Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 11:29

Discipline domestique différences avec fessée érotique

PREAMBULE

DD égale Discipline Domestique dans le texte

- La fessée érotique n'a aucun rapport avec le DD et le BDSM. Il convient donc de différencier les trois.

- La fessée érotique = plaisir, sensualité, érotisme. Il n'y a aucune domination, juste du plaisir dans la fessée.

- Le BDSM = Bondage, Domination, Soumission, Masochisme. C'est un tout autre monde avec ses codes et ses règles (discutables à foison)

- La DD = Discipline Domestique avec une part avouée ou non de domination / soumission puisque la femme accepte la discipline imposée par son mari ainsi que les punitions y afférents.

STOP : cet post n'aborde la DD que dans le sens de l'homme dit « fort », il tient à séparer les sujets afin que la discussion ne parte pas dans tous les sens. Il existe bel est bien des couples où c'est la femme qui tient le martinet et ces couples le vivent souvent très bien.

QUESTIONS :

Est-ce que la DD masculine est une forme de propagande machiste désireuse de maintenir la pression sociale exercé depuis la nuit des temps par l'éducation judéo-chrétienne ?

Pour la femme, est-ce un rêve inavoué d'avoir un besoin de soumission par l'envie de cadre strict et de punitions ?

Tout un poème !

Il faut savoir qu'une discipline domestique sans faille n'est parfois que pour satisfaire un véritable besoin de soumission / cadre / punition de la part de la femme sans tomber dans le BDSM. Alors avant de critiquer la DD dans un couple méditez et surtout respectez leurs façons de voir et de vivre leur vie.

L'égalité sociale des sexes existe ou tout du moins dans les textes de loi. De fait aujourd'hui fesser sa femme est condamnable et condamné. (Et inversement mais peu fréquent)

Il est à noter que la DD se rapproche énormément de l'éducation anglaise qui a elle aussi ses cadres et ses règles portant sur la tenue vestimentaires, les obligations et horaires dans la maison, en extérieur, .....

MESDAMES acceptez-vous ou accepteriez-vous que votre mari pratique la DD ?

MESSIEURS acceptez-vous l'idée de diriger et de « punir votre femme en pratiquant la DD ?

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Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 11:29

Bloquées par l’idée de donner la fessée ?



Lors des discussions et échanges autour de la fessée, il apparaît très clairement que beaucoup de femmes sont bloquées à l’idée de donner une fessée érotique à leur mari.

 

Ce sujet n’aborde pas la domination féminine ou le BDSM, merci d’essayer de rester dans la logique de la fessée comme plaisirs mutuels et partagés.

CONSTAT

Des milliers voir des millions de personnes aiment la fessée érotique.
Des milliers voir des millions de personnes s’accordent à dire que la fessée érotique donne du plaisir.

QUESTION :

Pourquoi les hommes n’auraient-ils pas le droit d’avoir ce plaisir ?

Cette question en génère d’autres bien plus insidieuses ou gênantes parce qu’elles affectent notre éducation judéo-chrétienne et la place de l’homme. L’homme dans notre éducation judéo-chrétienne se doit d’être fort, d’être le chef de famille, d’être la protection du foyer et celui qui apporte l’argent et la nourriture à la maison.

OUI MAIS !

Oui mais, la conjoncture fait qu’aujourd’hui, les femmes travaillent et contribuent économiquement à la vie du foyer.

Oui mais, aujourd’hui certaines femmes travaillent pour « exister » socialement parlant car le ménage, la bouffe et l’éducation des enfants comme seul vernis social n’est pas toujours suffisant pour leur épanouissement.

Oui mais, aujourd’hui certaines femmes sont chefs d’entreprise, politiciennes ou cadres supérieur voir même militaires ou dans les forces de l’ordre.

La question que l’on peut se poser est donc pourquoi malgré ces révolutions sociétales sur la place et le rôle des femmes dans la société, fesser leur mari reste un blocage pour un grand nombre de femmes ?

Est-ce parce qu’elles sont égoïstes en refusant de donner ce plaisir à leur mari ? (Question provocatrice je l’admets)

Est-ce parce que dans notre éducation judéo-chrétienne, la femme touche là ses limites en désirant conserver l’homme sa place de « dominant protecteur » ?

