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Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites
ATTENTION, ce texte écrit il y a deux ans pour un ami est assez hard voir crade. Etant prévenu, le lecteur ne pourra me
tenir rigueur si quelque chose le gêne.
Formation à la soumission par un Gay SM ouvert à l’ABDL
J’ai rencontré un gay SM très ouvert à l’ABDL sur un site de rencontres et
comme les femmes nurses sont assez
rares, étant bi, je me suis dit pourquoi pas. Pourquoi ne pas passer une soirée chez lui histoire de vivre.com/phpBB3/fetichisme-medical/colon-h quelques passions. La rencontre s’est faite le
plus naturellement possible, échanges d’émail, tel et RDV. Je fus très surpris par sa personnalité, derrière son sourire et ses agréables conversation, se cache un Maître
particulièrement sévère. Lors de la première rencontre, nous avons discutés longuement avant qu’il ne s’occupe de moi comme une nurse le ferait avec un enfant, hormis quelques claques sur mes
fesses, il n’a pas fait de SM avec moi. Il a fait pire.
Il s’est amusé à mettre le feu à mes neurones puis à créer de nouveaux fantasmes en me faisant voir des photos de soumis
entre ses mains et celles de ses amis. Pendant la soirée, Greg me parlait souvent des stages que des soumis étaient venus faire chez lui Le matériel de folie, le cadre et l’ambiance des photos
m’ont donné envie d’aller plus loin pour voir. J’ai donc accepté de venir faire un stage chez lui, un stage BDSM pas trop hard disait-il avec des couches pour certaines pratiques. L’envie de
vivre un stage DL forcé me séduisant, nous avons donc pris date pour les vacances de la Toussaint. Côté pratique, je devais lui donner 200 euros en espèce pour contribuer aux frais de la
semaine pendant laquelle il me fournirait tout, tout signifiant, le gîte, le couvert, les couches, les lubrifiants, préservatifs. Pendant la semaine, mes neurones se sont enflammés à en avoir
mal aux mains.
Le vendredi de mon arrivée, il m’a envoyé prendre une douche et me faire un lavement afin que mon colon soit propre. La chose faite, il m’a posé un
collier d’esclave fermant à clé puis m’a offert un whisky coca monstrueusement tassé en m’expliquant les règles du jeu. Sécurité maximum pour tout, le « non » m’était interdit, il allait me
faire vivre un stage progressif mais comme si j’avais été enlevé. Le whisky coca terminé, j’ai signé une décharge pour qu’il ne soit pas ennuyé en cas d’accident, chose pouvant hélas arriver
malgré les précautions d’usage. Je n’ai rien lu, j’ai signé en lui faisant confiance avant de le laisser m’enfiler une camisole de force. Une fois fermée, il m’a attrapé par la queue pour me
conduire dans son donjon où je dus prendre place sur son sling. Sous camisole de force, dans le sling avec les jambes attachées en V, je ne pouvais pas lui être plus offert. Les mains gantées,
il s’est immédiatement attaqué à mon cul qu’il trouva étroit, et pour cause, hormis pour les choses naturelles, il ne sert que très rarement et accueille de petits plugs sans prétention. Greg
fut relativement doux mais il s’entêta à me dilater le cul. Il massa ma prostate avec un savoir faire tel qu’il me fit tourner la tête et que mon sexe même mou se mit à
couler.
Quand il a sorti sa bite, j’ai compris pourquoi il m’avait préparé le cul ! Je me suis fait défoncer à en perdre le souffle
pendant un bon moment sans aucune possibilité de résister. Mon corps se balançait avec le sling dans un bruit de chaîne accompagné de mes cris, j’ai vécu cela comme un véritable viol tant il
fut rude. Il se retira soudain, arracha son préservatif pour venir me la mettre dans la bouche. Je n’avais jamais avalé ni même reçu du sperme dans la bouche, mais je n’ai rien dit. Le sucer
fut douloureux pour mes mâchoires, plusieurs fois j’ai du luter pour ne pas vomir quand il allait jusqu’au fond de ma gorge. Il a soudain bloqué ma tête pour s’enfoncer le plus loin possible
dans ma bouche en poussant des grognements. Tant bien que mal j’ai avalé sa semence généreuses et salée pendant qu’il agitait ma tête comme un malade. Après s’être vidé les couilles, Greg est
revenu s’occuper de mon cul en me disant qu’il fallait me dilater. Il a introduit un gros plug dans mon anus avant de me mettre une grosse couche qu’il a renforcé avec du scotch d’emballage. Un quart d’heure plus tard,
complètement chamboulé par ce début de stage, je mangeais comme un chien des petits pois en boite dans une gamelle à même le sol du donjon. Greg m’a ensuite libéré de la camisole de force pour
me mettre des menottes « spécial police » avant de me pousser sans ménagement dans une cage. Je pensais que cela allait s’arrêter là mais non, il fixa une chaîne à mes menottes pour me bloquer
les mains sur les barreaux juste au-dessous d’un gros rond en métal, laissant imaginer que la bouche des soumis passés dans cette cage était parfois utilisée. En guise de boisson, il m’a donné
un biberon de whisky coca toujours autant tassé.
