Femme soumise

Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 11:25

Mon Maître m’a offert une ceinture de chasteté et martyrisée

Il parait que je suis trop gourmande, trop coquine, alors pour mon anniversaire, mon mari et Maître a eu l’idée de m’offrir une ceinture de chasteté. J’aurai carrément préféré qu’il ne m’offre rien ou un aspirateur ! Ben oui, c’est vrai, je l’avoue, j’aime ça et il m’arrive de me caresser en regardant des vidéos BDSM sexe sur Fessestivites. Depuis quand un homme se plait d’avoir une femme câline et gourmande ? Je vous le demande moi, d’habitude et à ce que l’on entend, c’est le contraire

Lorsque j’ai ouvert le paquet cadeau je suis restée sans voix. J’ai vraiment cru à une plaisanterie ou qu’il avait envie de faire quelques photos mais non, mon Maître avait envie de me martyriser. J’en ai pris conscience à sa façon d’ajuster la ceinture, de découper la bande protectrice et quand il m’a expliqué qu’ABCplaisir lui avait bien expliqué ce qu’il fallait faire pour un port de longue durée. Comme je râlais un peu trop, je me suis retrouvée couchée sur ses genoux pour une sévère fessée qui m’a mis les larmes aux yeux. Un quart d’heure après, j’étais au piquet mains sur la tête avec cette foutue ceinture de chasteté verrouillée à ma taille.

Faire le ménage, le repas avec ce truc ne m’a pas amusée et encore moins aller faire pipi avec ça, on s’en met de partout. Quand il a eu le dos tourné, j’ai essayé de glisser mes doigts sous la ceinture en rentrant le ventre pour voir ce que je pourrai faire..... On y parvientt, on s’écrase les doigts et arriver au plaisir comme ça n’est pas possible. GRRRRR

S’asseoir ne serait-ce que sur une chaise vous rappelle bien votre « condition » de soumise comme il se plait à le dire.

LE PIRE fut le soir avant que nous allions nous coucher. Maître a estimé que je « sentais » quelle horreur. Au lieu de me retirer la ceinture de chasteté, il m’a mise nue et posée des menottes mains dans le dos puis accompagnée à la salle de bain. Il m’a retirée la ceinture puis a ouvert l’eau qu’il a réglé à la bonne température avant d’entreprendre de me laver. La honte ! La honte surtout que Monsieur se laissait aller à des commentaires graveleux du type, « je dois prendre soin de toi ou tu vas sentir la petite fille négligée ». En plus, lors de cette douche, il n’a rien oublié, j’ai même cru qu’il voulait me laver l’intérieur de l’anus tant il insistait. Une fois rincée et séchée, il a repris son temps pour me reposer la ceinture avant que nous allions nous coucher.

ET LA il n’a rien trouvé de mieux à dire que « aller au travail soumise » en soulevant les draps. Même si je boudais un peu, j’aurais bien consommé autrement sa belle verge mais il avait réellement décidé de m’imposer la chasteté version sadique. Version sadique car ce pervers pour me motiver a utilisé le magic wand massager qu’il a posé SUR la ceinture. Autant dire qu’à part m’exciter, aucune jouissance ne pointerait son nez. Encore GRRRR.

Sa « liqueur d’amour » dûment consommée, j’ai eu le droit d’éteindre la lumière et de dormir. Dormir ???? Avec ce truc autour de la taille et entre les jambes en étant excitée puis un brin énervée, dormir n’est pas évident. Quand on se tourne dans le lit, cette saloperie vous rappelle sa présence. Et encore GRRRR mais il va y avoir pire.

Le lendemain matin, après un petit pipi toujours aussi désastreux, j’ai eu envie de ... comme tous les êtres humains. Maître m’a répondu de me « démerder » en trouvant que ce mot risquait d’être pleinement adapté. L’enfoi... ! Il y a bien un trou à l’arrière de la ceinture, sauf que ce n’est pas évident du tout et encore moins de s’essuyer. Une douche orientée fut obligatoire et pas très plaisante. Et le gag quand je suis sortie de la salle de bain, c’est qu’il était en train de se branler en regardant des vidéos BDSM sur Fessestivites. Et là, il m’a ordonnée de passer sous le bureau et de continuer « l’action entreprise » avec ma bouche. Mon instinct de survie a ordonné à mes dents de rester sages si vous voyez ce que je veux dire.......

UN MAITRE TRES ATTENTIF (grrrr)

Dans la journée, je lui ai fait remarquer que j’avais des irritations. Il a tenu à vérifier et, en constatant que c’était la réalité, au lieu de me retirer la ceinture, Maître est allé à la pharmacie acheter de la pommade contre les irritations sans oublier bien sûr, d’ajouter en partant « soit sage chérie ». Une heure plus tard, j’avais de la crème en quantité autour de ma taille, entre mes jambes au niveau de l’aine et ma belle robe noire était tachée.

UN MAITRE TRES SERVIABLE (grrrr)

Comme mon anniversaire tombe en même temps que nos vacances, Maître a tenu à m’accompagner aux courses en choisissant pour moi une jupe courte en jean puis un chemisier large pour masquer la ceinture de chasteté. Les couleurs n’étaient pas très assorties mais je n’ai rien dit. Même si son choix n’était pas très judicieux, je ne voulais pas prendre de risque. Au supermarché, Monsieur s’est follement amusé à me demander d’attraper des produits en bas des rayons. Ayant compris son jeu, prendre grand soin de ma colonne vertébrale en fléchissant les genoux m’est apparu comme un impératif. Sauf que la ceinture bouge un peu et en remontant .....elle est très « présente » si vous voyez ce que je veux dire. Toujours dans ses délires, il a donc choisi de me demander d’attraper les produits en haut des rayons. Là, aux regards perturbées d’une mamie, je crois qu’elle a du trouver mon « string » original. Mort de rire.

UN MAITRE QUI SAIT RECOMPENSER SA SOUMISE (grrrr)

Après le repas, Maître a tenu à me récompenser pour avoir « bien fait les courses ». Après m’avoir fait mettre nue, il m’a posée les bracelets de bondage pour m’imposer de garder les mains en l’air sous la poutre du salon. Après qu’il mit la barre de contraintes aux pieds, j’ai eu droit à une séance de martinet plaisir, un peu de fouet en enroulé et ........... un peu de magic wand massager sur cette saloperie de ceinture. Il parait que je mouillais à en couler, je commençais à le haïr. Pour couronner le tout, il m’a ensuite dévorée de bisous doux en jouant avec mes tétons puis faite agenouiller pour le remercier de ma bouche sans aller jusqu’au bout. Dix plus tard, j’étais bâillonnée, menottée et couchée dans un panier à chien avec une laisse attachée à mon collier et au radisateur. Il m’a plantée là après m’avoir jetée une couverture pour aller faire sa sieste « tranquille ».

Le soir, rebelote pour la douche sauf qu’ensuite, il m’a attachée sur le dos après m’avoir mis un plug dans les fesses. Pour bien le bloquer, il a gaspillé plusieurs de mes protections Nana qu’il a scotchées sur la partie arrière de la ceinture de chasteté avant de me dévorer de bisous, de me grignoter les tétons et de m’allumer avec le magic wand massager. Je devenais folle. Je le haïssais tout autant que je l’aimais car j’ai commencé réellement à devenir une femelle en manque. Monsieur s’est ensuite masturbé entre mes seins dont il jouait avec les pointes avant de finir dans la bouche de « sa chose ». Et moi rien de plus ? Là j’ai commencé à râler pour de vrai de chez vrai, la menace de dormir avec un bâillon et des pinces à sein a coupé court à mes réfutations.

A suivre ICI avec des surprises et une partie BDSM hard réservée aux adeptes.

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Jeudi 31 décembre 4 31 /12 /Déc 08:00

Une maso de l’extrême

Cadette d’une famille nombreuse dont elle est la seule fille, Magali a toujours été le souffre douleur de ses frères aînés. Après le départ des plus grands, les finances familiales étant mieux, ses parents ont pu lui fiancer des activités périscolaires, elle a choisi le karaté comme sport. A 19 ans, elle était ceinture noire troisième dan et donnait des cours en soutien aux professeurs de diverses associations pour arrondir ses fins de mois.

