Lundi 8 décembre 1 08 /12 /Déc 06:17

Petit guide pour la fessée

 

Bien que la fessée soit un châtiment corporel, elle est appréciée par certains adultes dans le cadre de leurs jeux sexuels. Les personnes non adeptes de ces jeux et plaisirs estiment parfois que montrer son derrière est un signe de soumission, comme le fait de donner des tapes est un signe d'autorité. Personnellement, j'adore ces jeux (donner et recevoir) puis le côté psychologique de la chose et si vous n'y avez pas encore goûté je peux vous certifier que la fessée érotique bien donnée peut générer beaucoup de plaisir !

 

Ce petit guide sans prétention est pour débutant, il est par principe discutable, mais combien de personnes n'aiment pas la fessée érotique à cause d'une initiation loupée parce que trop rapide, trop brutale sans plaisir et avec d'un vocabulaire humiliant ?

 

On ne fesse pas n'importe qui, n'importe où et n'importe comment. Certains adeptes en ont fait un art, aussi bien dans le fait de la donner que de la recevoir. Si vous débutez, ci-dessous quelques astuces et conseils pour vous guider.


La préparation psychologique

La préparation psychologique des acteurs de ces jeux et plaisirs est déjà en soit quelque chose d'émoustillant. Après l'avoir promise, en parler génère à la fois quelques craintes et en même temps une excitation. Si la personne qui va être fessée débute dans ces pratiques, le conseil que je pourrai donner est de doser la « pression » psychologique car insister avec un vocabulaire trop « rude » ne peut que faire peur au sens propre du terme et tout gâcher.

 

La culotte !

Elle se baisse, oui bien sûr ! Certes on peut la faire glisser entre les fesses comme un string, mais sentir qu'on vous la baisse avec DELICATESSE est un prélude.

La retirer complètement ou pas ? Tout est possible mais sentir sur ses cuisses ou sur ses chevilles semble en émoustiller certains car cela rappelle l'enfance et donc un positionnement psychologique ou flatter l'imagination pour d'autres. 


Les coups

Surtout pas fort au début puis avec une montée en puissance très progressive. Il est préférable d'en donner 100 doux que 10 forts si vous voulez lui faire apprécier la fessée.  

 

POINT indiscutable : avec une montée en douleur progressive, on arrive à aller TRES loin alors qu'en allant trop vite on fait vraiment mal et on gâche les plaisirs.

 

Par série ou pas ?

Par petites séries de 5 ou de 10 plus ou moins rapides en fonction du ressenti de chacun.

Laissez la personne apprécier les petits fourmillements, n'allez pas trop vite pour appliquer les séries que vous avez décidé.


Des caresses

De petites caresses érotiques entre les séries rassurent, apaisent, donnent envie de plus.

Si les fesses sont un peu rouges, passez lentement votre main à 1 centimètre de l'épiderme, cela génère de la chaleur et un magnétisme fort agréable.


Faire compter les coups donnés ?

Cela déconcentre et diminue le plaisir des personnes qui débutent. Si beaucoup d'adeptes des jeux Ds ou SM l'utilisent, cela est à déconseiller lors d'une initiation.

 

Après la fessée ?

Un gros et tendre câlin est conseillé.

Si les fesses sont un peu rouges, passez lentement votre main à 1 centimètre de l'épiderme, cela génère de la chaleur et un magnétisme fort agréable.


Le vocabulaire ?

 

Il est mieux de ne rien dire que de dire des conneries qui cassent l'ambiance. Laissez la personne fessée rentrer dans sa bulle plaisir/douleur. Si vous la déconcentrez, elle n'aura que la douleur et si vous souhaitez lui donner le goût de la fessée c'est loupé.

 

Si la personne aime qu'il y ait un peu de vulgarité dans l'Amour, le conseil précédent est à adapter.

 

Ma vision, mes principes :

Il vaut mieux en faire pas assez que trop.

La gestion de la montée en douleur est ultra importante.

Avec douceur et tendresse, on peut vraiment aller TRES loin dans ces jeux et plaisirs, mais la mise en confiance et la patience font mieux que force ni que rage.

Hier elle était en forme, aujourd'hui elle ne l'est pas forcément. Je démarre donc systématiquement doucement et je « tâte le terrain » pardonnez-moi l'expression.

 

Quelques trucs en vrac

 

JEU DU COMPTAGE : en guise de fessée "punition" surtout, le dominateur annonce le nombre de fessées et peut obliger la soumise à compter à haute voix et si c'est loupé : on recommence du début ! Il est de tradition que la personne en offre 1 ou 2 de plus.

 

LE SAFE WORD est un mot établi comme un accord au préalable entre les deux partenaires. Quand il est prononcé, il signifie que la personne soumise désire s'arrêter là ou est arrivé à sa propre limite. Moi, je rajoute un mot guide qui me permet de savoir que j'approche des limites. A chacun son truc ce qui est un indicateur qui me permet d'adapter le jeu sans pour autant l'interrompre.


LES PAUSES : elles sont nécessaires surtout en cas de séance prolongée. Elles permettent à la personne soumise de retrouver son amour qui est son « sadique dominant » pendant la séance.

 

ENTRAVES Oui et non, tout dépend du contexte et des besoins de la personne soumise. Certaines ont besoin pour se libérer et planer de pouvoir tirer sur des liens ou d'être attachées. Personnellement j'adore car elle pousse plus encore la confiance que doit accorder la personne soumise et quand c'est moi qui reçoit, je ne me libère que plus, à chacun son truc.

 

AVEC QUOI DONNER LA FESSEE ?

 

LA MAIN : simple, pratique et efficace. Utilisable dans toutes les positions. La première fessée commence généralement comme cela.

 

LE PADDLE : très utilisé en jeux sado masochistes, il est pratique et agréable d'utilisation. Constitué de deux languettes de cuir séparées en son milieu, il mesure entre 30 et 50 centimètres de long. Il peut chauffer les fesses tout en douceur mais peut s'avérer plus tonique selon la manière dont il est utilisé.


LE MARTINET : il se présente sous forme de plusieurs lanières maintenues par un manche. Il peut y avoir de 4 à 100 lanières environ et de longueurs différentes. Il sert à flageller son partenaire. En fonction de la matière des lanières il est parfois plus impressionnant que douloureux et peut aussi délicieusement servir à caresser sa (ou son) partenaire sur l'ensemble du corps. Certains modèles en latex sont très bruyants sans être vraiment douloureux d'autres modèles sont si doux qu'ils permettent de flageller les seins ou le sexe sans générer de vraies douleurs.


LA CRAVACHE : Plus ou moins longue (entre 45 et 80 centimètres), elle possède une souplesse différente selon les modèles. Il en existe avec un manche en métal ou en cuir et on peut la trouver possèdent une tapette en forme de main ou de coeur. La cravache a la particularité de procurer une douleur assez vive et franche grâce à son côté tranchant du à la finesse de l'objet.

Ma spécialité (rire) est le duo de cravache. Une dans chaque main, je chauffe les chairs en rythme sur de la musique en jouant également sur les puissances de l'une et de l'autre.


LE FOUET : se présentant comme le grand frère du martinet avec un manche recueillant plusieurs lanières ou une unique, il est facilement reconnaissable par sa longueur qui peut avoisiner les deux mètres. C'est un accessoire de domination ultime car le dominateur se trouve loin de son ( ou sa) partenaire et est donc largement soumis(e). A utiliser avec beaucoup de prudence et de précaution car une fois lancé il peut faire très mal. Il est très difficile de l'arrêter dans son élan. Si la lanière fait le tour du corps et finit sa course sur l'autre côté du corps, cela fait parfois TRES mal.


LA BADINE : qui est une canne en bois ou une tige de bambou. La douleur est violente sans être excessive. Elle permet de faire de jolies traces sur les fesses comme la canne anglaise.


DES OBJETS DIVERS que tout le monde possède chez soi et qui permettent de faire connaissance sans gros investissement avec l'art de la fessée.

Tapette à mouches

Accessoire de cuisine

Planche à découper (Petite)

Règle

Savate ou chaussure

Ceinture en cuir. Elle est généralement très appréciée par ces dames par sa représentation de la masculinité et de la virilité. Il est bien sûr hors de question de taper avec la boucle.

 

Matériel utile pour la fessée
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Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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Dimanche 23 novembre 7 23 /11 /Nov 07:12

Se bondager pour attendre son Maître, sa Maîtresse.

Par TSM

 

Article rédigé au masculin pour simplifier l'écriture et la lecture en évitant les (e) et (ses).

.....................

Dans une relation Ds, s'offrir à son Maître fait partie des plaisirs nous en conviendrons. « Téléguider » sa soumise pour qu'elle soit « prête » (entravée selon votre bon vouloir) pour quand vous arrivez et quelque chose de plaisant. Cela décuple l'excitation de l'un est de l'autre.

 

La personne qui se prépare pour VOUS parce qu'elle vous fait confiance, vous aime (et vous déteste parfois en même temps) peut s'installer selon vos désirs pour vous attendre dans la tenue et la position de votre choix. Il y a en qui aime être accueilli par une soumise en petite tenue à quatre pattes dans l'entrée, moi j'aime la savoir prête, entravée, sans défense !

 

Mon astuce :

Comme la sécurité est un impératif, je lui prévois un moyen de libération avec les clés de vraies menottes emprisonnées dans de la glace. Ces clés congelées dans un gros bloc de glace sont reliées aux menottes par deux ficelles. (2 par sécurité). Ainsi, en cas d'accident ou de panne, je sais qu'elle pourra se libérer et que ses jours ne seront pas en danger.

A une heure précise, elle doit s'entraver sur le lit de la faço

n suivante :

 

1°) Jambes maintenues écartées par deux cordes liées aux pieds du lit.

2°) Bras maintenus au dessus de sa tête entravés par les menottes attachées à la tête du lit. Si vous n'avez pas de barreau, le sommier permet de fixer une chaînette qui bloquera les menottes. Le bloc de glace avec les clés est dans un récipient posé par terre, les 2 ficelles sont attachées aux menottes. 

JAMAIS de bâillon, un vomissement pourrait l'étouffer.

 

LA TENUE ?

Tout dépend des jours et de mes aspirations.

 

ACCESSOIRES ?

Si elle est punie : des pinces à seins ou ailleurs.

Si j'ai envie de lui faire plaisir, des vibromasseurs bloqués là où j'ai envie.

 

ET APRES EN FONCTION DE MON HUMEUR 

 

1°) Si elle le mérite, je peux lui donner du plaisir de mes doigts taquins ou de ma langue gourmande. Si elle a envie de quelque chose de plus « consistant » je lui accorde ou lui refuse en fonction de mes inspirations.

 

2°) Si j'ai envie de jouer le rustre, je la saute comme un mâle en rut en usant et abusant de son corps.

 

3°) Evolutions en fonction de mes envies de jouer Ds ou SM, ou câlin.

 

ELLE NE SAIT JAMAIS au moment où elle ferme les menottes combien de temps cela va durer ni ce qu'il va lui arriver.

 

J'aime que la soumise s'offre et surtout m'écoute et savoir quelle se prépare pour moi m'excite terriblement. J'ai pu constater que cela ne lui déplait pas toujours......

 

Si ces idées vous séduisent, vous excitent ou vous semblent absurdes, n'hésitez pas à poster un commentaire.

 

Exemples au choix pour ceux qui manquent d'imaginations :

J'adore, génial, je vais tester, je connais, ....

Débile, malade mental, .....

 

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Soumission et appartenance
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Vendredi 21 novembre 5 21 /11 /Nov 13:25

Auto bondage en couple et seul

 

 

Textes et PHOTOS dans les articles 8|

 

SEUL, on peut se faire de grandS plaisirS mais ces plaisirs solitaires représentent des risques pour la vie de la personne. Au fil du temps avec la pratique et les surfs, j'ai découvert des tonnes d'astuces et des moyens de m'accorder d'immenses plaisirs. Pratiquez et amusez-vous mais surtout, soyez prudent. Eviter à tout prix la bougie comme astuce d'auto libération, préférez le ice timer, c'est bien moins dangereux.

RAPPEL, rien autour du cou et prudence.

 

EN COUPLE, dans le cadre d'une relation Ds (domination soumission) j'ai pu découvrir que cette façon de pratiquer offre une foule d'outils de jeux et de domination. Pour exemple, exiger que sa soumise ou son soumis soit dans une posture d'offrande précise lorsque le Maître/esse arrive à la maison TOUT EN GARDANT une issue de secours s'il avait un retard ou un accident car ne l'oublions pas, le bondage représente un risque.

 

Etant 100% polyvalent (Bi, autant dom que soumis puis S que M) je puis vous assurer pour avoir bien plus que testé que ces techniques offrent beaucoup de possibilités de jeux et plaisirS.

 

QUELQUES EXEMPLES EN Ds ? OK en voilà 3.

Ma soumise, devait s'entraver à une heure précise dans la chambre mais ne savait pas quand j'arriverai. Mon plus gros délire a été d'inviter un ami à prendre un verre à la maison. Seule dans la chambre (dont j'ai fermé la porte en arrivant) elle a vécu d'intenses moments émotionnels comme vous pouvez vous en douter. J'ai évidement respecté sa pudeur et sa demande de discrétion, mais elle a connu la peur d'être vue en mauvaise posture......

 

Ma Maîtresse d'amour m'a envoyé m'auto bondager vers 18h. Son plus grand plaisir a été de me prendre mon ice timer et de m'interdire l'apéro dont j'abuse un peu je l'avoue. Comme quoi, le bondage peut être bon pour la santé ! ! ! !

 

Avec ma douce moitié qui est également polyvalente comme moi, nous jouons avec un soumis qui rêvait d'appartenir à un couple. Il lui arrive de drôle de trucS à ce pauvre soumis toujours heureux de subir nos délires. Une fois, nous l'avons aidé à grands coups de martinet et de cravache à aller récupérer les clés de ses menottes pour l'inviter à se libérer rapidement afin de nous servir l'apéro. La dimension de sa verge pendant ce jeu me permet d'affirmer qu'il a beaucoup apprécié........

 

Bons jeux et surtout PRUDENCE et préservatifs si vous allez plus loin en couple.

 

TSM

 

 

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Vendredi 21 novembre 5 21 /11 /Nov 10:50

Chasteté, comment jouer seul ?

 

Les plaisirs de la cage de chasteté sont multiples, soumission, privation d'orgasme, contact impossible avec sa verge et physique lors des érections......

Lorsque l'on est célibataire, s'encager et regarder le tiroir dans lequel on a rangé les clés manque cruellement de saveur.

Ci-dessous quelques astuces pour jouer seul avec une cage de chasteté. Il est recommandé aux débutants de se tester avec modestie en suivant l'ordre chronologique car les réactions physiques ne sont pas toujours agréables et peuvent être très douloureuses. DONC prudence !

 

Prudence et bon jeu.

Chastement votre,

TSM

 

Avant toute chose notez que certaines des solutions proposées vous exposent à un moment difficile si vous avez un accident ou un gros souci de santé. A par avoir une grosse honte aux urgences, les risques sont très limités mais aux urgences, ils ont l'habitude des délires sexuels en tout genre. Une scie à métaux pour couper un cadenas ou un coupe-boulon peut faire l'affaire pour vous libérer, mais attention justement, ça coupe !

 

Première étape

Congeler TOUTES les clés dans une énorme casserole d'eau. Si vous craquez, le temps de faire fondre le glaçon sous l'eau chaude vous vous calmerez peut-être.

Ainsi, vous testerez les réactions de votre corps dans un délai relativement court en cas de douleurs.

 

Deuxième étape

 

Déposer TOUTES les clés à la consigne de la gare. Prendre la voiture + le temps de trajet pour aller les chercher vous dissuadera un peu lorsque vous craquerez.

(Truc qui marche aussi avec une ceinture de chaînes et un plug vissé là où vous pensez. Les clés sont à la gare et s'y rendre est .......délicat)

 

TROISIEME ETAPE

Vous adresser TOUTES les clés en recommandé en postant le colis le vendredi. Ainsi, vous êtes sur de passer un week-end chaste. Si vous les postez  le vendredi et que les recevez le lundi, cela fait presque 4 jours.

Pour peu que vous bossiez la journée et que horaires ne soient pas compatibles avec les vôtres, vous serez obligé d'attendre le samedi d'après pour récupérer votre RAR, mais réfléchissez bien avant car une semaine, la première fois, c'est long....... et sans issue possible.

 

Pour les week-ends prolongés et les vacances....

Vous pouvez laisser toutes les clés au travail.

 

UN ou UNE AMIE ( Loin de chez vous)

Vous adressez TOUTES les clés en recommandé en postant le colis le vendredi en lui demandant de vous les adresser en RAR sous xx jours.

 

AVEC ABCplaisir et quelques dépenses  

 

1°) ABCplaisir propose des services de gardiennage de clés de cage ou ceinture de chasteté, voir ici les solutions proposées.

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- Vous envoyer les clés à ABCplaisir qui vous les retournera au bout de X jours. C'est vous qui décidez au départ.


2°) Le coffre électronique muti usages pour les cages de chasteté, le selfbondage, l'ABDL et autres jeux.

- Le coffre électronique permet de jouer de 1 minute à 41 jours.

 

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DELIRE et humour

Les sceller dans le bêton, les jeter dans la rivière et essayer de les retrouver par une nuit sans lune en plein hivers.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : plaisirs SM
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Jeudi 13 novembre 4 13 /11 /Nov 14:52


Le 21 juin, une fête de la musique pas comme les autres.

Par TSM



En préambule

J'ai la faiblesse d'aimer écrire et de jouer avec les mots. Bien que romancée, cette histoire est bien réelle.

Ce texte aborde la chasteté, le bondage et les couches.


............................


C'est l'histoire de deux tourtereaux qui s'aiment d'un amour profond et dont la complémentarité de personnalité et de goûts sexuels est si extraordinaire que l'on pourrait imaginer un conte de fée pour enfants, sauf que le conte abordé ici est classée X.


