Femme soumise

Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 15:54
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 09:57
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Bondage Fetish
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Samedi 1 juin 6 01 /06 /Juin 11:37
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Samedi 1 juin 6 01 /06 /Juin 11:32
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Samedi 1 juin 6 01 /06 /Juin 11:29
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Mondes Libertins
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Samedi 1 juin 6 01 /06 /Juin 11:25
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Bondage Fetish
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 08:35

Maître j’aimerai être fouettée

 

- Maître j’aimerai être fouettée !

- Es-tu sûre de toi, le fouet n’a aucun rapport avec mes petits martinets ?

- Je sais Maître mais j’aimerai beaucoup vivre ça au moins une fois en vrai. Vous me le ferez un jour ?

- Oui ma puce mais je n’ai pas encore de fouet et je ne sais pas m’en servir. Par contre, je connais quelqu’un qui est un spécialiste en la matière.

- Je préfèrerai que ce soit vous qui me le fassiez.

- Mais pourquoi désires-tu être fouettée ?

- Pour avoir de belles marques comme sur les photos et arriver à découvrir cette jouissance dont les gens parlent.

C’est sur cette conversation, déviant sur d’autres jeux et un gros câlin, que Max décide de contacter un Maître sur Fessestivites. Entre eux, le courrant passe bien, les numéros de téléphone s’échangent et un rendez-vous est pris. Juste avant la rencontre, Max redemande à soumise Clara si elle est toujours d’accord pour vivre l’expérience de se faire fouetter. En pleine crise d’affection et d’excitation, elle lui confirme vouloir porter des marques de fouet pour lui. Le problème avec Clara, est que lorsqu’elle a une idée en tête, elle va jusqu’au bout, jusqu’à l’extrême et qu’il doit souvent l’arrêter pour pas qu’elle se blesse ou ait de gros problèmes.

Lorsqu’ils quittent leur logis pour se rendre chez le Maître, Clara est un peu moins fière et même un peu inquiète. Max lui promet d’être à côté d’elle, de ne pas la quitter des yeux et qu’il interviendra si besoin est, tout en lui indiquant que là où ils se rendent, c’est du réel BDSM mais qu’ils ne sont pas des fous. Quelques mains baladeuses plus tard entre les cuisses nues de sa soumise toujours disponibles, la belle est excitée comme une puce. Arrivée chez Maître X (X pour garder l’anonymat) Clara se manque un peu sur les formes et la retenue que se doit d’avoir une soumise. Cela a le don d’énerver son Maître et amuse X comprenant que la jolie et jeune soumise compense son inquiétude en le provoquant.

- Es-tu toujours sûre de vouloir vivre une séance de fouet ?

- Oui !

- On répond « oui Monsieur » ! Tu commences mal et mériterais d’être punie pour ça. Répond Maître X en fronçant les yeux.

- L’idée me plait beaucoup, Monsieur... ! « Monsieur » dit avec insistance et un regard défiant.

- D’accord, nous allons établir des règles en accord avec ton Maître et nous irons jusqu’au bout. Je vais de poser des questions et tu devras réfléchir avant de répondre car ensuite, il sera trop tard pour revenir en arrière.

- Oui Monsieur, mais je ne reviens jamais en arrière !

- Le BDSM n’est pas un défi ! Ce serait même ultra dangereux et idiot. Je te propose pour commencer mes questions, une échelle de puissance de fouet. C’est évidement approximatif mais définira une règle entre-nous. Puissance 1 c’est ultra doux, puissance 10 c’est extrême, les marques peuvent durer des mois voir un an. Que désires-tu vivre, réfléchit avant de répondre.

- 9 Monsieur répond Clara.

- En es-tu sûre, car 9 c’est très douloureux.

- Oui Monsieur !

- Combien de marques réelles désires-tu avoir ?

- Beaucoup Monsieur, n’ayez crainte, je cicatrise très vite.

- Tu seras attachée, main en l’air, tu ne pourras pas fuir les coups. Te rends-tu compte qu’une fois lancé, tu devras vivre intégralement la séance et que supplier ne servira à rien ?

- Moi, te supplier, tu rêves !

- Tu ????

- Clara arrête de le défier et de lui manquer de respect ! Intervient Max en colère de son attitude.

