Fessée

Vendredi 21 novembre 5 21 /11 /Nov 12:11

Tu es pour ou contre la fessée ?

 

- Tu es pour ou contre la fessée ? Demande Sandra à son nouveau copain.

- Nous en avons reçu quand nous étions enfants et nous n'en sommes pas mort ! Lui répond Alain son nouveau copain en continuant de surfer sur Fessestivites, un site de rencontres où ils se sont connus il y a un mois.

- Et entre adultes tu en penses quoi ?

- Les gens font ce qu'ils veulent je m'en tape, mais je trouve que c'est une forme de régression. Nous ne sommes plus des enfants.

- Moi j'aime bien que l'on claque un peu mes fesses pendant les câlins ! Dévoile Lucie très coquine en caressant la poitrine de son copain.

Devant son manque de réaction, elle pince soudain ses tétons fortement et lui arrache un cri de mécontentement.

- Mais t'es conne ou quoi, tu m'as fait mal !

- Je ne l'ai pas fait exprès, je le jure. Répond Lucie avec un sourire en coin.

- Heu...... ! Je pense plutôt que tu as envie que je te donne une fessée comme si tu étais une gamine. Avoue !

- Je ne suis plus une enfant voyons ! Lui répond-elle en pinçant à nouveau les tétons masculin.

- Oh putain con ! Ah tu veux une fessée, tu vas être servie.

Lucie mime la fuite dans le petit appartement d'Alain, la poursuite ne dure pas, tout comme la résistance physique de la coquine qui, en un rien de temps, se retrouve couchée en travers des genoux de son amant. La nuisette rouge en satin est prestement retroussée, une claque s'abat sur les délicieuses fesses de l'impertinente. Une seconde suit mais la conviction n'y est pas, Alain est libertin pas un fesseur et encore moins un adepte du BDSM. Pour lui on ne frappe une femme qu'avec une rose et encore, sans les épines. Il n'arrive pas vraiment à concevoir la chose.

- C'est tout ! Lui indique Lucie en pinçant la cheville de son amant.

Un brin agacé, il se remet à claquer le fessier cette fois avec beaucoup plus de motivation. Voir les deux hémisphères se tortiller sur ses genoux commence à l'amuser, mais la fessée ne dure pas, il ne sait pas faire ou doser. Même si cette fessée n'était ni longue ni appuyée, Lucie éprouve des sensations très agréables, les caresses de son amant improvisé fesseur finissent de mettre le feu aux poudres de sa libido. Elle glisse doucement pour se mettre à genoux devant Alain, écarte le boxer pour entreprendre une fellation aussi passionnée que gloutonne. Le Popaul ne tarde point à monter vers les étoiles, la vilaine se lève, enjambe son amant encore assis sur la chaise pour s'empaler en lui dévorant les lèvres de baisers fougueux.

Les langues se mettent à tourner comme des serpents pendant que les corps fusionnent. Quelques minutes plus tard, ils sont en position horizontale sur le lit témoin des précédents ébats souvent fougueux. Le câlin des amoureux est suivi d'une petite discussion sur la fessée qu'elle semble apprécier et chose surprenante, qui semble utile à son épanouissement. Le mot "épanouissement" a franchement choqué Alain mais il n'a pas relevé.

.....................

Pendant la semaine, ils échangent sur Fessestivites via le chat ou par téléphone comme deux amoureux éloignés géographiquement. Bien décidé à essayer de garder cette perle d'une rare beauté et ultra câline, Alain se penche sur le sujet de la fessée pour comprendre le pourquoi du comment et ce qui anime sa nouvelle amie. Sur le forum fessée il trouve matière à méditer, il y a des débats parfois très animés où il s'étonne de ses lectures et surtout de ce qu'écrivent les filles qui la "subissent". "Subissent" parce que pour lui, cela fait mal, bien que cela puisse être érotique. Il finit par contacter une des filles par la messagerie en lui expliquant clairement qu'il découvre ce monde avec son amie, que ses intentions ne sont pas de la draguer, qu'il désire juste comprendre. L'approche étant correcte, sa correspondante donne négligemment quelques informations, les échanges prennent de l'ampleur et durent un peu. Ils sont pour lui une réelle source d'informations sur la psychologie du monde de la fessée.

.....................

Le week-end suivant, si le vendredi soir n'est que câlins, tendresses et coquineries, le samedi matin, comme un adolescent draguant sa première fille, il s'aventure à gronder Lucie en lui indiquant qu'elle mériterait une fessée pour avoir passé une heure à la salle de bain. En guise de contestation elle lui répond qu'elle est désolée puis, sur un ton très provocateur qu'il faut qu'elle retourne faire son lissage.

- Tu as 10 minutes, si tu dépasses les 10 minutes tu recevras une fessée aussi longue que le temps supplémentaire que je passe à t'attendre inutilement.

- Bien monsieur ! Lui répond Lucie en lui indiquant : "vous me tentez"

Le "vous" le surprend, tout comme la réponse. Cette fois, il va oser et rentrer dans son jeu si elle exagère. Vingt minutes plus tard, elle se pointe au salon avec un sourire radieux et une minijupe particulièrement mini ! En voyant arriver ce chef d'oeuvre de la mère nature ainsi vêtue, il a un coup au coeur, cette jupe est un appel au viol, pas à la fessée. L'envie de la prendre dans ses bras et de la câliner est immédiat, il l'attire sur ses genoux pour un câlin. Sa main glisse sur les cuisses fuselées puis devient plus coquine et découvre qu'elle est nue sous sa jupe.

- Tu ne comptes pas sortir nue sous cette jupe ?

- Oups ? J'ai oublié de mettre une culotte, il faut que je retourne à la salle de bain.

- Tu vas apprendre à tes dépends que la provocation a ses limites.

Prestement soulevée comme un simple sac de voyage, Lucie se retrouve en travers des genoux d'Alain cette fois décidé à oser la fessée. Physiquement et psychologiquement fesser pendant dix minutes n'est pas chose aisée quand l'on n'a pas l'habitude, mais cette fois, il va tenir sa promesse, la fille du site lui a bien fait comprendre qu'une fessée promise doit vraiment être donnée. Elle a même insisté en lui indiquant que si son amie met la main pour se protéger les fesses, il faut la bloquer et ne pas arrêter. Elle l'a toutefois modéré en lui indiquant que le but n'est pas de la violence et qu'il faut toutefois savoir doser.

Lors des premières claques tombant sur ses fesses, Lucie comprend immédiatement qu'il a du se passer quelque chose pendant la semaine car son petit ami n'y va pas de main morte. Elle se surprend même à avoir exagéré et à avoir un peu trop provoqué. La fessée devenant cuisante, elle tente de mettre la main pour se protéger, elle est aussitôt bloquée dans son dos. Sous le feu de cette fessée devenant franchement douloureuse, elle tente de remonter les jambes qui sont elles aussi bloquées par la cuisse d'Alain.

Malgré ses cris, Alain continue de lui claquer les fesses, imperturbable, en regardant l'heure. Les yeux de Lucie commencent à mouiller, cette humidité se transforme en larmes, sa tête tourne, ses fesses deviennent brûlantes. Au bout d'un moment, elle ne ressent plus vraiment la douleur des coups qui pourtant commencent très sérieusement à lui marquer les fesses. Son ventre et sa tête deviennent aussi chauds que ses fesses, quand il s'arrête enfin de la fesser, elle prise de contraction, tout son corps tremble. Elle découvre une forme de jouissance jusqu'à présent inconnue même si ses yeux coulent encore.

Lorsque Alain l'aide à se relever, il se sent soudain très, très mal en voyant les larmes et le maquillage défait de sa perle. Son moral chute soudain, sa gorge se noue, il est aussitôt convaincu d'avoir fait la bêtise de sa vie. Alors qu'il s'apprête à s'excuser et qu'il est prêt à tout pour se faire pardonner de son idiotie, Lucie se jette dans ses bras en lui murmurant des tonnes de "je t'aime""je t'aime". "je t'aime". "je t'aime". "je t'aime". "je t'aime".

EPILOGUE

Le déménagement de Lucie est programmé pour la semaine prochaine, depuis cette fameuse première fessée donnée il y a maintenant six mois, une forme de discipline domestique s'est instaurée pendant leurs week-end en amoureux. Alain est un homme comblé, Lucie a trouvé en un seul et même homme, le fesseur et l'Amour parce qu'il a osé la fessée et qu'une fille lui a donné les bonnes réponses.

En apprenant qu'ils ont décidé de se mettre en couple, la fille ayant conseillé Alain sur le chat de Fessestivites a fondu en larmes pour deux raisons. La première est qu'elle est d'un naturel très sensible, la seconde parce que si elle rêve de faire une aussi belle rencontre, la dernière avec un fesseur soi-disant célibataire lui a laissé un goût amer, le goût de la tromperie.