Si la réponse est « oui » à la dernière question, (lol là gente féminine va bondir) est-ce parce qu’elles sentent soumises à l’homme « dominant protecteur » ?

STOP aux mauvaises langues ! Je ne prêche pas pour ma paroisse, traduire mes fesses LOL !
Si j’ouvre ce post c’est parce que de nombreux membres masculins aimeraient partager les plaisirs de la fessée avec leurs épouses et se heurtent à des réfutations ou à leur propre gêne. Mes questions volontairement percutantes et provocatrices n’ont pour objectifs que de faire réagir et se poser des questions.

Et vous, vous en pensez quoi ?

RAPPEL : ce sujet n’aborde pas la domination féminine ou le BDSM, merci d’essayer de rester dans la logique de la fessée comme plaisirs mutuels et partagés.

 

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Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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Samedi 9 novembre 6 09 /11 /Nov 12:00

Violée à la banque devant mes collègues

Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Une de mes anciennes histoires retrouvées sur un disque dur.

Viol violence et fantasmes
………………

J’étais en train de faire le virement que Madame Michel fait à son petit fils chaque mois quand ils sont entrés. Cagoulés et armes à la main, ils se sont mis à hurler en braquant les clients. Mon collègue a appuyé sur l’alarme et s’est couché jeté à terre en essayant de fuir alors que je levais les mains comme ils le demandaient. Tout est alors allé très vite, ils ont tiré sur mon collègue en le blessant à l’épaule pendant que les clients se couchaient à terre en hurlant.

« Le fric » criait l’un d’entre eux en me donnant un sac, j’aurai bien voulu lui donner sauf que je n’ai pas accès au coffre et que nous n’avons pas de liquidité à l’accueil. Apeurée je me suis levée en gardant les main en l’air pour lui faire voir qu’il pouvait venir prendre ce qu’il voulait et quand il a fait le tour du comptoir, il a pu constater que je n’avais pas d’argent.

« Où est le fric » criait-il en me braquant son arme sur la tempe. Je l’ai alors conduit au coffre dont la porte est fermée et dont nous n’avons pas la clé. Je lui ai expliqué comme j’ai pu, il a voulut que je lui donne l’accès aux deux distributeurs. Là aussi, j’ai fait ce qu’il voulait mais nous n’avons accès qu’à la partie technique, tout au plus nous pouvons récupérer une carte bleue, pas accéder à l’argent en l’absence du directeur. Des coups de feu ont été tirés devant la porte de la banque, l’un des gangsters s’est écarté un instant avant de prendre un client comme bouclier et de le forcer à tirer le rideau métallique de la porte d’entrée. C’est là que nous avons compris que la police était devant la porte et que nous étions pris en otage.

J’ai 21 ans, j’ai eu la chance de pouvoir entrer à la banque avec l’aide d’une amie qui m’a recommandée, il parait que je suis belle comme un cœur, il est vrai que je fais des effets aux garçons mais j’étais loin d’imaginer ce qu’il allait m’arriver et de toute cette violence.

Pour aller à l’essentiel, la banque a été cernée, les négociations ont commencé et les gangsters se sont installés en nous mettant tous devant la porte d’entrée puis devant la poste du personnel. Nous étions leur bouclier. J’ai alors demandé si je pouvais m’occuper de mon confrère blessé car si j’ai abandonné mes études d’infirmière, j’en ai gardé les notions d’urgence. Ils ont dit oui mais c’est là que l’un d’eux a commencé à me reluquer. J’essayais tant bien que mal de ne pas le regarder mais cela n’a rien changé. Son regard m’affolait car il en disait long sur ses envies. Une fois que j’ai eu terminé de penser la blessure de mon collègue, il m’a plaquée au mur en me disant de ne pas faire la maligne. Son arme appuyée sous ma mâchoire m’affolait, je n’opposais aucune résistance par peur de mourir et là, il a commencé à me tripoter. Sa main s’est insinuée sous ma jupe pour venir flatter ma chouchounette à travers ma culotte. Je l’ai supplié d’arrêter mais il n’en avait que faire.

