Vendredi 22 novembre 5 22 /11 /Nov 19:08

BDSM



BDSM
BDSM quand on essaye
BDSM quand on essaye et que l’on t’aime
BDSM quand cela devient un but dans la vie

 

Le BDSM a toujours titillé mes neurones mais ce n’était qu’un fantasme. En cachette de mon mari, bien trop réservé et pudique, sur internet j’ai trouvé de quoi alimenter ma libido, comment lui dire que j’avais de folles envies ?

Comment dire à un suppléant du curé du village que l’on a envie d’être fessée, fouettée, attachée et prise de force par des hommes assoiffés de sexe sous les yeux d’un Maître prenant plaisir à m’humilier ?

Sans enfant pour cause de stérilité masculine, ma vie de femme avec Jean de 20 ans mon aîné n’était qu’ennuie. Le seigneur l’a rappelé à lui il y a 3 ans, mon deuil affectif n’a pas duré très longtemps. Quand je me suis inscrite sur Fessestivites, j’ai eu beaucoup de chance, une modératrice a guidé mes pas sur le site et dans le monde des rencontres, puis, a accepté d’être ma tutrice lors d’un pique-nique de rencontre organisé par le site. Ce week-end là, j’ai goûté au BDSM, j’ai goûté à la soumission, les personnes présentes étaient heureuses, s’amusaient sans prise de tête, personne n’avait l’air méchant.

Le fait d’être à l’opposé des clichés des donjons rouges et noirs m’a permis de faire mes premiers pas dans ce monde. Ma première fessée d’adulte fesses à l’air devant tout le monde parce que j’avais renversé mon verre, a généré en moi des envies d’aller encore plus loin. J’ai même goûté au fouet avec les mains attachées au-dessus de ma tête sous l’arbre nous ayant ombragé pendant le repas. Si j’étais attachée, je n’avais qu’un mot à dire pour que tout s’arrête, ils avaient été très clairs sur ce point. Intégralement nue, je tirais sur mes bracelets pendant que le fouet mordait ma peau et électrisait mes sens. Tout a été fait en douceur, sans violence pour me donner envie à travers ce week-end de découverte appelé « L’école du BDSM ».

Une femme soumise ronde et aux formes généreuses a lors de ce week-end vécu quelque chose qui m’a énormément impressionnée. Après avoir été fortement fouetté, attachée nue sur une table basse, elle a vécu ce qu’il appelle la jouissance forcée. Ses hurlements d’une puissance étonnante m’ont glacé le sang ! Quand je me suis décidé à entrer dans la maison pour voir ce qu’il se passait, ils étaient en train de la libérer, elle était heureuse et comblée. Pour une femme comme moi qui n’avait jamais connu la jouissance, entendre et voir ça m’a donné des envies monstrueuses.

A partir de ce jour là, j’ai décidé d’entrer dans le BDSM, il me fallait un Maître, un vrai Maître qui m’apprenne tout et me fasse vivre tout ça. Soumis Sacherm avec qui j’avais beaucoup discuté, m’a aidé à trouver mon Maître en me guidant pour trier un peu et décoder les très nombreux messages que je recevais. Merci Sacherm de ta gentillesse.

Maître T m’a reçue chez lui, j’avais une peur bleue car seule avec lui, c’était bien différent de ce pique-nique finalement très sécurisant. Il m’a posé un collier de chien autour du cou dès mon arrivée en m’expliquant que ce n’était pas un collier de soumise mais l’emblème de ma soumission et que si je désirai arrêter, je n’avais qu’à le retirer. Il a rajouté qu’en cas de souci, je n’avais qu’à dire le mot rouge, le mot de ma liberté même si j’étais attachée. Deux minutes après, j’étais couchée sur ses genoux et fessée comme une gamine. Sa fessée était douce au début, puis de plus en plus forte mais c’était bon, cela me faisait un peu mal mais qu’est-ce que c’était bon. Il m’a ensuite mise au coin comme une mauvaise élève avec ma jupe relevée, ma culotte sur les pieds et les mains derrière la tête. Je trouvais cela très humiliant mais en même temps j’étais très excitée.

Il m’avait prévenue que tout ce qu’il me ferait serait soft, son but était de me permettre de découvrir le monde BDSM, pas de m’en dégoûter. Après la fessée et le coin, il m’a ordonnée de me mettre intégralement nue et de me coucher à plat ventre sur la table. Après m’avoir bandé les yeux, il m’a fait de la bougie et du glaçon sur les fesses et le dos. J’ai crié plus d’une fois au début alors il m’a forcée à avouer que je n’avais pas mal, et il avait raison, j’avais juste peur. Les sensations du chaud et du froid se mélangeaient, c’était divin mais je me suis encore affolée quand la cire à commencé à couler entre me fesses. Sa voix grave et ses paroles apaisantes m’ont permis de surmonter cette épreuve et finalement d’y trouver beaucoup de plaisir. Heureusement que je n’ai pas vu le gros couteau qu’il a utilisé pour retirer la cire, sans quoi je me serais enfuie ! Quand la lame froide glissait sur ma peau pour retirer la bougie fondue, je planais sur un nuage, même quand il a écarté mes fesses pour retirer avec le couteau et ses doigts cette bougie coquine. Hormis mon gynécologue, personne n’avait encore vu mon cul d’aussi près.

J’ai eu envie de faire pipi, quoi de plus naturel me direz-vous, sauf que c’est Maître T et en BDSM, cela prend une connotation particulière, une soumise n’ayant pas le droit d’avoir d’intimité pour quelque chose d’aussi naturel. Il était face à moi et me regardait assise sur les toilettes. Je n’y arrivais pas, être regardée dans un moment pareil me bloquait. Il est resté d’un calme olympien et me souriait mais impossible d’y arriver. Il m’a abandonnée deux minutes en m’interdisant de bouger et de faire pipi en son absence pour aller chercher une serviette remplie de glaçons qu’il a posé sur mes cuisses contre mon ventre avant de prendre une chaise et de s’asseoir en face de moi. J’étais blême et lui follement amusé. Entre ma grosse envie et le froid des glaçons puis les gouttes d’eau glacée collant contre les lèvres de mon sexe, j’ai fini par y parvenir. Une fois commencé, tout est parti très vite et sans plus aucune retenue, j’étais fière. Troublée, dans une position humiliante mais fière parce que je venais de parvenir « à vaincre un tabou » comme me l’avait expliqué Maître T.