Dans l'intimité, les tendres tourtereaux partageaient une relation de domination soumission initiée par monsieur. Madame se découvrit progressivement une âme de dominatrice. Le gag de cette histoire, est, que malgré l'expérience de Monsieur en la matière, Madame moins pudique avançait à grand pas dans la mise en pratique de ses découvertes. Au fil des jours, l'initiateur s'offrait avec ravissement aux turpitudes de Madame lui imposant au début le port d'une cage de chasteté masculine. Equipé d'un cadenas, la CB est un accessoire pouvant être porté 24/24. Ce dispositif interdit l'accès à la verge contrainte dans un petit tube courbé vers le bas.. Pour être honnête, c'est chiant, c'est fou, c'est particulier mais c'est aussi très bon car portée plusieurs jours, elle décuple les émotions, les sensations et je l'avoue, perturbe un brin les neurones masculines.


Le 21 juin de l'an de grâce 2007 la complicité de ces tourtereaux vit sa consécration dans une harmonie parfaite. Toute la nuit, la mélodie des gémissements de plaisir rythma avec le bonheur d'une tendre connivence et s'accorda à merveille dans les folies érotiques aussi originales qu'exceptionnelles.


Monsieur, tel un caniche en manque, n'ayant eu de cesse que d'essayer de grimper sur sa congénère une bonne partie d'une nuit précédente et ce malgré sa cage de chasteté bouclée.   Madame lui tint à peu près ce langage : « si tu continues, je vais devoir t'attacher la nuit si je veux dormir tranquille ».  Cette monodie enflamma les sens de l'amateur de bondage qui s'aventura à provoquer Madame pour qu'elle lui accorde, par un de leurs jeux, quelques contraintes et ravissements sensuels. Tant pour répondre à la provocation qu'à l'envie de tester, Madame en prit bonne note. Le 21 juin, elle entrevit la possibilité de mater la rébellion lors d'un dîner dans un restaurant indien « entre la poire et le fromage ». L'homme profondément amoureux s'abandonna, pour ne pas dire « s'abima » en mots doux et confessions dangereuses en lui avouant qu'il s'était plus à fantasmer d'être à sa merci toute une nuit, mais qu'une habitude urologique vers 2 heures du matin, risquait de le contraindre à éveiller sa reine.


La problématique posée, Madame, presque attristée, promit de lui refuser une pause pipi même urgente tout en sachant que cette promesse serait impossible à réaliser sans risques pour la pôvre literie. Et là, Mesdames et Messieurs les jurés de la sainteté, dans une envolée lyrique de soumis masochiste impudique, Monsieur lui entrouvrit la porte d'une alternative par une autre de ses confidences : il avait des couches pour adultes. Cette information donnée, la curieuse voulu savoir pourquoi il détenait ce type d'article réservé aux incontinents. L'impudique très curieux des choses de la vie, redevint pudique aux pieds du mur et dût dévoiler avoir testé une paire de fois pour voir quels plaisirs pouvaient avoir les hurluberlus qui en portent et exposent leurs photos sur internet. Après deux tests solitaires, il n'avait pas trouvé de saveur à ce jeu humide mais, tel un écossé, avait conservé ces langes. L'alternative séduit Madame, le serveur apporta les cafés.


Tout le long du chemin, les tendres tourtereaux échangèrent câlins, bisous et attouchements furtifs. Le popaul emprisonné dans sa cage de chasteté souffrit beaucoup de la crise du logement. En leur logis, le dernier verre fut fatal pour Monsieur lorsque Madame lui demanda si elle l'entravait pour la nuit avec ou sans sa cage. Sûr de sa chance, l'inconscient lui proposa de jouer cette étape à pile ou face. La pièce tomba sur le côté « encagé » le privant de fait d'une libération salutaire jusqu'au lendemain soir. Après une douche obligatoire pour cause de chaleur écrasante, Monsieur décidé à satisfaire pleinement Madame, installa les instruments de sa propre contrainte avec des chainettes et des cadenas puis la couche qui allait lui faire découvrir les sensations de « l'humiliation » érotique. 


Au lieu de débuter cette entrevue câline puis « bdsmiène chaste pour lui » par quelques préliminaires, Madame tint à ce qu'il mette sa couche sur le champ ! Le pauvre homme se pâma presque et le rouge de ses joues atteint l'intensité de celui des bouteilles de coca-cola ! Devant son manque d'habilité, la mère de famille retrouva ses réflexes et langea en moins de temps qu'il ne le faut pour l'écrire, le plus gros bébé qu'elle n'avait jamais langé jusqu'à cette folle nuit. Ainsi accoutré et légèrement blême, Monsieur assuma sans sourciller les responsabilités de ses confidences et  accorda à maîtresse-maman toutes les caresses et attentions demandées.

Les fesses emmaillotées firent beaucoup rire Madame, mais grâce à leur grande complicité amoureuse, il ne s'en offusqua pas trop. Soudain, alors que d'une langue agile il dégustait la petite fraise des bois cachée entre deux monticules humides, une voix et une poigne décidée l'interrompirent.

 

« Ce soir, je suis solidaire, je vais comme toi, me soumettre à l'abstinence par solidarité ». Surpris de ce retournement de situation et volontaire pour tester les plaisirs du bondage dans la durée, Monsieur se laissa entraver pour la nuit, non sans assister galamment sa maitresse débutante peu agile avec les chaînes. N'étant pas égoïste, cette dernière rassembla toute son énergie câline pour en couvrir le corps frémissant masculin qui ne tarda pas à bondir dans ses liens pour cause de sens terriblement exacerbés. C'était comme si toute ses pores étaient devenues des capteurs sensoriels. Histoire de rehausser encore l'émotivité de son buste masculin, elle entreprit de le faire rougir avec un martinet dont les lanières percutèrent parfois les petits tétons érectiles qu'elle câlina ensuite de sa langue gourmande comme pour se faire pardonner. Le côté pile n'eut pas à exprimer de jalousie, il eut également sa dose de claquements de lanières et de lèvres. Il frôla le subspace quelques instants lorsque Madame se laissa aller du martinet, au lieu de souffrir, la douleur devint voluptueuse. Forcé de se tourner à nouveau, au paroxysme de l'excitation masculine, invisible pour cause de cage de chasteté et de couche, la belle lui fit un dernier bisou avant de lui souhaiter bonne nuit puis d'éteindre la lumière.


L'adepte du bondage, se plongea dans l'océan des plaisirs agité par les flux et les reflux de son masochisme. Son sexe gorgé de désir vibrait dans sa prison, tous ses pores hurlaient leur désir d'encore comme un régiment de CGtistes en colère. Pour parfaire la volupté de l'effet de manque, Monsieur en plein festival d'émotion, cherchait à se frotter en tirant sur ses liens. Dans sa tête en ébullition, il y eut un moment la déroute totale, un moment fabuleusement excitant, ce moment où la soumission est à son comble, ce moment où on n'est plus maître de sa raison au profit d'une véritable dominante. A ce moment là il ne put que se laisser aller à l'impossible nuit de désir et d'inconfort qui l'attendait. Peuplé de rêves sensuels, cette nuit fut un pur délice d'érotisme exacerbé par l'effet de manque et les entraves, mais également son contraire pour l'inconfort.


C'est souvent par une contrainte volontairement acceptée que l'on va reculer ses limites, accepter des pratiques enfouis dans les fantasmes, ou en en découvrir d'autres. Malgré son expérience en matière de sexe, Monsieur le maso soumis en crise de délirium allait expérimenter deux nouvelles pratiques pour lui avec l'arrivée d'une envie  naturelle irrépressible. Lorsqu'il comprit que luter ne servirait à rien, il réveilla Madame pour lui exprimer son problème en espérant qu'elle mettrait un terme à leur jeu. Il n'en fut rien bien au contraire, la réponse fut ferme et définitive, il avait décidé de jouer, il jouerait !  Au bout d'un certains temps, alors qu'il gigotait dans ses liens comme un poisson à l'hameçon, Madame lui rappela qu'il portait une couche et qu'elle était faite pour ça. 


Ses sentiments et ses sensations étaient très mêlés, il ne parvenait plus à discerner ce qu'il ressentait, plaisir ou humiliation pour le problème urinaire à résoudre dans une couche à côté de sa femme, souffrance ou volupté pour le sexe encagé et la vessie qui manifestaient pour des problèmes de logement. La tourterelle pour ne pas trop gêner le tourtereau empêtré dans ses contradictions faisait semblant de dormir. A cet instant, c'est par obligation et sans aucun plaisir fantasmagorique qu'il força réellement sur la vessie devenue psycho-résistante afin de la soulager d'un trop plein devenu douloureux. Le manque de confiance en la couche affecta le soulagement. Il fut modéré pour ne pas dire contenu par crainte de tsunami in te bed. Après quelques instants d'attention n'en pouvant plus, il finit par s'abandonner totalement tout honteux de sentir le liquide chaud envahir son fondement.


Le popaul précédemment chargé de canaliser les flux, s'extasia tant qu'il le put comme s'il voulait pousser les murs de sa prison en générant une révolution sensorielle. Ce phénomène nouveau surpris son propriétaire car avoir l'entre-jambes plein d'urine n'avait rien d'excitant à ses yeux. Après une concertation neuronale face à cette voluptés inexplicable, il dut reconnaitre que la délicieuse dictature de Madame lui avait permis de découvrir que dans l'intimité respectueuse, il pouvait apprécier les jeux humiliants. Ligoté, écrasé de honte et de désir inassouvi, il sombra à nouveau dans les méandres cotonneux du sommeil peuplé de songes alimentant sa boulimie sexuelle d'une liturgie BDSM nouvelle.


Au petit matin, après qu'elle l'ait libéré, comme envouté mais sans aucune gêne il se redit à la salle de bain avec son gros paquet humide entre les jambes. Tout en prenant une douche salvatrice, il s'interrogea sur les délices inédits éprouvés. En arrivant au salon il se dit qu'il ne serait plus jamais le même parce qu'il venait de passer un cap supplémentaire avec celle qu'il aime plus que tout au monde comme accompagnatrice.


Les deux tourtereaux se retrouvèrent autour d'un café pendant lequel ils partagèrent câlins, tendres bisous et confidences mutuelle après cette folle nuit. Si avec la cage de chasteté Madame avait découvert les semaines précédentes que prendre le contrôle de la sexualité de son partenaire est l'un des moteurs les plus puissants qui soit, elle venait maintenant de constater que soumettre quelqu'un au port de la couche peut être très jouissif. 

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : ABDL & plaisir
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Mercredi 5 novembre 3 05 /11 /Nov 10:07

Le scandale de l'opéra

Par TSM

 

Une lumière s'allume et des mains me saisissent. Trois cambrioleurs masqués sont sur moi. Quand je me mets à crier, ma bouche grande ouverte est aussitôt comblée par la boulle d'un bâillon. Une main, plaqué sur mon visage le maintien. J'essai de le recracher en vain. Avant que j'ai le temps de réagir, ils me retournent prestement et fermement.

Bien que je me débatte furieusement de rage et de peur, ma tête est enfoncée dans l'oreiller et mes poignets sont menottés dans mon dos. Le bâillon est attaché sur ma nuque. Mon pied droit, enfin libéré des draps, atteint la tête d'un des cambrioleurs qui se met à crier.

La pression des bras se relâche un instant. Je fais un roulé sur le côté, me relève et prends position pour décrocher un coup de pied à la tête du second. Une gifle  monumentale me prend en pleine extension et me fait basculer sur le lit. Choquée, il me faut un instant pour réagir. Soudain, ils passent une cagoule sur ma tête et mes coups de pieds, dernière armes utilisées à l'aveugle, ne rencontrent plus que le vide. Des frissons d'horreur me traversent, je vais déguster !

Mes jambes sont saisies simultanément et liées entre elles par une corde, qui met un terme à toutes mes tentatives de self-défense. Je commence à avoir très très peur. Je suis brutalement tirée du lit puis soulevée dans les airs. Je retombe sur l'épaule d'un des gaillards qui sort de la maison avec mon corps comme un simple un baluchon. Il fait quelques pas puis me jettent dans le coffre d'un véhicule. Je pleure comme une madeleine et sombre dans le désespoir. 

Je viens de comprendre avec horreur que ce n'est pas un cambriolage mais un enlèvement. Pendant que la voiture roule à vive allure, dans mes pensées, défilent les affiches des disparus, que l'on voit plaquées sur les murs par les familles désespérées. Puis la colère me reprend, je me sens prête à tuer à la moindre occasion. Ce qu'ils ne savent pas, c'est que la blonde de vingt ans qu'ils viennent d'enlever, est ceinture noire de karaté et que je n'ai pas l'intention de me laisser faire. Rien que de penser que j'ai sûrement cassé le nez de l'un d'entre eux, me console un peu.

La voiture s'arrête, rapidement le coffre s'ouvre. Une couverture est jetée sur moi puis on m'en entoure totalement. Ils prennent, semble t-il, des précautions pour me dissimuler. Nous devons être en ville. Lorsqu'ils me sortent pour me placer à nouveau sur l'épaule de l'un d'entre eux, la poigne s'est effectuée sur les menottes qui me scient les poignets. Mes cris sont mal étouffés par le bâillon.

- Ta gueule poufiasse !

Un coup est porté violemment sur ma tête, sonnée et résignée, je ne bouge plus et me tais.

Pendant le trajet, mes oreilles captent de la musique. Il me semble reconnaître un style de musique chantée. Les voix puis les applaudissements que j'entends me confirment que nous devons être à l'opéra. Pourquoi enlever une fille pour l'emmener à l'opéra ?

Dans l'escalier qui nous descendent, ma tête heurte un mur. La couverture a amorti le choc, mais le coup était violent. Ils me déposent à terre sans précaution et tirent sur la couverture. Je roule sur le sol froid et rugueux. Des mains vigoureuses me saisissent et me relèvent.

Quand ils retirent les menottes de mes poignets, à l'aveugle je fais des mouvements de défense et tire sur la cagoule. Mon poing touche la tempe du premier des hommes qui s'est approché. Cette putain de cagoule résiste. Une baffe magistrale me fait vaciller, on me récupère avant que je ne m'écroule. L'un d'eux me ceinture et m'écrase totalement contre lui.

Mes bras sont attachés séparément, largement écartés et tirés vers le haut. Mes tentatives de défense sont évitées et mes chevilles sont liées à une barre qui m'empêche de refermer les jambes. Désespérée et pétrifiée de peur, je fonds en larmes.

Ils parlent entre eux et me laissent tranquille un petit moment. Je teste les liens mais ils résistent. Ma chemise de nuit et ma petite culotte sont arrachés avec brutalité. Des mains tripotent sans vergogne ma poitrine, pincent mes tétons. Une main descend jusqu'à ma vulve et fouille son intimité. Je sens monter en moi un mélange explosif fait de honte, de peur et d'agressivité extrême qui me permettrait du tuer.

L'un d'eux dénoue ma cagoule puis la retire. Aveuglée par la lumière, je ferme les yeux un instant puis les réouvre. Ce que je découvre me glace le sang.

Je suis dans une cave aménagée comme une salle de torture pendant l'inquisition. Des chaînes, un palan à cordes, un chevalet et bien d'autres outils dont je ne connais pas l'usage, meublent ce lieu de démence. Devant moi, un homme d'une cinquantaine d'années, brun et le nez en sang me regarde. Son regard est teinté de cruauté et son sourire bestial. 

Il s'empare de mes seins et les malaxe puis, triture de mes tétons. En me souriant, il les pince violemment et tire dessus en faisant des ronds comme s'il voulait les rallonger. J'adore que l'on martyrise mes petits tétons, mais l'instant n'est pas au plaisir, ce connard me fait mal et s'en délecte.

L'homme abandonne mes seins et fait descendre la barre qui tient mes poignets. Il y fixe solidement mes coudes et mes bras avec de larges sangle de cuir. Je suis comme crucifiée et les jambes écartées, ouverte et totalement exposée !

Il se recule puis se dirige vers une chaîne accrochée au mur. Lorsqu'il se met à tirer dessus, mon corps monte vers le plafond. Intégralement nue et bâillonnée, je tourne un instant, suspendue les bras et jambes en croix. Il s'approche de moi avec un sourire pervers.

- Je sais à ta lecture que tu aimes être soumise à l'homme, que tu aimes être à la merci des mecs. Ici tu vas être servie !

Je réalise soudain, qu'ils ont vu le roman photo SM commandé sur Internet et que j'ai feuilleté avant de m'endormir épuisée par mes caresses solitaires agrémentées de petits accessoires érotiques. Cette pensée m'horrifie. Ils m'ont enlevée et savent que j'ai des fantasmes SM ! Il plonge sa main dans sa poche et en ressort les pinces à seins réglables que j'ai achetée la semaine dernière et qui m'ont donnée tant de plaisir.

- Regarde, je t'ai même ramené un de tes jouets, mais j'en ai d'autres bien plus amusants. Je te les ferai découvrir. Tu sais, il me tarde depuis longtemps de voir si tu aimes autant que ça la baise SM !

Suspendue, mains et coudes liés à la barre, j'exhibe involontairement ma poitrine à cause de la cambrure. L'homme goûte le spectacle et caresse doucement du bout des doigts mes tétons saillants. Je ferme les yeux un instant comme pour échapper à l'horreur

Saisissant mon sein droit, le fait rouler la pointe entre ses doigts et la tire. Avec minutie, il y referme la pince et tourne la molette, qui immanquablement, compresse mon téton. La douleur vient progressivement, mais ce con ne s'arrête pas de serrer. Je commence à gémir et à ruer dans mes liens mais rien n'y fait. Il s'amuse de ma douleur. Il fait ensuite la même chose avec mon téton gauche, qu'il écrase sauvagement avec la pince.

Il fouille dans un sac et s'approche de moi avec son sourire pervers qui me glace le sang.

- On va rallonger tes tétines, puis jouer à mon jeu préféré : le question réponse !

 De boules d'acier noir reliées à un crochet sont posées aux pinces qui écrasent mes tétons en feu.

- Trois, deux, un lâchez .....

Ses mains lâchent les poids qui tombent. Le crochet qui les retient à mes pinces à seins joue son rôle  et tire brusquement sur mes tétons. Une douleur violente traverse ma poitrine. Je gémis les dents plantées dans le bâillon, les yeux fortement fermés. Je souffle par le nez comme une perdue. J'essaie tant bien que mal de gérer la douleur et de retrouver une respiration normale.

Une pensée me vient : ne me détaches surtout pas, je t'arrache les yeux et les couilles.

