Femme soumise

Mardi 21 juillet 2 21 /07 /Juil 10:56

Une discussion par tchat débouche sur une relation BDSM

Comme beaucoup d'hommes, je recherchais une fille branchée par le BDSM et qui ne soit pas farouche au lit. De sites en sites, de réseaux sociaux en réseaux sociaux je me suis décidé à payer un abonnement. Payer pour voir.

Je naviguais sur Fessestivites comme une âme en peine quand une annonce m'a séduit. La fille était connectée, je lui ai proposé le plus poliment possible de discuter par chat de nos passions et recherches respectives dans l'anonymat total. J'ai aussitôt ajouté que je n'étais pas du type "collant" et que si l'idée ne lui plaisait pas, je ne lui écrirai plus.

Sa réponse fut "pourquoi pas".

Au départ, j'ai glissé quelques mots sur moi sans m'étendre avant de me concentrer sur elle, sur ses envies et ses passions avec une approche plus psychologique que "sexe". Je crois que ce qui l'a séduite c'est mon écoute puis le respect de la langue française avec des phrases construites sans aucune vulgarité. De fils en aiguille, elle a fini par se "lâcher" et à me parler de ses envies de soumission.

Nous avons abordé le "lâcher prise" ce qui était un problème pour elle qui, dans la vie dite civile, est une directrice de société.

Une bonne heure de discussions plus tard, je me suis aventuré à lui proposer un petit scénario tout en précisant qu'elle n'avait évidement aucune obligation de quoi que ce soit, que ce n'était qu'un jeu érotique anonyme. Elle m'a aussitôt chambré sur le fait qu'elle en était informée.... Ma réponse de Maître virtuel n'a pas tardé !

- Louisa je crois que je fais preuve depuis le début de notre discussion d'un profond respect de votre personne, j'interprète votre réponse comme une provocation, cela se doit d'être sanctionné.

- Déjà ?

- Il faut un début à tout, mais rien ne vous y oblige. Provoquer est une chose, assumer en est une autre.

-Soit !

- Comme punition, dans un premier temps vous allez vous dévêtir en imaginant que je suis assis dans votre canapé avec une flutte à champagne à la main. Je souhaite savoir ce que vous ressentez et que vous ne trichiez pas. Si c'est pour tricher nous perdons notre temps tous les deux mais je sens que vous n'être pas du style à fuir vos responsabilités.

- Cela me gêne.

- Qu'est-ce qui vous gêne, je ne vous vois pas, vous êtes seule chez vous et nous n'avons pas allumé nos webcams. Serait-ce d'obéir à un homme qui vous gêne ?

- Nous ne nous connaissons pas !

- Soit, mais nous faisons connaissance. Je suis à votre écoute, je ne recherche que votre plaisir avec le plus grand respect et vous me provoquez. Il est peut-être temps d'assumer. Déshabillez-vous et indiquez-moi ce que vous faites puis ce que vous pensez. Nous avons tout notre temps.

A partir de là j'ai maintenu le silence, elle m'a demandé si elle devait se mettre intégralement nue, je n'ai pas répondu. Un message m'indiquant qu'elle venait de retirer son chemisier est apparu quelques minutes plus tard. Je l'ai félicitée et invitée à me décrire ce qu'elle ressentait à se dévêtir pour un inconnu.

- Un mélange de honte et d'excitation ! M'a répondu Louisa .

- Il est troublant d'obéir ainsi mais sachez que je n'ai qu'une envie ce soir, vous permettre de vivre des moments de plaisir dans l'abandon. J'espère y parvenir mais sans vous je ne peux rien. Continuez de vous dévêtir.

Une demi-heure plus tard, elle m'annonça être nue, nous avions beaucoup échangé entre chaque vêtement. Je la sentais excitée par le jeu ce qui m'a permis de pousser un peu plus le bouchon en lui demandant de mettre sa main entre ses jambes et de me décrire deux choses. Est-ce mouillé et que ressentez-vous au contact de votre main ? A chaque réponse ou presque, je la félicitais sur son lâcher prise et ajoutais souvent : " imaginez que je suis prêt de vous, que je ne bouge pas de votre canapé, que mes regards sont centrés uniquement sur vos yeux, voir une femme nue n'est pas ma recherche, ses regards exprimant l'abandon sont bien plus intéressants".

Au bout d'un moment je lui ai indiqué que l'heure de la punition avait sonnée et qu'elle devait aller chercher deux pinces à linge. A sa demande de "pourquoi faire" j'ai répondu "parce que je vous le demande". SADIQUE a été sa seule réponse.

- Je les ai ! M'indiqua Louisa un moment plus tard.

- Parfait, vous allez maintenant les poser délicatement sur vos tétons inconscients qui doivent pointer fièrement. Pour ne pas avoir mal, enfoncez-les dans vos chairs pour qu'elles pincent après le téton.

- J'ai honte !

- Il ne fallait pas me provoquer. Nous ne les laisserons pas longtemps si cela vous fait réellement mal.

- Cela pince et j'ai un peu mal mais ça va.

- Félicitations, vous avez osé. Maintenant vous allez imaginer que vous êtes à quatre pattes devant votre canapé sur lequel je suis toujours assis. Vous offrez votre intimité à ma vue et me tournez le dos. Je vous veux très cambrée quand votre main va glisser entre vos cuisses à la recherche du bouton magique. Vous avez honte mais ne pouvez vous soustraire à cet ordre. Vous allez mouiller votre majeur et commencer à triturer votre clitoris délicatement. Le faites-vous ?

- Oui

- Continuons votre """punition"""" en accélérant un peu la vitesse de la phalange coquine et imaginez qu'un bruissement vous permet de comprendre que je viens de quitter votre canapé pour me placer derrière vous. Vous êtes alors convaincue que je vais vous prendre mais il n'en sera rien. Mon pantalon touche vos fesses, mes ongles se plantent doucement en haut de votre dos puis entreprennent de glisser en griffant doucement votre épiderme. Vous sursautez mais n'avez pas mal, bien au contraire vous frissonnez. Comme vous vous êtes arrêtée de caresser votre clitoris impatient, je vous donne une petite claque de principe sur les fesses pour vous rappeler à l'ordre. Etes-vous en train de vous caresser ?

- Oui

- Etant du style très joueur, je dégage mon sexe de mon pantalon, vous me demander de mettre un préservatif. En guise de réponse vous prenez une seconde claque sur vos fesses et apprenez que je ne compte pas vous baiser, que je veux juste vous allumer et vous pousser à m'imaginer en vous. Rassurée mais en même temps un brin frustrée vous poursuivez vos caresses intimes. Au bout d'un moment, comme par un geste réflexe, animal vous vous frottez contre moi tout en jouant de vos doigts. Vous commencez à vraiment avoir envie de moi, moi aussi d'ailleurs mais je ne compte pas avoir un rapport sexuel avec vous, du moins pas le premier soir. Je veux que vous jouissiez dans l'abandon.

