Lundi 14 juillet 1 14 /07 /Juil 18:26

Femme phallique ou femme chatique ?



Si le mot phallique existe bel et bien le mot "chatique" manque au dictionnaire.

Léa est une femme très dominante de caractère, avec elle au lit les hommes ne font pas la loi. Si par le passé elle a connu les câlins conventionnels, elle a pour dire les choses naturellement fait des fellations complètes à ses petits copains, elle s'est découvert une autre nature le jour où elle a rencontré un soumis sur Fessestivites.

Ce denier rêvait de soumission, d'une Maîtresse impitoyable qui le forcerait à lui lécher la minette. Par de multiples approches, il a essayé de la guider dans sa domination en allant même jusqu'à lui proposer de lui mettre une fessée s'il n'arrivait pas à la faire jouir de sa langue ou à lui imposer une cage de chasteté. Le seul problème dans les requêtes de ce soumis, c'est qu'il ne parlait que de son plaisir, jamais de celui de la belle, d'un naturel gourmand. Juste avant de se faire virer, ce brave soumis très sympathique mais trop dirigiste pour Léa lui a offert un gode ceinture avant de la supplier de le sodomiser comme une petite chienne. En clair, c'est ce cadeau pour lui et non pas pour elle qui a mis le feu aux poudres et l'a raccompagné vers la sortie.

Entre être dominante au lit et être une Maîtresse, il y a une différence fondamentale que ce pauvre soumis n'avait pas compris dans ses tentatives de manipulations. Malgré tout, Léa fut chagrinée de son départ, non pas de l'homme mais de son jouet et surtout de sa langue avouons-le "experte". De fils en aiguilles, l'idée d'imposer des cunnilingus à ses partenaires s'est imposée dans ses songes érotiques solitaires. Elle rechercha donc un nouveau soumis sur Fessestivites tout en lisant quelques articles traitant de bondage et de contraintes sur les forums BDSM.

Soumis Louis, un homme respectueux dans son approche des dominatrices parvint à décrocher la "timbale". Comme un bienheureux, il prit une chambre au formule 1 de Compiègne le jour convenu en espérant ne pas s'être fait planter par un faux profil et surtout, en espérant ne pas avoir pris une journée de congés pur rien. A 16 heures, son téléphone portable sonna. Si en d'autres temps il ne répondait pas aux numéros masqués, ce jour là, il fit une exception. La belle venait à lui pour avoir le numéro de chambre et le code.

- As-tu mis ta cage de chasteté ?

- Oui Madame.

- As-tu pris une douche comme demandé ?

- Oui Madame.

- Quel est le numéro de la chambre et le code ?

- La chambre 115 est au premier étage, couloir de gauche, le code 3785.

- Couche-toi nu sur le lit, j'arrive.

C'était la première fois que Léa allait dominer un homme dans un hôtel, elle était aussi anxieuse qu'excitée mais bien décidée à vivre l'expérience et surtout, à s'éclater. Quinze minutes plus tard, lorsqu'elle entre dans la chambre, dans la cage de chasteté, le Popaul gorgé de désir subissait une sérieuse crise du logement. Léa lui fit signe de se taire avant de poser sa petite valise sur la table pour en extraire des cordes. Elle commença par lier les chevilles de Louis avant de lui demander de soulever ses fesses pour passer deux cordes sous son dos. La première lui servit à attacher les mains de chaque côté des hanches et aux cuisses de Louis, la seconde pour lui lier les bras afin d'obtenir un blocage total d'éventuelles tentatives de rébellions. La chose faite, elle lui posa un bandeau sur les yeux avant de se dévêtir. Ses doigts fins, parfaitement manucurés s'aventurèrent un instant entre ses cuisses fuselées. Le rencontre d'un index taquin et d'une perle clitoridienne exacerbée généra en elle une sorte de décharge électrique des plus délicieuse. Contempler son sextoy sur pattes en poursuivant un léger mouvement rotatif sur cette perle finit de mettre le feu aux poudre.

Elle enjamba aussitôt le visage de Louis pour plaque ses lèvres intimes gorgées de désirs en lui ordonnant de laper. Si pour un soumis, cela peut être une situation de rêve, son nez logé au centre les fesses finement taillées mais musclées de Léa ne disposait guère d'espace au soumis pour respirer. "Ta langue, sort bien ta langue" criait la belle savourant ce petit appendice s'agitant du mieux qu'il pouvait en cette vallée très humide, humidification entretenue par un index atteint de la maladie de Parkinson.

En d'autres temps, en d'autres circonstances, il faut un certains temps à Léa pour que le plaisir pointe son nez, cette situation aussi exceptionnelle qu'originale en raccourcit considérablement les délais. Emportée par une vague montante, elle se mit à chevaucher gaiement les deux appendices, le nasal en son fondement et le lingual en ses profondeurs gourmandes. A deux doigts de s'étouffer, Louis lutait à chaque mouvement pour essayer de happer de l'air pour avoir une petite réserve de survie en ses poumons. La conjonction des actions avant/ arrière / index en une zone féminine ciblée ne laissa pas la belle ne marbre, si bien qu'elle connut un orgasme foudroyant terriblement généreux en sécrétions.
"Je vais mourir noyer ou étouffé", pensa un instant soumis Louis avant de ruer dans ses liens pour désarçonner la cavalière s'endormant sur ses lauriers, pardon, sur son visage.

- Oh on se calme ! Cria Léa en plantant ses ongles dans les tétons de l'agité.

- J'étouffe, Madame, je m'étouffe !

- Oh ça, va, tu ne vas pas commencer à râler pour si peu. Alors comme ça tu t'étouffes, c'est amusant ça, on va jouer un peu tous les deux ! Répondit Léa en faisant vole face. Tire la langue !

Léa prit place sur le visage de Louis en prenant soin qua sa langue toujours tendue pénètre bien au centre de ses pétales épanouis. Dans un geste de grande bonté elle retira le bandeau des yeux de sa victime pour mieux en apprécier les expressions futures.

- A nous deux maintenant ! Lui dit-elle en affichant un sourire sadique.

Le jeu de Léa consista à se servir de ses lèvres intimes pour obstruer les narines du soumis en appuyant fortement sa minette sur la bouche pour faire "étanchéité". Voyant le soumis changer de couleur, elle écarta ses délicieuses lèvres pour lui permettre de respirer un minimum avant de reprendre son jeu d'étouffement pendant quelques minutes. Quand il fut à deux doigts de l'apoplexie, elle lui ordonna d'ouvrir la bouche pour lui faire un petit cadeau. Et là, sans même le prévenir, elle s'abandonna totalement à une envie devenue très pressante.

Pour en avoir gâché, sous prétexte de ne pas se noyer, soumis Louis prit quelques gifles et un coup de genou dans les précieuses ridicules sous le tube de métal contenant à présent un appendice totalement recroquevillé de peur.

- Allez, je te libère, tu as été un bon sextoy mais tu ne bouges pas tant que je ne suis pas partie ! Lui indiqua Léa.

Deux minutes plus tard, elle quittait les lieux en embarquant ses cordes de bondage et les clés de la cage de chasteté d'un soumis épuisé peu enclin à se lever pour cause de manque de force.

TSM


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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Lundi 14 juillet 1 14 /07 /Juil 18:25

Nouvelle génération d'Adult Baby pas DL


Ado_tetine.jpg

Sans pour autant tomber dans la régression pure, une nouvelle forme d'Adult baby a fait son apparition ces dernières années. En terme de génération, le public principal s'étend des adolescents aux adultes frisant la trentaine.

La couche ne les intéresse pas !

Si décorer leur chambre avec des affiches de Harry Potter ou boire au biberon les amuse, une bonne partie de cette nouvelle génération d'AB n'éprouve aucun intérêt pour les couches.

Si vous ouvrez les yeux dans les centres villes, vous pourrez peut-être par exemple croiser des jeunes filles avec des tétines dans la bouche ou des tenues vestimentaires en décalage par rapport à leur génération. Les décorations des ordinateurs portables des ado ou étudiantes vous surprendront peut-être aussi. Il existe même des tétines clignotantes pour aller en boite.

Les développeurs d'applications de téléphone portable puis de jeux pour ordinateur et consoles s'en donnent à coeur joie face à ce nouveau marché potentiel se déroulant sous leurs yeux.

Quoi qu'il en soit, on ne peut que féliciter cette génération d'oser afficher son fétichisme au grand jour.

Postez vos témoignages sur le forum adult baby ICI


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Par TSM - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 08:42

Selfbondage sa copine soumise lui vole les clés




Marie aime le BDSM, le bondage et le sexe mais elle aime par-dessus tout être attachée et les rapports musclés. Les discussions d'hier soir autour de la table avec leurs amis l'ont mise dans un état de surexcitation que son époux n'a pas apaisé sous la couette.

Par ce bel après-midi du mois de juillet, Paul travaille au bureau, leurs amis sont partis faire du bateau. Pendant ce temps, Marie enflamme ses neurones en regardant les vidéos BDSM puis "abuse" sur Fessestivites. Au hasard de ses clics, elle a découvert la rubrique selfbondage, avec des idées, des astuces, des trucs, des histoires érotiques puis des vidéos de selfondage. Elle a déjà pratiqué en l'absence de son mari.

Le risque l'excite, la peur aussi quand il lui bande les yeux pour lui faire des choses, le fait de ne pas voir, de ne pas savoir la fait mouiller comme une fontaine. Il faut dire qu'elle est généreuse de ce côté là. L'idée lui vient de se faire un petit selfbondage avant de s'envoyer en l'air avec le magic wand, son deuxième copain......

Elle fonce aussitôt dans leur chambre pour prendre les outils nécessaires dans leur caisse à jouets de coquins, à savoir, des menottes de chevilles, des menottes pour ses poignets puis son bon ami le magic wand.

Extrêmement attirée par le risque, Marie va déposer les clés des menottes dans la chambre d'amis, avant de revenir au salon pour réaliser un selfbondage simple, mais, qui l'obligera à traverser la maison pour se libérer.

Dans sa précipitation, elle s'est trompée de menottes, elle a pris les deux paires de menottes de police vendue en promo 30 euros les deux paires sur ABCplaisir

http://www.abcplaisir.com/store/BDSM/109-Menottes-poignets-en-metal

Elle se rend compte de son erreur lorsqu'elle entreprend de les poser sur ses chevilles, mais, plutôt que d'aller prendre les bonnes, elle décide de continuer. Dans un premier temps, ses chevilles étant assez fines, cela fonctionne. A la suite de quoi, elle croise l'autre paire de menottes avant de les poser sur ses poignets.

Comme à chaque fois qu'elle fait du selfbondage, les clics des menottes sont une douce et très excitante mélodie pour ses oreilles de coquine. Pour le plaisir, elle commence à tirer sur ses entraves de métal comme pour se défendre d'un violeur sadique ou de son Maître d'Amour décidé à abuser d'elle. Marie roule sur le coté, se met sur le ventre, lève les fesses pour les mettre à la merci d'un amant prêt à la défoncer.