Il joue un instant à faire balancer les poids, mais grâce aux leçons de karaté, ma capacité de concentration me permet de gérer la douleur. Il m'abandonne un instant, se dirige vers un mur chargé d'accessoires et y décroche une cravache. En revenant il me lance :

- Nous avons quelques comptes à régler tous les deux. Pour les apurer, je te propose mon jeu des questions réponses. A chaque mauvaise réponse la cravache, à chaque bonne réponse une caresse ou un accessoire pour ton plaisir. Que penses-tu de ma proposition ?

- HHHHUUUUMMMM

- A oui, j'oubliais, le bâillon te gêne ! C'est vrai que tu le portes mal. Tu baves lamentablement. Je vais te le retirer.

Il passe derrière moi, caresse mes fesses et fait descendre son doigt dans mon sillon fessier. Sa main se pose en cuillère sur mon bas ventre offert et un de ses doigts force mon intimité. Ses attouchements me donnent la chair de poule. Quand il se décide enfin à retirer mon bâillon, je fais bouger mes mâchoires toutes endolories. Je contiens difficilement les insultes qui brûlent mes lèvres à cause de sa cravache qui me fait horriblement peur.

- Je vois avec plaisir que tu as perdu de ta superbe ! Première question : que signifie BDSM ?

- Bondage et sado maso.

Il laisse la cravache glisser le long de ma colonne vertébrale, jusqu'aux creux des reins. La pointe continue son chemin, et s'enfonce dans le sillon de mes fesses. Un sifflement puis une cuisante douleur sur mes fesses me font bondir dans mes liens.

- Faux ! BDSM est un acronyme qui en renferme lui-même trois autres : BD, DS et SM... Le premier signifie Bondage/Discipline, le second Domination/Soumission et le dernier est Sado-Maso.

Un autre coup tombe, il est bien plus fort que le premier. Je bondis sous la brûlure

- Autre question : combien d'argent y a t'il sur ton compte en banque ?

- Je suis fauchée, je dois avoir environ 500 euros d'avance !

Quatre coups s'abattent sur mes fesses. La douleur est particulièrement cuisante, je dois avoir des boursouflures et mes fesses doivent êtres en sang.

- Faux ! Tu as 2600 euros et un compte épargne.

- Comment pouvez-vous savoir de combien je dispose ?

- Ta gueule pouffiasse, c'est moi qui pose les questions ! Connais-tu le tribunal de l'inquisition ?

- C'était un redoutable tribunal institué par la papauté pour lutter contre l'hérésie aux environs du 12ème siècle. La torture était souvent employée pour faire avouer et dire ce que l'inquisition avait décidé. La religion et la peur de Satan ont été ainsi utilisé pour manipuler les foules au profit de l'église.

- Ta réponse est juste, mais ce n'est pas celle que j'attendais. Sur www.Jeanneda tu m'as répondu que mon histoire SM « l'inquisition » était du barbarisme pas du SM. Que mon histoire était pitoyable !

Je réalise soudain que ce fou était un abonné de mon site SM et que ses histoires ne tenaient pas debout. Les détails étaient très précis, mais ses histoires lamentables. Je réagis aussitôt par instinct de survie.

- En fait, j'ai bien aimé vos histoires, mais je ne pouvais pas les diffuser sur mon site. Il faut avoir votre maîtrise du SM pour comprendre le sens des mots que vous avez utilisé. Je les ai gardées sur mon disque dur et je les ai relues plusieurs fois.

- Faux ! Ton firewall est minable. J'ai examiné et fouillé ton PC de chez moi plusieurs fois, elle n'y est plus. Tu m'as catalogué comme fou et m'as bloqué l'accès à ton le forum !

- Comment pouvez-vous penser cela ? C'est faux, j'aime bien les histoires SM et les vôtres étaient géniales.

- Tu es une salope de la pire espèce ! Tu as copié certains passages de mes histoires, puis tu les as dénaturées dans tes récits qui ne sont que de la fabulation et du fantasme à bon marché. Puisque tu dis sur ton site aimer le SM, je vais t'en donner. Je vais te permettre d'atteindre le nirvana sous la cravache puisque tu as écrit que tu jouis parfois sous le martinet !

Il fait tourner mon corps grâce au dispositif de suspension. Je suis terrassée par la peur. Il se recule puis entreprend de me cravacher comme un malade. Il frappe sans discontinuer. Je cris à chaque coup, mes yeux se remplissent de larmes. Mon dos, mes fesses, mes cuisses, mes seins sont en feu. Ce fou frappe pour faire mal, ce n'est pas du SM c'est de la torture.

Je le supplie, m'excuse, implore mais il n'en a que faire et continue de s'acharner sur moi. Je vais mourir c'est sûr !

La douleur me fait perdre connaissance. Quand je me réveille, je suis dans une posture pénible. Une large sangle passée autour de ma taille, tire mon dos vers le plafond. Il a attaché mes jambes repliées à ses poignets. Ainsi suspendue, je ressemble à une grenouille. Chaque mouvement déclenche les pires douleurs dans mon ventre et mes membres. Mes cuisses et mes fesses me brûlent affreusement. 

La porte s'ouvre, il entre accompagné d'un homme masqué. Un sentiment de honte et d'horreur bloque ma gorge un instant.

- Comme tu peux le constater, Jeanneda est maintenant ma soumise. Elle sera superbe pour le spectacle d'après-demain. Si tu veux, on se la fait à deux avant le spectacle final ! 

- Oui c'est une idée, d'autant qu'elle a un beau cul et que tu as besoin de moi !

- A toi l'honneur !

Ils vont me violer ! Je sens mon estomac se resserrer et j'en éprouve une peur physique. L'homme masqué ouvre la braguette de son pantalon et exhibe devant mon visage une bite énorme au gland violacé. Il frotte sa verge contre mon visage et m'ordonne de le sucer. Je ne desserre pas les dents

Une main s'abat sur mes fesses puis une véritable volée de claques. Je cris de surprise et rus dans mes liens, mais plus je me débats, plus je m'épuise. Mes cris et mes supplications n'atténuent en rien son ardeur à me frapper.

D'une main, il soulève ma tête par mes cheveux et de l'autre pose la lame d'un couteau sur ma gorge.

- Si tu mors, je t'égorge !

J'ouvre aussitôt la bouche à la queue qui sent l'urine. Il s'engouffre jusqu'au fond de ma gorge. En le suçant, je ne peux m'empêcher de pleurer.

- Elle est chiante à bramer comme ça, je vais me la farcir.

Il s'arrache de ma bouche et passe derrière moi. Il tâtonne de son gland entre les lèvres de mon sexe offert, trouve l'entrée et s'y enfonce de toute sa longueur. Je cris de douleur, de honte et de rage. Ainsi suspendue par le dos, je peux voir qu'il se plante fermement sur ses pieds entre mes bras et mes jambes attachées. Ses mains se posent sur mes anches et s'y agrippent. Il entreprend un martèlement sauvage de mon ventre qui me fait ahaner.

L'homme qui m'a fouettée, prend fermement mes oreilles et guide ma bouche vers son sexe bandé. L'odeur est forte et repoussante mais à quoi bon résister. D'un coup de reins provocateur, il investit ma bouche de sa queue. Mes papilles gustatives sensibles, sont choquées par le goût salé et poivré de pisse et de sperme. Mon estomac se contracte, je hoquète, je vais vomir.

- Si tu vomis, je te massacre !

La peur me fait réagir, je ravale la gorgée qui vient et le suce à nouveau. C'est horrible. Suspendue, forcée par la bouche et violée, je me balance au gré de leurs assauts. Ils semblent s'en amuser et se renvoient mon corps. Entre leurs mains je ne suis plus qu'un jouet et rien ne pourra réfréner leurs ardeurs sauvages et bestiales. Quand je pense que j'ai souvent fantasmé sur ce qu'il m'arrive aujourd'hui et que j'en avais éprouvé du plaisir !

L'homme qui me baise se retire et présente son gland contre ma rosette. Je cris en tentant de résister à la pression atroce qui s'exerce sur mon anus. Mes hurlements et mes plaintes, n'ont d'autres résultats que de redoubler l'ardeur de mon violeur à me pénétrer.

Il me force à petits coups, sous l'assaut répété, mes sphincters s'écartent pour le laisser passer malgré moi. Bien que je sois une adepte de la sodomie, la douleur est violente.

Mains agrippées à mes hanches, il prend mon cul sans ménagement. Mon anus se décontracte un peu. Je sens ses couilles cogner contre ma vulve. A chaque mouvement, je laisse échapper un « ah » de douleur, étouffé par la queue qui comble ma bouche. Il se régale de mes cris et me lime de plus en plus gaillardement. Il s'empare de mes seins et les malaxe comme un malade.

Après mes seins, c'est à mon sexe qu'il s'attaque. Ses mains frottent habilement mes lèvres puis mon clitoris. Jamais je n'ai été ainsi touchée, palpé et massée.

Je commence à gémir car ses plongées deviennent de plus en plus fortes, profondes et violentes. Le rythme de sa main qui frotte mon clitoris augmente. Cette caresse et ses vas-et vient durent longtemps. J'ai honte de moi car j'ai peur de jouir. Soudain, la queue dans ma bouche tressaute et lâche des jets de sperme. Son propriétaire l'enfonce au fond de ma gorge et me tire les cheveux comme un malade. Je suis écœuré et mon estomac réagit. Je salive et en fais couler le plus possible. La position et sa force m'obligent à en avaler. Un jour je le tuerai.

Mon violeur accélère encore ses mouvements, mon anus s'échauffe de ses assauts. Je sais qu'il va jouir. Des hurlements de fauve résonnent dans la salle pendant qu'il pétrit mes anches et s'abandonne en moi.

Il se retire sans précaution, se rhabille et sort en me laissant avec mon tortionnaire.

- Dis-donc la pouffiasse, il me semble que tu as aimé te faire casser le cul hein ?

Je décide de tenter le tout pour le tout et de le séduire.

- Oui je me suis éclatée de vos grosses queues sauvages. Détaches-moi et je te ferai voir que j'ai encore envie de baiser, mais cette sangle le coupe en deux. Baises-moi à quatre pattes comme une chienne que je suis !

- C'est ça oui ! Prends-moi pour un con ! Je vais plutôt t'installer pour la nuit et nous étudierons demain cette charmante proposition. 

Il va chercher un bâillon et une cagoule et revient vers moi.

- Ouvre la bouche !

- Non s'il te plait pas le bâillon ! Je ne vais pas pouvoir dormir de la nuit tant il est gros et me fait mal aux mâchoires.

La seule vraie réponse que j'obtiens, c'est une grande gifle qui m'assomme presque, tant elle est violente.

- Ouvre ta gueule pouffiasse !

Je résiste et refuse de desserrer les dents. Son regard se teinte soudain d'une cruauté qui me fait froid dans le dos. 

- Ne fais pas l'idiote, sinon je vais devenir méchant !

J'abdique et desserre les dents. Ma bouche est rapidement comblée par la balle en caoutchouc, la lanière de cuir est serrée sans ménagement dans mon cou. Il m'enfile ensuite une cagoule qui m'aveugle totalement, ajuste mon nez dans l'encoche percée prévue à cet effet et l'attache derrière ma tête. Après m'avoir descendue et décrochée, par crainte de recevoir un autre coup de pied, c'est avec d'infimes précautions qu'il s'occupe de mes jambes. Il me passe des menottes de chevilles et de poignets avant de retirer les liens en place.

A petits pas, à cause des menottes des chevilles, je suis dirigée dans la salle. Mon dos est plaqué contre un mur froid. Il passe autour de mes bras, au-dessous des menottes, de larges liens qui enveloppent tous mes avant-bras. Cet homme a vraiment peur de moi. J'enrage car mes projets de fuites s'amenuisent. Mes mains sont étirées vers le haut, mettant ainsi ma poitrine totalement à découvert. Pendant un instant, je l'entends qui s'affaire dans la salle. Je suis morte de peur.

Quand il revient, il passe autour de mes chevilles de larges liens puis remonte mes jambes et attache les liens aux même points que mes bras. Je me retrouve dans une position hautement impudique. Le dos contre le mur, les bras et les jambes relevées au-dessus de ma tête. Mon intimité et mes orifices sont totalement exposés et ouverts à toutes les agressions.

Quelque chose de gros, rond et froid tourne et dilate mon vagin. Je me sens envahie par une grosse boule, qui s'enfonce dans mon ventre. Cela doit être un plug ! J'entends quelqu'un parler.

- Pourquoi fais-tu ça ?

- Après demain, je la récupère, je ne veux pas que son cul éclate, alors je la prépare.

- Tu sais que c'est une connerie ?

- Oui, mais celle-là je me la garde !

- C'est une grosse connerie !

- Si tu veux bosser à l'opéra, tu apprends à fermer ta gueule !

- Ok Boss, ok !

Une autre plug recouvert de lubrifiant tourne et dilate mon petit cul. Celui-là doit être énorme car il bute contre les parois de mes fesses. Des mains viennent en renfort et m'écartent un peu plus. Ils me travaillent un moment, je cris sous ma cagoule mais ils continuent et se moquent de ma douleur. A force de pressions et de rotations, mes sphincters largement distendus, la laissent passer. Percluse de douleurs, je me sens envahie par une grosse boule, qui me déchire le cul.

Une drôle de sensation irradie au creux de mes reins et de mon ventre. Je me sens totalement remplie et distendue. Je transpire sous la cagoule. Une corde est posée autour de ma taille puis sur les objets qui comblent mes orifices, leurs interdisant ainsi, toute tentative de rejet.

La porte claque. Il n'y a plus de bruit. Ils ont du partir. Combien de temps vais-je rester ainsi attachée ? Que va t'il m'arriver, qu'est-ce qui m'attend ? Vais-je mourir ? Le fait qu'il ait dit : « Oui, mais celle-là je me la garde ! » me rassure et m'affole en même temps. N'est-il pas préférable de mourir plutôt que de le subir une vie entière dans d'atroces situations humiliantes et douloureuses ?

Les larmes montent à mes yeux. J'essaye de lutter pour garder mon calme, pour mesurer calmement la situation et trouver une solution. Je ne suis plus qu'une femme prisonnière dans un lieu infâme et promise à une échéance qui ne pourra être que difficile, forcément douloureuse et dégradante. Mais, car il y a un mais ! Je suis vivante et ceinture noire de karaté. Peut-être ai-je une chance de m'échapper. Je m'accroche à cet espoir de liberté, qui sera sans nul doute difficile à obtenir.

Combien de temps s'écoule au juste avant que je sombre, je ne saurai le dire. Dans cette odieuse position et les orifices comblés, je finis malgré tout par sombrer dans un sommeil tumultueux où mon passé de webmaster SM, mes plaisirs SM et ma condition actuelle se bousculent dans mes rêves.

Aussi bizarrement que cela puisse paraître, dans mes rêves, j'appréhende l'avenir et le sollicite en même temps. Le fait que mes orifices soient comblés et que j'ai quasiment jouis pendant qu'ils me violaient, me traumatise et me rassure. Je dois être en train de sombrer dans le syndrome de la victime qui devient consentante. J'ai peur, je déraille, je perds les pédales !

Au milieu de la nuit je suis réveillée par mon cul qui pousse en vain et une envie de pisser monumentale. Après qui j'ai libéré honteusement ma vessie, le temps s'écoule avec une lenteur exaspérante. Je sombre à nouveau.

A suivre sur Plaisirs-interdits avec les histoires les plus HARD de TSM

 

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol)
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Mercredi 23 avril 3 23 /04 /Avr 06:20

   Défi de vie en CB à l’hôtel Ibis

Par TSM

 

Avis au lecteur ce texte est un texte gay.

 

On s’est rencontré sur DSSM-Gay, un site qui traite de ces sujets. De fil en aiguille, nous avons sympathisé et échangé hors groupe sur les cages de chasteté masculines et sur bien d’autres sujets. Nous nous sommes raconté nos malheurs respectifs puis nos aspirations sexuelles et de vie. Guy a 40 ans, il est gay depuis l’âge de 20 ans et il s’est séparé de son compagnon de vie il y a huit mois maintenant. Ce dominateur, qui est également un romantique, a bien du mal a trouver quelqu’un qui corresponde à ses aspirations. Moi, j’ai 45 ans, je suis mince, bi, soumis et maso mais ces traits de ma sexualité ne sont pas visibles dans mon quotidien. Dégouté des femmes qui m’ont ravagé le cœur, en quête du bonheur affectif, j’ai décidé d’essayer de vivre la relation homosexuelle qui m’a souvent fait fantasmer. L’anonymat du net altérant la pudeur, je l’ai avoué à Guy tout comme je lui ai avoué ma féminité intérieure, ma bisexualité, mes fantasmes sexuels et affectifs.

 

Récemment, j’ai découvert qu’il habite à Marignane et vingt-cinq kilomètres de chez moi grâce à un traceur qui permet la localisation d’un internaute et je me suis amusé à faire de l’humour sur tous les gens qui s’envoient en l’air au dessus de sa tête en payant parfois des sommes astronomique à des femmes vêtues en uniforme. (Les hôtesses d’accueil de l’aéroport)

 

Que j’ai pu le localiser l’a ennuyé et histoire de le martyriser un peu, je l’ai laissé cherché longtemps malgré ses promesses de représailles en lui répondant que je n’étais pas son/sa soumise et qu’il n’avait rien à exiger de moi. Au fur et à mesure, comme disait la fermière, j’ai entrouverts la porte d’un échange plus physique que virtuel. Hier, sa réponse m’a surpris !

 

Ci-dessous le résumé de notre chat :  

 

- Cela fait partie de mes fantasmes de jouer à la poupée avec un mec et qu’il devienne ma petite gonzesse d’amour très soumise mais il y a tellement de fantasmeurs que j’en ai assez d’espérer et de perdre mon temps avec des gros cons ou des porcs débiles dépourvus d’intelligence.

 

- Teste-moi pour voir si je suis de cela !

 

- Attention à toi si tu me défis, tu pourrais être surpris.

 

- Des promesses, toujours des promesses…..

