Jeudi 9 juillet 4 09 /07 /Juil 09:37

Souvenir d'une fessée d'ancienne génération

J'étais peinard à la maison, les "vieux" n'étaient pas là. Profitant de leur absence j'écoutais sur la chaîne Hi-fi de mon père un disque des Rolling Stones prêté par un copain. Le son " à fond la caisse" comme nous disions à l'époque m'a coûté très cher comme vous allez pouvoir le constater.

Vautré sur le canapé en jouant de la game boy, je traumatisais les voisins en écoutant la face deux quand une envie de faire pipi m'est venue. Plutôt que de monter à l'étage pour aller soulager cette envie pressante et me priver de la puissance de la dernière chaîne Hi-fi de mon père, j'ai bifurqué vers la cuisine pour me soulager dans l'évier.

La zigounette à la main, alors que je chantais à tue-tête sur le solo de guitare de George Harrison en soulageant ma vessie, un son nettement moins agréable troubla soudain le solo guitare : la voix de ma mère entrant dans la cuisine ! ! !

J'ai eu beau remballer la zigounette à la hâte sans même terminer et en mouillant le pantalon de quelques gouttes, la chose ne put être dissimuler. Loin d'être bête, ma mère avait compris ce que je faisais. La queue entre les jambes dans un slip pouillé, sous les cris de ma mère pouvant atteindre les 100 décibels, je me suis précipité au salon pour arrêter la musique. Pour le son, je n'avais pas d'excuse valable, pour le pipi là où il ne fallait pas, j'ai prétexté m'être blessé au genoux et avoir du mal à monter les escaliers.

- Tu casses les oreilles à tout le voisinage, tu pisses dans l'évier et en plus tu mens en me prenant pour une idiote ? (Puissance environ 90 décibels)

Que répondre à cela ? Rien hormis baisser les yeux, récupérer le disque et filer se cacher dans sa chambre en montant les escaliers quatre à quatre.

- Je vois que ton genoux est guéri ! Hurla ma mère avant de rajouter : " on va régler ça de suite".

J'étais en train de planquer le disque lorsqu'elle est entrée dans ma chambre avec la tapette à tapis dans les mains. Guidé "délicatement" par l'oreille jusqu'aux pieds du lit, j'ai reçu l'ordre de baisser mon pantalon et de me pencher en avant pour la "fessée du siècle" d'après maman. Face à mon refus catégorique de recevoir une fessée à mon âge, ma mère trouva immédiatement un argument convainquant !

- Puisque en plus tu refuses de m'obéir, nous verrons cela avec ton père ce soir, c'est lui qui te la donnera !

- Non, maman pas ça s'il te plait ! Lui ai-je répondu en lui tendant les bras pour essayer de l'amadouer par un câlin qui fut refusé.

Pourquoi ai-je changé d'avis aussi vite ? Mon père était un docker taillé comme une armoire normande du siècle dernier. Ses bras faisaient le double de mes cuisses et une seule de ses mains pouvait broyer une noix sans aucun effort. Cela calme ? En clair, soit je prenais la fuite et devenais SDF, soit j'acceptais d'être fessé, soit je prenais le risque de la destruction de mes fesses voir plus. La mort dans l'âme, j'ai donc baissé mon pantalon pour me pencher en avant sur le lit et tendre mon fessier à ma mère.

- Baisse ton slip !

- Maman s'il te plait !

- J'ai dit baisse ton slip ! ( 80 décibels environ, là cela ne gênait sûrement pas les voisins...)

Je venais à peine de poser mes mains sur le couvre-lit molletonné qu'un sifflement précéda un impact si puissant que je me suis quasiment écroulé sur le lit avec l'impression que mes fesses prenaient feu. Les muscles de ma mère étaient ceux d'une femme d'ancienne génération, dure à la tache comme au jardin qu'elle bêchait régulièrement avec des "han" de bûcheron. Le coup suivant m'arracha un cri et fit mouiller mes yeux aussitôt, tant la douleur était intense.

Par chance, ou par malchance, la tapette à tapis ne se désagrégea pas et résista. Elle était aussi d'ancienne génération et de fabrication italienne et pour cause, mes parents sont Milanais. Chacun des coups qu'elle m'a donné restera inscrit dans ma mémoire et dans celle de ma descendance tant ils étaient puissants, douloureux. J'avais réellement les fesses en feu et, quand j'ai eu la mauvaise idée de mettre la main pour protéger mes fesses, l'impact me coupa le souffle avant de me faire craquer et pleurer comme un gamin. Cela ne l'a pas arrêtée pour autant, elle est allée au bout de la punition décidée sans tenir compte de mes hurlements.

La chose faite, j'ai reçu l'ordre de me rhabiller et d'aller présenter mes excuses aux voisins. Là aussi, mes suppliques larmoyantes n'ont rien changé hormis l'agitation de la tapette à tapis en guise de négociation. En remontant mon slip et mon pantalon, j'ai eu l'impression qu'elle les avait remplis avec de la braise incandescente. Masser mes fesses à travers le tissu n'y changea rien bien au contraire.

Je fis donc le tour des voisins pour aller présenter mes excuses et promettre de ne pas remettre le son aussi fort pour ne pas les déranger. Celui d'en face me demanda sur un ton ironique comment allaient mes fesses, une question qui resta sans réponse allez donc savoir pourquoi...

TSM

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Jeudi 9 juillet 4 09 /07 /Juil 09:37

Mon voisin ou le sadique sauveur de selfbondage

J'ai 24 ans, je suis un soumis hétéro sans pour autant être fermé et obtus, disons que si une Maîtresse m'imposait certaines choses, je les ferai pour elle.

Mon voisin est un adorable gay, mais un vrai gay déluré qui aime les choses que j'estime crade, mais à chacun son truc. Nous avons sympathisé dès mon arrivé dans l'immeuble, il m'a aidé pour le déménagement sans même que je le lui demande. Il nous arrive de passer la soirée ensemble en tout bien tout honneur à discuter de tout et de rien autour d'une pizza.

N'étant pas gêné par sa sexualité et ses fétichismes, il me raconte ses aventures avec parfois beaucoup de détails croustillants et parfois assez salace. Il a su me tirer les vers du nez et me faire parler de moi, de mes fantasmes, de mes envies. Henri sait donc que je suis soumis dans les choses du sexe. Un soir, alors que nous avions un peu exagéré sur la vodka je lui ai dévoilé qu'à défaut de Maîtresse, pour l'instant, je gérais mes envies en faisant un peu de selfbondage.

Comme il ne comprenait pas le plaisir que l'on peut avoir à s'attacher tout seul, je lui ai expliqué que cela permet d'avoir de fortes sensations, de vivre les plaisirs du bondage, de la contrainte et de rêver un peu, puis parfois, d'arriver à jouir sans même faire appel à la veuve Poignet disponible 24/24 et toujours motivée.....

Lorsqu'il m'a proposé d'être ma sécurité au cas où un jour je resterai bloqué, j'étais très gêné. Encore une fois, il a su me convaincre d'accepter en me rappelant que lui n'avait aucune gêne envers moi, quand il me racontait ses escapades nocturnes qui ne valait pas mieux que mes jeux solitaires. Depuis cette soirée, quand il part chez un mec sur lequel il a des doutes sur la moralité, il m'indique les coordonnées et adresses du lieu où il va pour que je le sécurise. Je fais de même quand je fais du selfbondage. Il a donc les clés de mon appartement pour venir me libérer si une nuit, je n'arrive pas à me libérer. Je le préviens donc que je vais jouer pour que si vers minuit je ne l'ai pas appelé il vienne me secourir.