 

Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

1400 vidéos fessée (Hommes et femmes) sans pub

624 galeries de XX photos fessée (Hommes et femmes)

 

Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 12:15

Discipline domestique les hommes aussi


Si depuis toujours la fessée a une place importante dans l’éducation et compte des pratiques érotiques dans le couple, la voir en application comme dans la vidéo Discipline domestique pour l'homme permet de souligner qu’il n’y a pas que les femmes qui se font punir par fessée.

La vidéo Discipline domestique pour l'homme postée sur Fessestivites en est un bel exemple car elle ne ressemble en rien à une vidéo commerciale. La femme est réellement en colère après son mari qu’elle recadre au sens propre du terme.

Pour avoir plus d’impact et faire plus mal qu’avec sa main, elle utilise une brosse à cheveux en y mettant toute son énergie, l’énergie d’une femme en colère….. Ce n’est pas parce qu’une femme a des bras plus fins qu’elle manque de force et que ses fessées sont douces.

Un petit sondage a été créé sur le forum Fessée du site pour savoir votre position vis-à-vis de la discipline domestique réelle. Par réelle, nous ne parlons pas d’érotisme mais bien de punition.

Il n'y a pas que la fessée dans la discipline domestique, la fessée donne seulement un cadre à ce sondage.

LES QUESTIONS DU SONDAGE DU FORUM FESSEE

Aimeriez-vous mesdames pratiquer la discipline domestique et punir REELLEMENT votre mari en le fessant ?

Accepteriez-vous REELLEMENT messieurs que votre épouse pratique la discipline domestique et vous punisse avec la fessée ?

Mesdames accepteriez-vous REELLEMENT que votre mari pratique la discipline domestique et vous punisse par la fessée ?

Messieurs accepteriez-vous REELLEMENT de punir votre épouse par la fessée ?

Nous pratiquons déjà la discipline domestique (Homme fessé)

Nous pratiquons déjà la discipline domestique (Femme fessé)

Le mot REELLEMENT est volontairement en gros et répété pour bien différencier le plaisir érotique de la fessée et la réelle discipline domestique. Merci de ne pas confondre dans vos réponses sur le forum fessée.

Webmaster

 

 

Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

1400 vidéos fessée (Hommes et femmes) sans pub

624 galeries de XX photos fessée (Hommes et femmes)

 

Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 29 octobre 3 29 /10 /Oct 12:06

Comme une évidence


Récit de la rencontre entre une jeune femme et un couple pratiquant la fessée et la discipline domestique

Il était là, assis sur le canapé, les bras ouverts. Il m'attendait.

Souvent, lorsque je l'y rejoignais, nous y partagions de claquantes expériences. Tantôt je me débattais sous les foudres de sa colère issue de quelque gronderie, luttant contre les larmes qui piquaient les yeux, les claques résonnant à mes oreilles et brûlant ma peau, pleine de tristesse d'avoir déçu mon fesseur, tantôt je m'y tortillais, un petit sourire aux lèvres, qui s'entrouvraient parfois en un gémissement, laissant monter de mon ventre le plaisir qui terrasse.

Mais aujourd'hui, c'était un jour spécial. Parfois lorsque je demeurais muette, Il me grondait. « Je ne suis pas là que pour te claquer les fesses ! Un ami est aussi là pour te soutenir dans les moments difficiles. »

Sur Fessestivites, je cherchais au départ un fesseur. Pas un ami, surtout pas un petit copain, simplement un fesseur. Froid, sévère, sadique. Celui qui saurait m'imposer des règles, auxquelles je n'étais même plus sûre de vouloir réellement obéir. Le fesseur classique, de la représentation populaire. Je m'y suis inscrite impertinente, volontairement provocatrice et distante, refusant de trop en dire, refusant de m'impliquer, car parfois l'amitié est trompeuse, décevante, et blesse inutilement. Mais peut-on vivre sans amis ?

C'est un petit chat sauvage qui a découvert ces pages, se brûlant quelques fois les moustaches sur le dépit destructeur de quelques frustrés qui, lorsqu'ils parviennent à faire illusion suffisamment longtemps pour faire des rencontres, finissent par tomber le masque et s'ajoutent à la liste des espérances déçues. « Il ne faut rien attendre de personne, m'avait-Il dit, ainsi tu peux profiter de ce qui vient sans déception. »

Je n'ai rien attendu, Monsieur. La relation s'est simplement imposée, au fil des week-ends, au fil des rencontres, les pique-niques, les moments de simple partage entre nous trois. Parfois, l'amitié se fait simplement évidente. J'ai trouvé deux amis formidables. On dit qu'on ne choisit pas sa famille, mais qu'on peut choisir ses amis. Parfois, un lien amical est bien plus fort qu'un lien de sang. J'ai trouvé un fesseur, mais j'ai aussi trouvé une sœur. Sous l'égide du Pater familias, nous instaurions une logique d'éducation anglaise, de règles de vie rythmant nos jours, et devenions peu à peu des confidentes.

Ce jour-là, je suis allée le trouver, je lui ai dit qu'il fallait que je lui parle de quelque chose. Les mots se sont enchaînés, avec une étonnante clarté qui ne me ressemble pas lorsque j'ai quelque chose qui me touche émotionnellement à dire. Il m'écoutait attentivement. J'attendais des conseils sur la situation qui était la mienne. Ce que j'en retirai dépassa de loin ce que j'avais espéré. Il se pencha sur moi, me serra contre lui.
« Je suis fier de toi. », m'a-t-Il dit.

C'était le soir et nous n'avions pas encore joué, l'ambiance ne s'y prêtait pas. Mais je le rejoignis sur le canapé. Je me blottis contre lui, la tête dans le creux de son épaule. Ignorant mon instinct peu tactile qui souvent me faisait sursauter lorsqu'une main se posait sur mon épaule, je me laissais bercer. Cela aussi, c'était nouveau pour moi. Je n'ai jamais vraiment accepté de me prêter au jeu des câlins. Je m'en voudrais d'apparaître fragile, frêle, délicate. Vulnérable. Mais la confiance se gagne et lui la mérite plus que tout autre. Elle nous rejoignit alors, apportant un verre à son maître, et déposa un baiser sur mon front ; au milieu d'eux, je me sentais en sécurité.

Entre quelques murmures et gentilles provocations, une envie coquine naquit. Alors, je me relevais avec un petit sourire en coin, relevant ma chemise pour qu'il puisse de ses doigts investigateurs déboutonner mon pantalon. Il me déculotta, découvrant mon intimité glabre, faisant voler des papillons dans mon ventre. Je me penchais en travers de ses genoux, et les claques plurent sur mon fessier. Gentille, piquante, progressive, la fessée titilla mes sens, fit monter le plaisir, lentement, inexorablement. J'en vins à me laisser totalement aller, n'étant plus qu'un corps brûlant, ma conscience dépassée ayant donné sa complète reddition pour que tout mon être puisse profiter du raz-de-marrée de plaisir qui l'avait conquis.

Il finit par s'interrompre, m'informant qu'il n'était pas boucher et que même si passé un certain stade de douleur, ce n'était que du bonheur, Il n'avait pas l'intention de m'ouvrir les fesses, et qu'il était de son devoir d'arrêter avant de trop abîmer mon « adorable fessier ».

Il y étala un peu de crème d'Arnica, ajoutant quelques claques pour qu'elle « pénètre » bien. Lui promettant mille vengeances, je parvins à en glaner quelques unes de plus, la texture collante de la crème offrant des sensations très originales que j'affectionnais tout particulièrement.

Nous partageâmes ensuite un repas, parlâmes à bâtons rompus tandis que je redescendais sur terre. Nous rîmes. Nous échangeâmes moult expériences et anecdotes rocambolesques.
Une relation comme la notre, ce n'est pas que du cul, en fait, vous voyez.

Mon crâne côtoyant les nuages, je m'installais dans un confortable mutisme, laissant les mots couler autour de moi, un petit sourire sur mes lèvres, sirotant parfois une gorgée du cocktail qu'Elle m'avait servi. Je Les observais.

Parlez-moi de ces orgasmes qui n'en finissent pas, parlez-moi de ces moments de flottements qui nous rapprochent et nous apprennent à nous connaître, parlez-moi du fait que ça ne marche pas à tous les coups, parlez-moi de ce que je ne connais pas et que j'essayerai peut être un jour, parlez-moi de la complicité, parlez-moi de la nature humaine et du fait qu'on a toujours le choix.

Parlez-moi de l'amitié qui parfois se crée au détour d'un site comme Fessestivites.