A 22 ans, Magali a réellement découvert sa sexualité sur Fessestivites à travers divers histoires érotiques et vidéos. Il est vrai que de par son sport de combat, elle n’avait pas trop hésité à fréquenter des lieux obscurs comme les clubs libertins, où elle a découvert en compagnie d’un copain les plaisirs de la pluralité.

Le BDSM l’attirant elle s’y est adonné en tant que soumise pour se rendre compte qu’elle n’était pas soumise au sens propre du terme, mais plutôt sacrément masochiste. Marcher à quatre pattes avec un plug dans les fesses pour lécher les pieds du Maître ne l’amuse pas du tout, par contre, être très solidement entravée et sérieusement fouettée la fait littéralement décoller.

Sur Fessestivites elle a rencontré un Maître qui a su faire la différence entre soumise et masochiste, en sa compagnie lors des soirées ou séances elle vibre et atteint des seuils de jouissance à en perdre la raison.

Une anecdote

Alors qu’ils étaient du côté de Salon de Provence à une soirée BDSM, après une séance l’aillant bien mise en émoi, ils s’étaient séparés pour aller discuter avec des amis dans le club. Un mémaître d’opportunité s’est autorisé à lui flatter les fesses au bar sans tenir compte du collier BDSM qu’elle portait pour annoncer son appartenance, ni l’absence de son Maître. La pratique irrespectueuse n’a pas duré longtemps, comme l’on peut s’en douter.

Le mémaître n’a rien trouvé de mieux que d’aller se plaindre au Maître de Magali ce qui était une deuxième mauvaise idée. En guise de réponse, il obtint qu’il était d’accord pour qu’il essaye de dresser sa soumise s’il s’en sentait le courage, et cela sous les yeux amusés de Magali. Ils se sont donc isolés dans la mezzanine, le dit mémaître profitant des escaliers pour mater et tripoter les fesses de la soumise à qui il allait apprendre la soumission. Elle prit sur elle et se laissa toucher sans sa permission sur les dernières marches avant de lui faire face.

- Alors comme ça, tu veux m’apprendre le respect des Maîtres et me mater. Lui dit Magali avant d’ajouter « tu es tout là où tu as des réserves quelques part » ?

- Espèce de petite salope, je vais te mater et te faire ramper bien mieux que ton Maître.

- Tu as beau être bien plus grand et fort que moi, je te préviens tout de suite que tu joues un jeu dangereux et que tu ne feras pas le poids.

- Quand j’aurai maté la petite pute soumise, elle rampera à mes pieds et me suppliera de la baiser. Lui répondit le mémaître en la toisant avant d’essayer de l’attraper par le cou.

Le mot pute n’est vraiment pas passé. Avant même qu’il n’ait le temps de comprendre ce qu’il se passait, il se retrouva au sol avec le pied de Magali sur sa tête puis un sérieux mal aux testicules et au bras. Elle prit place sur son dos en lui faisant une clé de bras et l’obligea à lécher ses escarpins, chose qu’il finit par faire sans trop tarder pour ne pas se faire déboîter l’épaule. Le dit Maître quitta les lieux sans tarder une fois qu’il fut libéré. Allez donc savoir pourquoi ?

La semaine suivante, son Maître lui a organisé une rencontre comme elle aime, elle ne sait rien d’autre que cela va être du hard, le connaissant, quand il lui annonce cela, elle est déjà follement excitée. Son sadique d’amour refusant de lui en dire plus, elle se fait ses films érotiques mais s’interdit d’apaiser le feu qui couve en elle.

LA RENCONTRE HARD EXTREME

14 heures, Maître TSM est prêt, Organisations84 a recruté trois mecs très très bien montés qui assurent quand il s’agit de baiser. Ils sont prévenus que cela sera un gang bang BDSM hard avec une magnifique soumise âgée de 25 ans à prendre comme des brutes s’ils le désirent.

Ayant eu au téléphone le Maître mais également la soumise lui ayant confirmé de vive voix ses désirs d’extrême, puis connaissance les capacités et volontés de Magali, Maître TSM avait donc prévu du « lourd ». Le banc était prêt tout comme ses fouets et autres accessoires ainsi que le nécessaire pour faire un bondage indestructible, la belle ayant comme intention une fois la chose lancée de se défendre. Juste avant de se faire entraver, histoire de provoquer Maître TSM, Magali lui lança « si c’est pour me faire un petit panpan cul cul je vais m’ennuyer, sache que je n’ai rien contre qu’il y ait des marques ».

« Chante soumise », lui a répondu Maître TSM avant de lui demander une nouvelle fois si elle était d’accord pour un no-limit. Magali étant sure d’elle lui répondit « mes limites seront les tiennes si tu y arrives mais j’en doute ».

- J’aime lorsque l’on me parle comme ça, tu vas confirmer tes envies devant les mecs présents si tu veux que je te fasse décoller ».

- Salop, je n’aime pas parler !

- Je me moque que tu n’aimes pas ! Lui répondit Maître TSM en doublant les entraves de la belle installée sur le banc à fesser.

Cette fois, Magali sentit qu’il allait se passer quelque chose sans avoir quoi car les entraves n’étaient pas fictives, elles étaient même doublées par des chaînes et cadenas. Les fouets accrochés au portant n’étaient pas des martinets de supermarché. De se sentir ainsi entravée commençait déjà à l’exciter follement, son Maître l’avait conduite chez un mec à priori capable d’assumer.

MAGALI AUX PIEDS DU MUR

- Maintenant que tu es attachée et que je peux faire ce que je veux de toi en présence de ton Maître, tu vas répéter la phrase suivante devant tout le monde. Si tu refuses je te libère et tu te casses. Répète « je veux me faire démonter, même si je pleure et demande grâce, faites ce que vous voulez sauf si mon Maître dit stop ».

A cet instant, Magali a détesté Maître TSM, il l’obligeait soit à parler, soit à partir et à se priver d’une séance qu’elle sentait bien partie. Elle ne répondit pas pour provoquer. Il s’amusa à faire claquer ses fouets dans l’air sans rien faire d’autre. Devant l’absence de réponse il s’amusa à couper quelques pâquerettes de son gazon en disant « encore une fantasmeuse qui se la joue ». Une envie de meurtre traversa le cerveau de Magali ! Ce mec ne lui laissait pas le choix, soit elle acceptait soit la séance était terminée, elle le sentait.

La phrase « je veux me faire démonter, même si je pleure et demande grâce, faites ce que vous voulez sauf si mon Maître dit stop » fut murmurée, un coup de fouet très appuyé vint mordre ses fesses.

- Répète ou je te libère et vais faire ma sieste. Lui indiqua Maître TSM.

« Je veux me faire démonter, même si je pleure et demande grâce, faites ce que vous voulez sauf si mon Maître dit stop » ! Cria Magali folle de rage en se disant qu’elle aurait bien une discussion privée .... avec lui si elle était libre.

Et là, Maître TSM en guise de SM hard vint caresser ses fesses et donner deux petites claques sur ses délicieuses rondeurs, un peu comme si c’était « à chacun son tour de jouer au chat et à la souris ». Il sortit un petit plug queue de chien et lui logea dans les fesses après lui avoir fait voir l’objet. Une haine envahit aussitôt le cerveau de Magali, ce mec jouait avec elle et se foutait de sa gueule. « Libère-moi je me casse » lui hurla la belle. « Trop tard, il fallait réfléchir avant » fut la réponse de TSM.

Sans tenir compte de ses réfutations, il entreprit de la fesser gentiment avant de passer aux choses sérieuses histoire de bien lui faire comprendre qui est le Maître. Certaines claques données à pleine puissance commencèrent à faire de l’effet à Magali qui ne put contenir ses provocations.

- Si tu crois me faire jouir avec trois claques sur le cul mec, tu es mal barré.

- Je fais ce que je veux, dans l’ordre que je veux et comme je le désire. Tes provocations m’amusent et ne génèrent en moi aucune colère. Et si tu continues ainsi, je ne te ferai pas jouir. Si tu fermes ta joli bouche, cela t’évitera de te faire laver les dents à la savonnette, chose que je te déconseille car c’est franchement dégueulasse. Lui répondit TSM .

