Jeudi 19 septembre 4 19 /09 /Sep 11:14

L'histoire érotiques d'une femme soumise de 33 ans, coquine et curieuse des plaisirs de la vie, elle fait une rencontre BDSM et découvre le puppy-play de façon intense.

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Je surfais sur le net pour explorer divers fétichismes, titiller mes fantasmes et me faire plaisir tout simplement. Le monde vanille, l’amour à la papa maman commençait à m’ennuyer et aller en club libertin ne me branchait pas. Non pas que je sois timide ou pudique, mais parce que ce n’est, à mes yeux, que de la baise sans saveur. Chacun son truc, celui-là n’est pas le mien.

L’idée d’avoir un Maître qui me fasse faire des choses ou m’en fasse, me titillait. J’ai bien essayé le selfbondage ou le self SM mais cela ne m’a pas comblée, là aussi j’ai trouvé que c’était sans saveur. Bon des fois sans saveur mais bien agréable.... Je me suis donc inscrite sur fessestivites pour essayer de trouver un Maître. Mon annonce était simple :

« Soumise coquine en recherche d’un Maître célibataire pour la guider dans ses recherches. Région : mon département ou proche uniquement ».

Après avoir discuté avec deux ou trois tordus du cerveau voulant faire de moi une esclave sans me connaître et me traitant de salope en guise de « bonjour », j’ai eu aussi des contacts avec quelques soumis prêts à se « « dévouer » » pour me faire plaisir. Oui, et qu’après je les domine ??? Bon, je n’ai rien contre qu’ils s’amusent comme moi, mais je n’ai absolument pas l’âme d’une domina et j’ai déjà ma dose au travail avec 46 employés du bâtiment à gérer.

Et puis un soir, j’ai pu discuter en tchat avec un homme dont le profil sortait un peu de l’ordinaire. Sa photo ne montrait pas son visage mais il me semblait grand et « bien foutu ». Son annonce indiquait qu’il était célibataire et expérimenté, pour avoir vécu 15 ans avec sa femme qui était sa soumise de coeur. Et me voilà partie à discuter avec lui via le tchat. J’ai rapidement apprécié son côté posé, structuré. Il m’indiquait « je prends le temps de vous donner une réponse, je ne vous abandonne pas ». A chaque fois, sa réponse était construite, posée, sans faute d’orthographe. Il continuait de me vouvoyer, me parlait avec respect et me faisait parler de moi. En clair, il s’intéressait vraiment à moi.

Voilà ce qui m’a faite basculer dans les échanges :

Moi : discuter avec vous me change de certains qui m’appellent « chienne » dès le début.

Maître Max : On ne peut se permettre de parler ainsi à une femme, soit-elle soumise, tant que l’on n’a pas tissé un lien de confiance et une rencontre fusionnelle permettant d’user de ses mots. Cela génère quoi en vous le mot chienne ?

Moi : L’animal ou la levrette

Maître Max : Outre le fait de faire l’amour, la levrette permet de reproduire partiellement une sexualité primaire qu’il n’est pas inintéressant d’explorer sous d’autres angles.

Moi : sous d’autres angles ?

Maître Max : en partant du principe que vos ancêtres sont descendus de l’arbre, les miens y compris d’ailleurs, il réside en nous un côté « animal ». L’explorer avec des accessoires, des tenues permet de créer une ambiance favorable à l’abandon. Cela peut aussi permettre à une femme de lâcher prise et de laisser se révéler cette partie de son « moi » enfoui. Mon ex, paix ait son âme, adorait que je lui fasse des sessions de longue durée sur le Puppy-play.

Moi : Puppy-play, cela signifie quoi en réalité dans le monde des humains ?

Maître Max : un des partenaires joue le rôle du chiot, le petit chien joueur qu’on adore et qu’il faut éduquer. Pour s’immerger dans ce rôle, il faut un peu de temps, il ne suffit pas de poser une gamelle d’eau par terre pour faire boire sa puppy. C’est tout un monde fait de câlins, de jeux, de punitions aussi parfois, de pseudos contraintes qui font qu’au bout d’un moment, la personne lâche prise et prend plaisir à être l’espace d’une session puppy ou pets. Il faut le vivre au moins une fois sur quelques heures pour comprendre, sans quoi, cela ne paraît qu’un jeu humiliant.