- Il ne me fait pas peur !

- OK, alors tu devras assumer jusqu’au bout et ne compte pas sur moi pour intervenir. Répond Max furieux.

La voix de son Maître en colère calme un peu Clara. Elle s’excuse plus par principe qu’autre chose. Maître X et Max le sentent bien, l’un s’en amuse, l’autre pas du tout.

- Bien, alors puisque tu es décidée à jouer dans la cours des grandes soumises, tu vas aller dehors derrière la maison. Il y a un arbre avec une chaîne et des menottes. Tu t’y attacheras toute seule intégralement nue. Ensuite, tu descendras de la chaise et la poussera, à partir de là, tu ne pourras plus reculer.

- Je vous l’ai dit, Monsieur, je ne recule jamais. Vous ne pouvez pas m’attacher vous même ?

- Un, je ne te demande pas ton avis, deux j’aime voir les soumises s’offrir à moi, surtout quand elles sont aussi insoumises que toi. Ce n’est que plus amusant. Exécution ! Répond Maître X en désignant la porte d’un doigt.

Maître X et Max discutent un instant en regardant l’inconsciente par la fenêtre du salon. Max s’excuse de l’attitude de sa soumise et, dans sa colère lui donne carte blanche.

- Les marques de fouet peuvent durer réellement longtemps, êtes-vous sûr de vous ?

- Oui, mais ne la blessez pas quand même. Par contre, si elle crie « stop » n’arrêtez pas, je veux qu’elle touche du doigt les limites de sa bêtise.

- Puis-je essayer de la faire jouir avec mes fouets ?

- Vous avez carte blanche tant que vous ne la blessez pas.

Ils sortent de la maison pour rejoindre la soumise inconsciente et souriante, elle envoie un baiser très aguicheur du bout des lèvres à son mari et Maître. Max prend place sur une chaise de jardin, Maître X ouvre sa valise dont il sort un fouet léger. A la vue de la panoplie de fouets et de martinets, Clara commence à se dire qu’elle n’aurait peut-être pas du le provoquer autant. Elle découvre que ce ne sont pas des jouets comme ils ont chez eux mais de véritables instruments SM.

Pour « chauffer » un peu la rebelle, Maître X donne de petits coups sur les fesses avec son fouet léger. Il fait un peu d’enroulé, Clara adore les sensations, cela pique un peu mais sans plus, c’est même très excitant.

Maître X retourne à sa valise pour prendre deux autres fouets qu’il s’amuse à faire claquer. Le claquements la font sursauter, elle avale sa salive et pince ses lèvres en étant convaincue que la séance va réellement démarrer. Il n’en est rien, Maître X s’amuse à faire de l’enroulé avec les deux fouets, un dans chaque main. Il tourne autour d’elle comme un prédateur, s’amuse à titiller son sexe en les faisant passer entre ses jambes. A certains moments, le nez de Maître X touche presque celui de Clara. Il joue avec sa peur et va même jusqu’à s’amuser à mordiller ses tétons en même temps qu’il fait claquer ses fouets sur elle.

Soudain, alors qu’elle trouvait cela très doux, il fait deux enroulés appuyés, le clac sonore des fouets et accompagné d’un gémissement. Clara s’est cambrée, a resserré les cuisses, ce qui lui vaut un troisième coup appuyé.

- Une bonne soumise garde les jambes écartées. Lui indique Maître X.

Au lieu d’abdiquer, Clara le toise et garde les cuisses serrées. Maître X lui sourit, se recule, tourne autour d’elle, elle le suit du regard en s’attendant à un retour pour sa provocation. Elle ne se trompe pas, le coup arrive sans tarder là où elle ne s’y attendait pas : l’intérieur de la cuisse. La douleur est fulgurante, elle bondit en tirant sur ses bras à se soulever avant de crier « salop ».

- Pardon ?

- Excusez-moi, désolée !

- Il y a combien de lettre au mot « salop » ?

- Vous ne savez pas compter ?

