Lundi 13 octobre 1 13 /10 /Oct 14:10

Rencontres BDSM



Le jour où j’ai cliqué sur un lien intitulé Rencontres BDSM en bas d’une histoire érotique un peu corsée que je lisais sur un blog, ce n’était que pour vibrer un peu intérieurement en allant voir ce qu’il se passe réellement dans le monde des rencontres BDSM. En arrivant sur Fessestivites, je ne pouvais pas savoir que ma vie allait changer. Les discussions dans le forum BDSM m’ont permis de comprendre que ce n’est pas de la violence, bien au contraire, les posts portaient sur les limites, le don se soi et ce qu’une soumise peut faire par amour du Maître. Les témoignages m’ont alors motivé à sauter le pas, oser rencontrer un Maître pour voir ce qu’il se passe réellement. Au pire, il me baiserait après m’avoir attachée, j’en rêve parfois en me touchant timidement en secret sous ma couette.

Après quelques échanges via le chat, Maître Master ayant su me rassurer de par le respect et la politesse se dégageant de ses écrits, j’ai donc osé lui téléphoner. Déjà parler de ces choses si intimes à quelqu’un fut une étape difficile à franchir mais sa voix chaude et douce tout comme son savoir-faire ont eu raison de ma pudeur. Celle-ci n’allait pas tarder s’envoler.

Lors de la première rencontre à son domicile, c’est dans la pénombre de son jardin faiblement éclairé que je me suis laissée attacher les poignets sous le chant des grillons en me traitant de folle. Il sentait que j’étais tendue et répétait plusieurs fois qu’il pouvait tout arrêter à la moindre demande. Lorsqu’il s’est levé et a tiré sur la corde tenant mes poignets, ma tête bourdonnait, une partie de mon cerveau me criait de fuir, l’autre de m’abandonner et que je ne risquais rien. Il me souriait en tirant sur la corde jetée par dessus une grosse branche de son arbre, son sourire et sa patience me rassuraient pendant que mes bras montaient au-dessus de ma tête. Son calme apaisait mes craintes même si j’étais en train de m’offrir à un inconnu et sans possibilité de fuite hormis sa parole.

Il s’est placé derrière-moi pour le premier réel contact physique, mes yeux se sont fermés comme s’ils ne voulaient voir la suite. Il ne s’est pas jeté sur mon intimité, non il a fait pire. Ses mains ont commencé à glisser doucement sur la peau frémissante de mes avant bras pour y glisser lentement en descendant lentement sur mes épaules, j’avais des frissons malgré la chaleur de l’été. Avec le vice de sa douceur, il a ensuite laissé courir ses doigts sur ma poitrine encore vêtue sans attraper ni chercher à me tripoter ou pincer les tétons comme dans les vidéos BDSM que j’avais pu voir. Non il ne me touchait pas, il m’allumait que dis-je il cherchait à enflammer mes sens car de mes seins il est allé vers mon intimité pour s’arrêter à la lisière de mon entrejambe à travers le fin rempart des tissus. Et là, il m’a tuée ou plutôt, il a tué ma résistance et mes craintes avec une roulette à picot qu’il faisait courir sur mes bras et mon cou en déclenchant sur son passage des myriades de sensations pendant que les doigts de sa main gauches entreprenaient de détacher le nœud en haut de ma robe.

Lorsque ma robe a chu sur mes chevilles en dévoilant à ses yeux de sadique ma poitrine relevée de par la position, tous les pores de ma peau sont devenus des capteurs sensoriels. Si à cet instant je me sentais déjà nue et offerte, j’étais loin d’imaginer que dans les mois qui suivirent j’allais faire mille fois plus de folies pour ce pervers. Il m’a demandé de tenir la roulette avec les dents le temps de retirer mon soutien-gorge qu’il a bloqué dans la corde de mes poignets. Mes tétons pointant fièrement sont devenus sa cible, de ma poitrine il ne touchait que mes ergots sensibles qu’il faisait rouler entre ses doigts en les pinçant légèrement. J’avais envie qu’il attrape mes seins à pleine main, qu’il les malaxe un peu mais non, monsieur en avait décidé autrement, monsieur voulait s’amuser avec mes sens, mes envies de plus consistant en terme charnel.