- SADIQUE

- J'ai une faveur à vous demander. ATTENDEZ avant de répondre. J'aimerai voir vos yeux en cam. Juste vos yeux. Vous pouvez orienter la cam vers le plafond de votre appartement et m'offrir, non pas votre nudité mais votre regard. Rien ne vous y oblige mais cela serait assez pour mon plaisir. Sachez que je ne suis pas en train de me masturber, vous imaginer vous abandonner pour VOUS et quelque par aussi pour moi est mon seul plaisir, voir vos yeux qui en diront bien plus que votre corps serait merveilleux.

- Je ne le sens pas !

- Ce n'est pas un souci, continuez de vous caresser, si j'arrive à vous faire lâcher prise je serai ce soir un homme comblé.

- Vous êtes déçu ?

- Absolument pas, un pas après l'autre, vous le ferez peut-être un jour et si vous ne le faites jamais, notre échange de ce soir restera un merveilleux souvenir. Avez-vous mal aux tétons ?

- Non, je ne sens plus les pinces à linge.

- Je vous dirai quand les retirer, continuez à vous caresser mais attention vous n'avez plus que 10 minutes, après vous n'aurez plus le droit de continuer.

- SADIQUE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

( Moins de deux minutes plus tard, une demande de cam est apparue sur mon écran. Quel bonheur ! Au départ, je ne voyais que ses cheveux mais je n'ai rien dit, je l'ai laissée dans son imaginaire, seul son plaisir comptait pour moi. Ce qu'elle ne savait pas c'est qu'elle avait laissé le son..... L'entendre """miauler"" de plaisir, entendre son souffle s'accélérer m'a comblé).

- Au moment le plus fort, retirez les pinces à linge de vos tétons.

Là j'ai entendu un cri qui n'était pas de douleur. Convaincue que j'avais vue ses yeux, elle n'a pas coupé la cam quand elle s'est redressée sur son fauteuil de bureau, c'est la première fois que je voyais le visage de celle qui est devenue ma femme. (Et ma soumise)

TSM

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Bondage Fetish
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Vendredi 17 juillet 5 17 /07 /Juil 11:43

La découverte de moi-même avec un Maître

La première chose que mon Maître m'a apprise, c'est à être femme. Je sais que cela peut surprendre, ces choses devraient se découvrir par soi-même, au fil de l'apprentissage des choses et des rencontres que l'on fait lorsque l'on débute dans la vie.

Je me crois jolie, attirante même si comme beaucoup de femmes j'avais honte de mon corps, chose qui n'est plus grâce à lui. J'ai perdu ma virginité un peu avant mes 19 ans et j'ai eu des rapports sexuels sans vraiment y prendre plaisir. C'était bien bon mais sans plus. Dans ma tête j'avais des fantasmes BDSM, les livres et internet ont alimenté ma libido, mais je me croyais décalée, anormale.

J'étais à deux doigts de tout laisser tomber quand j'ai rencontré mon Maître sur Fessestivites, celui qui a su me guider dans la soumission, me faire accepter mon corps, mes envies, mes fantasmes et surtout m'apprendre à être une femme dans un lit.

Après x et x emails et heures de tchat, j'ai accepté de le rencontrer dans une brasserie. Il a été d'une courtoisie étonnante, d'une gentillesse et patience d'ange puis ne m'a pressée en rien. Lors de notre premier rendez-vous, il a commencé par m'inviter au restaurent en jouant le "papa" qui guide sa soumise pour qu'à table sa tenue ne soit pas négligée. Cela m'a valu une petite fessée ultra gentille et une longue discussion après la fessée. Enfin un mec qui ne voulait pas se servir du BDSM pour avoir une gâterie ou me sauter !

Comme je me sentais en sécurité avec lui, j'ai accepté qu'il me fasse un shibari. Pendant cette soirée corde, il n'a eu aucun geste déplacé, bien au contraire, il a souhaité pour un premier bondage que je reste vêtue. Alors que j'étais totalement entravé, il m'a proposé de vivre quelque chose de plus érotique en restant "bien entendu vêtue " avait-il précisé. Et là, il a sorti un magic wand massager qu'il a promené sur tout mon corps avant d'en arriver à la zone sensible chez une femme. A travers mes vêtements c'était soft mais franchement torride car j'étais à la merci de ses désirs de jouer avec mon plaisir. Il m'a rendue folle ! S'il avait voulu aller plus loin, j'étais déjà prête ce soir là mais il n'en a pas profité.

Le week-end suivant, il a travaillé sur mon "lâché prise" dès le vendredi soir en m'indiquant qu'il allait me dévêtir et me faire des choses. Pour cela il m'a tendu des menottes en me demandant de les mettre moi-même en signe de soumission puis d'aller me mettre debout penchée en avant les mains contre un mur. Au lieu de me dévêtir il a commencé par me vêtir en posant un bandeau sur mes yeux.

Encore une fois sa douceur dans les gestes lents et posés m'a rassurée. Se faire dévêtir en étant menottée et aveuglée est grisant même si l'on est pudique. La partie BDSM a commencé réellement ce soir là. Ses mains sur moi enflammaient mes sens, je me sentais déjà sa "chose". Penchée en avant jambes écartées et nue je m'attendais à me faire prendre, en guise de sexe, j'ai eu droit à de petites pinces à sein puis des coups de martinet soft sur tout le corps y compris entre les jambes. C'est chaud mais c'est bon !

Il m'a faite ensuite mettre à quatre pattes puis marcher jusqu'à son canapé où il m'a demandée d'attendre. Je m'attendais à ce qu'il me demande une gâterie quand le bruit d'un bouchon de champagne m'a faite sursauter. Quelques secondes plus tard une main guidait ma tête, il m'ordonnait de boire dans le creux de sa main. Cela s'est fait plusieurs fois avant qu'il m'ordonne de prendre des positions très sensuelles. A chaque fois il me complimentait sur la beauté de mon corps. Imaginez-vous nue, les yeux bandés en train de prendre des postures très coquines à 20 ans, devant un monsieur qui a le double du votre. C'est chaud !

Alors que j'étais étendue sur le dos comme une petite chienne qui a les pattes en l'air, il a fait couler le champagne sur mes seins et ma poitrine avant de venir le boire en lutinant mes tétons au passage. Quand il a fait de même avec mon sexe, j'étais prête, j'avais envie de lui, d'être la petite chienne soumise de mes fantasmes. Il m'a imposée de le lui dire, j'aurai eu de la peine à réfuter, j'étais trempée. Oui mais avouer que l'on veut être prise comme une chienne à 20 ans, c'est chaud !

Il a été doux au départ, a essayé ensuite la manière plus hard d'un rapport sexuel sans jamais parvenir à me faire jouir. C'était bon mais sans plus. Après cette partie de sexe, il m'a demandé de me lever puis m'a portée jusqu'à sa chambre sans retirer mes menottes et là, j'ai eu droit à un gros câlin puis quelques questions qui m'ont poussée à lui dévoiler que je ne connaissait pas la jouissance. Dans ses bras j'étais bien, ma langue se déliait, ma pudeur tombait peu à peu.