Un des gangsters est intervenu en lui criant qu’il y avait autre chose à faire, mon violeur lui a répondu qu’à prendre perpette, autant prendre un peu de bon temps. Sa main s’est alors glissée dans ma culotte pour me masser l’entre jambe avant de fourrer sans plus de précaution un de ses doigts dans ma chatte. Je ne savais pas quoi faire, son arme sous ma mâchoire me tétanisait. Au bout de quelques instant j’ai essayé de lutter et de résister, il m’a quasiment soulevée avec son arme sous ma mâchoire. Sur la pointe des pieds, les yeux en larme, je me suis laissée tripoter sans pouvoir rien faire pour me soustraire à l’ignoble attouchement.

Il a fait une pause quand le téléphone a sonné puis pendant la discussion avec les flics qui connaissaient déjà le nom du chauffeur de la voiture devant leur permettre de prendre la fuite. Il m’a jetée à terre, je n’ai pas résisté, puis est allé voir à la porte. Ce qu’il a vu l’a convaincu qu’ils étaient faits comme des rats. Ils se sont disputés et ont retiré leur cagoule sans même couper les caméras internes de la banque. J’ai compris à ce moment là, que la journée allait être longue si nous nous en sortions vivants.

Rachid, mon violeur était désespéré et agressait verbalement ses acolytes qui lui ont demandé de se calmer en arabe, du moins, est-ce ce que j’en ai compris. Après avoir tourné en rond et qu’ils aient fouillé la banque en jetant tout par terre, Rachid est revenu vers moi. « Autant prendre un peu de plaisir avant de mourir m’a-t-il dit en descendant la braguette de son pantalon. Son arme posée contre la tempe, j’ai essayé de le supplier mais en vain, je n’ai pas résisté quand il a attiré ma tête sur son sexe mou. Mon collègue blessé couché à terre assistait à ma déchéance en comprenant que je n’avais pas le choix. Il a baissé les yeux pendant que je faisais une pipe malgré moi.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, Rachid s’est mis à bander alors que sa propre vie était en jeu. Je me serai bien volontiers passé de ses commentaires élogieux sur la façon de sucer qui a fait rire ses acolytes. Moi je n’avais qu’une envie, en finir pour sauver ma vie et retourner avec les autres mais il en a décidé autrement. Attrapée par les cheveux, j’ai été conduite au comptoir sur lequel il m’a obligée à me coucher. Quand il a arraché ma culotte j’ai compris que rien ne me serait épargné.

Son sexe bandait dur entre mes jambes, d’une main il a entrepris de le guider entre mes lèvres intimes et quand il a trouvé ce qu’il cherchait, il m’a pénétrée d’un seul coup. Mon cri de douleur et de désespoir n’est pas passé inaperçu mais personne n’a bougé pendant mon viol, que pouvaient-ils faire avec des armes pointées sur eux ?

Rachid m’a possédée comme un malade en indiquant que j’étais une bonne chatte bien étroite, ses commentaires m’ont fait aussi mal que sa bite. Les clients et mes collègues de travail me regardaient, ils ne voyaient que mon visage mais comprenaient tout, sans besoin d’avoir un dessin. Quelques minutes plus tard il se vidait en moi et me polluait en poussant des cris de porc que l’on égorge.

Je ne pleurais pas, j’étais sans voix, comme tétanisée quand un de ses pots a fait le tour du comptoir pour prendre sa place en disant qu’après tout quitte à mourir, autant prendre du bon temps. Lui aussi m’a pénétrée sans ménagement, regarder Rachid l’avait sûrement excité. Par contre, tout en me baisant il a tenu à me retirer mon chemisier et mon soutien-gorge pour jouer avec mes « mamelles ». A ce moment là, je n’étais plus qu’un pantin de chair, je n’avais pas droit à la pudeur ou au respect. Quand il s’est retiré pour poser son gland sur mon cul j’ai essayé de résister, le coup de crosse qu’il m’a donné sur la tête a refreiné mes réfutations. Si j’ai déjà été sodomisée et y ais pris plaisir, sa brutalité m’a fait extrêmement mal. Le téléphone a encore sonné, le chef a répondu mais je ne saurai dire ce qu’il c’est dit, j’étais ailleurs à ce moment là.