Max est blême de rage, Maître X lui, reste d’un calme olympien et affiche un grand sourire amusé. Il s’approche d’elle, caresse son visage et reste silencieux. Clara sent que sa dernière provocation va avoir un prix à payer. Elle ne pliera pas, c’est hors de question, même si cela fait mal. Maître X s’amuse comme un petit fou, les provocations ne le touchent pas, bien au contraire. Il recommence même à faire de l’enroulé doux avec ses deux fouets. Soudain, deux claquements très sonores fendent l’air, ils sont aussitôt suivis d’un énorme et long gémissement. Clara serre les dents et les lèvres pour ne pas hurler.

- Cela fait deux lettres. Il en reste quatre !

- Trois !

- Tien, tu sais compter alors ? Ponctue Maître X en donnant deux autres coups tout aussi appuyés.

Clara bondit à nouveau, son corps porte quatre marques, deux sur ses fesses, deux sur ses cuisses. Maître X se met face à elle, s’agenouille et la regarde dans les yeux. La rebelle est perturbée, elle ne comprend pas pourquoi il s’agenouille devant elle mais comprend à son regard que ce n’est pas pour des excuses. Il lève le bras, s’amuse à faire tourner le fouet puis, au moment où elle ne s’y attend pas, l’enroule très fortement au niveau de ses omoplates. Le fouet s’enroule autour de son buste et termine sa course sur les seins de la rebelle qui hurle aussitôt. Un de ses tétons a été mordu par le cracker, elle a l’impression qu’il a été arraché tant c’est douloureux.

Essoufflée comme si elle avait fait un cent mètres, Clara vient de perdre sa superbe et son arrogance. Cette fois, son regard n’est plus celui d’une rebelle, il est plus interrogatif, presque suppliant.

- Il y a combien de lettres à « Salop » ?

- Cinq Monsieur. Répond Clara aussitôt.

- Bien, nous allons pouvoir reprendre le jeux des lanières de façon plus modérée. Ne t’inquiète pas, tu auras des marques quand même.

Maître X reprend son jeux d’enroulé à deux fouets. Il s’approche d’elle, pose son nez contre le sien, passe sa jambe entre ses cuisses pour l’obliger à se cambrer. Soudain, ses deux fouets s’abattent sur les fesses et claquent. Clara serre aussitôt les cuisses, Maître X en redonne deux de plus en lui rappelant qu’une soumise ça écarte les jambes, chose qu’elle fait aussitôt.

- Maintenant, tu vas te tourner et crier « je vous aime Maître » en regardant Max. Tu le crieras par syllabe à chaque coup que je vais te donner. Je - vous- ai-me Maî-tre. Est-ce bien compris ?

- Oui Monsieur !

Maître X la regarde se tourner, les yeux de la rebelle affichent de l’inquiétude. Il porte six coups appuyés sur les jolies fesses qui étaient jusqu’à présent à peine striées. Ses portés claquent fortement à chaque fois. A chaque syllabe, Clara a besoin de reprendre son souffle tant c’est appuyé et douloureux.

- Tu as six jolies marques sur les fesses, elles te vont très bien mais ce n’est pas assez, nous sommes d’accord. Tu en voulais beaucoup.

Clara ne répond pas, elle ne veut pas abdiquer, revenir en arrière mais a beaucoup de mal à supporter les coups appuyés. En le voyant aller chercher quatre autres fouets, elle prend peur et le regarde d’un air suppliant. Maître X n’en a que faire, il sait que la suite va la rendre folle au delà de ce qu’elle imagine.

Au lieu de fouetter fortement, il va fouetter beaucoup en faisant de l’enrouler à six fouets. Quand il lève les bras avec ses mains armées d’instrument de b a r b a r e, elle ferme les yeux et s’attend à souffrir. Il n’en est rien, Maître X fait des enroulés légers, les lanières tombent un peu partout sur son corps sans être vraiment douloureuses. Elle sautille un peu parfois mais ne crie pas. Quand à certains moments les lanières passent entre ses cuisses pour venir finir leur course sur son ventre ou sur son dos, s’en est même bon. L’ogre des lieux est en train de la croquer par le plaisir. Elle se mord les lèvres au bout de cinq minutes de ce traitement, les lanières des fouets tombent de partout sur son corps, il lui est impossible d’anticiper, de savoir même où elle a eu mal tant c’est rapide et diffus.