Ces moments de délires fantasmagoriques sont pour Marie un véritable espace de plaisir, si un doigt coquin s'aventurait entre ses cuisses il y trouverait un marécage tant elle s'envole. La sagesse étant de rigueur quand même, elle entreprend de descendre du canapé pour marcher à petits pas jusqu'à la chambre d'amis afin de récupérer les clés. Et là surprise ! ! !
Le fait qu'elle se soit trompée de menottes, ne lui laisse pas l'amplitude de mouvements habituels. Peu importe, elle en a vue d'autres dans ses aventures solitaires. Elle se couche sur la moquette du salon pour se mettre à ramper comme un vers de terre sauf que, la moquette brûle si l'on s'y frotte. "Merde" pense aussitôt Marie, "cela risque d'être plus long que prévu et je risque de me faire surprendre".

A force de prudentes reptations, elle arrive enfin au couloir qu'elle a ciré la veille histoire que la maison soit nickel quand leur amis arriveraient. Elle s'acharne contre la cire innocente qu'elle griffe avec les menottes mais avance tant bien que mal. En nage, Marie s'accorde une pause de quelques minutes avant de reprendre ses reptations car le couloir n'est pas assez large pour rouler sur elle même.

Arrivée à la chambre, la problématique de la moquette se pose à nouveau.
Elle rampe avec précaution quand soudain elle entend des voix dans la maison. "Oh merde" pense Marie, "je suis mal mais c'est encore jouable" . Avec ses pieds, elle pousse la porte avant d'essayer d'attraper les clés posées sur le meuble. Mais malheureusement les chaînes des menottes ne lui permettent pas de les atteindre. En guise de solution, elle aperçoit les escarpins de son amie, en les tenant avec les dents elle devrait s'en sortir.


selfbondage_14.jpg

Lorsque la porte de la chambre s'ouvre, elle bondit de peur. Son amie dans un premier temps est très inquiète mais lorsque Marie lui demande de lui passer les clés qui sont sur la commode, elle comprend aussitôt.

- Tu t'attaches toute seule maintenant ?

- Tu poses trop de questions, donnes-moi les clés.

- Tu m'offres quoi en échange ?

- Va te faire foutre, donne-moi les clés.

- Tu me parles trop mal, il faut que je réfléchisse ! Lui indique son amie en jouant avec les clés au dessus du visage de Marie. Oh les beaux lolos, que voilà, rajoute-t-elle avec un sourire sadique en lui malaxant les seins, bien accessibles, j'ai bien envie de jouer avec moi !

- Salopeeeeeeeeee libère-moi !

- Non, tu es trop méchante. Je les emmènes avec moi au salon tu n'auras qu'à venir les chercher.

EPILOGUE

Marie est bien arrivée au salon, en échange d'un bisou sur chaque chaussure de son amie, elle a obtenue les clés et s'est libérée mais la solidarité entre soumises étant connue, le secret ne dura pas plus que le temps de l'apéro du soir.

Ecrivaillon


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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 08:41

Abusée vendue mais heureuse



Candaule_inter_age_03.jpg
Par Ecrivaillon

Comment peut-on avoir été prêtée, avoir été abusée et être heureuse ? En fait, c'est une longue histoire que je vais synthétiser pour aller à l'essentiel.

A 15 ans, j'ai rencontré mon mec, le mec qui m'a tout appris des choses de la vie comme l'on dit. Il était en terminale, moi en troisième, c'était un "grand". Sous ses mains, j'ai immédiatement connu le bonheur physique grâce à sa douceur et son savoir faire. Comme il était beau comme un dieu, que j'étais enviée par les copines et qu'il savait tout, je n'ai jamais rien refusé.

Je passerai sur ma première fois pour vous parler de mon pucelage anal que je lui ai offert avec bonheur le soir de mes dix-huit ans. Il m'avait dit qu'il me préparait une surprise et que j'allais être heureuse, l'enfoiré avait raison. Sous prétexte d'une soirée pyjama, j'ai donc passé la nuit dans l'appartement qu'il venait d'obtenir au dessus du garage où il avait trouvé un emploi de commercial. La soirée a débutée au champagne, pour une jeunette qui ne consommait pas d'alcool, les effets sur ma retenue ont été dès plus néfastes.

Il m'embrassait à pleine bouche, me disait des mots d'amour qui font rêver, j'étais sur un nuage si bien que, quand il m'a offert un déshabillé particulièrement osé en me demandant de l'essayer, je me suis exécutée sur le champ sans aucune gêne. Il a sorti son appareil photo en me disant que j'étais plus belle qu'une princesse, puis m'a demandé de prendre des poses coquines, d'écarter les jambes, de me mettre à quatre pattes fesses en l'air. C'est un véritable show érotique que je lui ai offert ce soir là pendant qu'il immortalisait le tout en prenant des photos. Il m'avait juré quelles étaient pour nous et qu'elle n'iraient pas sur internet.....

Nous les avons regardées sur son ordinateur en buvant du champagne, il n'arrêtait pas de dire que j'étais belle en me caressant de partout. Un moment plus tard, il m'a prise par la main pour me guider vers sa chambre où sur le lit m'attendait une rose. ET là, quand il m'a dit de m'allonger sur le ventre au dessus d'un coussin pour que mes "magnifiques fesses" lui soient offertes je n'ai pas refusé. Avec patience il s'est occupé de mon anus malgré mes réfutations. Il m'expliquait, lui qui savait tout, que ce n'était pas sale, que j'allais m'envoler. Pour me décontracter, il jouait avec un petit vibromasseur devant et un autre derrière en embrassant mes fesses. A 18 ans dans une telle ambiance et après du champagne on finit par s'abandonner. Quand il m'a prise par derrière en jouant avec mes tétons, j'ai à peine eu mal tant il était doux.

Quelques minutes plus tard, c'était nettement moins doux, mais franchement bon je l'avoue ! Je suis redevenue sa nymphomane comme il se plaisait à dire, en lui montant dessus pour le faire moi-même.

Pourquoi abusée me direz-vous ? Certes j'étais bien plus jeune et je l'avais connu quand j'étais mineure, mais il ne m'a jamais forcée, juste proposé et initiée aux plaisirs de la vie. Sauf que j'ai découvert bien plus tard les photos avaient un objectif bien précis.

Pour fêter mon anniversaire, il a organisé une méga fête pour moi le week-end suivant. Champagne à gogo disait-il en me refilant coupe sur coupe si bien que j'étais assez pompette. Le bonheur était dans le pré. Il m'a offert une nouvelle tenue très coquine puis demandé de l'essayer devant ses copains. Là j'étais un peu gênée mais après le champagne et à grands coups de bisous, il a su me faire céder. Ses copains ont applaudis, m'ont dit que j'étais un canon mais aussi que j'avais beaucoup de chance d'avoir un copain comme lui. J'aurai du me méfier ! Quand ils m'ont dit que je devais le remercier à la façon d'une canon de dix-huit ans, je ne comprenais pas ce qu'ils voulaient dire. Patrick m'a alors expliqué que la tradition voulait que je lui fasse une fellation devant tout le monde. Là j'ai un peu bloqué ! A force d'argument, j'ai finis par céder. J'étais à genoux devant le canapé pour lui offrir sa gâterie en offrant une vue imprenable sur mon fessier à ses copains qui continuaient de dire que j'avais beaucoup de chance..... Et moi j'y croyais.

Ils ont voulu trinquer avec moi, et zou encore du champagne...., puis Patrick a décidé d'organiser un jeu coquin. Il m'a bandé les yeux puis m'a demandé de mettre les mains en avant, et moi grande cruche, j'ai cru qu'il avait un autre cadeau. Non, non son jeu consistait à toucher des sexes d'homme pour voir si j'arriverai à reconnaître le sien. J'avoue que passé le moment de gêne, toucher toutes ces verges m'a franchement plu sauf que je me suis plantée !

Patrick m'a alors expliquée que je devais faire une fellation à la verge que j'avais prise pour la sienne, que c'était la tradition. Au début je n'étais pas d'accord mais il a insisté en me disant qu'il m'accompagnerait tout en me caressant les seins ce qui est un sérieux déclencheur chez moi. J'ai fini par céder. Le mec est monté sur le canapé, Patrick m'a guidée vers lui pour que je le suce. Cela m'a fait tout drôle de prendre une autre verge que la sienne dans la bouche mais comme il s'acharnait sur mes tétons, j'ai fini par me laisser aller. Et là, Patrick m'a prise devant tout le monde en me disant que j'étais la reine de la soirée. J'ai pris un pied d'enfer ce soir là malgré les manipulations.
....................
Mon psy m'a demandé si j'en gardais un mauvais souvenir. je lui ai répondu négativement, même si j'étais abusée par un mec qui me manipulais, j'ai été très heureuse dans ces moments là.
....................
Et puis les choses se sont accélérées dans sa perversité. Deux mois plus tard, je dormais très souvent chez lui malgré l'avis défavorable de mes parents, j'avais dix-huit ans, je faisais ce que je voulais. Il m'a expliqué un soir qu'il avait adoré me voir faire une fellation à un de ses copains puis ce qu'est le libertinage et le candaulisme. Il était tellement convainquant et calme dans ses explications, comme je l'aimais comme une folle j'ai cédé. Je m'attendais à voir arriver un de ses copains, c'est un mec de soixante ans bedonnant et cheveux grisonnant qui est arrivé.

"Elle est belle ma femme, c'est une vrai princesse" lui disait-il. Le gars a voulu vérifier mon âge, et moi, fièrement, je suis allée chercher ma carte d'identité. Non mais, je n'étais plus une gamine ! Patrick s'est installé sur le canapé puis m'a attirée contre lui pour me faire des bisous et titiller mes tétons en me demandant d'écarter les jambes. L'homme s'est assis près de nous, sa main s'est aventurée entre mes jambes pour venir caresser mon chaton par dessus ma culotte. Trois mains sur moi et des bisous..... cela m'a fait des choses. Le téléphone a sonné, Patrick m'a demandé de continuer en me disant qu'il restait dans la pièce. L'homme a commencé à me grignoter les tétons avec douceur, sa main entre mes jambes est devenue plus entreprenante, je m'y suis ouverte.
Candaule_inter_age_12.jpg
L'homme m'a demandé de me dévêtir, excitée comme j'étais je l'ai fait sans réfléchir puis il m'a attiré vers son sexe pour que je lui fasse une fellation. Il disait lui aussi que j'étais une reine, Patrick me faisait des signes de la main comme pour me féliciter. Quand le mec fut en érection, il a enfilé un préservatif puis m'a fait m'allonger sur le canapé. Il s'est couché sur moi et a voulu m'embrasser mais je n'y suis pas arrivée. Quelques secondes plus tard, il m'a pénétrée lentement puis il m'a fait l'amour avec douceur. Il était long à venir, cela m'a permis d'avoir le temps de prendre mon pied sous les yeux de Patrick qui semblait heureux et fier de moi. Lorsque l'homme s'est retiré et à enlevé son préservatif, Patrick nous a rejoint, il s'est assis et m'a attiré contre lui pour m'embrasser pendant que le mec se branlait sur moi. Une fois qu'il fut parti, mon chéri m'a baisée dans tous les sens et conduite au paradis. Il était fier de moi et moi j'étais heureuse.