Il m’a sodomisée comme un malade en criant que j’avais un « bon cul de salope» avant de se mettre lui aussi à beugler en me polluant. Quelques minutes plus tard, il m’a raccompagnée si l’on puis dire, avec les autres, j’étais nue, mes vêtements ayant été arrachés. Un client m’a passé son blouson pour que je puisse me couvrir. Du sperme coulait de mon sexe, je l’ai regardé sans même essayer de m’essuyer.

Quatre heures plus tard, le chef a eu aussi envie de moi et m’a appelée. « Salope vient me soulager » ! Cria t’il sans plus de considération. J’ai résisté quand il m’a attrapée par les cheveux, un client est intervenu et s’est pris un coup de crosse dans la figure avant de s’écrouler sur le sol le nez en sang. Le chef m’a obligée à le sucer devant tout le monde, sa fierté consistait à sortir sa bite de ma bouche et à la remettre comme si son vernis social se limitait à son sexe. A quatre pattes devant le comptoir et devant tout le monde, je me suis ensuite faite prendre en pleurant toutes les larmes de mon corps.

Soudain il y a eu un éclair puis un bruit assourdissant, des coups de feu ont éclaté, Rachid s’est écroulé devant moi avec un énorme trou sanguinolent au milieu du front. On m’a attrapée et portée dehors dans une ambulance où j’ai perdu connaissance.

Quand je me suis réveillée sur un lit d’hôpital, mon épaule était bandée jusqu’à mon sein gauche, j’ai pris deux balles dans la poitrine. Ma mère en larme me regardait sans savoir que dire hormis que les gangsters étaient tous morts, que c’était bien fait pour eux et que justice avait été faite.

Ecrivaillon

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Vendredi 8 novembre 5 08 /11 /Nov 10:42
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Domination et amour...
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Vendredi 8 novembre 5 08 /11 /Nov 10:42
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Vendredi 8 novembre 5 08 /11 /Nov 10:41
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Vendredi 8 novembre 5 08 /11 /Nov 10:40
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 8 novembre 5 08 /11 /Nov 10:39
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 8 novembre 5 08 /11 /Nov 10:36

Un selfbondage d'enfer plug et couche


Quand j'ai reçu un superbe plug de dilatation avec trois boules, de la plus petite à la plus grosse. Avec ses six centimètres, la plus grosse m'a paru un peu excessive par rapport à ce que je peux prendre. La tentation fut grande de l'essayer et comme je m'en doutais, mon petit cul n'est arrivé à prendre que les deux premières. En toute honnêteté je me suis éclaté au sens propre comme au sens figuré, car la dilatation anale génère en moi beaucoup de plaisir et cette satanée troisième boule et devenu un objectif toutefois raisonnable. Pour y parvenir et vibrer plus encore m'est venue l'idée de me faire une séance de selfbondage.

J'ai donc j'ai fabriqué un gros ice-timer avec les clés des menottes et commencé à préparer le matériel. J'allais m'asseoir sur le gros plug en m'entravant sur une chaise. Afin de multiplier les sensations, deux pinces à linge titilleraient mes tétons. Pour m'interdire le retrait des pinces avant la fin, une fois posées et orientées vers le bas, j'ai prévu un soutien-gorge et un body féminin avec des coussinets en mousse à la poitrine, le tout serait protégé de mes mains par une grenouillère se fermant dans le dos.

La chaise posée devant la table, fut équipée de quatre sangles, une par cheville, une pour bloquer mes jambe en position assise, une pour me maintenir plaqué contre le dossier de la chaise.

Au niveau des mains, les menottes bien sur et pour que mes mains ne puissent pas parvenir aux sangle j'ai mis une chaînette par-dessus la table. Pour le réglage, il fallait qu'une fois assis, je mette mes poignets en avant et que la chaîne bloquant les menottes soit assez longue pour que je puisse bouger les mains mais m'empêche de me libérer. Une fois les réglages effectués, sur cette table j'ai posé mon ordinateur portable et mon téléphone sans fil en cas d'urgence puis quelques bières. Cette préparation m'a mis dans un état d'excitation monstrueux. Le temps que le glaçon se fasse mes surfs sur Fessestivites n'ont rien arrangé à mon envie de folies......