Espiègle


UN GRAND MERCI A ESPIEGLE POUR CE TEMOIGNAGE


 

Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

1400 vidéos fessée (Hommes et femmes) sans pub

624 galeries de XX photos fessée (Hommes et femmes)

Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 8 septembre 1 08 /09 /Sep 17:28
Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 31 août 7 31 /08 /Août 13:28

Week-end fessée et discipline domestique



Samedi 13 septembre au dimanche 14 septembre



PRINCIPES / PRIX / HORAIRES

Arrivée le samedi entre 17h et 18 heures
Apéro / repas /soirée
Possibilité de planter la tente
Dimanche : petit déjeuner / discussions / jeux et pratiques libres
Photos : interdites sauf l'appareil de fessestivites peut être utilisé les photos sont flouttées

PRIX : Gratuit mais contribution en bouteilles et nourriture

LIEUX : Vauvert 30 chez TSM et sa soumise

PUBLIC :

Femmes seules : complet
Hommes seuls : complet
Couple : il reste 2 places

Réservation : adressez un email AVEC votre numéro de téléphone à contact@fessestivites.com

 

 

Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

1400 vidéos fessée (Hommes et femmes) sans pub

624 galeries de XX photos fessée (Hommes et femmes)

 

Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 19 août 2 19 /08 /Août 17:15

Mes fessées, mon Fesseur, ma dernière punition



Avant propos


Personnellement, dans ces pratiques autour de la fessée, alors que je me rebellerais dans une relation normale avec une autre personne, face à mon Fesseur, je n’y pense même pas. Et si d’aventure j’y pense, je ne le fais pas à cause de cette relation si particulière, cette dépendance que j’ai envers lui, ses actes, cette situation qu’il sait créer pour me faire progresser dans de nombreux domaines comme s'il était mon père. ( Stop : sans l'être et sans avoir le complexe d'Œdipe ! ! ! ) Il m'arrive d'avoir un sursaut de rébellion, en allant pourtant rarement au bout de ma désobéissance, car c'est plus une recherche de limites, une vérification qu'elles existent, comme si je touchais du doigt le cadre qu'il m'impose mais qu'on a été deux à forger.

Dans une vie d'adulte, il est un faux papa ou un tuteur choisi pour une fausse grande fille qui aime par la fessée qu'on l'aide encore à grandir puisqu'il n'y a pas d'âge pour cela. Cette relation "grande fille" et son Fesseur m'apporte du réconfort et un équilibre, j'ai de petits copains, je fais l'amour avec qui je veux (pas avec mon Fesseur) et je suis libre comme l'air pour gérer ma vie, bien que pour certains points, mon Fesseur me fixe des interdits, des obligations qui portent toutes sur l'éducation. Ces points sur lesquels nous avons défini des règles, c'est moi qui ai voulu qu'on travaille dessus, qu'il m'aide à progresser. Il n'a pas cherché à me modeler, mais j'ai recherché cette relation en toute liberté.


.......................


Il y a huit jours, j'ai fait une bêtise. N'étant pas du style à tricher dans la vie et encore moins dans la relation que j'ai avec mon Fesseur, je lui ai avouée même si j'étais prévenue qu'en cas de manquement j'aurai rendez-vous avec la canne anglaise dont j'ai une peur bleue. Le coeur gros, me traitant mentalement de tous les noms pour cette erreur évitable que j'avais faite, je lui ai donc adressé un message dans lequel je lui avouais ma forfaiture. Il m'a répondu sans aucune colère, "Tu sais ce qui t'attend".


L'attente de notre rencontre fut horriblement longue tant je stressais. Je lui en ai parlé, il m'a simplement indiqué qu'il serait juste dans la punition sans être cruel. Il a pris le temps de m'expliquer ce qui m'attendait, ce qui ne m'a guère rassurée car j'étais à présent convaincue que j'allais être punie et pour de vrai, mais j'ai également eu une sensation étrange, comme si j'étais retenue au moment de tomber et qu'il s'assurait que je reste sur le droit chemin, que mes erreurs seraient pardonnées. D'une certaine façon, j'avais besoin d'en passer par là pour pouvoir faire table rase de ma bêtise et me le pardonner. Au final, j'avais toujours aussi peur de la punition mais lui en avoir parlé m'a fait du bien.

Le jour J, avant mon arrivée chez lui mon coeur battait la chamade. Descendre de la voiture pour entrer dans sa maison a fait encore monter la pression en moi. Son accueil fut aussi chaleureux que d'habitude, il n'y avait en son regard aucune tension, aucun reproche, juste de l'affection pour la grande fille qu'il était ravi de revoir. Il a tenu à ce que je m'assoie, que je prenne un verre, que l'on discute un peu de tout et de rien en sortant, comme à son habitude, quelques tirades humoristiques bourrées de jeux de mots. Je crois que son but était de me décontracter car il savait que j'avais peur.


J'ai bien essayé de négocier autre chose que la canne anglaise mais en vain. Je me suis laissée convaincre par son insistance posée et calme de le suivre à sa chambre où il a baissé mon pantalon et ma culotte en me demandant de m'allonger à plat ventre sur le lit. A présent, il ne me tardait plus que mettre cette mésaventure derrière moi et me faire pardonner. Il a posé un oreiller sur mon dos et sur mes cuisses en m'indiquant que c'était pour éviter de me blesser. Me blesser ?????? Ces mots m'ont glacée le sang. J'étais décomposée, déjà punie par la peur sans avoir besoin de la douleur, mais il fallait bien que la leçon "pénètre"!

Lors du premier impact annoncé par le sifflement de la canne anglaise, mes poings se sont serrés aussi fortement que mes dents. Un trait de feu venait de traverser mes fesses, la douleur ressentie que je découvrais était intense et fugace aussitôt suivie par un truc bizarre difficile à décrire. Je dirai que c'est comme si des dizaines de fourmis partaient toutes en même temps du lieu de l'impact de la canne. Les coups suivants bien qu'espacés de quelques secondes devinrent de plus en plus secs, beaucoup plus vigoureux et sévères. Je n'aurais cru être capable de vivre cela sans éprouver de colère.


Pendant la punition je n'ai éprouvé aucun plaisir même si j'aime la fessée pour tout ce qu'elle représente. J'ai eu juste mal dans mon corps et dans ma tête parce que j'étais furieuse après moi, pas après lui.

Quand, en grand protecteur attentif il a passé de l'Arnica en gel sur mes fesses endolories, j'ai ressenti un plaisir étrange et puissant après cette souffrance volontairement acceptée, presque quémandée car j'ai besoin de cadre pour m'épanouir, cette forme de douleur désirée aussi, sans doute parce que si proche de la jouissance intellectuelle et physique.

Il m'a aidée à me relever, à me rhabiller puis m'a entraînée sur le canapé, où assise sur ses genoux avec la tête contre son épaule pour un gros câlin consolateur, j'ai pu pleurer et me laisser aller. Ce que je venais de vivre avec la canne anglaise et cette punition, n'avait aucun rapport avec les fessées parfois ultra sévères que j'avais vécues auparavant. Ce n'est pas une question de douleur, la fessée peut être ultra douloureuse, c'est tout autre chose.

Quand on reçoit la fessée sur les genoux de son fesseur, on est en contact avec son fesseur, ce qui rassure, quand on se fait canner, ce contact n'y est pas, il est possible que ce soit aussi plus dur à cause de cela. Il y a aussi la peur qui rendait les coups bien plus difficile à supporter qu'ils ne l'étaient en réalité.

La canne laisse des marques en forme de stries, la fessée à la main ou à la brosse à cheveux ou autre.... laissent parfois de bleues, les douleurs sont différentes, le contexte aussi. Que l'on ne s'y trompe pas, il y a de multiples façon de donner la fessée et donc de la recevoir, la fessée punitive immédiate, la fessée promise et la fessée plaisir parce que l'on peut aussi jouir réellement avec une fessée. La jouissance sous la fessée ne peut être dans un cadre punitif, le "bien" généré ne porte que sur le fait que cela aide à "grandir"


 

Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

1400 vidéos fessée (Hommes et femmes) sans pub

624 galeries de XX photos fessée (Hommes et femmes)

Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 13 août 3 13 /08 /Août 20:55

Elle donne des Free fessées hard



Lisa est formatrice dans un centre de formation pour adulte. Manque de chance pour le centre, deux des trois personnes devant suivre cette formation ne se présentent pas. Afin de ne pas trop perdre d’argent, le directeur du centre décide de laisser tourner cette formation, quitte à être perdant, il tirera toujours quelques argents pour payer sa formatrice.

Paul est donc seul avec Lisa, sa formation de commercial téléphonique initialement collective sera donc individuelle et personnalisée, le conseil général ne s’en plaindra pas bien au contraire, son bénéficiaire du RSA en bénéficiera. Paul est un dragueur adepte de la fessée. Inscrit sur le réseau social Fessestivites il recherche une fesseuse pouvant satisfaire ses fantasmes autour de la fessée puis de discipline domestique s’il parvenait à rencontrer une femme avec laquelle il trouverait affinités.

Lors de cette formation avec la belle et charmante Lisa, il n’a de cesse que d’essayer de la séduire mais en vain, le cœur de la belle et charmante formatrice est déjà pris, elle n’est pas libertine bien que très joueuse. Basketteuse semi professionnelle, Lisa est grande, musclée et très sportive, son caractère très appuyé en fait une formatrice n’ayant pas froid aux yeux quand les formés s’emballent devant la beauté de cette fille particulièrement désirable, pour ceux qui pourraient avoir l’âme d’un homme recherchant une femme au caractère dominant.