A la suite de quoi, régulièrement il y avait un nouvel homme qui venait chez lui pour me baiser. Patrick étant commercial je ne le voyais que deux ou trois soirs par semaine, les autres soirs, j'essayais de rattraper mon retard scolaire en pensant à lui.

LA GRANDE SURPRISE

Un lundi, je me pointe comme d'habitude chez lui, on se fait des câlins, on se parle, il m'offre un verre, me parle de son travail, puis m'annonce qu'un homme va venir et que je vais encore m'éclater. Il n'avait pas tord car très souvent je prenais mon pieds et à chaque fois, juste après le départ du mec, il me faisait "décoller". Vers vingt et une heure, un homme est arrivé, nous avons un peu discuté puis comme le dit souvent Patrick, "passons au choses sérieuses".

On a frappé à la porte pendant que je lui faisais une fellation toute nue sur le canapé. Des policiers se sont engouffrés armes au poing. J'avais terriblement peur, j'étais gênée d'être vue nue, un des policiers nous a demandé de nous rhabiller pendant qu'un autre passait les menottes à Patrick.

Passer la nuit dans un commissariat à dix-huit ans, c'est rude. J'avais une peur bleue que mes parents l'apprennent. Un policier m'a posé ensuite énormément de questions avant de reposer ses questions et de me faire signer ma déclaration.

Les principales question hormis prénom du père, prénom de la mère
Non je n'ai jamais été violée ni forcée, j'étais consentante.
Non je n'ai jamais reçu d'argent; juste quelque vêtements que je ne mettais que chez lui.
Oui nous nous sommes connus quand j'avais quinze ans.

La déclaration signée, le policier m'a demandé d'attendre dans le couloir en m'expliquant que quelqu'un allait venir m'expliquer ce qu'il se passe. Ce fut long, très long. Une femme flic est venue me chercher et m'a proposée gentiment un café en m'invitant à m'asseoir dans un bureau à l'écart. Elle m'a reposé des questions, elle cherchait à savoir si je prenais du plaisir quand il venait des hommes tout en insistant sur le fait que l'on étaient entre filles et qu'elle ne dirait rien à mes parents. Au bout d'un moment elle m'a expliquée le pourquoi j'étais là. Ses révélations furent un choc pour moi et me firent craquer.

Patrick avait été arrêté pour abus de mineur et prostitution. Il y avait d'autres filles concernées, deux d'entre-elle avaient parlé. Il avait également monté un site avec les photos des filles, dont certaines étaient mineures. L'une d'elles s'était suicidée en découvrant le pot aux roses.

EPILOGUE

Le psy a longuement creusé pour l'aider à surmonter le drame de sa vie se résumant à être abusée, trompée, vendue. Préférant jouer sur le libertinage plutôt que sur la trahison, il a su exploiter le fait qu'elle aimait effectivement le sexe pour l'aider à surmonter la chose. Il est préférable de penser que l'on est une nymphomane qu'une pute. Grâce à cette orientation discutable de la thérapie, Laure continue de vivre sa vie de femme sans trop de séquelles.

Ecrivaillon


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RAPPEL A LA LOI sur les photos des mineurs

Article 227-23 du Code pénal : Valable aussi pour un mineur de 18 ans (entre 15 et 17 ans)
Le fait de produire ou transmettre des représentations pédopornographiques est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende, 100000 euros si diffusé sur un réseau électronique à destination d'un public non déterminé.
La consultation habituelle ou en contrepartie d'un paiement tout comme la détention de telles images est punie de deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 08:40

Ville de Plaisir rencontre BDSM (Récit un brin hard)


Par Ecrivaillon



Ville_de_plaisir_rencontre_BDSM.jpg



Situé au coeur des Yvelines, la Ville de Plaisir compte près de 32 000 habitants dont Carine, une femme adepte du BDSM, une femme soumise du réseau Fessestivites en recherche d'un Maître.
Si l'homme est un animal choisi pour son pelage, Carine ferait bien de prendre le temps de méditer avant de se lancer dans des aventures.


Prête à tout pour réussir, y compris à satisfaire les patrons dans leurs moindres désirs. Elle postule chez Monsieur Henri, est un véritable sadique adapte du BDSM qui n'hésite pas à pousser ses victimes féminines dans leurs plus intimes retranchements.


Encore en période d'essai dans l'entreprise, elle commet une bêtise assez importante et onéreuse en termes de conséquences. Immédiatement convoquée à la direction, elle se confond en excuses puis ajoute au cas où, "je sais que cela mériterait une sérieuse fessée". L'avalanche de mots incendiaires du patron cesse aussitôt.


- Pouvez-vous répéter ce que vous venez de dire mademoiselle ?


- Oui Monsieur, je sais que cela mériterait une sérieuse fessée et je suis profondément désolée par ma bêtise qui coûtera de l'argent à l'entreprise. Répond Carine les yeux baissés.


Le petit canon assis en face de lui dans un fauteuil volontairement placé à distance du bureau, lui permet d'avoir une vue imprenable sur ses cuisses délicieusement fuselées. Pour un Maître sadique, une telle perche ne se loupe pas ! Qu'il la vire ou pas, il aura toujours trois mille euros de frais, autant creuser un peu pour voir ce que cache cette magnifique poupée dans son paquetage.


- Revenez ce soir après 18 heures je vais méditer sur votre histoire qui, je ne vous le cache pas, est mal engagée.


"Alors virée" demande la secrétaire habituée aux colères de son employeur. Carine répond par la négative en précisant qu'elle en a bien peur. La suite de la journée se déroule sans encombre, elle fait son possible pour être une vendeuse exemplaire en tous points.


A dix-huit heure précise, les jambes en coton, elle reprend les escaliers conduisant aux bureaux. La secrétaire étant partie, elle frappe timidement à la porte, avant de l'ouvrir suite à un aboiement significatif signifiant "entrer".


Cette fois, il ne l'invite pas à s'asseoir et se décide à lever son gros popotin pour tourner autour de sa proie dans un but fort simple : en apprécier les courbes et le savant parfum de ce chef d'oeuvre de la nature. Pendant un long moment il arpente le bureau en recommençant sa grande messe d'employeur furieux avant d'en venir aux faits.


- Ce matin, vous m'avez indiqué par deux fois que cela mériterait une fessée. Est-ce que je me trompe ?


- Non monsieur.


- Je crois que je vais vous la donner cette fessée méritée mais soyons bien d'accord, je ne vous oblige en rien et j'ai un motif à 3000 euros pour vous licencier. Nous n'allons pas tergiverser deux heures, si vous êtes toujours dans les dispositions de vous faire pardonner, retirer votre string et posez-le sur le bureau.


Carine se doutait bien qu'elle allait vivre un truc comme ça, n'étant pas à une fessée près, elle n'avait pas tendu la perche pour rien. Mentalement, elle se plaça dans l'état d'esprit de son ex vie de soumise, exécuter un tel ordre lui donna même un coup agréable dans l'échine, échine qui n'allait pas tarder à être rudoyée. Après six mois d'abstinence fessière, cette fessée était presque la bienvenue. Prestement tirée par le bras, elle n'offrit aucune résistance lorsqu'il la fit s'installer sur ses genoux.


Le corps de Carine n'est pas celui d'une biche, aux courbes pleines et sensuelles, mais plutôt celui d'une gazelle, souple et nerveuse, avec de jolies jambes aux mollets discrets, au fuseau de la cuisse légèrement accentué. Partout, sa chair est d'une grande fermeté, sa peau tendue sur ce que l'on sent être des muscles. Son ventre est plat, ses hanches à peine rondes mettent en valeur ses sublimes fesses, petites et pommées.


Lorsqu'il souleva sa jupe courte, Henri eut un coup au coeur ! Il avait sous les mains le plus beau cul qu'il n'ait jamais martyrisé. Il ne s'en priva pas, mais, par peur de blesser cette beauté, il commença doucement avant de revenir à son naturel : faire crier les filles. Au bout d'un certain nombre de claques retentissantes sur les fesses, l'épiderme rougit et sa propriétaire s'agite. Là non ! Certes il était rouge vif mais la garce encaissait sans bouger. Il y mit toute son ardeur au point de ruisseler de transpiration mais en vain.


Il lui fallait cette fille qui ne pouvait qu'être une maso pour se laisser fesser par son patron et qui plus est, ne pas réagir à sa punition. Il en fut convaincu quelques secondes plus tard quand il lui demanda de se relever.


- Merci monsieur ! Dit Carine les yeux baissés avant de prendre un mouchoir dans la boite posée sur le bureau pour essuyer le visage de son patron très étonné par ce geste ! ! !


- Votre cul d'une grande beauté est pire que le supplice de tantale pour les yeux. Vous mouillez généreusement, j'ai donc dans l'idée que vous êtes habituée à prendre des fessées, répondez !


- Oui monsieur.


- Mais encore ?


- J'étais soumise fut un temps monsieur et fière de l'être mais mon Maître s'est envolé vers d'autres horizons. Répondit spontanément Carine sans même réfléchir à qui elle disait cela, après cette fessée dès plus humiliante pour une salariée, elle avait effectivement quasiment jouit.


- Penchez-vous en avant sur mon bureau, nous n'en avons pas terminé !


Henri n'en croyait pas ses yeux, une soumise aussi belle et libre ! Autant en profiter de suite, elle ne pouvait le rester.


- Je veux tester votre soumission avant de prendre ma décision de vous garder à mon service, en clair je vais vous baiser. Lui indiqua Henri en attrapant un préservatifs dans un des meubles de son bureau sans trop la quitter des yeux.


La belle restait sans réaction ! ! !


Deux minutes plus tard, profondément logé en elle comme s'il fallait faire mal pour avoir du plaisir, il laminait son ventre de jouvencelle en appréciant les petits gémissements plaintifs qu'il parvenait enfin à lui arracher. Pour Carine, ce fut une nouveauté, son enfoiré de patron parvenait à la faire grimper, elle s'offrit même plus encore en se mettant sur la pointe des pieds à ce pieux la taraudant comme jamais. Est-ce les circonstances, les six mois d'abstinence qui généraient en elle un tel plaisir nous ne le saurons pas mais Carine s'envoyait bel et bien en l'air en s'approchant à grands pas de la stratosphère aussi paradoxalement que cela puisse paraître.


En grand gourmand de sexe et de BDSM, il ne put résister à un appel circulaire.