Trois heures d'excitation plus tard

J'ai commencé par jouer avec le plug en m'interdisant de toucher à Popaul. Une fois partiellement en place, traduire les deux premières boules logées dans mon fondement, j'ai isolé la zone prohibée de devant avec une grosse couche bien serrée. Mon sexe orienté vers le bas était furieux, il désirait monter..... Après avoir mis une culotte en plastique, j'ai donc mis une pince à linge sur mes tétons et le soutien-gorge qui m'empêcherait de les retirer avant la fin de mon selfbondage. Par-dessus le tout, j'ai enfilé le body faisant une épaisseur supplémentaire au niveau des seins puis la grenouillère fermant dans le dos. Chaque mouvement fait agissait sur mes tétons et mon anus en cours de dilatation. Hum et aie car à certains moment cela faisait un peu mal.

Arrivé à la cuisine j'ai sorti mon saladier d'eau congelée contenant les clés des menottes et la ficelle de sécurité que j'ai attaché aux menottes pour la sécurité de mon selfbondage. J'ai ensuite pris place en douceur sur la chaise maudite sans pouvoir m'asseoir totalement pour cause de plug, la troisième boule et mon anus étant en conflit. Sans tarder et tout en ayant chaud, tout cela me donnant chaud et m'excitant, j'ai serré les sangles maintenant mes chevilles aux pieds de la chaise, puis celle passant sur mes cuisses pour m'interdire de me relever. Une fois bien serrée, j'ai fait de même avec celle qui allait me maintenir trois heure assis le dos bien droit plaqué contre le dossier. Je n'avais pas encore finit mes réglages que le plug profondément enfoncé dans mon cul commença à faire ses effets douleurs / plaisir. La maison étant fermée à clé, mon téléphone accessible en cas d'urgence, fermer les menottes sur mes poignets fut fait comme une urgence. Les clics métalliques me donnèrent encore plus chaud.... à la tête.

Les bières me firent de l'œil, satisfaire les envies d'être bue de l'une d'entre elle me parut une bonne idée pendant que l'ordinateur s'allumait. Les muscles de mes cuisses essayant de limiter mon assise commencèrent à me faire mal, les relâcher avant d'avoir une crampe fut une nécessité qui se répercuta sur mon anus résistant toujours à la troisième boule du plug pourtant ultra lubrifié. Ouf ouf ouf..... Pendant un moment, j'ai eu l'impression que ma rosette prenait feu pour causse d'importante dilatation. Pour atténuer cette sensation, je ne pouvais rien faire hormis bouger des fesses comme une chienne en chaleur se frottant le cul sur le sol. Et là, j'ai réellement commencé à transpirer puis à me dire que j'avais été présomptueux sur la taille du plug !

A bout de souffle et à moitié bourré pour cause de suroxygénation due à la respiration trop rapide et avec de plus en plus mal aux muscles des cuisses, m'asseoir totalement fut une obligation. La partie évasée du plug ne passait pas totalement mon anus, la douleur intense me poussa à donner un coup de reins pour la faire passer, chose que je fis courageusement et surtout parce que je n'avais plus le choix. J'ai crié tout seul au moment du coup de feu dans mon cul, avant de savourer d'immenses plaisirs liés au soulagement de mon anus glissant vers la partie moins large du plug et à la sensation d'être totalement comblé. Ma vessie a rendu l'âme, là aussi pendant que je m'abandonnais dans ma couche, agiter les fesses comme une chienne en chaleur généra de sublimes sensations.

Bien que mon anus me fasse encore un peu mal, j'étais vraiment bien, cette impression d'être « plein » était dès plus grisante. Pour tuer le temps en savourant ces effets aussi magiques que pervers, je me suis mis à surfer. Les histoires et vidéos allumèrent plus encore ses nonnes de malade mental pendant une heure malgré les douleurs commençant à pointer leur nez au niveau de mes tétons. La glace emprisonnant les clés de mes menottes commençait à peine à fondre, j'ai essayé de retirer les pinces à seins mais en vain, longueur de la chaîne me permettait à peine de toucher ma poitrine du bout d'un doigt.