Lors de cette formation, Paul, dont le niveau est très bas, n’a que faire des cours dispensés et passe son temps à dire des bêtises pour se rendre intéressant. Etre recadré plusieurs fois ne le gêne pas, bien au contraire, cela l’amuse.

- Une cliente vient de souscrire à l'offre Freebox Révolution mais n’arrive pas à se connecter, quelle sera votre réponse ? Demande Lisa informée de l’offre de recrutement de Free.

- Je répondrai que si elle a free et elle n’a rien compris, je peux lui donner des cours particuliers sur la free ture moyennant finances et gâteries afin qu’elle puisse bénéficier pleinement de l’offre du Portail Free.

- Paul vous commencez à me gonfler grave avec vos conneries, vous mériteriez que je vous donne une fessée comme un grand gamin que vous êtes malgré votre âge ! Répond Lisa agacée.

- Des promesses, des promesses, vous seriez mal si je vous disais que je suis d’accord pour recevoir cette fessée méritée.

« Oh putain con je vais me le faire celui-là » pense Lisa animée par une envie de gifler cet homme d’un chiant au dessus de la moyenne.

- Mon cher Paul vous vous plantez totalement, cette fessée je vais vraiment vous la donner si vous continuez.

- Chiche ! Répond Paul sans avoir conscience des risques encourus.

En la voyant se lever pour pousser les tables et s’installer sur une chaise, Paul déchante aussitôt. Il essaie de négocier en disant qu’il plaisantait mais Lisa ne lâche pas l’affaire et lui rappelle qu’il vient de lui répondre « chiche » et qu’il n’a pas d’autre choix que d’assumer, sauf si c’est une poule mouillée ou une carpette ! Vexé Paul accepte de relever le défi mais déchante quand elle entreprend de baisser son pantalon en indiquant que l’on pourrait les voir.

- Nous sommes seuls au centre cet après-midi, ne comptez pas vous défiler avec ce genre de connerie ! Répond Lisa décidée à lui tanner les fesses bien plus que les petites fessées plaisir qu’elle donne à son copain.

Paul n’a pas d’autre choix que d’abdiquer, il est un peu gêné de faire voir ses fesses mais en même temps, il est très excité à l’idée de réaliser son fantasme. Il s’installe donc sur les genoux de Lisa ne tardant pas à lui claquer les fesses. Le gros problème de Paul est que claques données par Lisa basketteuse semi professionnelle ultra sportive sont franchement redoutables pour son fessier de fantasmeur. A la troisième claque s’abattant sur son cul encore blanc, il bondit de douleur et essaye de la main de protéger ses arrières. La main immédiatement saisie au vol n’empêche en rien la fesseuse décidée de lui tanner réellement le fondement. La douleur est telle que Paul n’arrête pas de s’agiter, de relever les jambes ou d’essayer de repousser le battoir féminin d’une puissance insoupçonnée.

- Petit con, si la cliente venant souscrire à l'offre Freebox Révolution n’a rien compris et que tu te moques d’elle, moi je vais te faire une free fesses rouges sans box version Freebox révolution en détail avec assistance anti connerie ! Lui crie Lisa en frappant de toutes des forces sur le fessier de plus en plus rouge.

Ne pouvant réellement luter contre les muscles de Lisa, à force de bruyantes lamentations, Paul parvient à la convaincre qu’il a compris la leçon. Chassez le naturel il revient au galop ! A peine debout, il ne peut se contenir en lui indiquant que sa fessée fait frire les fesses bien plus que la Freebox puisqu’elle boxe les fesses. Cette mauvaise réponse génère une colère froide en Lisa. Lorsqu’elle lève la main, Paul dont les fesses chaudes sont encore nues et accessibles se retrouve plaqué sur la table de formation pour une suite de free-fessée endiablée dont certaines claques finissent leur courses sur ses cuisses. Plié de douleur, il finit par s’effondrer sur le sol et par supplier en présentant ses excuses.

EPILOQUE

C’est grâce à une free-fessée donnée par une formatrice que Paul a trouvé un emploi en CDI chez Free. Surtout ne le dite pas au conseil général ni sur internet où Lisa risque d’être débordée par les demandes.

TSM

P.S. les puristes de la fessée constateront en regardant cette vidéo sur Fessestivites que ce n’est pas de la fessée « « « cinéma » » » et que Lisa ne plaisante pas quand elle fesse !


 

Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

1400 vidéos fessée (Hommes et femmes) sans pub

624 galeries de XX photos fessée (Hommes et femmes)

Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 27 juillet 7 27 /07 /Juil 19:00

La fessée qui casse !


Une fessée qui casse peut surprendre comme titre mais cette histoire est 100 % réelle et en aucun cas le fuit de mon imagination ! C'est une aventure vécue qui restera à jamais gravée en nos mémoires.

Ce jour là, j'étais entouré de filles aussi adorables que joueuses en BDSM ou dans le monde de la fessée. TSM entouré de filles joueuses, que demander de mieux me direz-vous !

SAUF QUE ! ! !

Sauf que, travailler sur mes PC en écoutant leurs délires et commentaires me demandait une monstrueuse concentration pour bosser puisque la vie m'imposant des "obligations" professionnelles.

Sauf que, quand des filles partent en délire et s'amusent à dire des choses coquines (entre elles c'est chaud chaud) puis à provoquer le mâle fesseur et Maître, l'ambiance devient agréablement électrique mais électrique quand même.

Devant le nombre de provocations et boutades du type, "s'il doit nous toutes fesser il va avoir besoin de vitamines et de crème pour les mains", au bout d'un moment l'envie de recadrer un peu la situation vous vient ! Espiègle, dont l'humour peut être décapant, décida de me tenir tête et d'en rajouter à sa façon ce qui fit éclater de rire les deux autres filles.

Nous en conviendrons, je ne pouvais laisser passer cela ! Si les coquines s'amusaient à provoquer pour que je m'occupe de leurs fessiers, elles ne s'attendaient point à ce que j'aille prendre dans mon armoire remplie d'outils "pédagogiques" des accessoires du type martinets, brosse à cheveux spécial fessée et un paddle de bonne taille.

A mon retour, en voyant ce que j'avais dans les mains, les filles perdirent au moins trente secondes de leur superbe. Au lieu de jouer profil bas, Espiègle, aussi inconsciente que kamikaze avec son fessier, s'amusa à rajouter sa touche d'humour en me demandant si j'avais décidé de faire une campagne promotionnelle pour la boutique ABCplaisir !

"Oh putain con ! Il y en a une qui va avoir du mal à s'asseoir" ai-je pensé en l'attrapant par le bras pour la conduire sur la terrasse en attrapant une chaise au passage. D'un caractère bien trempé, Espiègle s'amusa à me résister et à m'empêcher de baisser son pantalon pour la fessée méritée. Ceux qui connaissent la puissance d'un véritable paddle donné de façon punitive, savent aussi qu'un pantalon est un bien faible rempart de tissu.....

Les provocations étant amicales, j'entrepris donc de commencer par lui donner une fessée à la main avant de passer au paddle pédagogique ayant pour but de lui rappeler que quand j'indique qu'il serait bien de mettre un bémol aux provocations, il est sage d'écouter mes conseils.

Les deux autres filles n'étaient point avares de commentaires pendant que ma giroflée à cinq branches s'attaquait aux cuisses de l'agitée bloquée par mon bras et ma jambe quand soudain ...

Quand soudain il m'a semblé que je glissais de la chaise ! (Véridique)

Bien décidé à poursuivre la fessée commencée, je contractais donc mes jambes en claquant de plus belle l'adorable fessier d'Espiègle quand soudain, la chaise rendit l'âme. Deux secondes plus tard mon fessier s'écrasa sur le carrelage avec en prime le poids d'Espiègle qui, dieu merci, est un poids plume sans quoi c'est un truc à se casser le coccyx.


Comment poursuivre la fessée quand trois filles sont pliées de rire à côté de vous donc une sur vous sensée être contrariée ?
Comment donner la fessée quand une des filles pliée de rire faits des photos souvenir ?
Comment donner la fessée quand on est pris d'un fou rire ?
Comment donner la fessée dans ces circonstances ?

Parvenant à peine à respirer entre deux fous rires, j'ai décidé de reporter la chose mais rassurez-vous, les fesses rouges des trois grâces trouvèrent deux heures plus tard que les chaises étaient inconfortables.

SAUF QUE !!!!!!!

Même si elles eurent le soir même besoin toutes les trois de crème pour leurs fesses rouges, le lendemain, pendant que je me concentrais sur mon travail elles me proposèrent de faire une pause café que j'ai eu bien du mal à boire sans baver. (Si si, ne vous moquez pas, vous allez comprendre rapidement pourquoi)

Installées devant un ordinateur portable pendant que je prenais le café qu'elles m'avaient servi, elles se mirent à chanter les parodies ci-dessous ! ! ! !

