille qui mérite d'être connue et d'être heureuse.

............................

Deux jours plus tard, Stéphane m'adressait un texto en me demandant si j'étais toujours partante pour quatre hommes et si oui, de lui indiquer mes disponibilités. Si avec lui la rencontre avait été excellente, j'avais encore besoin d'être rassurée. Je lui ai demandé s'il serait là, il m'a répondu « je suis toujours là pour une fille qui se confie à moi, puis-je t'appeler ». Comme j'étais à la maison, j'ai répondu oui, l'entretien téléphonique que l'on a eu ma totalement rassurée et j'ai dit « oui » à la grande aventure.

...........................

Il était là. Il ne me voyait pas de l'autre côté de la rue avec mon petit sac et des vêtements de rechange au cas où, je n'osais plus avancer. Quand mon téléphone a sonné et que j'ai vu que c'était lui j'ai répondu « j'arrive » avant d'oser traverser la rue. Nous avons un peu discuté pendant le trajet, il m'a dit que j'allais m'éclater, qu'il connaissait bien les quatre hommes, qu'ils étaient sérieux et respectueux. Pendant le trajet, il a tenu à ce que je lui donne mon string chose que j'ai faite sans problème.

- Là où nous allons, l'endroit est un peu lugubre mais tu ne risques rien. Il n'y aura que nous et je serai là en permanence. Concentre-toi sur toi et sur le sexe des hommes qui vont te baiser, oublie le lieu et éclate-toi comme une bonne petite salope.

Nous sommes arrivés quelques minutes plus tard dans les ruines d'une vielle maison qui devait servir à un artisan car des poutres en béton laissaient entendre qu'une activité industrielle avait eu là. Un bungalow hors d'âge et trois hommes nous attendaient. Quand je suis descendue je n'étais pas fière, j'avais peur, ma seule source de courage était le sourire enjôleur de Stéphane. Il a pris une couverture et un sac dans le coffre de sa voiture et m'a pris la main comme un enfant que l'on conduit chez le docteur. Une fois dans le bungalow, il a étendu la couverture sur un lit puis m'a embrassée en me caressant les fesses. « Tu vas t'éclater » a-t-il murmuré à mon oreille en retirant mon tee-shit et mon soutien-gorge pendant que les hommes entraient.

- Elle est à vous messieurs, préservatif obligatoire, pas de SM ni de claque, Sophie est une salope qui débute, à vous de lui donner envie de recommencer. A dit Stéphane en ouvrant une bouteille de champagne.

Il m'a offert une flutte de champagne que j'ai presque bue cul sec pour me donner du courage. Une fois avalée, Stéphane voyant mes hésitations ma prise dans ses bras pour me conduire aux hommes afin qu'ils commencent à me toucher. Leurs mains m'ont électrisée, elles flattaient mes fesses, mes seins, on me touchait de partout en même temps. Conduite sur le lit et mise à quatre pattes, j'étais à eux pour deux heures. Même si j'avais un peu peur, l'excitation est rapidement montée, j'avais vivre mon fantasme de chienne soumise au sexe de plusieurs hommes en rut.

J'ai commencé à sucer l'un d'entre eux pendant qu'un autre frottait son sexe sur mes fesses en disant que j'avais un très beau cul. Stéphane leur a donné du gel et a posé un rouleau de sopalin pour qu'ils n'en mettent pas partout. Quand un doigt m'a lubrifiée et pénétrée j'ai fermé les yeux et je me suis concentrée sur la bite que je suçais. Le premier à me prendre était doux au départ, mais cela n'a pas duré. A quatre pattes comme une chienne je me suis faite baiser pendant un long moment en suçant deux bites l'une après l'autre pendant qu'on me malaxait les seins. C'est devenu très bon, fabuleux, divin d'être ainsi offerte. Et puis ils m'ont retournée et mise sur le dos.

L'un d'eux a mis mes bras au-dessus de ma tête puis les a enjambés avant de venir au dessus de mon visage pour que je le suce. Le nez sur sa raie des fesses, je ne loupais rien de son anatomie. Quand le suivant m'a soulevée les jambes, mon réflexe a été de redescendre mes bras pour les tenir mais c'était impossible, celles de l'homme sur moi les bloquaient. A cet instant là, je ne pouvais plus rien faire hormis me faire baiser, être leur chose, leur chienne. Le mec m'a prise aussitôt en remontant mes jambes les plus haut possible. Celui que je suçais les a attrapées pour les bloquer, putain ce que j'ai pris mais qu'est-ce que c'était bon.