La deuxième bière me fit de l'œil, j'ai cédé à ses appels en en vidant un peu sur le glaçon contenant les clés des menottes pour le motiver dans sa fonte. La révolte du trou du cul se faisait sentir, pour la mater, hormis faire la petite chienne en bougeant les fesses, je n'avais aucune échappatoire si ce n'est que de prendre la dernière bière que j'ai encore partagée avec le glaçon une heure plus tard.

Bien plus tard, avec d'énormes précautions, mes doigts gelés finirent par arracher la clé des griffes de la glace. Si libérer mes cuisses fut facile, me contorsionner pour ouvrir la sangle me maintenant assis généra des douleurs au niveau de mes tétons et des « émotions » anales.... Une impression de chaleur me submergea à nouveau, impression partagée avec la couche par un pipi généreux mais contrôlé afin de ne pas tout lâcher d'un coup et générer des fuites. Hummmm. Me pencher sur le côté pour libérer mes chevilles engendra là aussi son lot d'émotions anales, pour cause de variations du poids de mon corps assis sur le plug.

Une fois libéré des entraves, je me suis levé avant de me tenir au buffet pour cause d'étourdissements. Avec prudence j'ai pris la direction de la chambre pour qu'en cas de malaise je puisse m'étendre rapidement sur le lit. Marcher produisit de drôle de chose dans mon petit trou devenu grand ! Attraper dans mon dos la fermeture éclair de la grenouillère fit un mal de chien à mes tétons, ma poitrine se tendant dans le geste quand mes mains atteignirent ma nuque. La grenouillère retirée, le body me posa un gros souci. Après l'avoir détaché entre les jambes, il me fallait soit le faire passer par-dessus ma tête, soit agiter mes épaules pour en extraire mes bras.

Dans les deux cas, ma poitrine allait se tendre et mes tétons en faire les frais. Mes prévisions furent juste question tension, j'en ai profité pour retirer en même temps les bretelles du soutien-gorge que je n'ai pas tardé déplacer sur mon ventre puis à faire tourner sur mon corps malgré les douleurs pour le détacher. Avec patience et longueur de temps, bien mieux que la force et la rage, j'ai ouvert le plus lentement possible les pinces à linge pour libérer mes tétons. La patience en ces moments délicats est recommandée.

Etendu sur le dos dans mon lit, j'ai baissé la culotte en plastique et ouvert la couche pour retirer le plug. Collé ! Il était collé ! Encore une fois avec patience et lubrifiant, (cela change ta phrase si connue, désolé Jean de la Fontaine mais pas le choix) je suis parvenu à le faire tourner sur lui-même puis à l'expulser. AHOUUUUUUUUUUU ! Une fois libéré, mon anus s'est mis à se contracter comme un vagin en pleine jouissance. Mon sexe commençant à couler tout seul, je n'ai pas eu d'autres choix que de l'aider......

La jouissance m'ayant terrassé, j'ai refermé la couche, remis la culotte en plastique pour m'endormir comme un bien heureux.

FIN

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Shibari bondage BDSM
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Mercredi 6 novembre 3 06 /11 /Nov 11:28

Soumis voulait voir le sexe de Maîtresse Carla


Résumé : cette histoire BDSM aborde la punition d’un soumis par une sévère Maîtresse.

Maîtresse Carla est d’une humeur massacrante aujourd’hui, son soumis va en subir les conséquences. Non pas qu’il soit son souffre douleur mais parce qu’il mérite une punition.

- Soumis, la semaine dernière, tu as profité de mon inattention pour mater mes fesses par la porte de la salle de bain, ce n’est pas bien.

- Ah non Maîtresse, je n’aurai pas osé !

- Tu mens, je t’ai vu dans le miroir ! Lui répond Maîtresse Carla en lui donnant une gifle dès plus appuyée. Je t’ai vu. Au lieu de faire le ménage tu as profité que la porte ne ferme plus pour venir mater mes fesses. Ah cela se rajoute le mensonge et le mot « non » que tu viens de dire.