Moi : vous avez des photos ?

Maître Max : oui mais pardonnez-moi si je n’ai pas envie de partager sur internet les photos de mon ex décédée il y a deux ans. Cela serait lui manquer de respect et douloureux pour moi de ressortir ses images.

Moi : Pardon, désolée, je n’ai pas réfléchi aux conséquences liées à ma demande.

La conversation a durée plus de deux heures. Etant en confiance, j’ai accepté de l’appeler quand il m’a donné son numéro de téléphone. Comme il était 23 heures, cela me confirmait aussi qu’il était célibataire. Au téléphone, sa voix ne m’a pas surprise, elle était chaude, posée, il était toujours autant à l’écoute. En clair, il me plaisait bien.....

Dans la semaine, il m’avait posé des questions assez directes sur ce que j’acceptais de faire, ce que je refusais, mes interdits, mes tabous et aussi « mes envies ». Si bien que la confiance s’est installée et que ..... le week-end d’après, je me rendais chez lui.

LA RENCONTRE

Dès mon arrivée il m’a déstabilisée. Je lui ai tendu la main, il n’a pas bougé, alors j’ai cru qu’il voulait que je lui fasse la bise. Il s’est reculé et a mis sa main devant ma bouche en me disant de l’embrasser. OUF ! Quand on a l’habitude de gérer des employés du bâtiment, cela change !!!!!! Maître Max a continué de me vouvoyer en me faisant visiter le rez-de-chaussée de sa maison, son jardin avec sa piscine où il a fait une étape pour me parler du waterbondage, une activité grisante imposant une confiance totale.

- Nous ne nous connaissons pas assez pour que je vous fasse découvrir cela, un jour peut-être si vous le méritez. Aujourd’hui, nous resterons dans le soft de façon à apprendre à nous connaître, il est important que vous vous sentiez à l’aise et que vous preniez du plaisir. Nous allons prendre un verre au salon, je vous ai préparé quelques petits trucs, suivez-moi ! M’a indiquée Maître Max.

Devant la table basse, il y avait un coussin molletonné pour un chien que je n’avais pas vu. Quelle gourde ! Il était pour moi ! ! ! ! OUPS. Il a débouché une bouteille de champagne et m’a servie dans une flutte, détail important car après, ce fut en gamelle mais il gérait la rencontre en douceur. Après avoir trinqué et bu une première flutte, il a sorti un collier pets-play élégance noir avec une clochette.


- Le jeu commence maintenant si vous acceptez que je vous pose ce collier pour le soirée. Si vous l’acceptez, à partir de maintenant, vous n’avez plus le droit de parler. Je ne vous vouvoierai plus, un Maître ne vouvoie pas son chien ni son chiot. Votre prénom sera Puppy pour ne pas faire référence à votre vie d’humain. Vous aurez le droit de jouer, de faire des bêtises et, en fonction des bêtises vous serez punie. Me permettez-vous ne vous poser ce collier ?

Mon côté joueur et provocateur s’est exprimé ! J’ai répondu « ouaf ouaf » ne sachant, je l’avoue, que dire d’autre. Avant de me le mettre autour du cou, il a caressé ma tête en me disant que j’étais une très jolie petite chienne et qu’il avait beaucoup de chance de pouvoir me garder ce week-end. A cet instant et avec sa façon douce de me traiter de « chienne » j’étais déjà dans le jeu et cela ne m’a pas offusquée. En d’autre temps, un homme me dirait ça, je lui donnerai une gifle.