Le problème quand on fait du selfbondage et que l'on sait que l'on est sécurisé, c'est que l'on va plus loin que lorsque l'on est seul !

Henri m'ayant prêté une cagoule d'isolation BDSM permettant de planer, il y a environ un mois, je me suis organisé un plan sévère et compliqué avec des cordes de shibari pour maintenir en moi un plug malgré la barre d'écartement m'obligeant à garder les jambes écartées. Pour caller mes bras, j'avais passé des ceintures autour de mon corps pour y enfiler mes bras et limiter mes mouvements.

Fantasmant un maximum sur une Maîtresse qui gèrerait ma sexualité grâce à une cage de chasteté, mon sexe était à l'abris de mes envies à l'intérieur d'une CB6000. Pourquoi mettre une cage de chasteté quand on est menotté ? Parce que je m'étais bloqué les poignets au niveau du sexe avec des menottes attachées au niveau de mon sexe par la corde de shibari maintenant le plug. En clair, l'auto supplice de Tantale, avoir envie de se caresser mais ne pas pouvoir le faire même si les mains sont sur le sexe.

Pour mon côté "maso" j'avais posé des pinces à sein sur mes tétons qui se sont méchamment vengés comme vous allez pouvoir le constater. Pour ne pas pouvoir les retirer avant la fin, je les ai plaquées contre ma poitrine avec du cellophane qui a fait plusieurs fois le tour de mon corps. Une fois prêt à faire des folies avec ce selfbondage :

- J'ai passé la cagoule d'isolation que j'ai bien fermé.

- J'ai jeté à l'aveugle les clés des menottes et des cadenas de la barre d'écartement de mes jambes.

- J'ai enfilé mes bras dans les ceintures passées autour de mon corps mais fermées dans mon dos. (Ouf ouf, j'avais trop séré)

- J'ai bloqué mes poignets dans les menottes.

Pour me libérer, il ne me restait plus qu'à ramper comme un vers à l'aveugle pour trouver les clés.

LE GROS PIEGE

Le gros piège est que sans la sécurité proposée par Henri, j'aurai posé les clés sur le carrelage. Là, je les ai jetées en l'air et, comme la cagoule d'isolation ne m'a pas permis d'entendre où elles tombaient la chose s'est toute de suite annoncée compliquée, sachant qu'un plus, cette putain de cagoule limite quand même un peu la respiration si l'on fait des efforts.

Pour trouver les clés, il m'a donc fallu ramper. Sur le dos le plug me renvoyait la balle dans le trou du même nom, sur le ventre, les pinces à sein faisaient de même. A cela se rajoute que les menottes ne laissent quand même pas beaucoup de latitude quand elles sont attachées au niveau de votre sexe. En clair, l'Art et la manière de se piéger pour de très longues heures.

A MINUIT

A minuit, l'heure convenue, Henri a téléphoné sauf que dans l'état où j'étais, lui répondre n'était pas possible. Il a débarqué chez moi sans tarder un peu affolé. La première chose qu'il a faite a été de retirer sa cagoule d'isolation et de me découvrir aussi trempé que si je sortais de l'eau. Rassuré de me voir vivant, cet enfoiré a pris son temps et s'est servi une bière dans mon frigo avant de se vautrer dans mon fauteuil en me disant "tout à un prix" puis en le levant pour trinquer tout seul.

Ma demande d'aide à la libération puis mes tentatives de séductions sont restées sans effet. Enfin si et du moins pas celles escomptées. Henri m'a demandé de me retourner pour voir mon dos, moi j'ai pensé que c'était pour délier les cordes. Et bien non, c'était pour voir mon cul qu'il a trouvé très mignon ! Et là, sans même me demander mon avis, il a entrepris d'écarter les cordes maintenant mon plug pour le retirer, chose que j'aurai préféré faire tout seul s'il m'avait donné les clés des menottes.

Quand il m'a dit " Ne t'inquiète pas, je reviens de suite" en emportant toutes mes clés j'ai pris peur mais je n'ai rien dit ne sachant plus où j'en étais. Que pouvait-il faire ? Pourquoi quitter mon appartement au lieu de me libérer ? Est-ce que sa proposition de sécuriser mes selfbondage avaient des intérêts particuliers ?

Cinq très longues minutes plus tard, il est revenu avec un sac à la main qu'il a posé sur le canapé clic clac me servant de lit. Il a pris les deux coussins qu'il a posé sous mon ventre après m'avoir soulevé d'une main par les cordes de shibari. Là, je me suis dit que j'allais y passer ! ! ! ! ! (Mettez-vous à ma place, un vrai gay déluré met vos fesses en l'air, vous pensez à quoi vous ?)

Et bien non, il avait juste décidé de me faire passer du plug de "fillette" à un plug de grand garçon. J'ai eu beau le supplier, il ne m'a pas écouté mais juste promis du plaisir en me disant de pousser comme si je voulais déféquer. Cet enfoiré est parvenu à me mettre un plug de 50 millimètres dans les fesses, qu'il a bloqué en bonne place avec les cordes de shibari. OUFFFF !

Je vous relate l'échange qui eut lieu ensuite ce soir là :

- Ce sont les clés de ta cage de chasteté ? Dit Henri en me montrant des clés.

- Tu les as trouvées où ?

- Sur la table à côté de la boite de ta cage de chasteté.

- Oui ce sont les clés du paradis.

- Je les prends, tu seras privé de ton petit robinet quelques jours pour m'avoir fait peur et m'obliger à me rhabiller au milieu de la nuit.

- Enfoiré !

- Parle-moi meilleurs ou je t'encule de suite !

- ........... Heu......... excuse-moi s'il te plait

- Voilà qui est mieux mais tu viens de prendre 3 jours de pénalité et un pack de bière à livrer chez moi avec mon plug dans ton cul si tu veux les clés de ta cage de chasteté.

................................................................

Cet enfoiré de sauveur m'a laissé attaché après avoir posé les clés des menottes et des bracelets de la barre d'écartement sur le carrelage de la salle de bain avant de me souhaiter bonne nuit. Il m'a fallu encore vingt minutes pour parvenir à me libérer et extraire son missile scud de sa positon retranchée au fond de mes fesses.

Est-ce le fait que je n'avais pas pu me "" soulager"" après mon selfbondage que cette nuit là j'ai rêvé qu'il profitait que j'étais entravé pour me baiser ? Je ne saurai dire mais cela m'a perturbé. J'ai donc du lui apporter le pack de bière avec son plug entre les fesses pour récupérer les clés de ma cage deux jours plus tard.

Il m'a clairement avoué avoir été tenté par mon petit cul d'une façon très interrogative, je n'ai pas su répondre. Cette idée me perturbait et générait en moi des questions sans réponse. Il s'est amusé de mon trouble, de ma soumission aussi car à cet instant j'avais encore son plug dans les fesses comme demandé.

Henri m'a indiqué avoir compris que je n'étais pas gay tout en jouant sur les mots puis sur ce que j'avais entre les fesses qui ne correspondait pas à un mec 100% hétéro non plus. Cet enfoiré m'a offert son plug puis a jeté les clés par la fenêtre en me conseillant d'aller rapidement les récupérer avant d'ajouter : "Tout travail mérite salaire, la prochaine fois que je viendrai te libérer, je me paierai peut-être en nature".