La nuit en cage fut difficile et très inconfortable. Difficile car mon cul s’est révolté, ma bite s’est mise à bander mais
avec les mains enchaînées, je ne pouvais rien faire. J’avais beau essayer de pousser pour chasser son plug, à par me faire mal, je n’arrivais à rien. Sans lumière il est difficile d’avoir une
notion de l’heure, hormis dormir ou essayer de dormir, on ne peut rien faire pour tuer le temps. Une odeur me gênait, ma couche me semblait bien pleine, alors que je n’avais souvenir d’avoir bu
au point de la remplir ainsi. Si la nuit fut difficile, le réveil fut hard ! Il m’arracha de mon sommeil pour me faire passer la tête dans le trou et quand j’ai voulu résister, il a pris un
truc électrique pour me balancer des décharges. Quand j’ai voulu arrêter le stage, il m’a remis deux décharges supplémentaires en me rappelant que je n’avais plus que deux droits : me taire et
subir. Son truc électrique faisant un mal de chien, j’ai donc passé ma tête dans le trou. A peine passée, il a glissé deux plaques m’emprisonnant comme un pilori. A quatre pattes dans la cage
avec la tête dehors, face à Greg tenant toujours son truc électrique infernal, je n’ai pas eu d’autre choix que d’ouvrir ma bouche quand il me l’a demandé. Dix minutes et quelques haut-le-cœur
plus tard, j’ai reçu une décharge de sperme en guise de café.
La chose faite, il a libéré ma tête puis m’a tendu un biberon de café froid avant de quitter les lieux et d’éteindre la
lumière sans plus de considération. Quand je me suis calé dans la cage, dans ma couche ce fut Beyrouth, les odeurs s’en échappant me firent comprendre que j’avais eu de très sérieuses fuites
anales malgré le plug. Une bonne heure plus tard, à la louche car dans le noir on ne peut qu’imaginer, il est venu me sortir en me criant « à la douche gros porc ». J’étais debout dans sa
douche quand il a retiré ma couche pleine de merde. Il m’a lavé à grand d’eau sans être gêné par la matière ou les odeurs avant de me sécher sommairement et de me remettre une couche pour me
reconduire à la cage. Le plug que j’avais dans le cul était un plug de dilatation percé pour pouvoir être porté 24/24. Vers midi, enfin je suppose, il me redonna un biberon de whisky coca
toujours autant tassé et un jambon beurre en guise de repas. En fin d’après-midi, il vint me chercher pour me conduire à nouveau à la douche qui fut aussi dégueulasse que la précédente mais
cette fois, il me retira le plug à l’aide de lubrifiant avant de me faire un lavement façon gay avec un tube se fixant sur la douche. Il me tartina ensuite l’anus d’une crème apaisante en me
complimentant sur ma résistance psychologique tout en instant sur le fait que d’autres auraient craqué. Il me remit une petite couche avant de m’offrir un apéro avec son éternel whisky coca
toujours autant chargé.
- Ce soir va être un grand soir pour toi, m’annonça t-il en me fixant des fers de bagnards aux pieds, tu vas t’éclater et
vivre des choses superbes, quand tu repartiras, tu auras la tête pleine de souvenir et tu auras énormément progressé dans ta soumission. Attend-toi à jouir comme un malade.
Il me retira les menottes pour me faire mettre une camisole de force en gros cuir noir, avec des ouvertures au niveau des
tétons. Greg me prit par la tête pour me conduire à l’entrée de sa maison où je découvris une drôle d’installation. Sur le mur, il avait fixé une barre verticale avec une sorte d’équerre
portant un plug de bonne taille recouvert d’un préservatif et d’un peu de lubrifiant. Il m’ordonna de m’empaler dessus, chose que je fis sans trop de peine, mon anus étant bien ouvert par les
traitements subits depuis mon arrivée. Il ajusta l’équerre avant de me faire écarter les jambes pour y fixer une barre d’écartement. En écartant les pieds je n’ai pas eu d’autres choix que de
m’empaler totalement et très profondément. Il me posa un bâillon puis fixa ma tête à la barre verticale avant de poser des pinces à sein diaboliques reliées par une chaîne. Il me posa un
cockring en cuir puis un étireur de couilles et malgré mes cris une cage de
chasteté dent de Kali sur la queue. Abandonné ainsi dans l’entrée, j’avais mal de partout et quand j’ai voulu me plaindre en geignant je me suis fait traiter de chochotte. La
sonnette m’a fait bondir, Greg a ouvert la porte à deux de ses amis, leur a fait la bise et m’a présenté comme le stagiaire et accessoirement le portemanteau. L’un d’eux n’a pas hésité un
instant, il a posé sa veste, l’a posée sur un cintre qu’il a accroché à la chaîne de mes pinces à sein. La douleur me fit crier dans le bâillon ce qui ne l’offusqua pas pour autant. Il me
flatta les couilles y accrocha son sac et me souhaita une bonne soirée. Des envies de meurtre me sont passées par la tête.
Un bon moment plus tard, Greg est venu me soulager en retirant avec beaucoup de douceur les horribles pinces. Il fixa une
laisse au cadenas de la cage de Kali pour me conduire à ses invités. L’un des deux était nu aux pieds de son Maître avec une gamelle posée devant lui. Dans sa grande générosité, Greg me servit
une gamelle de whisky coca, retira mon bâillon et m’invita à prendre l’apéro avec eux. Sans plus aucune honte, j’avais tant soif que j’ai bu comme un fou aux pieds de Maître Henri. Quelques
instants plus tard, quand il a sorti une cagoule uro de son sac, j’ai pris peur ! Le soumis habitué présenta sa tête sans aucune résistance pour qu’il la lui pose et là, Maître Henri se leva
pour s’y soulager la vessie. Le soumis buvait son urine bruyamment mais à aucun moment il n’a essayé de fuir. Greg fit de même un moment plus tard, le pauvre soumis avala sans jamais se
rebeller, au contraire, il bandait ! ! ! Greg m’attrapa la tête en m’ordonnant de lécher la goûte chose que je fis avec une certaine appréhension pour finalement me rendre compte que ce n’est
pas si horrible que je ne l’imaginais. En guise de repas quatre étoiles, nous avons partagé deux pizzas surgelées arrosées au whisky coca. La soirée fut accès sexe pour sexe sur les soumis, nos
bouches et culs furent copieusement utilisés par des doigts, des bites, des godes et une main entière pour le soumis qui se fit copieusement fister.
Le comble de l’horreur pour moi est arrivé juste après !
Greg me fit monter sur le sling pour m’introduire le plug de dilatation qu’il fixa avec des cordelettes par peur que je ne
le rejette. Pendant ce temps, Maître Henri passait une camisole de force à soumis carpette qu’il entrava solidement sous une sorte de chaise carcan faite en gros bois avec l’assise faite de
deux barres servant de pieds mobiles. Greg m’entrava jambes écartées sur cette chaise, mon cul était juste au dessus du visage de soumis carpette. Il me retira la cage de chasteté de Kali pour
pouvoir mettre mon sexe et mes couilles dans une sorte de préservatif le recouvrant totalement. A l’extrémité du tube servant à loger le pénis, il y avait un tube permettant d’uriner. C’est
quand ils ont mis une grosse cagoule ouverte à soumis carpette que j’ai compris leurs intentions, ou du moins, que j’ai cru comprendre. Sur cette cagoule ils y ont vissé un ballon rigide avant
d’y placer deux tubes. Le premier fut relié à mon sexe pour qu’il collecte mes urines, le deuxième à mon plug de dilatation dont Greg retira le bouchon pour y brancher le tube. Devant ma
révolte et mon agitation, ils ont doublé mes entraves et m’ont collé de force la cagoule uro. Par chance, ils n’ont pas uriné dans le réceptacle, mais ils y ont vidé un peu de leurs bières en
trinquant avec moi. Après avoir pas mal picolé et m’avoir fait boire de la bière, ils nous ont souhaité bonne nuit en nous laissant sans éteindre la lumière. Comme chacun sait, la bière fait
pisser. Sachant que je ne tiendrais pas la nuit, j’ai donc abreuvé soumis carpette qui n’eut aucun mouvement dé révolte. Un bon moment plus tard, alors que je commençais à m’endormir, soumis
carpette s’est mis à s’agiter et à faire de drôles de bruits. Et là, j’ai pris conscience de ce qu’il se passait. Le plug de dilation sans bouchon ne retenait rien de…. J’étais écoeuré à deux
doigts de vomir mais je me suis retenu comme un fou car avec la cagoule uro sur le visage les résultats risquaient d’être dramatiques.
Un très long moment plus tard, ils sont venus nous libérer, je fus mis en couche et menotté dans ma cage comme la première
nuit. Le matin, Maître Henri voulu tester mes « qualités buccales », je n’ai opposé aucune résistance car le truc électrique de Greg est vraiment horrible. Après l’abominable douche et le
lavement donnée par Greg, il mit le bouchon à mon anneau de dilatation et m’ordonna de faire le ménage, soumis carpette ayant pour mission de préparer le repas du midi. Si le repas se déroula
normalement, les Maîtres à table et les soumis par terre en gamelle, la sieste quant à elle fut très SM. Soumis carpette se fit copieusement fouetter pendant que Greg s’amusait à me dilater le
cul avec un plug gonflant. Greg me fit m’allonger sur le ventre sur le sling, pour que mon petit cul « qui deviendra grand » lui soit bien offert. Il m’entrava sérieusement. La pauvre carpette
ayant le corps strié, Maître Henri décida de lui donner un peu de repos en lui ordonnant de passer sous le sling pour me faire une pipe. Les lanières du martinet me firent bondir plusieurs
fois, mais Greg étant modéré, cela était très supportable d’autant que carpette suce comme un dieu. Mon cul fut offert à Maître Henri qui ne s’en priva pas. Etant maintenant bien ouvert
analement, entre ses coups de bites et la pipe de carpette, j’allais m’envoler quand Greg armé d’un fouet court me tendit sa bite en m’ordonnant de boire. Je pense qu’ils ont conjugué leur
effort pour me faire franchir le pas de l’uro, j’ai bu à la source en me faisant défoncer le cul et sucer par un vorace et le pire c’est que j’ai jouis comme un fou. Avant de libérer la loque
humaine que j’étais, Greg m’a mis un anneau de dilatation encore plus gros puis une couche avant de m’envoyer menotté retrouver ma cage.
La semaine fut plus calme, j’ai beaucoup dormi. Le rituel du matin ne changea pas, pipe, douche, couche, cage jusqu’au soir
avec deux biberons et deux sandwichs. Le soir, j’avais droit au martinet, à de l’étirement de couille, de la dilatation, il me baisait le cul avant de venir finir dans ma bouche qu’il semble
apprécier. Le jeudi soir, il est parvenu à me fister et à me faire grimper aux rideaux.
Le dernier soir, fut très hard, mon état d’esprit ayant changé, j’acceptais tout sans résister en prenant du plaisir quand
cela m’était accordé. Je me suis fait fouetter pour la première fois pendant que carpette me bouffait la bite comme un malade avec interdiction de me faire jouir. J’avais un plug de 10
centimètres dans le cul quand je me suis laissé mettre la cagoule uro, Greg s’y est soulagé pendant que carpette avait comme ordre de me faire jouir. J’ai bu, j’y ai trouvé du plaisir alors que
je n’aurai jamais pensé faire cela un jour. J’ai du remercier carpette de ma bouche, je l’ai fait avec plaisir et conviction pour le remercier de m’avoir si bien accompagné dans toutes les
épreuves que j’avais vécu en sa compagnie. Ce soir là, Greg me mit une couche mais pas les menottes, il ne ferma pas la cage dans laquelle j’ai dormi. Cette soudaine liberté me gêna presque,
tout comme le fait de devoir aller prendre mon café avec Greg assis à la table de la cuisine. Nous avons longuement discuté de ce qu’il s’est passé dans la semaine, j’ai tenu à lui faire sa
pipe du matin, il a accepté avec le sourire du conquistador en coin. Greg ma conseillé de porter des couches pendant quelques jours, je temps que je redevienne 100 % continent. Quitter ces
lieux de débauche totale m’a ému, je ne le remercierai jamais de m’avoir fait vivre tout cela.
Ma sexualité n’a pas changé, je suis toujours bisexuel, disons que je prends maintenant bien plus de plaisir avec les
hommes, avant ils n’étaient pour moi, qu’un exutoire en remplacement des femdom ou nurses. Le gag, c’est que je viens d’en rencontrer une qui semble craquer pour moi, croisons
les doigts pour que cela dure.
Ecrivaillon
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