Maître TSM s’amusa ensuite à lui frotter les fesses avec un bouquet d’orties fraîchement cueillis, qu’il passa sans aucune gêne sur l’intimité de la belle. Elle se jura à ce moment là de lui faire sa fête une fois libérée puis changea d’avis quand il vint face à elle pour lui faire voir qu’il était capable de manger les orties crus en affichant un sourire sadique. C’est à ce moment là qu’elle prit conscience qu’elle était dans un autre monde.

- Tu veux jouer, on va jouer ! Lui dit Maître TSM avant d’annoncer aux hommes présents que s’il ne voulaient pas voir du SM hard, ils devraient aller boire un verre sur la terrasse.

Il alla chercher sa valise d’aiguille qu’il déposa bien à la vue de Magali. Il en choisi deux belles qu’il déposa bien en évidence avant d’ajouter : « je ne vais pas coudre tes lèvres de suite, elles seront utiles tout à l’heure quand j’en aurai fini avec toi ». Elle encaissa le coup sans broncher malgré l’appréhension qui commençait à monter. Toujours aussi calmement, il désinfecta les tétons de la belle avant de les traverser avec des aiguilles. Magali serra les dents et plissa les yeux pour ne point gémir ni crier. A ces aiguilles, Maître TSM posa des poids de 300 grammes, en lui indiquant que ses tétines n’allaient pas tarder à se balancer puis ajouta : j’aime quand on me provoque pour avoir des coups de fouets, je ne réponds pas toujours par ce qui est attendu.

- Excuses-toi de tes provocations maladroites et inutiles ou je pourrai bien coudre les lèvres de ton très joli minou.

- Va te faire foutre.

- OK !

- Non, s’il te plait, pas ça, je m’excuse ! Répondit aussitôt Magali en voyant Maître TSM afficher un grand sourire et ouvrir à nouveau sa boite contenant les aiguilles.

Le premier coup de fouet arriva quelques secondes plus tard sur ses lèvres intimes. Même s’il n’était pas très appuyé, il fit son effet, Magali tendit ses muscles inutilement. Le second annoncé sur sa fesse droite lui laissa comme un trait de feu dans la fesse indiquée. Celui d’après annoncé sur la fesse gauche fit de même après son clac sonore aussi fort que le premier. Le petit plug queue de chien donnait un charme « parti-cul-ier » à cette séance SM.

Et là, en guise de jeu sadique, Maître TSM vint face à elle avec deux fouets dans chaque main en lui annonçant : « maintenant on va s’amuser » ! Une fois derrière elle, Magali ne put que sentir la caresse dosée des lanières piquant son fessier mais aussi son dos. Il s’éclatait à la chauffer en donnant de temps en temps quelques coups plus appuyés. Soudain, les fouets se firent plus précis, les crackers commencèrent à titiller son intimité sans trop faire mal. La répétition du nombre de coups donnés la fit chanceler dans son masochisme, cela piquait sans réellement faire mal mais la troublait.

Pendant les coups de fouet, chaque fois que son corps bougeait ses seins lestés se balançaient répercutant d’autant plus les sensations. La vitesse des coups augmenta, ils allaient de son sexe à ses fesses, elle crut défaillir un instant, Maître TSM aillant vu ses fesses se relever arrêta aussitôt en lui indiquant « je ne t’ai pas encore autorisée à jouir ».

Si elle n’avait pas été solidement attachée......

Il vint s’agenouiller face à son visage avec six fouets dans les mains pour lui indiquer « maintenant nous allons passer aux choses très sérieuses ». « Enfoiré » fut la réponse de Magali, propos qui ne fut pas pris comme une insulte mais comme un compliment par le tourmenteur se jouant de son plaisir masochiste.

Avec trois fouets dans chaque main, Maître TSM s’amusa à la rendre folle tout en prenant soin de ne pas la faire jouir, le nombre d’impacts dosé perturbe le cerveau qui ne sait plus où donner de la tête tant cela est diffus sans jamais être extrême.

- Embrasse la main qui va te faire décoller ! Murmura Maître TSM en mettant ses doigts sur les lèvres de Magali.

- Jamais !

- Comme tu veux la belle, tu demandes grâce quand tu veux !

Il retira le plug queue de chien puis enjamba la tête de Magali et la bloqua fermement entre ses jambes pour ne pas se faire mordre. Avec un de ses fouets il entreprit de claquer entre les cuisses de la belle en prenant soin de ne pas heurter le clitoris mais de faire claquer le cracker sur le ventre. Lentement mais sûrement elle sentit que le cracker s’approchait de sa perle clitoridienne, mais elle était convaincu qu’il ne le ferait pas. Même donné de façon modérée, lorsque le cracker (la pointe du fouet) arrive sur un clitoris, sa propriétaire ne peut rester insensible. Au sixième coup percutant son clitoris, la belle rebelle se tordait dans ses liens.

A pleine puissance elle aurait été ouverte et sérieusement blessée, dosés les coups portés à cet endroit si sensible commençaient à la faire décoller. Il s’amusa à faire glisser lentement le cuir entre ses lèvres histoire de titiller la perle clitoridienne sans lui donner ce qu’elle désirait, plus de douleurs, plus de plaisir masochiste. Il jouait avec elle et son plaisir comme le chat avec la souris. Il prit une fouet dans chaque main et recommença, la répétition des coups donnés « glissants* » entre ses cuisses la rendit folle, elle commença à trembler.

Donnés glissants * (le coup est donné mais le fouet est retiré lentement créant un frottement)

Poussée dans ses retranchements mais jamais assez pour jouir, Magali devenait folle, quand soudain il arrêta et s’agenouilla face à elle.

- Embrasse la main qui va te faire décoller ! Murmura Maître TSM en mettant ses doigts sur les lèvres de Magali.

Elle céda et embrassa sa main chose qu’elle aurait refusé en temps normal, non pas qu’il lui fasse peur mais parce qu’elle était déjà dans un autre monde. Et là, la valse des lanières reprit de plus belle puissance 10. Touchée de partout par les crackers, du dos aux fesses en passant par les cuisses et son intimité malmenée Magali connut son premier orgasme et fit fontaine en arrosant copieusement le gazon. Il ne lâcha pas prise pour autant et continua de bon coeur en accélérant sans pour autant augmenter la puissance de ses coups. Elle se mit à crier, à se débattre dans ses entraves mais en vain, il ne lâcha pas l’affaire tant qu’elle ne jouit à nouveau.

La main qui caressa ses fesses la perturba bien plus que les coups reçus, et pire encore, quand il griffa son dos jusqu’à sa nuque avant de venir lui annoncer, que l’heure des marques venait de sonner. Il souleva sa tête et l’embrassa sur la bouche avant de lui dire : « accroche-toi ». En perdition Magali n’avait même pas essayé de se soustraire à son baiser.

Un gigantesque trait de feu enflamma sa fesse droite dans un grand clac très sonore, il fut suivi de plusieurs coups de même acabit chacun marquant profondément ses chairs sans réellement la blesser. Magali fondit en larmes non pas de douleur mais de trop de sensations, trop de jouissances. Maître TSM s’arrêta soudain et la regarda convulser dans ses jouissances BDSM paroxystiques complètement incontrôlables. Son corps continua de convulser sans qu’il ne fasse rien hormis griffer délicatement son dos.

De commun accord avec son Maître, il entreprit de réparer les orifices de la belle à la façon SM. Il prit un gant pour l’hygiène et l’enfila pour venir déposer de la pulpe de gingembre mélangée à du wasabi dans le petit cratère logé entre les magnifiques fesses de Magali. Elle était convaincue qu’il allait la sodomiser et s’en moquait car ses envies étaient loin d’être assouvies. Il n’en fit rien et retourna s’asseoir face à elle.

- Ton adorable petit cul commence à chauffer ? Lui demanda Maître TSM en retirant les aiguilles de ses seins.

- Pas mal je l’avoue, tu te débrouilles bien au fouet, merci pour ces moments qui m’ont faite grimper.

- Ce n’est pas de tes fesses dont le parle mais de ton trou du cul banane.