Que répondre à cela quand on ne sait plus où on en est ? Quand on vient d'accepter un plug comme cadeau et que l'on doit aller chercher les clés de sa cage de chasteté sur le trottoir ?

Les intensions d'Henri étaient claires, je savais donc que si je faisais appel à lui pour sécuriser mes selfbondages je prenais aussi le risque de passer à la casserole.

Il fit franchement pire comme vous le découvrirez au prochain épisode.

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 16:14

Pique-nique ABDL Fessestivites et Abkingdom REPORTAGE et images

La rencontre Pique-nique ABDL 2015 vient de se terminer. Elle fut une réussite totale avec beaucoup d'échanges et de jeux puis des fous rires. Elle a également permis à ceux qui venaient pour la première fois de faire leur premier pas.

A ce sujet, il faut savoir que faire le premier pas n'est pas toujours facile, car il faut oser se dévoiler. Il est bien de savoir qu'une rencontre collective est souvent plus facile qu'une rencontre intimiste.

Lors de cette rencontre, les participants d'Abkingdom et de Fessestivites se sont entendus à merveille. En guise de rivalité il n'y a eu que complicité et plaisirs partagés autour d'un fétichisme.

Les timides du samedi midi n'ont pas tardé à se "lâcher" et à "oser" aller mettre une couche pour certains puis le samedi soir, à se faire changer.

LES JEUX :

Des jeux étaient proposés, aucun n'était imposé.

LES PHOTOS :

Les photos étaient proposées, aucune n'était imposée. Tous les participants ne sont pas sur les photos.

PARRAINAGE boutique-couches.fr/abdl

Bienetreetincontinence.fr se spécialise et crée une boutique qui sera dédiée aux ABDL. Elle s'étoffera au fil du temps. Cette rencontre était parrainée par la boutique Couche ABDL sélection Christine qui a offert des couches, des inserts et des pointes à nouer aux participants.

LE REPORTAGE EN IMAGE

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Par TSM - Communauté : ABDL & plaisir
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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 16:13

Les promesses du marié soumis

 

Elle a 28 ans, elle est belle comme un coeur, ses yeux bleues vous font fondre comme neige au soleil, ses cheveux châtains clairs mi-long sont doux comme de la soie, Karine est tout simplement craquante. Elle s'est découvert une âme de dominatrice avec un de ses amants qui a essayé de l'initier, son seul souci est qu'il était marié et ne lui avait pas dit. Lorsqu'elle l'a découvert, elle a gardé son calme et accepté un dernier rendez-vous pour régler quelques comptes version femme en colère.

Par texto elle lui a avoué avoir de plus en plus envie de domination puis lui a demandé d'acheter de vraies menottes et une cravache. Le menteur ravi de pouvoir vivre ses fantasmes avec une telle beauté n'a pas tardé à se procurer ce qu'elle lui demandait. Histoire de bien l'allumer elle lui a parlé d'envie de se faire lécher, de le fesser, de l'attacher pour a b u s e r de lui physiquement.

Elle ne lui a pas menti, elle, sauf que ce qu'elle a prévu ne correspond pas tout à fait à ce qu'il attend !

A 16 heures précises, Maurice âgé de 40 ans l'attend nu couché sur le lit d'une chambre choisie au motel du coin. Comme d'habitude il lui a envoyé le code de la porte par texto, Karine prend son temps et le laisse mariner un peu, pour le patron d'une boite vendant des bateaux de plaisance, mariner est une bonne chose, il va l'apprendre à ses dépends tout comme que mentir n'est pas une bonne chose.

Maurice, nu à quatre pattes sur le lit est en érection lorsqu'elle entre dans la chambre, et pour cause, il a "commencé" sans elle en se caressant comme pour tuer le temps. Aux pieds du lit, les menottes et la cravache l'attendent, une bouteille de champagne hors de prix est posée sur la petite table.

  • Alors petit soumis, toujours décidé à vivre de grands frissons, à mériter de me lécher le cul et à s'offrir à moi ?

  • Oh oui Maîtresse, vos désirs sont des ordres.

  • Alors sert deux coupes de champagne et remets-toi en position. Reste à quatre pattes comme un chien que tu es ! Ajoute Karine lorsqu'il se lève pour les servir.

En sirotant sa coupe de champagne, elle caresse les fesses du soumis de la pointe de la cravache neuve achetée sur ABCplaisir en même temps que les menottes.

  • Pas de marque, s'il te plait, je suis invité à une sortie en mer avec des amis, ils ne comprendraient pas. Indique Maurice prévoyant.

  • Ne t'inquiète pas, je veux juste te rendre fou. Lui répond Karine en riant sous cape en l'écoutant lui mentir encore une fois, la dernière fois mais lui ne peut le savoir.

Avec beaucoup de patience, elle s'amuse à titiller le sexe en érection de la pointe de sa cravache avant de le prendre à pleine main pour porter un léger coup sur le gland. Elle monte sur son dos et se frotte à lui pour le rendre fou, tout en caressant les petits tétons masculins, ses attouchements et gestes coquins excitent énormément Maurice. Elle s'interromps un instant pour lui poser les menottes mains dans le dos.

  • A genoux chien, vient lécher ta Maîtresse et applique-toi, sans quoi elle sera obligée de te punir.

Maurice n'a nul besoin de cravache ou de menottes pour déguster le merveilleux chaton glabre de sa Maîtresse, il en meurt d'envie et s'applique à la tâche. Karine mime la femme prenant du plaisir, son but est de faire tomber la méfiance du menteur avant de lui régler son compte. Elle va même jusqu'à soulever les jambes sans aucune pudeur pour lui offrir son petit orifice à lécher.

  • Lèche bien, je te l'offrirai peut-être si tu t'appliques.

Pour le menteur professionnel, s'imaginer sodomiser un aussi joli petit cul lui donne des ailes, il est comme fou rien que d'y penser. S'il savait ...... Sa langue ne lésine pas à la tâche, il lèche le délicat petit orifice comme si sa vie en dépendait. En même temps, Karine se caresse, enfin fait comme si.... car elle n'a nulle envie de plaisir, elle est juste venue régler un compte à sa façon.

Le soumis menteur professionnel est aux anges et la tête pleine de rêves érotiques ne se méfie pas quand elle lui demande de se lever pour l'attacher autrement. Il tend de lui même ses poignets quand elle le menotte aux barres de fer du lit superposé.

Mimant la femme en manque, telle une mante religieuse, elle se frotte à lui en le griffant profondément dans le dos. Maurice lui rappelle qu'elle doit faire attention et qu'il ne doit pas avoir de marque sur le corps. En guise de réponse, Karine fait une pause pour aller chercher une corde pour entraver les jambes du soumis, avec les projets qu'elle a en tête, il est plus prudent qu'il ne puisse se défendre et lui donner des coups de pieds.

Une fois qu'il a les pieds lies et poignets menottés, elle peut se laisser aller, laisser son coeur bafoué régler ses comptes. L'heure de la vrai punition du menteur a sonné.

Avec son sourire enjôleur elle s'approche de lui en murmurant "je vais te punir". Ses ongles se plantent dans le haut du dos et le griffent le plus profondément possible en descendant jusqu'aux reins du soumis. Maurice bondit et se tord de douleur en la traitant de folle, il avait dit pas de marque ! S'il pouvait voir son dos, il comprendrait que celles qu'elle vient de lui faire ne partiront pas avant une bonne dizaine de jours.