(Laisse béton - Renaud)
J'étais tranquille j'étais pénard
En train de fesser la p' tite Espiègle
Quand j'me suis dit qu'il s'faisait tard
Ou qu'il m'faudrait un café noir

(Mistral gagnant - Renaud)
A m'asseoir sur une chaise
Cinq minutes à fesser
Je pensais pas qu'elle tomberait
Je la retenais quand même
On sait jamais avec elle
Car plus je la claquais plus elle glissait

(J'ai encore rêvé d'elle – Il était une fois)
Et j'ai encore fessé la belle
Qui était bien installée
Elle gigotait un peu quand même
Mais le sol s'enfonçait
Ca a craquééé
On est tombééés

(Hisse et ho ! Santiano – Hugues Aufray)
C'était pourtant une bonne chaise
Qui craquaiiiit jaaaamais !
Avec elle ç'a pas seulement craqué
Ca s'est carrément cassé

(Qui a le droit – Patrick Bruel)
Qui a le droit
Qui a le droit
Qui a le droit d'faire çaaa ?

(Casser la voix – Patrick Bruel)
CASSEER LA CHAIIISE !
CASSEER MA CHAIIISE !
Casser la chaaaiise.

(Les bêtises – Sabine Paturel)
Tu fais rien que des bêtises
Même quand j'suis là
T'auras pas de chocolat
J'vais tout garder pour moi !

Et là elle m'a dit... Laisse béton...

(Les bêtises – Sabine Paturel)
J'ai déjà mangé le chocolat
Y'en aura même pas pour toi

(Encore un matin – Jean-Jacques Goldman)
Encore une fessée !
Une fessée pour toi
Tu l'as cherchée et tu l'auras
Je change de chaise
Je l'attire à moi
Tu vas la sentir passer celle-là.

Franchement, les temps sont durs pour les Maîtres et fesseurs !

Maître TSM fesseur parfois perturbé par les évènements !


 

Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

1400 vidéos fessée (Hommes et femmes) sans pub

624 galeries de XX photos fessée (Hommes et femmes)

Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 2 juillet 3 02 /07 /Juil 09:29

Rendez-vous fessée chez le punisseur



En 2017, les lois ont changé, les ministres de pacotilles ont été remplacés, ministre un mois retraite à vie n’est plus, tous ces gens sont maintenant obligés de travailler. En votant pour un président dur et ferme, les français ont choisi un gouvernement capable de redresser le pays et de rétablir l’ordre. La fermeté de ce gouvernement ne s’applique pas qu’aux élus, elle s’adresse aussi aux administrés comme le découvrent au fil du temps ceux et celles qui criaient au scandale pour les dépenses publiques et les assistés de la société.

Qui n’a jamais essayé de tricher un peu pour les impôts, la TVA ou de gratter quelques jours de travail en exagérant un peu chez le médecin pour obtenir un arrêt maladie ?

Martine compte des râleurs tout en essayant aussi de gratter quelques argents sur ses impôts sauf que ! Sauf que le gouvernement a mis en place de nouvelles règles, tout contrevenant ou tricheur doit être puni. Lors de son contrôle fiscal, cette jeune commerçante dans le prêt à porter s’est faite piéger. L’inspecteur des impôts a découvert ses tricheries. Le gouvernement ne désirant pas assassiner les commerçant, elle a écopé d’un redressement fiscal avec des facilités de paiement et un « Rendez-vous chez le punisseur » en guise de pénalités.

………………….

Préfecture de Paris Mardi 13 juin 2017 neuf heures

Martine est dans ses petits souliers, elle a entendu parler des punitions physiques appliquées mais comme les gens disent tout et n’importe quoi, elle se méfie des ouï-dires. Ces nouvelles sanctions physiques ne sont mises en place que depuis un mois et on ne sait que peu de choses. L’hôtesse d’accueil amusée lui indique le chemin dans le dédale des couloirs.

Assise sur un banc scellé dans le sol avec une boule d’angoisse sur l’estomac, devant une porte capitonnée , elle attend maintenant d’être appelée. Lorsque son nom résonne dans le couloir, elle bondit de peur. Un homme charmant sort pour la réceptionner en l’invitant à entrer. Un homme aussi respectueux vêtu d’une blouse blanche comme les médecin ne peut pas lui faire du mal, pense-t-elle, non, ce n’est pas possible.

La pièce refaite à neuf pour l’application des nouvelles règles et sanction est quasiment aseptisée et sans âme. Les murs blancs donnent l’impression d’une salle d’opération, une demi croix horizontale avec des sangles trône au milieu face à un bureau. Un WC a été installé sauf qu’il n’y a pas de porte. « Oh mon dieu, faite que je n’ai pas envie de faire pipi », pense Martine d’une nature pudique malgré ses tenues souvent très provocantes.

- Mademoiselle Lecroux Martine, c’est bien cela ?

- Oui Monsieur ! Répond Martine d’une toute petite voix.

- Donnez-moi votre pièce d’identité et retirez votre culotte !

- Mais pour quoi faire ?

- Parce que je vous le demande !

La gorge serrée, Martine donne sa carte d’identité puis s’exécute en essayant de ne rien dévoiler de son anatomie en retirant son string, si elle savait……

- Allongez-vous sur la croix je vous prie ! Lui indique le punisseur en la guidant d’un geste calme, posé.

Avec un calme olympien, il sangle ses bras écartés sur cette forte de croix dont le haut n’est pas en V mais en T. Lorsqu’il entreprend de sangler ses jambes, Martine prend conscience que la position dans laquelle elle se trouve dévoile totalement son anatomie. Morte de honte, elle peine à avaler sa salive.

- Mademoiselle Lecroux Martine, vous avez été condamnée pour fraude fiscale, comme c’est la première fois, vous ne recevrez qu’une fessée à la strap. En cas de récidive cela sera la canne anglaise jusqu’au sang, une nouvelle récidive sera sanctionnée au fouet.

Elle va recevoir une fessée, on le lui avait bien dit, mais elle n’imaginait pas que cela soit vrai. Quelle horreur. Le punisseur attrape une serviette qu’il roule en boule puis lui demande de soulever les fesses pour qu’il la glisse sous son ventre. C’est sûrement pour que je ne me fasse pas mal, pense Martine un instant avant de se rendre compte que c’est pour soulever son fessier et l’exposer plus encore au punisseur. Lorsqu’il soulève sa jupe, Martine se sent plus que nue, ses fesses sont exposées, mais son entrejambe aussi, à la caméra de contrôle permettant de prouver qu’il n’y a pas d’abus.

Le punisseur saisit une strap en cuir, une sorte de plaque de cuir noir épais, inquiétant. Il en joue avec en tapant doucement dans sa main avant de caresser délicatement sa fesse gauche. « Quel dommage d’être obligé de rudoyer un aussi joli fessier »,commenta-t-il.


Sans la prévenir, il arme son bras et abat d’un seul coup la strap sur les jolies fesses frémissantes. La douleur est saisissante, la respiration de Martine se bloque un instant, aucun son ne sort de sa bouche grande ouverte. Le coup suivant ne tarde pas, il est aussi violent que le premier, Martine pousse un hurlement déchirant. La fessée, elle en avait vu et entendu parler, mais jamais elle n’aurait imaginé qu’avec une strap, cela puisse être aussi douloureux. Les coups s’abattent sur ses fesses méthodiquement avec la régularité d’un métronome. Ses petits doigts serrent ou griffent la croix en fonction des coups. Ses cris se transforment en plaintes de désespoir. Les rivières de larmes emportent un maquillage soigné sur leur passage, elle renifle maintenant lamentablement, pleure et cris parfois sous les coups.

La main du punisseur palpe ses fesses rouges cruellement meurtries. Si elle apaise la douleur, elle fait aussi très peur à Martine. Elle n’a pas tord d’avoir peur, il fait un état des lieu, si la loi lui impose d’être sévère, pour une première sanction il n’a pas le droit de blesser. Jugeant qu’il peut poursuivre, il reprend la fessée pendant une petite minute qui semble durer une heure pour celle qui est punie.

Lorsqu’il entreprend de la délivrer de cette croix maudite, Martine comprend que c’est enfin terminé. Avec galanterie il l’aide à se lever puis lui tend son string en lui indiquant qu’elle peut se rhabiller. Sans plus de considération il appose sa signature puis un coup de tampon sur des documents avant de lui en remettre un exemplaire.

- Mademoiselle, si vous estimez que la punition était excessive, vous avez le droit de demander la vidéo. En ce cas, elle sera visionnée par les membres du bureau constitutionnel qui, s’ils jugent que votre plainte est abusive, peuvent vous condamner à recevoir une seconde fessée. Je vous invite à méditer avant de vous plaindre. Sur ces quelques mots, sachez que même si vous êtes charmante, je ne souhaite pas vous revoir ou du moins dans ces circonstances, mais c’est vous qui voyez.

