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Le jour où j’ai cliqué sur un lien intitulé Rencontres BDSM en bas d’une histoire
érotique un peu corsée que je lisais sur un blog, ce n’était que pour vibrer un peu intérieurement en allant voir ce qu’il se passe réellement dans le monde des rencontres BDSM. En
arrivant sur Fessestivites, je ne pouvais pas savoir que ma vie allait changer. Les discussions dans le forum BDSM m’ont permis de comprendre
que ce n’est pas de la violence, bien au contraire, les posts portaient sur les limites, le don se soi et ce qu’une soumise peut faire par amour du Maître. Les témoignages m’ont alors motivé à
sauter le pas, oser rencontrer un Maître pour voir ce qu’il se passe réellement. Au pire, il me baiserait après m’avoir attachée, j’en rêve parfois en me touchant timidement en secret sous ma
couette.
Après quelques échanges via le chat, Maître Master ayant su me rassurer de par le respect et la politesse se dégageant de
ses écrits, j’ai donc osé lui téléphoner. Déjà parler de ces choses si intimes à quelqu’un fut une étape difficile à franchir mais sa voix chaude et douce tout comme son savoir-faire ont eu
raison de ma pudeur. Celle-ci n’allait pas tarder s’envoler.
Lors de la première rencontre à son domicile, c’est dans la pénombre de son jardin faiblement éclairé que je me suis
laissée attacher les poignets sous le chant des grillons en me traitant de folle. Il sentait que j’étais tendue et répétait plusieurs fois qu’il pouvait tout arrêter à la moindre demande.
Lorsqu’il s’est levé et a tiré sur la corde tenant mes poignets, ma tête bourdonnait, une partie de mon cerveau me criait de fuir, l’autre de m’abandonner et que je ne risquais rien. Il me
souriait en tirant sur la corde jetée par dessus une grosse branche de son arbre, son sourire et sa patience me rassuraient pendant que mes bras montaient au-dessus de ma tête. Son calme
apaisait mes craintes même si j’étais en train de m’offrir à un inconnu et sans possibilité de fuite hormis sa parole.
Il s’est placé derrière-moi pour le premier réel contact physique, mes yeux se sont fermés comme s’ils ne voulaient voir la
suite. Il ne s’est pas jeté sur mon intimité, non il a fait pire. Ses mains ont commencé à glisser doucement sur la peau frémissante de mes avant bras pour y glisser lentement en descendant
lentement sur mes épaules, j’avais des frissons malgré la chaleur de l’été. Avec le vice de sa douceur, il a ensuite laissé courir ses doigts sur ma poitrine encore vêtue sans attraper ni
chercher à me tripoter ou pincer les tétons comme dans les vidéos BDSM que j’avais pu voir. Non il ne me touchait pas, il m’allumait que dis-je il cherchait à enflammer mes
sens car de mes seins il est allé vers mon intimité pour s’arrêter à la lisière de mon entrejambe à travers le fin rempart des tissus. Et là, il m’a tuée ou plutôt, il a tué ma résistance et
mes craintes avec une roulette à picot qu’il faisait courir sur mes bras et mon cou en déclenchant sur son passage des myriades de sensations pendant que les doigts de sa main
gauches entreprenaient de détacher le nœud en haut de ma robe.
Lorsque ma robe a chu sur mes chevilles en dévoilant à ses yeux de sadique ma poitrine relevée de par la position, tous les
pores de ma peau sont devenus des capteurs sensoriels. Si à cet instant je me sentais déjà nue et offerte, j’étais loin d’imaginer que dans les mois qui suivirent j’allais faire mille fois plus
de folies pour ce pervers. Il m’a demandé de tenir la roulette avec les dents le temps de retirer mon soutien-gorge qu’il a bloqué dans la corde de mes poignets. Mes tétons pointant fièrement
sont devenus sa cible, de ma poitrine il ne touchait que mes ergots sensibles qu’il faisait rouler entre ses doigts en les pinçant légèrement. J’avais envie qu’il attrape mes seins à pleine
main, qu’il les malaxe un peu mais non, monsieur en avait décidé autrement, monsieur voulait s’amuser avec mes sens, mes envies de plus consistant en terme charnel.
Au lieu de me tripoter, (et de me faire du bien) il est allé chercher un martinet en m’indiquant que si je faisais tomber la roulette je serai punie. Punie, quel vilain mot ai-je pensé avec l’envie de lui dire que je n’étais plus une
enfant, alors qu’aujourd’hui j’accepte totalement ses punitions et celles des autres à qui il me confie parfois.
A son retour il portait un sac, un sac à malice bourré de chose méconnues pour moi et dont il allait se servir pour me «
dresser » au sens propre du terme. Le martinet qu’il a extrait de son sac n’a rien d’un accessoire de supermarché, il est gros, noir avec de longues lanières, à sa vue ma peur est revenue. Au
lieu de me frapper les fesses, monsieur a recommencé ses infernales machinations pour les sens en commençant par les faire glisser lentement sur mes épaules et mon dos, sensations agréables
avant les désagréables et douloureuses ai-je pensé.
- Je serai doux sauf si tu fais tomber la roulette que tu as entre les dents ! M’a indiquée Maître Master.
La danse des lanières a commencé, elles frottaient mon épiderme dorsal plus qu’elles ne les percutaient, cela ne faisait
pas mal du tout, bien au contraire, c’était bon. Elles sont descendues sur mes fesses, l’ordre est tombé d’écarter les jambes. Je me suis immédiatement exécutée sans réfléchir quand soudain
elles sont passées entre mes cuisses pour finir leur course sur mon sexe encore protégé par mon string. J’ai eu peur et j’ai serré aussitôt les jambes, je me suis faite gronder et traiter de «
chochotte ». Il a insisté sur le fait que je n’avais pas eu mal du tout et que c’était une simple caresse, comme il avait raison je n’ai rien pu dire hormis approuver de la tête et écarter les
jambes.
