Femme soumise

Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 10:10

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Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste en Espagne accordant une attention particulière aux célibataires, Lucie a trouvé l’idée originale. Après avoir mené sa petite enquête, elle s’est offerte un week-end coquin pour vibrer un peu. Si effectivement les propriétaires du gîte sont ultra respectueux et attentifs à leurs clients, le mobilier et les accessoires qu’ils mettent à votre disposition sont là pour fouetter votre libido.

Manquant un peu d’idées pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie s’embarque dans des aventures aussi sulfureuses que jouissives même si, parfois, c’est assez tendu. Ses vacances éroticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses.

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Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps.

Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?

Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon....

Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».

Lire les évaluations réelles des personnes l’ayant rencontré

Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité.

Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple !

  • Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire.

Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.

Trois mois plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses.

Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! !

  • Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM.

Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir.

  • Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ?

  • Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ?

  • Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libérera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça.

  • Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte.

A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant...

Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie.

Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir.

En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit..

« Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions.

Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle.

Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia.

  • Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia.

  • Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental !

  • Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !

  • Il vous l’a fait aussi ?

  • Oh, il m’a fait bien pire !

La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes...

N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer.

TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !

  • Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée.

  • Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.

Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme.

  • Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit.

  • Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL.

  • J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia.

  • Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie.

  • Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM.

  • Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée.

  • Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.

  • Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ?

Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique.

  • Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ?

Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure.

  • Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ?

  • J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ?

TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé.

  • Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ?

  • Comment ça me libérer ?

  • Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher !

  • Est-ce obligé ?

- Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement !

Prise dans la tourmente des événements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir.

Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges.

Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les premières parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? Demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret.

C’est ce pipi couche qui déclencha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce.

  • Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé !

  • Je ne suis pas un bébé ! Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM.

Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat échappé de la chatterie du Moulin vint lui faire un câlin. Il y en a cinq, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie.

Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia.

Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses.

  • Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine.

Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher.

  • Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé.

  • Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice.

  • Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager.

  • Dans cette tenue ?

  • Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez !

A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol.

  • C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?

  • Heu....

  • Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations.

Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus.

« Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi.

Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon !

Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou des cadenas des chaînes.

  • J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous !

  • Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie.

La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi.

  • J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver.

  • Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie.

  • J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes.

  • Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ?

  • Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ?

  • Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois.

  • OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider.

  • Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir !

Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug.

Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon.

Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas.

Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver, elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.

  • Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ».

  • Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie.

  • Et, ça va pas la tête !

  • Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir !

  • Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne !

  • Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez !

  • Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !

Cinquante mètre plus loin, TSM (Très Sympathique Mec ^^^) lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue.

  • La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ?

  • Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir.

  • Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée !

  • Heu.... je n’ai pas dit oui !

.......................

Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.

  • Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia.

  • Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie.

  • Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ?

  • Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée.

  • Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise.

Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard.

  • Aie, qu’est-ce que vous faites ?

  • Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ?

  • Absolument !

Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car, sa seule expérience de spanking, avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise.

Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité.

  • Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie.

  • La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ?

  • J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ?

  • Avec une couche ?

  • Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur.

  • Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers.

  • Ouiii !

Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.

Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.

TSM (Très Sadique Mec) abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne.

Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. (ABCplaisir, cela va de soit ! ! ! )

Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet.

« Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ».

Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport.

  • Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ?

  • Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante !

  • Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit.

Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres.

  • Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison !

EPILOGUE

Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?

FIN

Note de l’auteur : le gîte fétichiste ouvre ses portes en Espagne en 2023. Cliquez ICI pour en savoir plus
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Lundi 23 mai 1 23 /05 /Mai 11:35

Soumise-et-poupee-de-sexe-copie-1.jpg

Mes fantasmes ont toujours tourné vers la soumission, le BDSM et le sexe.

Avant de me lancer dans ce monde, j’ai lu des histoires érotiques et regardé, d’une main, beaucoup de vidéos sur Fessestivites. Et puis je l’ai rencontré.

J’ai rencontré un mec beau comme un dieu, un peu dominant, cet homme était un amour et au dodo, le parfait amant. J’en suis tombée amoureuse très vite, ma vie à ses côtés était idyllique pour tout même si côté BDSM c’était vraiment très soft. Quelques petits bondages pour le sexe, les quelques petites fessées qu’il me donnait étaient plus des caresses de préliminaires qu’autre chose mais cela m’allait bien. Nous parlions mariage quand il a rencontré une garce qui n’en voulait qu’à son fric. La blondasse gros nichons a brisé notre couple, mon Apollon m’a virée et abandonnée comme une vieille chaussette.

J’étais désespérée, dégoûtée de la vie, mon moral a tellement chuté que j’envisageais de devenir nonne. Un soir de beuverie solitaire, de celle qui vous cloue au lit le lendemain, j’ai décidé de me punir et de dégrader mon image en faisant la pute. Ce soir là, j’ai ressortie mon copain dildo du tiroir et je me suis godée devant le miroir en me traitant de tous les noms.

Paradoxalement, lors de cette crise de grande tristesse, j’ai joui. Tout s’est mélangé dans ma tête, le BDSM, la soumission, le sexe et la dégradation de mon « moi ». Ce soir là, j’ai décidé de vivre au moins une fois un week-end sexuel dégradant, de devenir une soumise poupée de sexe. Il fallait que je souffre, que je me dégrade, le BDSM allait m’y aider même si ce n’est pas son rôle. Malgré le mal au crâne, le lendemain l’idée ne m’a pas quittée. J’ai rédigé cette annonce :

« Soumise poupée de sexe cherche à être dominée, humiliée, baisée un week-end entier par plusieurs hommes sous la direction d’un Maître. Annonce réelle et sérieuse ».

J’ai ajouté trois photos, une de mes fesses, une de mes seins, une de ma chatte. Autant dire que les messages privés n’ont pas tardé à arriver. Pour jouer la prudence, je n’ai pas contacté ceux qui me disaient ne pas être abonné et me donnaient leur @. Le fait de rester dans le monde des rencontres réelles sur un site m’offrait la garantie qu’en cas de réels soucis, le mec seraient identifiable par son règlement par carte de paiement.

L’un des abonnés m’a parue être bien parce qu’il a cherché à en savoir plus sur mes envies avant de me donner son 06. Après le quatrième message privé échangé avec Tom, je l’ai appelé. Nous avons discuté deux heures de BDSM, de lui, de moi et surtout de mes recherches. Il a clairement compris que je voulais vivre un week-end uniquement dans ces conditions et que je n’étais pas une prostituée ni un cas social.

Pour le rassurer, je lui ai précisé que j’allais lui adresser un email avec mes souhaits, que je l’imprimerai et lui remettrai signé lors de notre première rencontre dans une brasserie. Ce message indiquait :

Je souhaite vivre un week-end entier, du vendredi au dimanche de la soumission BDSM et sexuelle sans condition hormis que le préservatif doit être obligatoire pour les pénétrations, que je souhaite ne pas être blessée, un peu marquée oui, blessée non et que je ne veux qu’aucune photo ou vidéo ne soit faite. Je précise que mes trois orifices seraient à son entière disposition pour lui et ses amis, que si je résistai il aurait le droit de me punir et me contraindre par les moyens qu’il jugerait bien. J’ai conclu la lettre en précisant que je voulais réellement vivre comme une esclave du vendredi au dimanche.

Lors de la rencontre dans une brasserie, Tom a essayé de comprendre ma motivation, c’est ce qui m’a rassurée, même si je ne lui ai pas donné les vraies raisons. Il est donc parti avec ma lettre signée et moi avec des angoisses.

LE JOUR J

Je me suis présentée à son domicile le vendredi soir avec une micro valise comme demandé. Sa maison en pleine nature et au milieu des vignes près de Bordeaux ne me rassurait pas car, si j’appelais au secours, personne ne viendrait. A peine arrivée, il m’a ordonnée de me mettre nue. Si je m’y attendais un peu, à ce moment là, je n’étais pas fière. Après avoir déposé tous mes vêtements sur son canapé, il m’a tendue des bracelets à mettre moi-même à mes poignets puis un collier BDSM. Je me suis donc équipée seule et nue des moyens de contrainte devant un homme que je n’avais vu qu’une fois. Quand il a fermé le cadenas de mon collier et ramené mes mains derrière mon dos pour verrouiller les bracelets faisant office de menottes, j’ai su que je ne pourrai plus faire marche arrière.

Le week-end a commencé par une auscultation, il m’a tripotée partout en soupesant ma poitrine, en écartant mes fesses pour voir mon petit orifice puis en touchant ma chatte qu’il a un peu sondée. Il s’est assis dans son canapé et a sorti un martinet Saku de derrière un coussin.

  • Ça c’est pour toi si tu te rebelles ! M’a indiquée Tom avant de me demander de me mettre à genoux et d’aller jusqu’à lui pour lui démontrer, comme une bonne chienne que j’avais envie de sa bite.

A son regard et au ton de sa voix, j’étais convaincue qu’il n’hésiterait pas à se servir du martinet. Je me suis donc avancée vers lui pour venir mettre mon visage entre ses cuisses et titiller le devant de son pantalon. J’ai pu sentir qu’il bandait à travers le tissu, mais aussi, comme il ne sortait pas son sexe, qu’il avait envie de s’amuser avec mes nerfs. Ça, cela m’a plu, cela m’a excitée, il n’était pas qu’un queutard. J’ai du retirer sa ceinture avec les dents et pour le bouton du pantalon il m’a aidée. Sa fellation j’ai commencé à la faire par dessus son slip, monsieur n’était pas pressé, il avait une esclave à disposition pour le week-end. Il a quand même fini par extraire son sexe de sa prison de tissu mouillé et me le tendre.