Pendant deux heures j'ai sucé des bites pendant que d'autres me prenaient. A la fin je n'en pouvais plus. J'avais la chatte en feu mais en même temps c'était divin. Ils n'ont jamais essayé de m'enculer parce que je ne voulais pas, j'avais dit non à la sodomie, finalement j'aurai du dire oui car dans une aventure comme celle-là, cela doit être planant.

Stéphane les a arrêtés au bout d'un moment, il m'a donné un peignoir puis nous a servit du champagne. Les hommes m'ont félicitée à leur manière en me traitant de bonne salope, et le pire c'est que pour le mot salope pour une fois j'étais d'accord.

Cette expérience restera à jamais gravée dans ma mémoire, la tentation de recommencer me titille et si je le refais, ce sera avec Stéphane qui se fait appeler organisation84 car il sur www.fessestivites.com m'a accompagnée, respectée, baisée, protégée et a tout fait pour que je m'éclate.

C.. surnommée Sophie pour ce récit.

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 09:12

Le fétichisme de la cigarette, la capnolagnie 

Le fétichisme de la cigarette s'appelle en langage des sciences, la capnolagnie

Il y a de véritables passionnés de la capnolagnie. Ce fétichisme se présente sous plusieurs formes avec par exemple :

- La femme vêtue faisant des ronds ou des jets de fumée

- La femme vêtue avec son porte cigarette voir les photos vintage

- La femme vêtue dominant une personne en lui soufflant la fumée au visage par exemple

Coté érotique, les points précédents se retrouvent mais avec la nudité ou des tenues affriolantes.

Côté sexe et la capnolagnie apparaît sur des photos et vidéos avec des images représentant

- La femme en train de fumer et de faire l'amour

- La femme soufflant la fumée dans le sous-vêtement d'une homme ou d'une femme

- La femme jouant à mettre une cigarette allumée dans son vagin en la faisant fumer par des contactions abdominales

Cotés BDSM la capnolagnie apparaît comme indiqué plus en soufflant au visage mais dans le hard* avec :

- La main servant de cendrier (simple ou pour écraser la cigarette)

- Les marques sur le corps de préférence sur des zones érogènes seins, gland, fesses, autres....

- Les petits points ultra rapides visant à chauffer

 

**** dans le hard la cigarette est parfois utilisée pour faire un branding (marquage sur le corps).Il existe une technique consistant à ne pas générer d'horribles douleurs mais du plaisir par de multiples petits points ultra rapides mais répétés

Forum fétichiste

Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Le sexe sans tabous
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Samedi 5 octobre 6 05 /10 /Oct 10:42
Soumise sexuelle treize à la douzaine

Sling BDSM accessoire sexeSi j'écris cette histoire, c'est parce que je n'ai pas le choix. Mon mari m'a enchaînée sur une chaise avec deux godes placés là où vous imaginez avec comme ordre de raconter mes aventures de vendredi. Je ne m'éterniserai donc pas, car je commence à avoir envie de faire pipi.

En résumé, nous sommes un couple libertin et BDSM soft, marié depuis 19 ans, notre vie de couple et sexuelle sont épanouies. En 19 ans de mariage nous avons finit par nous dévoiler nos petits secrets intimes. Mon mari aime bien me dominer, comme je ne suis absolument pas maso, sa domination est soft. De mon côté, j'ai toujours eu le fantasme du viol en série, d'être prise par des inconnus qui abusent de moi. Que l'on se rassure, j'aime mon mari et il est hors de question que je le fasse cocu.

Pour assouvir mon fantasme, nous allons depuis peu une fois par trimestre dans un club libertin le soir à gang bang. Je me promène nue sous le peignoir qu'ils nous louent avec un petit sac contenant mes menottes et bracelets à la main. Au fond de la grande salle, il y a un sling très confortable sur lequel je vais m'installer quand nous y allons. Je passe mes bracelets aux chevilles avant de m'allonger sur le sling.