Pour fêter ça, il m’a faite asseoir par terre à côté de la table basse sur une serviette et a ouvert une bouteille de champagne, après toutes les premières émotions vécues avec lui, les bulles ont achevé ma pudeur et mes réticences. Comme j’avais fermé la porte aux aiguilles, à l’uro et à la scato mais pas au sexe, lorsque nous sommes arrivés à la moitié de la bouteille, il a trempé son gland dans sa coupe de champagne et m’a ordonné de venir le sucer. Alors j’ai fait comme sur les photos et dans les films, c’était ma première fellation. La douceur de la peau de son sexe dur m’a follement excitée, j’avais déjà envie de lui en moi, envie d’être sa chose. Le plus naturellement du monde, je lui ai indiqué que j’avais envie de lui, sa réponse fut dès plus sadique : « cela se mérite » !

Nous avons achevé la bouteille de champagne, pendant qu’il m’expliquait ce qu’il allait faire. Son but était de me faire connaître la jouissance dans l’abandon total. Quand je lui ai demandé pourquoi il avait besoin de m’attacher, sa réponse m’a surprise : « c’est pour que tu te libères encore plus ». Je n’ai compris le sens de ses mots qu’une fois entravée nue bras et jambes en croix sur son lit quand il s’est attaqué à mon sexe avec un gode vibrant et un truc vibrant diabolique pour mon clitoris. Ma retenue s’est envolée en même temps que je tirais comme une folle sur les entraves. Ma première jouissance de femme a donc été une jouissance de femme soumise attachée. C’était divin, je me souviens lui avoir dit « attendre d’avoir 40 ans pour découvrir ça ….. »

Toujours aussi respectueux, il m’a demandé s’il pouvait me prendre, comment refuser ???????

Il n’a pas fait comme mon mari qui a été mon seul et unique homme, il ne s’est pas juste servi de moi comme réceptacle. Ce sadique s’est amusé à me rendre folle en jouant à la porte de mon sexe sans pour autant me prendre. Au bout d’un moment j’ai craqué en lui criant de me prendre, moi qui était si timide avant.

- On dit baiser, on dit acceptez de me baiser Maître j’ai envie de vous ! M’a indiqué Maître T avec un sourire sadique posé sur ses lèvres.

J’ai dit ce qu’il désirait et les mots crus qui ne sont pas de mon vocabulaire, j’avais trop envie de lui. Ce fut divin d’être sa chose et horrible de ne pas pouvoir le serrer dans mes bras. En luttant dans les entraves pendant son va et vient soutenu je me suis effectivement libérée, la femme s’est libérée pour oublier la retenue, le mot « baiser » j’ai du le dire au moins 20 fois car j’avais l’impression que plus je le disais, plus il accélérait, plus c’était bon.

Quand tout c’est arrêté, j’étais morte de fatigue mais sur une autre planète, la planète nommée « bonheur ». J’étais si heureuse que je me suis mise à pleurer en me lovant dans ses bras et en serrant fort contre moi une fois libérée.

BDSM avec toi et Maître T, j’ai découvert la vie, le plaisir, la jouissance, ma vie vient de prendre un virage à 180°, je suis maintenant la soumise de Maître T et heureuse de l’être.

Ecrivaillon

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Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 10:48

BDSM strapon maitresse

Une rencontre particulièrement hard pour un soumis lors d'une rencontre Fessestivites.

 

Ili s'est offert à trois femmes déchaînées. Elles l'ont tellement défoncé (réel) qu'après être passé entyre leurs mains il lui fallait une couche pour ne pas fuir.....

 

La vidéo amateur de son après-midi est ici

 

 

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Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 10:48

bdsm strapon maitresse 1
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bdsm strapon maitresse
par TSM

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Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 10:47
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Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 09:55

Les secrets de la chambre des filles


Résumé Entre mettre quelques instants érotiques des sous-vêtements féminin et être obligé d’en porter ainsi que des couches devant une dominatrice lesbienne aussi perverse que diabolique, il y a un monde. Un monde d’une grande cruauté et à rebondissements avec des nuits en couche sous bondage, des fessées et des tonnes de choses immorales qu’un étudiant à la FAC n’aurait jamais imaginé vivre avec ses cousines diaboliques.

…………….

Cet été encore, nous nous sommes retrouvés en Bretagne dans l’immense maison familiale où chaque année la famille se retrouve depuis des lustres. L’ambiance est sympa, la plage est à deux pas, la ville n’est pas trop loin pour aller draguer, le top quand on est étudiant et sans fric comme moi. Pour cause de manque de place, mes deux cousines dorment dans la même chambre, cela ne leur pose pas de problème, elles sont déjà colocataires à Paris pour leurs études.


Un matin, la famille quitte la maison pour aller voir une exposition en ville, la peinture ne m’intéressant pas, je décline la proposition de les accompagner. Profitant d’être seul, je vais fouiner dans la chambre de mes cousines, je les sais très coquines et m’attends à des surprises. Un rapide coup d’œil dans la grande armoire ne m’offre pas de trésor féminin, tout au plus des jupes et chemisiers ou tee-shirt d’été. Lorsque je m’attaque à leur valise, ma libido déjà exacerbée prend un coup de pied dans l’échine. Sous les petites culottes que je prends plaisir à caresser, je découvre des dessous très coquins comme une culotte fendue et deux culottes en plastique avec deux couches rectangulaires assez grosses pour être de simples protections. Très attiré par les dessous féminins, je fais une très excitante séance d’essayage. Mon sexe au garde-à-vous dépasse des petites culottes dont la douceur m’enchante.