Je venais à peine de le prendre en bouche qu’il m’a repoussée avant de plaquer ma tête entre ses cuisses et me fouetter avec le martinet parce qu’il avait senti mes dents ! J’ai été surprise, je me suis rebellée en lui disant que sans les mains, je n’avais pas d’équilibre et que c’était compliqué. Aussitôt attrapée par les cheveux, j’ai été obligée de me lever pour être prestement couchée sur ses genoux et être fessée pour cause de rébellion. J’ai découvert ce qu’est une réelle fessée ! Mon fondement prenait feu, je mordais son canapé innocent pour ne pas crier sous l’avalanche de claques.

Il m’a repoussée et remis à genoux. J’ai cru que je devais me remettre à le sucer et penchée en avant. Il m’a arrêtée et donnée une gifle parce que je ne l’avais pas remercié ! ! ! Ouf, ouf, ouf, là j’étais vraiment en présence d’un Maître dur et impitoyable. Après m’être excusée et l’avoir remercié, les fesses et la joue chaude, ma bouche a repris son office mais cette fois, en faisant très attention. Le fond de ma bouche a découvert que Tom aime les gorges profondes, je n’en avais jamais fait et j’essayais de ne pas vomir lorsque son gland butait tout au fond. Avoir la tête entre ses mains l’agitant comme un sextoy, m’a perturbée. Cela est très excitant mais aussi gênant car cela fait baver comme un bouledogue.

Je m’attendais à ce qu’il jouisse comme ça, mais non, le sadique savait se contenir et avait des idées tordues derrière la tête. J’ai été repoussée et guidée vers la table de sa salle à manger où il m’a faite me pencher en avant. Il m’a plantée là pour aller chercher un grand miroir sur pieds qu’il a mis en face de moi.

  • Écartes tes fesses et tes jambes pour me faire voir tes centres d’intérêt ! M’a ordonnée Tom pendant qu’il enfilait un préservatif.

Ouf, ouf pour le choix des mots !

  • Je ne veux pas que tu fermes les yeux, tu dois me regarder pendant que mon auguste membre te prendra. Si tu les fermes, je m’arrête, je te fouette avant de recommencer à te baiser, est-ce bien compris ?

J’ai répondu « oui Maître » pour éviter de me faire fouetter et je l’ai regardé se positionner derrière moi et fouiller mon sexe pour trouver l’entrée de ma chatte. Il m’a prise sans plus de précaution, par réflexe j’ai fermé les yeux et pris une grande claque sur la fesse.

  • Le visage et les yeux d’une aussi belle femme que toi son dix fois plus jolis à regarder que son cul, aussi mignon soit-il. Je te conseille de ne pas m’en priver si tu ne veux pas souffrir !

Me regarder me faire prendre ne me plaisait pas, je me trouvais moche et conne, je me suis donc concentrée sur lui et ses expressions. Ne pas fermer les yeux sous ses coups de butoir devenant forts agréables fut difficile, c’était même un peu castrateur de plaisir. Encore une fois, Tom a su se contenir. Il m’a conduite sur les rivages du plaisir en tirant ma tête en arrière et en me prenant comme une chienne. Mon côté animal, femelle soumise se révélait quand il a décidé d’arrêter. Je l’ai détesté !

Si il s’était arrêté, c’était pour mieux reprendre ailleurs ! Après avoir mis un peu de lubrifiant maison à la pulpe de gingembre sur et dans mon anus, il m’a ordonnée de lui demander d’essayer mon cul pour voir si j’étais bonne ! Son putain de lubrifiant mettait le feu à mon petit orifice.

  • J’attends mais si tu ne dis pas ce que je désire entendre, je te farcie aussi la chatte avec mon lubrifiant et je te laisse attachée !

Le feu couvant en moi et la situation ne m’ont pas laissée le choix. j’ai du demander à un homme rencontré pour la deuxième fois d’essayer mon cul pour voir si j’étais bonne. L’humiliation était à son comble pour moi à ce moment là, surtout face au miroir. Par chance, pour la sodomie il n’a pas été brutal. Sa verge massait mon anus, cela apaisait le feu et me faisait du bien. Il a soudain attrapé mes cheveux pour tirer ma tête en arrière en m’obligeant à nous regarder, à regarder la chienne se faire couvrir.

Il a voulu que je tire la langue comme une chienne pendant qu’il me sodomisait et au bout d’un moment, j’ai encore lâché prise, j’étais dans un autre monde, ou plutôt, plus qu’un orifice se faisant ravager de plaisir. J’ai pris un pied d’enfer, mes jambes tremblaient et ce fut encore plus fort quand il a accéléré pour conclure son moment de plaisir.

La bête comblée, la poupée de chair avachie sur la table fesses offertes que je voyais dans le miroir, c’était moi. J’avais eu ce que je voulais, je n’en voulais pas plus sauf que je savais que Tom ne lâcherait pas l’affaire pour autant. Quand il est venu s’occuper de mes cheveux et me faire une queue de cheval, je n’ai pas compris la raison de ce changement soudain d’attitude. Je n’allais pas tarder à le comprendre et cela a été aussi surprenant que difficile !

A suivre ICI

 

PRECISIONS
Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.
Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

QUELQUES LIENS

FORUM BDSM

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UNE BOUTIQUE très BDSM avec du matériel très pratique pour ces jeux

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Lire la suite : Soumise et poupée de sexe 2

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 11 mai 3 11 /05 /Mai 07:48

Pour un service de qualité au gîte fétichiste
Pour un service de qualité au gîte fétichiste
Le plateau des soumis et soumises pour un service BDSM de qualité est mis à la disposition des clients.

 


Ce gîte fétichiste existe réellement, voici le lien : http://gitefetichistes.com

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mercredi 17 novembre 3 17 /11 /Nov 16:30

Annuaire-des-jeux-et-idees-de-punition-pour-SOUMISES.jpg

 

Les liens de cet annuaire vous conduiront vers des sites sûrs et sans surprises. (Virus ou autre saleté du net, vous savez, les trucs non demandés qui s’ouvrent..... )

 

Certains jeux sont payants d’autres non.

Certains jeux sont téléchargeables, nous vous garantissons que vous pouvez télécharger SANS souci.

 

Bons jeux et bon surf.

 

La revue technique du selfbondage ET de  la domination

 

TUTO Bâillon en bondage et selfbondage la solution sécurité

 

Selfbondage ou bondage qui démange…..

 

TUTO Un noeud super facile pour le bondage ou selfbondage

 

Jouissances extrêmes et ramonage Bondage ou selfbondage

 

Quelques idées et astuces La visite médicale idées érotiques et de domination

 

La visite médicale idées érotiques et ou de domination

 

Un nouveau strip poker BDSM pour UN ou plusieurs couples

 

Cadenas électronique bondage ou ABDL et selfbondage et idées de jeux

 

DES PUNITIONS POUR SOUMIS adaptables pour soumises

 

Jeu de l'oie pour la fessée

 

La roulette de l'infortune un jeu de spanking

 

Les jeux olympiques de la fessée

 

Test sur la confiance de votre soumise

 

Jeu de cartes des fessées et spanking

 

Mobilier humain, une forme de jeu BDSM

 

Le pensionnat des fessées

 

Le château des fessées

 

Roulette de la fessée nombre de claques (Jeu téléchargeable)

 

Roulette de la fessée: Instruments (Jeu téléchargeable)

 

 365 idées de punition (adaptables pour soumis et soumises)  Une idée adaptable par jour pour homme ou femme par jour pendant un an !

 

Les punitions de janvier

 

Les punitions de février

 

Les punitions de mars

 

Les punitions de avril

 

Les punitions de mai

 

Les punitions de juin

 

Les punitions de juillet

 

Les punitions de août

 

Les punitions de septembre

 

Les punitions d’octobre

 

Les punitions de novembre

 

Les punitions de décembre

 

AUTRES JEUX ET IDEES DE JEUX

 

9 Idées de jeux BDSM de vacances

 

15 idées de jeux érotiques et coquins autour de l'attente cruelle

 

Un bondage ou scénarios de Selfbondage excellent pour le dos

 

Suspension harnais de fabrication maison pour du BDSM selfbondage ou ABDL

 

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Le pensionnat des soumises  (Jeu téléchargeable)

 

Scénario de selfbondage et domination au chat BDSM et ou ABDL et une idée de domination ou nursing musclé

 

Le sexto se développe une nouvelle façon d’aborder le sexe et l’amour

 

Le jeu de cartes des soumises

 

Un truc d’enfer en BDSM, chasteté H ou F et ou selfbondage

 

Bondage et ou selfbondage sans matériel idées et astuces avec discrétion

 

Les orties mode d’emploi en BDSM et fessée et...

 

Coffre électronique pour vos jeux BDSM, ABDL, selfbondage et chasteté + des idées perverses de jeux coquins

 

23 idées BDSM autour de la forniphilie ou meuble humain

 

Les jeux olympiques pour soumise (Téléchargeable)

 

POUR FEMME SOUMISE AVEC UN CLASSEMENT PAR SEMAINE

Présenté comme des idées de jeux BDSM virtuels, beaucoup d’idées peuvent être utilisées dans le monde réel sans internet.

 

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7 Idées de domination virtuelle pour soumise Semaine 30

7 Idées de domination virtuelle pour soumise Semaine 31

7 Idées de domination virtuelle pour soumise Semaine 32

 

La suite est en cours de construction d’après l’auteur.