Le lendemain, il m'a dit avoir un grand projet pour moi et qu'il espérait faire de moi une femme comblée si tenté que je lui renouvelle ma confiance. Lorsque j'ai voulu savoir ce qu'il mijotait, il m'a simplement répondu c'est une surprise. Après une ballade en ville et un petit restaurent, nous nous sommes retrouvés chez lui. En guise de départ de jeu, il m'a demandé d'aller prendre une douche et de l'attendre nue dans la salle de bain. Quand il m'a rejoint je sortais de la douche, il m'a tendue un bandeau en me demandant de le mettre. Portée jusqu'à sa chambre je me suis retrouvée nue couchée sur le lit. Avec douceur il a commencé à entraver mes jambes très écartées, j'étais convaincue qu'il allait me prendre. Qu'elle erreur il a fait pire.

Il a ensuite attaché mes poignets très écartés, dans cette position je ne pouvais pas être plus offerte à ses envies. Et là, au lieu de se jeter sur la chair fraîche, il m'a dévorée par petits bouts. Il a mangé mes jambes, mes pieds, mes cuisses en évitant mon sexe tout en le frôlant puis a tracé de sa langue des chemins imaginaires sur ma poitrine en évitant mes tétons. Je n'en pouvais plus, j'avais envie de plus "consistant" mais il était le Maître, le Maître de mes sens en ébullition. Soudain mes seins sont devenus ses proies, en alternant petits pincements, baisers doux et petits coups de dents il m'a rendue folle, folle de désir.

La cible suivante a été mon chaton, caressé, palpé, embrassé, ouvert avant que mon clitoris subisse l'attaque de sa langue habile. Je mourrais d'envie de le serrer dans mes bras, les entraves ne me le permettaient pas, même en tirant dessus quand les sensations physiques me rendaient folle. Ces jeux d'allumage d'une pauvre soumise innocente ont duré au moins une heure, une heure d'enfer, une heure de pur bonheur. Quand il est monté sur le lit pour prendre place entre mes cuisses maintenues écartées par les entraves, je mourrais d'envie de lui. Ce sadique n'avait pas encore envie d'occire sa victime sur l'estrade des condamnées. Non il a fait pire !

Mon sadique Maître a joué du gland juste à la porte de mon sexe devenu affamé, en titillant mon clitoris avec son magic wand. Au bout d'un moment, je me tendais vers lui pour être enfin prise, j'étais devenue une chienne en chaleur, c'était horrible de ne pas être prise, de ne pas le sentir en moi. Tous les pores de ma peau étaient devenus des capteurs sensoriels, la moindre de ses caresses, le moindre frôlement m'arrachait des gémissements et des plaintes de louve en manque.

LA POSSESSION

La possession c'est faite de la même manière que l'heure de perversion des sens, la douceur poussée à son paroxysme dans la pénétration. Elle a été lente, très lente et profonde, ce n'est que quand j'étais totalement comblée de son Priape qu'il s'est allongé sur moi et m'a embrassée. A ce moment là, je n'étais plus qu'un sexe en manque de vigueur et j'ai été servie au-delà de mes espérances. Le marteau piqueur des sens s'est abattu sur moi, pincée, embrassée, baisée fortement, j'ai perdu pied et crié en tirant sur mes entraves. Tout devenait trop fort, trop jouissif, trop..... il a fait la sourde oreille à mes suppliques et mes "non" pour me conduire au nirvana. C'était la première fois que je découvrais ce que signifie jouir.

Libérée et recroquevillée dans ses bras, j'ai pleuré, tremblé, mes bras n'étaient pas assez forts pour me serrer contre lui. Je venais de devenir femme.

Le samedi soir, il m'a entravée nue comme sur l'image, je n'avais plus qu'une idée en tête, être sa chose et il en a joué en me laissant savourer le plaisir de l'offrande et des courants d'air grisants. C'est dans cette position que j'ai enfin pu remercier de ma bouche le sexe qui m'avait rendu si heureuse et soumise. Quel bonheur !

Ecrivaillon

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Lundi 13 juillet 1 13 /07 /Juil 10:32

BDSM aiguilles les seins cloués chez Fessestivites

Cela ne fait pas mal promis juré il faut juste ne pas avoir peur !

 

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Pour vos rencontres BDSM, une visite s'impose chez Fessestivites

 

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mercredi 20 mai 3 20 /05 /Mai 16:28

Selfbondage shibari, trahison, humiliation et fessée

Laura et Sandra sont devenues amies intimes en étant colocataires lors de leurs études de médecine. La complicité des filles leur a permis de "chasser" le beau mâle ensembles sur internet, l'un étant libertine, l'autre plus orientée BDSM mais elles ne se jugeaient pas, à chacun son trip, à chacun ses plaisirs.

Sur Fessestivites.com elles se sont retrouvées rivales, la tension est montée sans aller jusqu'à la rupture de leur amitié. La belle Laura a décroché l'étalon, Sandra lui en a voulu longtemps avant de se trouver le sien, un véritable charmeur ultra coquin.

Si leur vie de couple est sans nuage, Charles s'investissant totalement dans sa carrière, Laura se sent un peu abandonnée coté câlins et BDSM. Etant une femme fidèle, c'est dans le selfbondage qu'elle parvient à assouvir ses pulsions en allant de plus en plus loin dans ses jeux solitaires.

Charles est totalement opposé à ces jeux qu'il a découvert un soir en arrivant de l'hôpital. Laura s'était attachée toute seule pour s'offrir à son mari. Dans l'entrée de leur maison, elle avait scotché une feuille sur une chaise sur laquelle elle avait écrit : "une pauvre femme sans défense est entravée et totalement offerte dans ton lit".

Si le chirurgien avait apprécié le geste de cette surprise originale, il avait également sermonnée sa soumise en insistant sur les risques encourus comme un incendie, des cambrioleurs, un souci de santé. Malgré l'interdiction de son mari, Laura continue ses activités solitaires et va toujours plus loin dans le selfbondage.

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Cinq ans plus tard, Sandra s'est retrouvée à la rue suite à une énorme colère après son charmeur quand elle a découvert qu'il la trompait régulièrement avec les infirmières de l'hôpital. Lui ayant mal vécu qu'elle fouille dans son téléphone portable, la chose n'a pas traîné, le soir même elle était à la rue.

Laura et Charles l'ont accueillie dans leur grande maison bourgeoise, un héritage familial de Charles devenu chirurgien et dont la carrière s'annonce prometteuse. L'hébergement de Sandra dure un peu mais elle est si gentille, discrète que cela ne pose aucun problème, au contraire, en guise de remerciement, elle achète la nourriture et leur fait une cuisine digne d'un quatre étoiles. C'est donc une relation sans histoire, les filles ont retrouvé leur complicité d'antan, les confidences coquines sont nombreuses suite à quelques "bruits suspect" le soir dans la maison mais Laura a gardé pour elle ses petits plaisirs solitaires.

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Seule chez elle après une nuit de garde, Laura a décidé de s'accorder une après-midi de plaisir, des vidéos de selfbondage visionnées sur Fessestivites lui ayant donné des idées coquines.

Après avoir sorti ses cordes de shibari achetées en même temps qu'un magic wand massager sur ABCplaisir.com, puis de quoi se faire un bâillon, toute excitée Laura s'installe tranquillement sur son lit. Pour commencer, elle décide de se faire un bâillon puis de rajouter un foulard noué derrière sa tête, freiner sa respiration lui donne des frisons qu'elle adore. Elle noue ensuite une première corde au dessus de sa poitrine puis une seconde en dessous pour essayer de serrer ses seins.

Comme cela ne correspond pas vraiment à un bondage de poitrine, elle décide de rajouter des cordes et de les lier devant et derrière son buste, cela fera un point d'encrage supplémentaire à son bondage, les noeuds coulants qu'elle ajoute maintiendront ses poignets comme des menottes.

Sur la vidéo de selfbondage l'ayant excitée, la fille entravait ses chevilles puis ajoutait une corde lui permettant de relier son buste à ses pieds de façon à ce qu'elle ne puisse plus s'allonger. Laura fait donc de même, si elle se couche sur le dos, dans les mouvements de ses petits délires, elle offrira son intimité à son Maître ou à des méchants venus profiter de son corps sans défense.

Très confiante, un peu trop peut-être...., Laura finalise son shibari en venant attacher le dernier bout de corde sur le devant de son buste. A la suite de quoi, ses mains passent dans les anneaux de cordes et tirent sur les noeud coulants. Quand elle s'emprisonne pour un long moment de fantasme, c'est comme si son mari l'attachait pour une durée indéterminée avec un lot de surprises coquines ou BDSM. Son coeur bât la chamade, sa respiration s'accélère, ses tempes bourdonnent mais son intimité mouillée ne pourra pas être atteinte par des doigts coquins. Laura s'auto contraint ainsi à la frustration, chose grisante qui durera un long moment avant qu'elle ne se libère et s'apaise avec le magic wand.

Lorsque à la recherche de sensations elle commence à tirer sur ses entraves en s'imaginant prisonnière face à une meute de loup venus la dévorer, elle se rend compte que les noeuds coulants se sont vraiment serrés. Ce n'est pas la première fois qu'elle prend des risques, elle se doit juste de faire attention et ne pas tirer plus fortement sur les cordes.

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Sandra s'était trompée dans ses horaires de travail pour cause de trop de surf sur Fessestivites, libérée à 15 heures, elle fait donc quelques courses avant de revenir à la maison, ce soir elle compte leur servir un Veau Marengo. A son arrivée, le sac à main de son amie posé sur le guéridon dans l'entrée lui permet de constater qu'elle n'est pas seule. Elle l'appelle donc puis, sans réponse, entreprend de faire le tour de la maison pour lui parler du contact sérieux qu'elle a sur le site de rencontres.

S'étant déjà vues nues de nombreuses fois lorsqu'elles étaient colocataires, Sandra n'hésite pas à passer à la salle de bain puis à aller voir dans la chambre de ses amis.

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En entendant crier son prénom, Laura s'affole, même si Charles lui a raconté l'épisode selfbondage surprise, elle n'a pas envie d'être vue dans ses petits plaisirs intimes. S'affoler lorsque l'on fait du selfbondage n'est pas une bonne idée, bien au contraire, il faut rester calme et chercher une solution de sortie. En essayant de se libérer rapidement, elle tire sur les cordes, les noeuds coulants font leur office et se serrent encore sur ses poignets. Sandra entre dans la chambre et découvre son amie attachée.

 

- Mais que t'arrive t'il ? Demande t-elle affolée avant de comprendre que son amie s'est fait plaisir malgré l'interdiction de son mari et Maître.

- Moufff, moufff ! Crie Laura en faisant voir ses poignets pour lui aire comprendre qu'elle est piégée.

- Ah oui, je vois que tu t'es bien attachée.

- Moufff, moufff !

- Ah tu es bloquée ?

- Moufff, moufff !

- C'est con pour toi ça, à ta place je serai contrariée ! Dit Sandra en rigolant. J'en connais une qui va se faire gronder......

- Moufff, moufff ! Fait encore Laura en faisant des "non" de la tête.

- Bon écoute ma belle, quand nous étions colocataires tu as voulu Charles et tu l'as eu, ben maintenant il faut assumer. D'ailleurs, je vais lui adresser un texto pour lui dire qu'il y a un Veau Marengo maison à partager ce soir et sa femme attachée sur le lit. Il va adorer ....

- Moufff, moufff ! Fait encore Laura en faisant des "non" de la tête.

Sandra quitte la chambre et met en pratique sa petite vengeance très féminine avant d'aller cuisiner son Veau Marengo. A la lecture du texto, Charles est loin de s'imaginer que sa femme a encore recommencé ses "conneries" de selfbondage. Il pense que Sandra a attaché sa petite femme et qu'ils vont fêter quelque chose.

Pendant plus de deux heures, Laura lutte contre les cordes, en s'affolant elle a réussi à les bloquer. Au plus elle essaye de se libérer, au plus elle se piège. Lorsque Charles arrive à la maison, les odeurs d'une bonne cuisine lui mettent l'eau à la bouche, il passe donc par la cuisine pour féliciter la cuisinière.

- Bonsoir Sandra, qu'y a t-il au menu ce soir ?

- Un veau Marengo et ta femme qui a fait des bêtises.

- Comment ça des bêtises ?

- Je ne veux pas moucharder, mais je l'ai trouvée attachée en arrivant.

Le visage de Charles s'assombrit aussitôt, il tourne les talons pour grimper quatre à quatre les marches de l'escalier le conduisant à la chambre, où il découvre sa belle saucissonnée et bâillonnée. Bien décidé à lui donner une leçon, en grand chirurgien il reste calme et médite un instant à la punition convenant le mieux.

Laura fait triste mine, elle essaye de l'apitoyer du regard mais l'échange muet des yeux ne lui dit rien de bon, mais alors pas bon du tout. Bien décidé à lui donner une bonne leçon, Charles l'attrape par la taille pour la prendre dans ses bras. Portée hors de la chambre, Laura sent qu'il va la punir devant son amie. Elle fait des "non" désespérés de la tête mais il n'en a que faire et se concentre sur les escaliers à descendre.

- Sandra, ouvre une bouteille de champagne, prend des fluttes et rejoint nous au salon ! Crie Charles en passant devant la porte de la cuisine.

Posée fesses en l'air sur les genoux de Charles assis dans le salon, Laura est blême, si elle est en manque de BDSM, elle n'a surtout pas envie de partager ça avec son amie, mais il semble en avoir décidé autrement. Il est bien trop tard pour le lui dire....

- Sert-nous le champagne, nous allons partager quelque chose. Indique Charles à l'arrivée de Sandra.

Sandra sert donc le champagne avec un sourire posé sur les lèvres malgré les regards de tueuse que lui adresse son amie en mauvaise posture.

- Nous allons donc partager une des punitions de ton amie, je subodore que tu seras d'accord avec moi, son attitude très dangereuse se doit d'être sanctionnée.

Charles glisse les bords de la petite culotte entre les fesses de Laura pour en faire un string et dévoiler le fessier qu'il compte bien tanner sur le champ. Sa main se lève et s'abat sur les délicates rondeurs fessières sans défense avec régularité et une certaine puissance permettant à Sandra de constater que ce n'est pas du cinéma. La fessée prend même de l'ampleur, les fesses rougissent à vue d'oeil, le visage de Laura déformé par la douleur gêne soudain son amie.

- Désolée, je dois aller tourner mon plat ! Indique Sandra très gênée en se levant pour fuir les lieux.

La fessée dure bien plus longtemps que celui qu'il fallait en cuisine mais Sandra ne revient pas au salon, elle ne s'attendait pas à ça.

- Quand tu auras fini de remuer ton plat prend de la crème pour les fesses de ton amie, elle va en avoir besoin. Crie Charles avant d'ajouter. Libère-la, je vais me calmer en allant marcher un peu.

Restée seule avec Laura en larmes, Sandra s'attaque aux noeuds et libère son amie en s'excusant à plate couture. Elle insiste en disant que jamais au grand jamais elle n'avait voulu ça, qu'elle est horriblement gênée. Une fois libérée, Laura est guidée sur le canapé où les petites fesses rouges sont massées avec une extrême douceur avec de la Bepanthen.

Laura furieuse se remet doucement puis s'habille pour aller chercher son mari et Maître dans la rue. La lueur du réverbère lui permet de voir qu'il a les yeux mouillés et qu'il a pleuré. Sa colère fond aussitôt, elle se jette dans ses bras pour un gros baiser d'amour. Le conducteur du véhicule passant près d'eux les trouve trop mignons, s'il savait....

Voir une boutique avec un rayon dédié au selfbondage

Pour discuter entre adepte du selfbondage rendez-vous sur le forum de Fessestivites ICI

 

Accéder à plus de 800 vidéos de selfbondage sans publicité

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Samedi 25 avril 6 25 /04 /Avr 10:20

Mon gyécologue me domine de façon très professionnelle

 

Il y a dans la vie ce que l'on appelle des concours de circonstances incroyables.

 

Mon Maître me fait porter en permanence un rosebud, dont la taille varie en fonction de ses envies. Lorsque nous avons déménagé pour nous rapprocher du lieu de travail de mon mari, j'ai du changer de gynécologue, continuer avec le mien à cent soixante kilomètres n'aurait pas été réaliste. Lors du rendez-vous, je me suis présentée à son cabinet par une belle journée de printemps, avec comme projet d'aller ensuite visiter une galerie marchande, ma tête était donc très centrée sur mes éventuelles emplettes et non pas sur la visite médicale.

 

C'est lorsqu'il m'a invitée à me déshabiller que j'ai réalisé que j'avais oublié de retirer le rosebud. Il était là, debout près de moi et attendait que je prenne place sur la table de gynécologie, que faire ? L'idée de prétexter une envie pressante m'est venue, cela ne lui a pas posé de problème du tout, il m'a répondue : "c'est parfait, nous en profiterons pour faire une analyse d'urine, prenez place sur les toilettes, je vous accompagne". (Et merde) Prise au piège, je lui avoué avoir un petit souci intime.

 

- Je pense que c'est le but de votre rendez-vous, expliquez-moi !

 

- Je, enfin j'ai ......

 

Les mots ne sortez pas mais je devais être rouge comme une pivoine. 

 

- Ne soyez pas gênée, je crois comprendre que vous avez des piercings ou quelque chose comme, ça. Je ne suis pas là pour juger la vie de mes patientes mais pour les soigner. Arrêtez de faire la timide et déshabillez-vous, il y a d'autres patientes qui attendent !

 

Totalement piégée, je retire donc ma robe et mon soutien-gorge puis m'installe sur la table de gynécologie exposant à son regard le brillant du rosebud.

 

- Je vois que vous avez oublié votre petit bijou intime, c'est très joli. Par contre le fait d'avoir oublier de mettre une culotte vous expose au risque de le perdre dans la rue, attention où vous allez cela peut être très ennuyeux, à l'école par exemple.... 

 

Que répondre à cela ?

 

Même avec sa blouse blanche, sa lampe de spéléologue de minous intimes sa tête amusée ne me disait rien qui vaille, je le sentais songeur.

 

- Vous vous appelez Martine Dufour c'est bien cela ?

 

- Oui docteur.

 

- Votre marie s'appelle Jacques ?

 

- Oui mais comment le savez-vous ?

 

- Ne bougez pas, je dois passer un coup de téléphone.

 

Que le médecin me plante là avec les jambes écartées et le sexe à l'air pour aller passer un coup de téléphone ne me plaisait pas du tout. J'étais folle de rage et bien décidée à faire trois cent kilomètres pour trouver un gynéco plus sérieux et plus respectueux de ses patientes. Mon s a n g s'est glacé dans mes veines à la première minute de son appel téléphonique.

 

- Alors Jacques, c'est Paul, comment vas-tu ?

 

......

 

- Dis-moi j'ai une certaine Martine Dufour dans mon cabinet, une dame charmante avec des cheveux châtains clairs mi-longs. Est-ce que ce serait ta femme ?

 

.....

 

- C'est trop amusant comme coïncidences ! Ta soumise est très tête en l'air, elle est arrivée comblée au cabinet et à oublié de mettre une culotte.

 

La conversation m'a sciée ! Ils se connaissaient et semblaient partager les même attirances pour le BDSM. Dans un sens j'étais moins gênée mais cela ne me disait rien qui vaille. Soudain, le médecin me passe le téléphone en m'indiquant que mon Maître voulait me parler. Téléphoner cuisses écartées sexe à l'air dans ces conditions est extrêmement original !

 

- Chérie, ce médecin est un ami d'enfance et j'ai une totale confiance en lui. Tu vas donc accepter sans rechigner ce qu'il aura envie de te faire, si tu te rebelles, il a comme consigne de m'appeler après ta visite. Essayez de trouver une date pour l'inviter à dîner un soir ! M'indiqua mon mari avant de raccrocher.  

 

Très professionnel, il me retire le téléphone des mains, enfile des gants pour m'ausculter le minou en me logeant un spéculum jetable. Il fait un petit frottis puis retire le spéculum en me disant, qu'il faut qu'il contrôle mon cul de gourmande. Je suis blême mais ne peut rien dire, Maître me punirait si j'essayais de résister. Ses doigts agiles entreprennent de retirer le rosebud, comme il colle un peu je gémis lors de son retrait ce qui me vaut un petit recadrage.