L’adrénaline engendrée par la douleur commençant à se réguler, Magali revint un peu plus « sur terre » et prit conscience que son anus commençait à chauffer.

- Qu’est ce que tu m’as mis ?

- Juste un petit mélange qui va faire de toi une bonne chienne en chaleur malgré toi. Plus j’attendrai pour te faire prendre, plus il va s’enflammer. La seule façon d’apaiser cette chaleur est de masser si tu vois ce que je veux dire......

- Mais tu es sadique toi ?

- N’est-ce pas pour ça que vous êtes venus me voir ?

- Cela chauffe de plus en plus, j’ai le cul en feu enfoiré !

- Messieurs, maintenant elle est à vous, vous pouvez la baiser tant que vous voulez. Profitez sans réserve de ses trois orifices, elle est à vous. Annonça Maître TSM. Par contre il est vraiment urgent que l’un d’entre vous la sodomise ou ma préparation va la rendre folle.

Devant un aussi joli corps, les choses ne tardèrent pas. Comme demandé, le premier orifice visité fut le délicat petit orifice confié à « Mammouth » dont la taille du sexe impressionnerait plus d’un gay gourmand. Maître TSM assis à même le sol face au visage de la belle, soutenait sa tête d’une main en quête des mimiques qu’elle ne tarda pas à faire.

- C’est bon quand cela passe mais aussi apaise le feu.

- Je te hais !

Magali se fit prendre dans tous les sens et suça les sexes sans même avoir de sentiment de révolte. Elle continua de jouir et de pleurer en même temps sous les sabres de chairs trop heureux de profiter d’une beauté âgée de 25 ans. Lorsqu’il estima que cela suffisait et qu’il fallait protéger la belle d’elle même, Maître TSM libéra Magali et porta sur son épaule la belle qui en d’autres temps aurait pu avec une seule main lui ôter la vie. Il la coucha sur une table à l’intérieur de la maison et lui passa de la crème contre les coups avec douceur en présence de son Maître ravi de voir sa femme s’être autant envolée.

Une fois remise de ses émotions et douchée, en guise de vengeance elle lui fit un bisou sur la bouche en lui disant : « Merci, vous êtes un vrai fou, on reviendra si vous nous acceptez ».

- Si tu es sage ou vilaine, nous devrions pouvoir recommencer. Merci de ta confiance. Sache toutefois que je ne t'ai pas donné ce que tu voulais parce que je ne le voulais pas. Le Maître chez moi c’est moi, c’est donc moi qui décide malgré tes provocations. Je ne veux pas blesser, je préfère jouer sur le mental et les sensations que d'abîmer un corps qui est franchement trop facile et irrespectueux. D’ici une semaine tu n’auras plus de marques, qu’aurions nous gagné si j’étais allé trop loin ? Rien ! Si tu continues dans cette logique de toujours plus un jour tu iras à l’accident. Imagine un instant que je réagisse à tes provocations et que je te blesse. Nous aurions l’air con tous les deux.


Texte romancé mais en rapport avec une rencontre BDSM Hard réelle. Magali est un prénom fictif pour ne pas dévoiler le pseudo de la soumise.

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 19 décembre 6 19 /12 /Déc 12:11

La ceinture de chasteté pour femme devient à la mode

 Ceinture-de-chastete-V2-C.jpg

Ceinture-de-chastete-femme.jpg

La ceinture de chasteté pour femme devient énormément à la mode dans le monde BDSM mais également chez les personnes non initiées. Pourquoi ?

Cet accessoire qui remonte maintenant à plusieurs siècles était utilisé pour éviter les rapports sexuel lorsque les maris étaient en croisade et une certaine sécurité. Aujourd’hui la ceinture de chasteté pour femme est véritablement un objet de plaisir.

Comment est ce possible puisque qu’il n’est plus possible pour la femme qui la porte de se masturber ou d’avoir le moindre accès à ses parties intimes ?

Tout simplement parce que le fait de laisser monter l’excitation à son maximum est en fait une réelle source de plaisir qui est sous-estimée !

Imaginez une jeune femme portant une ceinture de chasteté en métal solidement verrouillée, cadenassée recouvrant complètement son sexe. Monsieur commence les préliminaires, les caresses, les baisers, câlins dans le cou, lui grignote doucement les tétons…. et lui fait voir à quel point il est « en forme ».

Dans quel état d’excitation se trouvera t-elle au bout d’un moment ?

Pire encore ! Une soirée chaude est prévue, mais vous lui laisser la ceinture de chasteté.

Lorsque madame sera totalement en feu avec une profonde envie de se soulager sans en avoir la possibilité elle pourra au pire glisser ses doigts pour se gratter et constater son excitation mais pas assez pour se masturber ou avoir un rapport.

Si finalement Monsieur décide de ne pas ouvrir la ceinture après avoir eu un puissant orgasme par fellation ! La frustration de la femme alors soumise sera intenable…

Le jeu est en fait basé sur la montée du plaisir, des préliminaires à son maximum ainsi qu’un profond sentiment de frustration. A celui-ci se rajoute le fait qu’elle est dépendante de vous.

Laissez votre compagne quelques jours avec une ceinture de chasteté en prenant le soin de l’exciter régulièrement et vous la verrez se transformer en vraie chatte en chaleur prête à tout pour se soulager.

Voilà pourquoi nous en vendons de plus en plus et pourquoi nous développons ce rayon.

LES QUESTIONS ET VRAIES REPONSES D’ABCplaisir.com sur les ceinture de chasteté

Pour aller aux toilettes faire la grosse commission ?

Ce n’est pas très pratique, un peu sportif mais largement faisable sans trop de souci.

Comment faire pour l’hygiène

Prendre une douche avec se fait sans souci. Il peut s’avérer nécessaire de retirer le pommeau de douche. La ceinture de chasteté est à éviter lorsqu’elle a ses règles.

Peut-elle se toucher ?

Oui, disons plutôt se gratter en passant un doigt mais pas assez pour se soulager.

Faut-il bien la serrer ?

C’est un impératif mais il faut faire X réglages en X fois pour parvenir à la rendre efficace.

Il doit y avoir des irritations !

C’est possible sur la durée. Il faut prévoir de passer une crème de temps en temps. Seul ABCplaisir vous le dit et vous donne une astuce en vous conseillant de mettre des crèmes des le départ. La meulleure est le SENOPHILE vendu en pharmacie.

Pour la discrétion, est-il possible de sortir avec ?

Oui bien sûr, il faut juste prévoir des vêtement amples pour la masquer.

Est-il possible de marcher avec ?

Oui bien sûr mais pas pour aller faire une randonné.

S’asseoir ou monter des escaliers ?

Cela se fait sans problème à une variable près : elle pensera à vous à chaque fois.

Une info qui va vous surprendre !

Vous n’imaginez pas le nombre de fois où l’être humain se touche ou se gratte entre les jambes dans la journée SANS aucune intention particulière. La ceinture de chasteté va décupler ce besoin et donc lui rappeler que vous êtes le Maître de son intimité.

Un conseil pour les hommes ou femmes qui détiennent la clé.

Surtout touchez-la, caressez-la excitez-la plusieurs fois par jour pour qu’elle n’ait pas que la gêne d’un truc entre les jambes. Ce qui fera l’effet désiré c’est votre accompagnement et votre attitude.

Rien ne vous interdit d’utiliser une ceinture de chasteté avec différents accessoires comme des boules de geisha, un oeuf vibrant, un plug, du wasabi (cruel) mais suivant ce que vous mettez en anal, un petit cadenas supplémentaire peut être utile.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Chasteté
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Jeudi 10 décembre 4 10 /12 /Déc 12:18

Fais-moi tout comme si je ne voulais pas

Aventure libertine à l’hôtel d’une femme ronde

Avec mon libertin nous vivons nos fantasmes à fond. Notre histoire sans lendemain est devenue régulière, je sais qu’il est marié et cela me convient, comme ça je ne suis pas ennuyée avec un pot de colle.

Il me fait faire des folies, il y a des fois où j’ai peur même si je sais qu’avec lui je ne risque rien. Cette peur sécurisée me fait vibrer et ruisseler à chaque fois, je n’y peux rien. C’est comme ça.