 

LE PORT DE LA COUCHE DANS LES JEUX DS ET SM

 

23 idées BDSM autour de la forniphilie ou meuble humain

 

Les soupeurs des toilettes jeux HARD et variables en BDSM ou ABDL

 

Quelques scénarios pour vous mettre dans l’ambiance fessée

 

Les dés décisionnaires de vos douleurs ou plaisirs

 

TUTO Privation sensorielle le ou la rendre sourde en BDSM ou en selfbondage

 

Jeux Action ou vérité libertins BDSM fessée ABDL

 

Pinces à sein arrachées lentement en BDSM et selfbondage

 

Des idées de jeu pour Jouer au docteur

 

IDEES DE WEEK END BDSM

 

Un selfbondage d'amour idée de jeux coquins

 

15 idées de jeux de domination pendant le week-end pour soumis mais adaptables aux soumises

 

SOUMISE EN STAGE CHEZ DES INCONNUS

 

Osez le caméscope pour vous

 

Jouer à la poupée ou au poupon ou à l’épouvantail

 

Idées de jeux fétichismes médicaux et uro

 

Recettes au gingembre (Idées de jeux)

 

Scénario de contrainte pour bébé adulte ou Petsplay ou selfbondage

 

Et si cela ne suffit pas, visitez LES forums de Fessestivites, il y en a qui ont de superbes idées.

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Samedi 8 mai 6 08 /05 /Mai 16:59

Les-femmes-soumises-sont-exigeantes-et-liberees--.jpg

 

Il ne faut pas s’imaginer qu’une femme soumise en BDSM l’est dans la vie. Elle peut être chef d’entreprise, PDG, directrice, ou une simple secrétaire à qui il ne faut surtout pas marcher sur le pied.

 

Le temps de la femme qui marchait derrière l’homme c’était l’époque de Cro-Magnon. Depuis longtemps, la femme s’est libérée des schémas patriarcaux, comme bobonne à la maison qui fait le ménage, la bouffe, la maman, et qui, accessoirement, écarte les cuisses sur un simple claquement de doigts.

 

Une femme soumise cherche quoi ?

Déjà, n’oubliez pas que la femme soumise peut être une femme de tête. A cela se rajoute, qu’elle doit encore lutter contre les inégalités sexuelles, puis le machisme et pour finir, le regard des prédateurs.  Malgré tout, c’est inscrit dans les gènes, la femme apprécie d’avoir un mâle protecteur. Un mâle protecteur c’est quoi ?

 

Un mâle protecteur est un homme qui est stable, autonome, qui ne cherche pas une maman. Ce ne sont pas des « musclés » qui se battent au coin de la rue mais des mâles rassurants, respectueux qui les écoutent, qui réfléchissent et les accompagnent dans la vie qu’elles cherchent. A partir du moment où toutes ces conditions sont réunies, la femme PDG peut également apprécier de se lâcher dans l’intimité et de se laisser donner une fessée par exemple.

 

Une femme soumise cherche donc un homme protecteur MAIS uniquement dans la définition ci-dessus. Ses gros muscles ne l’amuseront qu’un temps s’il ne sait même pas se faire cuire un oeuf ou la prend pour sa « maman ». Un maître qui s’énerve pour un rien et ne se contrôle pas, ne peut pas « « contrôler » » une femme soumise, s’il ne se contrôle pas lui même.

 

Les femmes soumises sont libérées !

Traduire par là, qu’elles surfent sur internet, qu’elles osent s’acheter des sextoys et en parler entre copines. Oui les femmes parlent de sexe entre elles, et croyez-moi, c’est parfois chaud !  

 

Les femmes soumises sont donc exigeantes et libérées, ce qui rend le rôle de dominant ou Maître, bien plus difficile qu’il y a 30 ou 50 ans.

 

Le Dom se doit de faire voir qu’il a un certain niveau intellectuel. (Aucun rapport avec le niveau scolaire). Il peut avoir simplement un CAP mais être intelligent, doué de ses mains et avoir suffisamment de recul pour comprendre que, ce n’est pas en tapant fort sur « un cul » qu’il fera « « plier » » la femme soumise. Oui il peut lui faire mal, mais il peut aussi la perdre ! 

 

« Un dom doit avoir un cerveau » m’a dit une soumise, « sans quoi, c’est un soumis en devenir qui joue au dom parce qu’il n’a pas trouvé sa Maîtresse ». 10 ans plus tard, n’ayant pas trouvé « son dom », cette soumise est devenue Maîtresse. De nombreuses Maîtresses sont dans ce cas.  

 

La domination, c’est dans la chambre, pas dans la cuisine. Cette phrase est un ---> exemple, mais il a pour but d’essayer de faire réagir. Et sur le net, c’est PIRE. messieurs, ce n’est pas en promettant de « « casser les fesses » » d’une femme que vous lui donnerez envie de vous rencontrer.

 

Etre femme soumise et heureuse c’est possible, mais, c’est un peu le parcours du combattant pour trouver LE Dom.   

 

Sur Fessestivites, nous essayons de faire de la pédagogie, cela ne fonctionne pas toujours, (pas souvent) mais nous avons à coeur de tout faire pour que chacun trouve sa chacune.

 

Mesdames, n’hésitez pas à venir contribuer pour soutenir notre pédagogie, et qui sait, peut-être trouver votre Dom et perle d’Amour.

 

Venez en parler avec nous sur le forum BDSM de Fessestivites

 

Vidéos de femme soumises
Vidéos de femme soumises sexuelles
Histoires érotiques de femmes soumises

 Histoires érotiques de femmes soumises sexuelles

Photos érotiques de femme soumises
Photos érotiques de femme soumises sexuelles



Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Mardi 15 septembre 2 15 /09 /Sep 17:36

La ceinture de chasteté n’est pas que dans les histoires érotiques et les vidéos, elle peut devenir un calvaire si on se loupe.

Sabrina fantasmait beaucoup sur la ceinture de chasteté. Elle avait bien compris que seule, jouer avec elle serait difficile et sans intérêt. N’ayant pas de chéri, ni de Maître, sa grande timidité, l’empêchait de confier les clés à quelqu’un.

Pour combler ses envies et ce fantasme devenant obnubilant, elle se caressait en regardant des vidéos de ceinture de chasteté sur Fessestivites. Ou, parfois, s’enfermait dans un short avec une ceinture faite de chaîne qu’elle fermait avec un gros cadenas. Hélas, le bloc de glace contenant les clés du cadenas était accessible dans son congélateur. Si bien, que lorsqu’elle arrivait à se coucher sans pouvoir se masturber, elle se levait la nuit pour aller le passer sous l’eau chaude afin d’aller faire son pipi et se masturber immédiatement après.

Depuis plus d’un an, elle passait sur ABCplaisir pour regarder les nouveaux modèles de ceinture de chasteté. Lorsqu’elle consulta le fiche du dernier modèle elle hallucina. Il était cher mais avec de très nombreux dispositifs pour traumatiser une femme coquine.

- Un dispositif vibrant pour le clitoris

- Un gode vaginal vibrant et oscillant gonflable donnant l’impression d’une pénétration

- Des dispositifs d’électro stimulation

- Des capteurs arrêtant les sollicitations sensuelles et érotiques juste avant la jouissance.

- Une pile nucléaire fournissant l’énergie pour les sextoys et dispositifs d’électro stimulation.

- Un dispositif de type gardena pour rendre les toilettes aisées et faciliter l’hygiène.

- Une serrure numérique bluetooth étanche permettant de faire gérer la ceinture de chasteté par téléphone par quelqu’un ou par ABCplaisir.

Et en plus, cette ceinture de chasteté était ergonomique et souple donc confortable. La boutique ABCplaisir indiquait qu’elle moulerait le corps comme un justaucorps grâce à un nouveau matériaux composites ultra solides mais souples s’adaptant à toute structure de forme du corps. Il n’y a que quelques réglages à faire avant de la fermer. La chaleur du corps va générer son resserrement pour en faire un moule parfait indécelable sous les vêtements !

Cette nouvelle ceinture de chasteté fit dans la tête de Sabrina le même effet que si vous jetez des sacs de bonbons dans une cour de récréation d’école !!!!!

Comme beaucoup d’internautes achetant sur le net, Sabrina fit plus attention à ses mensurations qu’aux détails et options qu’elle choisit ce soir la. GROS SOUCI A VENIR aurait du lui murmurer sa prudence légendaire.

Ayant annulé son départ en vacances pour pouvoir payer puis s’éclater avec cette ceinture de chasteté, elle put attendre le facteur. Jamais la voiture jaune de la poste ne fut plus attendue et surveillée. Le facteur n’eut même pas le temps de mettre le papier « absent » dans la boite à lettre (sans même sonner) qu’elle sortit de chez elle. Il lui remis son paquet et cacha discrètement son foutu papier qui vous envoie faire 2 heures de queue à la poste en plein Covid !

Sabrina fut d’abord surprise du poids du paquet. Il était très léger. Pour une fois, elle fit attention avec son couteau en ouvrant l’emballage de ses sextoys, par peur d’abîmer cette ceinture de chasteté de rêve. Le mode d’emploi de 10 pages fut parcouru sommairement, Sabrina n’avait d’yeux que pour la ceinture de chasteté.

Sabrina s’obligea à prendre une douche, qui fit très rapide, avant d’essayer sa ceinture de chasteté. Elle « surfa » sur le mode d’emploi pour parfaire les réglages de la ceinture de chasteté sur son corps en zappant les parties concernant la programmation. Autant appeler un chat un chat pour décrire les effets de cette ceinture de chasteté sur la belle : elle mouillait comme jamais si bien que le gode vaginal vibrant et oscillant gonflable donnant l’impression d’une pénétration glissa en elle sans aucun souci.

