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Avec mon amie rencontrée sur Fessestivites que je remercie au passage, nous avons exploré les voies interdites du libertinage qui ne nous a pas réellement comblés puis du BDSM. N’étant pas farouche,
Lina a accepté de jouer des deux côtés du manche du martinet et s’est offerte à moi plus d’une fois pour des fessées cuisantes et des viols torrides. Pour les viols, je lui attachais les mains à la
tête du lit avec une chaînette lorsque nous allions nous coucher et prenais beaucoup de plaisir à lui dire quand je lui faisais l’amour « là tu vas avoir du mal à me dire que tu as mal à la
tête…. ».
Si elle adorait les viols du soir, elle aimait nettement moins ceux du matin quand le sexe de l’homme affiche sa plénitude
et nous montre les étoiles…. Mon plus gros délire était de la réveiller en la tirant par les pieds et puis de la prendre comme ça à la hussarde sans crier gare. Elle m’a traité de salop plus
d’une fois mais comme notre jeu était le « viol » elle ne pouvait y échapper.
Si j’aimais beaucoup la dominer puis la prendre quand j’en avais envie ou me faire tailler des pipes à toute heure, lorsque nous avons
décidé de switcher, ma salope d’amour s’est vengée !
Vous connaissez les femmes, quand elles veulent être sadiques et cruelles avec un homme, elles sont très perverses, surtout
quand elles se font des amies sur le chat. On peut dire qu’elle a eu de très mauvaises relations sur Fessestivites, surtout avec Vivi une charmante garce
bourrée de mauvaises idées ABDL !
La semaine suivante, elle me fit porter la cage de chasteté pendant trois jours non stop mais comme elle
avait ses règles, elle ne put se faire bouffer la chatte, ce qui fit que je suis resté chaste au sens propre du terme hormis quelques massages avec des huiles quelle affectionne. Au bout des
trois jours, comme je transpire beaucoup, ma peau toute irritée l’obligea à me retirer la cage de chasteté et là, ma surprise fut de taille !!!!!!!!!!!!!!! Etendu sur le dos jambes écartées et
mains attachées à la chaîne qui me servait pour ses viols, je la regardais avec un plaisir non dissimulé me talquer l’entre-jambe en affichant un sourire banane. Et là, surprise de chez
surprise, de dessous l’oreiller Lina attrapa une couche et
un body féminin qu’elle agita sous mon nez avec son air sadique que je n’aime pas. Devant ma résistance pour la couche, elle attrapa mes couilles et se mit à les serrer comme
des citrons ! Cet endroit de l’anatomie masculine est notre faiblesse, je ne pus qu’abdiquer et soulever mes fesses pour qu’elle puisse y glisser sa putain de couche. Lina m’enfila le body
sculptant par le bas puis mon pantalon dont elle remplaça la ceinture par la chaînette qu’elle ferma avec un cadenas.
Elle m’expliqua ensuite que le body sculptant cachait totalement la couche et que sous mes vêtements au pire les gens
pourraient penser que je portais un débardeur. Devant mes réfutations pour sortir avec ça, Lina mit une chaîne à mes chevilles et l’attacha aux pieds du lit puis, en grande salope, se mit à me
faire des chatouilles en chevauchant mon pantalon à la hauteur du sexe. J’ai donc fini par abdiquer pour une fois les mains libérées accepter de finir de mettre le haut du body puis une
chemise. Elle me promit de me le retirer si cela se voyait puis me libéra complètement. Debout devant le miroir de l’armoire, j’avais des doutes, elle fit des photos pour me convaincre et là,
je fus obligé de constater que l’on ne voyait rien. C’est donc avec une couche et vêtu d’un body féminin caché sous mes vêtements que je suis allé faire les courses avec ma garce d’amour qui en
a profité pour faire les boutiques.
La nature ayant ses limites, mon premier pipi couche a eu lieu en pleine galerie marchande devant la vitrine d’une
boutique. J’étais blême, j’avais l’impression que tout le monde me regardait. Mon second pipi couche eut lieu en fin d’après-midi au rayon viande du supermarché du coin, sous
les yeux amusés de Lina qui comprit la chose à mon regard et au fait que j’étais immobile avec un regard stoïque devant les saucisses. La soir au coucher, une fois que mes mains furent
attachées à la tête du lit, elle me changea comme un bébé, me lava puis me mit deux tonnes de crème contre les irritations puis me remit une couche. Si faire pipi dans la couche debout dans les
boutiques fut dur, le faire au lit fut bien plus difficile mais le pire allait arriver.
Au réveil, en ce dimanche de l’an de grâce 2013, je dus lui bouffer la chatte et la faire jouir sous peine de devoir faire
mon « gros caca » dans ma couche, chose impensable pour moi. Une fois la belle comblée, si je puis dire, elle me libéra de la couche mais pas les poignets. C’est donc les mains liées que j’ai
été conduit aux toilettes pour faire ma grosse commission porte ouverte sous ses commentaires ironiques. Une fois douché par Lina, (ça finalement c’est sympa) j’ai retrouvé ma cage de chasteté avec un certain soulagement. Toutes les
nuits j’ai du porter une couche et dormir attaché puis passer une seconde journée en couche et body sauf que c’était au travail….
Je ne remercie pas Vivi pour ses idées loufoques ni ABCplaisir.com qui vend de belles choses mais cruelles
pour la fierté d’un homme.
Compte-rendu rédigé pour Fessestivites.com à la demande de ma Maîtresse.
Ecrivaillon
La vidéo de ce cours de piano sous cage de chasteté est ici
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par TSM
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La vidéo de ce cours de piano sous cage de chasteté avec une prof de piano diabolique est ici
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Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites
- Alors comme ça tu cherches une Maîtresse parce que je suis une coincée du cul ! Crie Anna furieuse
lorsque son mari arrive un soir à la maison.
- Tu délires chérie !
- C’est moi qui délire ou c’est toi qui est un menteur ?
- Mais c’est quoi ce délire ?
- Prend-moi pour une conne, le speudo « pauvre soumis délaissé » sur Fessestivites, je l’invente
?
- Mais ce n’est qu’un délire sur le net, que vas-tu penser !
- Oui c’est sûr, et dans tes messages envoyés, cette correspondance avec une certaine Maîtresse Carla à qui tu donnes ton
numéro de portable, et à qui en plus tu racontes des tas de trucs sur moi, c’est juste un délire bien sur ! Tout comme la photo de nous deux sur la plage où j’apparais les seins nus sur ton
profil, c’est aussi une illusion ?
- Je m’amuse avec mes fantasmes mais c’est tout, ne vas pas penser que je t’ai trompée.
- Je ne pense rien p’tit con, je constate que tu donnes ton portable et m’exposes sur le net à visage découvert et seins
nus en me faisant passer pour une Maîtresse qui te délaisse. J’ai aussi lu tes textes et tes déclarations aux Maîtresses qui te plaisent, Maîtresses qui comme par hasard sont dans la région !
Comme c’est juste pour délirer avec tes fantasmes……. tu ne les choisis pas trop loin….. c’est 100 % logique. Si elles étaient au Canada ou de l’autre côté de l’hexagone j’aurais pu te croire……
Crie Anna en toisant son mari. Puisque tu veux une Maîtresse, tu vas en avoir une, et crois-moi sur parole « pauvre soumis délaissé », délaissé tu ne vas plus l’être.
Devant cette avalanche de preuves, Henri perd pieds mais ne s’imagine pas être le soumis de sa femme, pour lui c’est
impensable. Une sérieuse dispute éclate, dispute pour laquelle Anna n’y va pas par quatre chemins. Soit il accepte de devenir son soumis, soit elle demande le divorce à tord pour Henri en
apportant les preuves qu’elle a imprimées à son avocat.
En tant qu’avocat, Henri est mal, il sait même qu’il est très très mal ! Sa femme a raison sur toute la ligne pour le
divorce, il s’imagine même les bruits de couloir au palais de justice si elle demande le divorce. Pour ne pas perdre sa femme, être condamné à une pension alimentaire et détruire sa réputation,
il n’a pas trop le choix. Il essaye de négocier, chose dès plus délicate avec une femme furieuse s’estimant trahie, et qui dispose des preuves de cette trahison.
- Tu n’as pas de chance p’tit soumis……. ! Conclue Anna avec une voix dédaigneuse. Si je ne connais rien au
BDSM ou à la domination, j’ai eu une enfance dure avec un père particulièrement rude, tu vas apprendre à marcher droit crois-moi ! Va au salon, met-toi nu,
j’arrive.
Henri n’arrive pas à admettre ce qui lui arrive, s’il fantasmait sur des séances BDSM très érotique, il se
déroule soudain devant lui un avenir bien difficile. Ce n’est pas qu’il soit pudique, mais se dévêtir ainsi sur ordre et attendre sa femme au salon lui semble impossible. Lorsque Anna arrive au
salon avec la grosse spatules en bois servant pour ses confitures, il est torse nu, bloqué devant la ceinture de son pantalon qu’il n’arrive pas à défaire. Toujours aussi furieuse, elle ne
l’épargne pas et lui impose de se mettre nu en retirant elle-même la ceinture de son pantalon.
- Tu ne vas quand même pas me battre ?
- Te battre ? Non, te fesser et te punir oui ! N’est-ce pas ce que tu demandais à Maîtresse Carla
?
Une fois qu’il est intégralement nu au milieu du salon, Anna tourne autour de lui et tape dans sa propre main avec l’énorme
spatule tout en listant les fautes de son mari. Très narcissique, elle ajoute même que la sentence sera assortie de travaux d’intérêt général pendant sa réclusion criminelle à perpétuité. Forcé
de se pencher sur la table de la salle à manger, ses fesses sont exposées au courroux de sa femme, semble t’il bien décidée à devenir sa Maîtresse. Au premier coup de spatule
qui s’abat sur son fessier, Henri pousse un cri, se redresse et se frotte les fesses en jetant un regard méchant à sa femme.
- Cela ne fait que commencer, tu vas prendre 30 coups, si tu bouges, je recommence à zéro. Quand il nous punissait, mon
père nous les faisait compter, tu vas faire de même. Ne me fait pas ton regard de méchant, tu n’y couperas pas, ta vie va changer, c’est ça ou le divorce. Lui indique Anna avec une voix ne
laissant aucun doute possible sur ses intentions.
Les coups de spatule s’abattant sur ses fesses lui font un mal de chien, Henri serre les poings et les dents pour ne pas
hurler, en se faisant rappeler à l’ordre quand il ne compte pas. Les 30 coups sont vécus par Henri comme un calvaire, au trentième il est à bout de souffle, ses yeux sont gorgés de larmes
difficilement contenues. Elle lui ordonne de ne pas bouger et s’en va dans la cuisine un instant, pour en revenir avec un tablier de cuisinière en plastique.
- Mets ça et va faire la vaisselle, je n’ai pas eu le temps aujourd’hui, j’ai passé la journée sur l’ordinateur à lire et
imprimer tout ce que j’ai pu. Ne rêve pas, les documents ne sont plus à la maison et j’ai changé ton mot de passe sur Fessestivites ainsi que l’adresse email.
Totalement désarçonné par cette fessée, après la robe noire des avocats portée le matin même, Henri porte maintenant un tablier de cuisinière en
plastique rose avec des fleurs. Par la fente un peu coquine de derrière, on peut apercevoir une partie de ses fesses rouges, détail qu’Anna ne loupe pas en venant contrôler, ce qui la
fait sourire. Sourire parce que cela lui rappelle quelques souvenirs de jeunesse, de l’époque où ses frères se moquaient d’elle quand elle était fessée ou punie.
L’ambiance du repas n’est pas à la fête, Henri bougonne, Anna n’en a que faire et le presse afin qu’il fasse la vaisselle
avant qu’elle ne s’occupe de lui, en bonne Maîtresse tyrannique. Ces propos n’amusent pas l’avocat, comme l’on peut s’en douter. Avant même qu’il ait terminée la vaisselle, revêtue d’une
magnifique robe noire, Anna entre dans la cuisine avec la ceinture d’un peignoir dans une main et la ceinture de cuir du pantalon d’Henri dans l’autre. Pendant qu’il frotte les assiettes, elle
s’amuse à caresser le beau fessier de son mari, soudain troublé, il n’a pas l’habitude qu’on lui touche les fesses. Anna passe la ceinture de cuir autour du cou de son mari, puis lui retire son
tablier de cuisinière avant de le forcer à mettre ses poignets dans le dos qu’elle lie avec la ceinture du peignoir. Tiré par le cou comme un esclave, totalement dépité et sans volonté, il suit
sa nouvelle Maîtresse qui le fait s’étendre sur la moquette de la chambre.
- Grâce à toi, j’ai découvert une expression que je ne connaissais pas, le « facesitting », je connaissais évidement le 69, mais je ne suis pas
d’humeur à te faire une gâterie. Lui indique Anna en enfourchant le visage d’Henri. Lèche bien et fait moi jouir, si tu faiblis de ta langue si habille au tribunal et pour Maîtresse Carla, je
t’arrache les tétons.
Le nez logé entre les fesses de sa femme, il se met à lécher ses lèvres généreuses, mais Anna en veut plus et commence à
écraser les tétons de son mari tout en se penchant un peu en avant pour qu’il accède à son bouton magique. Au plus elle écrase son visage, au plus elle pince ses tétons, au plus la verge
d’Henri se gonfle, au point d’afficher quelques secondes plus tard une magnifique érection.
« Mais il aime vraiment ça », constate Anna en découvrant la personnalité cachée de son mari après dix ans de mariage.
Amusée de ces réactions et des bonds qu’il fait quand elle s’acharne sur ses tétons, Anna commence réellement à s’exciter, à en vouloir plus. Ni une ni deux, elle se lève, se tourne puis
s’empale sur le sexe de son mari. Les mains attachées dans le dos, ses poignets supportent le poids de son corps et celui de sa femme qui, à la recherche de son plaisir, commence à réellement
le chevaucher avec fougue. D’une main elle tire sur la ceinture toujours attachée au cou de son mari, de l’autre elle se caresse en le chevauchant. Henri dépassé par les évènements grogne
soudain de plaisir, se contracte et jouit quasiment de suite, ce qui rend Anna folle de rage, elle commençait elle aussi à gravir l’échelle des plaisirs. Le sexe de l’avocat ne tarde pas à
mollir et à « s’échapper » de l’intimité de son épouse bien décidée à assouvir sa faim de jouissance.
- Puisque tu as déjà jouis, tu vas finir ton travail avec ta langue ! Indique aussitôt Anna en s’asseyant à nouveau sur son
visage pour se refaire faire un facesitting.
Anna est déchaînée, elle se frotte contre le nez d’Henri, lui arrache presque les tétons pour qu’il lui donne le plaisir
attendu. Noyé dans les généreuses sécrétions de sa femme et son propre sperme, sous la douleur devenant lancinante engendrée par les pincements de ses tétons, Henri se tord dans tous les sens
mais n’a d’autres choix que de lécher le plus vite possible pour qu’elle jouisse et le libère. D’une petite taille sous celle de sa femme plus enrobée, l’avocat ayant les mains liées dans le
dos ne peut que subir. S’il avait rêvé de facestting forcé, il n’avait jamais imaginé que son épouse puisse lui imposer de le faire avec sa chatte engluée. Comme si elle était envoûtée par la
situation, Anna écrase de plus en plus le visage de son mari, avant d’abandonner un de ses tétons pour se masturber jusqu’à la conclusion tant désirée.
Un premier orgasme fulgurant la terrasse mais elle en veut encore et encore. L’avocat commence à comprendre le sens du mot
« violé ». Profitant d’un de ses « rebonds » il tourne la tête à la recherche d’air frais, puis la supplie de le libérer. Anna voit les choses autrement, elle se lève en tirant sur la ceinture
toujours autour du cou de son mari pour s’allonger sur le lit en tirant la tête du malheureux pour se faire brouter le minou. Henri œuvre tant qu’il le peut pour la satisfaire pendant qu’elle
agite son bouton magique comme si elle avait la maladie de Parkinson.
Epuisée et repue, Anna passe sous les draps et libère les mains de son mari. Il frotte aussitôt ses poignets endoloris et
n’ose pas regarder sa femme dans les yeux, elle sait maintenant qu’il est réellement soumis. Quand elle lui ordonne d’aller préparer le café pour le lendemain avant de venir se coucher, cet
ordre est presque comme une libération, il a besoin de temps pour digérer tout ce qu’il vient de lui arriver.
EPILOGUE
Anna a modifié le pseudo de son mari sur Fessestivites, c’est aujourd’hui MaîtresseA, elle prend plaisir à surfer et à
dialoguer sur le chat et les forums avec ses nouvelles amies, Maîtresse Carla lui donne même des astuces et des conseils de dominatrice. Henri quant à lui, s’enfonce de plus en plus dans la
soumission, il n’est pas rare de le voir nu avec un plug entre ses fesses striées en train de laver les sols à quatre pattes entre les talons hauts de sa femme.
La garde robe de MaîtresseA évolue de jour en jour tout comme les accessoires SM qu’elle achète régulièrement dans la
boutique www.ABCplaisir.com
TSM
P.S. Un autre titre que « Une femme furieuse peut devenir Maîtresse » est possible : « Quand un faux profil devient un vrai
profil »…….
Mon Maître m'avait mis la pression la vielle en me disant qu'Il allait me faire vivre une chose nouvelle que je ne connaissais pas !
Faisant entièrement confiance en mon Maître ne m’empêchait pas de me poser des questions,
Qu'allait-il me faire vivre que je ne connaissais pas encore !
J'avais de la crainte et de l'excitation en même temps ! Une seule chose à faire : attendre le
lendemain,
A mon réveil, je vais dans la cuisine pour faire un gros gâté à mon Maître et lui demander un CCP ( café,cigarette, pipi),
comme d'habitude, quand d'un ton ferme Il me dit :
« tu fais bisou , pipi et tu reviens me voir ! »
Pas encore bien réveillée, sans café ni cigarette ! Ça s’annonçait mal,
J’exécute sans dire un mot, je reviens le voir avec une petite angoisse de ne pas encore savoir ce qui m'attend, sur la
table des gants en forme de pattes de chien, une chaîne, et des genouillères, A ce moment là, je comprends que je vais vivre une journée de Chienne,
Tout en me mettant les gants et la chaîne autour de mon cou avec un cadenas Il me parle, disant :
« à partir de maintenant tu ne parles plus, les chiennes ne parlent pas, »
Nouvelle expérience pour moi mais comme j'aime la D/S je n’étais pas trop perturbée, fallait juste que je rentre dedans, me
comporter comme une petite chienne, Sa petite chienne !
Me voici nue à quatre pattes , pour seuls habits les gants avec de grands coussinets très
agréablement doux, deux élastiques dans mes cheveux pour en faire deux couettes et la chaîne autour de mon cou qu'Il tient
dans sa main. Il me mène dans son bureau, « Allez petite chienne, avance ! » d'un ton si gentil que je rentre de suite dans mon rôle,
A l'entrée, il y a une couverture par terre derrière son bureau où je m’installe comme le ferait une chienne obéissante.
Mon Maître attache la chaîne autour du pied de son fauteuil ,sort du bureau pour y revenir avec une gamelle rempli de café et deux biscuits qu'Il jette au sol en me disant :
«Interdiction de dire le moindre mot, si tu as besoin de quelques choses tu te débrouilles pour que je comprenne comme le
font les chiennes »
Je bois mon café et mange mes biscuits sans les mais et reste à ma place, je m ennuie alors j'entreprends de jouer, je tire
ma couverture avec les dents sous le bureau de mon Maître qui me laisse faire. J'arrange ma couche et me love sur ses pieds que je lèche et embrasse, à ce moment là je suis bien,
heureuse.
,
Je ne dois pas trop le déranger car Il travaille, mais une chienne sait-elle que son Maître travaille ?
Alors je reste sage quelques instants puis me viens l'envie de bouger encore et encore,envie de jouer, j'essaie d'attirer
son attention, j'y arrive, Il recule son fauteuil , me regarde et me lance à plusieurs reprise une peluche que je vais chercher à quatre pattes et lui ramène en feintant de lui donner,
« La petite chienne est joueuse » me dit Il en souriant, » cette petite distraction m'a permise de me défouler un peu,et d'amuser mon Maître,
Donne si tu veux fumer , sans hésiter une seconde je Lui donne la peluche délicatement dans les mains, pour avoir une
goulet de cigarette tant attendu depuis mon réveil, Il me l'a met dans ma bouche car mes pattes ne peuvent pas la tenir puis me la reprend, Il jette a nouveau la peluche en me disant « va
chercher si tu veux fumer », et ainsi de suite, jusqu’à 'à la fin de la cigarette, autant dire que pour fumer quand on est chienne c'est du sport !
Je retourne à ma place sous le bureau, je suis bien, heureuse, et reste sage au point de m'endormir avec son pied entre mes
bras,
Une envie pressente me réveille, comment vais-je me faire comprendre ? Oui je sais, je sors de ma couche vais vers la
porte et je gratte celle-ci en insistant, ça m'amuse, et je prends mon rôle à cœur,
mon Maître se lève prend la chaîne et dit :
« on va faire pisser la petite chienne ? »
Me voilà à marcher à quatre pattes sur la terrasse pour rejoindre le jardin et y faire mes besoins sous l’œil attentif de
mon Maître qui me reconduit sans tarder parce qu'il fait froid à ma place sous le bureau,
Allongée sur ma couverture je suis aux pieds de mon Maître, heureuse, sereine,
Par moment quand me prend l'envie de jouer je mord son pantalon en le secouant, je fais la belle Il me tend sa main ouverte
avec un sucre que je prends délicatement avec ma bouche, j'ai même eu droit à des croquettes de chien ! Comme je ne dois pas parler , pour Le remercier je Lui lèche les mains,
Je retourne à ma place , j'ai des pensées plein la tête, suis-je une bonne chienne ? Ai-je amusé mon Maître ? Je
pense que oui car j'ai pris beaucoup de plaisir à être sa petite chienne,
Un peu plus tard dans la matinée alors que j’étais sage Il sort et me dit : « garde le bureau je vais boire
une café et je reviens » et là, la petite chienne que je suis n'aime pas se sentir seule, elle se sent abandonnée. Alors j'ouvre la porte et marche à quatre pattes jusqu'à la cuisine pour
le rejoindre, en grattant la porte, Il m'ouvre, je suis heureuse, je retrouve mon Maître ! je rentre en Lui faisant un grand sourire comme je sais faire et m'amuse en lui mordant le
pantalon, en gesticulant de tout les cotés pour attirer son attention.
Je suis joueuse me dit-Il , oui je suis très joueuse au point de jouer même avec le chien qui est dans la
cuisine ! !
La journée de petite chienne se termine là,
Libérée de mes « habits » de chienne je me lève sur mes deux pieds je serre mon Maître dans mes bras, je suis
heureuse à en pleurer,
Cette expérience m'a beaucoup plu, j'ai adoré, me sentir petite chienne aux pieds de mon Maître un vrai délice,
Je remercie mon Maître, Maître TSM de m'avoir fait vivre cette expérience qui n'est pas incompatible aux respect qu Il me
porte en tout temps,
Soumise GinOu
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Comme moyen de transport prisé par les amants en quête de changement ou de tranquillité....., la voiture est un terrain de jeux érotiques où plus de deux Français sur trois se seraient déjà amusés. La voiture représente également un espace certes public mais qui offre un certain abri du regard extérieur en fonction des lieux. A chacun sa façon de choisir et doser son goût du risque.
La voiture est un lieu neutre et mobile pratique pour briser la routine et jouer avec l'ivresse de l'interdit. Attention, la voiture même garée dans un endroit discret ne vous mettra pas complètement à l'abri de la patrouille de police ou du badaud passant par là...
La voiture est un lieu idéal pour quelques jeux de rôle coquins de type « l'autostoppeur et la conductrice entreprenante », ou encore pour rejouer le fameux « coup de la panne ». Avec un peu d'imagination et de pratique, on peut en exploiter toutes les ressources et adapter positions et plaisirs en fonction de la partie de voiture choisie.
Les exhibitions simples
Faire d exhibitions sur l'autoroute à faible vitesse en doublant les camions est quelque chose d'assez fréquent mais
attention, est-ce bien prudent de détourner l'attention d'un chauffeur conduisant un 38 tonnes ? Allez acheter une glace à Mac-Do par exemple ou mettre de l'essence ou passer par les péages
avec un guichet permet de jouer plus ou moins avec le regard des autres.
Véhicule à l'arrêt :
A l'extérieur, parmi les positions les plus pratiquées, on y trouve madame penchée ou couchée sur le capot de la voiture ou penchée par la fenêtre ouverte fesses à l'extérieur, une manière de goûter aux plaisirs de la levrette à l'air libre ! Couchée sur le dos sur le capot de la voiture est aussi très sympathique mais attention, les tôles deviennent si fines que le capot risque de se creuser et de conserver une forme « indélicate ». L'attelage attire certaines gourmandes, pensez au préservatif à mettre sur la boule pour préserver la santé de madame. La tête dans le coffre le capot maintenu fermé par une corde est parfois utilisé par les adeptes du BDSM ....
A l'intérieur du véhicule c'est plus étriqué et sportif bien que certaines voitures permettent d'abattre la banquette arrière et d'offrir un espace proche d'un lit. Si ce n'est pas le cas, la banquette arrière offre des possibilités multiples y compris en ouvrant une des vitres arrières.
Les précautions
Il est important de rappeler les quelques règles à suivre lorsqu'il s'agit de s'ébattre dans un lieu public, de surcroît
lorsque ce lieu public est capable d'être lancé à plus de 90 km/h... La voiture doit être à l'arrêt si vous câliner, n'oubliez pas que des vies sont en jeu.
Afin d'éviter de mettre votre vie et celles des autres en danger, prenez toujours le temps de vous garer et de couper le contact avant de commencer toute caresse. Certains n'ont pas eu cette patience et en ont payé les frais...
Choisissez l'endroit et le moment
En pleine campagne à la lisière d'une forêt de jour comme de nuit ou si vous habitez une zone plus peuplée, choisissez un endroit relativement désert mais qui n'éveille pas l'attention. Si vous êtes la seule voiture garée dans ce parking abandonné, une patrouille de police sera tentée de mettre son nez. Garez-vous au milieu d'autres voitures, la nuit, et pas juste en dessous d'un lampadaire. Les parkings souterrains vous offriront également une tranquillité assez sûre !
Au regard des autres et de la loi
Article 222-32 du Code pénal : « L'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du
public est puni d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende ». Il s'agit cependant d'une peine maximale rarement appliquée à moins que vous ne vous ne soyez des multirécidivistes. Des
excuses accompagnées de « si ma femme l'apprend je suis dans la merde.... » sont 100 fois mieux que « on ne fait rien de mal ».
Une petite idée de jeu ?
Mettez des pinces aux lèvres intimes de madame nue sous sa jupe ou sa robe et sur ces pinces, faites un crochet avec un trombone. Allez faire des courses. Arrivés sur le parking du supermarché accrochez les clés de la voiture aux pinces. Elles doivent y rester pendant toute la durée des courses.
Et si vous nous racontiez vos aventures en voiture sur le forum des libertins ici ?
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