Lors de notre dernière rencontre, je lui ai avoué mon fantasme de me faire prendre sauvagement comme si je ne voulais pas, de ne rien pouvoir contrôler. A son sourire radieux et son air vicieux, j’ai compris qu’il allait me monter un plan tordu et je ne me suis pas trompée.

A la lecture de son email, mon coeur s’est emballé et le reste aussi..... Il me donnait rendez-vous dans un hôtel à trente kilomètres de la maison et non pas à celui où nous allons d’habitude. Je devais m’y rendre seule, me coucher pour dormir mais en gardant mon corset qu’il adore, mes bas et ma petite culotte. Même si je l’entendais rentrer, je devais faire celle qui n’a rien entendu et dort profondément. La suite ne serait que surprisesssss.

Comme il avait mis beaucoup de « S » à surprise, et avait signé « un inconnu », j’étais convaincue que cette fois, ce serait plus chaud que d’habitude, une sourde excitation a parcouru mon échine pendant deux jours. Il a refusé de répondre à mes emails et n’a jamais décroché Son téléphone. Mon sadique me répondait simplement « à vendredi » par texto.

Le fameux vendredi, j’arrive donc à l’hôtel comme convenu vers 21 heures dans la tenue qu’il désirait ? avec un sac de voyage à la main pour me donner une contenance. La chambre était réservée à mon nom, l’hôtelier m’a donné la clé comme une cliente normale puis indiqué la chambre. Elle se trouvait au rez-de-chaussée tout au bout de l’hôtel côté parking. Très soumise à ses désirs libertins, ses ordres ont été respectés à la lettre, et, pour aller encore plus dans son scénario, je me suis étendue sur le ventre pour ne pas céder à la tentation de l’épier quand il rentrerait.

L’attente fut longue, excitante, je dirais même terriblement excitante, ne rien savoir décuplait mes envies cochonnes. Un bruit de porte m’a informée de son arrivée, je n’ai absolument pas bougé. J’étais prête à m’offrir à lui corps et âme mais pas comme il l’a fait. Un monstre s’est jeté sur moi, a mis sa main sur ma bouche pour m’empêcher de crier et m’a menottée. J’ai ouvert les yeux pour ne rien voir, il n’avait pas allumé la lumière.

Quand il a retiré sa main de ma bouche cela a été pour y mettre un bâillon qu’il a serré très fortement avant d’ajouter par dessus un bâillon de tissu pour bien le maintenir. Là j’ai commencé à avoir peur car je n’ai pas reconnu son parfum et cet côté brutal ne lui correspondait pas.

L’inconnu vautré sur moi m’a faite tourner sur le côté pour palper mes seins comme s’il pétrissait du pain. Ce n’était pas MON libertin, il est bien plus doux. Sa main s’est ensuite insinuée dans mon Tanga pour tripoter mon sexe sans aucune gêne. Comme j’étais excitée, ses doigts n’ont eu aucune peine à pénétrer dans mon intimité. J’avais vraiment peur car je savais que ce n’était pas MON libertin. L’idée qu’un inconnu soit arrivé avant lui me traumatisait.

Il a retiré ses doigts de mon sexe comme il les avait mis puis m’a mis une cagoule sur la tête avant de me tirer par les pieds vers le bord du lit. En deux temps trois mouvements, penchée en avant, les genoux sur la moquette, mes jambes étaient écartées et mes chevilles entravées. Après m’avoir baissé la culotte et mis deux claques sur les fesses, il est parti comme il était arrivé.

Les minutes s’égrainaient lentement, elles semblaient durer des heures. Milles questions sans réponse traversaient mon esprits. Lorsque j’ai entendu la porte s’ouvrir à nouveau, mon coeur s’est arrêté de battre. Un inconnu s’est approché, on le sent même sans voir. II a claqué mes fesses sans me faire mal et s’est mis à fouiller ma chatte devenue sèche. Ses ongles ont griffé l’intérieur de mes cuisses en remontant lentement vers mon intimité avant de finir à l’intérieur de mes fesses sans toucher mon étroit passage. L’inconnu s’amusait avec moi comme le chat joue avec la souris, il voulait me faire frémir et y parvenait sans souci.

C’est son parfum qui l’a piégé, MON libertin était là, c’est lui qui avait tout manigancé, sinon il m’aurait libérée de suite et se serait inquiété. Et là, je me suis mise à pleurer. Il n’en avait que faire et a joué le jeu jusqu’au bout en me prenant sans plus de précaution. Au bout d’un moment j’avais repris mes esprits et m’envolait sous ses asseaux bien plus virils que d’habitude. J’ai joui comme une perdue, c’était divin, je ne savais plus où j’étais, je n’étais plus qu’un sexe affamé.

Une envie sodomite lui est venue, même s’il sait que je n’aime pas trop, cette fois il n’en avait rien à faire puisque je lui avais dit sans réfléchir « Fais-moi tout comme si je ne voulais pas » et il allait le faire.

Prévenant malgré le jeu sadique, il a pris le soin de bien lubrifier mon étroit passage en y enfonçant ses doigts avant d’y poser son gland en écartant mes fesses au maximum. Sa cible n’a pas résisté très longtemps, elle s’est ouverte à lui ce soir là sans trop de difficulté. Lorsqu’il s’est plaqué contre moi, la sensation de possession était totale, j’étais SA chose, SON jouet dont il pouvait se servir à sa convenance. Ses mouvements furent lents au départ, si lents qu’ils me laissaient presque sur ma faim, à chaque fois il s’enfonçait tout entier dans le creux de mes reins. Prise jusqu’à la garde ainsi entravée, je sentais monter en moi une jouissance monumentale, elle attendait le rush, la dernière ligne droite qui vous laisse toute pantelante et vidée de toute énergie.

Ce rush n’a pas tardé, il m’a carrément défoncée. Je criais comme une perdue dans le bâillon, ils ont bien fait de me le mettre, j’aurai ameuté tout l’hôtel. Soudain, ce fut comme si je perdais une partie des sensations, je ne ressentais plus les petites douleurs que l’on a parfois pendant une sodomie. Ce n’était que bon, tout mon corps convulsait. Même après qu’il se soit retiré, les contractions continuaient allant dans tous mes membres et jusqu’à ma tête. C’était bizarre et un peu inquiétant.

- Et bien ma belle, cela te fait de l’effet ! M’a dit mon libertin en caressant mon visage en douceur par dessus la cagoule.

Et là, je pensais qu’il allait me libérer mais ce ne fut pas le cas. Il m’a annoncé qu’il m’avait vendue au réceptionniste de l’hôtel. Vendue quel vilain mot qui en cache un autre moins courtois : « pute ». Mon libertin m’a précisée que c’est lui qui me libèrerait quand il se serait « servi » tout en m’indiquant que je devais ramener le matériel utilisé pour d’autres folles soirées. Après m’avoir mis une bonne claque sur les fesses et dit d’être sage il m’a plantée là, comme ça, attachée fesses offertes. Je l’ai détesté et appelé silencieusement à cause du baîllon mais en vain.

Mon cerveau gambadait dans l’attente du « client ». Mes sentiments alternaient de la honte à l’excitation, c’est assez difficile à décrire. La fatigue due autant au stress qu’aux galipettes sauvages ont eu raison de moi. J’ai fini par sombrer dans les bras de Morphée malgré la position et le bâillon.

Je ne l’ai même pas entendu rentrer, c’est son gland cherchant la faille qui m’a réveillée. Il l’a trouvée rapidement avant de prendre son dû, la pute que j’étais devenue l’espace d’une nuit. Le pire dans tout cela pour la morale, c’est que j’ai encore joui. Cela m’a follement excitée de n’être plus qu’un objet, une fille à plaisir.

Moi, la femme forte qui cache ses courbes, j’ai eu deux amants la même nuit et j’ai joui comme une perdue. C’était aussi une belle revanche sur le regard des vendeurs de prêt à porter qui nous regardent parfois comme des vaches ou nous répondent qu’ils n’auront pas notre taille avec un air mesquin.