Une fois installée nue, jambes attachées et écartées sur le sling, je mets les mousquetons des bracelets de mes chevilles sur les chaînes suspendant le sling. Les hommes me regardent avec beaucoup d'intérêt (surtout entre les jambes) avec un certain étonnement pour certains. (Les libertins sont parfois coincés) Je passe ensuite les menottes à mes poignets pour m'entraver toute seule une main sur chaque chaîne. Rien que de m'installer, je suis dans tous mes états, même si j'ai toujours un peu peur, mon excitation est énorme et ma chatte trempée.

Mon mari vient alors m'embrasser et me mettre une cagoule en spandex sur le visage, elle me permet de respirer aisément sans voir qui me prend et m'évite à avoir à sucer les sexe pas toujours très propres..... Il accroche un petit panier avec du lubrifiant et des préservatifs puis annonce à qui veut l'entendre que sa chienne est disponible par les deux trous. A chaque fois cette annonce me fait froid dans le dos, mais je sais aussi que je vais m'envoler et peut-être souffrir un peu.

Quand les premiers hommes me touchent, à chaque fois je bondis de peur même si je sais que mon mari veille à tout. Leurs mains qui me palpent et me fouillent sans aucune gêne me transportent au septième ciel en un rien de temps. J'aime moins quand elles me pincent les tétons mais ai-je le choix ? Quand on est violée on n'a pas le choix, je me contente alors de gémir et de dire des « non » que personne n'écoute. Vendredi soir il leur a indiqué que j'aime être violée et qu'ils pouvaient s'en donner à cœur joie. En entendant ça, j'ai pris peur, j'ai voulu qu'on arrête mais il ne répondait pas. Sur le coup j'ai cru qu'il m'avait laissée seule mais j'ai appris après la soirée qu'il ne m'avait jamais quittée.

Lorsque le premier sexe s'est posé contre ma chatte, j'étais totalement dans un autre monde, dans le viol pur et dur, sauvage et ignoble. Le mec m'a possédée comme une brute, les chaînes du sling rythmaient son martèlement brutal en même temps que mes cris. Au bout d'un moment j'ai réussi à me décontracter un peu, à moins que ce soit lui qui m'est décontractée.... Il s'est rapidement mis à grogner avant de se mettre à beugler avant même que je ne prenne du plaisir, un précoce qui devait s'imaginer que pour que ce soit bon, il faut essayer de battre des records de vitesse.

Le suivant a été plus doux, son sexe allait et venait en moi profondément à chaque fois, à chaque fois je savourais la possession car il n'était pas brutal. ET là, alors que j'allais partir, il s'est retiré pour poser son gland contre mon petit trou bien offert de par ma position. Le mec devait être bien monté car je l'ai sentie passer même si j'aime la sodomie. Comme il était très excité, il ne m'a pas laissée le temps de me décontracter, à peine en place il m'a labourée. Je tirai comme une malade sur les chaînes mais entre les entraves et ses mains me tenant fermement, j'ai eu l'impression de me faire démonter par un docker. Quand il s'est retiré après avoir jouis, mon anus continuait de se contracter, c'était magique.

Le suivant n'a pas tardé à profiter de la place libre, mon vagin déjà bien ouvert l'a apprécié et moi aussi. Ses mouvements me transportaient dans les brumes évanescentes du plaisir divin, le plaisir de l'abandon total à cette bite inconnue mais si efficace..... L'homme d'après n'a pas voulu faire connaissance, il m'a enculée directement sans plus de précaution en se servant de la fille offerte.

Après il y en a eu d'autres, beaucoup d'autres, je ne savais plus, je ne comptais pas mais j'avais perdu le fil. Prise à la chaîne, je n'étais plus qu'un pantin de chair épuisé mais disponible pour les mâles en rut. Certains m'ont éveillée les sens plus que d'autres, combien de fois ais-je jouis, je ne saurai le dire, mais quel pied.

La surprise du bonheur est arrivée à la fin quand j'ai entendu mon mari dire « treize à la douzaine » sauf que le treizième c'était lui. J'ai reconnu sa façon de me faire l'amour, de jouer avec mes sens, ma porte comme s'il hésitait à entrer. Il a du s'acharner tant j'étais épuisée mais il m'a eu comme toujours ou presque. Ses doigts sur mon clitoris faisaient la chamade en même temps qu'il me prenait à son tour, le coup de grâce du Maître de mon cœur m'a tuée.

