Fessée dans la nature

Etre fessée dans la nature est une confession érotique adressée par une amie. Je l’ai un peu remise en forme et c’est tout. La photo est du net.

Déjà, avant de partir aux champignons, Paul m’avait donnée une fessée pour ne pas avoir préparé le pique-nique et avoir tardé à la salle de bain. Pour lui, je n’avais pas à me maquiller deux heures pour aller arpenter les sous-bois.

Il était assez en colère de ça et m’avait également reprochée de ne pas l’avoir prévenu que je n’avais pas eu le temps de préparer le pique-nique. Tout en me donnant la fessée, il m’avait expliquée qu’il aurait pu le faire si je le lui avait dit. En même temps qu’il me claquait les fesses, il me disait qu’à cause du retard les autres seraient passés et que nous risquions d’y aller pour rien. Cette fessée là, je ne l’ai pas aimée du tout même si j’adore ça. C’est un peu le revers de la médaille de vouloir jouer à ce jeu là.

Pendant qu’il chargeait la voiture et fermait la maison, j’ai pris à la va vite ce qu’il fallait pour un pique-nique. Comme tout cela nous a mis en retard, au lieu de partir à 6 heures, nous sommes partis vers 7h30 et ..... nous nous sommes pris les bouchons. Même s’il pestait contre moi, il a fait contre mauvaise fortune bon coeur en me disant que nous ferions au moins un petit pique-nique en amoureux. Il est vrai que Paul est souvent de garde à l’hôpital le week-end et qu’il apprécie quand on peut partit un peu tous les deux.

Des champignons, il n’y avait plus que « l’oublié », nous n’avons ramassé qu’un crêpe en trois heures. Malgré tout, il avait retrouvé sa bonne humeur. Il était heureux et savourait la journée dans les bois en me racontant des trucs sur les arbres, la végétation, les roches, mon mari est un puit de savoir. Vers midi, après être allé chercher la glacière, nous avons trouvé un coin sympathique isolé et ensoleillé pour déjeuner. Paul a étendu la couverture et a commencé par me faire un gros câlins en me disant des mots d’amour qui font fondre.

En guise de quiche maison et de petits sandwichs, j’avais pris une boite en verre de pâté, un saucisson, des petits gâteaux, une bouteille d’eau et de vin plus un thermos de café. En déballant le pique-nique, je suis devenue blême. J’avais oublié les couverts enroulés dans une serviette.

Paul était plié de rire et se moquait de moi gentiment. Il me disait que le saucisson trouverait une autre destination que nos estomacs quand nous rentrerions à la maison. Il en est bien capable ! J’ai donc fait nos sandwichs de pâté avec les doigts comme une grosse cochonne, en m’amusant à les lécher avec sensualité. Pour me faire pardonner, je lui ai proposé de lui servir un verre de vin avant de grignoter les gâteaux secs. Et là, surprise, surprise ! Dans la serviette oubliée contenant les couverts, il y avait aussi le tire-bouchon !

- Avec autant d’oublies et de bêtises, une bonne fessée s’impose ! m’a dit Paul tout souriant.

Etre fessée dans la nature ne me branchait pas du tout ! J’avais peur que l’on nous voit. Il ne m’a pas vraiment laissée le choix. Il m’a demandée de me lever, c’est occupé de défaire mon pantalon et l’a baissé en même temps que ma culotte avant de me coucher sur ses genoux à s’asseyant sur un rocher. Mes fesses avaient encore en mémoire la fessée du matin ! Elles étaient très sensibles et Paul s’en donnait à coeur joie. Au bout d’un moment, je n’ai pas pu résister, j’ai mis ma main sur mes fesses pour les protéger. Il a bloqué mon bras et mes jambes avec la sienne pour continuer de me fesser tranquillement en commentant la couleur de mes fesses.

J’ai soudain entendu un bruit de branches cassées. Je me suis affolée et, en regardant autour de nous, j’ai vu deux hommes s’approcher. Je l’ai dit à Paul qui n’a rien changé !!!! Il m’a juste dit « cela leur fera un petit divertissement ». Pire encore, quand il se sont approchés, il leur a parlé et a raconté mes bêtises en continuant de me fesser devant eux. J’ai bien vu le regard vicieux des deux lascars qui se rinçaient l’oeil et affichaient un sourire banane ! J’avais honte, mais une honte « grave » de chez « grave ». J’essayais de me soustraire de son bras et de sa jambes mais en vain. Juste au moment où j’ai tourné la tête pour voir si les deux hommes étaient encore là, l’un d’eux levait son pouce en l’air comme les romains dans les arènes !