Ecrivaillon


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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Mondes Libertins
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Lundi 2 novembre 1 02 /11 /Nov 18:23

Lumière et fouet agile par Maître TSM qui éteint des bougies sur les épaules des soumises

 

Un de mes plaisirs est de jouer avec l'inquiétude des soumises, mais rassurez-vous, jusqu’à présent, je n’en ai jamais blessée une.

Bon OK, il m’est arrivé de clouer des seins, de coudre, de .... mais ce ne sont pas des blessures, juste des plaisirs partagés.

 Les vidéos trop hard  sont sur Fessestivites.com dans la rubrique Réel Fessestivites

 

 

 

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Dimanche 6 septembre 7 06 /09 /Sep 12:44

Manège à trois BDSM qui fait très mal

Il m'a adressé cette photo en me demandant de m'attacher seule sans la culotte mais avec des bas et une cagoule occultant mes yeux. Il voulait qu'en plus des accessoires de cette photo, j'attache mes menottes à la barre de mes chevilles et que je l'attende avec une bougie allumée dans les mains comme seule lumière.

Je devais l'attendre ainsi entravée et offerte fesses à l'air à partir de 19 heures dans le salon sur le carrelage, loin de tout point pouvant s'enflammer si la bougie m'échappait des mains. A son arrivé, je devais avoir de la cire de bougie sur les doigts pour lui prouver que j'avais respecté l'heure indiquée. Les clés des menottes et cadenas devaient être posées sur le sol de la cuisine au cas où il lui arrive quelque chose.

Recevoir un tel message et une telle photo sur son téléphone le matin quand on est au travail est gênant mais aussi très perturbant. J'y ai pensé toute la journée en le détestant mais en mouillant aussi à certains moments je l'avoue. Qu'allait-il me faire encore vivre ?

Tout préparer comme demandé avec mon téléphone à la main pour ne commettre aucune erreur était presque angoissant tant j'avais peur d'oublier quelque chose, peur de mériter une punition. Je n'avais aucune peur le concernant, il a toute ma confiance, juste une légère appréhension, comme devant l'inconnu quand j'ai refermé les menottes avant d'attraper à l'aveugle la bougie allumée. Je sentais la chaleur monter vers mon intimité déjà moite de par mes folles pensées. Je me sentais ouverte, offerte et comme un jouet, son jouet. La cire coulait sur mes doigts, j'essayais de ne pas bouger, de résister. Les minutes semblent être des heures dans ces moments là, on est confrontée à nos folies, notre conscience et notre mauvaise conscience.

Quand le bruit de la serrure de la porte m'a annoncée son arrivé j'étais heureuse mais assez tendue. Pas un mot n'a été échangé, il a juste posé ses mains sur mes fesses, un contact réconfortant même si j'étais totalement à sa merci. Un doute m'a soudain habitée quand il m'a semblée entendre un craquement d'articulation à côté de moi, était-il seul ? Une troisième main s'est posée sur mon dos puis une quatrième, elles ont commencé à me griffer doucement le haut des épaules pendant que mon Maître le faisait aussi à l'intérieur de mes cuisses.

Quel plaisir malsain mais aussi quelle horreur que d'être ainsi ouverte et offerte au regard d'un autre homme. Leurs mains ont continué leur manège sadique et pervers avec comme but de me faire frissonner. Ma folle envie que deux dominateurs s'occupent de moi ensembles se réalisait, mais je n'arrêtait pas de me dire " pourvu qu'il s'arrête au BDSM et ne vire pas au sexe" car je ne suis pas de nature libertine. C'est un mixte qu'il avait organisé pour me pousser dans mes retranchements et cela c'est mal passé à cause de moi.

L'homme s'est occupé de mes tétons à m'en faire crier quand il les pinçait trop fortement pendant que mon Maître me tannait amoureusement les fesses avec son martinet. Ils ont ensuite changé les rôles, quelle horreur, l'inconnu devait s'amuser des contractions de mon anus quand il claquait mes fesses avec ses mains calleuses. J'étais autant gênée que la première fois que je suis allée chez mon gynécologue et pourtant, quelque chose de pervers s'animait en moi : le désir de plus. Ils se sont ensuite amusés à tourner autour de la proie volontaire et à leur merci avec des martinets, je ne savais jamais où cela allait tomber, si ce serait doux ou fort.

Au bout d'un moment, je me suis enfermée dans ma bulle, je planais sous les lanières cinglantes sans penser à rien d'autre que les agréables sensations éprouvées. Je ne savais plus si je les désirais plus forts ou moins forts, j'étais dans un autre monde, j'étais bien. Deux mains ont écarté mes lèvres intimes, un doigt s'est insinué entre elles comme une caresse, ils devaient voir en moi tant on m'écartait. La honte m'avait quittée, je n'étais plus qu'un jouet qu'ils pouvaient utiliser à leur convenance, enfin c'est ce que je pensais à ce moment là.

Si je dis " ce que je pensais à ce moment là" c'est parce qu'une dizaine de minutes plus tard, Maître s'est agenouillé derrière moi et m'a pénétrée sans crier gare ni tout autre forme de caresse. Là j'ai été submergée de honte !

J'ai crié "non arrête" car il savait que je ne voulais absolument pas de ça en public et que le libertinage était hors de question pour moi. Il ne m'a pas écoutée, bien au contraire, il est devenu v i o l e n t dans ses coups de reins. Entravée comme j'étais je ne pouvais absolument pas lutter mais seulement crier et je ne m'en suis pas privée. Il a insisté alors je suis devenue très agressive et très menaçante dans mes propos.

Il s'est brusquement arrêté pour venir arracher ma cagoule sans précaution en me criant : "en quoi ai-je trahi ta confiance, nous sommes seuls ? "

J'ai immédiatement regardé derrière-moi l'homme n'était plus là. Il avait juste servi à échauffer mes sens, à réaliser un de mes fantasmes, mon Maître l'avait fait partir. Il avait respecté mes limites et interdits.

Mon coeur s'est déchiré.

Mon coeur s'est déchiré parce que j'ai eu peur de le perdre.

Je me suis haïe

Je me suis haïe d'avoir dit des choses horribles.

J'ai pleuré.

J'ai pleuré sur mon sort convaincue que c'était fini entre nous, j'étais allée trop loin.

Il m'a laissée comme ça dans mon désespoir pour aller se chercher un verre de whisky qu'il a bu face à moi assis dans le canapé avec un oeil noir très dur braqué sur moi. Il réfléchissait, je sentais très mal ses réflexions. J'étais mal.

J'ai voulu m'excuser mais il me l'a interdit d'une voix cassante que je ne lui connaissais pas.

- Nous sommes d'accord que tu mérites une sévère et réelle punition ?

- Oui Maître ! Ai-je répondu en le pensant réellement.

- Je vais te la donner et tu vas avoir de bonnes raisons de pleurer. Tu vas recevoir vingt coups de cravache, vingt vrais coups punitifs. Je vais faire en sorte que tu ne les oublies jamais. Les acceptes-tu pour te faire pardonner de toutes ces ignominies que tu viens de me dire ?

- Oui Maître ! Ai-je répondu avec la peur au ventre.

- Tu les conteras et après chaque coup tu rajouteras " mon Maître ne trahira jamais ma confiance".

J'ai accepté.

J'ai beaucoup souffert.

J'ai vraiment beaucoup souffert. Je ne savais pas que je pouvais avoir aussi mal et pourtant je ne lui en voulais pas.

Mes fesses étaient réellement en feu, elles ont gardé les marques de ma honte pendant un mois malgré les crèmes apaisantes. Il a été très dur jusqu'au bout et ne m'a rien épargnée. Il est même allé se coucher sans moi en m'ordonnant de me libérer seule et de me soigner avant de le rejoindre. Je l'avais vexé, je l'avais menacé alors qu'il avait respecté mes limites et interdits en organisant la réalisation d'un de mes fantasmes.

Après m'être soignée en constatant qu'il ne m'avait effectivement pas loupée, je me suis dirigée vers la chambre dans laquelle je n'osais pas entrer. Et là, je ne sais pas ce qu'il m'a prise, je suis montée sur le lit et je me suis couchée en boule à ses pieds. D'une main ferme planté dans mes cheveux il m'a attirée à lui. Quand je l'ai embrassé, ses joues étaient mouillées. En comprenant qu'il avait pleuré j'ai cru mourir un peu.