 

-  OK ! Si tu veux savoir si ce sont des promesses, va à l’hôtel Ibis de Vitrolles, prend une chambre et habille-toi avec des sous-vêtements de pute. Téléphone-moi pour me donner le numéro de ta chambre et le code d’ouverture de la porte. Ensuite, tu passes des menottes, la fameuse cagoule occultant les yeux dont tu m’as parlé et bloques tes poignets dans ton dos.

 

- Tu blagues ?

 

- Non, je suis sérieux ! T’as l’air con maintenant ?

 

- Tu me donnes ton portable ?

 

- Sans problème : 0609181845

 

- Tu ne me plantes pas un râteau si je viens ?

 

- Tu as peur ? Serais-tu comme les autres ?

 

- Enfoiré !

 

- Force est de constater que tu te débines.

 

- Non. J’hésite. Que me feras-tu ?

 

- Surprise, surprise ! Tu as deux heures pour prendre une douche, mettre ta cage de chasteté, prendre tes petites affaires et venir à Vitrolles. N’oublie pas de prendre les clés de tes bidules si tu ne veux pas avoir l’air d’un con. MDR

 

- OK, mais je teste ton portable avant.

 

- Si tu veux !

 

FIN du résumé

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Notre entretien téléphonique n’a duré que quelques minutes pendant lesquelles, il m’a rassuré et mis en confiance puis précisé que cela fait un moment que je titille sa libido. Sur la route qui me conduit à Vitrolles, je me traite pourtant de débile inconscient tout en me disant que j’allais enfin pouvoir vivre quelque chose de fort. Après-tout, qu’est-ce que je risque ? Cela fait un an que je le connais et nos échanges ont toujours été clins sans soucis ni agressivité ou vulgarité. J’ai son portable, sa géo localisation, son email et nous ne serons pas seuls dans l’hôtel. Le paiement de la chambre par CB à 22heures est génial pour sa discrétion mais entrer dans l’hôtel avec mon petit sac m’est finalement plus difficile que prévu. Je suis à la fois terriblement excité mais j’ai un peu peur de l’inconnu. Dans sa cage de chasteté, mon Popaul pousse les murs au fur et à mesure que j’approche de la chambre 12. Le code 4676 me permet d’accéder à une de ces chambres « lyophilisées » et sans âme qui sera peut-être le théâtre de mes fantasmes. Elle me parait soudain froide, si froide que je suis pris d’une envie de fuir. Comme dans les répétitions mentales effectuées sur la route, j’ouvre mon sac et en sort le matériel que Guy m’a demandé de prendre. Sur la table visée au mur, je pose les clés des menottes, de ma cage de chasteté puis des préservatifs et du lubrifiant. Les sous-vêtements féminins que j’ai pris me semblent soudain si ridicules. Je vais être grotesque ainsi vêtu avec mes poils qui dépassent de partout. C’est la première fois que quelqu’un me verra en sous-vêtements féminins. Je n’en mène pas large et c’est presque la mort dans l'âme que je retire mon tee-shirt. Cette fois ma pudeur va être sérieusement malmenée. Je me mets totalement nu et me prépare pour la suite des évènements que je commence à redouter. Soudain, je prends conscience que je n’ai pas fermé le rideau. Je les clos prestement en espérant que personne ne m’a vu avant de revenir vers ce sac qui m’attend sur le lit en frissonnant, la tête  me tourne, mes tempes bourdonnent. La gorge serrée j’enfile un collant noir ouvert à l’entre-jambe. Son contact doux sur les jambes et les cuisses me galvanise un peu. La culotte taille basse en dentelles noires que j’ai choisie masque à peine ma cage de chasteté mais j’aime son contact et la sentir sur le haut de mes fesses. En guise de soutien-gorge, j’enfile un petit haut noir que les sportives mettent pour maintenir leur poitrine, tout cela ne fait pas « pute » mais cela ressemble à ce qu’il m’a demandé.

 

Bon ! Voilà, je suis prêt, il me faut maintenant l’appeler ? Oser l’appeler  est bien plus dur à faire que dans mes fantasmes de soumission….. Je prends une cigarette histoire de me donner du courage puis le téléphone portable. Oh que c’est dur d’oser ! Mon doigt tremble, je n’arrive pas à appuyer sur le bouton vert qui affichera le dernier numéro composé. Vais-y arriver ?  Machinalement, ma main gauche tripote la cage entre mes jambes mais mon index ne parvient pas à appuyer sur le maudis bouton vert ! Mon dieu que je suis con ! Le décevoir me serait insupportable et si je ne me résous pas à réaliser ses demandes, je vais me détester.

« Je l’ai dit, je le fais » ! Dis-je à haute voix en appuyant enfin sur la touche de rappel. Son numéro apparait, j’appuis à nouveau mais je suis loin d’être fier.

 

- Allo.

 

- Chambre 12. Le code 4676.

 

- Tu l’as fait ?

 

- Oui, j’y suis.

 

- Là tu m’épates, bravo ! Prépare ton matricule j’arrive.

 

- Chambre 12. Le code 4676.

 

- J’ai entendu, pas besoin de me le répéter. Prépare-toi.

 

Clic

 

Comme s’il allait arriver dans la seconde, je pose le téléphone puis attrape les menottes et la cagoule que j’enfile et ferme à la vitesse grand V. C’est ensuite au tour des menottes, les clics du premier bracelet me font trembler, j’ai du mal à entrer dans le trip que j’ai espéré, être féminisé et totalement à la merci d’un homme. Il est évident que nous ne venons pas là pour faire un tennis, mais je suis soudain submergé par la peur. Et s’il était brutal ou pire encore, totalement fou ? Mentalement je me remémore les emails et notre conversation téléphonique. Jamais il ne m’a semblé dangereux ou déséquilibré. Au contraire, derrière la carapace de Dom, se cache un romantique, un romantique même dominateur n’est pas un gros méchant. La position avec les poignets derrière le dos me rappelle nos jeux SM avec mon ex puis les longues minettes qu’elle m’imposait en me motivant à l’aide de sa cravache. Ces pensées m’excitent, le fait d'être immobilisé m’a toujours procuré toujours un obscur plaisir sexuel. Rien que de penser que je vais être à la merci de Guy me fait des choses, mon Popaul commence à pousser son tube. Ma main guide le deuxième bracelet sur mon poignet gauche. Pris d’hésitations, je n’arrive pas à le fermer. Un, deux, trois, clic, clic clic, ça y est, c’est fait. Rien que de tirer sur les menottes, me chauffe un peu mentalement. Comment dois-je me mettre ? Sur le lit ou à genoux dans l’entrée ? Les minutes s’égrainent avec une lenteur exaspérante. A genoux, le buste allongé sur le lit et les fesses tournées vers l’entrée de la chambre, je patiente en frottant ma cage de chasteté contre le matelas. Fantasmer à l’idée d’être une fille immobilisée et offerte à la merci d’hommes qui abuseraient de moi m’a toujours déclenché de troubles sensations. Cette nuit me rapprochera de mes fantasmes les plus fous mais la concrétisation de ces absurdes idées me fait à nouveau frissonner. Je suis fier d’avoir osé, hésitant, excité et apeuré en même temps. Quel drôle de mélange de pensées me direz-vous. Assis maintenant sur le lit, mon excitation s’éteint lentement. Fait-il exprès de me faire attendre de longues minutes qui me paraissent des heures ?

Le clic de la serrure qui s’ouvre me fait tressaillir. Ecrasé de honte je ferme inutilement les yeux sous ma cagoule et déglutis avec peine. La porte claque, elle s’est refermée sur nous, sur l’indécence que représente mon corps d’homme féminisé ainsi offert.

 

- Bravo ! Ton courage m’impose le respect. Tes dires à propos des fantasmeurs n’étaient pas que des mots. Tu n’es vraiment pas de ceux-là, je te présente mes excuses pour tout à  l’heure.

 

- Elles sont acceptées mais j’ai une trouille monstre.  

 

- Tu peux me faire confiance et n’as pas à avoir peur si tu m’écoutes à la lettre. Lève-toi et approche !

 

Je me lève avec difficulté et tout tremblant avance de quelques pas à l’aveugle. Le contact soudain de sa main avec ma cage de chasteté qu’il palpe à travers ma culotte m’électrise. Il étire le fin rempart de tissu féminin pour regarder l’objet qui emprisonne mon sexe rabougris qu’il ne peut voir à l’intérieur du tube de métal. Il m'attire à lui brutalement puis plaque ses lèvres contre les miennes en explorant mes fesses à pleines mains. Son baiser n’est pas un baiser tendre, non, il est brutal, animal quasiment sauvage. Je ne peux lui refuser, mais embrasser un homme n’est absolument pas mon truc. Une de ses mains s’insinue dans ma culotte pour suivre la fissure de mon pertuis. Ce nouveau contact me fait frémir des pieds à la tête. D’un doigt il touche mon anus, le titille un instant et le pénètre durement m’arrachant un gémissement de douleur.

 

- Hum, tu es tout serré mais je te sens très tendu. Décontracte-toi un peu, on va passer un bon moment tous les deux.

 

Je ne peux répondre ni exprimer quoi que ce soit, aucun mot ne me vient. Pendant qu’il parcourt mon corps de ses mains fermes mais douces dans les caresses, ses lèvres dessinent dans mon cou un chemin imaginaire. Ces sublimes attouchements me font frémir et onduler comme une véritable femelle en chaleur. Guy m’enlace avec beaucoup de douceur en caressant de la pointe de sa langue, mes lèvres, mes narines puis le creux des oreilles. Ses douces attentions m’apaisent et commencent à me faire fondre. Entre ses bras, je commence à me sentir sa chose, aucune femme jusqu’à présent ne m’a câliné ainsi. Du pied, il m’invite à écarter les jambes, le creux de mes cuisses devient la cible de ses mains câlines, c’est fou ce que ce collant amplifie les sensations de douceur. Sous ses attouchements, ce n’est pas un plan cul SM que je ressens mais une séduction qui me trouble terriblement. Les menottes m’obligent à l’immobilité, ses caresses à l’abandon. Ce mec me fait totalement vibrer de l’intérieur, je n’ai jamais connu ça auparavant dans mes furtives expériences bisexuelles. Au bout d’un long moment de délice, ses lèvres se mettent en quête des miennes, je ne les subits plus et lui rend maintenant son baiser pendant qu’il poursuit ses investigations entre mes jambes. Sa main fouille ma culotte à la recherche de mes testicules qu’il malaxe avec douceur sous la cage. Ma verge est très à l’étroit dans son tube de métal. Maintenant je n’ai plus peur, je suis bien sur le nuage de mon abandon. Avec la même douceur, il appuie sur mon épaule et m’invite à m’agenouiller. Je ne résiste pas, son sujet est prêt à le servir. Le bruit de ceinture et de la braguette m’indique qu’il est temps pour moi d’officier et de lui donner ce qu’il est venu chercher. Ma bouche s’entrouvre pour attendre son sexe qui ne tarde pas à se présenter à elle. Encore une fois, il ne me force pas et me laisse libre de décider mais il est hors de question pour moi de lui refuser quoi que ce soit. C’est même avec plaisir que je prends contact avec sa verge gonflée et terriblement dure. Mes lèvres titillent son gland un instant avant de coulisser lentement autour de son membre d’une bonne grosseur. Par chance, il n’est pas très long, j’arrive sans encombre ni haut-le-cœur à l’absorber totalement jusqu’à la base. Sa main se pose sur ma nuque et me plaque plus encore contre lui mon nez touche les poils de son pubis. Guy me maintient la tête et m’impose des mouvements, lents et profonds. Ma langue virevolte sur son gland avant de s’enrouler autour de son mandrin qu’il enfonce dans ma bouche avec maintenant plus de vigueur. Il m’interrompt ensuite de la main et m’oblige à me lever pour descendre ma culotte en m’intimant l’ordre d’attendre sans bouger. Les bruits m’indiquent qu’il se déshabille et se couche sur le lit.

 

- Maintenant, je veux apprécier les douceurs de ta langue sur tout mon corps, tu as intérêt à t’appliquer si tu ne veux pas souffrir dès le premier jour.

 

Je m’approche du lit à l’aveugle, mes jambes m’indiquent qu’il semble s’y être étendu en écartant les sienne. Je m’agenouille sur la moquette et part prudemment en quête de son corps. Mes lèvres trouvent un genoux qu’elles embrassent un instant avant de partir à l’assaut de la cuisse qu’elles lutinent un instant avant de laisser la place à ma langue qui décrit des cercles en remontant doucement vers son sexe qu’elle évite pour créer la tension du désir. Je m’attaque ensuite à l’autre cuisse dont je mordille l’intérieur quand soudain sa main m’oblige à m’occuper de son entre-jambe.

 

- Lèche-moi les couilles et fait les entrer dans ta bouche, j’adore ça !

 

Elles sont rasées, douces et de bonne taille affichant clairement un retard de plaisir. Une à une je les gobe avec précaution, puis les abandonne pour titiller l’aine si sensible avant de revenir à la charge.

 

- Monte sur le lit !

 

Tant bien que mal, je m’exécute et manque de m’écrouler sur lui. Prestement guidé d’une main, mon visage est plaqué contre ses testicules pendant qu’il saisit les miennes sous la cage d’une poigne plutôt ferme. Sa main les serre et m’arrache un cri de douleur.

 

- Je t’ai dit de me lécher les couilles. Tu t’appliques ou je fais de la marmelade avec les tiennes ?

 

Prestement pour que la douleur bien réelle cesse, je plonge entre ses cuisses pour déguster ses précieuses. Sa main relâche les miennes et joue avec ma cage qu’elle étire puis agite dans tous les sens comme pour faire un état des lieux. Sagement appliqué je n’ose entreprendre quoi que ce soit d’autre que la dégustation demandée qu’il semble effectivement beaucoup apprécier. Des doigts il caresse un instant mes fesses exposées de par ma position à genoux puis de l’autre me guide vers sa verge tendu à rompre.

 

- Honore celle qui va te baiser ou te faire pleurer si tu ne t’appliques pas.

 

Le moment attendu et à la fois redouté s’approche. Je vais me faire prendre comme une femelle soumise sans aucune possibilité de fuite. Lustrer de mes lèvres avec conviction le membre qui va me prendre m’embrase littéralement. Dans ma tête brûlante de fièvre érotique, se projettent divers scénarios. Quelque chose de pervers anime de nouveau mon bas ventre, je bande si fortement que j’ai l’impression que je vais imploser ou que mes couilles vont s’arracher de mon corps. Le bruit d’un emballage de préservatif déchiré m’indique que l’heure d’y passer est venue.

 

- Met-toi au milieu du lit et couche-toi sur les oreillers pour que je me fasse ton petit cul qui me provoque depuis un moment. Tu vas voir, c’est autre chose que tes petits plugs.

 

Guy me guide sur le lit et m’aide à m’installer puis, quand mes fesses relevées par les oreillers sont bien exposées, il lubrifie mon anus d’un gel froid qui me fait frémir. Il me caresse la raie des fesses et me force d’un doigt de façon très directe qui ne me laisse pas le temps de réagir De ce doigt rapidement rejoint d’un second, il fait pénétrer du gel dans mon conduit anal et me dilate un peu. Je fais l’impossible pour me décontracter mais cela n’est pas aussi efficace que je le souhaite. Quand il s’installe entre mes jambes, le temps semble soudain s’arrêter, dans ma tête un malaise et de la crainte s’installent. Le contact de son gland entre mes fesses offertes me fait frémir, du gland, il fouille un instant, trouve sa cible et commence à la forcer en m’intimant l’ordre de me décontracter et de pousser comme si je voulais aller aux toilettes. Je sais que c’est ainsi qu’il faut procéder pour ne point souffrir mais n’y parvient pas vraiment alors qu’il commence déjà à m’investir. Il me nargue avec sadisme en poussant et en reculant son gland tout en me traitant de petite « allumeuse ». A force de séduction, je commence à fondre, cesse de me plaindre pour gémir de plaisir, puis le presse de continuer en m'offrant totalement fesses tendues et ouvertes. Mon anus s’épanouis lentement autour de son gland et le laisse passer. Profitant de cet accueil, il s’enfonce très lentement en moi, la pénétration semble durer une éternité. Je me surprends à cambrer mon derrière pour que cela continue encore un peu quand je sens son ventre sur mes fesses. Ah mon dieu que c’est bon. A peine commence t’il ses mouvements en moi que je suis complètement possédé et savoure cette pénétration en mordant les draps de plaisir. Sous ses assauts légèrement plus rudes, mes chairs s'ouvrent me procurant ainsi un subtil mélange de sensations faites du plaisir de me sentir envahi, rempli. Ses sensations sont accompagnées de douleurs légères et terriblement excitantes. Guy se couche sur moi et va un plus en plus vite en m'arrachant de petits râles étouffés à chaque mouvement. Il tire soudain ma tête vers lui, lèche mon visage, mon cou et mes épaules à petits coups de langue. Une confusion indicible m’envahit sous ses coups de butoir de plus en plus rude, je me sens sa chose, me cabre de volupté entre ses mains qui me palpent fermement.  L’embrasement intégral de mes sens fait que je me sens vraiment sa femelle soumise. Pris dans le tourbillon des émotions générées par ma cage de chasteté écrasée dans l’oreiller, mes entraves, ses mouvements en moi et ce corps à corps si animal, je commence à haleter, lui aussi, la fin approche déjà, je le regrette, tout va trop vite. Guy se reprend, se contrôle et, tout essoufflé, fait une pause.

 

- Quand je vais jouir, veux-tu me boire ?

 

- Non, je n’ai jamais pu faire ça, cela me donne envie de vomir, je suis désolé.

 

- Un bon soumis ne doit jamais refuser de déguster son maître. Même si tu sembles avoir des prédispositions, ton éducation laisse à désirer. Tes ambivalences sont très fortes, tu te donnes comme une femme mais tu es velu, tu as l’âme d’un soumis mais tu refuses de boire que me caches-tu encore ? Tu te dis maso et je veux bien te croire mais quel est le contraire de cette facette de ta personnalité ?

 

- Dans la vie de tous les jours, je suis un dominant pas un soumis.

 

- Hum, tu me plais toi, ton éducation ne sera que plus intéressante si tu acceptes de me la confier.

 

- Oui !

 

- Oui quoi ?

 

- Oui, j’accepte de te confier mon éducation.

 

- Carte blanche ?

 

- Oui, carte blanche.