  • Je suis désolée, j'avais trop envie de toi ! Lui répond Karine en sortant son téléphone portable pour immortaliser la scène. Elle fait même quelques photos supplémentaires de l'homme menotté et nu pour son petit dossier secret...; enfin pouvant ne plus l'être si besoin.

Armée de la cravache, elle s'approche de lui, caresse ses fesses puis soudain, les frappe de toutes ses forces. Maurice bondit dans ses entraves et crie, Karine ne s'arrête pas et cravache également les cuisses en cherchant à faire mal et à laisser des marques, ses marques, les marques de la vengeance d'une femme bafouée et d'une épouse trompée. Fou de rage, Maurice se débat et l'insulte en la traitant de débile. Il lui ordonne de le libérer immédiatement.

  • Tu rêve menteur !

  • Comment ?

  • J'ai dit tu rêves menteur !

  • Arrête tes connerie salope, libère-moi c'est fini entre nous !

  • Oui, oui tu as raison c'est fini entre nous, j'ai découvert que tu es marié et m'as mentie. Lui répond Karine en sirotant la deuxième coupe de champagne pour savourer sa victoire.

Tout en priant pour que les menottes soient solides, Karine prend encore quelques photos avec son téléphone portable sous un flot d'insultes et de menaces. Tout en faisant l'impossible pour rester calme, elle range son téléphone et reprend son sac avant de s'approcher du soumis menteur désespéré.

  • Ecoute-moi bien et ne me coupes pas la parole ou je te massacre avec la cravache. Tu trompes ta femme, c'est ton problème, ce n'est pas bien beau mais passons, tu me mens et me mènes en bateau depuis des mois. Pour ton information personnelle, j'étais en train de tomber amoureuse de toi. Je viens donc de te donner la punition que tu mérites.

  • Ca va, ça va j'ai merdé, je t'ai mentie mais je compte divorcer.

  • J'ai déjà entendu ça quelque part, mais où .... Alors si tu comptes divorcer, tu n'as rien à faire des marques qui sont sur ton corps ?

  • Pas tout de suite, j'ai encore quelques bricoles à régler.

  • Puisque tu as encore quelques bricoles à régler, je vais te laisser y réfléchir jusqu'à demain matin en laissant les clés des menottes sur la table. Comme ça, les femmes de ménages pourront te libérer.

-Arrête tes conneries, combien veux-tu pour me libérer et supprimer tes putains de photos ?

  • Tu n'as pas compris ! JE NE SUIS PAS A VENDRE hurle Karine en lui donnant un coup de cravache d'une puissance inouïe. Je t'aimais du con !

Maurice se tord de douleur et se rend compte qu'il est vraiment dans une très mauvaise posture.

  • Alors je t'explique ! Tu te démerderas avec ta femme pour les marques de ta punition. Je ne dévoilerai aucune photo de toi tant que tu me foutras la paix. Je vais les confier à une amie avec comme mission de les donner aux flics et de les diffuser sur internet s'il m'arrive quelque chose ou si tu portes plainte. Suis-je claire ?

  • Oui Karine, ok, j'ai merdé, j'ai payé, libère moi s'il te plait. Je dois rentrer à la maison ou ma femme va s'affoler et appeler les flics. Je m'excuse platement, pour te le prouver tu peux me donner un coup de cravache de plus, je ne dirai rien. J'ai été un gros con et je le reconnais. J'avoue ne pas avoir eu le courage de quitter ma femme, je suis très faible avec les femmes, je les trompe mais en même temps je ne suis incapable de leur faire du mal. Je te jure que je ne porterai pas plainte, j'ai tous les tords et je suis vraiment un gros con.

  • De belles paroles d'un mec en mauvaise posture.

  • Met-moi à l'épreuve. Tu viens de me dire que tu commençais à m'aimer, je suis prêt à te prouver que je peux changer. Tu es la femme dont j'ai rêvé toute ma vie, belle, douce, cultivée et en prime dominatrice. Je te jure que je peux changer. Laisse-moi attaché si tu veux, j'ai réussi ma vie professionnelle mais j'ai gâché ma vie d'homme et de couple, au point où j'en suis..... S'il te plait, laisse-moi une chance ?

  • Tu quittes ta femme et quand j'aurai la copie de ton divorce par email, contacte-moi, on verra ce que l'on peut faire. Répond Karine en lui jetant la clé des menottes sur le lit avant de quitter les lieux en larmes.

...........................

Un mois plus tard, Karine reçoit un email de Maurice avec une pièce jointe.

Karine au toi la femme de tous mes rêves.

J'ai été mauvais, je veux me racheter. Tu m'as donné une leçon de vie, une leçon méritée. Tu trouveras ci-joint la copie de la procédure de divorce en cours.

Je t'ai dit que je t'aimais, c'était vrai. Cela n'était pas un mensonge comme tout ce que j'ai pu te raconter parce que je n'avais pas les couilles de m'assumer. Aujourd'hui j'ai changé, ce ne sont pas que des mots mais bien des actes comme tu pourras le constater en ouvrant la pièce jointe. Je m'engage à te donner la copie de tous les documents qui arriveront pour mon divorce et même à te permettre d'aller voir mon avocat pour le contrôler.

Comme tu peux le constater, je t'aime, ce ne sont pas que des mots et je suis prêt à assumer toutes mes responsabilités. Mon seul rêve est de te voir heureuse et de vivre à tes côtés comme amant ou comme soumis mais je veux partager ma vie avec toi.

Maurice

En ouvrant la pièce jointe Karine constate que Maurice a effectivement entrepris une procédure de divorce. Les larmes aux yeux elle ne sait plus où elle en est.

..........................

Un mois plus tard et après de nombreux échanges d'email sur Fessestivites Maurice et Karine prennent un verre au bar de l'OM à Marseille. Il lui refait une déclaration d'Amour en lui promettant de l'épouser et de ne jamais la tromper en se mettant à genoux devant tout le monde.

  • Tu ne me repousses pas et me promet de réfléchir à ma proposition ? Demande Maurice.

  • Oui ! Répond Karine en larmes.

  • Tu ne le regretteras pas, je te le jure devant dieu. Champagne pour tout le monde Crie aussitôt Maurice avant de fondre lui aussi en larmes sans aucun pudeur.

Leur relation faite d'amour va se concrétiser et aboutir à un mariage sous conditions, mais avec une femme comme Karine, il faut que le lecteur s'attente au pire ! (Vraiment au pire)


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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 16:12

Le furring ou fursuit sex

 

Inspiré du Furry Fandom, littérature pour les petits avec des animaux qui parlent, le furring consiste à se déguiser en animal à fourrure (lapin, écureuil, ours) pour s’envoyer en l’air de préférence en pleine nature mais cela fonctionne aussi à la maison !

Le furring ou fursuit sex est-il un fétichisme à part ou entre t'il dans la catégorie ABDL puisque AB signifie adult baby ?

Quoi qu'il en soit, cette pratique entre dans le royaume des animaux et des personnages de cartoon à fourrure servie à la sauce érotico-charnelle

C'est une tendance sexuelle made in Angleterre, qui consiste à humaniser les animaux en BD, en littérature, en peinture, etc.

Le «dogging» et le Dog-trainning sont très connus mais si vous utilisez des costumes avec de la fourrure c'est donc du furring ou fursuit sex.

Le furring ou fursuit sex peut également s'adapter au BDSM.

 

 

Pour en parler plus longuement rendez-vous sur le forum ici

 

 

 

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 16:11

Les aiguilles BDSM hard ou soft ?