- Ton étroit fourreau culier est beau quand il se crispe !... Comme ta petite fleur brune vibre et palpite, tends bien ton derrière je veux aussi le prendre pour te faire chanter de bonheur ma belle ! Lui indique Henri en se retirant de la minette éplorée.


Du bout des doigts, il mouille le délicat petit émonctoire avant d'y poser son gland turgescent. A force de batailles et de pressions psychologiques anales, un relâchement sphinctérien se fait lui permettant de s'engouffrer dans les voies initialement impénétrables d'après certains. Pour la première fois, Carine parle, demande d'aller moins fort, chose qu'il accepte un temps limité avant de reprendre la dernière ligne droite d'une chevauchée digne d'un champ de course.


Bizarrement, la sensation de douleur se transforme progressivement en plaisir, soumise dans l'âme en perdition, Carine ressent une grande excitation à offrir à son boss ce qu'elle a de plus intime. Le rapace ne tarde point à apprécier la souplesse de ce délictueux fondement devenu accueillant, mais hélas, cela ne dura pas. Un beuglement s'échappa de sa bouche grande ouverte en résonnant dans les bureaux par chance pour lui, vides.


La chose faite, il la pria de s'asseoir, ouvrit un de ses placards contenant un frigidaire dont il sortit une bouteille de champagne pour fêter son CDI.


................................................


En son petit appartement de la rue de la République, Carine méditait après cette surprenante aventure car elle l'avait très bien vécue malgré toute l'horreur de la situation. En clair elle venait de se faire fesser et de tirer un coup, chose qu'Henri ne pouvait savoir.


UN EPILOGUE SURPRENNANT


Elle refusa ensuite de poursuivre cette relation. Henri, gardant l'espoir de la conquérir et pour éviter les ennuies....., n'insista pas hormis une promotion lui permettant d'avoir un second rendez-vous privé inutile pour sa tentative de séduction.


Un mois plus tard surprise surprise !!!!!!!!!!!!!


Carine arriva de bonne heure dans l'entreprise, prit les escaliers des bureaux avec la ferme intention de s'amuser et de venger les femmes qu'il avait dû martyriser avant elle. Lorsqu'elle se dirigea vers le bureau du patron, la secrétaire l'interpella en lui demandant où elle allait, le big boss n'étant pas encore arrivé.


- Il en est totalement informé, je dois l'attendre dans son bureau, ne vous inquiétez pas ! Répondit Carine particulièrement joyeuse.


Elle pénétra dans le bureau, se fit un café avant de s'installer confortablement derrière le bureau d'Henri pour le siroter tranquillement. Comme l'on peut s'en douter, lorsque le patron découvrit la chose, les murs tremblèrent sous ses cris.


Carine le regarda calmement avec son sourire aux dents blanches, ses yeux clairs et rieurs pétillants d'intelligence avant de lui conseiller fortement de s'asseoir pour lui remettre un document.


Ayant peur qu'elle ait porté plainte pour harcèlement sexuel, il parvint à grand peine à se calmer mais refusa de s'asseoir en face de son bureau pour lire le dit document qu'elle lui tendait. Et là, la surprise fut telle qu'il prit place dans le fauteuil indiqué, comme Carine un mois plus tôt.


- Cher monsieur, comme vous le constatez, grâce à un héritage substantiel, j'ai racheté 70 % des parts sociales de votre entreprise. Les 21 % que vous aviez accordés à votre ami Antoine Le Persan, afin de conserver la majorité de blocage, sont passés dans mon portefeuille boursier, il va prochainement prendre sa retraite. En clair je suis votre patronne.


Rouge comme une écrivisse Henri s'étouffait de rage. Il attrapa une poignet de mouchoirs pour s'éponger le front en essayant tant bien que mal de faire passer sa salive dans un conduit de peur devenu très étroit.


- Un Président directeur général cela se vire facilement, c'est une question de stratégie ou d'argent, mais n'étant pas une aussi bonne gestionnaire que vous, mon banquier a étudié votre bilan de l'année dernière, je vais vous garder dans l'entreprise. Sachez que je peux appuyer sur le bouton "licenciement" quand je veux si besoin était. Rassurez-vous, mon but n'est pas de vous nuire, juste de vous apprendre le respect des femmes, soumises ou non.


- Que voulez-vous réellement ? Parvint difficilement à dire le PDG.


- Je veux deux choses simples à faire, enfin au moins une. La première est un poste aux côtés de votre DRH, bien rémunéré cela va de soit, cela me permettra de contrôler vos agissements. J'y viendrai de temps en temps. Ensuite je veux quelque chose que vous allez avoir plus de mal à admettre.


- Je vous écoute !


- Je veux que vous me léchiez le cul ! Au sens propre évidement.


Henri crut avoir une attaque ! Carine se leva, fit le tour du bureau, souleva sa jupe offrant au regard du PDG son adorable petit postérieur protégé par aucun rempart de dentelles ni même un string.


- Jamais ! Aboya Henri


- A zéro vous êtes viré. 5 / 4 / 3 / 2


Carine n'eut pas besoin de prononcer les autres chiffres.


Ecrivaillon


Note de l'auteur : Je me suis un peu amusé avec cette histoire totalement fictive et un peu tirée par les cheveux j'en convient, mais je trouvais que la ville Plaisir" était en totale adéquation avec mon envie de punir, au moins par une histoire, les employeurs et "chef" usant de ces pratiques.


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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mercredi 2 juillet 3 02 /07 /Juil 09:29

Rendez-vous fessée chez le punisseur



En 2017, les lois ont changé, les ministres de pacotilles ont été remplacés, ministre un mois retraite à vie n’est plus, tous ces gens sont maintenant obligés de travailler. En votant pour un président dur et ferme, les français ont choisi un gouvernement capable de redresser le pays et de rétablir l’ordre. La fermeté de ce gouvernement ne s’applique pas qu’aux élus, elle s’adresse aussi aux administrés comme le découvrent au fil du temps ceux et celles qui criaient au scandale pour les dépenses publiques et les assistés de la société.

Qui n’a jamais essayé de tricher un peu pour les impôts, la TVA ou de gratter quelques jours de travail en exagérant un peu chez le médecin pour obtenir un arrêt maladie ?

Martine compte des râleurs tout en essayant aussi de gratter quelques argents sur ses impôts sauf que ! Sauf que le gouvernement a mis en place de nouvelles règles, tout contrevenant ou tricheur doit être puni. Lors de son contrôle fiscal, cette jeune commerçante dans le prêt à porter s’est faite piéger. L’inspecteur des impôts a découvert ses tricheries. Le gouvernement ne désirant pas assassiner les commerçant, elle a écopé d’un redressement fiscal avec des facilités de paiement et un « Rendez-vous chez le punisseur » en guise de pénalités.

………………….

Préfecture de Paris Mardi 13 juin 2017 neuf heures

Martine est dans ses petits souliers, elle a entendu parler des punitions physiques appliquées mais comme les gens disent tout et n’importe quoi, elle se méfie des ouï-dires. Ces nouvelles sanctions physiques ne sont mises en place que depuis un mois et on ne sait que peu de choses. L’hôtesse d’accueil amusée lui indique le chemin dans le dédale des couloirs.

Assise sur un banc scellé dans le sol avec une boule d’angoisse sur l’estomac, devant une porte capitonnée , elle attend maintenant d’être appelée. Lorsque son nom résonne dans le couloir, elle bondit de peur. Un homme charmant sort pour la réceptionner en l’invitant à entrer. Un homme aussi respectueux vêtu d’une blouse blanche comme les médecin ne peut pas lui faire du mal, pense-t-elle, non, ce n’est pas possible.

La pièce refaite à neuf pour l’application des nouvelles règles et sanction est quasiment aseptisée et sans âme. Les murs blancs donnent l’impression d’une salle d’opération, une demi croix horizontale avec des sangles trône au milieu face à un bureau. Un WC a été installé sauf qu’il n’y a pas de porte. « Oh mon dieu, faite que je n’ai pas envie de faire pipi », pense Martine d’une nature pudique malgré ses tenues souvent très provocantes.

- Mademoiselle Lecroux Martine, c’est bien cela ?

- Oui Monsieur ! Répond Martine d’une toute petite voix.

- Donnez-moi votre pièce d’identité et retirez votre culotte !

- Mais pour quoi faire ?

- Parce que je vous le demande !

La gorge serrée, Martine donne sa carte d’identité puis s’exécute en essayant de ne rien dévoiler de son anatomie en retirant son string, si elle savait……

- Allongez-vous sur la croix je vous prie ! Lui indique le punisseur en la guidant d’un geste calme, posé.

Avec un calme olympien, il sangle ses bras écartés sur cette forte de croix dont le haut n’est pas en V mais en T. Lorsqu’il entreprend de sangler ses jambes, Martine prend conscience que la position dans laquelle elle se trouve dévoile totalement son anatomie. Morte de honte, elle peine à avaler sa salive.

- Mademoiselle Lecroux Martine, vous avez été condamnée pour fraude fiscale, comme c’est la première fois, vous ne recevrez qu’une fessée à la strap. En cas de récidive cela sera la canne anglaise jusqu’au sang, une nouvelle récidive sera sanctionnée au fouet.

Elle va recevoir une fessée, on le lui avait bien dit, mais elle n’imaginait pas que cela soit vrai. Quelle horreur. Le punisseur attrape une serviette qu’il roule en boule puis lui demande de soulever les fesses pour qu’il la glisse sous son ventre. C’est sûrement pour que je ne me fasse pas mal, pense Martine un instant avant de se rendre compte que c’est pour soulever son fessier et l’exposer plus encore au punisseur. Lorsqu’il soulève sa jupe, Martine se sent plus que nue, ses fesses sont exposées, mais son entrejambe aussi, à la caméra de contrôle permettant de prouver qu’il n’y a pas d’abus.

Le punisseur saisit une strap en cuir, une sorte de plaque de cuir noir épais, inquiétant. Il en joue avec en tapant doucement dans sa main avant de caresser délicatement sa fesse gauche. « Quel dommage d’être obligé de rudoyer un aussi joli fessier »,commenta-t-il.


Sans la prévenir, il arme son bras et abat d’un seul coup la strap sur les jolies fesses frémissantes. La douleur est saisissante, la respiration de Martine se bloque un instant, aucun son ne sort de sa bouche grande ouverte. Le coup suivant ne tarde pas, il est aussi violent que le premier, Martine pousse un hurlement déchirant. La fessée, elle en avait vu et entendu parler, mais jamais elle n’aurait imaginé qu’avec une strap, cela puisse être aussi douloureux. Les coups s’abattent sur ses fesses méthodiquement avec la régularité d’un métronome. Ses petits doigts serrent ou griffent la croix en fonction des coups. Ses cris se transforment en plaintes de désespoir. Les rivières de larmes emportent un maquillage soigné sur leur passage, elle renifle maintenant lamentablement, pleure et cris parfois sous les coups.