 

- Même si en ma compagnie, tu risques de vivre des moments difficiles ?

 

- Oui !

 

Guy se retire et me demande de me mettre sur le dos. Je m’exécute aussitôt en brulant d’impatience de savoir ce qui m’attend maintenant. Il s’abat sur moi et me palpe en me dévorant tout en me renseignant sur ses intentions. Je crois que mon éducation ne commencera que demain et que cette nuit, il me désire tout simplement. Le tout simplement signifie qu’entre ses mains, je deviens une véritable poupée de chair qu’il malaxe et pétrit en lui roulant des pelles voraces. Mes jambes sont prestement relevées, mes fesses exposées à son désir. Cette fois, la pénétration est brutale, sauvage, elle m’arrache des gémissements qui sont immédiatement étouffés par sa bouche qui dévore mes lèvres. Menotté et les chevilles bloquées près de ma tête par ses bras, je n’ai jamais été ainsi offert, pris et ne peux que subir sa fougue en de bruyantes expirations. Guy me laboure un moment les reins avec une intensité démoniaque, ses cuisses claquent sur mes fesses, ses mains martyrisent mes tétons sous le soutien-gorge. Des cris de bête me surprennent soudain, il stoppe ses mouvements sauvages et reste profondément bloqué en moi en se laissant aller à la jouissance en une longue plainte de fauve. Même s’il ne fait plus aucun mouvement, mon anus convulse, est-ce ses contractions ou suis-je en train de jouir du cul ? Je ne saurai le dire, mais je viens d’atteindre un degré d’abandon et de plaisir insoupçonné jusqu’à présent, c’est bien plus intense que je ne l’ai imaginé dans mes fantasmes.

 

Tout essoufflé, m’écrasant de tout son poids, Guy s’accorde un instant de repos salutaire. Même si elles sont positionnées de côté pour protéger mes poignets, les menottes me font mal mais je n’ose bouger ni me plaindre. Sortant lentement de sa douce torpeur, en poussant ses reins en avant, il happe ma lèvre inférieure des siennes devenues gourmandes, câlines, possessives. Les fesses tendues au possible, je m’offre à lui, j’aimerai tant qu’il puisse aller plus loin en moi, qu’il me possède plus encore que la nature ne l’autorise. Le duo silencieux des corps s’éteint lentement, Guy se retire et se débarrasse de son préservatif qu’il abandonne sur la table de nuit en me souriant.

 

- Normalement, un soumis remercie de la bouche son maitre de l’avoir honoré en dégustant les dernières gouttes de son plaisir. J’aimerai beaucoup que tu le fasses pour moi.

 

- Je ne m’en sens pas capable aujourd’hui, laisse-moi un peu de temps. S’il te plait.   

 

- Si tu veux, mais ma clémence à ton égard ne durera pas éternellement.

 

L’alternance des échanges verbaux et non verbaux se poursuit mais il ne semble pas envisager de me libérer de ma cage de chasteté ni des menottes. Ma fatigue, tant physique que nerveuse s’exprime par un bâillement discret qu’il décèle en se moquant de moi.

 

- Une chambre, c’est aussi fait pour dormir, je crois que nous en avons besoin tous les deux. Quand penses-tu ?

 

Dans l’état de fatigue où je suis, je ne peux qu’adhérer pleinement à cette idée. Guy éteint alors la lumière et m’attire contre lui. La tête posée contre sa poitrine je me laisse aller à une douce somnolence en revivant mentalement cette folle nuit avant d’être happé par un sommeil peuplé de songes érotiques aussi compliqués que multiples.

 

AU PETIT MATIN

 

La cage de chasteté étire mes testicules dans mon érection matinale qui se produit au petit matin bien avant que ne sèche la rosée. Une visite éclair aux toilettes me soulage à peine la vessie car malgré une douleur dans les muscles de mes épaules, l’effet cage de chasteté et menottes se répercute également sur ma libido qui, tel un alpiniste chevronné, se remet à gambader pour explorer de nouvelles voies. Avec moult précautions pour ne pas le réveiller, je me recouche près de lui un peu honteux de n’avoir pu m’essuyer après m’être soulagé. Morphée ne tarde pas à m’attirer et à m’entraîner vers un sommeil agité.

 

Nous sommes chez Guy au petit matin après une nuit de folie où, totalement féminisé et hormoné, j’ai du satisfaire de mon corps toutes les lubies des personnes invitées à mon second baptême. Vêtu d’une chemise de nuit en satin blanc, je lui apporte son petit déjeuné au lit quand soudain, il soulève le drap et me dévoile sa verge gorgée de désir. Aussitôt et avec joie indescriptible, dès qu’il a saisis le plateau, je me glisse contre lui pour entreprendre la dégustation du Priape de chair. Les yeux fermés je fonds de bonheur à son contact. Ce n’est pas une fellation que je réalise mais un impérial acte d’Amour. Sa main caresse ma nuque puis joue avec mes cheveux, mes lèvres glissent lentement sur sa colonne de chair d’une enivrante douceur. J’ai une telle faim de sa verge que je dois modérer mon envie de mordre. Son membre est secoué de petits spasmes, l'idée qu'il va jouir dans ma bouche me comble de bonheur. Je l’aspire en le serrant de mes lèvres dans de plus grands mouvements puis bois avec délice les jets de son nectar qui semblent venir sans fin lors des sursauts de sa jouissance. Il a un petit goût marin que j’adore et dont je me délecte. Ses râles et spasmes s’enchaînent mais quelque chose me surprend, je pensais qu’il était couché dans l’autre sens. Ma langue virevolte sur le gland brulant pendant que mes neurones s’attellent à la résolution de ce problème d’orientation.

 

- Quand tu m’as dit que tu avais besoin de temps pour me boire, tu me faisais un caprice ou quoi ?   

 

Par réflexe, je « m’arrache » littéralement de mon rêve puis du lit et me précipite vers le lavabo pour vomir mais rien ne me vient même si je tousse comme un asthmatique tuberculeux. Guy s’est précipité derrière moi pour allumer la lumière et m’assister. 

 

- C’était ma première fellation menée jusqu’à son terme. Je n’y suis jamais arrivé car cela me fait vomir.

 

- Ce n’est pas ta dernière crois-moi !


  TSM

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 16 avril 3 16 /04 /Avr 07:37

Un speed dating à hauts risques

Par TSM

 

Pouvoir laisser s’exprimer sa sexualité et réellement vivre en soumission sexuelle est le fantasme de nombreux hommes mais avoir l’opportunité de construire une vie de couple avec une femme qui partage de telles aspirations tient du miracle. Ce miracle c’est pourtant produit pour Alexandre mais hélas pour lui, deux ans plus tard, la belle épouse de rêve le quittait pour aller vivre une romance avec un homme fortuné.

 

- Deux ans de bonheur à deux.

- Deux ans de jeux et de rapport de domination/soumission amoureuse qui vous entrainent bien au-delà de l’amour conventionnel parce qu’en cage de chasteté la soumission sexuelle à une personne que l’on aime décuple les émotions et les sentiments.

 Si une séparation est toujours douloureuse perdre sa maîtresse en même temps que l’élue de son cœur l’est bien plus encore. Alexandre, libéré de la cage de chasteté que sa douce lui imposait dans l’exquise complicité de leurs jeux, a erré comme une âme en peine après avoir pris de plein fouet le sens profond de l’expression « chien sans collier ». La SPA ne pouvant rien pour lui, désespéré, en manque d’Amour avec un grand A et de ces jeux érotiques dont il ne peut plus se passer, Alexandre s’est inscrit sur de nombreux sites payants pour chercher une autre maîtresse à aimer d’amour mais en vain. D’espoirs en désillusions Alexandre se ruine inutilement et commence à déprimer. En désespoir de cause, il s’est inscrit à un speed dating pour tenter de rencontrer la femme de ses rêves.

 

Le speed dating (anglicisme signifiant littéralement « rencontres rapides ») est une méthode de rencontres amoureuses rapides et en série. La méthode a été créée par le rabbin Yaacov Deyo aux États-Unis à la fin des années 1990. Deyo avait pour objectif de préserver la culture juive en poussant aux mariages intra-communautaires. La méthode s'est depuis propagée aux autres communautés, puis à d'autres pays. Les organisateurs commencent par effectuer un premier tri parmi les candidats qui se sont inscrits à ce type de soirées. Seuls les candidats retenus seront avertis du lieu et de l'heure précise de l'évènement. Sur place, un grand nombre de célibataires de caractéristiques proches (âges, catégories socio-professionnelles, revenus, etc.) sont mis en rapport par deux, autour d'une table et éventuellement devant un verre selon une durée prédéterminée (typiquement sept rendez-vous de sept minutes chacun). Traditionnellement, un signal sonore est émis pour indiquer la fin de la durée impartie : en faisant sonner une cloche, ou tinter un verre.

La conversation peut porter sur n'importe quel sujet en respectant deux règles : aucune coordonnée personnelle ne doit être échangée, et aucun participant ne doit dire à l'autre s'il souhaite le revoir. À l'issue de chaque rendez-vous, les célibataires sont invités, chacun de leur côté, à émettre une appréciation confidentielle sur la personne qu'ils viennent de rencontrer, et à dire s'ils souhaitent la revoir (avec, éventuellement, un classement par ordre de préférence). À l'issue de la soirée, les organisateurs mettent en rapport ceux qui souhaitent se revoir mutuellement. Une manière plus simple de faire fonctionner le jeu est d'asseoir tous les participants à des tables, deux par deux. Au bout d'un certain nombre de minutes, les hommes (par exemple) changent de place et vont à la table suivante. La rencontre fonctionne par un turn-over rapide des participants. Les promoteurs de cette méthode considèrent qu'elle est adaptée au mode de vie urbain contemporain : anonymat et vitesse. La méthode est considérée comme basée sur la première impression et mue par un souci de rapidité et d'efficacité maximale.

Ce soir là, Alexandre avoue avec grande difficulté aux filles rencontrées être un homme fort, doux, attentionné et romantique. Il explique également qu’il se plait à être soumis en amour et à offrir le contrôle de sa sexualité à celle qu’il aime en lui confiant les clés d’une cage de chasteté. Cette présentation originale en fait sourire plus d’une et grimacer d’autres qui le traitent de fou ou de pervers. A la fin du speed dating Alexandre n’a guère d’espoirs lorsqu’il s’approche de l’organisateur pour savoir si l’une des femmes rencontrées souhaite le revoir. Il bondit de joie et croit au miracle en découvrant sur sa fiche, qu’une fille propose de prendre un verre avec lui le soir même. La vie lui sourirait-elle à nouveau ?

 

Lorsqu’il prend place tout penaud en face de Justine assise à une table reculée dans un coin feutrée du lieu, il croise les doigts et se plait à espérer que son calvaire affectif va prendre fin. Elle est petite, brune aux cheveux longs, très souriante et mignonne pour ne pas dire craquante avec un petit quelque chose dans le regard qui laisse à penser que ce ravissant petit bout de femme de trente-cinq ans aux yeux bleu-verts doit être une sacrée coquine dans l’intimité. Leur conversation laisse transpirer une ambiguïté mais Alexandre est si ému qu’il ne la ressent pas. Certes ils sont là tous deux pour rencontrer l’âme sœur, mais pour certaines des personnes qui se rendent à un speed dating si la rencontre affective n’est pas au rendez-vous, un bon plan « fesses » n’est pas forcément déplaisant.

Si Justine n’est nullement motivée par une vie de couple avec Alexandre, elle est séduite par l’idée de vivre une expérience ou une soirée originale. Enjôleuse de nature, elle n’a guère besoin d’user d’artifice pour que le pauvre homme en mal d’amour tombe en ses rets. Au fil de la conversation, Alexandre fond comme neige au soleil et trouve qu’ils ont beaucoup de points communs et d’affinités. A cela se rajoute que pour la première fois de sa vie, ses aspirations de soumissions câlines trouvent là la magnificence d’un écho parfait. Quand elle lui pose des questions très intimes sur sa chaste soumission, il lui répond en toute honnêteté sans pudeur comme si cela faisait dix ans qu’ils vivaient ensemble. Pour ferrer le poisson, elle lui affirme être très attirée par un homme doux, aimant pratiquant ces jeux par amour et non pas par simple perversité. La chérir et l’aimer à la folie en s’offrant totalement corps et âme devient le rêve de vie d’Alexandre lorsqu’ils se quittent ce soir là en se faisant une bise sur la joue.

 

C’est donc comme sur un nuage, qu’il parcourt alors le chemin qui le ramène en son logis, non sans louper la sortie de l’autoroute pourtant prise tous les jours depuis dix ans. Le chat s’étonne de voir son maitre chanter avant d’aller se coucher puis revenir lui offrir une boite de thon au milieu de la nuit. Le petit oiseau masculin qui n’amuse pas le chat, est encagé le soir même, Alexandre est déjà dans son rêve d’amour fou. Si les draps pouvaient parler, ils vous raconteraient que cette nuit là, ils ont été pétris et caressés d’amour.

 

SAMEDI 11 HEURE

 

Un email illumine la messagerie d’Alexandre. Justine désire vraiment le revoir et partager la soirée avec lui. Elle passera le prendre à son domicile vers 19 heures pour aller au resto s’il accepte de lui donner son adresse et s’il éprouve encore les mêmes attirances… Trois points de suspension.

 

L’email et ses trois points de suspension font l’effet d’une bombe au 10 de la rue des Anciens combattants à Aix en Provence. Après avoir répondu au message de ses rêves en adressant en plus de son adresse, son numéro de téléphone portable, le plan du quartier et les coordonnées GPS de son logis, il fait une visite éclair chez le coiffeur et passe prendre un magnifique bouquet de douze roses rouges sang qu’il placera dans l’entrée en évidence pour qu’elle comprenne bien ses sentiments car il doute un peu de ses mots quand il est ému. La maison est alors rangée, nettoyée, aérée comme jamais elle ne l’avait été auparavant. Un SMS sur son portable lui indique qu’il doit porter sa cage de chasteté lorsqu’elle passera le prendre deux heures plus tard et qu’il doit prévoir de lui en donner les clés. Alexandre ému aux larmes croit rêver à sa lecture et n’en peut plus d’attendre. Les minutes de ces deux heures s’égrainent à une lenteur exaspérante.

 

19 HEURE 30

 

La sonnette tant espérée retentie enfin. Lorsqu’il ouvre la porte il croit rêver. Elle est bien là souriante en chair et en os, vêtue d’une longue robe noire et de très jolis escarpins blancs assortis à une large ceinture puis à ses bijoux. 

 

- Puis-je entrer ? Demande Justine à Alexandre comme statufié sur le pas de la porte.

 

- Excuse-moi, j’allais t’en prier mais ton exquise beauté ma subjugué. Tu es encore plus belle que dans mes rêves.

 

- Tout chanteur vie aux dépens de celui qui l’écoute ! Que me réserve le beau parleur ?

 

- Rien, promis, excuse-moi, je suis troublé. Entre. Désires-tu prendre un verre ?

 

- Oui, volontiers, un coca ou un truc comme ça.

 

Justine profite de cet instant chez Alexandre pour le découvrir un peu plus avant d’aller plus loin dans l’aventure, une visite au domicile de quelqu’un dévoilant un peu sa personnalité. Le côté gauche d’Alexandre l’amuse et la rassure, il n’a rien d’un méchant ni d’un sadique bien au contraire.

 

- J’ai vu un joli bouquet de roses dans l’entrée, s’il est pour moi il manque quelque chose devant le vase !

 

- Il est bien pour toi, mais je ne vois pas ce qu’il manque. Une carte peut-être ? Répond Alexandre tout penaud.

 

- Les clés de ta cage de chasteté. J’ai vu sur internet que cela se ferme avec un cadenas et que les soumis en confient les clés à leur maîtresse. Si tu portes la tienne comme demandé et espères vivre une aventure ou plus avec moi, c’est le genre d’erreur qu’il ne faut pas commettre. Je suis très susceptible et soupe au lait.  

 

- Pardon, je cours la chercher. Dois-je t’appeler maîtresse ? 

 

- Pour l’instant appelle-moi simplement Justine car je ne sais pas encore comment tu dois m’appeler. En fait, j’avoue n’avoir aucune expérience dans le domaine de la domination et de la soumission mais je trouve cela très grisant.

 

- Pour moi, ce n’est qu’un jeu amoureux et une façon différente d’aimer. C’est quelque chose de magique à partager en couple. 

 

- Nous ne sommes pas encore en couple, ne brule pas les étapes. Va me chercher tes clés ou cela va être ta fête ! Lance Justine en rigolant.

 

Si Justine dans sa fourberie ne fait que jouer la dominatrice, elle n’en est effectivement pas moins troublée. Quelque chose de nouveau la fait vibrer intérieurement même si affectivement elle ne s’investie nullement dans cette rencontre qu’elle qualifie d’un autre monde. Cette rencontre originale a follement amusé ses copines qui l’ont taquinée en lui demandant si elle sortirait en cuir avec des menottes et un fouet à la ceinture. Une franche rigolade s’en est suivie avec des suppositions et des délires féminins particulièrement coquins proches de l’hystérie collective. C’est autant par défi que pour l’expérience que Justine a accepté de sortir avec Alexandre ce soir. Ses copines lui ont dit qu’à défaut d’une bonne partie de jambes en l’air, elle pourrait au moins se faire lécher en jouant avec la clé de la cage de chasteté.

Dans leurs délires de filles en folies, elles lui ont demandé si elle les inviterait à la léchouille partie. Justine a répondu, « quand il y en a pour une, il y en a pour trois » avant d’éclater de rire, mais d’un rire bruyant, un peu comme pour masquer sa gêne. Alternant entre réflexions et doutes, Justine sursaute, elle n’a pas vu arriver Alexandre. Il est là, debout, près d’elle, rouge écarlate avec la main tendue les clés au bout des doigts. N’osant lui demander s’il s’est réellement encagé, elle se lève d’un bond, prend les clés et sort sans tarder de l’appartement presque comme si elle fuyait l’endroit devenu psychologiquement malsain.

 …………….