Sur le mode d’emploi, il était indiqué d’utiliser le bouton « test » avant de lancer la fermeture électronique de la ceinture de chasteté. Hélas pour la belle écervelée, Sabrina appuya sur le bouton OK. Elle ne comprit pas le véritable sens du « clic ». Dans sa tête, elle était encore en train d’effectuer les réglages. N’arrivant pas à l’ouvrir, elle décida de s’asseoir sur son canapé pour reprendre la lecture du mode d’emploi.

Soudain, alors qu’elle lisait cette fois attentivement, le gode se gonfla pour s’adapter à sa morphologie. « Très excitant » se dit Sabrina en analysant la situation puis, par réflexe comme dans ses moments de plaisir solitaire, en caressant sa poitrine. Alors qu’elle titillait ses tétons dardant dans une délicieuse turgescence, la ceinture détecta l’écart d’excitation. Le gode s’agita en elle en se gonflant un peu. Quelques secondes plus tard, une partie souple de la ceinture de chasteté se gonfla un peu pour s’appuyer sur son clitoris qu’elle épousa à merveille. Le simple contact un peu appuyé sur cette partie si sensible de l’anatomie féminine donna des frisons à Sabrina.

Sabrina cria de surprise quand cela se mit à vibrer. Elle s’allongea sur son canapé et, comme ses mains étaient libres, elles purent pétrir ses jolis seins et en titiller les tétons dardant fièrement. En toute logique, son excitation monta d’un ton et c’est là, que les patchs d’électro stimulation commencèrent à jouer sur ses lèvres intimes. Son souffle s’accéléra, ses doigts devinrent très taquins avec ses tétons ce qui eut deux effets.

Le premier est la monté en température du corps d’un degré, ce qui fut suffisant pour que le moulage de la ceinture de chasteté s’affine et surtout, comprime un peu plus ses formes en les épousant à merveille. Cela rendit la sensation divine d’être prisonnière de son plaisir entièrement confié à la ceinture de chasteté.

Le deuxième effet fut nettement moins agréable pour la coquin qui pensait s’offrir « un pied d’enfer ». La ceinture de chasteté détecta l’arrivé imminente d’une jouissance. Toutes les sollicitations s’arrêtèrent aussitôt, dix secondes plus tard, les patchs d’électro stimulation lui envoyèrent une décharge électrique douloureuse dans le bas ventre.

« La salope » cria Sabrina mue par le réflexe d’une femme que l’on frustre au meilleur moment et à qui on donne l’impression de « cramer » ses lèvres intimes ! Folle de rage, elle donna une grande claque à la ceinture de chasteté, geste stupide comme elle le constata en prenant une deuxième décharge encore plus forte.

Tout cela calma net ses envies de plaisir solitaire. De fait, étant nettement plus « calme » hormis sa colère, elle se remit à lire le mode d’emploi. Tout en le lisant, elle dut s’avouer que la frustration ressentie était celle sur laquelle elle avait fantasmé pendant des années. Etre soumise à sa propre excitation l’excitait depuis longtemps et l’avait même conduire à faire du selfbondage pour en jouer.

Sabrina compris son erreur en page 8, où était présenté le mode « test ». Elle s’était enfermée directement dans la ceinture sans pouvoir gérer tous les réglages.

- Combien de temps de chasteté ai-je mis ? Demanda Sabrina à haute voix pour elle toute seule.

Elle se rendit sur le site www.abcplaisir.com pour aller voir son compte et consulter les options choisies. Son coeur sembla aussitôt ! ! !

- Durée 3 mois (elle avait lu trois jours dans le petit ascenseur informatique de la page du site)

- Gestion en cas de souci : Ferme (elle avait lu et compris autre chose)

Et en lisant les conditions générales sur le bas de la page de cette ceinture de chasteté, il était clairement indiqué de faire le test avant de verrouiller la ceinture sans quoi, le mode de gestion serait appliqué à la lettre dans le cadre du contrat de vente. La gorge de Sabrina se serra soudain quand elle découvrit que le mode de gestion « ferme » précisait qu’aucune dérogation sur le temps ne pourrait être appliquée.

« Je ne peux pas rester enfermé la dedans trois mois ou je vais mourir » pensa Sabrina. Elle envoya donc un message à la boutique ABCplaisir via le service client pour expliquer qu’elle s’était trompée en programmant la durée. La réponse fut assez rapide et arriva dans la journée.

..........................

Chère cliente,

Tout d’abord, merci de votre achat et de votre confiance en nos services. Conformément au contrat qui nous lie, puis à votre volonté au moment de l’achat, nous respecterons à la lettre votre demande.

En cas d’hospitalisation, n’hésitez pas à donner nos coordonnées au service des urgences ou de l’admission, nous remettrons le code à un médecin uniquement.

La société ABCplaisir se fait un point d’honneur de respecter ses engagements et nous supposons que vous apprécierez votre ceinture de chasteté.

Cordialement

Le service ABCplaisir

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- Mais il est con le mec ou quoi ? Hurla Sabrina. Je viens de lui dire que je me suis trompée, il doit lui manquer des neurones pour comprendre le sens du mot « trompé ».

Si Sabrina est de nature timide, comme toute personne timide, quand elle sort de sa réserve, elle ne fait pas dans la dentelle. Elle répondit au service client en leur adressant la définition de l’expression « se tromper » trouvée sur le Larousse en exigeant une programmation sur trois jours et non trois mois.

Convaincue que les choses allaient s’arranger, Sabrina profita de son jour de congés pour se reposer et faire une sieste. L’effet de la ceinture de chasteté affecta rapidement son mental en générant un rêve érotique. Cette fois, pendant son sommeil, le gode vaginal vibrant et oscillant gonflable donnant l’impression d’une pénétration reprit son office. Dans son rêve, la coquine se faisait prendre par un Apollon d’une grande beauté. Le dispositif vibrant pour le clitoris se mit rapidement en route, tout comme les dispositifs d’électro stimulation.

Alors qu’elle mordait l’oreiller en griffant ses draps innocents, elle fut tirée de son rêve par une décharge électrique. Encore une fois, sa très jolie bouche laissa échapper des mots pas beaux du tout. (Mais vraiment pas beaux ! ! !)

« Il va falloir que je m’habitue à gérer mon excitation ou bientôt, mes lèvres intimes vont ressembler à des steaks carbonisés » pensa Sabrina. Pour calmer ses songes érotiques, elle se lança dans le manage qui n’a, nous en conviendrons, rien d’excitant. Et pourtant, ses gestes eurent pour effet d’appuyer sur son sexe quand elle se pencha par dessus son évier pour frotter le mur. Dès qu’elle sentit le gode se gonfler et s’agiter, elle fonça prendre une douche presque froide en se traitant de « salope qui ne pense qu’à ça ».

Le soir même, assise devant sa télévision, elle fut obligée quitter la chaîne du policier qu’elle regardait et abordait une histoire d’a b u s sexuel pour regarder Mécanos express, c’est dire si un rien pouvait l’exciter. Mécanos express pour une femme, c’est assez ennuyeux et soporifique. Cela fut un mauvais choix, car encore une fois, quand elle fut endormie, son cerveau revient sur l’histoire d’a b u s sexuel qui, en d’autres temps ne l’aurait pas excitée. Elle arriva à temps à la douche pour couper net son excitation avant le « grillade de babines ». Cette douche ne l’empêcha pas de refaire un rêve érotique pendant la nuit et de se reprendre une décharge.

Dès la première heure, Sabrina était sur son ordinateur en train de scruter sa messagerie dans l’attente de la réponse d’ABCplaisir. Elle ne l’apprécia pas du tout ! ! !

...............................

Chère cliente,

Nous vous remercions de nous avoir adressé la définition de « se tromper » du Larousse, mais nous la connaissions.

A cela se rajoute qu’un message courtois aurait été de plus adapté. Le votre était plutôt narquois voir irrespectueux. Un truc du style « je suis désolée de... » suivie d’une formule de politesse qui n’aurait pas usé votre clavier.

En conséquence de quoi, conformément au contrat qui nous lie, puis à votre volonté au moment de l’achat, nous respecterons à la lettre votre demande. En cas d’hospitalisation, n’hésitez pas à donner nos coordonnées au service des urgences ou de l’admission, nous remettrons le code à un médecin uniquement.

Cordialement

Le service ABCplaisir

...............................

Se faire recadrer sur la politesse de son message ne plut pas du tout à Sabrina, toute comme de les sentir inflexibles à sa demande. Son premier réflexe fut de répondre qu’elle voulait avoir un contact téléphonique avec le conard qui gère les ceinture de chasteté.

ET CA ce ne fut pas une bonne idée du tout, Maître TSM est assez susceptible. Autant il peut être très arrangeant, autant il peut être l’inverse quand on lui parle mal.

TSM lui adressa ce message dans la journée :

.....................

Chère cliente,

Conformément à l'article L 121-20 du Code de la Consommation française, le consommateur est informé qu'il ne dispose d'aucun droit de rétractation, les services concernés étant réputés commencés avec l'accord du consommateur.

Je caresse donc l’espoir pour vous que vous n’avez pas avant trois mois, l’intention de vous caresser.

Cordialement

Il signa par « le conard » désigné dans votre dernier message.

.....................

En prenant connaissance de la réponse, cette fois Sabrina fondit en larmes. Elle était bel et bien piégée. A cela se rajoute qu’elle avait pleinement conscience que la façon dont elle avait parlé au « conard » ne pouvait pas arranger les choses. Elle lui adressa un message d’excuse en demandant, cette fois ET avec les formes d’usage s’il était possible de modifier sa commande.

HELAS pour elle, elle reçut un message automatique lui indiquant que la boutique était fermée pour un mois.

La première semaine, Sabrina fit d’énormes efforts pour ne pas s’exciter. Elle déserta totalement Fessestivites jugé trop dangereux pour ses « babines » si ce qu’elle y voyait l’excitait. Son problème était que même le sport lui était interdit puisqu’il n’y a pas de douche dans les rues. En effet, faire de la marche ou du footing avait comme effet de faire bouger la ceinture de chasteté sur sa tendre intimité confinée.

Par chance ou mal chance, ses règles arrivèrent en fin de semaine. Elle dut porter des pants pour limiter les désagrément et utiliser plusieurs fois par jour le dispositif de type gardena pour faciliter l’hygiène. La semaine suivant, Sabrina commença à déprimer. Elle refit un tour sur Fessestivites pour répondre à ses messages privés. Ce fut une bonne et une mauvaise idée.

Mauvaise dans le sens où elle ne put se limiter aux messages privés et surfa sur des vidéos et lu des histoires érotiques où elle découvrit que TSM se plaisait à écrire des nouvelles. En comprenant qu’il était le proprio d’ABCplaisir elle blêmit. « Et merde j’ai traité un Maître de connard, je comprends qu’il n’ait vraiment pas aimé et soit resté aussi ferme » se dit Sabrina.

La bonne idée malgré la frustration, est qu’elle s’habituait aux décharges électriques par si forte que ça. Elle se limita à une heure de surf par jour grand maximum sur Fessestivites. Plus d’une fois elle crut parvenir à jouir malgré les patchs d’électro stimulation devenant très forts. Hélas, à chaque fois, toutes les sollicitations s’arrêtant, elle n’arrivait pas au bout de son envie et surtout impérieux besoin de jouir.

Sabrina contacta TSM sur Fessestivites en se présentant. Elle renouvela ses excuses puis essaya de le manipuler par des phrases qui auraient dû le faire « mousser » du type, vous êtes un très bon auteur, votre style est magnifique, vous semblez très bien connaître vos sujets, j’adore vos vidéos....... Si elle espérait sa pitié, elle ne généra chez lui que de franche rigolade dans un premier temps.

Au bout de dix jours, la confinée du « bas ventre » commençait à devenir folle, à se sentir « chienne en chaleur ». Elle proposa à TSM de la punir par une grosse fessée pour sa mauvaise conduite en précisant qu’elle était prête à venir chez lui si il acceptait.

Amusé, TSM lui répondit que sa proposition était envisageable. Il lui indiqua qu’il ouvrirait électroniquement sa ceinture de chasteté et lui donnerait la possibilité de renouveler les programmations sous les conditions suivantes :

1°) Vous viendrez chez moi à 18 heures précises. Ni avant ni après, un cas d’écart ma proposition serait annulée.

2°) Vous me remettrez cent lignes de « je suis une vilaine fille et n’aurais pas dû être irrespectueuse ». Ligne à écrire à la main sur papier libre.

3°) Vous vous mettrez nue au coin que je vous désignerai en mettant vos mains sur la tête.

4°) Quand je vous l’ordonnerai, vous viendrez vous coucher sur mes genoux pour recevoir la fessée punitive que vous méritez.

5°) Vous retournerez ensuite au coin des méditations le temps que j’estimerai nécessaire.

Si vous acceptez les cinq points ci-dessus, je m’engage sur l’honneur à vous libérer et ne rien faire d’autre que la fessée et les cinq points indiqués.

En lisant sa réponse, Sabrina se décomposa. Si elle était parvenue à le faire céder, l’addition était malgré tout très salée. Elle accepta malgré tout le deal la mort dans l’âme. Ce n’est pas la fessée qui lui faisait le plus peur, c’est de se mettre nue devant un inconnu et dans la position d’une gamine punie.

Le rendez-vous fut pris rapidement, bon joueur TSM ne l’avait pas faite trop attendre. Le jour J, elle attendait patiemment depuis 17h devant le portail de celui qui allait enfin la libérer de cette ceinture de chasteté qui, pourtant, la rendait toujours dingue d’excitation.

Elle fit les lignes en disant beaucoup de gros mots et de choses méchantes.....

A l’heure indiquée, blanche comme la neige, elle entra sur le terrain. Descendre de sa voiture lui demanda un effort titanesque pour gérer sa peur. Lorsqu’elle le vit en réel, elle baissa la tête comme une gamine convoquée chez le directeur de l’école. Il l’a fit entrer et demanda qu’elle lui remette les lignes demandées. Il les récupéra et lui désigna le coin des pénitentes en réflexion puis la chaise sur laquelle elle devait poser ses vêtements.

La mort dans l’âme, elle se déshabilla en lui tournant le dos et en jetant ses affaires sur la dite chaise pour ne pas qu’il voit ses seins. Attitude inutile puisqu’il allait les voir à un moment ou un autre.

- Mademoiselle, sommes-nous bien d’accord que vous m’avez manqué de respect ? Demanda TSM.

- Oui !

- On répond oui monsieur !

- Oui monsieur !

- Sommes-nous bien d’accord que vous méritez une fessée.

- Oui monsieur !

- Pourquoi ?

Là, Sabrina prise au dépourvu faillit fondre en larmes

- Parce que je vous ai manqué de respect et vous ai insulté.

- Oui mais encore ?

- Je ne sais pas monsieur !

- Pourquoi êtes vous piégée dans cette ceinture de chasteté qui vous va à merveille ?

- Parce que je n’ai pas bien lu tout ce qui était indiqué sur le site monsieur !

- Est-ce que ABCplaisir a commis une erreur ?

- Non monsieur !

- J’ai une bonne nouvelle à vous annoncer. Je vais changer le deal que je vous ai proposé.

Le coeur de Sabrina s’affola dans sa petite poitrine. Qu’allait-il faire d’elle, être un rustre ? TSM la laissa mariner un instant, si elle l’insultait sans connaître la modification du deal, il ne l’aurait pas libérée. Trop bloquée et terrorisée pour s’emporter, elle s’attendait au pire.

- Pendant que vous méditiez à votre manque de respect et vos fautes, avec mon téléphone j’ai désactivé la serrure de la ceinture. Vous êtes libre de partir sans être fessée. MAIS, si vous êtes honnête dans ce que vous avez dit, il serait bien que je vous donne cette fessée que vous méritez grandement. Acceptez-vous que je vous donne cette fessée même si je viens de vous dire que je ne vous y oblige pas et que vous êtes libre de partir ?

- Je crois que je la mérite vraiment monsieur ! Répondit Sabrina.

- Alors venez vous allonger sur mes genoux, vous allez avoir une conversation avec ma main !

Sabrina se retourna et vint s’allonger sur les genoux de TSM de la même façon que si elle se jetait dans le vide et l’inconnu total. Elle reçut sa première fessée et pleura beaucoup, ses nerfs avait lâché. Cette fessée n’était pas bien dure, cela n’était pas utile, elle était devenu une petite fessée de principe. Si bien qu’au bout d’un moment, son corps se mit à réagir. Elle sentit que le gode en elle s’agitait et prit peur. Par peur de prendre une décharge, elle fut, dans la plus grande honte, obligée d’en parler à celui qui lui tannait les fesses.

- Je sais, j’ai réactivé la ceinture, mais juste en mode plaisir. Vous pouvez jouir si vous en avez envie. Rassurez-vous, je la désactiverai comme promis ! Lui répondit TSM

EPILOGUE

Sabrina prit un pied d’enfer, elle pleura beaucoup et jouit plusieurs fois, son cerveau déraillait. Après l’avoir fessée, il la prit sur ses genoux pour un gros câlin paternel et consolateur. La tête contre son épaule qu’elle continuait de mouiller de ses larmes, elle le remercia sans comprendre pourquoi elle avait besoin de remercier, ni d’étreindre celui qui venait de la fesser.

Elle reçut un nouveau code à entrer sur ABCplaisir pour continuer à jouer seule avec sa ceinture de chasteté. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, elle la remit le lendemain matin, la frustration et la ceinture lui manquaient déjà.

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Chasteté
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Jeudi 19 septembre 4 19 /09 /Sep 11:14

L'histoire érotiques d'une femme soumise de 33 ans, coquine et curieuse des plaisirs de la vie, elle fait une rencontre BDSM et découvre le puppy-play de façon intense.

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Je surfais sur le net pour explorer divers fétichismes, titiller mes fantasmes et me faire plaisir tout simplement. Le monde vanille, l’amour à la papa maman commençait à m’ennuyer et aller en club libertin ne me branchait pas. Non pas que je sois timide ou pudique, mais parce que ce n’est, à mes yeux, que de la baise sans saveur. Chacun son truc, celui-là n’est pas le mien.

L’idée d’avoir un Maître qui me fasse faire des choses ou m’en fasse, me titillait. J’ai bien essayé le selfbondage ou le self SM mais cela ne m’a pas comblée, là aussi j’ai trouvé que c’était sans saveur. Bon des fois sans saveur mais bien agréable.... Je me suis donc inscrite sur fessestivites pour essayer de trouver un Maître. Mon annonce était simple :

« Soumise coquine en recherche d’un Maître célibataire pour la guider dans ses recherches. Région : mon département ou proche uniquement ».

Après avoir discuté avec deux ou trois tordus du cerveau voulant faire de moi une esclave sans me connaître et me traitant de salope en guise de « bonjour », j’ai eu aussi des contacts avec quelques soumis prêts à se « « dévouer » » pour me faire plaisir. Oui, et qu’après je les domine ??? Bon, je n’ai rien contre qu’ils s’amusent comme moi, mais je n’ai absolument pas l’âme d’une domina et j’ai déjà ma dose au travail avec 46 employés du bâtiment à gérer.