La main du punisseur palpe ses fesses rouges cruellement meurtries. Si elle apaise la douleur, elle fait aussi très peur à Martine. Elle n’a pas tord d’avoir peur, il fait un état des lieu, si la loi lui impose d’être sévère, pour une première sanction il n’a pas le droit de blesser. Jugeant qu’il peut poursuivre, il reprend la fessée pendant une petite minute qui semble durer une heure pour celle qui est punie.

Lorsqu’il entreprend de la délivrer de cette croix maudite, Martine comprend que c’est enfin terminé. Avec galanterie il l’aide à se lever puis lui tend son string en lui indiquant qu’elle peut se rhabiller. Sans plus de considération il appose sa signature puis un coup de tampon sur des documents avant de lui en remettre un exemplaire.

- Mademoiselle, si vous estimez que la punition était excessive, vous avez le droit de demander la vidéo. En ce cas, elle sera visionnée par les membres du bureau constitutionnel qui, s’ils jugent que votre plainte est abusive, peuvent vous condamner à recevoir une seconde fessée. Je vous invite à méditer avant de vous plaindre. Sur ces quelques mots, sachez que même si vous êtes charmante, je ne souhaite pas vous revoir ou du moins dans ces circonstances, mais c’est vous qui voyez.

Ecrivaillon

 

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Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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Lundi 30 juin 1 30 /06 /Juin 18:16

Encagé, féminisé godé par sa femme

 

 

 

Louis rêvait de rencontrer une Maîtresse pour vivre ses fantasmes de soumission. Comme beaucoup d’hommes, il surfait en cachette de sa femme sur Fessestivites. A défaut de trouver la Maîtresse de ses rêves les plus fous, lire des histoires érotiques ou voir des vidéos pornos titillait ses neurones coquins et, quand l’excitation devenait trop forte, la veuve poignet lui permettait d’assouvir ses envies. Trouvant ainsi son équilibre sexuel, il délaissa son épouse jugée « trop vanille » pour comprendre.

La problématique quand on n’a qu’un ordinateur à la maison, c’est la discrétion surtout quand on a des choses à cacher. Une nuit, Laurie se leva pour un besoin pressant et découvrit le pot aux roses ! Son mari les yeux fermés se branlait de bon cœur. Lorsqu’elle s’approcha discrètement, la vidéo motivant cet enthousiasme sexuel tournait encore sur l’écran avec une dominatrice qui était en train de jouer avec son soumis sous cage de chasteté.

- C’est quoi ce truc qu’il a sur le sexe ? Demanda Laurie amusée de le surprendre dans un moment aussi coquin.

Louis fit un bond sur le fauteuil dans lequel il aurait bien aimé se fondre. Le flux sanguin de l’appendice masculin fit volte face pour prendre la direction du visage de son propriétaire. En clair, il débanda et rougit comme un gamin piégé en train de faire une bêtise. Une discussion tendue eu lieu, madame n’appréciant pas trop la chose surtout que leur dernier câlin datait d’au moins deux mois. Pressé de s’expliquer mais aussi de répondre à la curiosité de son épouse, il dut lui présenter en image ce qu’est une cage de chasteté. C’est ainsi que Laurie découvrit les fantasmes de soumission de son mari.

- Si ce truc t’excite à ce point achète-en une, comme ça, nous serons deux à nous amuser ! Lui dit Laurie avant d’ajouter qu’il devrait sortir les poubelles une fois son affaire terminée.

L’ambiance n’étant plus, Louis décida de sortir les poubelles sur le champ pour fuir la conversation. A son retour, son épouse surfait gaiement sur Fessestivites et tout particulièrement sur son profil. Comme le lecteur peut s’en douter, à son retour ils ne prirent pas la direction de la couche conjugale !

………………

Contrairement aux idées reçues, les femmes peuvent être aussi très coquines, c’est ce que découvrit Louis en voyant son épouse surfer une bonne partie du week-end sur ce site maudit que peut être Fessestivites dans cette situation ! Elle explora grandement le forum chasteté autant pour comprendre que par curiosité. La cage de chasteté fut commandée le soir même sur ABCplaisir.

Un mois plus tard

Louis devenait fou, fou d’amour, fou de désir, fou furieux aussi parfois quand elle s’amusait avec les clés accrochées à son cou le samedi soir en lui indiquant qu’elle était fatiguée. L’appel du sexe pousse parfois l’homme encagé à des réactions originales dans sa recherche de plaisir détourné. Ne pouvant prendre du plaisir par devant, il commença à jouer avec son derrière, traduire par se mettre des trucs entre les fesses en empruntant des sous-vêtements à sa femme. Etant méticuleuse dans ses rangements, Laurie se rendit compte que certaines choses n’étaient pas comme elle les avait rangées. Maligne, elle fit quelques repères y compris dans le tiroir où elle rangeait un vieux sextoy avec d’autres bricoles très féminines. Son instinct ne l’avait pas trompé, son mari se servait de son sextoy en cachette et de ses sous-vêtements !!!

Sur les forums de Fessestivites elle trouva une partie de la réponse à ses interrogations en lisant cet article. Cage de chasteté pourquoi des sous-vêtements féminins ?
http://forums.fessestivites.com/bondage-et-contraintes/cage-de-chastete-pourquoi-des-sous-vetements-feminins-t1990.html

 

Comme sur cette page il y a un lien vers les vidéos portant sur les cages de chasteté, elle cliqua par curiosité. Deux heures plus tard, ses doigts coquins s’insinuaient sous sa jupe pour masser délicatement le bouton des plaisirs à travers le fin rempart de dentelles. Elle venait de se découvrir une attirance pour le gode ceinture. Bien décidé à essayer, elle en commanda un aussitôt sur ABCplaisir sans en toucher un mot à son mari.

Le samedi suivant, alors qu’ils allaient se coucher, elle l’interpella pour lui mettre une robe.

- Mais que fais-tu chéri ? Demandé Louis très étonné.

- Je sais que tu me chipes mes culottes alors tant qu’à faire, je vais t’aider à te féminiser puisque cela t’amuse. Et puis tant qu’à faire, on va aussi jouer avec le sextoy que tu utilises en cachette. Comme il est gros pour un cure-dent j’imagine sans trop de peine l’usage que tu en fais. Laisse-toi faire, j’ai envie de m’amuser.

Laurie lui enfila une robe noire et lui retira son short avant de le pousser sur le lit pour aller chercher le sextoy et du lubrifiant. Louis était à la fois très gêné mais aussi très heureux de découvrir que sa femme pouvait devenir Maîtresse.

 


- A quatre pattes fesses en l’air petite femelle, j’ai envie de toi, lui ordonna Laurie très amusée par cette situation causasse.

Le pauvre Louis grogna, quémanda le retrait de la cage de chasteté, chose qui lui fut refusée d’un « non » catégorique. Sa petite rondelle étoilée n’en menait pas large quand elle entreprit de la visiter. Elle finit par céder sous la poussée généreuse, elle profita de cette ouverture pour enfoncer le sextoy profondément qui glissa tel un missile qui fend l’air.

- Et bien, tu es très ouvert toi ! S’étonna Laurie. Tu dois jouer souvent en cachette petit coquin. Ce n’est pas bien de cacher des choses à sa Maîtresse, tu seras puni pour ça.

Sentant qu’il se décontractait de plus en plus, submergée par une envie phallique, elle saisit son gode ceinture caché dans son tiroir à chaussure et l’enfila sous les yeux ébahis de son mari. Bien décidée à pousser le vice jusqu’au bout, elle lui enfila la perruque chipée à une copine pour que la féminisation soit totale. Chaque fois que Louis voulait dire quelque chose elle le coupait dans ses élans en lui rappelant qu’il n’avait pas à faire des choses dans son dos.

Si les voies du seigneur sont impénétrables, la voix de sa Maîtresse lui permit de sentir certaines choses et sa voie anale de comprendre qu’elle s’éclatait en le sodomisant. Au début, elle manquait d’agilité pour la chose, mais cela ne dura point. Louis se fit « ramoner » par une furie décidée à en découdre avec son petit cul, si bien qu’il finit par éjaculer dans sa cage pour cause de prostate bousculée.

 

Il écopa d’une semaine de cage de chasteté supplémentaire pour avoir fauté puis dut à son tour donner du plaisir à sa femme avec sa langue et le sextoy nettoyé. La semaine qui suivit, Louis fut obligé de porter des sous-vêtements féminins pour aller travailler en guise de punition pour avoir chipé les vêtements de sa Maîtresse.

Ecrivaillon

 

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Il y a ici plus de 900 vidéos autour de la chasteté (SANS pub)

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Faire des rencontres BDSM

Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Lundi 30 juin 1 30 /06 /Juin 18:15

SM ultra hard à la grecque


BDSM_hard_fouet_01.jpg



Laurie avait connu le BDSM avec un ami rencontré sur Fessestivites. A cause de ses sentiments affectifs très forts, il ne parvenait pas à la dominer réellement. C'est d'ailleurs souvent le cas dans des couples adeptes du BDSM. Oh ce n'est pas qu'il n'était pas attentionné et un brin pervers, non, c'est juste qu'il ne voulait pas lui faire mal ou aller trop loin dans l'humiliation. Leur vie de couple devenant « vanille » elle commença à s'ennuyer, faire des fellations sur commande ne l'amusait plus, il lui fallait quelque chose de plus fort, de plus hard que Gérard ne pouvait lui donner. Elle l'avait quitté trois mois auparavant.


Ce que Laurie voulait c'était vivre des séances comme sur les vidéos avec du fouet, du pony-girl, de vraies fessées, pas de petites claques sur les fesses avant de faire l'amour. Non ce qu'elle voulait c'était du hard, jamais Gérard ne lui avait donné ce qu'elle désirait vivre. Elle avait donc refait son annonce pour trouver Le Maître capable de l'amener vers des sommets jamais atteints. Sauf que des Maîtres il y en avait des tonnes, mais les bons étaient tous pris ou trop loin de chez elle. Et puis il y avait ceux qui se disaient Maître mais qui en fin de compte n'avaient qu'une envie : la sauter.


Elle sympathisa sur Fessestivites avec un couple adorable, ils correspondaient par email ou en chat privé. Un jour, ils partagèrent avec elle une soirée en cam privée sur le chat. Ce qu'elle vit la mit tellement en émoi que ses mains se dirigèrent naturellement vers son entrejambe. Il y avait depuis une tache sur le fauteuil de son bureau, c'est dire.....


Ce couple lui proposa de les rejoindre en Grèce où ils passaient leurs vacances chaque année dans une propriété de rêve comportant sur son terrain les ruines d'un ancien temple et une plage privée. Laurie accepta avec plaisir puis cassa sa tirelire pour s'offrir ce voyage au pays des merveilles coquines.


Lors de son arrivée, la jalousie de Lise était palpable. L'atmosphère était pesante et malgré ses efforts pour rester distante de Paul, le mari pour qu'il n'y ait pas de tension à cause d'elle, rien n'y fit.