Clara est en train de se perdre dans un plaisir nouveau. Elle a mal mais en même temps c’est bon. Maître X s’en amuse, il ne la pousse pas encore, il veut vraiment la rendre folle. Elle a envie de plus, elle a envie que cela s’arrête, elle a envie de pisser, elle a envie de jouir, elle ne sait plus où elle en est. Maître X en profite pour augmenter la puissance de ces coups, le corps de la rebelle est strié de partout mais elle ne bouge pas, ne crie pas, ne supplie pas. Elle n’est plus tout à fait là psychologiquement, elle est dans les nuages du plaisir dans la douleur.

C’est le moment où Maître X décide de porter le coup de grâce. Il pose ses six fouets pour en prendre un gros et long. Il est très épais et lourd, les coups qu’il porte ne blessent pas. Ils bousculent, font perdre pied. A cet instant, Clara à l’impression d’être un pantin de chair suspendu, au plus il la fouette en enroulé, au plus c’est bon, même sur ses seins. Soudain, elle sent arriver la jouissance, elle crie même « plus fort s’il vous plait ». Maître X décide alors d’achever la soumise rebelle et passe la surmultipliée en puissance et en vitesse. Un grand cri guttural surprend Max qui bondit soudain et s’arrête à deux pas de sa soumise. Elle jouit et coule par terre, elle vient de faire fontaine.

Maître X lâche son fouet, attrape une chaise qu’il pose derrière elle. Il peine à la détacher pour la faire asseoir tant Clara est épuisée en pend dans les menottes. Max la serre dans ses bras pour la soutenir et l’aider, puis la pose doucement sur la chaise. Vidée de toute énergie, sa soumise pose la tête contre lui et se met à pleurer.

- C’était trop bon ! Lui dit-elle quelques minutes plus tard.

- Où est-ce que l’on peut trouver des fouets comme les vôtres ? Demande Max ?

- Chez ABCplaisir.com bien sûr.

- Vous m’apprendrez à m’en servir ?

- Je vous donnerai quelques astuces, après il ne vous restera qu’à vous entraîner et à prendre quelques coups. Lui répond Maître X.

- A prendre quelques coups ? Demande Max surpris.

- Oui, on prend des retours de fouet lorsque l’on fouette. Celui qui vous dira que cela ne lui est jamais arrivé n’a jamais fouetté, ou alors, il pensait faire du fouet avec un martinet de supermarché. M’accordez-vous le droit de donner une petite punition pour votre soumise ?

- Sans problème.

Maître X. les abandonne un instant pour aller chercher une carafe d’eau, un verre et une serviette. A son retour, il les pose délicatement sur la table, remplit le verre d’eau en indiquant à Max, qu’après une telle jouissance, les soumises ont souvent très soif.

- Nous avons un petit compte à régler tous les deux. Tu m’as provoqué depuis vôtre arrivée. Les fouets, ne doivent pas être des instruments de vengeance, c’est trop dangereux. Par contre, un carafe d’eau en pleine figure, c’est sans risque ! Conclu Maître X en la lui vidant sur la tête.

Clara crie, dépitée elle les regarde sans comprendre. Max est plié de rire, Maître X la regarde cette fois droit dans les yeux avec un visage dur avant de lui indiquer : « à méditer et surtout à garder en mémoire si vous revenez me voir car là, j’ai été gentil ».

TSM

 

Sur cette vidéo je fais une démonstration et vais j'usqu'à utiliser 10 fouets en même temps. REEL !

 


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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Lundi 19 septembre 1 19 /09 /Sep 10:47

J’aime être sa chienne soumise

Quand il me dit « à quatre pattes chienne » il se passe quelque chose dans ma tête et en moi. Je suis métamorphosée, plus rien d’autre ne compte alors pour moi que d’être ce qu’il veut. Tous mes sens sont en ébullition et ne rigolez pas, je me sens chienne en chaleur en quelques secondes. Pourquoi ? Je ne sais pas, il n’y a que dans ces moments là où les mots crus, les insultes ne me touchent pas, au contraire, elles me galvanisent.

Nous sommes des Hommes, dans l’histoire, les Hommes sont issus des animaux, du singe mais avons-nous réellement encore une part animale en nous ?