Je lis parfois que les aiguilles en BDSM sont considérées comme une pratique Hard ou extrême.

JE REPONDS NON

Je réponds non si cette pratique est réalisée par quelqu'un qui sait les manier et suivant où elles sont posées. Il y a plus de peur que de mal en vérité, propos confirmé par toutes les personnes que j'ai initiés.

JE REPONS OUI

Je réponds oui suivant la partie du corps où elles sont plantées et suivant le nombre puis l'utilisation que l'on en fait.

Explications :

Si les aiguilles sont posées en petit nombre dans le dos et sur un ou deux millimètres de profondeur, pour un corset par exemple, la douleur est nettement moins importante qu'une bonne claque sur les fesses. A cela se rajoute, que les aiguilles sont bien souvent fines et toujours à usage unique.

J'ai testé ! ET oui, même si je suis un Maître, j'ai désiré que l'on m'en pose quelques-unes pour mieux comprendre ma soumise et en avoir le coeur net. Je m'attendais à ce que cela pique franchement je n'ai quasiment rien senti. (Et je suis un brin douillé)

Par contre, les aiguilles dans les tétons ou d'autres endroits ultra sensibles, là c'est déjà un peu plus "piquant" bien que fugace.

La dite piqûre ne dure qu'une seconde et une fois les aiguilles posées on arrive à les oublier. (Réel)

QUELS SONT LES RISQUES

Il y en a bien plus pour celui qui pose que pour la personne à qui il est posé des aiguilles :

Si les règles d'hygiène sont respectées, ils sont identiques à une prise de s a n g pour la personne à qui il est posé des aiguilles donc nuls. (Gants et aiguilles stériles à usage unique + désinfectant sur la peau avant de piquer)

Pour la personne qui on pose des aiguilles le risque de se piquer lui est bien réel.

"J'ai vu du sang" ! Oui est alors ? Il arrive qu'il y ait une ou deux gouttes, cela ne signifie pas que c'est dangereux ou douloureux. Il est préférable d'éviter avec des personnes hémophiles mais le problème portera plus sur le temps que cela s'arrête de s a i g n e r et les soucis liés. (Inquiétude / nettoyage)

QUEL PLAISIR

On ne jouit pas avec des aiguilles, mais cela peut être très érogène et très érotique.

ABCplaisir propose des aiguilles ici

Pour en parler, rendez-vous sur le forum BDSM ici


Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : plaisirs SM
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Mercredi 20 mai 3 20 /05 /Mai 16:28

Selfbondage shibari, trahison, humiliation et fessée

Laura et Sandra sont devenues amies intimes en étant colocataires lors de leurs études de médecine. La complicité des filles leur a permis de "chasser" le beau mâle ensembles sur internet, l'un étant libertine, l'autre plus orientée BDSM mais elles ne se jugeaient pas, à chacun son trip, à chacun ses plaisirs.

Sur Fessestivites.com elles se sont retrouvées rivales, la tension est montée sans aller jusqu'à la rupture de leur amitié. La belle Laura a décroché l'étalon, Sandra lui en a voulu longtemps avant de se trouver le sien, un véritable charmeur ultra coquin.

Si leur vie de couple est sans nuage, Charles s'investissant totalement dans sa carrière, Laura se sent un peu abandonnée coté câlins et BDSM. Etant une femme fidèle, c'est dans le selfbondage qu'elle parvient à assouvir ses pulsions en allant de plus en plus loin dans ses jeux solitaires.

Charles est totalement opposé à ces jeux qu'il a découvert un soir en arrivant de l'hôpital. Laura s'était attachée toute seule pour s'offrir à son mari. Dans l'entrée de leur maison, elle avait scotché une feuille sur une chaise sur laquelle elle avait écrit : "une pauvre femme sans défense est entravée et totalement offerte dans ton lit".

Si le chirurgien avait apprécié le geste de cette surprise originale, il avait également sermonnée sa soumise en insistant sur les risques encourus comme un incendie, des cambrioleurs, un souci de santé. Malgré l'interdiction de son mari, Laura continue ses activités solitaires et va toujours plus loin dans le selfbondage.

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Cinq ans plus tard, Sandra s'est retrouvée à la rue suite à une énorme colère après son charmeur quand elle a découvert qu'il la trompait régulièrement avec les infirmières de l'hôpital. Lui ayant mal vécu qu'elle fouille dans son téléphone portable, la chose n'a pas traîné, le soir même elle était à la rue.

Laura et Charles l'ont accueillie dans leur grande maison bourgeoise, un héritage familial de Charles devenu chirurgien et dont la carrière s'annonce prometteuse. L'hébergement de Sandra dure un peu mais elle est si gentille, discrète que cela ne pose aucun problème, au contraire, en guise de remerciement, elle achète la nourriture et leur fait une cuisine digne d'un quatre étoiles. C'est donc une relation sans histoire, les filles ont retrouvé leur complicité d'antan, les confidences coquines sont nombreuses suite à quelques "bruits suspect" le soir dans la maison mais Laura a gardé pour elle ses petits plaisirs solitaires.

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Seule chez elle après une nuit de garde, Laura a décidé de s'accorder une après-midi de plaisir, des vidéos de selfbondage visionnées sur Fessestivites lui ayant donné des idées coquines.

Après avoir sorti ses cordes de shibari achetées en même temps qu'un magic wand massager sur ABCplaisir.com, puis de quoi se faire un bâillon, toute excitée Laura s'installe tranquillement sur son lit. Pour commencer, elle décide de se faire un bâillon puis de rajouter un foulard noué derrière sa tête, freiner sa respiration lui donne des frisons qu'elle adore. Elle noue ensuite une première corde au dessus de sa poitrine puis une seconde en dessous pour essayer de serrer ses seins.

Comme cela ne correspond pas vraiment à un bondage de poitrine, elle décide de rajouter des cordes et de les lier devant et derrière son buste, cela fera un point d'encrage supplémentaire à son bondage, les noeuds coulants qu'elle ajoute maintiendront ses poignets comme des menottes.

Sur la vidéo de selfbondage l'ayant excitée, la fille entravait ses chevilles puis ajoutait une corde lui permettant de relier son buste à ses pieds de façon à ce qu'elle ne puisse plus s'allonger. Laura fait donc de même, si elle se couche sur le dos, dans les mouvements de ses petits délires, elle offrira son intimité à son Maître ou à des méchants venus profiter de son corps sans défense.

Très confiante, un peu trop peut-être...., Laura finalise son shibari en venant attacher le dernier bout de corde sur le devant de son buste. A la suite de quoi, ses mains passent dans les anneaux de cordes et tirent sur les noeud coulants. Quand elle s'emprisonne pour un long moment de fantasme, c'est comme si son mari l'attachait pour une durée indéterminée avec un lot de surprises coquines ou BDSM. Son coeur bât la chamade, sa respiration s'accélère, ses tempes bourdonnent mais son intimité mouillée ne pourra pas être atteinte par des doigts coquins. Laura s'auto contraint ainsi à la frustration, chose grisante qui durera un long moment avant qu'elle ne se libère et s'apaise avec le magic wand.

Lorsque à la recherche de sensations elle commence à tirer sur ses entraves en s'imaginant prisonnière face à une meute de loup venus la dévorer, elle se rend compte que les noeuds coulants se sont vraiment serrés. Ce n'est pas la première fois qu'elle prend des risques, elle se doit juste de faire attention et ne pas tirer plus fortement sur les cordes.