Lorsque nous sommes rentrés, je dormais dans la voiture, le temps qu'il ferme le portail sans douche sans rien je me suis écroulée sur le lit comme une bien heureuse comblée, vidées, lessivée.

Le lendemain de ces soirées, pour remercier mon homme de tant de générosité d'âme, je lui suis entièrement soumise en anticipant même ses désirs, ses envies, ses caprices. Mes lèvres le butinent, ma bouche le mange, ma langue virevolte à la recherche de son exclusif plaisir parce qu'il le vaut bien non ?

Et là en guise de remerciement à mes généreuses attentions, il m'a enchaînée sur une chaise avec deux godes placés là où vous imaginez avec comme ordre de raconter mes aventures de vendredi. GRRRRR

Solange

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Mercredi 2 octobre 3 02 /10 /Oct 08:27

Je ne supporte pas mais j'aime


Je ne supporte pas la violence, mais j'aime qu'il me batte
Je ne supporte pas la vulgarité mais j'aime qu'il me traite de chienne
Je ne supporte pas les violeurs, mais j'aime être baisée de force
Je ne supporte pas la douleur, mais j'aime qu'il me fesse ou me fouette

Que de paradoxe me direz-vous et je serai d'accord car j'ai mis longtemps à accepter tout ce qui est ci-dessus. Quand je dis « accepter » c'est de moi dont je parle, pas de lui, accepter que j'aime ça.

Il est Mon Maître, il peut faire de moi tout ce qu'il veut,
Il est Mon Maître, je suis sa chienne, sa vide couilles
Il est Mon Maître, il est dur avec sa soumise mais il me rend heureuse, me comble au-delà de tout ce que j'aurai pu imaginer avant de le connaître.

MON HISTOIRE NOTRE HISTOIRE

Je suis venue au libertinage puis au BDSM après mon divorce, l'envie de vivre ma vie de femme autrement qu'en élevant les enfants me travaillait l'esprit d'une force difficile à imaginer. Alors je me suis inscrite sur des sites libertins, j'ai baisé plus que je n'ai été baisée car c'est moi qui prenais l'initiative. Si ma soif de sexe, de bites, osons dire les mots, était étanchée, après chaque rencontre, le vide, que dis-je le néant. Le désert affectif, la solitude de la vie.

Un jour un homme m'a dit « tu es une soumise révoltée, c'est d'un Maître que tu as besoin ». Je l'ai envoyé paître d'une force qui m'a surprise de par la puissance des mots que j'ai utilisés. Moi soumise à un homme ? Impensable !

De retour à la maison vide, (les enfants étaient chez mes parents) je ne décolérais pas. Je me suis inscrite sur Fessestivites pas réellement pour m'instruire sur les Maîtres et le BDSM mais plus pour les narguer. Et là, je suis tombée sur Le Maître. Des amies m'ont dit que j'avais eu beaucoup de chance de le trouver du premier coup parce que dans le monde du SM, il y a beaucoup de mémaitres.

Maître T a su me parler avec respect, avec un respect bien supérieur à celui du libertinage, ce fut Sa Force et c'est par son respect qu'il a fait de moi sa chienne soumise. Nous avons longuement échangé par email, au début j'avais peur du SM, pour moi, cela rimait avec violence. Il ne m'a jamais demandé mon numéro de téléphone, par contre lui mettait le sien après sa signature. Quand je lui ai demandé pourquoi il mettait son tel et ne me demandait pas de l'appeler, il m'a répondu : « tu m'appelleras quand tu seras prête », j'ai tout mon temps.

Lors de nos échanges, il m'a tout appris, enfin, tout est une expression fausse car on ne peut tout savoir, disons qu'il a su m'éclairer avec des mots choisis sur ce monde étrange qui commençait à me titiller pour ne pas dire perturber. Ce mec me vouvoyait, ne me demandait pas de l'appeler, ne me forçait pas la main et surtout m'a répondue un jour alors que je lui demandais s'il me baiserai : « je ne suis pas un queutar en manque, je te baiserai seulement si tu le mérites ». Pour moi qui pendant des mois avais pris les initiatives avec les libertins, ce fut un choc, presque un défi. Au fond de moi j'ai pensé : « je t'aurai comme les autres, tu n'es qu'un mec ». Quelle erreur !