Ecrivaillon

 

Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

1400 vidéos fessée (Hommes et femmes) sans pub

624 galeries de XX photos fessée (Hommes et femmes)

Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 26 juin 4 26 /06 /Juin 12:45

Antoine et Pascale (Homme fessé)
Auteur : un membre du réseau Fessestivites

Il lui dit que cette fois c'était trop. Elle y était allée trop fort. La correction avait largement dépassé ses limites. Il garderait des marques sur les fesses et les cuisses pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Elle le regardait de haut, son ceinturon toujours à la main, une expression de déception mêlée de colère sur le visage. L'anxiété l'envahit aussitôt. Il leva la main par réflexe pour intercepter la gifle qui allait, il en était sûr, tomber. Mais elle se détourna simplement de lui.

 Madame, je...
 Tais-toi. Je me dévoue pour toi, pour t'apporter cette éducation que tu recherches, et lorsque je m'exécute, tu trouves le moyen de te plaindre. On en a fini tous les deux. Rentre chez toi, tu n'auras plus de nouvelles de moi.
 Non ! S'il vous plaît, je ferai des efforts, je vous le jure ! C'est simplement, cette fessée, elle était vraiment trop forte, et je...
 Je t'ai dit de te taire !

Il s'exécuta. Son regard désemparé cherchait celui de sa fesseuse, Pascale, qui semblait réfléchir. Paniqué, il se demanda si cette fois-ci, il l'avait définitivement perdue. Elle se détournait de lui, parfois. Elle connaissait son angoisse de l'abandon. Elle l'avait utilisée pour le punir lorsqu'il devenait nécessaire pour lui de changer d'attitude. Elle en avait usé et abusé, au point de le rendre fou, dépendant, acceptant tout ce qu'elle lui imposait pour ne pas être rejeté. Un jour, Pascale l'avait utilisée à bon escient. Mais pour comprendre cela, il fallait remonter quelques mois plus tôt.

Antoine était un beau jeune homme d'une vingtaine d'années. Etudiant sans le sou, collectionnant les petits boulots pour joindre les deux bouts et perdant peu à peu pied dans ses études, il avait peu à peu plongé dans les méandres d'une vie de plus en plus glauque, jusqu'au soir où il avait rencontré Paul, dans un bar de la rue des Martyrs. Paul avait la quarantaine, la peau abîmée, une barbe de trois jours et des yeux verts laiteux. Paul l'avait dragué. Antoine n'était jamais sorti avec un garçon. En réalité, il n'avait connu qu'une fille, et cela n'avait pas duré bien longtemps. Devant son refus, Paul lui avait proposé trois billets de 50€ en échange d'un peu de bon temps. Le jeune homme n'était pas en position de refuser. Son loyer impayé depuis plusieurs semaines, son propriétaire menaçait de le mettre à la rue. Il avait suivi Paul jusqu'à une ruelle sombre, et empoché les billets. Malgré le dégoût premier, Antoine était tombé bien trop bas pour faire marche arrière. Il retourna donc dans la rue des Martyrs, le jour suivant. A la fin de la semaine, son retard de loyer était payé.

Depuis ce soir-là, il échangeait le soir dans les bars ses « services » contre de l'argent. Profitant de son physique avantageux, son corps d'adolescent était passé de mains en mains, de chambre en chambre. Il ne pouvait compter le nombre de clients qui avaient joué avec ses cheveux bouclés qui lui donnaient l'air d'un chérubin tombé du paradis. Il ne savait combien de doigts avides avaient exploré le moindre recoin de son intimité, s'infiltrant entre ses fesses blanches et rebondies. Mais il n'y en avait jamais assez Alors qu'il en était réduit à récupérer des morceaux de sandwiches entamés dans les poubelles de la gare du Nord, une dame d'une cinquantaine d'années l'avait repéré. Elle s'appelait Pascale et elle était enseignante. Habillée d'une façon très sobre, un tailleur beige et des escarpins, sa douceur mêlée d'autorité, son inquiétude pour lui l'avaient bouleversé. Ses cheveux châtains étaient retenus en un chignon strict, et de petites lunettes rondes cachaient des yeux noisette qui inspiraient la confiance. Elle était assez grande, et très mince, sa poitrine compressée dans son tailleur. Elle l'avait invité au restaurant, et malgré ses réticences, la faim avait été plus forte, et il l'avait suivie. Alors qu'il dévorait une pizza royale, elle l'avait observé, sans rien dire. Au moment de payer, il lui avait proposé des relations sexuelles pour la « rembourser ». Son regard choqué avait réveillé en lui un sentiment de culpabilité refoulé.

 C'est comme ça que tu vis ? Lui demanda-t-elle d'une voix faible.
 Oui, Madame, avait-il répondu.
 Où sont tes parents ? Ne peuvent-ils pas t'aider, au lieu de te laisser à la rue ?

Antoine baissa les yeux. Ses parents, il avait coupé les ponts avec eux depuis bien longtemps. Comprenant qu'elle mettait les pieds en terrain miné, elle avait continué sans attendre sa réponse.

 Je veux bien croire que tu rencontres des difficultés, mais ne pourrais-tu pas faire cent fois mieux ? Tu m'as l'air d'un jeune homme intelligent. Tu pourrais faire des études, et te trouver un bon travail.

Antoine lui expliqua qu'il était inscrit en deuxième année de licence d'informatique. Il avait caressé l'idée de passer un concours professionnel suite à cela, mais le manque d'argent avait eu raison de ses ambitions.

 Nous sommes en octobre. Il n'est pas trop tard.
 Pas trop tard pour quoi ? Je dois tout de même vivre, je ne peux pas me permettre de seulement étudier, protesta Antoine.
 Je vais te faire une proposition, Antoine. J'accepte de te prendre sous mon aile, de veiller à tes besoins. En contrepartie, tu vas t'engager à te remettre à tes études et à réussir ton concours. Je t'aiderai à rattraper ton retard.

Le jeune homme, toujours dans sa logique de prostitution, la regarda d'un air suspicieux, croisant les bras. Surprenant ce geste défensif, Pascale lui sourit.

 Je n'attends rien de toi. Simplement, sache que je suis une enseignante sévère.
 Sévère de quelle manière ? Demanda-t-il.
 As-tu déjà reçu la fessée, Antoine ?

Pascale était une adepte de la fessée comme outil éducatif. Si elle ne pouvait pas l'utiliser sur ses élèves, elle l'avait souvent regretté et avait espéré pouvoir un jour la pratiquer sur un véritable étudiant qui aurait besoin d'une main ferme pour s'en sortir. Et Antoine correspondait selon elle tout à fait à ce critère.
Le jeune homme était resté bouche bée, n'osant répondre à la question. Il se demandait s'il avait en face de lui une perverse, une sadique qui lui proposait de lui faire subir des sévices en échange de son obéissance. Il avait déjà entendu cela, de la part de ses « clients », mais n'avait jamais accepté pour autant.

 Ne t'en fais pas. Je te parle uniquement de fessée dans le sens « éducation ». Je n'attends rien d'autre de toi.

Antoine ayant toujours l'air confus, elle fronça un peu les sourcils.

 Réponds à ma question, alors. As-tu déjà reçu la fessée ?
 Non, Madame.
 Eh bien, débrouille-toi pour m'obéir et ne jamais avoir à la recevoir.

Sur ces paroles, ils échangèrent leurs numéros de téléphone en se promettant de se revoir bientôt. Pascale lui signa un chèque au nom de son propriétaire avec ordre d'aller le donner le lendemain. Elle lui donna ensuite suffisamment de liquide pour acheter de la nourriture pour la semaine, en lui faisant promettre d'être capable de le faire durer jusqu'au dimanche, jour où elle lui en donnerait à nouveau. Si elle apprenait qu'il avait utilisé l'argent pour autre chose, elle le punirait sévèrement.

Il hocha la tête, pensant toutefois qu'elle ne pourrait pas le savoir s'il désobéissait. Sa soirée avait été la plus « normale » qu'il ait vécue depuis bien longtemps. Il n'avait pas eu à faire quoi que ce soit de dégradant, il avait bien mangé, on lui avait parlé comme à un être humain. Certes, certaines propositions le laissaient perplexe, mais il était décidé à profiter un maximum de Pascale et de ce qu'elle pouvait lui apporter.

Cependant, dès la première semaine, rien n'allait pour Antoine. Pascale lui annonça qu'il allait devoir adopter dès le lendemain des horaires un peu plus conventionnelles. Plus question pour lui d'aller traîner rue des Martyrs la nuit. Elle lui téléphonerait à 7h le lendemain et il avait intérêt à être prêt à partir à l'université. Il devait être couché à 23h. Il rentra chez lui et se mit au lit. Cependant, il fut incapable de s'endormir avant cinq heures du matin. Lorsque son réveil sonna, il l'éteint et se retourna machinalement, se rendormant presque aussitôt.