Et puis un soir, j’ai pu discuter en tchat avec un homme dont le profil sortait un peu de l’ordinaire. Sa photo ne montrait pas son visage mais il me semblait grand et « bien foutu ». Son annonce indiquait qu’il était célibataire et expérimenté, pour avoir vécu 15 ans avec sa femme qui était sa soumise de coeur. Et me voilà partie à discuter avec lui via le tchat. J’ai rapidement apprécié son côté posé, structuré. Il m’indiquait « je prends le temps de vous donner une réponse, je ne vous abandonne pas ». A chaque fois, sa réponse était construite, posée, sans faute d’orthographe. Il continuait de me vouvoyer, me parlait avec respect et me faisait parler de moi. En clair, il s’intéressait vraiment à moi.

Voilà ce qui m’a faite basculer dans les échanges :

Moi : discuter avec vous me change de certains qui m’appellent « chienne » dès le début.

Maître Max : On ne peut se permettre de parler ainsi à une femme, soit-elle soumise, tant que l’on n’a pas tissé un lien de confiance et une rencontre fusionnelle permettant d’user de ses mots. Cela génère quoi en vous le mot chienne ?

Moi : L’animal ou la levrette

Maître Max : Outre le fait de faire l’amour, la levrette permet de reproduire partiellement une sexualité primaire qu’il n’est pas inintéressant d’explorer sous d’autres angles.

Moi : sous d’autres angles ?

Maître Max : en partant du principe que vos ancêtres sont descendus de l’arbre, les miens y compris d’ailleurs, il réside en nous un côté « animal ». L’explorer avec des accessoires, des tenues permet de créer une ambiance favorable à l’abandon. Cela peut aussi permettre à une femme de lâcher prise et de laisser se révéler cette partie de son « moi » enfoui. Mon ex, paix ait son âme, adorait que je lui fasse des sessions de longue durée sur le Puppy-play.

Moi : Puppy-play, cela signifie quoi en réalité dans le monde des humains ?

Maître Max : un des partenaires joue le rôle du chiot, le petit chien joueur qu’on adore et qu’il faut éduquer. Pour s’immerger dans ce rôle, il faut un peu de temps, il ne suffit pas de poser une gamelle d’eau par terre pour faire boire sa puppy. C’est tout un monde fait de câlins, de jeux, de punitions aussi parfois, de pseudos contraintes qui font qu’au bout d’un moment, la personne lâche prise et prend plaisir à être l’espace d’une session puppy ou pets. Il faut le vivre au moins une fois sur quelques heures pour comprendre, sans quoi, cela ne paraît qu’un jeu humiliant.

Moi : vous avez des photos ?

Maître Max : oui mais pardonnez-moi si je n’ai pas envie de partager sur internet les photos de mon ex décédée il y a deux ans. Cela serait lui manquer de respect et douloureux pour moi de ressortir ses images.

Moi : Pardon, désolée, je n’ai pas réfléchi aux conséquences liées à ma demande.

La conversation a durée plus de deux heures. Etant en confiance, j’ai accepté de l’appeler quand il m’a donné son numéro de téléphone. Comme il était 23 heures, cela me confirmait aussi qu’il était célibataire. Au téléphone, sa voix ne m’a pas surprise, elle était chaude, posée, il était toujours autant à l’écoute. En clair, il me plaisait bien.....

Dans la semaine, il m’avait posé des questions assez directes sur ce que j’acceptais de faire, ce que je refusais, mes interdits, mes tabous et aussi « mes envies ». Si bien que la confiance s’est installée et que ..... le week-end d’après, je me rendais chez lui.

LA RENCONTRE

Dès mon arrivée il m’a déstabilisée. Je lui ai tendu la main, il n’a pas bougé, alors j’ai cru qu’il voulait que je lui fasse la bise. Il s’est reculé et a mis sa main devant ma bouche en me disant de l’embrasser. OUF ! Quand on a l’habitude de gérer des employés du bâtiment, cela change !!!!!! Maître Max a continué de me vouvoyer en me faisant visiter le rez-de-chaussée de sa maison, son jardin avec sa piscine où il a fait une étape pour me parler du waterbondage, une activité grisante imposant une confiance totale.

- Nous ne nous connaissons pas assez pour que je vous fasse découvrir cela, un jour peut-être si vous le méritez. Aujourd’hui, nous resterons dans le soft de façon à apprendre à nous connaître, il est important que vous vous sentiez à l’aise et que vous preniez du plaisir. Nous allons prendre un verre au salon, je vous ai préparé quelques petits trucs, suivez-moi ! M’a indiquée Maître Max.

Devant la table basse, il y avait un coussin molletonné pour un chien que je n’avais pas vu. Quelle gourde ! Il était pour moi ! ! ! ! OUPS. Il a débouché une bouteille de champagne et m’a servie dans une flutte, détail important car après, ce fut en gamelle mais il gérait la rencontre en douceur. Après avoir trinqué et bu une première flutte, il a sorti un collier pets-play élégance noir avec une clochette.


- Le jeu commence maintenant si vous acceptez que je vous pose ce collier pour le soirée. Si vous l’acceptez, à partir de maintenant, vous n’avez plus le droit de parler. Je ne vous vouvoierai plus, un Maître ne vouvoie pas son chien ni son chiot. Votre prénom sera Puppy pour ne pas faire référence à votre vie d’humain. Vous aurez le droit de jouer, de faire des bêtises et, en fonction des bêtises vous serez punie. Me permettez-vous ne vous poser ce collier ?

Mon côté joueur et provocateur s’est exprimé ! J’ai répondu « ouaf ouaf » ne sachant, je l’avoue, que dire d’autre. Avant de me le mettre autour du cou, il a caressé ma tête en me disant que j’étais une très jolie petite chienne et qu’il avait beaucoup de chance de pouvoir me garder ce week-end. A cet instant et avec sa façon douce de me traiter de « chienne » j’étais déjà dans le jeu et cela ne m’a pas offusquée. En d’autre temps, un homme me dirait ça, je lui donnerai une gifle.

Il m’a attirée vers lui par le collier et a commencé à me faire des « fêtes », des câlins, en me serrant contre ses jambes. J’ai voulu monter sur le canapé, il m’a repoussée en me disant que cela n’était pas autorisé. GRRR (j’avais vraiment envie de grogner)

Il m’a indiquée, tout en caressant ma tête, qu’un chiot n’a pas de robe ni de soutien-gorge et qu’il allait devoir me les retirer. Ce qui m’a surprise, c’est qu’il ne me mette pas de suite entièrement nue, encore une fois, il y allait doucement pour ne pas me bousculer. Ce sont toutes ces petites attentions qui me mettaient en confiance, je n’étais pas chez un Brutus.

S’il n’était pas Brutus, il n’en n’était pas moins pervers ! Au lieu de continuer à s’occuper de moi, il a pris son journal et s’est mis à le lire. Et moi, je ne savais pas quoi faire et j’avais l’air d’une conne assise aux pieds d’un mec qui m’ignorait ! Bien décidée à l’embêter et lui faire voir que j’avais compris son jeu, je lui ai sauté dessus pour l’empêcher de lire son canard ! En guise de punition, il est resté doux, gentil, attentionné. Il m’a juste jetée une balle en mousse dans son salon en disant « oh Puppy a envie de jouer, voilà mon chien amuse-toi » !

GRRRRR ! (Pensé et non pas formulé) Il n’allait pas s’en tirer comme ça ! Je suis donc allée chercher la balle pour la lui ramener en lui faisant des « fêtes ».

- Mon dieu qu’elle belle ma Puppy, mais bon, il y a toute une éducation à faire. A dit Maître Max avant de jeter la balle dehors en me disant « va chercher ».

Autant dire que j’avais envie de le mordre car elle était vraiment loin la baballe ! Mais bon, j’ai joué le jeu et, à mon retour avec la baballe entre les dents, j’ai découvert qu’il avait attrapé d’autres accessoires. Maître Max m’a posée des genouillères pour que je ne me blesse pas les genoux, et ... des moufles soi-disant pour protéger mes mains. Il a encore caressé ma tête, m’a fait des compliments en me disant que j’étais un bon « chien » et a encore envoyé la balle dehors !


GRRRR (bis) A mon retour, il y avait de posé sur la table une queue, du Sopalin et un désinfectant. « Oh putain » j’allais avoir droit à la totale. Maître Max a pris son temps pour désinfecter le petit rosebud avec queue, il l’a mouillée avec ses doigts et m’a purement et simplement enjambée avant de me bloquer entre ses jambes. Sans me dire quoi que ce soit, il a écarté la ficelle de mon string, puis mouillé mon anus et, avec douceur, introduit le rosebud de la queue de chienne dans le c... Je me sentais un peu humiliée qu’il s’occupe comme ça de mes fesses, mais bon j’ai joué le jeu.

- Oh Puppy, tu es trop belle comme ça, elle te va à ravir. Tu pourras la garder si tu veux, ce sera un petit cadeau. M’a indiquée Maître Max en me caressant la tête avec douceur en affichant un grand sourire.

Il s’est levé, a pris mon coussin et l’a apporté au bord de la piscine. Ne sachant que faire, je l’ai suivi à quatre pattes. Monsieur s’est mis nu et a plongé sans me dire quoi que ce soit de plus. La chienne n’avait qu’à le regarder faire ses brasses quotidiennes ! Ah ben non alors ! ! ! Je suis allé chercher la balle et je l’ai faite tomber dans l’eau. A son tour..... d’aller chercher la baballe ! Et bien non, il a continué de faire ses longueurs sans y porter la moindre attention.

« Et moi j’avais l’air d’une conne ma mère, et moi.... » Désolée George, j’ai un peu déformé les paroles de ta chanson.