Le soir même, Paul entrava Lise bras et jambes en croix sur la plage avec des pieux plantés dans le sable pour lui donner le fouet en l'obligeant à lécher sa minette. Assise sur une serviette elle lui offrit son intimité à lécher comme le souhaitait Paul. Aux premières loges pour cette séance de fouet et avec une langue aussi habile que celle de Lise, elle s'envola au paradis des plaisirs. La belle soumise fouettée atteignit le subespace et fut laminée par des jouissances paroxystiques très émouvantes pour les yeux de Laurie.


Le lendemain, ils discutèrent de cette séance, c'est lors de cette discussion que Laurie appris ce qu'est le subespace. Elle avait bien entendu parler de cette histoire de plaisir si intense dans la douleur que les personnes ne désirent pas que cela s'arrête. Elle n'y croyait pas trop mais là, elle venait de voir que ce n'était pas une histoire, c'était bien réel. De fait, elle leur demanda s'ils lui feraient découvrir le fouet et le subespace. A cause de la jalousie de Lise, l'ambiance devint rapidement tendue. Paul trouva la solution pour concilier les femmes : c'est Lise qui fouetterait Laurie demain dans les ruines, lui ne ferait que la vidéo de cette découverte.


....................................


Lise étant rassurée, les tensions s'apaisèrent, elles déjeunèrent toutes les deux tranquillement sur la terrasse en regardant la mer des sensations éprouvées par Lise la veille.


- Tu sais, j'ai confiance en vous, j'aimerais vraiment vivre une réelle séance de fouet et que tu me pousses jusqu'aux jouissances extrême que tu as vécues hier soir.


- De toi à moi, c'est quand même assez hard et pour arriver à jouir sous le fouet il faut quand même forcer un peu. Tu risques d'avoir de sacrées marques sur le corps pendant quelques jours. Lui répond Lise.


- Je m'en moque des marques, elles partiront et puis qui les verra ? Tu sais j'aimerai vraiment le vivre au moins une fois et si je crie stop, ne t'arrête pas, fait-moi vivre ça au moins une fois dans ma vie.


- Sache que je vais te faire mal pour de vrai surtout au début, tu ne m'en voudras pas ?


- Je t'en donne ma parole et je te l'écris si tu veux. Comment puis-je t'en vouloir si tu me donnes ce que je désire ?


- Ok comme tu voudras mais tu le répèteras à Paul quand il se lèvera car je ne voudrais pas qu'il pense que je me venge, l'addition serait trop lourde car ses punitions sont terribles.


DEUX HEURES PLUS TARD DANS LES RUINES


Laurie confirma une seconde fois à ses amis qu'elle désirait vraiment aller jusqu'au bout pendant qu'ils l'attachait debout bras et jambes écartées entre deux colonnes de pierre. Elle insista même en disant que même si elle les suppliait, ils devraient aller jusqu'au bout. En leur tenant ce discours, Laurie lutta aussi contre sa peur, elle en avait envie mais une inquiétude sourde montait petit à petit en elle.


Lorsqu'elle fut totalement entravée, pendant qu'ils installaient le caméscope sur pied, elle se traitait de folle, elle était autant inquiète qu'excitée. Lise s'approcha d'elle avec un long fouet noir à la main. Elle lui caressa le visage d'une main douce avant de l'embrasser tendrement sur la bouche.


Lise prit le recul nécessaire, lui adressa un baiser du bout des lèvres puis envoya le fouet qui s'enroula autour de la taille de Laurie avant de finir sa course sur ses fesses. Laurie bondit de douleur. « Oh putain » pensa t-elle en constatant que cela n'a aucun rapport avec les jouets BDSM de son ex. Elle se tordit de douleur sous le fouet qui s'enroulait régulièrement autour de son corps. Si quand il passait sur ses seins cela n'est pas réellement douloureux, la fin de sa course dans son dos ou sur ses fesses, c'était vraiment hard. Elle criait et se débattait mais ne demandait pas grâce, elle voulait vraiment vivre la séance jusqu'au bout. Cela en devint un défi pour elle que de connaître cette jouissance quel qu'en soit le prix à payer. Par trois fois, le fouet fini sa course sur les cuisses, et si cela était très douloureux sur le corps, la douleur sur cette zone extrêmement sensible lui paraissait insurmontable.


Paradoxalement, lorsque Lise fit une pause, elle regretta presque que cela soit terminé.


Mais ce n'était pas vraiment une pause. En fait, il vinrent la tourner pour qu'elle vive la suite qui comme l'indiqua Lise « va devenir intéressante ». Elle l'embrassa à nouveau sur la bouche et lui murmura à l'oreille : « Accroche-toi ma belle, c'est maintenant que tout va se jouer ».


Entravée bras et jambe en croix, face à la mer et à Lise, Laurie se traita mentalement de folle. Le premier coup enroulé finit sa course sur son sein gauche. Sous la douleur saisissante, elle se vrilla dans ses entraves avant de pousser un hurlement de bête que l'on égorge. Sans lui laisser le temps de se remettre, Lise continua de la fouetter sans relâche en laissant maintenant des stries rouges sur sa poitrine et son ventre plat. Au bout d'un moment, elle eut l'impression de perdre la tête, elle souffrait oui, mais cela devenait bon. Sous les coups suivants, elle se mit à convulser, son corps agité de tremblements insurmontables. Son sexe se mit à couler mais elle ne put ni le voir ni le sentir, elle était à présent dans une autre dimension.


Paul s'approcha et fit signe à Lise de lever le pied, Laurie était partie, ce n'était plus la peine d'appuyer les coups. Quand elle commença à s'effondrer, à ne tenir debout que par ses entraves, Paul intervint pour la soutenir en ordonnant à Lise de la délivrer. Il la prit sur son épaule pour aller l'étendre sur une serviette de plage ou il l'allongea avec douceur.


Tout en reprenant son souffle, elle les remercia, puis se mit à pleureur. Ses nerfs lâchaient, son corps encore agité de tremblements. Quelques minutes plus tard, Lise se glissa entre ses cuisses pour venir titiller de sa langue la perle clitoridienne cachée au cœur de son écrin. Lise poussa presque aussitôt un hurlement et serra les cuisses en repartant une nouvelle fois au paradis des plaisirs. Cela devint trop fort, trop puissant, elle repoussa son amie en criant « Stop, stop, je n'en peux plus, s'il te plaittttttttttttttttttttt ! »


EPILOGUE


Une heure plus tard, quand elle fit l'état des lieux dans la salle de bain, elle se traita de givrée, de malade mentale en voyant les marques sur son corps. Laurie ne regretta rien bien au contraire........


Ecrivaillon


 La vidéo est ici


 http://www.fessestivites.com/f/videos/210286-SM-ultra-HARD-a-la-grecque


Les photos sont ici


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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : plaisirs SM
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Lundi 30 juin 1 30 /06 /Juin 18:13
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Jeudi 26 juin 4 26 /06 /Juin 12:45

Antoine et Pascale (Homme fessé)
Auteur : un membre du réseau Fessestivites

Il lui dit que cette fois c'était trop. Elle y était allée trop fort. La correction avait largement dépassé ses limites. Il garderait des marques sur les fesses et les cuisses pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Elle le regardait de haut, son ceinturon toujours à la main, une expression de déception mêlée de colère sur le visage. L'anxiété l'envahit aussitôt. Il leva la main par réflexe pour intercepter la gifle qui allait, il en était sûr, tomber. Mais elle se détourna simplement de lui.

 Madame, je...
 Tais-toi. Je me dévoue pour toi, pour t'apporter cette éducation que tu recherches, et lorsque je m'exécute, tu trouves le moyen de te plaindre. On en a fini tous les deux. Rentre chez toi, tu n'auras plus de nouvelles de moi.
 Non ! S'il vous plaît, je ferai des efforts, je vous le jure ! C'est simplement, cette fessée, elle était vraiment trop forte, et je...
 Je t'ai dit de te taire !

Il s'exécuta. Son regard désemparé cherchait celui de sa fesseuse, Pascale, qui semblait réfléchir. Paniqué, il se demanda si cette fois-ci, il l'avait définitivement perdue. Elle se détournait de lui, parfois. Elle connaissait son angoisse de l'abandon. Elle l'avait utilisée pour le punir lorsqu'il devenait nécessaire pour lui de changer d'attitude. Elle en avait usé et abusé, au point de le rendre fou, dépendant, acceptant tout ce qu'elle lui imposait pour ne pas être rejeté. Un jour, Pascale l'avait utilisée à bon escient. Mais pour comprendre cela, il fallait remonter quelques mois plus tôt.

Antoine était un beau jeune homme d'une vingtaine d'années. Etudiant sans le sou, collectionnant les petits boulots pour joindre les deux bouts et perdant peu à peu pied dans ses études, il avait peu à peu plongé dans les méandres d'une vie de plus en plus glauque, jusqu'au soir où il avait rencontré Paul, dans un bar de la rue des Martyrs. Paul avait la quarantaine, la peau abîmée, une barbe de trois jours et des yeux verts laiteux. Paul l'avait dragué. Antoine n'était jamais sorti avec un garçon. En réalité, il n'avait connu qu'une fille, et cela n'avait pas duré bien longtemps. Devant son refus, Paul lui avait proposé trois billets de 50€ en échange d'un peu de bon temps. Le jeune homme n'était pas en position de refuser. Son loyer impayé depuis plusieurs semaines, son propriétaire menaçait de le mettre à la rue. Il avait suivi Paul jusqu'à une ruelle sombre, et empoché les billets. Malgré le dégoût premier, Antoine était tombé bien trop bas pour faire marche arrière. Il retourna donc dans la rue des Martyrs, le jour suivant. A la fin de la semaine, son retard de loyer était payé.

Depuis ce soir-là, il échangeait le soir dans les bars ses « services » contre de l'argent. Profitant de son physique avantageux, son corps d'adolescent était passé de mains en mains, de chambre en chambre. Il ne pouvait compter le nombre de clients qui avaient joué avec ses cheveux bouclés qui lui donnaient l'air d'un chérubin tombé du paradis. Il ne savait combien de doigts avides avaient exploré le moindre recoin de son intimité, s'infiltrant entre ses fesses blanches et rebondies. Mais il n'y en avait jamais assez Alors qu'il en était réduit à récupérer des morceaux de sandwiches entamés dans les poubelles de la gare du Nord, une dame d'une cinquantaine d'années l'avait repéré. Elle s'appelait Pascale et elle était enseignante. Habillée d'une façon très sobre, un tailleur beige et des escarpins, sa douceur mêlée d'autorité, son inquiétude pour lui l'avaient bouleversé. Ses cheveux châtains étaient retenus en un chignon strict, et de petites lunettes rondes cachaient des yeux noisette qui inspiraient la confiance. Elle était assez grande, et très mince, sa poitrine compressée dans son tailleur. Elle l'avait invité au restaurant, et malgré ses réticences, la faim avait été plus forte, et il l'avait suivie. Alors qu'il dévorait une pizza royale, elle l'avait observé, sans rien dire. Au moment de payer, il lui avait proposé des relations sexuelles pour la « rembourser ». Son regard choqué avait réveillé en lui un sentiment de culpabilité refoulé.