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Sandra s'était trompée dans ses horaires de travail pour cause de trop de surf sur Fessestivites, libérée à 15 heures, elle fait donc quelques courses avant de revenir à la maison, ce soir elle compte leur servir un Veau Marengo. A son arrivée, le sac à main de son amie posé sur le guéridon dans l'entrée lui permet de constater qu'elle n'est pas seule. Elle l'appelle donc puis, sans réponse, entreprend de faire le tour de la maison pour lui parler du contact sérieux qu'elle a sur le site de rencontres.

S'étant déjà vues nues de nombreuses fois lorsqu'elles étaient colocataires, Sandra n'hésite pas à passer à la salle de bain puis à aller voir dans la chambre de ses amis.

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En entendant crier son prénom, Laura s'affole, même si Charles lui a raconté l'épisode selfbondage surprise, elle n'a pas envie d'être vue dans ses petits plaisirs intimes. S'affoler lorsque l'on fait du selfbondage n'est pas une bonne idée, bien au contraire, il faut rester calme et chercher une solution de sortie. En essayant de se libérer rapidement, elle tire sur les cordes, les noeuds coulants font leur office et se serrent encore sur ses poignets. Sandra entre dans la chambre et découvre son amie attachée.

 

- Mais que t'arrive t'il ? Demande t-elle affolée avant de comprendre que son amie s'est fait plaisir malgré l'interdiction de son mari et Maître.

- Moufff, moufff ! Crie Laura en faisant voir ses poignets pour lui aire comprendre qu'elle est piégée.

- Ah oui, je vois que tu t'es bien attachée.

- Moufff, moufff !

- Ah tu es bloquée ?

- Moufff, moufff !

- C'est con pour toi ça, à ta place je serai contrariée ! Dit Sandra en rigolant. J'en connais une qui va se faire gronder......

- Moufff, moufff ! Fait encore Laura en faisant des "non" de la tête.

- Bon écoute ma belle, quand nous étions colocataires tu as voulu Charles et tu l'as eu, ben maintenant il faut assumer. D'ailleurs, je vais lui adresser un texto pour lui dire qu'il y a un Veau Marengo maison à partager ce soir et sa femme attachée sur le lit. Il va adorer ....

- Moufff, moufff ! Fait encore Laura en faisant des "non" de la tête.

Sandra quitte la chambre et met en pratique sa petite vengeance très féminine avant d'aller cuisiner son Veau Marengo. A la lecture du texto, Charles est loin de s'imaginer que sa femme a encore recommencé ses "conneries" de selfbondage. Il pense que Sandra a attaché sa petite femme et qu'ils vont fêter quelque chose.

Pendant plus de deux heures, Laura lutte contre les cordes, en s'affolant elle a réussi à les bloquer. Au plus elle essaye de se libérer, au plus elle se piège. Lorsque Charles arrive à la maison, les odeurs d'une bonne cuisine lui mettent l'eau à la bouche, il passe donc par la cuisine pour féliciter la cuisinière.

- Bonsoir Sandra, qu'y a t-il au menu ce soir ?

- Un veau Marengo et ta femme qui a fait des bêtises.

- Comment ça des bêtises ?

- Je ne veux pas moucharder, mais je l'ai trouvée attachée en arrivant.

Le visage de Charles s'assombrit aussitôt, il tourne les talons pour grimper quatre à quatre les marches de l'escalier le conduisant à la chambre, où il découvre sa belle saucissonnée et bâillonnée. Bien décidé à lui donner une leçon, en grand chirurgien il reste calme et médite un instant à la punition convenant le mieux.

Laura fait triste mine, elle essaye de l'apitoyer du regard mais l'échange muet des yeux ne lui dit rien de bon, mais alors pas bon du tout. Bien décidé à lui donner une bonne leçon, Charles l'attrape par la taille pour la prendre dans ses bras. Portée hors de la chambre, Laura sent qu'il va la punir devant son amie. Elle fait des "non" désespérés de la tête mais il n'en a que faire et se concentre sur les escaliers à descendre.

- Sandra, ouvre une bouteille de champagne, prend des fluttes et rejoint nous au salon ! Crie Charles en passant devant la porte de la cuisine.

Posée fesses en l'air sur les genoux de Charles assis dans le salon, Laura est blême, si elle est en manque de BDSM, elle n'a surtout pas envie de partager ça avec son amie, mais il semble en avoir décidé autrement. Il est bien trop tard pour le lui dire....

- Sert-nous le champagne, nous allons partager quelque chose. Indique Charles à l'arrivée de Sandra.

Sandra sert donc le champagne avec un sourire posé sur les lèvres malgré les regards de tueuse que lui adresse son amie en mauvaise posture.

- Nous allons donc partager une des punitions de ton amie, je subodore que tu seras d'accord avec moi, son attitude très dangereuse se doit d'être sanctionnée.

Charles glisse les bords de la petite culotte entre les fesses de Laura pour en faire un string et dévoiler le fessier qu'il compte bien tanner sur le champ. Sa main se lève et s'abat sur les délicates rondeurs fessières sans défense avec régularité et une certaine puissance permettant à Sandra de constater que ce n'est pas du cinéma. La fessée prend même de l'ampleur, les fesses rougissent à vue d'oeil, le visage de Laura déformé par la douleur gêne soudain son amie.

- Désolée, je dois aller tourner mon plat ! Indique Sandra très gênée en se levant pour fuir les lieux.

La fessée dure bien plus longtemps que celui qu'il fallait en cuisine mais Sandra ne revient pas au salon, elle ne s'attendait pas à ça.

- Quand tu auras fini de remuer ton plat prend de la crème pour les fesses de ton amie, elle va en avoir besoin. Crie Charles avant d'ajouter. Libère-la, je vais me calmer en allant marcher un peu.

Restée seule avec Laura en larmes, Sandra s'attaque aux noeuds et libère son amie en s'excusant à plate couture. Elle insiste en disant que jamais au grand jamais elle n'avait voulu ça, qu'elle est horriblement gênée. Une fois libérée, Laura est guidée sur le canapé où les petites fesses rouges sont massées avec une extrême douceur avec de la Bepanthen.

Laura furieuse se remet doucement puis s'habille pour aller chercher son mari et Maître dans la rue. La lueur du réverbère lui permet de voir qu'il a les yeux mouillés et qu'il a pleuré. Sa colère fond aussitôt, elle se jette dans ses bras pour un gros baiser d'amour. Le conducteur du véhicule passant près d'eux les trouve trop mignons, s'il savait....

Voir une boutique avec un rayon dédié au selfbondage

Pour discuter entre adepte du selfbondage rendez-vous sur le forum de Fessestivites ICI

 

Accéder à plus de 800 vidéos de selfbondage sans publicité

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 09:13

Le plug ouvert ou anneaux de dilatation anale ou les deux ou d'autres plaisirs ?

Plug-tunnel-metal-V3-b.jpg

La sensation d'être très « exposé » ou « très ouvert » est tout simplement géante.

JEUX LAVEMENT OU JEUX URO

Une fois le plug ouvert inséré, la douche anale peut se faire en profondeur, attention toutefois à modérer la pression d'eau. Pour les adeptes des jeux uro, une fois le plug ouvert inséré, vous transformez votre soumis ou votre soumise fesses en l'air en urinoir.

EN TERME DE DILATION

En terme de dilation, porté en 24/24 les résultats sont visibles en très peu de temps puis qu'aucune pause ne sera tolérée même pour les besoins. Il est conseillé de porter une protection....