Dépitée, je suis rentrée dans la maison et j’en ai profité pour monter sur le canapé. Comme je m’ennuyais un peu, j’ai retiré les moufles parce que pour tourner les pages du journal, c’est plus pratique. Lorsqu’il est rentré un quart d’heure plus tard, il n’a rien dit quand il m’a vue sur son « canap », ce qui est horripilant, j’attendais une réaction moi ! S’il n’a rien dit, il a quand même agit en allant chercher une laisse et des cadenas. Après m’avoir remis les moufles, cette fois il les a cadenassées. Il a posé la laisse à mon collier et m’a donnée des petites claques sur les fesses en disant « Puppy descend de là, c’est interdit ». J’ai résisté par principe, et pris une grande claque bien appuyée sur la fesse. GRRRR ! Conduite en laisse dans la maison, j’ai découvert que monsieur avait une cage ! OUPS ! ! ! Il m’a faite entrer à l’intérieur et l’a fermée avec un cadenas en me disantn sans lever la voix, que j’étais vilaine.

« Et moi j’avais encore l’air d’une conne ma mère, et moi.... » Bloquée pour bloquée, j’ai essayé de dormir, que faire d’autre dans une cage ? Une heure de râles, aboiements inutiles plus tard, je dormais.

...........

On me chatouillait le visage. Dans mon sommeil, j’ai cru que c’était une mouche. Sans ouvrir les yeux, je l’ai chassée et... je me suis mis un coup de moufle. Quand j’ai ouvert les yeux, il était là, souriant avec une plume à la main en train de m’embêter. Une envie d’uriner me tenaillait, je lui ai dit. Il est resté de marbre, l’enfoiré, j’aurai parlé aux murs, cela aurait été la même chose. Monsieur a pris son temps pour ouvrir la cage et me mettre la laisse pour me faire sortir. Sans me dire quoi que ce soit, il a entrepris de retirer mon string puis m’a tirée dehors. L’horreur, je venais de comprendre ! Effectivement, nous sommes sortis dans le jardin pour aller sur sa pelouse. Il a allumé une cigarette et a attendu que je fasse.... Vous avez déjà fait pipi à quatre pattes devant quelqu’un vous ? Et bien cela ne vient pas ! On a comme un blocage.

Lorsqu’il a eu fini sa cigarette, Maître Max m’a caressée la tête en me regardant dans les yeux. Monsieur s’amusait de ma gêne, il me souriait en me disant que nous n’allions quand même pas y passer la nuit. Je l’ai un peu mordu, j’ai pris une petite claque qui, hors contexte m’aurait mise hors de moi. Ma vessie a eu raison de ma pudeur au bout d’un long moment, j’ai donc fini par pisser à quatre pattes en écartant les jambes comme je pouvais. Maître Max a attrapé la queue quand il a compris que je me laissais aller, cela lui a évité d’être trempée d’urine.

Il m’a félicitée d’avoir attendu et de ne pas avoir fait dans la cage. Il m’a vraiment fait des « fêtes » un câlin et des caresses en me serrant dans ses bras. Le gag est que j’étais contente ! Je commençais à de plus être « moi ». Cela n’a pas duré ! Maître Max m’a ensuite faite entrer, toujours en laisse dans la maison, pour me conduire dans sa salle de bain et me pousser dans le bac à douche. Quand j’ai voulu me lever, il m’en a empêchée. Il a réglé l’eau, pris un gant et, quelle horreur, m’a lavée y compris entre les cuisses. Il m’a séchée et s’est fait couler un bain en me faisant des câlins, des compliments divers comme, tu es vraiment magnifique, obéissante, ..... Encore une fois, monsieur a fait comme si je n’étais pas là, ou comme si j’étais un chien ! Il s’est mis nu puis s’est allongé dans sa baignoire en allumant les remous. Je serai bien allée moi dans sa baignoire à jets multidirectionnels !!!!

GRRRR ! J’avais envie de lui dire que je déposerai plainte à la SPA. Maître Max s’est vraiment lavé comme si je n’étais pas là. Ma présence, il n’en avait rien à faire. Après s’être séché et rhabillé, il a retiré ma laisse et m’a appelée en sortant de la salle de bain. Je l’ai suivi jusqu’à la cuisine où il a mis la table ! Sa table, puisqu’il n’a mis qu’une assiette ! Pendant que son plat se réchauffait au micro onde, il a ouvert un sachet de croquette « Pets-play Alimentation » qu’il a vidé dans une gamelle en me disant « bon appétit.

Si je m’attendais à ce qu’il me fasse le coup de la gamelle, il était hors de question que je bouffe des croquettes de chien. Maître Max a insisté en me disant qu’elles étaient bonnes. Nous avons un peu lutté, lui en m’enfonçant la tête dans la gamelle, moi en le repoussant comme je pouvais. Et là, j’ai explosé !

- Stop, ça suffit, on arrête, tu ne me feras pas manger des croquettes de chien, ça va pas la tête, tu veux que je sois malade ?

- Deux fautes dont une grave, cela méritera une sérieuse fessée demain. M’a indiquée Maître Max toujours aussi calme et sûr de lui en affichant un grand sourire !

- Non mais, franchement, ça va trop loin là !

- Bon, puisque tu parles, tu n’es plus une Puppy et tu vas m’écouter sans me couper. Cela te permettra de comprendre que tu as tord.

- Ouai, c’est ça oui.... (Avec une voix de femme furax).

- D’abord ce sont des croquettes réalisées spécialement pour les humains. La preuve m’a dit Max en en prenant une qu’il a mangée sous mes yeux. Ensuite, je t’ai pris celles aux crevettes, elles sont vraiment bonnes, cela vient de chez ABCplaisir qui les commercialise en France. Je les ai commandée exprès pour toi. Penses-tu un instant que je prendrai le moindre risque avec ta santé ? Cela est un affront qui est une faute grave. J’en mange une autre sous tes yeux où tu me fais confiance ?

- Heu, je ne savais pas.....

- Regarde la boite, il y a le détail de la composition de ces croquettes. Où vois-tu quelque chose de mauvais pour ta santé ? M’a indiquée Maître Max en en mangeant une autre directement prise dans l’emballage.

- Pardon, je n’ai pas l’habitude, je ne savais pas.

- Quand on ne sais pas, on demande avant d’être insultante. Est-ce que la fessée que je te donnerai demain est justifiée ?

- Non, je ne savais pas !

- Et quand on ne sait pas, on demande, je t’aurai expliquée et même fait lire la composition de ces croquettes. Ce manque de confiance était accompagné d’un tutoiement du Maître, ce qui est aussi une faute. Une soumise vouvoie son maître. Qui t’a dit en plus que tu n’aurais que ça à manger Puppy ? Personne, alors pour me faire plaisir, tu vas de calmer, te remettre à quatre pattes et bouffer sans discuter comme une bonne petite chienne ! A conclue Maître Max avec un grand sourire puis en me faisant un bisous sur la joue et une caresse prolongée derrière la tête.

J’ai cédé en baissant les yeux. J’ai repris ma position de chienne et j’ai bouffé des croquettes qui, finalement ne sont pas mauvaises du tout. Pendant que je grignotais, il a posé une autre gamelle par terre et y a vidé une belle rasade de champagne en me disant qu’une première gamelle de croquettes, cela se fête ! GRRRRRR du champagne en gamelle !

- Oh, les moelleux au chocolat sont passés de date, on ne va pas les jeter. Puppy fait la belle !

Ses yeux étaient rieurs, son sourire apaisant, il ne m’en voulait pas. Il continuait simplement de s’amuser avec mes nerfs. Sur l’emballage des moelleux, la date de péremption indiquait qu’ils étaient encore bons un mois. cette fois, je ne me suis pas faite avoir. Maître Max me les faisait manger dans sa main, de l’autre il me caressait, me souriait, c’était vraiment un moment de jeu et de complicité qui s’installait, surtout pas, de l’humiliation.

A la fin des moelleux, il a pris un os dans une jolie boite en me disant « c’est pour qui ça » ? Il l’a mis entre ses dents et me l’a tendu, nous étions comme deux amoureux qui se partagent un gâteau, sauf que là, c’était un os pour humain de chez ABCplaisir.

- Bon, il faut que je respecte les indication du vétérinaire, il te reste un médicament à prendre et on va se coucher. A indiqué Maître Max.

Il a attrapé un biberon, y a mis de la vodka et un peu de coca, puis il s’est servi un cognac avant de quitter la cuisine. Par réflexe, je l’ai suivi à quatre pattes. Il s’est assis sur le canapé et à tapé dessus avec sa main en me disant « aller Puppy, monte ». Quand j’ai sauté sur le canapé, il m’a prise un peu au vol pour me coucher sur ses genoux comme un bébé à qui on va donner le biberon.

- Désolé mais le vétérinaire a dit que ce « médicament » t’aiderait à dormir et qu’il est nécessaire pour ta croissance ! M’a indiquée Maître Max avec un grand sourire.

Comme un chiot, j’ai tété son bibi, en me souvenant que le dit « Brutus » m’avait demandée quelle était ma boisson préférée quand nous discutions en tchat. J’avais répondu vodka coca bien frais et il s’en souvenait.

Les « médicaments » terminés, il m’a faite redescendre du canapé en tirant le coussin du chien contre ses pieds. Pendant qu’il sirotait son cognac, je me suis lovée contre ses jambes, et j’ai eu des caresses. J’étais bien contre lui, je ne me posais pas de question, j’étais dans un autre monde. Si j’avais été un chat, j’aurai ronronné.

Son verre terminé, il s’est levé et, comme on parle à un chien, m’a appelée en se dirigeant vers sa chambre où une autre surprise m’attendait. A côté de son lit, à même le sol, il y avait un long coussin et un plaid tout doux en faux poils et UNE CHAINE. Ce rustre avait décidé de me faire dormir par terre et, encore une fois j’ai cédé. Il a attaché la chaîne à mon cou en me disant qu’il avait l’habitude des Puppys et que la nuit, ils essaient toujours de monter dans le lit.