Cela a donné du coeur à l’ouvrage à Paul qui s’en est donné à coeur joie sur mes fesses. Au bout d’un moment il leur a demandé si d’après eux, la fessée était suffisante ? Ils ont répondu en se marrant que j’allais avoir du mal à m’asseoir! Si j’étais contente que Paul arrête de me fesser, j’ai pris conscience que j’allais devoir me lever devant eux et exposer encore plus mon anatomie. Paul m’a aidée à me relever mais m’a laissée remonter ma culotte et mon pantalon. Faire ça devant du monde est mortel ! Je pensais que s’en était terminé question humiliation, et bien non, il leur a demandé s’ils avaient un tire-bouchon et un couteau à nous prêter ! Ils avaient ça !!!!!!!!

Sans oser les regarder, j’ai fait le sandwich au pâté de mon mari et j’ai ouvert la bouteille à la vitesse grand V avant de leur rendre le couteau essuyé, mais toujours sans lever la tête, je ne voulais pas croiser leurs regards. Ils sont enfin partis mais, juste avant de partir, l’un d’eux m’a dit « au revoir madame et soyez sage la prochaine fois » ! L’enfoiré ! ! !

Paul m’a prise dans ses bras pour me faire un gros câlin et j’ai fondu en larmes. ET là il m’a achevée en me disant : « tu n’as jamais autant mouillé pendant une fessée, alors pourquoi pleurer » ?

TSM

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Louper son bac = une fessée

Maurice, père de trois filles, veuf depuis plus de 10 ans et jamais remarié, a consacré sa vie entière pour élever et éduquer ses filles. Il n’a jamais essayé de la refaire. L’unique but de cet homme entier a toujours été qu’elles soient heureuses et réussissent leur vie. Si leur accorde beaucoup de choses et entretient une grande complicité avec sa progéniture, il ne plaisante pas pour les études. L’aînée a fêté ses 18 ans dignement cette année, il s’est ruiné en cours particuliers au point de se freiner pour manger, il voulait qu’elle réussisse quelque en soit le prix à payer.

L’année du BAC, en voyant que Laurie pense plus aux petits copains et sorties qu’à ses études, il a réuni ses filles pour leur appeler les sacrifices qu’il fait pour leurs études depuis le départ de leur mère. Il leur expose en décembre que si l’une d’elle loupe un examen, il leur donnera la fessée du siècle. Devant leurs sourires amusés il précise que cela sera une vraie fessée comme avant, une de ces fessées qui ne s’oublie jamais.

Nous sommes en 1973, un an avant que la majorité soit abaissée à 18 ans sous l'impulsion de Valéry Giscard d'Estaing. La décision d'abaisser la majorité avait été prise alors que mai 68 avait largement préparé le terrain et que la France était en retard par rapport à ses voisins européens. La majorité était en effet fixée à 18 ans depuis 1969 en Grande-Bretagne et depuis 1970 en Allemagne. Elle ne pouvaient donc pas quitter le domicile et devaient se plier aux règles de la maison.

Laurie n’en croit pas un mot et n’y prend pas garde, une fessée, n’importe quoi. L’insouciance de la jeunesse et une « flémingite » aigue chronique pour les études n’aident pas. Maurice cumulant son emploi, des heures supplémentaires et de petits jobs au black pour joindre les deux bouts ne voit rien venir, ni les agissements de ses filles, il leur fait confiance.

Le 7 juin 1973, les résultats du BAC sont affichés sur les murs des établissements scolaires, regroupant ce jour là tous les étudiants, même ceux qui séchaient les cours.... Et là, Laurie découvre avec stupeur qu’elle a échoué. Elle est admise au rattrapage, une chance supplémentaire lui est donc donnée. Déçue, elle rentre en larmes à la maison en critiquant les sujets, les correcteurs, la terre entière. Ses soeurs essayent de la consoler, et pour lui changer les idées, lui proposent d’aller faire un tour à la plage, où elles se font bronzer jusqu’en fin d’après-midi.

A leur arrivée à la maison, elle constatent que le père est rentré. Ce soir là, il n’a pas pris d’heure supplémentaire ni de job au black. C’est avec un poids sur l’estomac qu’il a acheté une bouteille de champagne pour fêter le BAC de sa fille aînée et la robe d’été qu’elle lui avait fait voir dans une vitrine. La plus jeune ouvre la porte et découvre la bouteille et le paquet cadeau sur la table. Elle se retourne aussitôt pour prévenir sa soeur qui devient blanche. Si elle a totalement oublié la fessée promise, ce dont Laurie est sûre c’est qu’elle va se faire incendier par son père qui, lorsqu’il est en colère, même les mouches fuient ou se terrent.