LES ABDL VONT ADORER

Les ABDL vont s'en donner à coeur joie avec ce plug ouvert. L'incontinence fécale devient une réalité.

DIMENSIONS

Longueur totale d'environ 10 cm, 8,5 cm insertion. Diamètre externe de 3 à 5 cm, diamètre interne 2,5 cm.

Matériel: silicone

RAPPEL DE SECURITE

Ne jamais mettre d'alcool dans l'anus, le risque de comas éthylique est extrême.

  Choisir un plug tunnel à votre taille 

Forum Gay

 Rencontres BDSM

 Voir des vidéos Gay (SANS pub)

Histoires érotiques gay (SANS pub)

 


Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Le sexe sans tabous
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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 08:56

Dans le train son Maître lui impose un show qu'elle doit filmer

exhibition_2.jpg

Sandy est très chaude, très gourmande des choses de la vie. Elle s'est trouvée un Maître sexuel n'hésitant pas à lui imposer des choses un feu folles. Comme beaucoup de soumises, elle se doit d'être toujours disponible et donc sans culotte même lorsqu'elle est en jupe dans les lieux publics. Elle se dit "contrainte" mais adore ça.

Lors du voyage en train qui les conduit chez des amis, elle s'amuse à allumer son Maître, un petit jeu discret même s'il n'y a pas grand monde ni de passager à proximité. Soudain, il se lève et attrape son sac de voyage dont il extrait son dernier appareil photo avant de se rasseoir. Sandy le regarde étonnée car elle sait qu'il n'aime pas faire d'exhibition pouvant gêner les gens.

- Va faire un show et te branler dans les toilettes mais sans tricher !

- Tu ne le verras pas et si je triche tu n'en sauras rien ! Lui répond Sandy.

- Si, tu vas prendre mon appareil photo que je viens de régler sur caméra et tu filmeras tout. Je veux tout voir ! Je te conseille de ne pas tricher et tant qu'à faire, tu mettras ton nouveau rosebud de danseuse avant de revenir.

Si l'idée d'aller se caresser dans les toilettes d'un train n'a rien d'excitant, s'y filmer sur ordre du Maître emmène une touche particulière originale ne déplaisant pas à Sandy. Elle place l'appareil photo dans son sac et s'y rend comme indiqué. La porte fermée, elle pose son sac dont elle sort l'appareil photo réglé sur caméra, le met en route et regarde ce qu'elle voit sur l'écran en le braquant sur le miroir. Yes, ça marche, je vais te faire un show et t'allumer mon coco pense Sandy.

Elle commence donc par se faire voir ses seins qu'elle peut apercevoir dans l'écran et dans le miroir. Le problème est qu'à chaque mouvement du train, elle vacille ce qui n'est pas pratique. Qu'est-ce qu'il ne me fait pas faire ce cochon, rigole Sandy en posant l'appareil pour ouvrir son pantalon et le baisser. Elle reprend la caméra puis plaque sa main contre sa foufoune pour commencer à la caresser.

exhibition_1.jpg

Se filmer toute seule en se caressant sur ordre du Maître commence à l'émoustiller et quand elle est excitée, c'est du solide qu'il lui faut dans le minou. A défaut de gode, elle mouille ses doigts et se doigte de plus en plus fortement. Quelques minutes plus tard, ses lèvres intimes se lubrifient naturellement, se regarder ne la gêne pas mais essayer de bien cadrer pour que son Maître n'ait pas que le plafond à voir sur la vidéo est bien plus délicat. Avec beaucoup d'insistance elle parvient à une micro jouissance, quelques petites contractions tout au plus mais "mission accomplie" se dit-elle à haute voix pour elle même.

Elle prend dans son sac le magnifique plug rosebud danseuse qu'il lui a offert le week-end dernier, l'humidifie un peu avant de le présenter entre ses fesses. Se filmer en le mettant est une catastrophe, elle abandonne car c'est impossible à faire debout dans les toilettes d'un train qui bouge régulièrement. Le sextoy en bonne place, elle se rhabille sans tarder pour rejoindre son Maître dans le wagon. Il contrôle immédiatement en regardant la vidéo et lui promet une récompense à l'arrivée puis peut-être une petite punition car la vidéo bouge trop.

Finalement encore excitée, elle bouge ses fesses pour générer quelques sensations avec le rosebud lui transmettant en ce lieu si délicat les vibrations du wagon, hélas pas assez, elle sera obligée d'attendre l'arrivée à l'hôtel pour .....

Ecrivaillon

Voir la vidéo du show dans les toilettes

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Le plug rosebud danseuse est ici

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Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Samedi 25 avril 6 25 /04 /Avr 10:20

Mon gyécologue me domine de façon très professionnelle

 

Il y a dans la vie ce que l'on appelle des concours de circonstances incroyables.

 

Mon Maître me fait porter en permanence un rosebud, dont la taille varie en fonction de ses envies. Lorsque nous avons déménagé pour nous rapprocher du lieu de travail de mon mari, j'ai du changer de gynécologue, continuer avec le mien à cent soixante kilomètres n'aurait pas été réaliste. Lors du rendez-vous, je me suis présentée à son cabinet par une belle journée de printemps, avec comme projet d'aller ensuite visiter une galerie marchande, ma tête était donc très centrée sur mes éventuelles emplettes et non pas sur la visite médicale.

 

C'est lorsqu'il m'a invitée à me déshabiller que j'ai réalisé que j'avais oublié de retirer le rosebud. Il était là, debout près de moi et attendait que je prenne place sur la table de gynécologie, que faire ? L'idée de prétexter une envie pressante m'est venue, cela ne lui a pas posé de problème du tout, il m'a répondue : "c'est parfait, nous en profiterons pour faire une analyse d'urine, prenez place sur les toilettes, je vous accompagne". (Et merde) Prise au piège, je lui avoué avoir un petit souci intime.

 

- Je pense que c'est le but de votre rendez-vous, expliquez-moi !

 

- Je, enfin j'ai ......

 

Les mots ne sortez pas mais je devais être rouge comme une pivoine. 

 

- Ne soyez pas gênée, je crois comprendre que vous avez des piercings ou quelque chose comme, ça. Je ne suis pas là pour juger la vie de mes patientes mais pour les soigner. Arrêtez de faire la timide et déshabillez-vous, il y a d'autres patientes qui attendent !

 

Totalement piégée, je retire donc ma robe et mon soutien-gorge puis m'installe sur la table de gynécologie exposant à son regard le brillant du rosebud.

 

- Je vois que vous avez oublié votre petit bijou intime, c'est très joli. Par contre le fait d'avoir oublier de mettre une culotte vous expose au risque de le perdre dans la rue, attention où vous allez cela peut être très ennuyeux, à l'école par exemple.... 

 

Que répondre à cela ?

 

Même avec sa blouse blanche, sa lampe de spéléologue de minous intimes sa tête amusée ne me disait rien qui vaille, je le sentais songeur.

 

- Vous vous appelez Martine Dufour c'est bien cela ?

 

- Oui docteur.

 

- Votre marie s'appelle Jacques ?

 

- Oui mais comment le savez-vous ?

 

- Ne bougez pas, je dois passer un coup de téléphone.

 

Que le médecin me plante là avec les jambes écartées et le sexe à l'air pour aller passer un coup de téléphone ne me plaisait pas du tout. J'étais folle de rage et bien décidée à faire trois cent kilomètres pour trouver un gynéco plus sérieux et plus respectueux de ses patientes. Mon s a n g s'est glacé dans mes veines à la première minute de son appel téléphonique.