La vibration de son téléphone le réveilla. Incapable de savoir depuis combien de temps il sonnait, il le saisit et vit quatre appels manqués de Pascale. Il était 7:18. Il jura. Il avait presque oublié cette rencontre qui dans sa tête, tenait plus du rêve que de la réalité. Il rappela le numéro.

 Bonjour Madame, balbutia-t-il d'une voix pâteuse.
 Bonjour Antoine. Ne me dis pas que tu es toujours au lit. Ce que je t'avais demandé était pourtant simple.

La voix était cassante. Le jeune homme essaya de se justifier, mais ses prétextes sonnaient faux. Pascale lui ordonna de passer chez elle à 14h. Elle lui donna l'adresse, quelque part dans le 8ème. Il lui assura qu'il y serait.

La matinée passa à une vitesse surréaliste. Il se traita de fou, se demandant bien pourquoi il irait chez une folle qui l'avait menacé de le fesser. Mais le souvenir de la pizza de la veille était encore présent. La possibilité de pouvoir vivre sans avoir à se prostituer occupait ses pensées. Stressé, il utilisa une partie de l'argent qu'elle lui avait confiée pour s'acheter un paquet de tabac et fuma quelques cigarettes. A 13h, il prit le métro en direction de chez sa bienfaitrice. A 13h40, il était devant la porte d'un immeuble. Il fuma encore quelques cigarettes pour faire passer le temps, puis il sonna à la porte. Pascale descendit lui ouvrir.

Elle le dévisagea, ainsi que les mégots écrasés à ses pieds.

 Comment t'es-tu procuré ce paquet de tabac, Antoine ?
 Je... Je l'ai acheté Madame.
 Et avec quel argent ?

Antoine ne répondit pas, se sentant tout à coup très bête. Pascale le saisit par le bras et l'entraîna à sa suite dans l'escalier en marbre.
Ils entrèrent dans un appartement haussmannien. Peu habitué à un tel luxe, Antoine n'en croyait pas ses yeux. Mais il n'eut pas tôt fait de s'extasier que Pascale lui ordonna d'enlever ses chaussures.

 Je n'ai pas l'intention de me prendre des coups de pieds dans la figure. Obéis.

Comme dans un rêve, Antoine se vit obéir. Pascale le saisit alors par l'avant-bras, et le conduisit jusqu'au rebord d'un canapé, le penchant en travers de ses genoux. Le jeune homme, choqué, se laissa faire, incapable de faire le moindre mouvement.
Les premières claques tombèrent sur son jean, et il se dit que ce n'était finalement pas grand chose comparé à ce qu'il avait vécu avec ses clients de la rue des Martyrs. Les claques s'enchaînèrent et il se crispa un peu quand la chaleur commença à envahir son postérieur. A moment donné, Pascale tira sur la taille de son jean, et il la laissa procéder par habitude. Sur son boxer, les claques se firent tout de suite plus mordantes. Il serra les poings, fermant les yeux. Pascale appuya un peu plus les gifles, et il se sentit étrangement contrit, comme un enfant pris en faute.

 Pourquoi suis-je en train de te donner une fessée, Antoine ?

Surpris par la question, il rouvrit les yeux. Une claque tomba sur sa cuisse et il gémit.

 Réponds à ma question.
 Parce que... Parce que je ne me suis pas levé ce matin, Madame.
 Et ? Continua-t-elle en claquant l'autre cuisse.
 Parce que j'ai acheté du tabac avec l'argent que vous m'aviez donnée !

A partir de là, le boxer d'Antoine alla rejoindre son jean, autour de ses chevilles. Il serra les fesses, mais la main dure et ferme de Pascale s'abattit encore quelques minutes. Lorsqu'elle s'arrêta enfin, il commença à se relaxer, mais soudain, un coup sourd s'abattit sur sa fesse droite, le faisant sursauter.

 Quelques coups de brosse devraient te permettre de te souvenir que l'argent que je te donne ne doit servir qu'à t'acheter de la nourriture ! Gronda-t-elle. Pas question que je finance un drogué !

Les coups de brosse étaient très douloureux, la honte et la culpabilité envahissaient Antoine, qui se mit bientôt à sangloter. Au bout d'une vingtaine de coups, Pascale interrompit son traitement et passa une main réconfortante dans le dos d'Antoine, ce qui eut pour effet de déclencher de nouvelles larmes, car il avait très peu connu d'affection par le passé. Elle continua ainsi jusqu'à ce qu'il se calme, puis lui ordonna de se rhabiller. Les fesses rouges et bien chaudes, elle lui demanda alors de lui parler de ses études, et de lui expliquer le concours qu'il préparait. Ils passèrent l'après-midi à déterminer un programme de révision, puis elle l'invita à rester pour le dîner, avant de le chasser à 21:30 afin qu'il fut au lit à l'heure prévue.

Sur le chemin du retour, Antoine se posa beaucoup de questions sur cette expérience. Il avait eu mal, il avait eu honte, alors pourquoi se sentait-il si bien, si soulagé, réconforté ? Il se rendit compte que jamais personne n'avait ainsi veillé sur lui, ni ne lui avait donné de limites. Une sorte de plaisir malsain l'envahissait, et sa main se dirigea naturellement vers son entrejambe, avant qu'il ne se fustige en réalisant ce qu'il faisait. Honteux, il comprit qu'il avait ressenti de l'excitation à être ainsi cadré puis réconforté. Peut être que Pascale allait être autre chose pour lui que cette dame qui lui remplissait son frigo et payait son loyer.

Après le premier jour, Antoine se leva toujours à l'heure le matin, attendant même avec impatience la discussion téléphonique journalière avec Pascale. Il retourna sur les bancs de la fac, et commença à travailler, certes, avec plus de difficultés que ses camarades, mais avec toute la volonté dont il était capable.

Un vendredi soir, cependant, il se rendit compte qu'il était déjà à court d'argent de poche de la semaine. Se refusant strictement à aller en demander davantage à Pascale, il ouvrit ses placards, qu'il trouva désespérément vides. L'habitude de manger à sa faim était trop ancrée, mais cette semaine-là, il avait mal géré son budget. Après un long moment d'hésitation, il prit son blouson en cuir et ses pieds retrouvèrent naturellement la direction de la rue des Martyrs. Là, il croisa un ancien client qui le reconnut aussitôt. Un peu anxieux, il le suivit néanmoins dans une ruelle. Il repartit avec assez d'argent pour acheter à manger et du tabac.

Malheureusement pour lui, lorsqu'il arriva devant son immeuble, il découvrit Pascale qui l'attendait.

 Tu ne répondais pas sur ton téléphone, je suis donc venue voir si tout allait bien, dit-elle pour tout accueil.
 Je vous remercie pour votre inquiétude, mais tout va bien, répondit le jeune homme, un peu trop anxieux.
 Tu es sûr ? Tu as l'air étrange.
 Je vais bien, je vous assure.

Il tenta de la doubler pour monter chez lui, mais elle l'arrêta et renifla sa veste.

 Tu as fumé.

Il n'y avait rien à répondre. Elle avait déjà tout compris. Elle le précéda chez lui, et il n'eut pas tôt fait de poser son sac de course qu'elle fondait sur lui. Elle lui donna une raclée trois fois plus lourde que la première, sortant même la brosse à cheveux de son sac à main et lui en donnant jusqu'à tant que ses fesses soient bleues. Antoine pleura, se retenant de hurler seulement pour ses voisins, mais se doutant qu'aucun d'eux ne pouvait ignorer ce qu'il se passait. Comble de la honte, elle le fit se mettre au coin pendant qu'elle lui faisait la morale.

 Je me démène pour te faire changer de vie, et tu craques pour quoi ? Un paquet de cigarettes ? Tu n'as pas honte ?
 Mais Madame, je n'avais plus d'argent pour acheter à manger ! Protesta Antoine, éperdu.
 Tu... Pourquoi n'es-tu pas venu me trouver pour me le dire ? Et d'abord, comment se fait-il que tu n'avais plus d'argent ? Tu avais acheté du tabac ?
 Non Madame, je vous le jure ! J'ai mal géré mais je n'avais pas acheté de tabac avec votre argent, juste avec celui que j'ai gagné ce soir !

Le regard qu'elle lui adressa lui transperça le cœur, tellement elle avait l'air dégoûtée par ses pratiques, par le fait qu'il y soit retourné. Antoine se mit à pleurer.

 Puisque tu préfères tes amis de la rue des Martyrs à moi, je pense que nous n'avons plus rien à nous dire, Antoine.