 

- Ouvrez la bouche ! 

 

Par réflexe, j'ai fait ce qu'il me demandait avant de réaliser qu'il y avait un souci. Il n'a pas hésité une seconde ni ne m'a demandé mon avis pour loger mon rosebud dans la bouche. L'enfoi.... Heureusement qu'il est propre ! Après avoir lubrifié mon anus, il entreprend d'y mettre un spéculum plus gros en métal puis l'ouvre progressivement. Le coup d'oeil professionnel dure quelques instants avant qu'il se mette à forcer l'ouverture de mon anus à son maximum. Cela commence à me faire mal, mais il n'en a que faire, au contraire, il s'amuse à me branler le cul en essayant de l'ouvrir encore. Dans sa déserte médicale, je le vois attraper un pied à coulisse en affichant un sourire radieux !

 

- Avec une soumise gourmande dont le cul a une ouverture de cinq centimètres, Jacques doit bien s'amuser et ne va pas tarder à pouvoir la fister sans souci. 

 

Le gynéco sadique s'amuse comme un fou de ma déconvenue et de ses commentaires sur mon anatomie. Il referme le spéculum et le retire en me pinçant le clitoris assez durement. j'ai beau serrer les dents et les lèvres, un gémissement m'échappe.

 

- Le clitoris pincé permet de faire oublier le retrait du spéculum, c'était pour votre confort madame.

 

Tu parles Charles, pour mon confort, ce sadique profite de la situation. Je m'amuserai bien à faire glisser ma jambe des gouttières pour lui donner un coup de pieds par "accident" mais c'est trop dangereux pour mes fesses. Grrrrr !

 

- Bon, je ne peux pas vous laisser partir avec les fesses vides, vous êtes arrivée comblée vous devez repartir comblée. Le souci c'est qu'après la visite, ce petit cul ne pourra pas conserver le rosebud en bonne place, soit il va tomber, soit vous allez l'avaler. Réfléchissons un peu à ce que nous pourrions y loger. M'indique le gynéco avec un sourire pervers posé sur les lèvres. Ah oui, j'ai des échantillons de désinfectant, cela doit convenir à ce cul gourmand.

 

Plantée là pour la énième fois, je le vois aller farfouiller dans ses placards pour revenir avec une petite bombe de désinfectant qu'il désinfecte avant de me la loger dans l'anus sans le capuchon avec le gicleur qu'il laisse à l'extérieur.

 

- Tenez-le s'il vous plait, il ne faut pas qu'il tombe.

 

Que faire ? Rien à part obtempérer face à un médecin qui s'avère être un psychopathe BDSM à l'humour douteux.

 

- Tenez j'ai ça pour que vous ne perdiez pas mon petit cadeau ! M'indique le gynéco en me tendant un slip pour personne incontinentes. Avec lui au moins, vous ne le perdrez pas mais faites attention quand vous devrez vous asseoir. Bien, maintenant nous allons nous occuper de vos mamelles.

 

Après m'avoir fait passer cette culotte dernier cri dans la laideur, c'est avec le même sourire sadique posé sur les lèvres qu'il entreprend d'ausculter mes seins sérieusement. Cette palpation mammaire se termine comme je le présentais par le pincement de mes tétons qu'il fait rouler et étire comme s'il voulait me traire. Mes mains sont si serrées sur le fauteuil que mes ongles doivent le massacrer, tant pis pour lui.

 

- Bien, il n'y a rien à signaler dans vos réceptacles ni dans vos mamelles, nous pourrions un soir les faire doubler de volume pour s'amuser un peu, mais pour l'instant vous pouvez vous rhabiller.

 

Le choix des mots n'a rien de professionnel, il s'amuse de moi comme un Maître sur la retenue, je sens bien qu'il doit pouvoir faire bien pire dans ses actes. Faire doubler mes seins de volume, quelle idée, c'est un truc à ressembler à une vache ! Lorsque j'ai terminé de m'habiller je lui tends ma carte sécu qu'il insère dans son sabot avant de tapoter sur le clavier de son ordinateur. Avec ce que j'ai dans l'anus je n'ose pas m'asseoir et reste debout devant son bureau.

 

- L'invitation à dîner, je l'indique sur la carte sécu où je dois appeler Jacques ?  

 

- Demain soir vers 20 heures, est-ce que cela vous convient ?

 

- C'est parfait, je prendrai quelques outils médicaux, pour le reste je subodore que vous avez ce qu'il vous faut à la maison. Me répond le gynéco.

 

.......................

 

Si marcher avec un rosebud dans les fesses n'est pas un souci, avec une bombe de désinfectant, c'est bien différent. Cette saloperie ne demande qu'à partir, heureusement qu'il m'adonné cette couche culotte, sans quoi, je ne serai pas arrivée jusqu'à la porte du cabinet médical. L'envie de la retirer me titille mais je suis certaine qu'il va faire un compte rendu à mon Maître, que dois-je faire ? Reporter la visite de la galerie marchande c'est sûr ! 

 

Je monte avec précaution dans la voiture et pose mon fessier délicatement sur le siège. La bombe remonte doucement dans mon anatomie, la gêne est supportable. Au moment ou je finis de m'asseoir, le gicleur de la bombe se met à pulser le désinfectant entre mes fesses. L'enfoi.... Soit je la retire tout de suite, soit je roule comme ça. Oui mais se retirer un truc comme ça du cul en centre ville, c'est coquasse ! Je le hais ! Le siège, coucher un peu le siège ! Assise sur une fesse j'attends qu'il n'y ait personne proche de la voiture. Ma robe prestement relevée, j'écarte la couche pour extraire son machin à la noix avec un grand soulagement. Tant pis si je prends une fessée.

 

Ecrivaillon

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mardi 14 avril 2 14 /04 /Avr 12:18

Candaulisme en esclavage sexuel

Par Ecrivaillon

J'ai pris conscience un soir lors d'une discussion avec des amis quand, dans une boutade lancée à mon mari sur ses faibles désirs. En me répondant avec tact que la belle blonde dévoreuse avait elle aussi perdu l'appétit de ses 20 ans, il m'a renvoyée dans mes buts et faite réfléchir. Mariée à 18 ans, après 25 ans de mariage et une vie de couple épanouie, j'avoue avoir perdu le petit truc qui fait qu'une femme désire son mari même si elle l'aime.

Le soir même, les amis étant à peine partis, il est revenu à la charge avec ses idées libertines pour mettre un peu de piment dans nos relations de couple. Et toc, prends-toi ça dans les gencives. Mon mari étant attentionné, amoureux mais d'un amour devenant aussi platonique que le mien, après des heures de discussions j'ai fini par accepter de faire une sortie en club libertin. Si nous n'avons rien fait, ce qui j'y ai vu m'a perturbée et franchement titillée. Mon vieux fantasme refoulé d'être une p r o s t i t u é e en abattage est revenu même si je ne suis pas libertine.