Si je pose cette question saugrenue, c’est parce que dans c’est moment là, je suis capable d’accepter, presque de souhaiter être obligée de tirer la langue, d’haleter et de remuer de la queue que je n’ai pas. (Bien que nous ayons un plug queue de chien à la maison et qu’il lui arrive de me l’imposer).

Hier soir, lorsque nous sommes rentrés d’une soirée chez des amis, il m’a serrée dans ses bras, m’a embrassée et dévêtue avec douceur. Je m’attendais à une soirée câline quand l’ordre tant aimé est tombé : à quatre patte chienne !

Max pousse maintenant le vice à jeter un jouet de chiot sur le lit. Je dois aller le chercher à quatre pattes et le lui rapporter avec les dents. Débile allez-vous penser ou il lui manque de respect mais pour moi, il n’en est rien. Je m’amuse comme un chiot et refuse de lui donner du premier coup quand il tend la main. Si avant il a posé le collier BDSM autour de mon cou, quand il attrape la laisse, je suis dans un état d’excitation difficilement descriptible. Je m’égare…

Il m’a ordonnée de me mettre en position, c'est-à-dire à quatre pattes au bord du lit, fesses tendues vers lui, fesses que j’agite doucement de droite à gauche sans pudeur en me cambrant au maximum pour mieux m’offrir à son glaive. ET LA il m’a fait une sacrée surprise ! Il m’a demandé d’ouvrir la bouche et de fermer les yeux. J’ai senti un truc droit et dur comme un bâillon, mais il était droit. Il l’a attaché derrière ma tête en le serrant un peu, j’ai cru que c’était le mors d’un cheval mais non, c’était un bâillon os rose. Je l’ai découvert quand il m’a demandée d’ouvrir les yeux. Le miroir qui est à la tête du lit m’a renvoyée mon image, une chienne humaine nue, seins pendants avec un os rose en travers de la bouche.

Ni une ni deux, il a guidé son sexe entre mes lèvres intimes, trouvé la faille si désireuse de lui et pénétrée sans plus de préliminaire.

- Tu es déjà trempée chienne, tu mouilles comme une salope en manque !

Ses mots vulgaires que je n’aime pas dans la vie, m’ont fait tourner la tête. Instinctivement j’ai agité mes reins pour mieux le sentir en moi, pour qu’il commence à me prendre, à sauter sa chienne sans plus tarder. Il n’a pas tardé à me saillir, le plaisir généré par son coït viril m’a rapidement submergée. Sa main a attrapé ma queue de cheval pour tirer ma tête en arrière et m’empêcher de fuir sous ses coups de glaive de plus en plus puissants. Je commençais à m’approcher du nirvana quand soudain, il s’est retiré de moi en me laissant sur ma faim de lui. Il a jeté une paire de menottes sur le lit et ordonnée de les poser à mes poignets. Pendant ce temps il est aller chercher un préservatif et du lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit. J’ai tout de suite compris ce qu’il allait faire : me sodomiser.

En temps normal, je n’apprécie pas vraiment la sodomie, cela me fait plus de mal que de bien mais je n’ai rien dit, d’abord à cause du bâillon, ensuite parce qu’il fait ce qu’il veut de sa chienne soumise. Quand après m’avoir lubrifiée et avoir enfilé le préservatif il a fait jouer ses doigts dans mon petit orifice, je me suis sentie prête, j’ai eu envie de lui en moi au creux de mes reins. Cela est paradoxal pour quelqu’un qui n’aime pas la sodomie. Et pourtant !

Avec douceur il s’est positionné à l’entrée de ma petite grotte grandement exposée, il a commencé à pousser la porte avant d’attraper ma queue de cheval et de me tirer les cheveux pour que je m’offre encore plus.

- Ouvre les yeux salope, regarde la petite chienne qui va se faire enculer. Regarde comme elle est belle dans son plaisir.

Quand il a commencé à glisser en moi en imposant sa présence en mon étroit anneau culier, pendant une petite seconde j’ai eu un peu mal, puis une forme de plénitude m’a submergée au moment où il s’est enfoncé totalement. J’étais « pleine » de lui, dilatée, empalée mais bien. La sodomie est immédiatement devenue magique, ensorcelante, je n’étais plus moi mais seulement un orifice, un cul, disons les choses comme elles le sont. La totalité de mes neurones s’est focalisée sur les divines sensations d’être pleine, prise, défoncée à en perdre la raison. Au bout d’un moment il s’est retiré, il a retiré son préservatif et prise à nouveau par devant. C’était bon mais j’ai presque regretté qu’il n’ait pas continué à me sodomiser, encore un paradoxe pour quelqu’un qui n’aime pas la sodomie.