Il m’a attirée vers lui par le collier et a commencé à me faire des « fêtes », des câlins, en me serrant contre ses jambes. J’ai voulu monter sur le canapé, il m’a repoussée en me disant que cela n’était pas autorisé. GRRR (j’avais vraiment envie de grogner)

Il m’a indiquée, tout en caressant ma tête, qu’un chiot n’a pas de robe ni de soutien-gorge et qu’il allait devoir me les retirer. Ce qui m’a surprise, c’est qu’il ne me mette pas de suite entièrement nue, encore une fois, il y allait doucement pour ne pas me bousculer. Ce sont toutes ces petites attentions qui me mettaient en confiance, je n’étais pas chez un Brutus.

S’il n’était pas Brutus, il n’en n’était pas moins pervers ! Au lieu de continuer à s’occuper de moi, il a pris son journal et s’est mis à le lire. Et moi, je ne savais pas quoi faire et j’avais l’air d’une conne assise aux pieds d’un mec qui m’ignorait ! Bien décidée à l’embêter et lui faire voir que j’avais compris son jeu, je lui ai sauté dessus pour l’empêcher de lire son canard ! En guise de punition, il est resté doux, gentil, attentionné. Il m’a juste jetée une balle en mousse dans son salon en disant « oh Puppy a envie de jouer, voilà mon chien amuse-toi » !

GRRRRR ! (Pensé et non pas formulé) Il n’allait pas s’en tirer comme ça ! Je suis donc allée chercher la balle pour la lui ramener en lui faisant des « fêtes ».

- Mon dieu qu’elle belle ma Puppy, mais bon, il y a toute une éducation à faire. A dit Maître Max avant de jeter la balle dehors en me disant « va chercher ».

Autant dire que j’avais envie de le mordre car elle était vraiment loin la baballe ! Mais bon, j’ai joué le jeu et, à mon retour avec la baballe entre les dents, j’ai découvert qu’il avait attrapé d’autres accessoires. Maître Max m’a posée des genouillères pour que je ne me blesse pas les genoux, et ... des moufles soi-disant pour protéger mes mains. Il a encore caressé ma tête, m’a fait des compliments en me disant que j’étais un bon « chien » et a encore envoyé la balle dehors !


GRRRR (bis) A mon retour, il y avait de posé sur la table une queue, du Sopalin et un désinfectant. « Oh putain » j’allais avoir droit à la totale. Maître Max a pris son temps pour désinfecter le petit rosebud avec queue, il l’a mouillée avec ses doigts et m’a purement et simplement enjambée avant de me bloquer entre ses jambes. Sans me dire quoi que ce soit, il a écarté la ficelle de mon string, puis mouillé mon anus et, avec douceur, introduit le rosebud de la queue de chienne dans le c... Je me sentais un peu humiliée qu’il s’occupe comme ça de mes fesses, mais bon j’ai joué le jeu.

- Oh Puppy, tu es trop belle comme ça, elle te va à ravir. Tu pourras la garder si tu veux, ce sera un petit cadeau. M’a indiquée Maître Max en me caressant la tête avec douceur en affichant un grand sourire.

Il s’est levé, a pris mon coussin et l’a apporté au bord de la piscine. Ne sachant que faire, je l’ai suivi à quatre pattes. Monsieur s’est mis nu et a plongé sans me dire quoi que ce soit de plus. La chienne n’avait qu’à le regarder faire ses brasses quotidiennes ! Ah ben non alors ! ! ! Je suis allé chercher la balle et je l’ai faite tomber dans l’eau. A son tour..... d’aller chercher la baballe ! Et bien non, il a continué de faire ses longueurs sans y porter la moindre attention.

« Et moi j’avais l’air d’une conne ma mère, et moi.... » Désolée George, j’ai un peu déformé les paroles de ta chanson.

Dépitée, je suis rentrée dans la maison et j’en ai profité pour monter sur le canapé. Comme je m’ennuyais un peu, j’ai retiré les moufles parce que pour tourner les pages du journal, c’est plus pratique. Lorsqu’il est rentré un quart d’heure plus tard, il n’a rien dit quand il m’a vue sur son « canap », ce qui est horripilant, j’attendais une réaction moi ! S’il n’a rien dit, il a quand même agit en allant chercher une laisse et des cadenas. Après m’avoir remis les moufles, cette fois il les a cadenassées. Il a posé la laisse à mon collier et m’a donnée des petites claques sur les fesses en disant « Puppy descend de là, c’est interdit ». J’ai résisté par principe, et pris une grande claque bien appuyée sur la fesse. GRRRR ! Conduite en laisse dans la maison, j’ai découvert que monsieur avait une cage ! OUPS ! ! ! Il m’a faite entrer à l’intérieur et l’a fermée avec un cadenas en me disantn sans lever la voix, que j’étais vilaine.

« Et moi j’avais encore l’air d’une conne ma mère, et moi.... » Bloquée pour bloquée, j’ai essayé de dormir, que faire d’autre dans une cage ? Une heure de râles, aboiements inutiles plus tard, je dormais.

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On me chatouillait le visage. Dans mon sommeil, j’ai cru que c’était une mouche. Sans ouvrir les yeux, je l’ai chassée et... je me suis mis un coup de moufle. Quand j’ai ouvert les yeux, il était là, souriant avec une plume à la main en train de m’embêter. Une envie d’uriner me tenaillait, je lui ai dit. Il est resté de marbre, l’enfoiré, j’aurai parlé aux murs, cela aurait été la même chose. Monsieur a pris son temps pour ouvrir la cage et me mettre la laisse pour me faire sortir. Sans me dire quoi que ce soit, il a entrepris de retirer mon string puis m’a tirée dehors. L’horreur, je venais de comprendre ! Effectivement, nous sommes sortis dans le jardin pour aller sur sa pelouse. Il a allumé une cigarette et a attendu que je fasse.... Vous avez déjà fait pipi à quatre pattes devant quelqu’un vous ? Et bien cela ne vient pas ! On a comme un blocage.

Lorsqu’il a eu fini sa cigarette, Maître Max m’a caressée la tête en me regardant dans les yeux. Monsieur s’amusait de ma gêne, il me souriait en me disant que nous n’allions quand même pas y passer la nuit. Je l’ai un peu mordu, j’ai pris une petite claque qui, hors contexte m’aurait mise hors de moi. Ma vessie a eu raison de ma pudeur au bout d’un long moment, j’ai donc fini par pisser à quatre pattes en écartant les jambes comme je pouvais. Maître Max a attrapé la queue quand il a compris que je me laissais aller, cela lui a évité d’être trempée d’urine.

Il m’a félicitée d’avoir attendu et de ne pas avoir fait dans la cage. Il m’a vraiment fait des « fêtes » un câlin et des caresses en me serrant dans ses bras. Le gag est que j’étais contente ! Je commençais à de plus être « moi ». Cela n’a pas duré ! Maître Max m’a ensuite faite entrer, toujours en laisse dans la maison, pour me conduire dans sa salle de bain et me pousser dans le bac à douche. Quand j’ai voulu me lever, il m’en a empêchée. Il a réglé l’eau, pris un gant et, quelle horreur, m’a lavée y compris entre les cuisses. Il m’a séchée et s’est fait couler un bain en me faisant des câlins, des compliments divers comme, tu es vraiment magnifique, obéissante, ..... Encore une fois, monsieur a fait comme si je n’étais pas là, ou comme si j’étais un chien ! Il s’est mis nu puis s’est allongé dans sa baignoire en allumant les remous. Je serai bien allée moi dans sa baignoire à jets multidirectionnels !!!!

GRRRR ! J’avais envie de lui dire que je déposerai plainte à la SPA. Maître Max s’est vraiment lavé comme si je n’étais pas là. Ma présence, il n’en avait rien à faire. Après s’être séché et rhabillé, il a retiré ma laisse et m’a appelée en sortant de la salle de bain. Je l’ai suivi jusqu’à la cuisine où il a mis la table ! Sa table, puisqu’il n’a mis qu’une assiette ! Pendant que son plat se réchauffait au micro onde, il a ouvert un sachet de croquette « Pets-play Alimentation » qu’il a vidé dans une gamelle en me disant « bon appétit.