Paul était déçu que je n'ai pas accroché, je le voyais bien mais il ne me faisait pas la tête pour autant. Il est si gentil et attentionné qu'il me disait "ce n'est pas grave" ou "au moins nous serons allés voir". Pendant longtemps cela m'a perturbée, c'était un peu comme si je l'avais déçu d'être aussi fermée. Son amour passait bien au-dessus de cet échec, notre vie n'a pas changé, j'ai eu des fleurs à la Saint Valentin et une très jolie carte qui m'a faite pleurer.

Parler, oser lui parler quitte à passer pour une malade ! Oui mais le dire est une chose, le faire en est un autre. Sur Fessestivites, un site où il s'était abonné j'ai trouvé dans les articles et forums des explications sur le libertinage et ce qui peut motiver les hommes, puis sur le fantasme d'autres femmes qui comme moi désiraient vivre des moments d'esclave sexuel. Les vidéos des rencontres d'Organisaitions84 m'ont également perturbées et émoustillées je l'avoue.

Le soir de son anniversaire, j'ai puisé le courage de parler dans le champagne en lui offrant quelque chose de nouveau : moi ! Moi dans une petite tenue très sexy avec la ceinture de nos peignoirs respectif attachée à mes poignets. Il m'attendait tranquillement dans son fauteuil en sirotant son premier cadeau, un cognac millésimé m'ayant coûté une fortune quand je suis arrivée au salon. Les yeux grands ouverts, bouche bée il me regardait sans comprendre.

- Je suis ton deuxième cadeau, attache-moi dans le lit est sers-toi de moi comme une catin qui te serait offerte dans un club libertin !

Prise comme un remontant obligatoire pour intégrer sa surprise, la gorgée de son cognac n'est pas passée, il s'est mis à tousser ! Paul s'est levé et m'a embrassée, il était tout rouge, tout ému, toujours aussi beau à voir après 25 ans de mariage ! Il m'a demandé si j'allais, bien, cette réponse très masculine face à un tel cadeau ne m'a pas surprise, je m'y attendais.

- J'ai des envies d'être bousculée par un libertin pervers profites-en mon chéri, attache ta femme et prend-la comme si elle était en libre service.

- Je t'aime, tu es givrée quand tu t'y mets mais je t'aime comme un fou. Comment puis-je traiter la femme de ma vie comme une salope ?

- Parce qu'elle te le demande mon chéri. Attache-moi et éclate-toi !

Comme il n'arrivait pas à "démarrer" je l'ai pris par le bras et je l'ai conduit à la chambre où je me suis étendue sur le lit bras et jambes en croix en lui faisant voir les ceintures de nos peignoir toujours attachées à mes poignets.

Il m'a plus obéie que bousculée ! Il a fallu que je lui dise que sa petite salope ne pouvait plus rien lui refuser pour qu'il réagisse. Lorsqu'il m'a pénétrée, malgré nos 25 ans de mariage j'ai immédiatement compris que quelque chose de nouveau se passait en moi, les sensations de ce coït pourtant des centaines de fois réalisés n'étaient pas les mêmes. Je ne me donnais pas à lui, il me prenait au sens propre comme au sens figuré. Pendant qu'il me baisait, tirer sur les ceintures de nos peignoirs était magique et décuplait mes sensations. Ma première jouissance est venue très vite, elle fut suivie d'autres très rapprochées, dans cette communion des corps endiablés, lui qui est un peu long n'a pas tardé à venir me rejoindre au paradis des plaisirs.

Étendu sur moi et toujours logé en moi, mangée de bisous, j'étais si heureuse que j'ai osé aller encore plus loin dans ma folie des sens, des envies, des pensées nébuleuses de mes fantasmes.

- Ne me libère pas, mets-moi un bandeau sur les yeux, va finir ton cognac et quand tu reviendras, mon cul est à toi si tu le désires !

Avec ma chemise de nuit sur la tête, l'attente fut longue, même si finir un fond de verre de cognac ne prend pas des heures .... Initialement, je ne suis pas très fan de sodomie mais ce soir là elle fut divine. Comme à son habitude il fut doux du moins au début. Avec les bras entravés et les jambes relevées bloquées par ses bras, je n'ai jamais autant senti la possession. Sous ses asseaux je n'étais plus qu'un corps à sa disposition, me sentir ainsi prisonnière et offerte m'a libérée, j'avais envie de lui au plus profond de moi.

Il parait que je suis devenue une autre femme pendant qu'il me possédait, une véritable "salope" limite vulgaire, alors que la vulgarité me déplait fortement. Cette nuit là, je suis arrivée au paroxysme de la jouissance, j'ai vraiment découvert ma seconde nature, cette qui était enfouie au plus profonde de moi, bien cachée derrière ma morale.

Une fois qu'il m'a libérée, lovée dans ses bras j'ai fondu en larme de bonheur et avoué que s'il voulait recommencer, faire plus encore, que je pouvais être sa chose et même qu'il pouvait s'il le voulait faire venir d'autres hommes puisque son fantasme était le libertinage. Ma seule condition était d'être attachée et d'avoir les yeux bandés.

Lorsque nous en avons reparlé le lendemain, ce n'est plus lui qui rougissait mais moi ! ! !

La suite a été bien au-delà de mes espérances, il a fait de moi une véritable esclave sexuelle.

C'est même devenu très hard, je vous le raconte dans le prochain chapitre, là j'ai une fellation à lui faire en position de petite chienne devant le canapé.

A suivre ici

Ecrivaillon

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Mondes Libertins
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Mardi 14 avril 2 14 /04 /Avr 12:15

Week-end de rencontres BDSM et fessée GRATUIT

Le monde du BDSM et de la fessée sont deux mondes différents mais rien ne empêche les adeptes de se rencontrer et de passer un bon week-end. Autres pratiques et fétichismes sur demande.

C’est 100% gratuit mais chacun vient avec deux bouteilles + un pique-nique pour deux repas + son couchage voir tente ou vous devez réserver à l’hôtel.

DATE :

25 et 26 juillet 2015

LIEU :

Aux portes de la Camargue

POUR ETRE INVITE IL FAUT :

Réserver le plus vite possible (les places partent très vite)

Le jour de la réservation donner son numéro de téléphone à TSM qui reçoit à titre privé à son domicile. Il appelle pour faire connaissance avant de donner l’adresse de son domicile.

Pour réserver lire le texte ci-dessous l'adresse email de réservation est dans le texte

Priorité est donnée aux membres abonnés du réseau Fessestivites

NOMBRE DE PLACES

10 couples

5 femmes seules

5 hommes seuls

TRAME DES PIQUE-NIQUES

Arrivée le samedi entre 11h et 12h

12 h apéro

13 h 30 repas en commun

15 h jeux sur les thèmes

18 h apéro musical + jeux

20 h repas en commun

22 h musique / chants / danses / jeux sur les thèmes jusqu’à plus d’heure.