Au lieu de me tripoter, (et de me faire du bien) il est allé chercher un martinet en m’indiquant que si je faisais tomber la roulette je serai punie. Punie, quel vilain mot ai-je pensé avec l’envie de lui dire que je n’étais plus une enfant, alors qu’aujourd’hui j’accepte totalement ses punitions et celles des autres à qui il me confie parfois.

A son retour il portait un sac, un sac à malice bourré de chose méconnues pour moi et dont il allait se servir pour me « dresser » au sens propre du terme. Le martinet qu’il a extrait de son sac n’a rien d’un accessoire de supermarché, il est gros, noir avec de longues lanières, à sa vue ma peur est revenue. Au lieu de me frapper les fesses, monsieur a recommencé ses infernales machinations pour les sens en commençant par les faire glisser lentement sur mes épaules et mon dos, sensations agréables avant les désagréables et douloureuses ai-je pensé.

- Je serai doux sauf si tu fais tomber la roulette que tu as entre les dents ! M’a indiquée Maître Master.

La danse des lanières a commencé, elles frottaient mon épiderme dorsal plus qu’elles ne les percutaient, cela ne faisait pas mal du tout, bien au contraire, c’était bon. Elles sont descendues sur mes fesses, l’ordre est tombé d’écarter les jambes. Je me suis immédiatement exécutée sans réfléchir quand soudain elles sont passées entre mes cuisses pour finir leur course sur mon sexe encore protégé par mon string. J’ai eu peur et j’ai serré aussitôt les jambes, je me suis faite gronder et traiter de « chochotte ». Il a insisté sur le fait que je n’avais pas eu mal du tout et que c’était une simple caresse, comme il avait raison je n’ai rien pu dire hormis approuver de la tête et écarter les jambes.

Ces « putains » de lanières ont fini par mettre le feu à ma libido, elles sont passées partout sur mon corps y compris sur ma poitrine pour laisser sur leur passage une envie de plus. C’était divin ! J’avais envie qu’il appuie un peu plus ses coups mais il s’amusait à m’allumer. Il ne frappait jamais deux fois au même endroit et me tournait autour comme un chat s’amusant avec une souris, je devenais folle. Alors dans ma folie, pour en avoir encore et plus fort j’ai lâché la roulette !

La réaction ne s’est pas faite attendre, mais pas comme j’imaginais du tout, mais alors pas du tout. Il s’est arrêté pour aller chercher quelque chose dans son sac à malice. Et là, en revenant vers moi avec son sourire sadique il m’a fait voir des pinces à sein avec des grelots. Après avoir tiré mes tétons sans douceur il les a posées en dosant la puissance des mâchoires avant de me remettre la roulette entre les dents. Monsieur a repris son martinet pour appuyer un peu plus fortement les coups et là, je me suis mise à tinter comme le chariot du père Noël. J’ai commencé à percevoir que je n’étais plus que son jouet et le pire c’est que j’aimais ça.

Trouvant que je ne bougeais pas assez à son goût, il m’a indiqué que nous allions passer à l’étape supérieure en allant chercher un véritable fouet dans son sac. Lorsqu’il l’a fait claquer, j’ai vraiment eu très peur. Au lieu de me lacérer, il a repris son jeu sadique en jouant avec la lanière pour qu’elle me caresse à chacun de ses passages. Soudain son fouet s’est enroulé autour de mon corps en passant sur mon ventre, c’est devenu un peu plus « mordant » mais dans les secondes qui suivaient chaque coup c’était bon. La danse de la lanière et de mon corps a duré un long moment, je ne savais plus où j’étais, je planais littéralement, cela devenait divin. Monsieur a décidé que cela suffisait alors que j’en voulais encore, je l’ai détesté un peu, ce n’était qu’un début….

Après avoir posé son fouet il a retiré délicatement les pinces de mes tétons, là c’était moins amusant car assez douloureux puis il a retiré la roulette de mes dents en me demandant si j’avais aimé. Quand je lui ai répondu oui avant de lui demander pourquoi il s’était arrêté, sa réponse ma surprise. « Quand tu verras l’état de ton corps tu comprendras pourquoi !

Nos visages étaient proches pendant cet échange, ses lèvres m’attiraient alors que j’avais précisé « pas de sexe » lors de nos échanges. L’appel de sa bouche fut plus fort que ma raison, je l’ai embrassé en me serrant contre lui. Quand sa main s’est insinuée dans mon string, il n’a pas eu à me demander d’écarter les jambes, j’en avais envie, j’avais envie de lui. Ses doigts taquins se sont aventurés en moi, ma minette trempée fut très accueillante et ravie d’être visitée, ma pudeur s’était envolée, je me sentais déjà sienne. Pendant qu’il me fouillait nos langues s’entrelaçaient comme des serpents, une de mes jambes s’est enroulée derrière les siennes, Maître Master a compris dans mon attitude totalement instinctive et non calculée que mon corps lui était offert.

Deux minutes plus tard j’étais penchée en avant fesses offertes avec les mains cette fois attachées aux pieds d’une solide table de jardin. Et là il a eut une attitude de Maître, Maître de sa personne, Maître d’une femme qu’il respectait en la dominant et en vérifiant par ses mots que j’étais bien consentante.

- Demande-moi de te baiser comme une chienne ! Si tu ne me le demandes pas je ne le ferai pas, nous avions un accord.

- Oui prenez-moi j’en ai envie.

Une claque très appuyée est tombée sur mes fesses.

- Est-ce comme ça que tu dois me le demander, la phrase magique est baisez-moi comme une chienne s’il vous plait monsieur.

J’ai répondu sans aucune honte en répétant la phrase demandée, une phrase et des mots que je n’aurais jamais imaginé prononcer un jour. Ce fut divin, magique, extraordinaire d’être prise comme ça, cet acte charnel pourtant si commun ne ressemblait en rien à ce que j’avais pu vivre auparavant. Une jouissance paroxystique m’a emportée, j’ai eu l’impression de jouir des heures tant elle était violente. Après avoir joui lui aussi il m’a libérée puis imposée de me mettre à genou pour remercier la « bite » du Maître de ma bouche. Un homme m’aurait demandé ça ainsi je l’aurai giflé mais là, c’était différent, il m’avait conquise.

Maître Master m’a offert un rosebud ce soir là et il me l’a placé dans l’anus en m’indiquant que je ne devais pas le retirer avant le lendemain. J’étais un peu gênée, pour moi c’était nouveau et un peu comme s’il me mettait un suppositoire.

Cela fait maintenant un an que cette aventure a commencé, je garderai à jamais en mémoire cette rencontre BDSM hors norme qui a changé ma vie. Depuis cette soirée je suis devenue sa soumise, Maître Master étant particulièrement pervers et sadique il me pousse tout les jours un peu plus loin.

Je vous raconterai dans mon prochain récit comment il est arrivé à faire que je sois fière d’aller chez d’autres Maîtres, chez d’autres hommes où je suis prêtée comme un jouet, peut-être aurez-vous le droit de me fouetter ou de me baiser vous aussi mais seulement si Maître Master me l’ordonne.

La suite est ICI et c'est GRATUIT  Rencontres BDSM 2 une soirée démoniaque


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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mardi 7 octobre 2 07 /10 /Oct 21:51

Promo sur les machines à baiser au mois d'octobre sur ABCplaisir


MACHINE_A_BAISER_en_promo.1.jpg


Machine à baiser homme et femme


Cette machine à baiser pour homme et pour femme a une puissance de poussée de 40 kilos ce qui signifie qu'elle peut satisfaire également les gourmand(e)s de l'anal et en plus elle branle les hommes grâce à un accessoire spécifique fourni. le top du top jugez vous même :

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Distance télescopique : 68 mm

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Un gode
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MESSIEURS 450 mouvements par minute c'est divin !

MESDAMES 450 mouvements par minute c'est divin !

ANALEMENT 450 mouvements par minute avec 40 kilo de poussé c'est ................



La machine à baiser à 100 euros, qui dit mieux ?



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Gode inclus

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Pour commencer avec une machine à baiser il n'y a pas mieux

Au camping ou à l'hôtel il n'y a pas mieux

Et en club, si on vous laisse accès à une prise électrique, avec votre machine à baiser vous allez surprendre et attirer du monde....



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ABCplaisir le partenaire de vos fantasmes

Par TSM - Communauté : Mondes Libertins
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Lundi 6 octobre 1 06 /10 /Oct 08:01
Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Chasteté
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Lundi 6 octobre 1 06 /10 /Oct 07:57
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Shibari bondage BDSM
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Mercredi 24 septembre 3 24 /09 /Sep 08:24

Inondation 3 soumises emportées


Si la France a subit de plein fouet les inondations, la rencontre annoncée par Organisations84 et Fessestivites s’est déroulée sous le soleil. Tout était prévu pour recevoir une quinzaine d’hommes ainsi que les trois soumises à l’intérieur de la maison, les meubles ont été déplacés pour laisser place aux adeptes des soumises offertes.


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Après un échauffement aux martinets et autres divertissements BDSM prévus pour mettre les filles en condition par Maître TSM avec de la bougie et du martinet, les 3 soumises ont été offertes sur trois lieux différents afin d’offrir plus d’espace et d’intimité.


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Fessestivites annonçait en page d’accueil de son site « Baiser trois femmes dans une après-midi vous intéresse ? » les filles étaient bien au rendez-vous, contrairement à quelques fantasmeurs qui seront indiqués par Organisations84 dans sa prochaine mise à jour du « Mur des mythos et des planteurs ».

L’inondation a bien eu lieu mais pas dans les terres, c’était plutôt dans les vallées intimes des trois soumises qui ont été emportées par des vagues de jouissance, nos oreilles garderont en mémoire la douce mélodie des soumises comblées.


Strapon_gang_bang.jpg

SURPRISE !

Même une des femmes présentes s’y est mise, armée d’un gode-ceinture, elle s’est attaquée de bon cœur aux culs d’une des soumises sexuelles avec conviction pour la plus grande surprise des participants. Autant dire que qu’ils ont apprécié ce spectacle ! ! !

RESPECT !

Le respect des filles est au rendez-vous lors des gangs bang organisés par Organisations84, certes il y eut des mots parfois très grivois lors des envolées lyriques, mais leurs demandes en termes d’interdit, de limites et de pause ont toutes étaient respectées.

Ce qui est paradoxal, c’est que ceux qui ont traité les filles de « salope » à certains moments, dès que la rencontre est terminée, les ont vouvoyées avec un respect clairement affiché.

GANG BANG BDSM ?

On peut se demander ce que vient faire le mot BDSM dans un gang bang dont l’orientation est plutôt le libertinage et le sexe, la réponse à cette question porte sur l’approche de ces rencontres. L’objectif ne porte pas sur du SM pur et dur, mais plutôt sur une mise en « condition » comme si les filles étaient bousculées, éduquées ou forcées. Les martinets, menottes et cordes deviennent alors des instruments pour « « « « dresser » » » » les filles ou les contraindre à…

Que l’on se rassure, elles sont toutes volontaires et consentantes ! ! !

Pour s’en convaincre, nous pourrions vos faire voir les photos de leurs visages après la rencontre mais l’anonymat ne nous le permet pas. A défaut de preuve tangible, il peut être intéressant de se demander pourquoi elles reviennent ? Disons qu’une forme de masochisme sexuel et coquin les anime, tout cela bien sûr au nom du « Plaisir interdit » par la morale qui n’a jamais essayé le gang bang pour sûr !

Les photos sont ICI

La vidéo 1 est ici
La vidéo 2 est ici

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Mercredi 24 septembre 3 24 /09 /Sep 08:22

Urinoir féminin le pisse droit de Maîtresse Béart




- Je crois que je suis encore tombée sur un souminateur* ! Dit soudain Maîtresse Béart, un nom de dominatrice choisi il y a des années en référence à l’exceptionnelle beauté de cette actrice dont Laura est fan.

* souminateur : expression caractérisant un soumis se croyant sur Les 3 suisses et pouvant commander la domination désirée comme sur un catalogue.

- Ah bon, encore un, mais tu m’avais dit qu’il te semblait bien celui-là. Lui répond Maîtresse Yasmine, une dominatrice expérimentée et cruelle, elle aussi à la recherche de chiens sans collier pour leur servir de larbin. Vire-le j’en ai peut-être trouvé un.

- J’hésite à le virer parce qu’il est certifié sur Fessestivites, ce qui nous prouve qu’il existe et semble sérieux.

- Alors fais-le venir pour qu’on le teste et qu’on s’amuse un peu avec lui, s’il nous emmerde, nous lui ferons la misère et il regrettera d’avoir des couilles. Lui répond Yasmine, une véritable adepte du ballbusting, réputée pour avoir le pied « lourd ».

- Ce qui me titille c’est qu’il s’est dévoilé en insistant un peu trop sur mon champagne doré, je crois plutôt qu’il a plus envie de me mater et de me bouffer la chatte que de boire le « nectar de sa Maîtresse », une de ses expressions récurrentes.

- As-tu vu ce qu’ABCplaisir a sorti cette semaine ?

- Non, c’est quoi ?

- Un truc pour pisser debout, tu le plaques contre ta chatte et tu pisses comme les mecs. Remarque c’est pratique quand les toilettes sont dégueulasses et cela peut aussi servir pour ceux qui veulent boire notre pisse.

- C’est amusant ça ! Répond Maîtresse Béart en se glissant entre les jambes de Yasmine pour déposer de doux baisers lesbiens dans la vallée des plaisirs féminins avant de s’attarder sur le clito ne demandant qu’à être titillé.

- Tu veux boire ma pisse ? Répond Yasmine étonnée.

- Non, je te veux toute entière ! Lui répond Maîtresse Béart avant de devenir plus entreprenante avec son amie.

Cinq minutes plus tard, les belles convolent en justes câlins saphiques dans leur chambre en un concert de vibromasseurs magic wand et de tendres caresses.

……………………

Loïc n’en croit pas ses yeux, après des années de recherche sur internet, ce n’est pas une Maîtresse qu’il vient de trouver mais deux Maîtresse sur Fessestivites ! ! !

Elles vivent en couple mais sont bisexuelles d’après les profils et recherchent un soumis pour les servir dans le cadre d’une relation régulière. Il répond donc avec les formes d’usage à toutes les questions qu’elles lui posent, indique ses limites puis ses deux numéros de téléphone pour qu’elles puissent constater qu’il est sérieux et réellement disponible.

Le pauvre !

Le pauvre parce qu’il n’a aucune idée de ce que peuvent faire deux femmes dominatrices ensembles quand elles ont décidé de s’amuser avec un soumis.

……………

Le jour du rendez-vous, il se présente à l’adresse indiquée et attend à l’arrêt de tram avec, comme demandé, un bouquet de roses devant son visage. Les voyageurs le regardent amusés attendre sans monter dans le tram. S’il exécute cet ordre surprenant malgré son immense gêne, c’est parce qu’il est convaincu qu’elle l’observent, mais comment savoir où elles sont et qui elles sont sur cette grande place entourée de brasseries ? Deux tramways plus tard, deux femmes l’accostent et le félicitent, timide de nature, il rougit comme une écrevisse encore en vie se demandant si elles savent qu’avant de cuire des écrevisses, il est préférable de les châtrer ! C'est à dire retirer l'intestin ou "boyau" qui va du coffre à la nageoire caudale à l'intérieur de la queue.

Invité à les suivre en marchant deux mètres maximum derrière elles, ils parviennent à la porte d’un immeuble où Yasmine compose de code sur le digicode et attend. Patient de nature, Loïc attend aussi ce qui est sa première erreur.

- Ducon, c’est moi qui ouvre la porte ? Lui crie Maîtresse Béart.

- Il commence mal celui-là, tu vas avoir du travail avec lui si tu veux que nous le gardions. Ajoute Maîtresse Yasmine amusée de la mine déconfite de Loïc et de ses excuses.

Arrivé dans un majestueux appartement richement meublé d’un immeuble Haussmanniens Loïc est invité à se mettre à l'aise, traduire par « à poil » et à quatre pattes aux pieds du canapé le temps que les filles vaquent à leurs occupations. A leur retour, elles lui confient le service avec une bouteille de champagne bien frais, celui du soumis étant jugé trop chaud. Et là, l’inquisition féminin commence par un véritable interrogatoire visant à le déstabiliser pour savoir réellement quelles sont ses intentions.

Soumis Loïc est perturbé car elles s’amusent comme des folles de ses réponses et réactions. Soudain, les complices lui tendent leurs bottes à lécher, un dilemme se pose au soumis, par lesquelles commencer ? A genoux devant deux magnifiques paires de jambes croisées délicieusement bottées, il n’a d’yeux que pour ce qu’il essaye d’apercevoir.

- La larve, au lieu de mater nos cuisses, lèche ! Lui indique Maîtresse Béart après lui avoir donné une gifle retentissante.

Dépité et surpris, il lèche aussitôt les bottes de Maîtresse Béart même s’il n’est pas fétichiste du pied. Maîtresse Yasmine l’insulte aussitôt en lui demandant si les jambes de Maîtresse Béart sont pus belles que les siennes pour avoir la priorité du léchage de botte.

- Mais non Maîtresse, elles sont ravissantes, je vous prie de bien vouloir m’excuser. Répond Loïc en baissant les yeux.

- Quoi tu dragues ma copine alors que tu ne veux pas lécher ses bottes ? Demande Maîtresse Béart.

A ce petit jeu, le pauvre Loïc ne sait plus où donner de la tête, car elles le poussent à l’erreur et s’amusent à en provoquer sans cesse. Pour ses erreurs à répétition, elles lui posent une paire de pinces à sein japonaises qu’elles s’amusent à tirer de la pointe des pieds qu’il ne lèche pas, n’ayant qu’une langue pour lustrer quatre bottes. Les rires donnant soif, la bouteille de champagne ne dure point. Si les bulles s’évaporent, le précieux breuvage, lui, descend et suit à parcours commun à tous vers une poche naturelle appelée vessie qu’il convient de vidanger de temps en temps.

- Alors comme ça tu rêves de boire mon champagne dorée ?

- Ah oui Maîtresse, ce serait un honneur. Répond Loïc.

- N’aurais-tu pas plutôt envie de mater et bouffer ma chatte ?

- Ah non Maîtresse, mais si vous m’autoriser à la lécher, je me ferai un plaisir de faire l’impossible pour vous donner du plaisir.

- Petit prétentieux, penses-tu que ta langue puisse parvenir à me donner du plaisir ? Bon tu as assez dit de bêtises comme ça, allonge-toi par terre, je vais t’offrir mon champagne même si tu ne le mérites pas.

Soumis Loïc est ravi, il va pouvoir boire le champagne d’une ravissante Maîtresse et le voir couler d’une source dissimulée dans l’antre des plaisirs féminins. Il se plait même à espérer un facesitting et qu’elle le force à lécher la dernière goutte en se servant de lui comme papier toilette. Ces pensées coquines ne tardent point à engendrer un gonflement entre ses jambes et à étirer ses testicules devant un véritable appel pour la botte de Maîtresse Yasmine.

- Hum, des couilles bien tendues, prêtes à s’offrir pour souffrir ! S’exclame aussitôt Maîtresse Yasmine.

Lorsqu’il voit Maîtresse Béart enjamber son visage, Loïc devine plus qu’il n’aperçoit sous la dentelles noire d’un brésilien les formes d’une chaton bien formé en ses pensés et prêt à ronronner sous les caresses de sa langue.

ET LA !

Et là, surprise ! Surprise car Maîtresse Béart se saisit de l’urinoir féminin le pisse droit acheté sur ABCplaisir qu’elle plaque contre sa conque vaginale en même temps qu’elle en écarte la protection en dentelle.

Il se trouva fort dépourvu
Quand le chaton disparut
Pas un seul petit morceau
De lèvre ou du vermisseau.
Ne s’offrit à sa vue
Il aurait bien crié famine
Chez la Maîtresse voisine
Mais apprécia le danger
De se faire castrer
Le délicieux peton
Jouant déjà avec son marmiton

L’urinoir féminin s’approcha de sa bouche qu’il ouvrit grand pour recevoir le précieux breuvage quelque peu salé et parfumé ! ! ! La Maîtresse ayant un accessoire lui permettant de pisser droit, il n’avait point d’excuse pour en laisser s’échapper sur le parquet.

- Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien! Dansez maintenant.

Lui indiqua Maîtresse Yasmine en motivant le soumis de multiples petits coups de botte dans ses précieuses ridicules en de fortes circonvolutions autour du point central toujours aussi tendu. Le point central ne resta pas tendu très longtemps lorsque la Maîtresse lui assena un coup plus appuyé le faisant bondir puis recracher et renverser du champagne dorée.

La colère de Maîtresse Béart fut sans pareil, elle l’incita à lécher le parquet à coups de fouet avant d’éconduire le pauvre soumis de la même façon avec ses vêtements sous le bras.

Le soumis, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.

TSM

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 09:14

Baiser 3 femmes dans une après-midi est-ce que cela vous branche ?



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ANNONCE REELLE ET SERIEUSE



CE SAMEDI 20 SEPTEMBRE



Cindy 34 ans , Fionna 38 ans et Issaya 47 ans seront dominées par Maître TSM à Vauvert(30) avant d'être offertes aux hommes comme jouet sexuel.

SI OUI réservez de toute urgence car le nombre de place est limité.


Si vous désirez y participer et sauter la soumise, contactez Organisation84 ICI


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Cela bouge un max sur Fessestivites.com

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 09:12

Le sadique de la maison abandonnée



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Au hasard de mes promenades dans les bois avec mon chien, je suis tombée sur une vielle maison abandonnée. Animée par la curiosité, lors de l’exploration de ces ruines, j’ai découvert au premier étage un vieux lit dépourvu de matelas, au milieu de pierres et morceaux de verre des fenêtres brisées par ceux qui ont pour loisir de détruire ce qui n’est pas à eux. Ce lit a titillé mes fantasmes, le sommier en métal avec de gros croisillons carrés et les barreaux en fer en guise de boiseries offrait un espace de liberté à mon imagination BDSM.

L’image d’une fille entravée jambes écartées, couchée sur cette sorte de gros grillage m’a traversé l'esprit. Outre être abusée elle garderait quelques heures gravées dans ses chairs les marques des croisillons l’ayant faite souffrir sous les ruades de ses violeurs. Lorsque je me suis étendue comme la victime de mon imagination débordante, mes doigts se sont naturellement aventurés entre mes jambes, là où il est agréable de les laisser courir, enflammant mes sens érogènes et mon intimité. Alors qu’une main de pervers s’aventurait entre ma peau et la ceinture de mon pantalon pour explorer ma tendre intimité malgré mes suppliques désespérées, une langue a traversé mon visage en me faisant bondir de peur.

Ayant terminé son exploration et le marquage d’un nouveau territoire, Doggy venait de me rejoindre tout heureux et me faisait des fêtes. Grrrrr.



Si l’après-midi s’est terminée normalement par la cueillette de quelques mûres et le retour à la maison dans les encombrements habituels du dimanche soir, ce lit et ce plaisir insatisfait pour cause de chien ayant fait fuir le pervers imaginaire me travaillaient l’esprit. Je ne vous cacherai pas que le soir même, je me suis fait un petit selfbondage pour poursuivre cette aventure, mais cette fois après avoir fermé la porte de ma chambre pour ne pas être dérangée, mon vibromasseur magic wand entre les jambes, complice parfois sadique qui glisse sur le matelas et m’abandonne alors que justement, je voulais m’abandonner. Cette fois, bien callé dans ma culotte, il ne s’est pas échappé et m’a permis de m’envoler plusieurs fois. L’envie de vivre effectivement cette aventure dans la maison abandonnée me taraudait de plus en plus.



Si je rêve de BDSM, d’être soumise à un Maître, je n’ose pas franchir le pas, alors je surfe sur Fessestivites avant de m’accorder quelques plaisirs en principe inavouables…..

Si la prudence m’interdisait d’aller me faire un selfbondage en dehors de chez moi en pleine nature, après une lutte acharnée entre la raison et mes folles envies, j’ai fini par céder à mes envies. Pour éviter de prendre de trop de risques, j’ai décidé d’y aller un jour de pluie en semaine, car qui irait se promener dans les bois par un tel temps hormis une folle comme moi ?

Pour mon auto libération, je me suis fabriqué un gros bloc de glace avec les clés de mes menottes achetées chez ABCplaisir. Pour qu’il ne fonde pas en chemin, je le mettrai dans un sac congélation comme si je partais en pique-nique. Il m’a fallu attendre quatre longs jours avant qu’il pleuve. Lorsque j’ai téléphoné à mon travail pour dire que j’étais souffrante, je me suis traitée de « malade » mais l’appel du sexe a eu raison de la logique et de la prudence. Dans mon sac à dos, j’ai glissé quelques cordes, des pinces à seins, mes menottes, un bâillon et une cagoule puis un vibromasseur basique avec des piles neuves.

Le parking était vide, chose logique avec un temps de chien, le mien cette fois étant resté à la maison. Après une demi-heure de marche avec mon sac congélation à la main, la maison est enfin apparue. Par prudence, j’ai revisité les lieux avant d’entrer dans la chambre des sévices. Il était là et m’attendait, fidèle à ses lieux et à mes fantasmes. A la tête du lit sur le sol, j’ai déposé le bloc de glace contenant les clés des menottes sur le sac congélation, puis sur le lit mes menottes reliées aux clés par deux morceaux de ficelle à rôti. Pour me mettre en condition et me motiver, mettre immédiatement le bâillon m’a semblé être une bonne idée, cela m’évitait de me répéter à haute voix que j’étais folle.

Lorsque j’ai retiré mon jean et que je me suis assise sur le sommier en fer, les croisillons m’ont souhaité la bienvenue à leur manière en entrant profondément dans la chair de mes fesses seulement protégées par un fin rempart de tissu satiné. La douceur de cette matière électrise mes sens dès que des doigts coquins flattent les formes masquées en cet endroit si sensible…..

Pour attacher mes chevilles le plus écartées possible avec la corde, j’ai un peu souffert des fesses et des cuisses, mais on n’a rien sans rien, me suis-je dit avant de m’étendre sur le dos sur le sommier glacé. OUF ! ! ! Dans le sac près de moi, il devenait urgent d’attraper le vibromasseur et de titiller l’épicentre du marécage se trouvant au creux des cuisses, elles aussi entravées pour les forcer à un écartement prolongé quoi qu’il se passe. Les vibrations, le lieu, les cordes maintenant mes jambes écartées furent à cet instant des ennemis qu’il me fallut combattre pour ne point céder à l’envie de jouir pointant déjà son nez.

Le missile trouva sa cible, tel un spéléo émérite, que dis-je tel un spéléo sous-marin il plongea sans aucune difficulté en mes sombres profondeurs avant de se faire piéger à l’intérieur par une simple culotte en satin. Il devenait vraiment urgent de passer à la suite, sans quoi, mes doigts ne sauraient résister à l’appel de la perle émergeant de son émonctoire de chair tendre et sensible.

Les pinces à sein reliées par une chaînette achetée chez ABCplaisir trouvèrent leur place sur mes tétons pointant fièrement avant de râler lorsqu’ils furent mordus cruellement. De toute urgence j’ai enfilé ma cagoule en cuir, ce qui m’a forcée à remonter les mains derrière la tête et à étirer mes seins, chose qu’ils n’ont pas vraiment appréciée pour cause de pinces sadiques.

A l’aveugle mes mains ont retrouvé les menottes fidèles, fidèles parce que quand elles sont sur vos poignets elles ont parfois du mal à les abandonner malgré vos suppliques. Coincées derrière un des barreaux du lit, elles allaient m’offrir en pâture à un sadique mais qui n’allait pas être imaginaire……………. mais cela, je ne pouvais pas le savoir.

Lorsque je les ai refermées sur mes poignets en me traitant de folle, j’étais dans un état second. Leurs clics magiques allaient m’offrir un espace temps de bonheur, de fantasmes et de plaisirs incontrôlables avec le vibromasseur. Alors que dans mon imaginaire des inconnus abusaient de moi, pinçaient mes seins et me pénétraient sauvagement, un bruit de gravas écrasé attira mon attention malgré l’épaisseur de la cagoule. Mes agresseurs acceptèrent de faire une pause pour me permettre d’écouter, une peur abyssale m’envahit quand le bruit se renouvela. Est-ce un animal ou quelqu’un ? Dans les deux cas j’étais en mauvaise posture et sans aucune possibilité de me défendre.

Un autre craquement sinistre me confirma une présence et fit se décupler ma peur. J’essayais de voir par le dessous de la cagoule puis les trous au niveau du nez mais en vain. Soudain, le sommier s’est enfoncé près de moi et j’ai hurlé de peur en tirant inutilement sur mes entraves. Mes cris étouffés par le bâillon et la cagoule firent rire l’homme qui posa sa main sur ma cuisse agitée de vaines contractions.

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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Lundi 8 septembre 1 08 /09 /Sep 17:28
Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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Dimanche 31 août 7 31 /08 /Août 13:28

Week-end fessée et discipline domestique



Samedi 13 septembre au dimanche 14 septembre



PRINCIPES / PRIX / HORAIRES

Arrivée le samedi entre 17h et 18 heures
Apéro / repas /soirée
Possibilité de planter la tente
Dimanche : petit déjeuner / discussions / jeux et pratiques libres
Photos : interdites sauf l'appareil de fessestivites peut être utilisé les photos sont flouttées

PRIX : Gratuit mais contribution en bouteilles et nourriture

LIEUX : Vauvert 30 chez TSM et sa soumise

PUBLIC :

Femmes seules : complet
Hommes seuls : complet
Couple : il reste 2 places

Réservation : adressez un email AVEC votre numéro de téléphone à contact@fessestivites.com

 

 

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Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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