Maurice termine sa douche, toujours rapide pour économiser l’eau. Ne les ayant pas entendues rentrer, il s’habille sans tarder pour aller faire la cuisine, un bon petit repas pour fêter ça. C’est aux visages déconfis de ses trois filles qu’il comprend que Laurie a loupé son BAC. Son visage se crispe, ses poings se serrent aussitôt, il ne bouge plus. Face à lui, ses filles n’osent pas bouger non plus ni même parler, elles regardent le sol. Les larmes lui montent aux yeux. Le silence est pesant, lourd, la vie semble s’être arrêtée dans la maison.

- Dois-je comprendre que tu as loupé ton BAC ?

- Oui papa, mais je suis admise au rattrapage. Répond Laurie en promettant qu’elle va travailler jour et nuit s’il le faut mais qu’elle l’aura.

Maurice se reprend, sèche ses larmes et ne dit rien. Son silence est bien pire qu’une colère pour les filles. D’un pas calme et posé, il s’approche de Laurie, l’attrape par la main et la guide dans sa salle à manger où le cadeau est toujours posé sur la table à côté de la bouteille de champagne. Il tire une chaise est s’assoit puis désigne ses genoux à sa fille.

- Non papa, tu ne vas pas me faire ça ? Je ne suis plus une gamine ! Réplique Laurie en pensant soudain à la fessée promise.

- Je n’ai qu’une parole, je ne faillis jamais quand je promets quelque chose. J’ai promis à ta mère de m’occuper de vous, de vous donner un avenir quelque en soit le prix à payer. Conclue Maurice en tirant brusquement sa fille sur ses genoux.

Laurie crie, se débat en vain contre la f o r c e herculéenne de son père. Bloquée sur ses genoux par une main de fer, elle se met à hurler des « non » quand il relève sa jupe. Ses deux soeurs tentent une esquive pour ne pas assister à ça.

- NON restez-là ! Hurle le père, assister à la fessée de votre soeur aînée sera sûrement pédagogique, du moins je l’espère car je vous tannerai les fesses aussi si vous loupez un examen. Assister à ça vous mettra peut-être du plomb dans la tête.

La main d’un homme d’un mètre quatre-vingt qui est chaudronnier de métier et qui fait le maçon le soir pour arrondir les fins de mois, c’est l’équivalent d’un paddle en chêne de chez ABCplaisir. Quand la première claque s’abat sur les fesses de Laurie, elle bondit et hurle. Ses jambes se replient par réflexe et heurtent presque la tête du père. Il les bloque aussitôt avec la sienne avant de reprendre méthodiquement la fessée promise.

Maurice est tellement furieux qu’il ne baisse pas la culotte en dentelle de sa fille, il l’arrache d’un seul coup avant de claquer à nouveau le petit cul blanc de sa fille. Blanc il ne le reste pas longtemps, quatre claques plus tard il est déjà rouge vif et marqué à certains endroit. Cette fessée ressemble à une bastonnade fessière car chaque claque fait l’effet de traits de feu dans les reins de Laurie qui se débat en vain. Ses petites mains agrippées aux pieds de la chaise tentent soudain de protéger son fessier en feu. Son bras est aussitôt bloqué, les claques se poursuivent à un rythme régulier, le battoir humain ne fatigue pas et n’est pas prêt de s’arrêter.

Si entre soeurs il y a toujours des rivalités, de petites chamailleries, devant cette cuisante fessée, les cris, les larmes et le visage ravagé de Laurie, elles ont tout oublié et sont contrites. Des larmes coulent également des yeux de la plus jeune, elles ne sont rien à côté de celles de leur soeur. En constatant qu’il est en train de réellement démonter sa fille, Maurice s’arrête aussitôt, presque à regret car cette sévère fessée est grandement méritée. Bien décidé à la punir comme elle le mérite, il la relève d’un seul bras et la porte presque au coin de la pièce avant de faire glisser la jupe sur ses chevilles. Les fesses marbrées de Laurie n’ont plus rien de joli, elles font peur à voir.

- Vous deux, allez au coin à côté d’elle et ne bougez pas d’un pouce où je vous donne la même.

- Mais nous n’avons rien fait papa ! Tente Aurélie pour esquiver cette punition jugée injuste.

- Si, je suis certain que vous l’avez distraite pendant ses études. Vos disputes débiles et continuelles m’insupportent, si vous osez encore parler je vous tanne les fesses ! Exécution !