Le deuxième kir royal pris au restaurant « Les fleurs bleues » apaise les tensions d’un premier rendez-vous, le troisième délie les langues. Peu à peu l’échange devient complice, Alexandre se sent en confiance avec Justine et se dévoile en toute sincérité tandis que, sur la réserve, elle interprète ses mots comme des maux pervers qui titillent plus encore son envie de jouer au chat et à la souris. Restant sur l’esprit du speed dating et en quête de l’élue de son cœur, il exprime avec une totale spontanéité les sentiments qu’il éprouve à son égard depuis leur première rencontre. Convaincu qu’il ne recherche finalement lui aussi qu’un plan « fesses », Justine abonde dans son sens et joue à le provoquer pour tisser la toile malsaine d’un piège particulièrement pervers.

 

- Tu me tiens mille promesses mais qu’en est-il de tes sentiments réels ? Lance soudain Justine.

- Je te jure que mes intensions sont nobles et que j’éprouve de réels sentiments pour toi. 

- Si tu veux m’aimer comme tu le décrits, il me faut me prouver que tu souhaites vraiment m'appartenir et que tu me fais assez confiance pour t’offrir totalement  

- Met-moi à l’épreuve ! Demande à ton chevalier servant d’aller comme Hercule cueillir les pommes du jardin des Espérides gardées par le dragon.

- Faire référence au onzième travail d’Hercule ne t’expose guère surtout qu’Hercule après avoir tué le dragon envoya Atlas cueillir les pommes à sa place ! Non, je pense à quelque chose qui corresponde plus à tes propos d’homme soi-disant soumis.

- Je suis à tes ordres !

- Aurais-tu le courage de t’enchainer chez toi et te t’offrir à moi corps et âme ?

- Oui !

- Promis ?

- Juré car je ne désire ni ne peux me permettre de te décevoir au premier rendez-vous. 

- Patiente un instant, il faut que je me rende aux toilettes.

 

L’absence de Justine ne dure que quelques minutes, minutes qu’il met à profit pour commander une bouteille de champagne non débouchée et régler la note alors que pour Justine, le besoin pressant était en fait le temps nécessaire pour téléphoner à ses copines. Charmé, totalement fasciné et envoûté, Alexandre poussé par l'exigence impérieuse des sens est dans un état si étrange qu’il est prêt à déplacer les montagnes si elle le lui demandait.

 

- Allez mon chou, allons chez toi tester ton courage. Murmure Justine à l’oreille de l’amoureux éperdu sous l’œil amusé du serveur qui croit voir là, un couple d’amoureux en fête.

 

Sur le trottoir sombre, Alexandre prend la main de Justine et lui déclare sa flamme avec tellement de fougue que Justine en toute émue. C’en est presque un monologue de projets divers et multiples comme un jeune couple qui se forme. Un peu gênée, elle tente avec précaution de le modérer dans ses sentiments mais il ne saisit plus rien sur son nuage blanc. Aux pieds des escaliers, Justine, qui n’est pas arrivée à déceler la cage de chasteté à travers le pantalon d’Alexandre, se serre contre l’amoureux et plaque sa main entre les jambes masculines pour vérifier qu’il ne lui a pas menti. L’objet dur qu’elle y découvre la grise soudain, ses doutes se transforment en certitudes, elle a bien rencontré un homme soumis et il s’offre à elle sur un plateau. Ce contact érotique si soudain enflamme Alexandre, les lèvres se rapprochent, un doux baiser est échangé. Un tsunami d’émotions le submerge alors, non ce n’est pas un rêve, elle l’a bien embrassé en palpant son sexe encagé.

   

Au 10 de la rue des Anciens combattants deux flutes de champagne leur sont encore nécessaires pour parvenir à franchir le pas. Après avoir resservi Justine, Alexandre l’abandonne un instant pour aller chercher des menottes et une cordelette, souvenirs douloureux de son passé de soumis amoureux.

 

- Que dois-je faire mon cœur pour te prouver mon courage et que mes propos au restaurent sont bien le reflet de mes intentions ? Demande Alexandre en se lovant contre sa jeune et belle princesse d’amour.

- Ressers-moi du champagne et retire tes vêtements lentement comme si tu me faisais un striptease que je puisse voir ce que tu caches sous ton pantalon.

 

L’expression « C’est aux pieds du lit que l’on voit l’homme au pied du mur » prend soudain tout son sens pour Alexandre ! Bien décidé à ne pas décevoir celle qui va à ses yeux devenir sa nouvelle maîtresse d’amour, il s’exécute sans réelle grâce mais avec la lenteur demandée et des mimiques ayant pour objectif de masquer sa gêne. Son cœur bât la chamade, ses tempes bourdonnent, il a chaud, ses pommettes sont rouges de confusion mais il s’effeuille face à Justine qui se trémousse sur le canapé en sentant une certaine moiteur s’installer dans son entrejambe. La gêne d’Alexandre et la situation lui retournent littéralement les sens. Elle est prise par un festival d’émotions contraires, avec l’impression d’être dans un délire total qu’elle aimerait fuir et à la fois elle veut vivre ce délire si émoustillant qu’elle ne parvient pas à comprendre tant une révolution sensorielle la submerge et l’incite à continuer. 

 

Retirer son pantalon devant une fille vêtue et assise dans son canapé est une étape délicate pour Alexandre mais le sourire un peu figé de Justine troublée le galvanise dans l’action. Mu par un réflexe bien inutile dans la situation présente, il se retourne pour descendre son caleçon en offrant ses fesses au regard féminin devenu très curieux et gourmand. Lentement, aussi nu qu’un ver et ne sachant que faire de ses mains, il fait face à Justine pour offrir au regard féminin avide, son intimité encagé. Horrible gêne ! Le temps semble soudain s’arrêter. Tous deux figés dans leur position, ils se sondent du regard, un peu comme s’ils s’appelaient à l’aide mutuellement. Particulièrement troublée par cette situation, Justine rompt soudain le silence et demande du champagne, Alexandre s’agenouille prestement pour saisir la bouteille et la servir, échappatoire salutaire pour sortir de l’impasse dans laquelle il se trouvait et lui permettant de se rapprocher de sa maîtresse.

Lorsqu’il lui tend la flute, leurs regards se croisent, les yeux brillant du feu du désir entament un dialogue silencieux. Ceux de Justine expriment à la fois un étonnement respectueux face au courage d’Alexandre et une envie soudaine de tendresse. Ceux d’Alexandre l’amour et la crainte que les choses en restent là. Mus par une attirance magnétique, leurs visages s’approchent l’un de l’autre, l’appel des lèvres est si fort que le baiser enflammé s’annonce comme incontournable quand soudain, l’instant magique de l’amour est rompu par la sonnerie du téléphone portable de Justine. Les copines un peu inquiètes et surtout très curieuses viennent aux nouvelles. « Ca va ? On vient ? » Indique le texto. Prise à son propre piège, Justine répond les trois mots suivants : oui et oui.

 

A partir de cet instant, Justine reprend le contrôle de la situation qui commençait à lui échapper et demande à Alexandre de se coucher sur le dos à même la table du salon et de mettre ses poignets sous la table afin qu’elle lui passe les menottes. L’idée lui est venue comme ça, sans même qu’elle ne réfléchisse. Cet ordre surprend Alexandre mais il ne fait rien pour se soustraire à cette demande aussi soudaine que surprenante pour le débit de parole de Justine. Le contact froid du plateau de bois inconfortable sur lequel il s’étend lui donne la chair de poule, il frémit à la vue des menottes qu’elle saisit et entreprend de lui passer aux poignets sous la table comme si elle était pressée. Alexandre commence à redouter cet assujettissement à cette femme à peine connue pour laquelle il a tant fantasmé. Un petit quelque chose semble lui échapper, un peu comme si le voyant d’une alarme se mettait à clignoter dans son subconscient.  

 

Le toucher, la toucher, voir de près comment c’est fait une cage de chasteté, cela fait des heures que Justine en meurs d’envie. La vue de cette verge compressée et emprisonnée dans son tube de plastique la trouble. Elle touche, palpe étire pour voir si un homme sous cage de chasteté peut se libérer ou tricher et découvre que sous cage, l’homme peut avoir une érection mais que celle-ci étire les testicules. Allongé sur la table du salon, Alexandre gémit de plaisir, la palpation et la douceur des doigts de Justine sur son épiderme intime, le font littéralement grimper aux rideaux. Il se plait à rêver qu’elle le pince en le chevauchant pour un « face setting » endiablé.

 

- Cela ne te fait pas mal ? Demande Justine.

- Non, pas vraiment, au plus fort de l’érection, cela tire un peu trop sur mes testicules, mais comme la traction est progressive et que l’excitation est forte, cela reste très supportable.

  - Avec ça, tu ne peux plus tromper ta femme et encore moins te branler, gros cochon.

  - Et non, mais cette dépendance de l’être aimé est délicieuse. Lui offrir ainsi la gestion de sa sexualité génère des émotions sublimes pour ne pas dire divines. Tu vois, là, je ne rêve pas de te sauter mais d’avoir le droit de te câliner et de te lutiner. Répond Alexandre en essayant de l’attirer vers lui de ses jambes encore libres.

  - Tu joues le poète amoureux mais tes jambes désirent bien autre chose cochon ! Lui répond Justine en saisissant sur le canapé la cordelette qu’elle enroule autour des chevilles encore libres avant de faire un solide double nœud.

 

Assise à même le sol, la tête posée sur la cuisse d’Alexandre, elle suit du doigt une ligne imaginaire sur le corps qui lui est offert. Les contractions de la verge générées par cet attouchement devenant très intime pour ne pas dire ciblée, l’émeuvent au plus haut point. Pour un peu, elle le libèrerait pour s’empaler sur se sexe gorgé de désir mais elle n’ose pas franchir le pas et puis, les copines ne devraient pas tarder à débarquer. Discrètement, sa main s’insinue sous sa robe et caresse son mont de Vénus à travers un délicat string de dentelles noires. Ce contact tactile l’électrise littéralement et la perturbe, jamais elle n’aurait imaginé être aussi excitée par cette situation hors du commun.

- Et bien dit-donc, vous me faites des choses toi et ton truc ! Murmure Justine en se rapprochant du visage d’Alexandre rouge écarlate.

  - Je suis maintenant ta chose mon amour, use et abuse à ta convenance !

 

Justine se relève puis enjambe la table et Alexandre pour s’assoir sur ses cuisses. Le contact chaud des jambes masculines l’enflamme à lui en faire tourner la tête. Presque sans s’en rendre compte, elle glisse légèrement sur le côté pour provoquer un contact charnel d’une de ses cuisses musclées avec son intimité brulante. N’y tenant plus, comme aspirée par ce corps qui lui est offert, elle se penche pour embrasser et mordiller le ventre plat qui se contracte au grès de ses mouvements. Au plus Alexandre tire sur ses liens en suffoquant de plaisir, au plus Justine découvre et savoure les émotions de ce jeu de contraintes d’un corps masculin. Toutes ses nouvelles sensations très grisantes la titillent, serait-elle une dominatrice ? Serait-elle pendant des années passée à côté de ces plaisirs dont elle a entendu parler et qu’elle croyait débiles ou perverses ? Ce qu’Alexandre avec cette soirée lui permet de découvrir est si original et si fort à la fois qu’elle en est émue au plus profond d’elle-même. Mue par une envie de plus de contact physique, elle remonte sa robe et prend place sur le ventre d’Alexandre.

Ce corps masculin entravé sous elle engendre un raz-de-marée d’émotions, d’envies, de … De quoi ? Elle ne saurait le dire, mais jamais jusqu’à présent, elle n’avait éprouvé cela. Si entreprenante d’habitude, elle n’ose le toucher que du bout des doigts avant de lui faire quelques chatouilles qui génèrent des mouvements plaisant sous elle. Une confusion indicible l’envahit, les yeux fermés, elle se mord la lèvre inférieure en se frottant à lui maintenant sans aucune gêne. Alexandre ne cesse d’exalter des gémissements de bonheur tant son excitation est démesurée, le duo des corps s’installe progressivement, le magnétisme de l’instant magique pousse Justine à se reculer sur Alexandre et à se pencher sur lui. Elle happe les lèvres frémissantes qu’elle force de la pointe de la langue en saisissant la tête et les cheveux masculins qu’elle pétrie des doigts. C'est la première fois qu’un homme génère en elle un désir si animal.

 

La sonnette les surprend et castre littéralement le jeu et les désirs. Justine se lève d’un bond, Alexandre l’interroge du regard quand il la voit arranger sa robe puis il se liquéfie en la voyant aller ouvrir la porte de son appartement. Pris de panique, il tire en vain sur ses menottes quand il aperçoit deux inconnues pénétrer dans son appartement. Il déglutit avec peine et supplie Justine de le libérer avec un énorme et horrible sentiment dévastateur de se sentir définitivement impuissant et piégé.

 

De son côté, Justine appréhende quand même l’inconnu dans lequel elle a la vedette ce soir. Si au début de la soirée elle était très excitée par cette nouvelle expérience puis par le piège qu’elle montait, les émotions intimes ressenties au contact d’Alexandre à sa merci l’ont monstrueusement troublée et émue. Elle regrette aussitôt ce piège débile pour elle-même puis pour Alexandre. Les larmes qu’elle voit couler des ses yeux lui serrent le cœur, elle est soudain submergée de honte.

Laurie, la plus jeune des deux femmes, s’est assise sur le canapé et rigole comme une débile en attrapant de la main le sexe masculin encagé qu’elle agite et tourne dans tous les sens sous les suppliques larmoyantes d’Alexandre. Ses commentaires sur Alexandre et ses attributs sont graveleux et méchants, elle ne cesse de rire et de dire « ça je ne l’aurai jamais cru, c’est kifant ».

Martine, âgée d’au moins 50 ans, est plus nuancée, peut-être à t’elle saisie le malaise et la gêne de Justine. Lorsqu’il écoute horrifié les commentaires des filles, Alexandre sait qu’il s’est fait piéger, qu’elles se sont moquées de lui et pire encore, que son rêve d’amour s’envole pour faire place à un horrible cauchemar. « Avec ça sur la queue, il ne pouvait pas te faire bien mal, est-ce qu’il t’a bien léchée ? Tu es trop forte, on ne t’aurait jamais cru si on ne l’avait pas vu…….. » 

 

- J’ai cru en toi, Justine, mes mots d’amour étaient sincères, pourquoi m’as-tu fait ça ? Tu es ignoble.

 

Incapable de répondre, le ventre noué et la gorge sèche, Justine ne sait plus comment se sortir, les sortir de ce piège qu’elle trouve maintenant totalement débile et lamentable. Elle s’approche  les yeux embués par des larmes de honte et ne sait que faire ou que dire pour se faire pardonner. D’un doigt se voulant doux et consolateur elle caresse la joue d’Alexandre mais il fuit son contact en détournant la tête. Martine les observe et mesure l’ampleur de la déchéance et du drame vécu par le pauvre homme entravé nu sur cette table.

 

- Ne nous en veut pas, on a été un peu connes sur ce coup là. C’est nous qui l’avons poussée à faire ça. Dit-elle en s’approchant de lui. Qu’est-ce qu’on fait les filles maintenant ? On ne peut pas le laisser comme ça, il faut le libérer et lui remonter le moral ?

  - T’es conne ou quoi ? On le libère et il nous casse la gueule ? Crie Laurie.

  - Salope, tu ne veux quand même pas qu’on le laisse ce pauvre mec comme ça ! Lui répond Martine.

  - Laissez-nous, partez, je vais le libérer, c’est de ma faute, c’est à moi de me démerder. Dit Justine en caressant la tête d’Alexandre.

  - Ouai, c’est ça, et s’il te massacrait et te violait, dès que tu l’auras libéré !

  - Non, ce n’est pas son genre, c’est un tendre ! Attendez-moi en bas, je vais me démerder et puis, je crois que j’ai quelques excuses à lui faire !

 

A force de négociations, les copines peu rassurées acceptent de l’attendre en bas et de les laisser seuls. A peine sont-elles sur le palier que Justine se confond en excuses en libérant les jambes d’Alexandre. Dès qu’elle a libéré ses poignets, elle l’enlace et l’embrasse en le serrant contre elle sans aucune peur puis le berce comme un enfant malheureux. Devant l’avalanche d’excuses et cette soudaine tendresse, la colère d’Alexandre s’apaise un peu. Comme vidé de toute énergie, il pleure et se blottit dans ses bras sans qu’un mot ne puisse sortir de sa bouche.

 

- Laisse-moi rester encore un peu avec toi.

 

Il fait signe que non de la tête en se levant pour aller chercher un peignoir mais Justine ne se sent pas de partir ainsi comme une voleuse. Elle prend son portable et appelle les filles pour les rassurer et les informer qu’elle va rester encore un peu. Lorsqu’il revient au salon, Alexandre lui fait signe de partir et lui demande les clés de sa cage de chasteté. Elle attrape alors son sac à main, le fouille et les lui tend terriblement gênée.

 

- Tu n’es qu’une salope ! Dit Alexandre en les attrapant.

  - Non, simplement une grosse conne qui se déteste et regrette de t’avoir fait ça.

 

Ils sont face à face, quand soudain, prise d’un besoin de l’étreindre, elle l’enlace et se serre contre lui en s’excusant encore. Attirant son visage vers le sien, elle dépose juste un petit baiser sur ses lèvres puis un autre plus appuyé avant de parcourir de baisers audacieux son visage puis de l’embrasser avec plus de fougue. Alexandre se laisse faire un instant avant de réagir. Leur baiser fougueux se prolonge, les langues complices jouent et s'entrelacent comme des serpents. Les mains s’enhardissent peu à peu pour partir à la conquête des corps qui se lovent et finissent dans le canapé dans un duel d’une grande sensualité.

 

- Et si nous retirions ta cage de chasteté ? Murmure Justine entre deux râles essoufflés.

- Oh oui, je meurs d’envie de toi.

  - Oui mais, j’aimerai que tu la remettes après et tu me donnes les clés quand je m’en vais. 

- Si tu ne parts que demain matin.

- Je ne l’entendais pas autrement.

   

Fin

 TSM

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Chasteté
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 07:13

L’amour autrement

Par TSM

 
Cette aventure romancée peut être lue aussi bien par des hommes ou par des femmes S ou M peut importe, car chacun devrait y trouver ses propres images. Relatée sans pudeur, en grande partie au présent, vous pourrez partager avec les personnages principaux une aventure pony-play et BDSM qui débouche sur…..