Soumis reconnaît ses fautes aussitôt et se confond en excuses, promet qu’il ne le fera plus mais il est trop tard, Maîtresse Carla va le punir sévèrement et il le sait. Soumis étant maso, elle lui concocte une punition qu’il n’est pas près d’oublier.

- Allez, avoue que cela te plairait de voir ma chatte ! Lui demande Carla en l’obligeant à la regarder dans les yeux.

- J’avoue que j’aimerai apprécier du regard votre corps de reine. Lui répond soumis qui ne sait plus où se mettre. Ses mains sont moites, il regarde le sol en se demandant ce qu’il va lui arriver.

- Puisque tu veux voir ma chatte, tu vas la voir, va au donjon, déshabille-toi et attends moi en position 6.

Lorsque Maîtresse Carla entre dans le donjon, soumis est nu en position 6, la fameuse position connue exposant si bien sa soumission. Elle lui pose un bandeau sur les yeux sans dire le moindre mot, soumis ne réagit pas, sa Maîtresse peut lui faire ce qu’elle veut. Elle lui pose ensuite un bâillon particulier muni d’un trou en son centre avant de l’obliger à s’étendre sur le dos près d’un solide carcan où elle fixe ses poignets à l’aide de solide bracelet de cuir. Maîtresse Carla pose ensuite une barre d’écartement aux chevilles de soumis avant de passer une cordelette autour de ses bijoux de famille.

Dans sa panoplie d’instruments de torture, elle choisit une paire de très sévère pinces à sein reliées par une chaînette à laquelle elle rajoute une deuxième cordelette. Ces pinces ne s’arrachent pas, plus on tire, plus elles serrent et si le pauvre soumis savait ce qu’il l’attend, son sexe n’afficherait pas un début d’érection.

Maîtresse Carla fait descendre son treuil à télécommande sans fil pour y fixer au crochet la cordelette des couilles et des pinces à seins. Ce crochet se situant juste au-dessus de son soumis, lorsqu’elle enclenchera le treuil, la traction générera irrémédiablement son lot de douleur. Sous la tête de soumis, elle glisse son cube destiné au facesitting puis en actionne les molettes qui lui bloque la tête.

Convaincu qu’elle va lui imposer de lécher l’intimité dont il a tant rêvé, soumis affiche maintenant une belle et fière érection, s’il savait…. Maîtresse Carla libère les yeux de son soumis, afin qu’il puisse la voir retirer son string qu’elle vient lui faire sentir. Le parfum du corps de sa Maîtresse est un arome qu’il savoure comme un précieux cadeau. Maîtresse Carla dépose une cravache sur le carcan.

- Alors comme ça, tu veux voir ma chatte, et bien tu vas la voir, mais il y a un prix à payer pour ça. Dit-elle en actionnant la télécommande du treuil.

Soumis bombe le torse et se cambre pour essayer de limiter les effets des cordelettes. Ses tétons sont horriblement pincés, ses couilles monstrueusement étirées génèrent une douleur jusque dans ses reins.

- Regarde bien et rince-toi l’œil petite merde de voyeur et de menteur. Lui dit Maîtresse Carla en soulevant sa robe en cuir pour lui dévoiler ses trésors. Profite, le prix à payer arrive de suite, vas-y reluque bien la chatte et le cul de ta Maîtresse, profites-en tu vas pouvoir goutter son nectar.

Soumis n’a d’yeux que pour sa Maîtresse, il ose à peine regarder son anatomie, ces sont regard méchant qui l’affole. Quand elle attrape un entonnoir, il comprend aussitôt ce qu’il l’attend. Dans une main, elle tient la télécommande, dans l’autre, l’entonnoir dont elle dirige le tube dans le trou du bâillon ouvert en son centre.

- A chaque goutte que tu perds, j’appuierai sur la télécommande, tu n’aimes pas ça mais je m’en moque, une punition est une punition et là, tu en mérites trois. Une pour avoir reluqué mon intimité au lieu de faire ton travail, une pour m’avoir menti, une pour m’avoir dit le mot « non », je vais te faire une compil de punition petite merde !