Pour me faire pardonner, je l'ai mangé de bisous partout en le remerciant de m'avoir punie. Je lui ai même offert toute seule assise sur lui ce que je lui avais toujours refusé, mon petit coin. Il ne m'a pas laissé faire longtemps et m'a faite relever en me disant : "je ne veux pas que tu me l'offres comme ça, ce jour là, ce sera un acte d'amour, pas un acte de pardon".

Pourquoi cette nuit là quand il m'a fait l'amour c'était plus fort que d'habitude dans tout mon corps ?

Ecrivaillon

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Domination et amour...
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Dimanche 6 septembre 7 06 /09 /Sep 12:41

Ma première fois en BDSM

Par Ecrivaillon

Je vais vous raconter comment mon ami m'a fait découvrir le BDSM alors que j'étais totalement opposée à toute forme de brutalité.

Cela faisait un moment qu'il m'en parlait, qu'il me parlait des sublimes sensations que les filles éprouvent dans ces moments d'abandon sauf que moi je n'aime pas la douleur. Un soir en revenant du restaurant j'ai accepté d'essayer pour lui faire plaisir, en lui faisant promettre des tas de choses et qu'il arrêterait si je le demandais.

Il a commencé par me dévêtir avec tendresse avant de me faire étendre sur le lit où il a attaché mes mains et mes jambes en croix avec une infinie douceur. Une fois entravée, il m'a annoncée qu'il allait me faire mourir de plaisir, autant dire que j'étais plutôt septique, mais bon, j'avais confiance en lui. Mon Maître d'aujourd'hui a posé un bandeau sur mes yeux en me demandant de ne plus parler sauf si je désirais arrêter, pour ne pas "briser l'ambiance de la magie du BDSM". Une minute plus tard il m'a mis les écouteurs de son baladeur dans les oreilles avec une musique zen, un truc grégorien moderne dont je ne me souviens plus le nom.

Il guise de BDSM, il s'est contenté de caresser mon corps nu et offert avec une extrême lenteur. Entre ses caresses et son choix musical puis le fait que je ne voyais plus rien, je me suis vue étendue sur un hôtel dans une chapelle lors d'un rite religieux. Ses doigts courraient sur mon corps mais sans jamais toucher mes tétons ou mon intimité, un peu comme si ces zones étaient sacrées ou interdites par des règles codifiées. Un parfum de vanille a titillé mes sens olfactifs, je me suis imaginée entourées de bougies. Entre ses doigts c'est devenu chaud, un chaleur bizarre les suivait lors de ses prudes caresses. Ce n'était pas désagréable, juste troublant puis c'est devenu excitant. J'ai compris que c'était de la bougie de massage au bout d'un petit moment, je m'étais inquiétée pour rien.

Ne pas savoir fait peur mais peut être grisant et tromper les sens.

Tromper les sens parce que quelques minutes plus tard, j'ai eu l'impression que cela brûlait, je le lui ai dit. En guise de réponse, il posé un glaçon sur mes lèvres, je venais de confondre le chaud et le froid, quelle c...... En alternant la bougie et le glaçon il a su générer des sensations troublantes, je commençais à tirer sur les entraves, non pas de douleur mais de trop de sensations. Son jeu pervers a durée un long moment avant que ses caresses atteignent mon intimité et mes tétons. Là aussi il a été très doux, trop doux, j'avais envie de plus viril, de plus fort mais il me le refusait. En guise de sexe, il a fait glisser des lanières sur mon ventre avant de les faire courir sur mes seins et ma chouchounette.

Les premiers coups de martinet BDSM m'ont fait peur même s'ils étaient d'une infinie douceur et ne généraient aucune douleur. Quand il a constaté que je n'avais plus peur, mon Maître a augmenté l'intensité mais juste un peu. Il me frappait de plus en plus vite sur des zones ciblées. Sur les seins, c'était bon alors que je suis plutôt craintive sur cette partie de mon anatomie. cela piquait juste un peu sur les tétons. Les lanières se sont déplacées lentement vers mon entrejambes avec la même douceur. Au fur et à mesure je me tendais vers elle, mon chaton en voulait plus, il semblait aimer ça. Des gouttes d'eau froide sont tombées sur mon clitoris et m'ont faite bondir. Soudain, ce sont des lèvres chaudes qui l'ont enveloppé avant qu'une langue vienne apaiser mon ergot si sensible.

Son jeu sadique a duré longtemps, le glaçon croisait la bougie ou les lanières, je devenais folle de désir. Je devenais esclave de mes sensations, de mon sadique Maître qui s'acharnait à me faire perdre la tête. A partir de là, je ne contrôlais plus rien, je n'étais plus qu'un corps à l'abandon, une poupée de chair.

Toujours avec la même douceur, il a délié mes jambes pour les faire remonter à la tête du lit où il a attaché les courroies de telle façon que je ne pouvais pas être plus offerte. Cela tombait bien, je ne rêvais plus que d'une chose : qu'il me prenne, qu'il se serve de sa femme. En guise de sexe, d'une bonne pénétration comme j'aime, il s'est amusé avec un vibromasseur puis, quand je n'en pouvais plus d'attendre, il a commencé à claquer mes fesses. Ce n'était pas fort et je n'ai pas eu peur parce que depuis le début il était doux. Sa petite fessée associée au vibromasseur glissant sur et dans mon intimité était sublime, je n'avais pas mal, je voulais plus de tout, je le voulais aussi en moi, je ne savais plus ce que je voulais.

Lorsque enfin mon Maître a décidé de me prendre, là aussi il a été sadique. Pendant un long moment il a joué à frapper à la porte, faire croire qu'il allait entrer puis à changer d'avis. C'est cruel et perturbant surtout quand en même temps, on joue avec un vibromasseur devenant taquin. Puis, quand il a décidé de glisser en moi, il l'a fait millimètre par millimètre et quand il est arrivé au bout de sa pénétration, j'ai joui une première fois sans même qu'il ne bouge.

Mon Maître a libéré mes jambes et a consommé sa proie consentante et demandeuse. J'enrageais sous ses coups de butoir car je ne pouvais l'étreindre comme j'en avais envie. Je ne sais pas combien de fois j'ai joui mais je garde un souvenir impérissable de cette première fois.

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Le sexe sans tabous
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Lundi 24 août 1 24 /08 /Août 12:52

Piégée dans la ceinture de chasteté lors d'un casting.

Piégée dans la ceinture de chasteté lors d'un casting. Il lui fait mettre pour le clip vidéo mais refuse ensuite de la lui retirer.Trop bon !

Piegee-dans-la-ceinture-de-chastete.jpg

 

Voir la vidéo Piégée dans la ceinture de chasteté lors d'un casting.

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Chasteté
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Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 20:03

Soirée SM et DS pour Kioki-san (Histoire réelle)

Soiree-SM-et-DS-pour-Kioki-san.jpg

Texte de Kioki-san rédigé par TSM pour de simples raisons d'écriture.....

Le dimanche 9 août vers 21h alors que je m'apprêtais à mettre la table, mon Maître a décidé de me faire une séance, nous n'étions que tous les deux à la maison, chose assez rare car nous avons beaucoup d'amis, des amis de ceux sur lesquels on peut compter lorsque l'on en a besoin.

Il m'a demandée d'aller m'attacher sous le grand noyer à l'anneau de shibari. Sans discuter je me suis exécutée, j'ai donc pris les menottes en cuir pour m'entraver debout nue, offerte sans condition et sans limite à mon Maître. Sans limite car nous sommes en "no limit" il me connaît assez pour savoir quand continuer, quand s'arrêter même si parfois j'en désire plus et qu'il me le refuse pour mon bien, pour ma santé.

Il est arrivé avec les martinets et les fouets signal whip qu'il a posé sur la table de jardin. La surprise a été des pinces à clochettes qu'il a posé sur mes tétons et mes lèvres intimes. Mon Maître a commencé par me caresser le corps en faisant glisser ses ongles sur ma peau avant de prendre ses petits martinets pour me caresser entre les jambes que je devais garder écartées. Les coups on commencé à pleuvoir sur moi, il tapait partout avec ses deux martinets, un dans chaque mains.