 (**** !****)

 
Le Pony-Play hante mes rêves depuis longtemps.

 De sites en sites, je me suis donc réalisé une collection d’images et de récits sur ce sujet puis l’idée m’est venue un jour, d’en écrire un petit pour le plaisir. Au cours de sa rédaction, dans le secret de mon intimité partagé avec l’ordinateur et le chat, j’avoue avoir laissé gambader mon imagination. « Plonger dans le personnage », répètent sans cesse les professeurs de théâtre….

 A force de fouiner, j’ai découvert il y a un an, le site Internet d’un couple passionné pratiquant cette activité de loisirs « hippiquérotiques » dans le Var. Les très nombreux échanges m’ont permis de tisser des liens de sympathie avec l’animatrice de ce groupe. La confiance s’étant installée, Clara et Roger m’ont proposé de passer les voir ce week-end pour satisfaire mon voyeurisme…. (GRRRR)

 La remarque est provocatrice, la courbe de température de ma libido atteint immédiatement la stratosphère. Le rendez-vous est fixé à 19 heures dans un petit village près du circuit Paul Ricard. Si affinités, ils m’offriront le gîte et le couvert pour la nuit du vendredi et du samedi mais, pour des raisons d’assurances, je serai obligé de payer trente euros pour adhérer à leur association. La somme étant très raisonnable et leurs propositions logiques, c’est avec grand plaisir que j’ai accepté de leur donner le numéro de mon téléphone portable.

 19 heures

 Un couple entre dans le bar du village, la fille tient à la main le même magazine hippique que moi, la rencontre ne tarde pas à se faire. Je suis finalement très gêné, car partager ses fantasmes avec des gens sur Internet et les rencontrer ensuite, n’est pas aussi facile que l’on peut l’imaginer.

 Clara est une jolie fausse blonde, grande mince mais musclée avec de très jolis beaux yeux bleus. Son naturel simple malgré une classe certaine détend rapidement l’atmosphère. 

 Roger a le profil type du paysan savoyard question corpulence, la richesse de son verbe expose une grande culture. Ma tête, mon attitude et mes propos semblent leur convenir, le week-end peut continuer.

 20 heures

 Nous prenons l’apéritif dans le grand salon d’une ancienne ferme restaurée avec goût, en compagnie d’une de leurs amies dénommée Laura, une superbe brune, cheveux longs, la trentaine, un corps de sportive déjà bien bronzée pour ce mois de juin. Dès le début des échanges, le magnétisme et la beauté de cette fille aux yeux de biche me trouble, je suis séduit pour ne pas dire conquis par son charme et sa personnalité.

 22 HEURES

 - Ce civet de marcassin restera pour mes papilles gustatives un souvenir impérissable.

 - Tu es trop flatteur ! Me répond Clara.

 - Tout flatteur vie au dépend de celui qui l’écoute ! Rajoute Laura. Méfie toi de ce coquin, ses textes, même s’ils font fantasmer les filles, exposent quelques goujateries.  

 - Vous me lisez ?

 - Oui ! Il y a des fois où j’aime l’auteur et des fois où je le déteste.

 - Parlez-moi de ce que vous avez aimé.

 - J’ai adoré « La Maso » et certains passages de « L’île de la tentation » même si votre culture sur le sujet pony-play laisse apparaître un flagrant manque d’expérience.

 - Peut-être allez-vous m’éclairer demain et trotter pour un conducteur novice.

 - Rien n’est moins sûr. Il faudrait en être digne.

 - Pourquoi être-vous cruelle avec moi ?

 - Parce que je ne mange plus de thon depuis que j’ai lu votre histoire de Cargo !

 Suite à cette boutade, nous éclatons de rire et conversons un petit moment sur la différence majeure qu’il y a lorsque l’on écrit, entre laisser courir son imagination et ce que l’on pense réellement.

 - A ta place je me méfierai ! Lance Roger amusé, cette pony-girl botte et mord.

 ***********************

 Cette délicieuse soirée s’écoule lentement, être assis dans un canapé entouré de filles qui me commentent leurs propres photos de pony-girl et de pony-boy me met dans un état d’excitation avancée. Bavarder avec Clara et Laura en regardant les clichés où elles sont attelées me retourne littéralement les sens.

 A cela, se rajoute le fait que Laura n’arrête pas de me toucher, le bras, l’épaule, elle se penche régulièrement pour appliquer son doigt sur certaines images de l’album posé sur mes genoux, dévoilant à mon regard gourmand sa poitrine généreuse libre de tout soutien-gorge par le V de son décolleté. Mon bras soudain pris d’une crise d’affection, passe derrière elle pour un rapprochement ne cachant en rien ma volonté de séduction. La belle ne fuit pas, bien au contraire elle se love dans le creux de mon épaule. Hummmmm ! Malheureusement, Clara et Roger se lèvent pour desservir et c’est à regret que je  leur propose de les aider. Ils réfutent en insistant et me laissent entre les griffes acérées de Laura. Pourquoi « griffes acérées » ?

 Parce que la belle pouliche peu farouche lovée contre moi, vient de glisser sa main sous l’album photos ! Sa main remonte lentement sur ma cuisse pour venir se poser sur mon barreau de chair impétueux gorgé de désir ! Le contact de ses doigts à travers mon pantalon m’électrice de bonheur.

 - Je comprends pourquoi tu te tortilles depuis un moment, gros cochon, …. 

 - Serais-je un goujat si je disais que ton exceptionnelle beauté est à l’origine du développement ci-dessous masqué ?

 - Tous les hommes sont des goujats, mais c’est parfois ce qui fait leur charme s’ils ne sont pas trop rustres !

 Son regard plein de malice, avec ses yeux bleus verts brillants du feu du désir, semble me sonder.  Le satin de ses lèvres entrouvertes devient comme un aimant, nos visages se rapprochent, nos têtes se tournent doucement, nous nous accordons un petit baiser léger, aussitôt suivi un autre plus audacieux. Nos langues complices s’enlacent puis s’accordent en une délicieuse sarabande pendant que sa main diabolique, toujours masquée par l’album, poursuit ses investigations. La mienne encore fort sage dispense quelques caresses plus discrètes.

 (**** !****)

 Roger revenant de la cuisine interrompt hélas l’agréable échange câlin pour nous proposer de mettre un terme à la soirée. Clara me montre le chemin de ma chambre où j’espère de point dormir seul. Laura se joint à nous sous prétexte de nous aider à préparer le lit, je suis aux anges.

 Celle-ci se trouve de l’autre côté de la cour que nous traversons tranquillement en commentant la beauté de la nuit étoilé. A peine sommes nous entrés dans la chambre que Laura se jette sur moi pour me dévorer nullement gênée par la présence de son amie. Plaqué contre le mur, complètement dépassé et un peu chagriné de la présence de Clara, je savoure le baiser sauvage et laisse mes doigts gambader sur ses hanches finement galbées. Au lieu de nous laisser nous débrouiller avec nos draps, Clara nous rejoint, ses mains s’insinuent entre nous pour entreprendre l’ouverture de mon pantalon !

 Tout en me délectant des délicieuses sensations prodiguées par le contact de leurs corps, de la chaleur de la main qui libère ma verge de sa prison de tissu, je me demande si je ne rêve pas ! Laura me lutine en ouvrant les boutons de ma chemise, Clara prend mon membre turgescent entre ses doigts pour l’agacer de ses lèvres gourmandes avant de le prendre en bouche pour une fellation gloutonne.

 Quelle aubaine.

Quelle expérience.

Je surfe en plein bonheur sur les nuages du paradis !

 Les filles se partagent ensuite mes petits tétons de leurs canines acérées, leurs doigts sauvages investissent mon corps, mes mains, ne savent plus à quels seins se vouer.

 Cet instant est « titanesquement » bien, torride, génial, sublime.

 Les mots me manquent pour exprimer mes émotions. Les furies nymphomanes ne mettent que quelques instants pour me dévêtir intégralement, mais ne me laissent caresser leur corps qu’à travers leurs vêtements.

 - J’ai envie que tu me fasses l’amour aux écuries ! Lance Laura surexcitée.

 - Moi aussi ! Clame aussitôt Clara en me saisissant par la verge au garde-à-vous pour me guider hors de la chambre.

 Même si la situation m’échappe totalement, comment refuser de les suivre dans leurs délires ? Une chance comme celle-là, ne se loupe pas !

 Nous voilà partis dans la cour puis dans un bâtiment, bras dessus, bras dessous, je suis si excité que j’aie presque envie de dire, « les filles, je suis à vous ». Arrivés dans une salle garnie de matériel divers près des écuries, elles s’agenouillent toutes les deux devant moi pour se partager ma verge tendue comme jamais, pour une consommation buccale boulimique.

 - Avant que je ne m’offre à toi, j’aimerai que tu me laisses t’équiper comme un pony-boy ! Dit Laura entre deux baisers fougueux.

 - Heu ……..

 - Allez, laisse-toi faire, tu ne peux pas lui refuser ça ! Rajoute Clara toujours aussi provocante en caressant mon entrejambe.

 - Je, …. je……

 - Je ne l’ai jamais fait un pony-boy. Toi tu es mignon, gentil, poli, tu n’es pas comme ces goujats primates que nous recevons parfois. S’il te plait. Rajoute Clara en m’embrassant pour la première fois pendant que Laura se remet à déguster ma verge moins émue.

 - Je ne sais pas, il faut que je réfléchisse. Où est le piège ?

 - Quel piège ? J’ai envie de toi, tu as envie de moi et ici on pratique le pony-play au cas où tu ne l’aurais pas compris. Lance Laura avant de rajouter avec un visage triste, j’ai cru que toi et moi….. ce soir…..

Sa tête penchée et son regard suppliant me trouble terriblement.

 - Tu ne vas pas le regretter, Laura est une douce pony bien soumise ! Dit Clara en s’approchant de nous avec deux larges ceintures de cuir noir munies de bracelets sur les côtés en affichant un sourire rassurant.

 Laura retire son chemisier, son pantalon, son string, dévoilant à mon regard un corps de rêve. Elle s’approche de Clara qui ceint sa taille d’une des ceintures. Laura lui vole un baiser avant de se laisser entraver les poignets. Leur complicité est palpable et terriblement émouvante. La maîtresse de maison la traite de « gourmande » puis se tourne vers moi avec la ceinture ouverte comme une invite. Je ne sais plus où j’en suis, quoi penser. Si je réfute je vais passer pour un peureux, ma nuit sera solitaire et je le regretterai toute ma vie. Advienne que pourra.

 Je lève les bras à mon tour, franchis les deux mètres qui nous séparent d’un pas hésitant. Elle ceint ma taille, referme les bracelets sur mes poignets, au deuxième qui m’entrave totalement et me prive de toute fuite possible, j’éprouve soudain le sentiment de me faire piéger. Clara me donne un baiser et me souhaite une bonne soirée puis délivre Laura qui me toise d’un regard de conquistador.

 Là, je suis mal ! 

 A suivre ici

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Par TSM - Publié dans : Histoires et BDSM divers - Communauté : Le sexe sans tabous
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Samedi 15 mars 6 15 /03 /Mars 15:09

Un jeu qui tourne mal

Par TSM

 

Préface

Depuis quelque temps, nous jouons au poker avec des amis. Comme nous sommes des couples assez libres, nous avons corsé nos soirées en jouant au strip-poker. Après avoir abusé du champagne, nous avons décidé d’aller un peu plus loin en nous infligeant de petits gages érotiques.

………………………….

Paul, mon petit ami, m’avait proposé par le passé de pratiquer l’échangisme avec nos amis, je m’y étais opposée n’osant pas sauter le pas. Récemment, il m’a sermonnée un peu en me disant que je devrais par gentillesse pour nos amis et pour lui, être un peu moins mesquine dans mes propos. En effet, j’ai une chance insolente aux jeux et, je triche un peu si besoin est. 

Comme je gagne très souvent, je ne suis pas avare de commentaires corrosifs et de gages, pour les autres ! Pour exemple, j’ai rajouté la fessée dans notre boite à gages. Paul en a reçu une devant nous. Episode douloureux pour lui, amusant pour nous. Ce soir là, je me suis moqué de lui, un peu trop peut-être !

Une partie est programmée chez nous ce samedi, après un dîner restaurent. Je me suis habillée avec un magnifique ensemble assorti, bas résilles noirs, porte jarretelles, string et mini soutien-gorges. J’ai choisi une robe très échancrée et de petits gants fins. Je suis très provocante au possible chaussée de hautes bottes qui m’arrivent sous les genoux. Paul, me dit lorsqu’il me voit ainsi vêtue : « Tu es si belle et tellement désirable, qu’une envie profanatrice se diffuse en moi ! »

Emporté par son désir, il me serre fortement dans ses bras. Ses doigts s’insinuent sous ma robe pour quelques caresses macho sur mes fesses.

« Attend un peu ou tu vas recevoir une fessée comme la semaine dernière ! »

« Un jour il pourrait t’en cuire si tu continues à jouer la provoc ! »

« Des promesses, des promesses, toujours des promesses !  »

La soirée au restaurent est fort agréable, nous faisons un coin de table pour les filles et un pour les hommes. Les regards envieux qui se posent sur moi, me font particulièrement plaisir. En effet, du haut de mes 30 printemps, châtain très clair à la limite du blond, je suis particulièrement en beauté et la plus belle du restaurent.

Le champagne aidant, nous commençons à rigoler entre filles. A ma gauche, il y a Martine. Elle  est grande et BCBG en public, mais dans les soirées, c’est un peu différent. Elle propose de rajouter des gages dans nos jeux. Les hommes acceptent. Chacun pouvant en rajouter une, nous avons demandé du papier et noté nos pensées érotiques.

A ma droite, Sophie, mon amie d’enfance qui est grande et mince. Ses longs cheveux bruns sont magnifiques. Elle me demande discrètement si j’ai un gode à la maison, devant ma réponse positive, elle me murmure «  imagines-tu nos hommes avec lui dans le fondement ? » J’éclate de rire.

Martine me dit en confidence ce qu’elle a rajouté comme gage. « Passer l’aspirateur en petite tenue du sexe opposé. »

Je rigole doucement et lui confie que cela va être particulièrement amusant comme gage si un de nos hommes perd.

Emportées par nos délires et abandonnant toute pudeur, j’écris mon idée sur un bout de papier. Comme j’aime bien les pinces à linge sur les tétons, je décide qu’elles feront partie des gages le temps d’une donne. Nous rions comme des folles et sans retenue.

«  Alors les filles, que nous avez-vous préparé comme vacherie ? »

« Si on vous le dit, cela ne sera plus une surprise et vous seriez capables de refuser par manque de courage ! »

Paul qui gardait en mémoire la fessée cuisante de la semaine précédente ainsi que mes commentaires désobligeants nous lance :

« Nous ne vous dirons donc pas nos gages et je vous propose ce soir de jouer « no limit. » Si l’un d’entre vous refuse son gage, tout en restant raisonnable, nous pourrons la contraindre par la force. Soit vous nous dites ce que vous avez prévu comme nouveaux gages, soit vous acceptez cette règle.  ! »

Les filles hésitent, je les pousse à accepter cette proposition, forcément me direz-vous, je gagne toujours ou triche si besoin est.

Arrivé à la maison, pendant que nous installons le tapis de jeu et les cartes. Paul, aidé par ses deux copains, fait le service et nous continuons au champagne. Nous jetons nos papiers dans la boite alors que Paul place le sien sous la boite. Nous l’incendions et le traitons de tricheur !

Les hommes nous répondent que cela fait parti des gages et que celui-là ne doit pas être mis dans la boite. Nous refusons catégoriquement, mais ils nous rappellent que nous avons accepté le « no limit » et qu’ils ont accepté nos gages sans savoir ce que nous avons décidé.

Le jeu commence. Martine s’oppose fermement à Paul, elle doit avoir un bon jeu et lui aussi. Nous décidons d’abandonner et de les laisser jouer à deux. Nous retirons donc un vêtement            ( chaussure au singulier ) tandis qu’eux doublent la mise. Nous les encourageons à miser plus gros, ils ne baissent pas la garde et passe aux surenchères en misant deux gages. La partie s’annonce chaude, je suis toute émoustillée.

Lorsqu’ils abaissent leurs cartes, Martine perd et doit tirer deux gages tandis que Paul jubile. Elle doit passer sous la table pour embrasser les pieds de tous les participants pour le premier gage et devra passer l’aspirateur nue pour le deuxième quand la partie sera terminée. Provocante comme à mon habitude, je me plais à dire qu’elle devrait venir deux ou trois fois par semaine pour faire le ménage dans cette tenue. Cela fait rire tout le monde sauf elle qui me lance un regard qui me laisse à penser qu’elle n’a pas apprécié mon humour.

La donne suivante m’est favorable, je m’amuse comme une folle. Erice, l’ingénieur au crane légèrement dégarni, demande une seule carte. Je suis sûre qu’il bluffe. Je le pousse à la surenchère, il n’hésite pas une seconde moi non plus. Nous abaissons les cartes. Et M……. !

Il a un carré de rois et moi trois dames et une paire. Je suis furieuse ! Il tire deux gages, je suis moins fière que je ne l’affiche.

« Ton petit clitoris sera sûrement gonflé et brûlant de désir avant la fin de la soirée, car tu dois retirer ta culotte et jouer fesses nues toute la soirée pour le premier gage. Pour le deuxième, tu dois faire la danse du ventre sur la table ! Bien entendu, après avoir retiré ton protège minette ! »

Une bouffée de chaleur due à la honte monte à mon visage. Quelle C….. ! Je m’exécute donc et retire mon string. Provocante pour combler ma gêne, je le fais tourner sur mon doigt pendant que j’exécute un semblant de dans du ventre sur «  Fruit de la passion » de Francki Vincent. Un zouk très suggestif «  Chérie tu me donnes ta passion et je trouve ça fabuleux »

Ils rigolent à chaque phrase de la chanson, moi aussi car les commentaires humoristiques sont torrides.