Le lit n’étant pas fait, je m’allonge dans leurs draps aux senteurs féminines avec sur moi une culotte en plastique rose. Mes mains sont attirées par mon sexe, ce qui devait arriver arriva, après quelques caresses plus intimes, je m’envole au paradis des plaisirs.

Deux filles superbes sont avec moi, l’une me caresse le corps pendant que l’autre me fait une gâterie quand soudain, un coup de sac dans la figure m’arrache de mes rêves. Mes cousines furieuses sont là avec leur téléphone portable à la main. Mes excuses les plus plates les font sourire, je sens l’embrouille grave.

  • Enfoiré, tu n’as pas honte de fouiller dans les affaires des autres ? Me demande Julie.

  • Les fouiller et les essayer tant qu’à faire. Tu es très beau en fille mes copines vont adorer ! Ajoute Laura en me faisant voir son téléphone portable.

  • Tu vas commencer par tout ranger comme il faut et puisque tu es là, fais notre lit. M’ordonne Julie.

Dans la position où je suis, je ne peux qu’accéder à leurs demandes, si elles parlent, je vais être la honte de la famille. Obligé de restituer la culotte et de m’habiller devant elles, ma pudeur est mises à mal tout comme mon moral quand soudain, Julie m’arrête et me tend une culotte en m’ordonnant de la mettre. Devant mon refus, en me montrant son téléphone portable, Julie me demande si elles font voir les photos à l’apéro ou au dessert. Que répondre ? Que faire ? Rien, hormis céder à son caprice débile.

La culotte enfilée, elles me demandent de m’habiller, cette garce de Julie en profite pour faire d’autres photos qui ne me disent rien de bon. Une fois vêtu, je fais donc leur lit à la hâte avec comme objectif de fuir leur chambre mais encore une fois Julie m’arrête avant que je ne sorte.

  • Regarde comme tu es belle ! Me dit-elle en me montrant son téléphone portable. Jusqu’à la fin des vacances, tu viendras faire notre lit et le ménage dans la chambre, sans quoi, tes vacances risquent d’être difficiles si tu vois ce que je veux dire.

  • C’est du chantage, tu es ignoble.

  • Oui, et fouiller les affaires des filles et les essayer avant de squatter leur lit pour te branler c’est quoi ? Un signe de chrétienté et de chasteté ?

  • Ce n’est quand même pas pareil.

  • Pour moi, c’est du pareil au même et puisque tu râles alors que nous pourrions te pourrir la vie aux yeux de toutes la famille voir plus, tous les soirs tu viendras chercher ma culotte sale que tu porteras le lendemain. Tu voulais les essayer, je vais t’en donner les moyens conard ! Sort de là avant que je m’énerve.

Mes 15 derniers jours de vacances furent un calvaire, mes cousines n’arrêtant pas de me prendre pour leur boy, de vérifier « mes dessous » et tenant presque tous les soirs à ce que j’enfile la culotte de Julie devant elles avant d’aller me coucher.

LA CATA !

Les arrangements familiaux sont parfois cruels ! Pour la rentrée scolaire, octobre pour moi, mes parents se sont arrangés avec ceux de mes cousines pour la colocation. Mes réfutations n’ont pas durée plus d’une minute, mon père m’ayant répondu : « on n’a pas de fric et on te paye tes études, alors si ça te plait pas tu vas à l’usine, je peux t’y faire rentrer lundi si tu veux ». Que répondre à cela ? Rien.

………………………

Le 30 septembre 2012, j’arrive donc chez mes cousines avec ma valise à roulette, mon sac à dos et mon ordinateur portable. La première chose que j’ai vue en arrivant, c'est moi avec une culotte de fille sur les fonds d’écran de leur ordinateur.

  • Notre « larbine » est arrivé ! Crie Julie à Laura dans sa douche.

Je me suis révolté, j’ai même faillit la gifler, mais elle m’a cadré de suite cette salope.

  • Ecoute conard, avant nous étions peinardes toutes les deux, maintenant il va falloir que l’on supporte une tante qui fouille dans nos affaires. Penses-tu que ta présente nous arrange ? Non, bien au contraire, tu viens polluer notre existence alors tu la fermes où je diffuse les photos de toi sur le site de la fac. Suis-je claire ?

Je suis vert de rage mais ne peux que répondre, « n’aller pas trop loin ou je vous étrangle ». Sur ces entre faits Julie me montre ma chambre et sort sans fermer la porte. Ma cousine Laura passe nue dans le couloir et me fait un petit coucou de la main. Heuuuuuu. Dix minutes plus tard, les filles m’appellent dans leur minuscule salon transformé en bureau.

  • Je vais te planter le décor « larbine ». Me dit Julie. Nous sommes toutes les deux lesbiennes, tu comprends donc que la présence d’un mec chez nous nous faire carrément chier. Nous n’allons pas changer nos habitudes pour toi et vivre notre vie comme avant. La seule variable c’est que nous avons une bonne gratuite. Tu feras le ménage et la bouffe, si tu ne sais pas la faire on t’apprendra. Tu as intérêt à te faire discret si tu ne veux pas d’embrouille, sache que nous ne voulons pas de mec à la maison. Si tu veux voir un copain, c’est dehors ou chez lui. Comme on ne veut pas de mec à la maison, Laura t’a préparé une tenue.

Laura se lève de son bureau pour déposer sur la petite table du salon une culotte, un soutien-gorge et une robe noire avant de venir s’asseoir aux pieds de Julie.

  • Il est hors de question que je m’habille avec ça ! Hurlais-je soudain.

  • Déjà Larbine, tu vas nous parler sur un autre ton. Me répond Julie avec un calme qui me surprend. Sache que je suis une dominatrice et que si je te supporte c’est parce que mes parents ne m’ont pas laissé le choix. Soit tu fais ce que je t’ordonne, soit je vais faire de ta vie un enfer. Regarde mon ordi, je n’ai que trois clics à faire pour balancer les photos de toi sur le net. Non non, ne rêve pas, il est codé et j’ai les doubles sur mon téléphone portable puis sur celui de Laura et sur un disque dur externe. Va t’habiller et ne m’énerve pas sans quoi, cette cravache va t’aider à le faire. Me dit Julie en sortant une cravache de derrière le clic-clac

Les larmes dans les yeux, je quitte le salon avec les vêtements donnés par Laura. Arrivé dans ma chambre, je médite un instant sur tout ça. Mes cousines sont lesbiennes, Julie est dominatrice et elles veulent que je sois leur larbin sans quoi, je peux dire adieu à mes études sachant qu’en prime, mon père me tuerait s’il apprenait ! ! ! OUF …… .

Enfiler des sous-vêtements féminins dans le secret de ma chambre aurait tendance à générer des réactions physiques du côté de mon bas-ventre mais là, la chose est tout autre. Je me sens ridicule au possible, sortir de ma chambre me semble impossible. La cravache à la main, Julie pousse soudain la porte et m’attrape par l’oreille comme un gamin pour me conduire au minuscule salon. Laura est nue à quatre pattes, ses délicieuses fesses attirent mon regard mais Julie m’envoie aussitôt à la cuisine faire du café que je dois leur servir.

Dans le silence seulement troublé par la cafetière, mes neurones s’affolent. Où suis-je tombé ? Que m’arrive t-il ? Les trois cafés servis, je prends un plateau pour les emmener. Arrivé au salon, Laura est couchée sur les genoux de Julie qui m’ordonne d’attendre sans bouger et de rester silencieux. Sans tenir compte de ma présence, elle entreprend de lui donner une fessée sous mes yeux ébahis. La fessée dure un long moment, les fesses de Laura virent au rouge, ses jambes se soulèvent parfois, offrant sans pudeur à mon regard gourmand d’images son petit abricot aussi lisse qu’un nouveau né. La fessée de Laura terminée, elle s’installe aussitôt à ses pieds en la remerciant ! ! ! Julie vautrée sur le clic-clac m’ordonne de servir le café et de m’asseoir par terre pour le boire.

  • Tu viens d’assister à une punition, si tu ne veux pas que je m’occupe de tes fesses, tu as intérêt à marcher droit ! Me dit Julie en me montrant du doigt.

Nous avons discuté pendant deux heures comme si de rien n’était, jusqu’au moment ou Laura m’a conduit à la cuisine pour faire le repas et me faire voir où sont les choses. La cuisine fut aussi vite préparée que consommé au salon dans la même position que pour le café : pâtes à la carbonara et raisins. Une fois consommé, Julie m’ordonne d’aller faire la vaisselle et de ranger la cuisine, chose que je fais bien volontiers en finissant par oublier ma tenue. Les choses se sont rapidement corsées quand j’ai rejoins les filles au salon ! Julie a tenu à venir vérifier mon travail, ce qui ne m’ennuyait pas outre mesure, sauf que pour elle, la vaisselle aurait du être essuyée et rangée.

  • A ton prochain loupé, je te tanne le cul larbine ! Allez on va te coucher, c’est l’heure.

A 21h, je n’avais aucune envie d’aller me coucher mais je n’ai pas trop eu le choix avec Julie qui agitait sa cravache. La surprise est arrivée dans ma chambre avec Laura qui est entrée avec une couche à la main. Elle m’a aidé à me dévêtir puis m’a demandé de m’étendre sur le lit. Julie s’est agenouillée à la tête du lit pour y attraper quelque chose de métallique en m’ordonnant de lui donner mes mains. Au moment où je les lui tendais, j’ai aperçu des menottes, le temps que je réagisse, un de mes poignets étaient prisonnier du métal. J’ai essayé pour ne pas lui donner le second, les trois puissant coups de cravache qui sont tombés sur les cuisses m’ont convaincu de céder à sa demande……


Laura est montée à son tour sur le lit pour me mettre la couche pendant que Julie m’indiquait qu’il était hors de question que je trouve un prétexte pour me lever et les voir câliner. J’étais blême et vert de rage. Quand Laura très soumise m’a demandé de l’aider, comme Julie s’énervait après elle, j’ai soulevé mes fesses et l’ai laissée me mettre une énorme couche-culotte puis la fameuse culotte en plastique que j’avais essayé dans le secret de leur chambre. Avant de me recouvrir du drap, Julie a fait quelques photos avant de fermer la porte de la chambre.


Julie et Laura lesbiennes, la fessée à laquelle j’avais assisté, Julie dominatrice m’imposant de me féminiser et me faisant dormir en couche attaché à mon lit, tout cela me perturbait grandement. Dans un sens, j’étais révolté, dans l’autre, je découvrais en vrai un monde de domination soumission que je n’avais vu que sur le net et qui m’excitait. Le voir et fantasmer est bien, le vivre obliger est autre chose.


Les cris de Laura à travers la fine cloison séparant ma chambre du salon, attirent mon attention. Que lui fait-elle pour qu’elle crie comme ça ? Le silence se fait à nouveau avant d’être troublé par des gémissements de plaisir. Avec Julie et Laura, mon année scolaire s’annonce chaude, brûlante même !

La suite des aventures de Larbine et ses cousines dominatrices est ici 

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mercredi 13 novembre 3 13 /11 /Nov 14:40

Auto dédoublement de personnalité sexuelle


AUTEUR : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Je me vois comme dans un miroir en train de me caresser les tétons alors que mes mains sont en train de me caresser les testicules et le sexe dans un moment de plaisir solitaire.

Pendant quelques secondes, je savoure les agréables sensations quand soudain quelque chose ne va pas. Comment mes deux mains peuvent-elles être sur mon sexe est mes deux tétons en même temps ?

Il y a quelque chose d’illogique qui ne va pas ! ! ! ! Je dois dormir et rêver.

L’agréable sensation de la masturbation me pousse à me « branler » plus vite en enserrant doucement mes testicules de l’autre main quand soudain, les deux mains sur ma poitrine sont également plus dures dans les gestes, mes doigts pincent plus fort mes tétons.

- Je rêve ! Dis-je à haute voix.

- Non tu ne rêves pas ! Répond ma voix.

D’un seul coup, mes envies de plaisir solitaire s’arrêtent, je m’assoie dans mon lit, les rayons du soleil du matin filtrent à travers les volets. En face de moi, je me vois assis en tailleur sur le lit alors que je suis dans le lit. Pour mettre un terme à ce rêve fou, je me pince puis, comme mon image ne disparaît pas, je donne un coup de poing dans le mur au-dessus du lit.

- C’est idiot, tu viens de me faire mal alors que je te voulais du bien ! Me dit mon image en se frottant la main.

Le pire c’est qu’elle a raison, je me suis réellement fait mal. D’un bond, je saute du lit et bute contre l’armoire, mon image étonnée me regarde sans bouger. Mon premier réflexe est de tirer sur la couverture mais elle résiste, je me vois assis dessus alors que je suis debout ! ? ! ?

Je fonce à la salle de bain pour m’arroser le visage au lavabo avant de revenir les poings serrés dans la chambre prêt à me battre.

Et là, qui vois-je ? Moi ! Moi toujours assis nu sur le lit.

Tout en me massant la main qui a donné un coup dans le mur, j’entre dans ma chambre, je me vois me sourire et m’inviter à me recoucher. La voix de mon image me dit de me calmer puis de continuer à me branler et à me donner du plaisir !!!!!!

Pendant un instant je crois devenir fou. L’image de mon corps toujours assise sur le lit m’invite à me recoucher en soulevant les draps et la couverture. Le réveil indique 6 heures. Je me recouche avec d’immenses précautions, prêt à me battre avec mon image et donc avec moi-même. Mon image affiche un sourire rassurant puis entreprend de caresser mon sexe redevenu flaque et de la taille d’une grosse nouille. La sensation est agréable, le geste est ultra précis comme quand c’est moi qui me caresse. Avec lenteur et prudence, mes mains rejoignent mon sexe, mon image retire les siennes pour revenir triturer mes tétons, là aussi, la sensation est douce, les gestes parfaits correspondent à ce que j’aime.

Mon image se penche sur mon sexe avec la bouche ouverte et le « gobe » avec douceur. Cela me gêne terriblement de voir un homme me sucer, je ne suis pas gay ni même bisexuel ! ! ! !

Et pourtant, la sensation est divine, le geste parfaitement comme j’aime quand c’est une femme ! Soudain, mon image s’arrête de me sucer pour remonter sur le lit et me tendre un sexe identique au mien.

- Continue, c’est bon ! Me dit mon image.

N’étant pas gay ni même bisexuel, la demande de mon image me gêne fortement, par curiosité je prends ce sexe dans ma bouche, en quelques secondes, ma langue et mes lèvres trouvent ce que j’aime, la totale symbiose se fait. Au plus je suce, au plus c’est bon, c’est la première fois que je suce un mec.

Même si c’est moi cela me perturbe !!!!!!!!!

Mon image passe sa main derrière ma tête pour me forcer à aller plus profond comme j’aime en me disant de ne pas être si timide. Mon premier réflexe est de serrer les poings, si elle continue il va y avoir du sang, mais en même temps, c’est si bon de me sucer et d’être sucé ainsi que je modère mes réactions. Mon image me fait descendre dans le lit puis enjambe ma tête avant de me donner son sexe à sucer. Le nez sur mon ventre, enfin le sien, dans la position du 69 je ne loupe rien de mon anatomie. Pendant que je le / me suce, ses doigts s’attaquent à l’orifice situé entre mes fesses, là, je suis prêt à mordre et à lui arracher ce qui fait de lui un homme !

- Ne fait pas l’idiot tu vas te blesser, laisse-toi aller, ce n’est que toi. Me dit mon image tout en continuant à titiller mon orifice interdit.

Comment sait-elle que j’ai bien failli lui couper la verge d’un coup de dent ? Mystère !

Les doigts de mon image deviennent plus intrusifs tout en étant doux, quelque chose m’échappe vraiment, ce n’est pas désagréable, bien au contraire ! Si je me suis déjà mis un doigt au cul, que ce soit un autre mec qui le fasse même si c’est mon image me gêne terriblement.

Au bout d’un moment sous son attouchement anal réalisé avec douceur en même temps que la sublime fellation qu’il me fait, je me perds dans mes émotions. Je me surprends même à lui tailler une pipe avec conviction !!!!!!!!!!!

Moi sucer un mec et y prendre plaisir ????????

Je suis à deux doigts de jouir quand mon image s’arrête et retire son sexe de ma bouche. Mon image relève mes jambes, je ne résiste pas pour voir ce qu’elle va faire, après tout, jusqu’à présent c’est franchement bon et personne d’autre que moi ne sait ce qu’il se passe. Personne ne sait que je suis en train de baiser avec un mec, enfin moi, mon image, et merde je ne sais plus que dire ou penser !

Je disjoncte ou quoi ?

Quand mon image pose son sexe entre mes fesses, malgré son sourire j’ai envie de lui foutre ma main dans la gueule.

- Calme-toi, tu vas te faire mal ! Me dit mon image.

Comment sait-elle que je voulais lui arracher la tête ?

Après avoir copieusement mouillé mon anus avec sa salive, mon image entreprend de me forcer le fion ! ! ! ! « Laisse-toi aller, tu vas t’éclater » me dit-il avec une voix douce en affichant un sourire banane. J’aimerai le voir à ma place ce con !

Avec d’infimes précautions, mon image parvient à me pénétrer, mon anus distendu me fait un peu mal. Quand il parvient à se glisser en moi, la sensation est bizarre, bonne mais très gênante. Lentement, mon image attrape mes poignets qu’elle plaque contre le lit pour entreprendre des mouvement de va et vient. Aussi surprenant que cela puisse paraître, cela n’est pas désagréable bien au contraire. Quelques minutes plus tard, ses mains bloquent fortement mes poignets, les coups de bite deviennent plus rudes, plus profonds. J’ai beau lui dire d’aller doucement, il n’en a que faire. Les jambes coincées derrière ma tête par ses bras et avec mes mains bloquées, je n’arrive pas à lutter, à me soustraire à cet abominable viol.

Des envies de meurtre me submergent.

Cloué dans le lit, hormis subir ses sauvages pénétrations, il m’est impossible de faire quoi que ce soit. Une horrible envie de pisser me vient, j’essaye d’y résister, ma tête devient brûlante, mon cul s’extasie de plaisirs enivrants malgré moi. Quelques minutes plus tard, je ne suis plus qu’un cul à la recherche ou à la fuite des sensations. La totalité de mon cerveau se focalise sur mon trou du cul, quelle horreur, quel plaisir en même temps. Je deviens fou, moi me faire enculer et y prendre du plaisir ?

Ce n’est pas possible, ce mec m’a drogué, on m’a drogué ! ! ! ! !

Noyé dans les sensations divines et leurs contraires, je perds la tête, je finis par m’abandonner puis à crier mon plaisir. Juste avant de jouir, il se retire et se remet dans la position du 69 en m’imposant son sexe bandé dur comme de la pierre. Ses mains derrière ma nuque me bloquent, il me force la bouche comme un malade quelques instants avant de se répandre sur ma langue et au fond de ma gorge. Ne pouvant m’y soustraire, j’avale le plus vite possible, c’est dégueulasse et salé, si j’arrive à le supporter c’est bien parce que je suis aussi en train de jouir sous la pipe d’enfer qu’il me fait et qui gomme toutes mes résistances.

Epuisé, vidé, je sombre aussitôt dans les bras de Morphée, mon image est enfin partie.

Lorsque je me réveille il est 10h15, ma bouche est pâteuse, je ne dors jamais aussi tard. Mon cauchemar me revient à l’esprit, mes yeux scrutent la chambre, il n’y a personne. Une envie naturelle me pousse à me lever et à me rendre aux toilettes. La fraîcheur de la maison et le carrelage froid sous mes pieds dissipent les brumes évanescentes de mon cerveau embrumé.

L’abominable cauchemar ne quitte pas mon cerveau.

A cet instant, une envie de déféquer me vient, quoi de plus naturel ? En prenant place sur les toilettes, je me traite de fou, j’ai fait un cauchemar totalement débile et 100% contraire à mes fantasmes. C’est sûrement à force d’écrire des histoires pour aider mon ami, le webmaster du site de rencontres Fessestivites.com

Et là ! ! ! !

Et là, quand je fais ce que tout être humain fait !

Et là, quand je fais ce que tout être humain fait, mon trou du cul me fait un mal de chien !

Pourquoi ?

Pourquoi mon trou du cul me fait un mal de chien ?

Je n’ai pas la réponse mais n’ose aller à la salle de bain, le miroir me fait peur, je me raserai et me laverai demain.

Ecrivaillon

 

 

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mardi 12 novembre 2 12 /11 /Nov 09:20

Maîtresse sadique qui baise avec ses soumis


Contrairement à beaucoup de dominatrices, suis une Maîtresse sadique qui baise avec ses soumis. A mes yeux, ce n’est pas avalisant bien au contraire, mes deux soumis attitrés sont mes sextoys, mes godes et langues sur pattes, mon plaisir et les acteurs de mes spectacles privés.

Ils sont tous les deux sous cage de chasteté en 24/24 et malgré cela, doivent faire un test HIV tous les mois.

En dehors de la DS quotidienne avec mes soumis qui font tout dans la maison et le jardin, mon plaisir est de leur imposer de me faire des spectacles gays ou travestis dans des tenues parfois loufoques. Au début ce fut difficile pour eux, maintenant ils sont habitués à mes sautes d’humeurs, à mes folles envies.

Hier soir par exemple, je leur ai imposé de s’habiller en soubrette pour la soirée, après le repas, ils avaient obligation de jouer comme des filles qui se gouineraient en cachette. Le plus coquin, le plus convainquant serait mon amant du soir, le perdant savait donc ce qui l’attendait. Soumis Eric a réellement joué le jeu et s’est donné à fond dans son rôle, il m’a même faite rire tout en parvenant à m’exciter. Comme j’aime bien les faire languir, ils ont reçu l’ordre de se mettre face à face en position six, le temps que je décide lequel des deux serait le gagnant.

Pour « réfléchir », je me suis mise debout entre eux en leur ordonnant de me lécher. N’en déplaise aux puristes du SM, j’aime quand un soumis me lèche le cul pendant que l’autre me broute le minou. Soumis Eric s’étant surpassé, j’ai donc donné la clé de sa cage de chasteté à soumis Paul pour qu’il puisse le libérer. Libérer le gagnant pour un soumis qui va rester sous cage de chasteté et devoir œuvrer pour mon plaisir est dur, je sais, mais sans une fermeté permanente je me ferai bouffer par mes soumis.

Pour avoir perdu et fait peu d’effort, j’ai demandé à Paul de se pencher sur la table du salon et à Eric de lui tenir les mains. Paul a reçu 50 coups de canne anglaise assez appuyés pour sa médiocrité dans sa participation au spectacle. Une fois puni, il a du se mettre nu et à quatre pattes pour lécher les pieds du vainqueur, cette position offrait son fessier bien trié à mes yeux tout en continuant de l’humilier.

L’heure de mon plaisir ayant sonnée, nous sommes allées dans ma chambre où ils doivent me traiter comme une reine pour me dévêtir avant de m’ouvrir le lit pour que je m’y étende. Selon le rituel établi, Paul a taillé une pipe à soumis Eric pour le mettre en forme, ce qui n’est pas trop dur après une semaine de chasteté, pendant qu’Eric me léchait pour préparer ma minette fragile aux ébats qui allaient suivre.

Pour me faire prendre, j’aime m’allonger sur le dos, qu’on lève mes jambes pour les remonter vers le plafond, soumis Eric s’est donc mis en position pour me baiser comme j’aime. Pendant ce temps, Paul selon mon rituel, s’est installé à genou à côté de ma tête pour masser mes seins et titiller mes tétons. Il est assez fréquent au moment le plus fort de mon plaisir, que je m’accroche aux couilles de celui massant ma poitrine, quand mes doigts se serrent, il faut bien qu’il serrent quelque chose, je ne veux rien entendre, un gémissement de lopette est sévèrement sanctionné.

Mes soumis sont habitués à ne jouir que quand je leur donne la permission, s’ils se loupent, la sanction est de 5 coups de pieds dans les couilles. Croyez-moi sur parole, un soumis qui l’a vécu en punition apprend à ce retenir. Etant vaginale, mon plaisir arrive vite mais comme je suis une salope très gourmande et fière de l’être, il m’est impossible de ne pas remettre le couvert plusieurs fois. Quand ma faim de sexe et de jouissance est satisfaite, le soumis a le droit de jouir en moi, j’aime le moment où son sexe devient dur comme de la pierre dans les mouvements de sa dernière ligne droite.

Le perdant, ou tout simplement celui que j’avais envie de punir, se doit de nettoyer le sexe de celui qui m’a prise pendant quelques secondes puis de venir lécher mon sexe englué du sperme du vainqueur. Hier soir, j’ai eu quelques envies de plus, il a du s’acharner de la langue pendant qu’Eric lui donnait des coups de martinet sur les fesses. Là aussi, croyez-moi sur parole, mes soumis ne trichent pas quand je leur demande ce genre de chose, sans quoi, mes punitions sont telles qu’ils ne le font qu’une fois.

Lorsque j’étais rassasiée, ils m’ont baisé les mains avant de me couvrir et d’éteindre la lumière en sortant de ma chambre. Eric a dormi libre dans la chambre des soumis et Paul avec un plug dans le cul et avec les mains attachées. Je ne me suis pas occupée de cela, ils font ce que je demande point fin et ils savent tous deux, que tricher est à très haut risque.

Comme vous le constatez, si je baise avec mes soumis, ils sont loin d’avoir de l’emprise sur moi !

Ecrivaillon

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Lundi 11 novembre 1 11 /11 /Nov 10:26

Elle pratique le selfbondage, son patron la piège


 Marc, le patron d’une petite entreprise de fabrication de pompes à chaleur a découvert les passions de sa secrétaire pour le bondage et le BDSM sur son ordinateur où elle décrivait ses délires de selfbondage réalisés dans l’entreprise lorsqu’elle était seule le soir. Sous de faux prétextes il annonce depuis quelques jours à Martine qu’il doit partir plus tôt pour des rendez-vous de l’autre côté de la région et la laisse seule. Par trois fois il passe le soir pour la piéger mais ne trouve personne.

….
Lorsqu’il arrive vers 21 heures, la voiture de son employée est encore sur le parking…..
….

Ce qui attire Martine dans l’entreprise dont les ateliers sont aussi propres qu’une cuisine, ce sont les treuils électriques, les grands rouleaux de cellophane dans lesquels elle s’enroule nue avant d’attraper comme elle le peut un couteau qu’elle laisse sur le sol de plus en plus loin pour se libérer. Avec le treuil électrique de l’atelier n°2, elle s’est amusée à se suspendre en passant les sangles entre ses jambes pour qu’elles la soulèvent en douceur en enfonçant des godes dans son intimité gourmande. Pour se libérer, elle est obligée de se balancer pour parvenir à attraper de ses mains menottées la commande électrique pendant un mètre plus loin.

Ce soir, elle a décidé de pousser plus encore son jeu en ajoutant pour sa suspension un bandeau à ses yeux. Après s’être mise nue et s’être sévèrement bâillonnée elle a fait descendre les sangles pour les enjamber avant d’entraver ses chevilles d’une simple ceinture. Ces deux godes vibrants favoris trouvent leur place dans l’intimité féminine avant qu’elle n’actionne le treuil. Lorsqu’elle commence à perdre pieds, Martine passe son bandeau en se demandant si elle ne fait pas des folies mais l’appel de l’aventure et ses essais réussis en fermant simplement les yeux la poussent à tenter cette expérience qui ne peut qu’être extrêmement jouissive. Lentement elle fait remonter le treuil, ses pieds sont maintenant dans le vide et les godes profondément maintenus la comblent au sens propre comme au sens figuré.

Martine lâche la télécommande filaire qui se balance un instant avant de s’immobiliser à un mètre d’elle. Ses poignets trouvent leur place comme à chaque fois dans les menottes bloquées dans le crochet et quand elle les ferme, les clics magiques génèrent en elle à chaque fois de sourdes émotions…. La machine à fantasmes se met aussitôt en route, son corps s’agite sur les sangles passées entre ses jambes en lui générant la sensation d’être prise par deux personnes en même temps. Ses amants imaginaires usent et abusent d’elle jusqu’à l’implosion fulgurante générée par le cumul des sensations. En pleine jouissance Martine tire sur ses menottes en vain avec ses petits bras tendus au-dessus de sa tête lorsque deux mains s’emparent de ses tétons. Pendant une fraction de seconde ce contact est magique puis lui vrille le ventre en générant une peur aussi indicible que le sentiment de honte la submergeant.

Pour Martine, outre la honte, la personne qui l’a surprise va sûrement abuser d’elle voir même la tuer. Le bâillon freine considérablement les suppliques désespérées auxquelles Marc ne prête aucune attention. Lentement et en pinçant légèrement il fait rouler sous ses doigts les tétons turgescents de sa secrétaire. Le jeu muet dure un petit moment, arrachant des gémissements de principe à la fille piégée par son propre piège. Le fait que les attouchements semblent « respectueux » apaise un peu la peur de Martine. Les mains abandonnent sa poitrine pour faire balancer le charmant « colis » désespéré.

Quelques claques de principe s’abattent sur les fesses nues et les sangles. Martine se tord dans ses liens plus de peur que de douleur car les coups sont particulièrement légers. Le rythme de la fessée s’intensifie progressivement, le « colis » s’agite de plus en plus quand soudain Marc se plaque contre son dos et saisit à nouveau les tétons délaissés pour les faire rouler sous ses doigts en donnant de petits coups de genoux au fessier offert. Pour l’aventurière le fantasme d’être prise par un inconnu se transforme en une peur monstrueuse. Chaque coup de genoux se répercute dans le gode anal arrachant des gémissements à la propriétaire du délicat fessier. Le simulacre de viol dure quelques minutes, Martine ne sait plus où elle en est, l’homme ne semble pas décidé à la violer mais plutôt à jouer avec son plaisir et son malaise.

- Vous allez vous libérer seule puisque tel est votre désir, puis nous irons discuter un moment dans mon bureau ma très chère et surprenante Martine.

« Mmm mmmm » est la seule réponse que peut donner la secrétaire dont le sang vient de se glacer dans ses veines en reconnaissant la voix de son patron.

Martine désespérée commence à se mouvoir comme si elle était sur une balançoire en remontant les jambes en avant pour essayer de trouver la télécommande filaire pendant près d’elle. Si les yeux fermés elle y était arrivé facilement, en se sentant observée Martine se loupe plusieurs fois avant de parvenir à attirer le fil électrique contre elle. Ses mains parviennent enfin à faire remonter le boitier puis à appuyer sur le bouton « liberté ». Lorsque ses pieds touchent le sol, elle peut soulever les gros crochets des sangles et faire sortir la chaînette de ses menottes. Son premier réflexe est de retirer tout ce qu’elle a sur elle, dans sa précipitation, elle écarte les jambes, les godes s’échappent et tombe sur le sol.

Son patron est sorti de l’atelier, ce qui préserve un peu sa pudeur, être vue nue et entravée et une chose, se promener à poil devant lui l’aurait bien plus gênée. Martine se précipite vers la table pour récupérer ses affaires, se libérer et surtout se vêtir avant d’aller affronter son patron. Les clés de ses menottes ne sont plus là ! Folle de rage et d’inquiétude, elle passe sa culotte et son jean avant de se bagarrer tant bien que mal mettre son soutien-gorge en prenant des postures obscènes car mettre un soutien les mains attachées est plutôt difficile. C’est donc avec son sac et son chemisier à la main qu’elle se rend au bureau sans trop savoir ce qu’il l’attend.

Il est là où elle craignait, assis devant son ordinateur. Morte de honte, elle commence à se confondre en excuses mais il la coupe en désignant une chaise. Assise elle assiste impuissante au diaporama de photos de filles bondagées.

- Rassurez-vous, je ne vais pas abuser de vous et peut-être pas vous licencier, mais vous me devez des explications. Depuis combien de temps jouez-vous la nuit dans l’entreprise ?

- Un an monsieur, mais pardonnez-moi, promis je ne le ferai plus.

- Nous avons une passion commune pour le bondage. J’aime autant entraver une femme qu’être entravé. La mienne n’appréciait pas vraiment et ne s’y prêtait que rarement pour me faire plaisir. Beaucoup de gens confondent shibari, entraves et plan sexe, qu’en pensez-vous ?

- Oui monsieur. Répond Martine très étonnée et inquiète de la tournure de l’entretien.

- Est-ce que vous avez testé le shibari ?

- Non monsieur.

- C’est grisant, vous devriez essayer. Si vous voulez, je vous le ferai découvrir en tout bien tout honneur évidement. Vous savez maintenant que je ne suis pas un violeur, car si j’avais voulu abuser de cette situation particulièrement érotique, je n’avais qu’à me servir. Il n’y avait que nous dans l’entreprise, personne ne l’aurait su. Personne, sommes-nous d’accord ?

- Oui monsieur.

- Les clés de menottes sont à côté de la cafetière, je souhaite que vous nous apportiez deux cafés et que vous veniez vous asseoir à côté de moi, nous allons parler bondage en surfant. Vous pouvez finir de vous habiller.

Martine est totalement déconcertée par la tournure des évènements. Son patron n’a pas abusé d’elle et ne la pas sermonnée ou licenciée, bien au contraire. Il semble lui pardonner ses escapades nocturnes et vouloir parler de leur passion commune. Si trouver un complice ne lui déplait pas, la relation hiérarchique est très gênante. Pendant plus d’une heure, ils surfent côte à côte en commentant les photos et les sites comme deux amis. Marc s’arrête sur une série de photos exposant une très belle fille suspendue et saucissonnée dans un shibari très artistique.

- Comment trouvez-vous ce bondage ? Demande soudain Marc.

- Sublime, je rêve de vivre au moins une fois un bondage comme ça.

- Votre rêve se réalisera demain soir, si vous l’acceptez bien sûr car rien ne vous y oblige même si vous avez fauté. Cela me ferait très plaisir que nous soyons complices de jeux. Attention, je ne parle pas d’être amants, je parle bien d’être complices de jeux, la nuance est grande.

- Je suis très gênée monsieur.

- Et moi donc. Je ne vous fais en aucun cas un harcèlement sexuel, je vous propose seulement de partager nos jeux, le reste du temps, nous fonctionnerons comme nous l’avons fait jusqu’à présent. Je vous attends demain vers 21 heures, cela vous convient ?

- Oui monsieur ! Répond Martine très gênée en ne se sentant pas de refuser la complicité de cet homme finalement charmant et compréhensif qui aurait pu abuser d’elle ou la virer.

TSM

 

 

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Shibari bondage BDSM
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