 C'est comme ça que tu vis ? Lui demanda-t-elle d'une voix faible.
 Oui, Madame, avait-il répondu.
 Où sont tes parents ? Ne peuvent-ils pas t'aider, au lieu de te laisser à la rue ?

Antoine baissa les yeux. Ses parents, il avait coupé les ponts avec eux depuis bien longtemps. Comprenant qu'elle mettait les pieds en terrain miné, elle avait continué sans attendre sa réponse.

 Je veux bien croire que tu rencontres des difficultés, mais ne pourrais-tu pas faire cent fois mieux ? Tu m'as l'air d'un jeune homme intelligent. Tu pourrais faire des études, et te trouver un bon travail.

Antoine lui expliqua qu'il était inscrit en deuxième année de licence d'informatique. Il avait caressé l'idée de passer un concours professionnel suite à cela, mais le manque d'argent avait eu raison de ses ambitions.

 Nous sommes en octobre. Il n'est pas trop tard.
 Pas trop tard pour quoi ? Je dois tout de même vivre, je ne peux pas me permettre de seulement étudier, protesta Antoine.
 Je vais te faire une proposition, Antoine. J'accepte de te prendre sous mon aile, de veiller à tes besoins. En contrepartie, tu vas t'engager à te remettre à tes études et à réussir ton concours. Je t'aiderai à rattraper ton retard.

Le jeune homme, toujours dans sa logique de prostitution, la regarda d'un air suspicieux, croisant les bras. Surprenant ce geste défensif, Pascale lui sourit.

 Je n'attends rien de toi. Simplement, sache que je suis une enseignante sévère.
 Sévère de quelle manière ? Demanda-t-il.
 As-tu déjà reçu la fessée, Antoine ?

Pascale était une adepte de la fessée comme outil éducatif. Si elle ne pouvait pas l'utiliser sur ses élèves, elle l'avait souvent regretté et avait espéré pouvoir un jour la pratiquer sur un véritable étudiant qui aurait besoin d'une main ferme pour s'en sortir. Et Antoine correspondait selon elle tout à fait à ce critère.
Le jeune homme était resté bouche bée, n'osant répondre à la question. Il se demandait s'il avait en face de lui une perverse, une sadique qui lui proposait de lui faire subir des sévices en échange de son obéissance. Il avait déjà entendu cela, de la part de ses « clients », mais n'avait jamais accepté pour autant.

 Ne t'en fais pas. Je te parle uniquement de fessée dans le sens « éducation ». Je n'attends rien d'autre de toi.

Antoine ayant toujours l'air confus, elle fronça un peu les sourcils.

 Réponds à ma question, alors. As-tu déjà reçu la fessée ?
 Non, Madame.
 Eh bien, débrouille-toi pour m'obéir et ne jamais avoir à la recevoir.

Sur ces paroles, ils échangèrent leurs numéros de téléphone en se promettant de se revoir bientôt. Pascale lui signa un chèque au nom de son propriétaire avec ordre d'aller le donner le lendemain. Elle lui donna ensuite suffisamment de liquide pour acheter de la nourriture pour la semaine, en lui faisant promettre d'être capable de le faire durer jusqu'au dimanche, jour où elle lui en donnerait à nouveau. Si elle apprenait qu'il avait utilisé l'argent pour autre chose, elle le punirait sévèrement.

Il hocha la tête, pensant toutefois qu'elle ne pourrait pas le savoir s'il désobéissait. Sa soirée avait été la plus « normale » qu'il ait vécue depuis bien longtemps. Il n'avait pas eu à faire quoi que ce soit de dégradant, il avait bien mangé, on lui avait parlé comme à un être humain. Certes, certaines propositions le laissaient perplexe, mais il était décidé à profiter un maximum de Pascale et de ce qu'elle pouvait lui apporter.

Cependant, dès la première semaine, rien n'allait pour Antoine. Pascale lui annonça qu'il allait devoir adopter dès le lendemain des horaires un peu plus conventionnelles. Plus question pour lui d'aller traîner rue des Martyrs la nuit. Elle lui téléphonerait à 7h le lendemain et il avait intérêt à être prêt à partir à l'université. Il devait être couché à 23h. Il rentra chez lui et se mit au lit. Cependant, il fut incapable de s'endormir avant cinq heures du matin. Lorsque son réveil sonna, il l'éteint et se retourna machinalement, se rendormant presque aussitôt.

La vibration de son téléphone le réveilla. Incapable de savoir depuis combien de temps il sonnait, il le saisit et vit quatre appels manqués de Pascale. Il était 7:18. Il jura. Il avait presque oublié cette rencontre qui dans sa tête, tenait plus du rêve que de la réalité. Il rappela le numéro.

 Bonjour Madame, balbutia-t-il d'une voix pâteuse.
 Bonjour Antoine. Ne me dis pas que tu es toujours au lit. Ce que je t'avais demandé était pourtant simple.

La voix était cassante. Le jeune homme essaya de se justifier, mais ses prétextes sonnaient faux. Pascale lui ordonna de passer chez elle à 14h. Elle lui donna l'adresse, quelque part dans le 8ème. Il lui assura qu'il y serait.

La matinée passa à une vitesse surréaliste. Il se traita de fou, se demandant bien pourquoi il irait chez une folle qui l'avait menacé de le fesser. Mais le souvenir de la pizza de la veille était encore présent. La possibilité de pouvoir vivre sans avoir à se prostituer occupait ses pensées. Stressé, il utilisa une partie de l'argent qu'elle lui avait confiée pour s'acheter un paquet de tabac et fuma quelques cigarettes. A 13h, il prit le métro en direction de chez sa bienfaitrice. A 13h40, il était devant la porte d'un immeuble. Il fuma encore quelques cigarettes pour faire passer le temps, puis il sonna à la porte. Pascale descendit lui ouvrir.

Elle le dévisagea, ainsi que les mégots écrasés à ses pieds.

 Comment t'es-tu procuré ce paquet de tabac, Antoine ?
 Je... Je l'ai acheté Madame.
 Et avec quel argent ?

Antoine ne répondit pas, se sentant tout à coup très bête. Pascale le saisit par le bras et l'entraîna à sa suite dans l'escalier en marbre.
Ils entrèrent dans un appartement haussmannien. Peu habitué à un tel luxe, Antoine n'en croyait pas ses yeux. Mais il n'eut pas tôt fait de s'extasier que Pascale lui ordonna d'enlever ses chaussures.

 Je n'ai pas l'intention de me prendre des coups de pieds dans la figure. Obéis.

Comme dans un rêve, Antoine se vit obéir. Pascale le saisit alors par l'avant-bras, et le conduisit jusqu'au rebord d'un canapé, le penchant en travers de ses genoux. Le jeune homme, choqué, se laissa faire, incapable de faire le moindre mouvement.
Les premières claques tombèrent sur son jean, et il se dit que ce n'était finalement pas grand chose comparé à ce qu'il avait vécu avec ses clients de la rue des Martyrs. Les claques s'enchaînèrent et il se crispa un peu quand la chaleur commença à envahir son postérieur. A moment donné, Pascale tira sur la taille de son jean, et il la laissa procéder par habitude. Sur son boxer, les claques se firent tout de suite plus mordantes. Il serra les poings, fermant les yeux. Pascale appuya un peu plus les gifles, et il se sentit étrangement contrit, comme un enfant pris en faute.

 Pourquoi suis-je en train de te donner une fessée, Antoine ?

Surpris par la question, il rouvrit les yeux. Une claque tomba sur sa cuisse et il gémit.

 Réponds à ma question.
 Parce que... Parce que je ne me suis pas levé ce matin, Madame.
 Et ? Continua-t-elle en claquant l'autre cuisse.
 Parce que j'ai acheté du tabac avec l'argent que vous m'aviez donnée !

A partir de là, le boxer d'Antoine alla rejoindre son jean, autour de ses chevilles. Il serra les fesses, mais la main dure et ferme de Pascale s'abattit encore quelques minutes. Lorsqu'elle s'arrêta enfin, il commença à se relaxer, mais soudain, un coup sourd s'abattit sur sa fesse droite, le faisant sursauter.

 Quelques coups de brosse devraient te permettre de te souvenir que l'argent que je te donne ne doit servir qu'à t'acheter de la nourriture ! Gronda-t-elle. Pas question que je finance un drogué !

Les coups de brosse étaient très douloureux, la honte et la culpabilité envahissaient Antoine, qui se mit bientôt à sangloter. Au bout d'une vingtaine de coups, Pascale interrompit son traitement et passa une main réconfortante dans le dos d'Antoine, ce qui eut pour effet de déclencher de nouvelles larmes, car il avait très peu connu d'affection par le passé. Elle continua ainsi jusqu'à ce qu'il se calme, puis lui ordonna de se rhabiller. Les fesses rouges et bien chaudes, elle lui demanda alors de lui parler de ses études, et de lui expliquer le concours qu'il préparait. Ils passèrent l'après-midi à déterminer un programme de révision, puis elle l'invita à rester pour le dîner, avant de le chasser à 21:30 afin qu'il fut au lit à l'heure prévue.

Sur le chemin du retour, Antoine se posa beaucoup de questions sur cette expérience. Il avait eu mal, il avait eu honte, alors pourquoi se sentait-il si bien, si soulagé, réconforté ? Il se rendit compte que jamais personne n'avait ainsi veillé sur lui, ni ne lui avait donné de limites. Une sorte de plaisir malsain l'envahissait, et sa main se dirigea naturellement vers son entrejambe, avant qu'il ne se fustige en réalisant ce qu'il faisait. Honteux, il comprit qu'il avait ressenti de l'excitation à être ainsi cadré puis réconforté. Peut être que Pascale allait être autre chose pour lui que cette dame qui lui remplissait son frigo et payait son loyer.

Après le premier jour, Antoine se leva toujours à l'heure le matin, attendant même avec impatience la discussion téléphonique journalière avec Pascale. Il retourna sur les bancs de la fac, et commença à travailler, certes, avec plus de difficultés que ses camarades, mais avec toute la volonté dont il était capable.

Un vendredi soir, cependant, il se rendit compte qu'il était déjà à court d'argent de poche de la semaine. Se refusant strictement à aller en demander davantage à Pascale, il ouvrit ses placards, qu'il trouva désespérément vides. L'habitude de manger à sa faim était trop ancrée, mais cette semaine-là, il avait mal géré son budget. Après un long moment d'hésitation, il prit son blouson en cuir et ses pieds retrouvèrent naturellement la direction de la rue des Martyrs. Là, il croisa un ancien client qui le reconnut aussitôt. Un peu anxieux, il le suivit néanmoins dans une ruelle. Il repartit avec assez d'argent pour acheter à manger et du tabac.