Si je m’attendais à ce qu’il me fasse le coup de la gamelle, il était hors de question que je bouffe des croquettes de chien. Maître Max a insisté en me disant qu’elles étaient bonnes. Nous avons un peu lutté, lui en m’enfonçant la tête dans la gamelle, moi en le repoussant comme je pouvais. Et là, j’ai explosé !

- Stop, ça suffit, on arrête, tu ne me feras pas manger des croquettes de chien, ça va pas la tête, tu veux que je sois malade ?

- Deux fautes dont une grave, cela méritera une sérieuse fessée demain. M’a indiquée Maître Max toujours aussi calme et sûr de lui en affichant un grand sourire !

- Non mais, franchement, ça va trop loin là !

- Bon, puisque tu parles, tu n’es plus une Puppy et tu vas m’écouter sans me couper. Cela te permettra de comprendre que tu as tord.

- Ouai, c’est ça oui.... (Avec une voix de femme furax).

- D’abord ce sont des croquettes réalisées spécialement pour les humains. La preuve m’a dit Max en en prenant une qu’il a mangée sous mes yeux. Ensuite, je t’ai pris celles aux crevettes, elles sont vraiment bonnes, cela vient de chez ABCplaisir qui les commercialise en France. Je les ai commandée exprès pour toi. Penses-tu un instant que je prendrai le moindre risque avec ta santé ? Cela est un affront qui est une faute grave. J’en mange une autre sous tes yeux où tu me fais confiance ?

- Heu, je ne savais pas.....

- Regarde la boite, il y a le détail de la composition de ces croquettes. Où vois-tu quelque chose de mauvais pour ta santé ? M’a indiquée Maître Max en en mangeant une autre directement prise dans l’emballage.

- Pardon, je n’ai pas l’habitude, je ne savais pas.

- Quand on ne sais pas, on demande avant d’être insultante. Est-ce que la fessée que je te donnerai demain est justifiée ?

- Non, je ne savais pas !

- Et quand on ne sait pas, on demande, je t’aurai expliquée et même fait lire la composition de ces croquettes. Ce manque de confiance était accompagné d’un tutoiement du Maître, ce qui est aussi une faute. Une soumise vouvoie son maître. Qui t’a dit en plus que tu n’aurais que ça à manger Puppy ? Personne, alors pour me faire plaisir, tu vas de calmer, te remettre à quatre pattes et bouffer sans discuter comme une bonne petite chienne ! A conclue Maître Max avec un grand sourire puis en me faisant un bisous sur la joue et une caresse prolongée derrière la tête.

J’ai cédé en baissant les yeux. J’ai repris ma position de chienne et j’ai bouffé des croquettes qui, finalement ne sont pas mauvaises du tout. Pendant que je grignotais, il a posé une autre gamelle par terre et y a vidé une belle rasade de champagne en me disant qu’une première gamelle de croquettes, cela se fête ! GRRRRRR du champagne en gamelle !

- Oh, les moelleux au chocolat sont passés de date, on ne va pas les jeter. Puppy fait la belle !

Ses yeux étaient rieurs, son sourire apaisant, il ne m’en voulait pas. Il continuait simplement de s’amuser avec mes nerfs. Sur l’emballage des moelleux, la date de péremption indiquait qu’ils étaient encore bons un mois. cette fois, je ne me suis pas faite avoir. Maître Max me les faisait manger dans sa main, de l’autre il me caressait, me souriait, c’était vraiment un moment de jeu et de complicité qui s’installait, surtout pas, de l’humiliation.

A la fin des moelleux, il a pris un os dans une jolie boite en me disant « c’est pour qui ça » ? Il l’a mis entre ses dents et me l’a tendu, nous étions comme deux amoureux qui se partagent un gâteau, sauf que là, c’était un os pour humain de chez ABCplaisir.

- Bon, il faut que je respecte les indication du vétérinaire, il te reste un médicament à prendre et on va se coucher. A indiqué Maître Max.