Quelques secondes plus tard il m’a prise comme un fou, j’ai mordu le bâillon os comme une folle en atteignant le nirvana quand il a éclaté en moi.

Epuisés mais repus, nous n’avons pas tardé à nous coucher, deux petits bisous plus tard, il ma serrée dans ses bras en me mettant contre lui en chien de fusil et s’est endormi.

…………………………….

Le lendemain, je me suis réveillée vers 8 heures, il était déjà parti travailler. Etant en RTT, j’avais décidé de faire le ménage à fond. Après ma douche, j’étais en train de prendre mon café quand mon téléphone a sonné. Max venait de m’envoyer un texto.

« Ma petite chienne a prévu de faire le ménage à fond, c’est très bien. Elle le fera nue en n’ayant sur elle que son collier, son nouveau bâillon et sa queue de chienne. Elle m’adressera une photo d’elle dans cette tenue en faisant un selfie quand elle aura terminé. A la suite de quoi, elle rédigera une histoire érotique qu’elle postera sur Fessestivites pour raconter notre soirée sans rien cacher ».

C’est ce que je viens de faire en postant ce texte.

Ecrivaillon

 

Pour des astuces voir ce post forum sur L’animalisation, vie de chienne ou de chien en BDSM

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Domination et amour...
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Lundi 30 mai 1 30 /05 /Mai 18:44

Test du nouveau carcan BDSM avec des options ABDL, libertines, fessée et même enema

  Carcan-BDSM.jpg

 

Nous avons testé le nouveau carcan BDSM, il permet d'évoluer en enema, ABDL ou libertinage au grès de vos envies tout comme pour une fessée.

La pauvre soumise très volontaire pour ce test en a vu des vertes et des pas mûres car une fois en place... hé hé, mon imagination débordante a pris le dessus.

Les approches érotiques espérées ont bien eu lieu, mais vous n’aurez pas les photos c’est trop intime, par contre la suite fut très amusante.

   

Enfin amusante pour moi car la belle n’a pas eu d’autre choix que d’abdiquer pour cause de carcan BDSM.

   

Après quelques claques sur ses fesses offertes, (c’était trop tentant) un petit coup de clystère histoire de mettre la belle en condition.

 

Comme elle râlait, un petit coup de pompe à lavement puis une couche histoire de ME sécuriser. (Rire)

 

Un bon plug gonflable pour finir de laisser mijoter la belle.

Nous passerons les détails de la libération, (dans tous les sens du terme) car descendre de ma cage n’a pas été évident pour la belle.

Le carcan BDSM est ici

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Bondage Fetish
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Lundi 30 mai 1 30 /05 /Mai 18:36

La nuit d’une chienne soumise

Nous sommes vendredi, ils vont enfin pouvoir passer un week-end tous les deux. Un week-end en amoureux fait de tendresse et de BDSM parfois hard. La belle se présente à 18 heures après sa journée de travail, elle est venue directement pour gagner du temps, pour être le plus tôt possible avec lui.

A peine arrivée, elle sent qu’il se passe quelque chose, se demande si son Maître va bien ou s’il a quelque chose à lui reprocher, reproche signifierait déception et punition. Elle redoute bien plus la déception que les punitions même si celles de son Maître peuvent être très sévères quand il ne joue pas.

- Reste dehors et mets-toi nue !

L’ordre est sec, presque dur, elle est surprise, se demande vraiment ce qu’il se passe, ce qu’elle a pu faire pour être accueillie ainsi. En d’autres temps, ils s’enlacent, se font un baiser tendre, là, il n’a pas bougé de sa chaise et la regarde avec un regard froid. Charmelia hésite et ne sait que faire.

- J’ai dit « à poil devant la porte »

Dépitée et presque les larmes aux yeux elle s’exécute, pour la première fois elle est presque gênée d’être nue devant lui malgré tout ce qu’ils ont vécus ensembles. Il la regarde et ne dit rien, son silence est pesant, horrible, Charmelia ne sait plus que faire de ses mains moites.