Un soir, il a gagné et j'ai craqué, ce fut comme si lui parler et entendre sa voix devenait un impérieux besoin. J'ai donc pris le téléphone et je l'ai appelé. Il m'a répondu d'une voix posée très mélodieuse qu'il était ravi que j'ai fait le pas du téléphone en me disant qu'il allait raccrocher parce que je ne lui avais pas demandé l'autorisation. Sur le coup, j'ai cru qu'il plaisantait mais non, il était sérieux. Il m'a dit de lui demander par email la permission de l'appeler ce soir, qu'il me répondrait « oui » avec plaisir et il m'a raccroché au nez ! ! ! Surprenant. Dire que je suis restée sur le cul est un euphémisme.

Pour jouer son jeu mais aussi pour comprendre ce qu'il m'arrivait, je lui ai demandé par email si je pouvais l'appeler. Sa réponse positive a été immédiate : « Oui avec grand plaisir, j'attendais ton email depuis des semaines». Ce soir là, j'ai pris ma première leçon de soumission avec un simple téléphone.

Au téléphone il était comme dans ses emails, calme, posé, sûr de lui mais toujours aussi respectueux. Sa voix m'envoûtait et quand il m'a proposé d'aller chez lui prendre un verre, j'ai accepté. Il était 22 heures, quand la grande folle que je suis est montée dans sa voiture pour aller seule au milieu de la nuit rencontrer un Maître.

Ce soir là, il ne m'a pas touchée, nous avons bu une excellente bouteille de champagne et longuement parlé. Je voyais bien que l'envie de moi était présente mais il contrôlait ses mots, ses gestes avec des yeux brillants et un sourire enjôleur. Il m'a proposé de dormir dans la chambre d'amis à cause de l'alcool en me proposant de devenir Mon Maître dès le lendemain si je le désirai. Il a insisté pour que je ne lui donne pas ma réponse le soir même mais il la connaissait déjà. Un seul ordre m'a été donné en guise d'acceptation.

- Si tu acceptes d'être ma soumise, je te promets le respect, la sécurité, de la tendresse et de la fermeté. Je te ferai connaître les plaisirs du SM et des jouissances physiques que tu n'imagines pas mais encore une fois, c'est toi qui feras l'offrande, je ne te violerai pas physiquement ni psychologiquement. Ce soir je ne te toucherai pas, je ne te ferai rien même si j'en ai autant envie que toi.

(Il devait lire dans mes pensées les plus secrètes et les plus inavouables)

- Si tu acceptes d'être ma soumise, demain matin à 8 heures présente-toi nue aux pieds de mon lit avec un café sucré, remué. Tu es libre d'accepter ou de refuser et rien ne t'oblige à le faire. Je peux me servir mon café tout seul, tu n'es pas ma bonne ni ma mère, mais par cette offrande de ta nudité et de ton acceptation de l'ordre tu feras un pas de plus dans ta soumission vers moi.

D'un geste il m'a indiqué la salle de bain puis la chambre d'amis et m'a souhaité une bonne nuit. J'étais très perturbée. Le sommeil ne venait pas, son ordre me travaillait autant que cette force tranquille qui se dégageait de lui et son emprise sur moi.

Qu'ai-je fait ?

Après avoir tourné et retourné les questions qui me traversaient la tête, à 8 heures précises je suis devenu sa soumise. Depuis nous ne nous sommes plus quittés.

Ce matin là, il m'a fait l'amour mais pas comme un mec en manque, non, comme un Maître charmeur attentif. Il m'a pris la main avec douceur pour me guider sur le lit en me disant que j'étais très belle, qu'il était fier de moi et de ma force de soumise. Une soumise pour lui est quelqu'un de fort, car il faut du courage pour l'abnégation de son moi et de sa fierté. Et là, après avoir bu son café il m'a dévorée. Mon premier sentiment d'appartenance je l'ai eu ce matin là après les préliminaires savoureux et le début de l'acte sexuel en lui-même.

J'étais bien, étendue sur le dos offerte à son glaive si délicieux, je savourais ses mouvements puissants et posés quand il a pris mes poignets pour les mettre au-dessus de ma tête. Sa main gauche les a enveloppés et bloqués, il m'a souri, il a déposé un baiser tendre sur mes lèvres avant de me sauter sauvagement sans jamais lâcher mes poignets. Ses mouvements en moi me rendaient folle, ses yeux inquisiteurs et son sourire me faisaient fondre, les mains bloquées je ne pouvais subir que la douce torture de l'amour de mon Maître. J'aurai aimé le serrer dans mes bras, le caresser mais il en avait décidé autrement. Aussi patient en amour que dans sa domination il a attendu que je jouisse pour s'abandonner à son tour.