Malheureusement pour lui, lorsqu'il arriva devant son immeuble, il découvrit Pascale qui l'attendait.

 Tu ne répondais pas sur ton téléphone, je suis donc venue voir si tout allait bien, dit-elle pour tout accueil.
 Je vous remercie pour votre inquiétude, mais tout va bien, répondit le jeune homme, un peu trop anxieux.
 Tu es sûr ? Tu as l'air étrange.
 Je vais bien, je vous assure.

Il tenta de la doubler pour monter chez lui, mais elle l'arrêta et renifla sa veste.

 Tu as fumé.

Il n'y avait rien à répondre. Elle avait déjà tout compris. Elle le précéda chez lui, et il n'eut pas tôt fait de poser son sac de course qu'elle fondait sur lui. Elle lui donna une raclée trois fois plus lourde que la première, sortant même la brosse à cheveux de son sac à main et lui en donnant jusqu'à tant que ses fesses soient bleues. Antoine pleura, se retenant de hurler seulement pour ses voisins, mais se doutant qu'aucun d'eux ne pouvait ignorer ce qu'il se passait. Comble de la honte, elle le fit se mettre au coin pendant qu'elle lui faisait la morale.

 Je me démène pour te faire changer de vie, et tu craques pour quoi ? Un paquet de cigarettes ? Tu n'as pas honte ?
 Mais Madame, je n'avais plus d'argent pour acheter à manger ! Protesta Antoine, éperdu.
 Tu... Pourquoi n'es-tu pas venu me trouver pour me le dire ? Et d'abord, comment se fait-il que tu n'avais plus d'argent ? Tu avais acheté du tabac ?
 Non Madame, je vous le jure ! J'ai mal géré mais je n'avais pas acheté de tabac avec votre argent, juste avec celui que j'ai gagné ce soir !

Le regard qu'elle lui adressa lui transperça le cœur, tellement elle avait l'air dégoûtée par ses pratiques, par le fait qu'il y soit retourné. Antoine se mit à pleurer.

 Puisque tu préfères tes amis de la rue des Martyrs à moi, je pense que nous n'avons plus rien à nous dire, Antoine.

Elle fit mine de partir. Le jeune homme, bouleversé, pleura la nuit entière. Il tenta de l'appeler à plusieurs reprises, mais elle ne répondit pas. Il lui laissa des messages, promettant de ne plus y retourner, d'être sage, d'obéir. La nuit suivante, il n'avait plus de larmes à verser, mais était complètement déprimé. Abattu, il ne put sortir de chez lui pendant deux jours. Le troisième, son téléphone sonna. N'en croyant pas ses yeux, il répondit.

 As-tu compris la leçon, Antoine ?
 Oui, oui Madame, j'ai compris ! Jura-t-il, sentant l'espoir revenir.
 Je veux bien te reprendre sous mon aile, mais à une condition. Dorénavant, tu ne tricheras plus. Tu m'obéiras et tu ne transigeras plus sur le principe même de notre relation.
 C'est promis, Madame ! Je vous le promets.

Il lui confia ensuite à quel point cette expérience avait été douloureuse pour lui. Elle l'écouta, conservant un ton froid et sec, puis elle lui donna une punition, des lignes à copier. Il s'exécuta, presque reconnaissant.

Les semaines qui suivirent furent une longue remontée à la surface pour Antoine. Il cessa désormais de fréquenter la rue des Martyrs, afin d'être sûr de ne pas être tenté. Il s'astreint à une discipline de fer, et progressa rapidement dans ses études. Cependant, les punitions tombaient encore, au moindre de ses manquements, et se faisaient de plus en plus sévères. Antoine les redoutait. Il se demandait jusqu'où elle irait. Un jour, elle utilisa une sorte de longue tige avec une poignée recourbée, qu'elle abattit sur ses fesses une dizaine de fois, lui laissant à chaque fois des marques profondes. Il ne put se retenir de hurler. Une autre fois, elle sortit d'un de ses tiroirs une lourde ceinture de cuir qui s'avéra être tout aussi douloureuse. Cependant, malgré ces traitements, il n'arrivait pas à se résoudre à cesser cette relation. La première feinte d'abandon l'avait laissé profondément dépendant de sa pro-fesseuse. Après tout, elle le nourrissait, elle le réconfortait, l'écoutait, elle l'aidait dans ses cours, elle était ce qui se rapprochait le plus d'un parent pour lui. S'il la perdait... Il retomberait dans les affres de sa vie passée, et bien pire.

Un jeudi soir, il avait rendez-vous avez elle. Anxieux, il apportait avec lui son dernier devoir surveillé. La note n'était pas bonne. Perturbé par la dernière punition qu'elle lui avait donnée, où elle l'avait battu jusqu'à ce qu'il ne puisse plus se relever, puis l'avait jeté dehors, où il avait passé plus d'une heure à sangloter sur le paillasson sans pouvoir faire le moindre geste, il n'avait pas pu se concentrer en cours, et ses résultats s'en étaient ressentis. Il ne comprenait pas. Il lui avait simplement dit qu'il faisait de son mieux et qu'elle ne pouvait pas s'attendre à ce qu'il soit le meilleur, il y avait des élèves bien plus intelligents dans sa classe. Cette déclaration l'avait mise dans une fureur noire. En réalité, réalisait Antoine, elle le terrifiait.

Tout en se rendant sur place, il se demandait si ce qu'elle lui faisait subir était bien du domaine de l'éducation. A grands garçons, grandes punitions, lui répétait-elle, mais il s'étonnait tous les jours un peu plus de la cruauté qui semblait aller croissant en elle. Si au départ, elle semblait concernée par sa douleur, aujourd'hui, son visage était de marbre alors même qu'il hurlait de douleur. Le plaisir coupable qu'il ressentait lors des premières fessées avait presque disparu. A présent, les claques ne suscitaient en lui que douleur et effroi. Ces pensées tournaient en boucle dans sa tête alors qu'il attendait l'heure du rendez-vous, en bas de l'immeuble, à tel point qu'il dépassa l'heure prévue. Pascale finit par descendre le chercher. Comble de l'humiliation, elle tenait la lourde brosse en bois à la main. Elle tendit la main pour le saisir par l'oreille, mais il eut un mouvement de recul. Sa réaction n'étonna pas que Pascale. Le jeune homme se sentait détaché, comme si la situation n'avait rien de réel. Quelque part au fond de lui, il sut que c'était terminé.

 Tu as vu l'heure ? Tu crois que j'ai toute la nuit à t'accorder ? Si c'est le cas, tu te mets le doigt dans l'oeil, mon garçon.
 C'est fini, répondit-il simplement.
 Qu'est-ce que tu racontes ? Qu'est-ce qui est fini ?
 Vous et moi. Notre arrangement.

Pascale le dévisagea, puis lui agrippa le bras, tentant de l'entraîner à sa suite. Mais contrairement à toutes les fois où il s'était laissé battre sans réagir, il résista, ne bougeant pas d'un pouce.

 Qu'y a-t-il, mon garçon ? Tu as peur que je te punisse pour ta mauvaise note ? Tu sais que quand on fait des bêtises, il faut en assumer les conséquences !
 Non. Je n'ai pas peur. Je n'ai pas peur de vous, prétendit-il.

Sur ces paroles, il se dégagea de sa prise et tourna les talons.

 Tu ne peux pas faire ça ! Tu ne crois pas que je t'ai donné tout ça gratuitement ? Tu m'es redevable !
 Je ne vous dois rien ! Répondit-il sans se retourner.
 Rends-moi mon argent ! Hurla-t-elle en retour.
 C'est une maigre compensation à ce que vous m'avez fait subir.

Sa voix était tellement pleine de haine qu'elle en tremblait, mais il était allé trop loin pour faire demi-tour. Pascale semblait sous le choc.

 Tout ce que j'ai fait, je l'ai fait pour toi... souffla-t-elle.
 Vous l'avez fait pour satisfaire votre sadisme. Mes clients étaient plus tendres que vous.
 Tu reviendras.

Il ne dit rien, et se retourna. Il plongea son regard dans les yeux noisette durs qui l'observaient. Elle semblait à la fois désespérée et sûre d'elle. Troublé, il lui tourna le dos et disparut dans la nuit.

A peine arrivé chez lui, il commença à trembler de tous ses membres. Monter les marches jusqu'à sa chambre de bonne fut un calvaire. Il faillit tomber à plusieurs reprises. Ses mains agitées mirent de longues minutes à guider la clef jusqu'à la serrure. Quand enfin il parvint à entrer, il s'effondra de tout son long sur le sol. Comment avait-il pu ? Il était seul, à présent. Il l'avait perdue. Il l'avait quittée. Abandonnée. Se traitant de tous les noms, il se tourna sur le dos. La douleur de son postérieur, consécutive à la correction qui avait eu lieu quelques jours plus tôt, se rappela à lui. Les larmes jaillirent et il pleura, s'étouffant, toussant, pleurant encore. Mais personne ne vint le réconforter.

Il ne put aller en cours le lendemain. Prétendant une maladie, il resta au lit, serrant compulsivement la couette entre ses doigts glacés. Parfois, il se saisissait de son téléphone d'une main tremblante, mais se retenait de composer le numéro. Elle le maltraitait. Oui, mais il y était habitué. Oui, mais il l'aimait.

Le weekend s'écoula comme dans un cauchemar. Il ne se nourrissait plus, dormait beaucoup, pleurait. Il redoutait le moment où il devrait retourner en cours. Et si elle était là ? Et si elle l'attendait ? Il l'espérait tout au fond de lui. Avait-il exagéré la situation ? Le stress de son échec lui avait sûrement embrumé l'esprit. Oui, mais il y avait les marques, sur son corps. Etaient-elles à la hauteur de sa faute ? Qui était-il pour en juger ?

A la fac, ses professeurs s'inquiétèrent de son état et lui recommandèrent d'aller consulter un médecin au plus vite. Il hocha la tête distraitement. Ne put comprendre le moindre mot du cours d'informatique du matin. Son professeur finit par le renvoyer chez lui. Comme dans un rêve, il marcha au hasard, et ses pas traîtres l'emmenèrent dans le 8ème. Elle était à la fenêtre lorsqu'il arriva. Il était trop tard pour faire demi-tour. Alors, il grimpa les marches de l'immeuble, et trouva porte ouverte. Il pénétra dans l'appartement. Elle était là.

Il se laissa faire alors qu'elle le prenait dans ses bras, dans une étreinte réconfortante. Il se laissa aller, sanglotant comme un enfant, s'excusant de tout et n'importe quoi. Ils restèrent ainsi pendant plus d'une heure, elle chantonnant une berceuse, lui s'accrochant à son tailleur comme à une bouée de sauvetage. Il ne se tendit même pas lorsque la main de Pascale glissa vers le bouton de son jean. Il la laissa descendre l'habit jusqu'à ses cheville. Il se retourna de lui-même sur le canapé, offrant ses fesses.

Il était prêt.


 

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Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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