Il a attrapé un biberon, y a mis de la vodka et un peu de coca, puis il s’est servi un cognac avant de quitter la cuisine. Par réflexe, je l’ai suivi à quatre pattes. Il s’est assis sur le canapé et à tapé dessus avec sa main en me disant « aller Puppy, monte ». Quand j’ai sauté sur le canapé, il m’a prise un peu au vol pour me coucher sur ses genoux comme un bébé à qui on va donner le biberon.

- Désolé mais le vétérinaire a dit que ce « médicament » t’aiderait à dormir et qu’il est nécessaire pour ta croissance ! M’a indiquée Maître Max avec un grand sourire.

Comme un chiot, j’ai tété son bibi, en me souvenant que le dit « Brutus » m’avait demandée quelle était ma boisson préférée quand nous discutions en tchat. J’avais répondu vodka coca bien frais et il s’en souvenait.

Les « médicaments » terminés, il m’a faite redescendre du canapé en tirant le coussin du chien contre ses pieds. Pendant qu’il sirotait son cognac, je me suis lovée contre ses jambes, et j’ai eu des caresses. J’étais bien contre lui, je ne me posais pas de question, j’étais dans un autre monde. Si j’avais été un chat, j’aurai ronronné.

Son verre terminé, il s’est levé et, comme on parle à un chien, m’a appelée en se dirigeant vers sa chambre où une autre surprise m’attendait. A côté de son lit, à même le sol, il y avait un long coussin et un plaid tout doux en faux poils et UNE CHAINE. Ce rustre avait décidé de me faire dormir par terre et, encore une fois j’ai cédé. Il a attaché la chaîne à mon cou en me disant qu’il avait l’habitude des Puppys et que la nuit, ils essaient toujours de monter dans le lit.

En me disant ça, j’ai vu ses yeux briller. Il y avait encore beaucoup de tristesse car il a du penser à sa femme décédée. Alors j’ai décidé d’être sage, je me suis couchée sans rien dire. Il m’a couverte et a éteint la lumière. Il m’a fallut un peu de temps à trouver le sommeil, trop de choses me passait par la tête. Il n’avait rien tenté en terme sexuel, il n’avait eu aucun geste déplacé, et par sa douceur, m’avait emmenée où il voulait. Ah ce moment là, je n’aurai rien eu contre que Maître Max devienne z o o p h i l e avec sa Puppy et qu’il la prenne en levrette à même le sol.

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Au milieu de la nuit, une main s’est mise à caresser ma tête. Maître Max m’a dit des « ouaf ouaf » interrogatifs comme s’il parlait « chien » ? J’ai répondu « Ouaaaf » en insistant sur le aaaa pour lui dire que j’étais d’accord. Il a décroché la chaîne de son anneau et j’ai sauté dans le lit. Je lui ai fait des « fêtes » en léchant un peu son visage comme un chien tout content. Il a bloqué ma tête pour simplement déposer un baiser furtif sur mes lèvres. Moi j’en ai déposé plusieurs, et puis, il m’a couchée sur le côté et embrassée en me faisant des caresses plus « humaines ». De bisous en caresses, j’ai fini à quatre pattes sur le lit. Il a soulevé la queue qui était toujours en place puis, après avoir mis un préservatif, m’a prise en levrette en tirant sur la chaîne toujours attachée à mon collier.

Ce qui est surprenant, c’est que je me suis vraiment sentie « chienne » ! Cela n’était pas ma première levrette, mais celle-là avait un autre sens. Si c’est lui qui m’a prise, je me suis donnée comme jamais tant j’étais sur un nuage. Bien cambrée la chienne « en chaleur » se donnait. Et après le coït sauvage, presque animal, il a été trop « chou », trop câlin. Il m’a serrée dans ses bras fortement pour continuer de me caresser avec une extrême douceur. Nous nous sommes endormis comme des bébés même pas chien MDR.

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Le lendemain, après les douches « normales » le petit déjeuné « normal » il m’a rappelée que j’avais une punition en attente. Encore une fois, il a pris le temps de planter le décors..... Maître Max a tenu à ce que je mette debout devant lui avec les mains croisées dans le dos. Il a commencé par me faire la morale sur « la confiance » et le vouvoiement qui était imposé. Qualifiant cela d’inacceptable, il est allé s’asseoir sur une chaise et m’a demandée de m’approcher de lui.