Le dimanche

Le matin Petit déjeuner + discussions + jeux pour ceux qui le désirent

12 h apéro

13 h 30 repas en commun

15 h jeux sur thèmes libres / sieste…..

18 h un seul apéro (pas deux, il y a la route)

19 h fermeture des portes

Parking clos

Photos et vidéos interdites

ASSURANCES ET OBLIGATIONS

Les rencontres organisées pour Fessestivites (au domicile de Marc dit TSM) sont gratuites. Elles sont proposées gratuitement dans un cadre privé à ses amis de Fessestivites mais également à des personnes qui ne sont pas membres ou abonnées à Fessestivites. De fait, les responsabilités individuelles puis juridiques puis au niveau des assurances incombent totalement à chaque participant qui en participant à ces rencontres en acceptent la totale responsabilité.

L’usage et la consommation de drogue sont strictement interdits lors de ces rencontres amicales. Les participants sont invités à se modérer sur la consommation d’alcool et à dormir sur place (gratuitement avec un moyen à leur convenance) si le taux d’alcoolémie leur interdit juridiquement de conduire un véhicule ou de quitter les lieux.

Le respect des pratiques des uns et des autres est obligatoire, chacun fait ce qu’il veut avec son corps tant qu’il ne nuit pas aux autres. (Sauf drogue interdite, scato interdite et tout ce qui est interdit par la loi)

Rien n’est imposé à personne sauf le respect.

Photos et vidéos interdites

Pour réserver adressez un email avec votre numéro de téléphone contact@fessestivites.com

Aucune réservation ne sera faite sans numéro de téléphone.

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 10:02

Tout savoir sur la crucifixion et le BDSM

La crucifixion moderne sous l'aspect de l'offrande et du BDSM n'a aucun rapport avec l'Histoire malgré l'image que l'on s'en fait immédiatement en pensant à Jésus et aux romains. Elle reste malgré tout une pratique risquée dans certains cas.

UN PEU D'HISTOIRE POUR LES EFFETS CORPORELS

Un problème d'insuffisance respiratoire est souvent mis en avant mais si l'on replace les choses dans leur contexte. Comme il était extrêmement rare que quelqu'un à l'époque romaine meure sur une croix dans les premières heures, on pourrait faire valoir que l'échelle de temps des études ne peut pas réfuter la théorie de l'asphyxie.

Certes mais dans ces époques lointaines, n'oublions pas qu'à l'époque romaine le point de départ commun devait d'être fouettée dans le dos, les fesses et les jambes avec un flagrum. C'était un fouet court avec des objets pointus dans les lanières entrelacées. La victime a ensuite été souvent obligée de porter une partie de leur croix à l'endroit de l'exécution, en dehors des murs de la ville. La technique utilisée par les Romains pour hâter la mort était de briser les jambes sous le genou avec un instrument contondant générant assez souvent des hémorragie internes.

Les causes de décès étaient donc multiples bien qu'il pouvait aussi résulter des fractures une conséquence de l'incapacité à gonfler la poitrine suffisamment, puisque les jambes ne pouvaient plus être utilisées pour supporter le poids du corps. La chaleur ou le froid venaient s'additionner aux causes de décès aux problèmes respiratoires.

LA CRUCIFIXION EN BDSM ET BONDAGE

Si le point de départ commun est de suspendre et d'exposer la personne les bras en croix, la variante de taille porte sur les moyens de fixation. Il est réellement conseillé d'utiliser du bon matériel avec des bracelets de suspension qui ne serrent pas trop les poignets afin de ne pas créer de lésion ni d'affecter la circulation sanguine.

La sensation d'offrande puis les plaisirs recherchés sont générés bien souvent par l'exposition de la personne crucifiée dans une nudité totale sans possibilité de masquer une quelconque partie de son corps.

Les pieds entravés eux aussi sur la croix permettent à la personne crucifiée d'essayer de prendre appuis du la poutre pour compenser les douleurs générées par la traction sur les poignets et les épaules dont les muscles et tendons supportent quasiment tout le poids.

En BDSM ces mouvements pour soulager les épaules et poignets sont de fait appréciés par ceux qui regardent les corps nus s'exposer plus encore en oubliant leur pudeur.

Voir cette vidéo de crucifixion moderne pour apprécier les mouvements.....

Une vidéo d'un autre genre interpellera le lecteur avec une soumise nue qui s'auto crucifie dans son grenier en montant sur un banc qu'elle repousse de ses pieds pour s'accorder un moment de plaisir autant cérébral que physique. Dans cette vidéo de crucifixion la surprise prend forme avec l'arrivée de son Maître qui lui entrave les chevilles et la laisse mariner un moment suspendue.

Auto crucifixion finalisée par son Maître

PRECAUTION A PRENDRE AVEC LA CRUCIFIXION BDSM

- S'assurer d'avoir du mon matériel pour les poignets (ref ci-dessus dans le texte)

- S'assurer que les points d'encrage sont solides

- ET LE PLUS IMPORTANT, s'assurer que la personne n'a pas de problème respiratoire et cardiaque. En effet la position a comme conséquence de générer une incapacité à gonfler la poitrine suffisamment et à serrer les côtes. Ne pas laisser la personne seule ou sans surveillance ou vous risquez d'être obligé de repasser une annonce sur Fessestivites pour remplacer votre soumise décédée ! (Humour)

Pour pouvoir crucifier quelqu'un sur une longue durée, il convient donc de prévoir un appui sous ses pieds ou par ses chevilles. Retenez malgré tout que la crucifixion devient vite inconfortable et douloureuse.

Mes très cher frères, mes très chères soeurs, crucifiez-vous en paix avec les précautions d'usage afin de jouer avec le plaisir, les sensations BDSM sans risque mais pour votre partenaire.

TSM

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Shibari bondage BDSM
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Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 11:12
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Shibari bondage BDSM
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Dimanche 7 décembre 7 07 /12 /Déc 16:11

Seringue enema pour un lavement BDSM

Seringue-lavement-enema.jpg

Une petite présentation de l'usage d'une seringue enema avec un lavement BDSM soft version TSM.

Seringue enema 250ml

Cette Seringue enema est facile à utiliser. Avec sa couleur transparente vous pouvez mesurer le volume injecté.

3 têtes d'aiguilles fournies.

Capacité: 250ML ce qui vous évite de faire x remplissages.

Un véritable sex Toys pour le lavement avec cette seringue "250ML, qui entre tout à fait dans vos jouets médicaux pour le plaisir anal et la propreté nécessaire pour le bien être de tous lors des pratiques anales.

TSM la présente à sa façon ............


Acheter la seringue enema pour vos lavements ou vos jeux autour du fétichisme médical

Vidéo intégrale Seringue enema pour un lavement BDSM

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Le sexe sans tabous
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