- Position 6 !

A même le carrelage froid de la terrasse elle s’assoie nue sur ses jambes en essayant de se positionner au mieux dans cette fameuse position si connue dans le monde du BDSM. N’y pouvant plus elle lève les yeux pour essayer de comprendre juste au moment où il s’approche d’elle. La gifle part immédiatement accompagnée d’une voix forte lui rappelant « position 6 ». Charmelia est dépitée.

Le Maître, l’élu de son coeur sort de sa poche son collier et le lui pose avant d’y accrocher une laisse. Il tire dessus pour la faire entrer dans la maison en lui intimant l’ordre de rester à quatre pattes comme une chienne. D’un doigt il désigne un tapis posé près de sa chaise en lui ordonnant « couchée » avec le même timbre de voix.

- Tu seras une vraie chienne ce soir, tu n’as pas le droit de parler, une chienne ne parle pas. Trouve des moyens de communication à la façon des chiennes, gratte la porte si tu as envie de pisser. Si tu as soif, tire la langue, débrouille-toi pour le reste. Chaque parole humaine que tu diras sera sanctionnée d’un coup de fouet punitif, tu es prévenue. Tu grattes la porte si tu as envie de pisser

Sans lui accorder la moindre attention, Maître TSM se sert un verre d’apéritif, puis téléphone à un ami. Elle ne sait plus que faire, que penser, elle est déstabilisée. Soudain, au milieu de la conversation il dépose une assiette à soupe sur le sol, son contenu est rouge foncé, il y a des morceaux de pain qui flottent. Comprenant que c’est pour elle, et pour éviter de le mettre plus en colère, elle s’approche et lape le contenu. Ses papilles gustatives sont soudain un indicateur salutaire, c’est son vin préféré. Il n’aurait pas choisi celui-là s’il avait décidé de la punir.

Des larmes mouillent ses yeux de bonheur, elle lui adresse un baiser du bout des lèvres, faute qu’il ne relève pas même si une chienne ne fait pas des bisous. Après avoir raccroché le téléphone, il se saisit de la laisse pour la conduire à la salle de bain qu’il désigne d’un doigt. Si le message est clair, elle ne sait pas quelle posture prendre, il ne fait rien pour l’aider et la laisse dans l’embarras. Entre à quatre pattes et débout, il y a la position assise, c’est celle qu’elle prend dans la baignoire. En le voyant régler la température de l’eau, Charmelia en déduit que la position attendue doit être la bonne sans quoi, le martinet posé sur le lavabo aurait déjà sifflé.

- Tu pues, je ne sais pas où tu as traîné aujourd’hui, il faudra que je te fasse « pucer » par le vétérinaire au cas où tu t’égares. Lui indique TSM en entreprenant de la laver.

La douche de la « chienne » se déroule sans souci, tout comme la sécher. Il raccroche la laisse et le collier à son cou pour la guider dans la maison jusqu’aux pieds du canapé où un plaid est étalé sur le carrelage. Abandonnée là, Charmelia prend alors conscience que la maison est limpide, il n’y a aucune poussière par terre, le carrelage est parfaitement propre, aucune trace de pas ne vient altérer l’hygiène nécessaire à sa nouvelle condition. Il revient soudain avec un plateau télé, un repas léger semble t-il et un verre d’eau. Avant de s’asseoir il pose deux gamelles à côté d’elle, l’une avec du hachis Parmentier, l’autre avec du vin et du pain dans l’assiette. Pendant tout le repas, aucun mot n’est échangé. Sachant que chacune de ses paroles serait sanctionnée d’un coup de fouet punitif, elle n’ose pas s’aventurer à essayer de dialoguer. Elle mange donc comme elle le peut en essayant de ne pas trop salir son charmant minois.

Après s’être essuyée les lèvres et le visage à même le plaid, en manque de contact, Charmelia tente un rapprochement comme le ferait une chienne en posant son visage sur les genoux de son Maître. La caresse immédiate lui réchauffe le coeur, même si c’est une caresse du type que l’on fait aux animaux. Blottie contre ses jambes, elle regarde la télévision sans vraiment suivre le programme, son esprit est ailleurs, son esprit est câlin. Soudain, il se lève et tire sur sa laisse pour la guider dehors. Elle suit à quatre pattes, sa condition du jour est entrée en son âme de soumise. Conduite au gazon, l’ordre d’uriner attendu n’arrive pas, elle s’en étonne un instant avant de comprendre qu’on ne parle pas ainsi à une chienne, elle profite naturellement d’être dehors pour faire ses besoins. Après tout ce qu’ils ont vécu, cela ne la gêne plus, elle profite de cet instant pour faire son petit pipi à quatre pattes les jambes le plus écartées possibles, une chienne n’utilise pas un petit bout de papier toilette pour s’essuyer. La chose naturelle faite, elle est ramenée au salon, son Maître déplace le plaid jusqu’au piano où l’attend une chaîne et un cadenas.

« NON il ne va pas me faire ça » Pense t’elle en se couchant sur le plaid désigné par un doigt.

« Si il va le faire » constate Charmelia en le voyant l’enchaîner par le cou à un des pieds du piano.

Il lui jette une couverture et tourne les talons sans un mot. Dormir par terre ne la traumatise pas, ne pas avoir de câlin si. Pas le moindre petit bisou, pas la moindre petite caresse ne vient l’accompagner pour la nuit. La lumière s’éteint sur son désespoir affectif, les larmes lui montent aux yeux en l’entendant se coucher sans elle. Perdue au milieu de ses sombres pensées, il lui faut plus d’une heure pour trouver le sommeil.

Soudain, quelque chose ou plutôt quelqu’un la tire par le pied et la découvre. Soulevée et positionnée à quatre pattes, elle sent une main fouiller son intimité. Un doigt l’humidifie, il est rapidement remplacé par un sexe dur comme de la pierre. Il cherche la faille un instant, la trouve et s’y engouffre sans plus de précaution. Son va et vient en elle devient rapidement sauvage, la possession quasiment bestiale lui fait tourner la tête. Ses sens primaires l’emmènent à s’offrir plus encore au mâle conquérant. La tête posée à même le carrelage froid, elle s’offre aux coups de butoir en en savourant la totale possession qu’ils lui imposent. Son corps se met à trembler, la jouissance arrive comme la vague d’un tsunami qui lamine tout sur son passage. La chienne humaine n’arrive pas à taire ses cris rauques quand son corps lui échappe. Rapidement poussée, presque rejetée, elle prend ensuite le sentiment de solitude de plein fouet. Aucun câlin, aucun bisou, aucune caresse ne viennent en guise de conclusion comme son Maître le fait toujours après l’amour.

Abandonnée sans un mot, triste mais repue, elle ne tarde pas à se rendormir. Ses rêves sont peuplés de pensés folles d’un autre monde. Soudain, le mâle revient à la charge, la possède de la même manière en l’arrachant aux bras de Morphée. Trois heures se sont écoulées mais elle n’en a pas conscience quand elle se fait à nouveau « couvrir ».

Sans réfléchir, totalement animale dans l’âme, elle se donne en tendant les reins jusqu’à l’extase totale, celle qui vous laisse vide de toute énergie et à l’état de légume. A nouveau abandonnée, elle ne réfléchit plus, elle prend ce qui arrive comme ça arrive, là il est l’heure de DORMIR, elle veut dormir !

Pour la troisième fois de la nuit, elle est tirée de son sommeil, sauf que cette fois, ce n’est pas pour être prise par le mâle. Elle est libérée et portée à même l’épaule de son Maître jusqu’à la chambre où il la dépose sur le lit avec douceur. Sur la table de nuit il y a une rose dans un verre à champagne et un café chaud parfumant la pièce.

- Ecarte les jambes et tais-toi !

Et là, avec une infinie douceur, Maître TSM se met à lutiner la perle émergeant doucement de son écrin entre les cuisses délicieusement fuselées. Puis il fait une pause pour lui dire « Je t’aime et j’ai envie de toi ».

Les aventures « linguistiques » ne durent donc pas, et pour cause ! S’étant contenu toute la nuit pour aller au bout de cette aventure qu’il voulait lui faire vivre, son Maître a maintenant envie d’un vrai câlin d’amour.

Par TSM et Chamelia

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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