Maurice se lève, les filles se précipitent au coin immédiatement. Il ne s’est pas levé pour les fesser mais pour attraper la bouteille de whisky dont il boit une rasade au goulot pour se remettre de ses émotions et ne pas pleurer devant elles.

EPILOGUE

Elles sont restées au coin une heure, pendant que Maurice finissait le repas, initialement de fête. Pas une n’a osé bouger ou parler même si elles ont trouvé le temps long. Laurie n’a pas pu s’asseoir sur la chaise, il lui a fallu un cousin. Elle a eu une interdiction absolue de sortir de la maison pendant un mois, l’a respecté et a réussi son BAC au rattrapage. Ses soeurs ont toutes réussi leur BAC, elles ont un emploi et aujourd’hui contribuent à leur tour aux finances de la maison devenue un havre de paix.

Le gros gag est que Laurie est tombée amoureuse d’un homme de dix ans plus âgé qu’elle, c’est un adepte de la fessée, sauf qu’elle y a pris goût lorsqu’elle est uniquement câline.

TSM

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La fessée judiciaire et des liens photos vidéos histoires érotiques

Il faut différencier les jeux érotiques entre ADULTES CONSENTANTS et toute autre forme de pratiques punitives existant encore dans certains pays dont je ne citerai pas le nom pour ne pas leur faire de la publicité,..... pour cause de multiples débordements.

La fessée judiciaire a réellement existé, elle se déroulait (en principe) avec un encadrement pour éviter les débordements. L’encadrement était constitué (toujours en principe) d’un supérieur hiérarchique, plus une personne du monde médical et parfois de témoins. Le ou la condamné(e) était attaché(e) sur divers supports avec le bas de son corps dénudé. En principe ses fesses étaient encadrées de bandes de cuir et de tissu pour éviter de blesser en cas de mauvais coup. Ce type de fessée punitive générait des blessures imposant des soins, qui n’étaient pas toujours réalisés d’ailleurs. Cela n’avait rien d’érotique bien que certains véritables sadiques appréciaient....

Certaines ont été filmées et celle que l’on trouve parfois sur le net n’ont rien d’érotique. Elles ressemblent un peu à des bouts de films que l’on a pu retrouver sur les camps de concentration.

Au Moyen-Âge nos ancêtres ont fait bien pire..... tout comme dans l’antiquité. Il y en a même qui ont été fouetté sur la croix.

LES VIDEOS ET PHOTOS EN COULEUR D’AUJOURD’HUI

La fessée ayant toujours existé, il n’y a rien d’étonnant à ce que l’imagination débordante des hommes (et des femmes) en fasse un fantasme !

Dans les vidéos de fessée judiciaires, les fessées sont parfois bien réelles sans pour autant aller jusqu’aux blessures ni à la dureté des réelles punitions judiciaires d’antan pouvant être invalidantes.

On se complait à laisser courir l’imagination sur des histoires érotiques parfois assez hard, cette imagination étant soutenue par des photos et vidéos circulant sur le net.

DANS NOTRE MONDE DIT MODERNE ? (Pour hommes et femmes)

De nos jours, la fessée entre adulte est toujours d’actualité, on y trouve sensiblement trois catégories et quelques variables.

La fessée érotique :

C’est la plus prisée, la plus coquine, elle a pour but de générer une excitation conduisant ben souvent (pas toujours) à des pratiques câlines et / ou libertines.

Les adeptes de la fessée :

Il existe des passionnés qui se complaisent à reproduire des images du passé (pas toujours vécu) certaines de ces images proviennent de sources multiples comme la télévision, le cinéma, les livres et internet. L’école, l’internat sont bien souvent la base de scénarios plus ou moins étoffés. Certains appelle cela l’éducation anglaise, qui était bien plus connue que l’éducation Européenne moins structurée et démocratisée.

Vient ensuite la discipline domestique (la DD) où les petits écarts sont des prétextes à rougir les fessiers.

L’usage de crèmes cicatrisantes ou pour aider les ecchymoses à se résorber et parfois nécessaire.

La fessée punitive réelle

Certains adeptes de la fessée et du BDSM la pratiquent vraiment. La personne qui la reçoit est volontaire bien que la correction soit particulièrement sévère et souvent hard au sens propre du terme. L’usage de crèmes cicatrisantes ou pour aider les ecchymoses à se résorber et parfois plus que nécessaire.

Il ne s’agit en aucun cas de v i o l e n c e conjugale mais d’un choix délibéré que d’accepter les punitions. Il est à noter que certaines personnes trouvent leur épanouissement et stabilité dans ces pratiques jugées hard.

Réinsertion musclée et troublante (Roman à rebondissements multiples)

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