En me disant ça, j’ai vu ses yeux briller. Il y avait encore beaucoup de tristesse car il a du penser à sa femme décédée. Alors j’ai décidé d’être sage, je me suis couchée sans rien dire. Il m’a couverte et a éteint la lumière. Il m’a fallut un peu de temps à trouver le sommeil, trop de choses me passait par la tête. Il n’avait rien tenté en terme sexuel, il n’avait eu aucun geste déplacé, et par sa douceur, m’avait emmenée où il voulait. Ah ce moment là, je n’aurai rien eu contre que Maître Max devienne z o o p h i l e avec sa Puppy et qu’il la prenne en levrette à même le sol.

............

Au milieu de la nuit, une main s’est mise à caresser ma tête. Maître Max m’a dit des « ouaf ouaf » interrogatifs comme s’il parlait « chien » ? J’ai répondu « Ouaaaf » en insistant sur le aaaa pour lui dire que j’étais d’accord. Il a décroché la chaîne de son anneau et j’ai sauté dans le lit. Je lui ai fait des « fêtes » en léchant un peu son visage comme un chien tout content. Il a bloqué ma tête pour simplement déposer un baiser furtif sur mes lèvres. Moi j’en ai déposé plusieurs, et puis, il m’a couchée sur le côté et embrassée en me faisant des caresses plus « humaines ». De bisous en caresses, j’ai fini à quatre pattes sur le lit. Il a soulevé la queue qui était toujours en place puis, après avoir mis un préservatif, m’a prise en levrette en tirant sur la chaîne toujours attachée à mon collier.

Ce qui est surprenant, c’est que je me suis vraiment sentie « chienne » ! Cela n’était pas ma première levrette, mais celle-là avait un autre sens. Si c’est lui qui m’a prise, je me suis donnée comme jamais tant j’étais sur un nuage. Bien cambrée la chienne « en chaleur » se donnait. Et après le coït sauvage, presque animal, il a été trop « chou », trop câlin. Il m’a serrée dans ses bras fortement pour continuer de me caresser avec une extrême douceur. Nous nous sommes endormis comme des bébés même pas chien MDR.

.................

Le lendemain, après les douches « normales » le petit déjeuné « normal » il m’a rappelée que j’avais une punition en attente. Encore une fois, il a pris le temps de planter le décors..... Maître Max a tenu à ce que je mette debout devant lui avec les mains croisées dans le dos. Il a commencé par me faire la morale sur « la confiance » et le vouvoiement qui était imposé. Qualifiant cela d’inacceptable, il est allé s’asseoir sur une chaise et m’a demandée de m’approcher de lui.

Maître Max a tenu à ce que je retire ma culotte toute seule, enfin, le string qui n’aurait rien changé pour une fessée. Il me regardait avec un regard volontairement hautain pour augmenter ma gêne. Il m’a laissée mariner au moins deux minutes debout mains dans le dos en me disant de méditer. Je ne savais plus si je devais rire ou pleurer.

Quand il m’a dit « Couche toi sur mes genoux », je n’étais pas fière. Sans se presser il a soulevé ma robe, m’a laissée attendre encore un peu la claque qui, irrémédiablement allait tomber. Elle m’a surprise et faite crier alors qu’elle n’était pas forte. Cela m’a valu le « tu es une chochotte, tu vas bien avoir le temps de crier ». L’enfoiré faisait encore monter le pression.

Avec le recul, la première fessée qu’il m’a donnée n’était vraiment pas forte, mais elle m’a marquée, elle est à jamais gravée dans ma mémoire parce que c’était la première, puis parce qu’il avait créé une ambiance régressive pour moi. J’ai bien sûr eu « le droit » d’aller au coin mains sur la tête et fesses à l’air pendant qu’il reprenait un café. GRRRR mais en même temps, je me sentais « petite fille » ce qui est totalement fou.

Et ensuite ? Ensuite, il m’a retirée ma robe, m’a attrapée, portée et jetée dans la piscine pour me faire un câlin. Après, nous sommes allés déjeuner dans un bouiboui sur la plage et bronzer un peu comme des gens « normaux ». Quand il m’a dit qu’un jour il me promènerait peut-être en laisse sur cette plage, je n’ai pas relevé, j’avais trop peur que ma réponse soit interprétée comme une provocation.

Au moment de nous quitter, il m’a tendue la queue que j’avais portée en me disant que c’était un cadeau. J’étais un peu gênée mais en même temps, cela me faisais plaisir. Il m’a ensuite demandée si je voulais aussi le collier en me disant, de façon très posée, que si je l’acceptais, cela avait une valeur morale.

Le sens de cette proposition ne m’a pas échappé pour avoir lu des informations sur le forum : « Débutez en BDSM Infos pratiques » de Fessestivites. Devant mon absence de réponse, Maître Max n’a rien dit, il attendait tout simplement.

Dans mon cerveau, se sont mis à défiler toutes les images vécues, les sensations ressenties, le fait que finalement, être Puppy m’avait permis de lâcher prise sur tout et de me laisser aller comme si je n’avais plus de responsabilité.

Cette emprise qu’il avait sur moi, ne l’avait pas empêché d’être attentif, doux, câlins et respectueux. Cet acte sexuel hors norme ayant fait que j’étais dans un autre monde, ne l’avait pas empêché non plus d’être ensuite ultra câlins. Ce jeu de rapport de force, de transfert d’autorité m’attirant beaucoup, en plus des plaisirs éprouvés m’ont poussée à une réponse débile : « Ouaf, ouaf ».

Il l’a posé autour de mon cou, m’a remercié de cette confiance que je lui portais et m’a embrassée avec amour en me serrant dans ses bras.

EPILOGUE

Vous l’aurez compris, moi, ma femme de tête, gérante d’une entreprise de BTP, je suis devenue la « soumise » d’un homme qui fait de moi ce qu’il veut.

- Cela tombe bien, j’aime ne plus avoir à décider de quoi que ce soit.

- Cela tombe bien, j’aime ne plus avoir à gérer mon « image »

- Cela tombe bien, j’aime presque tout ce qu’il me fait... y compris certaines fessées qui me font décoller, qui me transportent dans un autre monde.

Le pets-play, ou puppy play, nous n’en faisons pas tout le temps, par contre, il lui arrive parfois de me « noyer » dans ce monde un week-end entier. C’est bien souvent quand j’ai trop de soucis professionnels. Ouaf, ouaf !

TSM


Pour des astuces voir ce post forum sur L’animalisation, vie de chienne ou de chien en BDSM

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Lundi 2 septembre 1 02 /09 /Sep 08:37

Les 170 pages de ce roman érotique de TSM, édité en version papier et Kindle sur Amazon, abordent avec élégance la vie d’une vierge effarouchée âgée de 18 ans.

 

Rencontré par un beau jour de printemps à la buvette du club hippique créé par son père, Laurence rencontre Eric. Elle a un  coup de foudre pour ce bel homme grand et musclé dont le visage et la coupe de cheveux lui donne un air de mafioso qu’elle adore. Au fil du temps, Laurence se laisse guider dans le monde particulier du BDSM où elle découvre beaucoup de choses, et, de bien agréables sensations.

Avec le temps, elle se dévergonde pour devenir une jeune soumise insouciante parfois provocatrice. Ses interdits deviennent des fantasmes, ses fantasmes deviennent réalité, même si parfois, cette réalité est un peu difficile.

Patient et très imaginatif, connaissant bien les processus de la domination, Eric ne lui impose rien pour faire tomber ses barrières. Il génère seulement en elle des envies de découverte, quand la belle ne s’aventure pas seule sur les chemins interdits.

A cause de Windows encore bloqué, le prédateur de son coeur découvre qu’elle joue parfois sur le net à enflammer les esprits, qu’elle raconte leurs ébats et ses fantasmes. Et là laissons Laurence décrire ses sentiments :

« Les conséquences sont lourdes pour mon matricule et ma libido généreuse au penchant de plus en plus masochiste. Il a lu mes textes, du chapitre un au onze avec beaucoup d’attention. Mon bourreau d’amour pervers avait déjà une imagination débordante pour me guider sur les chemins tortueux de l’amour non consensuel, mais la dramatique de cette histoire est que mes écrits lui ont tout dévoilé.

Lorsque je dis tout, c’est vraiment TOUT ! Comme beaucoup, j’ai des pensées érotiques et quelques petits films intello-sensuels normalement inavouables.  En belle cruche, je me suis amusée à pondre de mini scénarios sur un doc nommé « Brouillon masochiste » en m’accordant quelques petits plaisirs. Chacun sait, qu’entre fantasme et réalité, il y a tout un monde alors, comme c’était privé, je me suis franchement laissée aller ...... J’ai un peu peur ! »

Pour conclure la présentation de ce roman BDSM captivant et sans vulgarité gratuite, la sensualité rime avec la jeunesse, l’insouciance de la belle même si l’aventure la conduit loin, loin, très loin dans ce monde un peu fou ..... Si on y parle d’amour, ce roman n’est pas à mettre entre toutes les mains.

Vous pouvez trouver ce roman ici sur Amazon en version brochée non dédicacé

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Vous pouvez trouver ce roman ici sur Amazon en version Kindle pour vos e-book tablettes ou ordinateurs.

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Ce livre existe en version limitée et dédicacée par TSM sur ABCplaisir. Attention, il n’y a que 20 exemplaires papier de ce type.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 15:58
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Domination et amour...
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Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 15:56
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Domination et amour...
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