Ces « putains » de lanières ont fini par mettre le feu à ma libido, elles sont passées partout sur mon corps y compris sur
ma poitrine pour laisser sur leur passage une envie de plus. C’était divin ! J’avais envie qu’il appuie un peu plus ses coups mais il s’amusait à m’allumer. Il ne frappait jamais deux fois au
même endroit et me tournait autour comme un chat s’amusant avec une souris, je devenais folle. Alors dans ma folie, pour en avoir encore et plus fort j’ai lâché la roulette !
La réaction ne s’est pas faite attendre, mais pas comme j’imaginais du tout, mais alors pas du tout. Il s’est arrêté pour
aller chercher quelque chose dans son sac à malice. Et là, en revenant vers moi avec son sourire sadique il m’a fait voir des pinces à
sein avec des grelots. Après avoir tiré mes tétons sans douceur il les a posées en dosant la puissance des mâchoires avant de me remettre la roulette entre les dents. Monsieur a
repris son martinet pour appuyer un peu plus fortement les coups et là, je me suis mise à tinter comme le chariot du père Noël. J’ai commencé à percevoir que je n’étais plus que son jouet et le
pire c’est que j’aimais ça.
Trouvant que je ne bougeais pas assez à son goût, il m’a indiqué que nous allions passer à l’étape supérieure en allant
chercher un véritable fouet dans son sac. Lorsqu’il l’a fait claquer, j’ai vraiment eu très peur. Au lieu de me lacérer, il a repris son jeu sadique en jouant avec la lanière
pour qu’elle me caresse à chacun de ses passages. Soudain son fouet s’est enroulé autour de mon corps en passant sur mon ventre, c’est devenu un peu plus « mordant » mais dans les secondes qui
suivaient chaque coup c’était bon. La danse de la lanière et de mon corps a duré un long moment, je ne savais plus où j’étais, je planais littéralement, cela devenait divin. Monsieur a décidé
que cela suffisait alors que j’en voulais encore, je l’ai détesté un peu, ce n’était qu’un début….
Après avoir posé son fouet il a retiré délicatement les pinces de mes tétons, là c’était moins amusant car assez douloureux
puis il a retiré la roulette de mes dents en me demandant si j’avais aimé. Quand je lui ai répondu oui avant de lui demander pourquoi il s’était arrêté, sa réponse ma surprise. « Quand tu
verras l’état de ton corps tu comprendras pourquoi !
Nos visages étaient proches pendant cet échange, ses lèvres m’attiraient alors que j’avais précisé « pas de sexe » lors de
nos échanges. L’appel de sa bouche fut plus fort que ma raison, je l’ai embrassé en me serrant contre lui. Quand sa main s’est insinuée dans mon string, il n’a pas eu à me demander d’écarter
les jambes, j’en avais envie, j’avais envie de lui. Ses doigts taquins se sont aventurés en moi, ma minette trempée fut très accueillante et ravie d’être visitée, ma pudeur s’était envolée, je
me sentais déjà sienne. Pendant qu’il me fouillait nos langues s’entrelaçaient comme des serpents, une de mes jambes s’est enroulée derrière les siennes, Maître Master a compris dans mon
attitude totalement instinctive et non calculée que mon corps lui était offert.
Deux minutes plus tard j’étais penchée en avant fesses offertes avec les mains cette fois attachées aux pieds d’une solide
table de jardin. Et là il a eut une attitude de Maître, Maître de sa personne, Maître d’une femme qu’il respectait en la dominant et en vérifiant par ses mots que j’étais bien
consentante.
- Demande-moi de te baiser comme une chienne ! Si tu ne me le demandes pas je ne le ferai pas, nous avions un
accord.
- Oui prenez-moi j’en ai envie.
Une claque très appuyée est tombée sur mes fesses.
- Est-ce comme ça que tu dois me le demander, la phrase magique est baisez-moi comme une chienne s’il vous plait
monsieur.
J’ai répondu sans aucune honte en répétant la phrase demandée, une phrase et des mots que je n’aurais jamais imaginé
prononcer un jour. Ce fut divin, magique, extraordinaire d’être prise comme ça, cet acte charnel pourtant si commun ne ressemblait en rien à ce que j’avais pu vivre auparavant. Une jouissance
paroxystique m’a emportée, j’ai eu l’impression de jouir des heures tant elle était violente. Après avoir joui lui aussi il m’a libérée puis imposée de me mettre à genou pour remercier la «
bite » du Maître de ma bouche. Un homme m’aurait demandé ça ainsi je l’aurai giflé mais là, c’était différent, il m’avait conquise.
Maître Master m’a offert un rosebud ce soir là et il me l’a placé dans l’anus en m’indiquant que je ne devais pas le retirer avant le lendemain. J’étais un peu gênée, pour moi c’était nouveau
et un peu comme s’il me mettait un suppositoire.
Cela fait maintenant un an que cette aventure a commencé, je garderai à jamais en mémoire cette rencontre BDSM hors norme
qui a changé ma vie. Depuis cette soirée je suis devenue sa soumise, Maître Master étant particulièrement pervers et sadique il me pousse tout les jours un peu plus loin.
Je vous raconterai dans mon prochain récit comment il est arrivé à faire que je sois fière d’aller chez d’autres Maîtres,
chez d’autres hommes où je suis prêtée comme un jouet, peut-être aurez-vous le droit de me fouetter ou de me baiser vous aussi mais seulement si Maître Master me l’ordonne.
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Ecrivaillon
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