Le jeu se poursuit et les vêtements tombent. Comme je triche et gagne, je retrouve ma superbe et lance : « On se croirait au printemps ! »

«  Pourquoi le printemps ? »

« Parce qu’à cette saison, les arbres s’habillent et les femmes se déshabillent ! »

Franche rigolade qui distrait Sophie qui doit avoir un meilleur jeu que le mien, j’en profite pour tricher. Forcément, je gagne. Lorsque je tire le gage, je lui demande si elle s’est déjà fait épingler. Devant ma question, son sourire se fige ! La donne suivante elle a une de mes pinces à linge à chaque téton. Je vais être ignoble je sais mais c’est trop drôle.

« Ma chère Sophie, je vois que tu réfléchis, serais-tu en train de sécher ? »

Tout le monde rigole, sauf elle évidemment qui me lance « La vengeance est un plat qui se mange froid ! »

La donne suivante, Paul se fait étaler par Sophie qui tire son gage. Paul doit passer sous la table déposer des baisers sur les culottes des joueurs. Je suis un peu jalouse lorsqu’il passe entre les jambes de Sophie et de Martine mais bon, c’est le jeu. Avec les filles, nous le taquinons de bon cœur lorsqu’il doit passer entre les jambes de ses copains. Lorsqu’il est entre les miennes, comme je n’ai plus de string depuis le début du jeu, il s’insinue sous ma robe et tente de me grignoter le clitoris. Pour masquer ma gêne et le limiter dans son entreprise je fais encore de l’humour. Je l’attrape par les oreilles en lançant : « Ah ! Ces jeunots, ils savent pas se tenir, heureusement que je suis là pour l’éduquer le mien ! » Les filles se lèvent, viennent voir et éclatent de rire. Paul enrage de mes railleries. 

Martine perd contre Eric qui tire le gage de la fessée cul nul. Il lui en administre une plutôt corsée. A la fin du gage, ses rondeurs ont une jolie couleur pivoine, à l'éclat encore rehaussé par l'éclairage des spots allogènes.

Eric perd contre Paul. Il se retrouve nu avec mon tablier de cuisine pendant le temps du jeu suivant. Il va de soit, que je demande à la soubrette du moment, d’aller me chercher un verre d’eau à la cuisine. Comme l’eau n’est pas assez fraîche à mon goût, je claque son fessier en lançant : «  Le personnel masculin de nos jours, n’est plus à la hauteur de nos exigences ! »  

Laurent le cycliste plutôt baraqué, perd contre Sophie son épouse. Lorsqu’elle tire le gage du gode, elle éclate de rire. Je suis assez étonnée lorsqu’il accepte sous nos acclamations de se le placer dans son petit anneau. Je subodore fortement que c’est une activité érotique qu’il pratique avec sa douce moitié. Finalement la plus gênée c’est moi. En effet, il me demande si j’ai de la vaseline. Cela va dévoiler mon intimité avec mon cher et tendre. Pour combler ma gêne, je vais demander à Paul d’aller la chercher et cherche rapidement un jeu de mot : «  Ton copain le roi de la pédale du tour de France réclame de la vaseline ! Accours ou il va devoir changer de baraqué pardon de braquet ! »

Tout le monde rigole sauf Laurent. Paul me lance un drôle de regard. Un regard de conspirateur que je ne comprends pas. J’aime l’humour, il devra s’y faire !

Les filles perdent encore des vêtements et assument quelques gages.

Nous avions décidé de stopper la partie à 1 heure du matin. Tandis que Martine passe l’aspirateur nue, nous sirotons une dernière coupe. Lorsque je commence à la charrier, elle s’adresse aux hommes et leur demande : « La surprise du gagnant, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ? »

Eric lui suggère de terminer le ménage avant d’aller la chercher. Je m’interroge sur ce qu’ils appellent une surprise ! Elle termine son gage, soulève le pot de la pioche à gage et sort un papier avec un sourire de louve. Je vois les yeux des hommes s’allumer et les filles affichent un drôle de sourire.

Martine lit à haute et intelligible voix : « celui ou celle qui aura gagné sera câliné(e) par tout le groupe qui lui fera l’amour. »

Outrée, je me lève d’un bond. Paul me guide fermement vers la table en chêne de la salle à manger et me pousse pour que je m’y allonge. Je refuse mais il me rappelle fermement que j’ai accepté les règles !

J’hésite, j’ai peur, j’ai envie, j’ai honte. Les hommes se lèvent et me forcent à m’allonger sur le dos, tandis que les filles les encouragent. Comme je résiste, elles viennent à leur rescousse et me tiennent les bras tandis que Paul me force à écarter les jambes. Je résiste toujours et donne des coups de pieds, mais ses copains hésitants au début, sous les encouragements appuyés des filles, se décident à lui venir réellement en aide.

Lorsque je suis sur la table, il y a encore un moment d’hésitation, Paul me rappelle les règles et les filles rajoutent que je ne les ai pas épargnés tout le long du jeu en me disant : « Nous avons accepté toutes tes folies, tu as accepté les règles, si tu refuses c’est que tu n’as pas d’honneur ! »

Les hommes m’attrapent les jambes et les écartent en me soulevant mes fesses, les filles les aident à remonter ma robe et à dévoiler mon intimité. Ils ont une vue plongeante sur mon minou épilé de frais et découvrent que je n’ai conservé qu’un tout petit triangle sur le dessus de mon pubis. Je suis blême de leurs remarques. Aussitôt, Eric plonge entre mes jambes, écarte mes lèvres et y dépose des baisers puis remonte grignoter mon clitoris tandis que les filles commencent à caresser ma poitrine. C’est la première fois qu’une fille me touche ! Là elles sont deux, leurs gestes sont sûrs et cela me fait tout drôle. Je comprends à leurs commentaires que ce n’est pas la première fois qu’elles pratiquent ce genre d’attouchement. Je suis très gênée, je gigote et tente de me sauver, mais elles me disent de me laisser faire et que j’ai beaucoup de chance.

Moi je ne l’entends pas de cette façon, mais je ne peux attendre de la compassion de la gente féminine puisque je les ai chargées dans les gages précédents. Les hommes se relaient pour déguster mon minou, je commence à être excitée mais j’ai honte d’être ainsi exposée et caressée devant cinq personnes. Martine et Sophie demandent, elles aussi leur tour de baisers, les hommes lâchent mes jambes, je tente alors de me refermer et de quitter la table mais je suis rapidement stoppée dans ma tentative de fuite.

OUUUAAAOOUU, une fille qui déguste un minou, si pour moi c’est honteux, je dois avouer que c’est doux et agréable. Sophie prend le relais, je suis trempée au possible. Elle en profite pour faire entrer un doigt inquisiteur dans mon puits d’amour largement exposé et déguste mon clitoris comme une experte. Je sens une onde de chaleur m’emporter au paradis des plaisirs, mais je suis blême. 

Des deux mains elle m’écarte doucement mes globes fessiers et s'aventure de plus en plus loin dans la vallée, puis me fouille l’anus de la pointe de sa langue experte. J’ai honte, mais le plaisir gagne toutes les parties de mon corps, je suis prise d’une trouble volupté.

Martine prend le relais et s’acharne à me donner du plaisir, les hommes ont profité du changement pour remonter ma robe jusqu’à mon cou, me caressent puis dégustent ma poitrine en jouant à mordiller mes tétons. Si ma pudeur est mise à mal, je craque et m'abandonne malgré moi à la jouissance avec un long cri de bonheur.

Ils profitent de mon abandon pour changer de places et de rôles, les hommes tiennent mes jambes et les filles en siamoise fondent sur ma poitrine dans une même caresse étourdissante tout en me tenant les bras. Paul a du leur faire part de ses désirs d’échangisme et mon refus car nos amis sont trop attentionnés. Il aura la primeur de mon viol, viol consentant puisque j’ai accepté les règles du jeu. Je sens son gland entre mes lèvres, malgré ma gêne qui persiste, je ne suis plus que plaisir. Je suis plongée dans une confusion de sentiments contradictoires, honte, excitation, désir de fuite, désir de plus.  

Je crie « non », j’essaie encore de me soustraire, les hommes m’écartent fermement les jambes contre eux et plaquent mon dos sur la table les fesses bien accessibles.

Les mains serrent mon torse, mes muscles crispés de mes bras, de mes jambes, de mes épaules. Je vais être prise devant tout le monde, c’est trop dur, je suis rouge de honte, mon cœur bat très vite et je sens mes jambes se ramollir mais en réalité je suis passablement émue par l'impudicité que l'on exige de moi. Le barreau de chair impétueux et exigeant fouine un peu entre mes lèvres pour trouver la porte et force lentement ma salle de réception.

Je le sens augmenter sa puissance de poussée pour me pénétrer davantage puis il se lance dans de grands galops. Je râle sous l’assaut, dans ce laisser-aller la contrainte édifie mon plaisir et une vague de chaleur s'empare de moi. Je ne fuis plus, je m’offre à lui mais il ralentit la cadence pour retarder sa jouissance puis se retire.

Avec horreur je vois qu’Eric va prendre sa place, son sexe est raide, avec un gros gland prêt à l’emploi.

Il s'insinue entre mes lèvres mouillées et s’enfonce en moi profondément. Lentement il commence ses mouvements je suis prise dans une tourmente d'émotions contradictoires, et incontrôlables. Paul vient m’embrasser tendrement pendant qu’Eric accélère son rythme provoquant une vague de chaleur qui irradie dans tout mon bas ventre. Mes espiègles amies continuent sereinement leur offensive déroutante. Elles pincent doucement mes tétons créant les prémices d’une tempête de plaisir. Peu à peu, je perds à nouveau ma contenance en écartant les jambes pour jouir encore plus intensément de ces asseaux infatigablement renouvelés.

Les filles parlent être-elles, mes bras sont tirés au-dessus de ma tête. Dans mon brouillard je vois Sophie qui rigole en attrapant mes poignets. Savourant pleinement sa vengeance, Martine se déshabille totalement, monte sur la table et s’agenouille au-dessus de ma tête offrant à ma vue un paysage nouveau pour moi, le sexe d’une autre femme. Bien que dans cette position ses cuisses soient déjà ouvertes, celle-ci les écarte de ses doigts, séparant encore les deux hémisphères avant que de s’asseoir complètement sur mon visage. Comme je reste un instant sans réaction, elle saisit mes tétons entre ses doigts et commence à les pincer légèrement. « Lèche-moi, comme ça quand je finirai ton ménage entièrement nue tout à l’heure, je sais que tu m’épargneras tes sarcasmes  sur mon anatomie, vu que tu l’auras dégustée.

Eric me prend avec une vigueur mais ses coups de hanches sont autant de caresses tandis que Martine me ramène à sa réalité en me pinçant fortement les tétons, je ne sais plus où donner de la tête. J’ouvre la bouche et commence à lécher son minou ruisselant pendant que les mains des hommes jouent un concerto à quatre mains sur mon intimité en se jouant des lèvres et de mon clitoris.

Je me noie dans le chaton de Martine, je m'abandonne. Son odeur, son goût, m'emplissent et me submergent. Je perds toute retenue, je suis violée de partout mais c’est fou, c’est torride et je jouis comme une damnée.  

Je me glace quand une main part visiter mon sillon prohibé. La position dans laquelle je suis l’expose à toutes les agressions. Mes cuisses fortement remontées m’interdisent de serrer les fesses, de me protéger du sexe qui visite ardemment ma vulve trempée d'émotion. Je sens un doigt se pointer sur mon anus qui s’ouvre bien malgré moi pour absorber l’intrus. Martine jouit sur moi dans un grand cri et laisse échapper sur mon visage un flot de cyprine. Je sens sur mon nez les contractions de son petit anneau et sur ma langue sa vulve qui se contracte. Emportée par la vague de jouissance, elle s’appuie fortement sur moi, je manque d’air, je suffoque.

Elle se relève enfin, se recule et m’embrasse ! Que de nouveautés pour moi ce soir ! Elle tient mon visage comme pour m'obliger à ce long baiser que je subis avec plaisir. Nos haleines se mêlent, nos bouches se dévorent, nos langues s'entremêlent.

Entre mes jambes les choses se précipitent, j’interromps le baiser pour regarder ce qu’il se passe, Laurent a pris place, son sexe est énorme. Il joue un instant entre mes lèvres trempées puis se positionne entre mes fesses. Je sens son gland contre mon petit anneau. NONNNN !

Tous les yeux sont posés sur moi, les filles s'appliquent par leurs propos rassurants et par quelques gestes bien placés à me maintenir dans un état d'excitation. Je résiste un peu, mais elles me disent que je n’ai pas le choix et mon adorable ami me dit : « je sais que tu n’es pas totalement opposée à une visite dans cette région, souvient toi, la dernière fois tu m’as dit avoir aimé. »

Je le déteste, il dévoile notre intimité, mon intimité. Les bras et les jambes toujours fermement tenus, je ne peux rien faire ni me dégager. Sophie monte à son tour sur la table offrant à mon regard son jardin secret. Elle se penche sur moi puis vient déguster mon petit clitoris. Martine tient mes mains au-dessus de ma tête et en profite pour me voler des baisers puis m’embrasser fermement. Je sens ma rosette s’ouvrir un peu, c’est légèrement douloureux. Sophie s’acharne en caresses sur mon clitoris chaque fois qu’il pousse son pieu en moi. Elle doit être aux premières loges, j’ai perdu définitivement toute mon intimité !

Il porte alors l’estocade et introduit sa longue pique d’une longue poussée lente mais ferme.

Je crie de petits « non non » mais rien n’y fait et les filles s’acharnent sur moi pour détourner mon attention.

L'obélisque prend place doucement dans mon rectum. Je savoure un instant le plaisir d'être complètement remplie de cette chair masculine bien tendue. Il entreprend un ample mouvement de va et vient dans mon étau de chair puis c’est la chevauchée qui commence..

Sa taille, sa grosseur, son agitation, sa démesure accélérèrent les battements de mon cœur. Clouée par cette colonne de chair, j’ai l’impression d’être une chienne en chaleur qui se fait saillir. Je craque totalement et pousse de petits cris à chaque mouvement.

Sur la table, Sophie en profite pour poser les lèvres lippues de son sexe trempé de plaisir sur ma figure. Je vais vraiment subir ce soir tout ce que je ne voulais pas vivre. Sous les asseaux de Laurent, mon esprit se trouve à nouveau vidé de toute volonté, ma langue fouille son intimité et part à la recherche de son bouton des plaisirs. Au bout de quelques instants il y a de l’agitation sur la table, je ne vois rien, les rondeurs de Sophie masquent le paysage.

Lorsqu’elle se soulève et se penche en avant, je découvre que Paul est totalement nu le sexe bien bandé à la main.

Il écarte les jambes pour le rapprocher de mon visage et le penche pour qu’il arrive à ma bouche. Tandis que je le prends entre mes lèvres et fait courir ma langue autour de son gland, les doigts de Sophie s’attaquent à mon clitoris. Laurent accélère encore son mouvement dans mon fondement. Je m'abîme encore une fois dans une longue jouissance entretenue par les mouvements de Laurent qui jouit en s’enfonçant profondément en moi.

Paul se retire de ma bouche, Sophie plaque à nouveau son minou trempé sur mon visage et le sexe de Paul se met à fouiller entre les rondeurs offertes à sa gourmandise. Ma gorge ne peut plus émettre le moindre mot tant un trouble profond me mine.

Là, à même sur mon visage il va me tromper, mais que puis-je dire avec ce que je viens de vivre ? Lentement il s’enfonce dans ses reins, plaque ses mains sur ses hanches et s’efforce de  remplir davantage ce précieux endroit. Sophie doit être une habituée de la sodomie car elle l’absorbe sans trop de difficultés, bien au contraire en s’offre à lui. Son geste quand elle se cambre, a pour conséquences de plaquer les lèvres de son sexe dégoulinant de plaisir contre ma bouche. Lorsque le sexe de Paul est au plus profond de son étroit conduit, ses couilles velues cognent sur mon front. Lentement mais sûrement il va et vient en elle, mes narines jubilent des fragrances variées de l’amour.

Je viens de réagir aux nouveaux changements en cour entre mes jambes, cela doit être Eric, qui veut sa part de ma sodomie collective. Il force sans ménagement mon petit tunnel malmené et dilaté de son sexe conquérant.

Passant de mes fesses à mon minou, Eric se déchaîne en entrées et sorties. Sa jouissance doit être proche, mon cerveau est en ébullition, je n'arrête plus de m'offrir à cette délicieuse souffrance qui fait vibrer tout mon être. Je déguste le clitoris de Sophie telle une folle comme si cela pouvait s’opposer aux sensations ressenties. Je ne sais plus, je ne sais pas qui je suis, ce que je ressens, ce que je fais, c’est trop difficile à décrire. Pendant que Paul la prend, elle laisse courir ses doigts sur mon bouton des plaisirs, tel un raz-de-marée incontrôlable je sens encore le désir monter irrésistiblement en moi.

Une onde transperce mes reins et c'est un troisième orgasme qui m’électrise m'amenant au paroxysme du plaisir, tandis qu’Eric continue ses mouvements, pire les accélère encore ! C’est bien trop fort comme sensation, la bouche grande ouverte je laisse échapper de longs cris sans interruption.

Le va-et-vient de Paul est rapide et saccadé, ce qui produit un bruit de claquement contre les fesses de Sophie qui s’appuie à chaque fois un peu plus sur ma bouche gourmande.

Soudain Eric se retire de mon fondement, je l’entends crier son plaisir, aux mouvements des cheveux qui frottent mon intimité, je suppose qu’il vient de jouir dans la bouche de Sophie.

Paul se libère à son tour dans un grand gémissement, il s’agrippe aux anches de Sophie comme s’il voulait entrer totalement en elle. Ma tête coincée entre leurs cuisses, de mes yeux écarquillés je vois la peau des bijoux de famille de mon cher et tendre se contracter. Un peu jalouse, je plante mes dents sur le sexe de Sophie. L’effet attendu n’est pas, au lieu de crier, elle me met à jouir et abandonne sur mon visage un flot de cyprine. 

Lorsque nous nous dégageons, je suis partagée entre deux mondes, la gêne et l'envie irrésistible de recommencer qui m’envahit mon esprit. Paul me sourit et vient m’embrasser tendrement. Il m’aide à m’asseoir sur le canapé, nos amis me disent que pour une première j’ai été extraordinaire.

Tel est pris qui croyait prendre.

La morale de cette histoire, est qu’il n’est pas bien de tricher, quoi que ……..

TSM

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise
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