Maîtresse Carla appuie une fois sur la télécommande, le crochet monte de quelques centimètres arrachant des gémissements réels et sérieux.

- Ca c’est pour avoir dit « non »

Elle se saisit de la cravache et lui en porte un coup appuyé sur ses testicules déjà bien tendus, par le bâillon s’échappe aussitôt un véritable cri d’agonie.

- Ca c’est pour m’avoir menti.

Maîtresse Carla retire le string du nez de son soumis pour le placer sous sa nuque avant de se prendre place juste au dessus de l’entonnoir en lui rappelant qu’à chaque goutte perdue, elle appuiera sur la télécommande. Soumis est réellement affolé, jamais sa Maîtresse n’est allée aussi loin dans la douleur et une punition. La douleur de ses seins et de ses tétons est telle qu’il en a les yeux qui mouillent et le pire, c’est qu’il sait que quand Maîtresse annonce quelque chose, elle le fait toujours. S’il perd une goûte de son champagne doré, Maîtresse Carla est réellement capable de le suspendre par les couilles et les tétons 


Lorsqu’il perçoit le bruit du pipi de l’enfer pour lui, soumis se concentre aussitôt. Le liquide chaud et salé parvient à sa bouche, il s’efforce d’avaler le premier jet mais n’y parvient pas totalement. Maîtresse Carla lui fait voir la télécommande avec un sourire sadique posé sur ses lèvres avant d’effleurer le bouton de l’enfer. Le treuil n’a bougé que de quelques millimètres mais suffisamment pour qu’il en sente les effets.

- On continue, tu as intérêt à boire tout ce champagne que j’ai gardé pour toi, sans quoi je te suspends par les couilles et je te chasse ensuite pour m’avoir mentie.

Maîtresse Carla libère sa vessie par petits jets, soumis cette fois ne se laisse pas surprendre et avale consciencieusement malgré son dégoût la totalité de ce que l’on appelle le champagne doré.

Maîtresse Carla satisfaite de l’effort de son soumis, agite la télécommande devant ses yeux en déposant l’entonnoir sur le sol. Soumis est mort de trouille car la douleur des pinces sur ses tétons est insupportable tout comme ses couilles qu’il regrette presque d’avoir. Quand sa Maîtresse appuie sur la télécommande il ferme les yeux de peur mais au lieu de monter, le crochet du treuil redescend doucement diminuant de fait la pression sur ses couilles et ses seins. Une fois son soumis posé sur le sol, elle retire le bâillon qu’elle dépose à côté de l’entonnoir.

Soumis fait alors un gros effort pour dire « merci Maîtresse » car il est agité par une très sérieuse envie de rébellion.

- Puisque tu as encaissé ta punition comme un bon soumis et que tu m’as remerciée de t’avir puni, je vais t’accorder une récompense exceptionnelle, le droit de me lécher. Lui indique Maîtresse Carla en prenant place sur son cube facesitting.

Malgré les monstrueuses douleurs qui accompagnent le retrait des pinces à seins et son horrible punition, soumis fond de bonheur en léchant l’intimité salée de sa Maîtresse. Glissant de plus en plus dans les abîmes creusés par ses fantasmes, il se plairait soudain à déguster quelques gouttes de plus du nectar de sa Maîtresse. Le nez sur la délicieuse rondelle étoilée de sa Maîtresse, la langue au plus profond de son initimité, il plonge dans un océan de plaisir agité par les flux et les reflux de son masochisme quand elle entreprend de masser ses tétons.

Une cacophonie de sentiments et un camaïeu d’étoiles lui emplissent la tête quand quelques minutes plus tard elle libère ses couilles devenant bleues. Il ne comprend pas ce qui lui arrive, outre le dégoût qui l’a submergé, ce mélange de souffrances extrêmes et de plaisirs étranges malgré ce qu’elle vient de lui faire vivre le perturbe au plus haut point. Une pulsion plus forte que sa volonté le pousse à embrasser les pieds de sa Maîtresse lorsqu’elle le libère.

Il ne la décevra plus c’est une certitude mais est-ce parce qu’elle l’a maté ou est-ce à cause de ce sentiment d’appartenance encore plus fort que l’amour qu’il lui porte ?

TSM

 

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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