 

- Alors Jacques, c'est Paul, comment vas-tu ?

 

......

 

- Dis-moi j'ai une certaine Martine Dufour dans mon cabinet, une dame charmante avec des cheveux châtains clairs mi-longs. Est-ce que ce serait ta femme ?

 

.....

 

- C'est trop amusant comme coïncidences ! Ta soumise est très tête en l'air, elle est arrivée comblée au cabinet et à oublié de mettre une culotte.

 

La conversation m'a sciée ! Ils se connaissaient et semblaient partager les même attirances pour le BDSM. Dans un sens j'étais moins gênée mais cela ne me disait rien qui vaille. Soudain, le médecin me passe le téléphone en m'indiquant que mon Maître voulait me parler. Téléphoner cuisses écartées sexe à l'air dans ces conditions est extrêmement original !

 

- Chérie, ce médecin est un ami d'enfance et j'ai une totale confiance en lui. Tu vas donc accepter sans rechigner ce qu'il aura envie de te faire, si tu te rebelles, il a comme consigne de m'appeler après ta visite. Essayez de trouver une date pour l'inviter à dîner un soir ! M'indiqua mon mari avant de raccrocher.  

 

Très professionnel, il me retire le téléphone des mains, enfile des gants pour m'ausculter le minou en me logeant un spéculum jetable. Il fait un petit frottis puis retire le spéculum en me disant, qu'il faut qu'il contrôle mon cul de gourmande. Je suis blême mais ne peut rien dire, Maître me punirait si j'essayais de résister. Ses doigts agiles entreprennent de retirer le rosebud, comme il colle un peu je gémis lors de son retrait ce qui me vaut un petit recadrage.

 

- Ouvrez la bouche ! 

 

Par réflexe, j'ai fait ce qu'il me demandait avant de réaliser qu'il y avait un souci. Il n'a pas hésité une seconde ni ne m'a demandé mon avis pour loger mon rosebud dans la bouche. L'enfoi.... Heureusement qu'il est propre ! Après avoir lubrifié mon anus, il entreprend d'y mettre un spéculum plus gros en métal puis l'ouvre progressivement. Le coup d'oeil professionnel dure quelques instants avant qu'il se mette à forcer l'ouverture de mon anus à son maximum. Cela commence à me faire mal, mais il n'en a que faire, au contraire, il s'amuse à me branler le cul en essayant de l'ouvrir encore. Dans sa déserte médicale, je le vois attraper un pied à coulisse en affichant un sourire radieux !

 

- Avec une soumise gourmande dont le cul a une ouverture de cinq centimètres, Jacques doit bien s'amuser et ne va pas tarder à pouvoir la fister sans souci. 

 

Le gynéco sadique s'amuse comme un fou de ma déconvenue et de ses commentaires sur mon anatomie. Il referme le spéculum et le retire en me pinçant le clitoris assez durement. j'ai beau serrer les dents et les lèvres, un gémissement m'échappe.

 

- Le clitoris pincé permet de faire oublier le retrait du spéculum, c'était pour votre confort madame.

 

Tu parles Charles, pour mon confort, ce sadique profite de la situation. Je m'amuserai bien à faire glisser ma jambe des gouttières pour lui donner un coup de pieds par "accident" mais c'est trop dangereux pour mes fesses. Grrrrr !

 

- Bon, je ne peux pas vous laisser partir avec les fesses vides, vous êtes arrivée comblée vous devez repartir comblée. Le souci c'est qu'après la visite, ce petit cul ne pourra pas conserver le rosebud en bonne place, soit il va tomber, soit vous allez l'avaler. Réfléchissons un peu à ce que nous pourrions y loger. M'indique le gynéco avec un sourire pervers posé sur les lèvres. Ah oui, j'ai des échantillons de désinfectant, cela doit convenir à ce cul gourmand.

 

Plantée là pour la énième fois, je le vois aller farfouiller dans ses placards pour revenir avec une petite bombe de désinfectant qu'il désinfecte avant de me la loger dans l'anus sans le capuchon avec le gicleur qu'il laisse à l'extérieur.

 

- Tenez-le s'il vous plait, il ne faut pas qu'il tombe.

 

Que faire ? Rien à part obtempérer face à un médecin qui s'avère être un psychopathe BDSM à l'humour douteux.

 

- Tenez j'ai ça pour que vous ne perdiez pas mon petit cadeau ! M'indique le gynéco en me tendant un slip pour personne incontinentes. Avec lui au moins, vous ne le perdrez pas mais faites attention quand vous devrez vous asseoir. Bien, maintenant nous allons nous occuper de vos mamelles.

 

Après m'avoir fait passer cette culotte dernier cri dans la laideur, c'est avec le même sourire sadique posé sur les lèvres qu'il entreprend d'ausculter mes seins sérieusement. Cette palpation mammaire se termine comme je le présentais par le pincement de mes tétons qu'il fait rouler et étire comme s'il voulait me traire. Mes mains sont si serrées sur le fauteuil que mes ongles doivent le massacrer, tant pis pour lui.

 

- Bien, il n'y a rien à signaler dans vos réceptacles ni dans vos mamelles, nous pourrions un soir les faire doubler de volume pour s'amuser un peu, mais pour l'instant vous pouvez vous rhabiller.

 

Le choix des mots n'a rien de professionnel, il s'amuse de moi comme un Maître sur la retenue, je sens bien qu'il doit pouvoir faire bien pire dans ses actes. Faire doubler mes seins de volume, quelle idée, c'est un truc à ressembler à une vache ! Lorsque j'ai terminé de m'habiller je lui tends ma carte sécu qu'il insère dans son sabot avant de tapoter sur le clavier de son ordinateur. Avec ce que j'ai dans l'anus je n'ose pas m'asseoir et reste debout devant son bureau.

 

- L'invitation à dîner, je l'indique sur la carte sécu où je dois appeler Jacques ?  

 

- Demain soir vers 20 heures, est-ce que cela vous convient ?

 

- C'est parfait, je prendrai quelques outils médicaux, pour le reste je subodore que vous avez ce qu'il vous faut à la maison. Me répond le gynéco.

 

.......................

 

Si marcher avec un rosebud dans les fesses n'est pas un souci, avec une bombe de désinfectant, c'est bien différent. Cette saloperie ne demande qu'à partir, heureusement qu'il m'adonné cette couche culotte, sans quoi, je ne serai pas arrivée jusqu'à la porte du cabinet médical. L'envie de la retirer me titille mais je suis certaine qu'il va faire un compte rendu à mon Maître, que dois-je faire ? Reporter la visite de la galerie marchande c'est sûr ! 

 

Je monte avec précaution dans la voiture et pose mon fessier délicatement sur le siège. La bombe remonte doucement dans mon anatomie, la gêne est supportable. Au moment ou je finis de m'asseoir, le gicleur de la bombe se met à pulser le désinfectant entre mes fesses. L'enfoi.... Soit je la retire tout de suite, soit je roule comme ça. Oui mais se retirer un truc comme ça du cul en centre ville, c'est coquasse ! Je le hais ! Le siège, coucher un peu le siège ! Assise sur une fesse j'attends qu'il n'y ait personne proche de la voiture. Ma robe prestement relevée, j'écarte la couche pour extraire son machin à la noix avec un grand soulagement. Tant pis si je prends une fessée.

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Ecritures Sensuelles
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