Les coups étaient doux mais très nombreux, les lanières tombaient sur mon dos, mes fesses, mes seins, ma chouchounette, il y en avait tellement car il est très rapide que je ne savais plus où les lanières me touchaient. A peine le temps de me remettre d'un coup sur les fesses que la seconde d'après, un passait entre mes jambes en touchant mes lèvres intimes avant de finir sur le bas de mon dos.

Il cherchait à me rendre folle, à m'exciter en me lançant des regards sadiques alternés de bisous doux. Parfois il s'amusait à me faire peur en levant les martinets comme s'il allait taper fort alors que ces coups là sont toujours doux. C'est plus fort que moi, quand il fait ça, je ferme les yeux, j'ai peur et attend d'avoir mal. Cela n'arrive pas mais je cris "aie" par réflexe alors que je n'ai pas mal. Son regard à ce moment là est si sadique et envoûtant que vous vous attendez à avoir mal alors que ce n'est pas souvent le cas. Il me tournait autour comme un prédateur qui joue avec sa proie avant de vous dévorer. Ses regards accompagnent les coups que je ne pouvais prévoir tant il est rapide dans ses gestes mais délicat. C'est quelque chose d'extrêmement troublant que de recevoir des coups aussi dispersés que sensuels et tendres sans jamais savoir où ils vont tomber.

Il a ensuite posé ses martinets légers pour passer à ceux qui sont plus lourds, j'étais assez chauffée et prête pour les recevoir. C'est vrai qu'ils font peur mais sont si bons..... Il les faisait tourner très vite comme un ventilateur à lanières sur mes fesses, mon dos, mes seins avant de recommencer à jouer de sa proie en les faisant passer entre mes jambes que je devais garder écartées sous peine de sanctions cinglantes. C'est très sadique car chouchounette est sensible, mon premier réflexe est de serrer les jambes, sauf que je ne dois pas le faire si je ne veux pas prendre un coup de rappel à l'ordre qui lui fait mal.

Il est allé poser ses martinets pour prendre deux de ses fouets. Je ne me sentais pas prête et assez chaude, j'étais inquiète. Il a commencé par me faire de l'enroulé, les lanières tournaient autour de mon corps mais sans me faire mal. J'avais mal dans ma tête, pas dans mon corps je le reconnais. Il me l'a rappelée en me disant "tu n'as pas mal, ce n'est pas vrai, tu veux vraiment avoir mal" ? J'ai reconnu que je n'avais pas mal mais c'était vrai, pas pour lui faire plaisir ou éviter de prendre un coup de rappel à l'ordre. Et là, il a recommencé à me tourner autour comme un prédateur en me donnant des coups de fouet de partout.

Comme nous étions seuls, il a retiré ses chaussures, il s'est mis nu pour se frotter à moi pour m'exciter tout en me fouettant. C'est divin et troublant cette forme de corps à corps pendant le SM fusionnel. A la suite de quoi, il m'a annoncé une nouveauté tout en m'indiquant qu'il avait besoin d'une serviette et d'une corde !!!! Je n'avais aucune idée précise au départ, quand j'ai pensé qu'il allait peut-être m'attacher par les pieds et les relever. Non, il m'a pendue et f o r c é e à me branler avec un magic wand massager pour le plaisir de ses yeux. La serviette c'était pour que le n'ai pas de marque autour du cou, la corde pour me pendre.

Ce sadique a installé une chaise face à moi, il s'y est installé avec un verre d'apéro et une cigarette en m'ordonnant de me faire "plaisir en le regardant dans les yeux. A ce moment là, j'étais convaincue que je n'y arriverai pas, comment jouir ainsi ????? Cela m'a bloquée. Bien assis sur sa chaise avec son verre et sa clop il a tiré sur la corde de la pendue en m'ordonnant de me branler en me regardant dans les yeux. OUPS !

Me caresser même avec le magic wand massager qui est magique n'a pas été évident question plaisir ! Ses yeux insistant et les fouets qu'il gardait près de lui m'ont motivée dans l'effort que doit faire la soumise pour plaire à son Maître. Ce fut dur mais cela a commencé à venir doucement, ses yeux m'accompagnaient. Il m'a rappelé que même si mes fesses lui plaisent, ce qu'il préfère c'est lire dans mes yeux. Je lisais dans les siens qu'il ne lâcherait pas le "morceau", je le connais assez pour savoir quand je peux essayer d'esquiver, quand il est inutile d'essayer....

Au bout d'un moment, voyant que malgré tous mes efforts je n'arriverai pas à jouir, il a relâché la corde en m'a ordonnée de me mettre à quatre pattes comme une "chienne en chaleur". Même s'il n'est pas vulgaire de nature, j'aime parfois qu'il utilise des mots crus, cela m'excite, ce soir là il a été généreux avec ma gourmandise de mots crus.... Chienne, salope etc.... tout le dico grivois y est passé mais je sais que c'était pour mon plaisir et des mots d'Amour.

ET LA !

Et là il m'a attirée à lui en me tendant sa verge. "Il est l'heure de ton apéro" !!!!!!!!!!!

En soumise obéissante (pour une fois) j'ai pris son sexe en bouche, l'urine n'a pas tardé à arriver, une bonne cuvée d'été brûlant car pas forte mais goûteuse. J'avais ordre de continuer à me branler en même temps, c'est assez déstabilisant mais je l'ai fait. Là je commençais à "monter dans les tours" mais pas assez pour jouir. J'ai reçu l'ordre de me coucher sur le dos et de continuer à me branler comme une "chienne en chaleur". Et là, debout au dessus de moi il m'a uriné dessus. J'en ai profité pour en boire encore un peu mais ce n'est pas ma bouche qu'il voulait mais mon clitoris et mes seins. Sur le clitoris, en même temps que le magic wand c'est franchement divin, chaud et vibrant, excitant...... Là j'ai vraiment commencé à décoller ......

Par peur que j'ai froid, il m'a couverte d'un peignoir, au début j'ai apprécié mais après je l'ai repoussé car j'avais trop chaud. Trop chaud, dedans, trop chaud dehors, trop chaud partout.......... j'étais dans une autre monde, il venait d'avoir raison de moi.

Même quand il a débranché le magic wand massager je continuais de convulser, c'est totalement fou mais si bon......

Il m'a embrassée, caressée, cajolée avant de lever mes jambes pour les poser sur la chaise tant ma tête douloureuse avait besoin que la circulation sanguine soit privilégiée pour cause de migraine. J'avais vraiment mal à la tête tant je me suis envolée.

Ais-je été humiliée ? NON

Ais-je eu mal ? NON

Suis-je une soumise comblée ? OUI même si parfois je me demande ce qu'il me réserve comme surprise !!!!!!!!!!!!

Est-ce un sadique ? OUI je confirme.

Ais-je envie de recommencer demain ? Deux fois oui !

Kioki-san soumise de Maître TSM

Commentaires de TSM Elle dictait j'écrivais

- Et là salope, j'ai faim alors magne toi le cul de me faire à manger, j'en ai assez de faire ta secrétaire ! (C'est aussi 100% véritique, j'écrivais elle lisait et a éclaté de rire)

Elle est toujours aussi belle quand elle jouit à en perdre la raison, je ne me lasserai jamais de ses yeux et de son visage dans ses moments là.

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 29 juillet 3 29 /07 /Juil 13:57

Obligée de faire pipi dans la cage pilori Pauvre Vivi !

Obligee-de-faire-pipi-dans-la-cage-pilori.jpg

Obligee-de-faire-pipi-dans-la-cage-pilori-2.jpg

Sous prétexte de faire une vidéo, TSM demande à Vivi de se prêter comme actrice dans pour un scénario de pseudo contrainte. Notre Choupette Vivi nationale accepte de se prêter au jeu et se laisse mettre en couche puis enfermer dans une cage dont la porte comporte un pilori.

 

Entre les deux photos la partie change et talc c'est pour les grands ou sur la vidéo

 

Voir la vidéo Obligée de faire pipi dans la cage pilori Pauvre Vivi !


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