Maître Max a tenu à ce que je retire ma culotte toute seule, enfin, le string qui n’aurait rien changé pour une fessée. Il me regardait avec un regard volontairement hautain pour augmenter ma gêne. Il m’a laissée mariner au moins deux minutes debout mains dans le dos en me disant de méditer. Je ne savais plus si je devais rire ou pleurer.

Quand il m’a dit « Couche toi sur mes genoux », je n’étais pas fière. Sans se presser il a soulevé ma robe, m’a laissée attendre encore un peu la claque qui, irrémédiablement allait tomber. Elle m’a surprise et faite crier alors qu’elle n’était pas forte. Cela m’a valu le « tu es une chochotte, tu vas bien avoir le temps de crier ». L’enfoiré faisait encore monter le pression.

Avec le recul, la première fessée qu’il m’a donnée n’était vraiment pas forte, mais elle m’a marquée, elle est à jamais gravée dans ma mémoire parce que c’était la première, puis parce qu’il avait créé une ambiance régressive pour moi. J’ai bien sûr eu « le droit » d’aller au coin mains sur la tête et fesses à l’air pendant qu’il reprenait un café. GRRRR mais en même temps, je me sentais « petite fille » ce qui est totalement fou.

Et ensuite ? Ensuite, il m’a retirée ma robe, m’a attrapée, portée et jetée dans la piscine pour me faire un câlin. Après, nous sommes allés déjeuner dans un bouiboui sur la plage et bronzer un peu comme des gens « normaux ». Quand il m’a dit qu’un jour il me promènerait peut-être en laisse sur cette plage, je n’ai pas relevé, j’avais trop peur que ma réponse soit interprétée comme une provocation.

Au moment de nous quitter, il m’a tendue la queue que j’avais portée en me disant que c’était un cadeau. J’étais un peu gênée mais en même temps, cela me faisais plaisir. Il m’a ensuite demandée si je voulais aussi le collier en me disant, de façon très posée, que si je l’acceptais, cela avait une valeur morale.

Le sens de cette proposition ne m’a pas échappé pour avoir lu des informations sur le forum : « Débutez en BDSM Infos pratiques » de Fessestivites. Devant mon absence de réponse, Maître Max n’a rien dit, il attendait tout simplement.

Dans mon cerveau, se sont mis à défiler toutes les images vécues, les sensations ressenties, le fait que finalement, être Puppy m’avait permis de lâcher prise sur tout et de me laisser aller comme si je n’avais plus de responsabilité.

Cette emprise qu’il avait sur moi, ne l’avait pas empêché d’être attentif, doux, câlins et respectueux. Cet acte sexuel hors norme ayant fait que j’étais dans un autre monde, ne l’avait pas empêché non plus d’être ensuite ultra câlins. Ce jeu de rapport de force, de transfert d’autorité m’attirant beaucoup, en plus des plaisirs éprouvés m’ont poussée à une réponse débile : « Ouaf, ouaf ».

Il l’a posé autour de mon cou, m’a remercié de cette confiance que je lui portais et m’a embrassée avec amour en me serrant dans ses bras.

EPILOGUE

Vous l’aurez compris, moi, ma femme de tête, gérante d’une entreprise de BTP, je suis devenue la « soumise » d’un homme qui fait de moi ce qu’il veut.

- Cela tombe bien, j’aime ne plus avoir à décider de quoi que ce soit.

- Cela tombe bien, j’aime ne plus avoir à gérer mon « image »

- Cela tombe bien, j’aime presque tout ce qu’il me fait... y compris certaines fessées qui me font décoller, qui me transportent dans un autre monde.

Le pets-play, ou puppy play, nous n’en faisons pas tout le temps, par contre, il lui arrive parfois de me « noyer » dans ce monde un week-end entier. C’est bien souvent quand j’ai trop de soucis professionnels. Ouaf, ouaf !

TSM


Pour des astuces voir ce post forum sur L’animalisation, vie de chienne ou de chien en BDSM

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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