Sous les draps, lovée contre lui je ronronnais comme une chatte en chaleur, sauf que je ne l'étais pas physiquement alors que mentalement.......

Le samedi fut une journée de discussions et de promenade. Nous avons fait un détour chez moi pour que je prenne des vêtements propres avant d'aller dans un resto dès plus agréable dans les calanques. Alors que nous regardions la mer assis sur des rochers, il m'a annoncé toujours avec le même calme que le soir même j'aurai ma première punition pour avoir jouis le matin dans ses bras sans lui demander l'autorisation.

Ce ne fut pas une réelle punition mais une grisante découverte.

Nous étions dans son salon quand il m'a demandé de lui servir un apéritif puis il m'a interdit de m'asseoir. Je devais rester debout à côté du canapé sans bouger et attendre ma « punition ». Quand il m'a attirée sur lui, j'ai compris que j'allais prendre ma première fessée d'adulte. J'avais peur d'avoir mal mais je me motivais pour ne pas le décevoir. C'est lui qui ne m'a pas déçue !

Il a commencé par caresser mes fesses par-dessus ma robe avant de la remonter doucement comme pour faire durer le plaisir et faire languir ma peur. Je me souviens avoir bondi sous la première claque qui en fait n'était qu'une caresse. Lentement mais sûrement, il m'a fessée. Ces claques sur mes fesses étaient lentes et très modérées, il alternait d'une fesse à l'autre sans jamais s'arrêter. Au bout d'un moment, une impression de chaleur m'a envahie, cela piquait mais c'était bon je l'avoue sans aucune pudeur. Il a du sentir cette évolution de mes sensations car il alternait claques et caresses, ce qui me rendait folle d'excitation. Allongée sur ses genoux fesses à l'air, fessée comme une gamine j'ai commencé à planer dans le monde du plaisir dans la douleur, un plaisir nouveau que je ne connaissais pas.

J'avais un peu mal mais en même temps, je ne voulais pas que cela s'arrête. Il m'a ensuite annoncé que je n'aurai qu'une seule claque punitive pour ma première punition. Celle-là par contre je l'ai sentie passer et comme je n'avais pas dit « merci Maître » j'en ai pris une seconde du même acabit, là je n'ai pas oublié de dire « merci Maître ».

Ma « punition » terminée, étendue sur ses genoux, j'ai sentie des picotements délicieux sur mon épiderme fessier. C'était chaud, c'était bon, ainsi offerte, je n'avais pas envie de bouger, de casser la magie de ma première fessée.

C'était il y a un an et je me souviens de tout comme si c'était hier.

Aujourd'hui,


Je ne supporte pas la violence, mais j'aime qu'il me batte
Je ne supporte pas la vulgarité mais j'aime qu'il me traite de chienne
Je ne supporte pas les violeurs, mais j'aime être baisée de force
Je ne supporte pas la douleur, mais j'aime qu'il me fesse ou me fouette

Traduction

Je ne supporte pas la violence, mais j'aime qu'il me batte quand j'ai fait des bêtises mais ce n'est pas battre dans le sens de la violence conjugale. Cela me permet de grandir en tous points.

Je ne supporte pas la vulgarité mais j'aime qu'il me traite de chienne parce qu'à ses pieds j'en suis une mentalement alors que je n'aurai jamais imaginé cela.

Je ne supporte pas les violeurs, mais j'aime être baisée de force quand il me livre les yeux bandés et les mains attachées dans un gang bang.

Je ne supporte pas la douleur, mais j'aime qu'il me fesse ou me fouette quand il s'occupe de moi dans le domaine du plaisir BDSM.

Il est Mon Maître, il peut faire de moi tout ce qu'il veut,

Il est Mon Maître, je suis sa chienne, sa vide couilles

Il est Mon Maître, il est dur avec sa soumise mais il me rend heureuse, me comble au-delà de tout ce que j'aurai pu imaginer avant de le connaître.

Merci mon Maître

Votre soumise

TSM Journaliste de Fessestivites

 

 

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