Elle fit mine de partir. Le jeune homme, bouleversé, pleura la nuit entière. Il tenta de l'appeler à plusieurs reprises, mais elle ne répondit pas. Il lui laissa des messages, promettant de ne plus y retourner, d'être sage, d'obéir. La nuit suivante, il n'avait plus de larmes à verser, mais était complètement déprimé. Abattu, il ne put sortir de chez lui pendant deux jours. Le troisième, son téléphone sonna. N'en croyant pas ses yeux, il répondit.

 As-tu compris la leçon, Antoine ?
 Oui, oui Madame, j'ai compris ! Jura-t-il, sentant l'espoir revenir.
 Je veux bien te reprendre sous mon aile, mais à une condition. Dorénavant, tu ne tricheras plus. Tu m'obéiras et tu ne transigeras plus sur le principe même de notre relation.
 C'est promis, Madame ! Je vous le promets.

Il lui confia ensuite à quel point cette expérience avait été douloureuse pour lui. Elle l'écouta, conservant un ton froid et sec, puis elle lui donna une punition, des lignes à copier. Il s'exécuta, presque reconnaissant.

Les semaines qui suivirent furent une longue remontée à la surface pour Antoine. Il cessa désormais de fréquenter la rue des Martyrs, afin d'être sûr de ne pas être tenté. Il s'astreint à une discipline de fer, et progressa rapidement dans ses études. Cependant, les punitions tombaient encore, au moindre de ses manquements, et se faisaient de plus en plus sévères. Antoine les redoutait. Il se demandait jusqu'où elle irait. Un jour, elle utilisa une sorte de longue tige avec une poignée recourbée, qu'elle abattit sur ses fesses une dizaine de fois, lui laissant à chaque fois des marques profondes. Il ne put se retenir de hurler. Une autre fois, elle sortit d'un de ses tiroirs une lourde ceinture de cuir qui s'avéra être tout aussi douloureuse. Cependant, malgré ces traitements, il n'arrivait pas à se résoudre à cesser cette relation. La première feinte d'abandon l'avait laissé profondément dépendant de sa pro-fesseuse. Après tout, elle le nourrissait, elle le réconfortait, l'écoutait, elle l'aidait dans ses cours, elle était ce qui se rapprochait le plus d'un parent pour lui. S'il la perdait... Il retomberait dans les affres de sa vie passée, et bien pire.

Un jeudi soir, il avait rendez-vous avez elle. Anxieux, il apportait avec lui son dernier devoir surveillé. La note n'était pas bonne. Perturbé par la dernière punition qu'elle lui avait donnée, où elle l'avait battu jusqu'à ce qu'il ne puisse plus se relever, puis l'avait jeté dehors, où il avait passé plus d'une heure à sangloter sur le paillasson sans pouvoir faire le moindre geste, il n'avait pas pu se concentrer en cours, et ses résultats s'en étaient ressentis. Il ne comprenait pas. Il lui avait simplement dit qu'il faisait de son mieux et qu'elle ne pouvait pas s'attendre à ce qu'il soit le meilleur, il y avait des élèves bien plus intelligents dans sa classe. Cette déclaration l'avait mise dans une fureur noire. En réalité, réalisait Antoine, elle le terrifiait.

Tout en se rendant sur place, il se demandait si ce qu'elle lui faisait subir était bien du domaine de l'éducation. A grands garçons, grandes punitions, lui répétait-elle, mais il s'étonnait tous les jours un peu plus de la cruauté qui semblait aller croissant en elle. Si au départ, elle semblait concernée par sa douleur, aujourd'hui, son visage était de marbre alors même qu'il hurlait de douleur. Le plaisir coupable qu'il ressentait lors des premières fessées avait presque disparu. A présent, les claques ne suscitaient en lui que douleur et effroi. Ces pensées tournaient en boucle dans sa tête alors qu'il attendait l'heure du rendez-vous, en bas de l'immeuble, à tel point qu'il dépassa l'heure prévue. Pascale finit par descendre le chercher. Comble de l'humiliation, elle tenait la lourde brosse en bois à la main. Elle tendit la main pour le saisir par l'oreille, mais il eut un mouvement de recul. Sa réaction n'étonna pas que Pascale. Le jeune homme se sentait détaché, comme si la situation n'avait rien de réel. Quelque part au fond de lui, il sut que c'était terminé.

 Tu as vu l'heure ? Tu crois que j'ai toute la nuit à t'accorder ? Si c'est le cas, tu te mets le doigt dans l'oeil, mon garçon.
 C'est fini, répondit-il simplement.
 Qu'est-ce que tu racontes ? Qu'est-ce qui est fini ?
 Vous et moi. Notre arrangement.

Pascale le dévisagea, puis lui agrippa le bras, tentant de l'entraîner à sa suite. Mais contrairement à toutes les fois où il s'était laissé battre sans réagir, il résista, ne bougeant pas d'un pouce.

 Qu'y a-t-il, mon garçon ? Tu as peur que je te punisse pour ta mauvaise note ? Tu sais que quand on fait des bêtises, il faut en assumer les conséquences !
 Non. Je n'ai pas peur. Je n'ai pas peur de vous, prétendit-il.

Sur ces paroles, il se dégagea de sa prise et tourna les talons.

 Tu ne peux pas faire ça ! Tu ne crois pas que je t'ai donné tout ça gratuitement ? Tu m'es redevable !
 Je ne vous dois rien ! Répondit-il sans se retourner.
 Rends-moi mon argent ! Hurla-t-elle en retour.
 C'est une maigre compensation à ce que vous m'avez fait subir.

Sa voix était tellement pleine de haine qu'elle en tremblait, mais il était allé trop loin pour faire demi-tour. Pascale semblait sous le choc.

 Tout ce que j'ai fait, je l'ai fait pour toi... souffla-t-elle.
 Vous l'avez fait pour satisfaire votre sadisme. Mes clients étaient plus tendres que vous.
 Tu reviendras.

Il ne dit rien, et se retourna. Il plongea son regard dans les yeux noisette durs qui l'observaient. Elle semblait à la fois désespérée et sûre d'elle. Troublé, il lui tourna le dos et disparut dans la nuit.

A peine arrivé chez lui, il commença à trembler de tous ses membres. Monter les marches jusqu'à sa chambre de bonne fut un calvaire. Il faillit tomber à plusieurs reprises. Ses mains agitées mirent de longues minutes à guider la clef jusqu'à la serrure. Quand enfin il parvint à entrer, il s'effondra de tout son long sur le sol. Comment avait-il pu ? Il était seul, à présent. Il l'avait perdue. Il l'avait quittée. Abandonnée. Se traitant de tous les noms, il se tourna sur le dos. La douleur de son postérieur, consécutive à la correction qui avait eu lieu quelques jours plus tôt, se rappela à lui. Les larmes jaillirent et il pleura, s'étouffant, toussant, pleurant encore. Mais personne ne vint le réconforter.

Il ne put aller en cours le lendemain. Prétendant une maladie, il resta au lit, serrant compulsivement la couette entre ses doigts glacés. Parfois, il se saisissait de son téléphone d'une main tremblante, mais se retenait de composer le numéro. Elle le maltraitait. Oui, mais il y était habitué. Oui, mais il l'aimait.

Le weekend s'écoula comme dans un cauchemar. Il ne se nourrissait plus, dormait beaucoup, pleurait. Il redoutait le moment où il devrait retourner en cours. Et si elle était là ? Et si elle l'attendait ? Il l'espérait tout au fond de lui. Avait-il exagéré la situation ? Le stress de son échec lui avait sûrement embrumé l'esprit. Oui, mais il y avait les marques, sur son corps. Etaient-elles à la hauteur de sa faute ? Qui était-il pour en juger ?

A la fac, ses professeurs s'inquiétèrent de son état et lui recommandèrent d'aller consulter un médecin au plus vite. Il hocha la tête distraitement. Ne put comprendre le moindre mot du cours d'informatique du matin. Son professeur finit par le renvoyer chez lui. Comme dans un rêve, il marcha au hasard, et ses pas traîtres l'emmenèrent dans le 8ème. Elle était à la fenêtre lorsqu'il arriva. Il était trop tard pour faire demi-tour. Alors, il grimpa les marches de l'immeuble, et trouva porte ouverte. Il pénétra dans l'appartement. Elle était là.

Il se laissa faire alors qu'elle le prenait dans ses bras, dans une étreinte réconfortante. Il se laissa aller, sanglotant comme un enfant, s'excusant de tout et n'importe quoi. Ils restèrent ainsi pendant plus d'une heure, elle chantonnant une berceuse, lui s'accrochant à son tailleur comme à une bouée de sauvetage. Il ne se tendit même pas lorsque la main de Pascale glissa vers le bouton de son jean. Il la laissa descendre l'habit jusqu'à ses cheville. Il se retourna de lui-même sur le canapé, offrant ses fesses.

Il était prêt.


 

Matériel utile pour la fessée
490 histoires érotiques sur la fessée

 Forum dédié aux adeptes de la fessée.

1400 vidéos fessée (Hommes et femmes) sans pub

624 galeries de XX photos fessée (Hommes et femmes)

Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés