Homme soumis

Mercredi 18 juin 3 18 /06 /Juin 18:30

BDSM et homicide sur demande (Réel et sérieux)


Bon appétit ! 



Source wikipedia

Armin Meiwes (né le 1er décembre 1961), est un informaticien allemand qui s'est fait connaître pour le meurtre, en 2001, de Bernd Jürgen Brandes. Perpétré sur une victime consentante, le meurtre avait été précédé et suivi de faits de cannibalisme. Surnommé Der Metzgermeister (le maître boucher) ou encore le Cannibale de Rotenburg, Meiwes a été condamné en 2004 à 8 ans et demi de prison, puis, au cours d'un second procès, tenu en 2006, à la réclusion criminelle à perpétuité.

En 2001, Armin Meiwes publie plusieurs annonces sur Internet, faisant part de son désir de trouver un homme voulant être mangé. Cette annonce est tout à fait sérieuse et le fait de manger la personne est à prendre au sens propre.

Plusieurs personnes lui répondent, dont Bernd Jürgen Armando Brandes, un ingénieur berlinois de quarante-deux ans. La rencontre entre les deux hommes a lieu au domicile d'Armin Meiwes en mars 2001. Après avoir eu des rapports sexuels, ils décident d'un commun accord de sectionner le pénis de Bernd Jürgen Armando Brandes. Ils le cuisinent et le mangent ensemble. Toute la scène, qui dure plus de 9 heures, est enregistrée.

Une fois le repas terminé, toujours avec l'accord de son hôte, Armin Meiwes le tue de plusieurs coups de couteau à la gorge. Dans sa cave, il l'étripe et découpe plusieurs morceaux de chair, dont il gardera certains au congélateur pour les manger plus tard. Sur ce point, il déclare : « Je l'ai pendu par les pieds, éviscéré. J'ai découpé quelque 30 kilos de viande, les meilleurs morceaux ont été conservés dans mon congélateur ».

Le 10 décembre 2002, alors qu'il recherche, par les mêmes moyens, une seconde victime consentante, il est arrêté par la police, après qu'un étudiant a alerté les autorités. La police trouve à son domicile plusieurs sacs de viande humaine, il passe alors aux aveux.

Armin Meiwes déclare regretter son geste, mais « garder tout de même un « souvenir intense et positif » de sa victime».

Plusieurs experts psychiatres le déclarent sain d'esprit et pouvant donc être jugé. Son avocat, Harald Ermel, plaide un homicide sur demande pour lui éviter la perpétuité. En janvier 2004, il est condamné à huit ans et demi de prison par le tribunal de Kassel.

En avril 2005, le Parquet jugeant la peine insuffisante, saisit d'un pourvoi en cassation la Cour fédérale allemande pour rejuger Armin Meiwes, cette fois-ci pour assassinat à caractère sexuel. Le procès s'ouvre le 12 janvier et la perpétuité est demandée par l'accusation. Le 9 mai 2006, le tribunal de grande instance de Francfort condamne Meiwes à la réclusion criminelle à perpétuité.

Fin 2007, Armin Meiwes se déclare désormais végétarien1.

Commentaire du webmaster (Réel et 100% sérieux)

A savoir : Une personne soumise a demandé à deux membres du réseau Fessestivites de lui couper les testicules et de les lui faire manger. Cette personne n’avait déjà plus de tétons, ils avaient été tranchés, les plaies avaient été cautérisées au fer rouge.

J’ai rencontré cette personne et constaté qu’elle n’avait effectivement plus de tétons.

Nous l’avons évidement dissuadé de faire cela mais peut-être trouvera t’il un jour (ou a t’il trouvé) quelqu’un d’assez fou pour le lui faire.

JUSQU’OU ALLEZ DANS LE BDSM ?


Pour réagir, rendez-vous sur le forum sadomaso ICI

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 30 mai 5 30 /05 /Mai 13:36

Le ballstretcher



Le ballstretcher est un accessoire typiquement masculin qui se porte entre les testicules et la verge. Il y a différents modèles du petit au très lourd.

QUELLES SONT LES SENSATIONS

En alourdissant les testicules, le ballstretcher donne des sensations agréables car il multiplie les sensations, comme si le sexe était « plus présent ». Plus il est épais, ou plus il est lourd, plus la sensation est forte. Il tire entre autre le sexe vers le bas et génère parfois des érections intense chez certaines personnes.

Les adeptes du CBT (Cock and ball torture) apprécient de les mettre de plus en plus lourd et de plus en plus gros. Ils en portent parfois plusieurs. La douleur n’est pas vive mais peut devenir lancinante en fonction des poids. Certains ballstretcher sont dotés d’anneaux pour y ajouter des poids de toutes sortes ou même des objets. Un seau vide à remplir d’eau par exemple….

Certains adeptes disent être addictes et ne plus pouvoir s’en passer.

Bien sûr pour bien ressentir la sensation de couilles pendantes il vaut mieux ne pas mettre de sous vêtement.

COMMENT LE METTRE

Tout d’abord, si vous n’en avez jamais porté, nous vous conseillons de commencer par une taille modeste surtout si vous désirez le porter dans la journée.

Pour le mettre, il faut étirer les testicules vers le bas, placer une des deux parties entre le sexe et les testicules puis rapprocher la deuxième partie en prenant soin de ne pas vous pincer. Ensuite il faut assembles les deux parties avec les vis et clés fournies.

EST-CE QUE MES TESTICULES PENDRONT PLUS APRES L’AVOIR PORTE ?

Il ne faut pas espérer un résultat durable dans le sens de voir les couilles pendrent d'avantage HORMIS un port prolongé pendant de longs mois. C’est un peu comme « travailler les tétons », les résultats ne sautent pas aux yeux en une soirée !

Pourquoi ?

Par ce le scrotum est constitué d'une peau très fine plissée et de petits muscles qui ont la faculté de se tendre ou détendre en fonction de la température. Donc en portant un ballstretcher, de par son poids cela fait descendre les couilles mais dès son retrait, les couilles reprendront leur position initiale.



QUELLE DIFFRENCE IL Y A ENTRE COCKING ET BALLSTRETCHER ?

Le cockring se porte derrière le sexe après que l’on ait fait passer les testicules et le sexe à l’intérieur. Le ballstretcher quant à lui n’est utilisé que pour les testicules.
Le fait de porter un cockring augmente sensiblement la durée de l’érection mais ne fait pas « bander » s’il n’y a pas un minimum d’excitation. (Sauf s’il est trop petit mais là, il y aura vite des douleurs et soucis)

Un gros cockring pousse les testicules vers l’avant comme si vous mettiez vos mains en cercle à la base du sexe masculin. Plus il est lourd plus il est gênant mais pour certains (et à certain moments) plus il est lourd mieux c’est ! ! !

Il est possible de porter les deux en simultané comme il est possible de porter une cage de chasteté + un ballstretcher de taille raisonnable.


Partagez vos expériences avec le ballstretcher ou le cockring sur le forum BDSM ici


Pour acheter un Ballstretcher cliquez ici et consulter les modèles proposés




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PHOTOS ET VIDEOS (Information du webmaster)

Si des membres désirent poster une vidéo de leur ballstretcher ou de leur cockring qu’ils n’hésitent pas.

Pour les photos, essayez d’en poster une petite série avec plusieurs angles pour que ceux qui ne connaissent pas puissent découvrir ces accessoires.

Rappel pas de copyright ni de nom de site ou blog sur les photos et vidéos sans un accord de Fessestivites.

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : plaisirs SM
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Lundi 26 mai 1 26 /05 /Mai 08:51

Plug monstre permanent usage ABDL

 

Ce plug de bonne taille frise les 900 grammes. Outre l'effet d'un gros plug, si l'on retire le tube central, il est possible de faire ses besoins en conservant le plug.

Pour les ABDL, ce plug offre la possibilité de vivre comme une personne totalement incontinente.

Il est en vente sur ABCplaisir.com

Bon amusement si vous vous l'offrez...

 

 

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 14 mai 3 14 /05 /Mai 17:16

Le pony-boy chasteté fouet pony BDSM

 

Tous ces mots dans le titre représent ce que vous allez voir sur cette vidéo Pony-boy réalisée par des membres du réseau Fessestivites pour ABCplaisir

 


 

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Samedi 3 mai 6 03 /05 /Mai 17:30
Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Chasteté
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Jeudi 24 avril 4 24 /04 /Avr 09:54

Ma femme a une maîtresse (BDSM couple)




Cela fait des années que nous pratiquons le BDSM, lors des soirées je suis le soumis de ma femme qui prend plaisir à me « martyriser » pour son et mon plaisir. En dehors des soirées BDSM, nous vivons normalement comme tous les couples conventionnels appelés « vanille ».

Sur le site www.fessestivite.com ma femme a rencontré une soumise qui cherchait un Maître ou une Maîtresse digne de ce nom. Cette pauvre fille aussi jolie que sympa vivait avec un rustre se prétendant Maître et qui du BDSM ne connaissait pas les notions de respect. Leur relation allait mal, Michelle trouva en mon épouse une oreille attentive à ses problèmes de couple. Elles mirent rapidement à communiquer par téléphone pendant des heures.

Elle est venue seule à la maison pour nous rencontrer, la soirée a un peu dérapé autour des jeux SM mais plus verbalement que physiquement car Michèle était relativement perturbée. La seule personne qui a pris des coups ce soir là ce fut moi ! Une réelle amitié est née entre nous et lors de l’explosion de son couple, comme nous disposons d’une chambre indépendante, nous l’avons hébergée pour la préserver du « maimaitre » devenu violent et débile le temps qu’elle trouve un appartement.

Un soir, alors que je commençais à être en manque de jeux et plaisirs SM, je me suis amusé à la provoquer devant son amie sans gêne ni pudeur puisque nous étions entre joueurs et adeptes des jeux de domination / soumission. Mon épouse me promit une fessée, promesse à laquelle je répondis « promesse, promesse » et d’autres provocations imagées ayant pour objectifs de déclencher une petite soirée SM.

C’est en tant que complice de notre couple que Michèle intervint en soulignant mes provocations. Et moi, tout heureux de rire et parler de nos délires, j’en ai rajouté en baissant mon short pour faire voir mes fesses en partant aux toilettes pour éliminer les apéros consommés avant le dîner. Les filles conspirèrent en mon absence car dès mon retour à la cuisine, mon épouse m’intima l’ordre de baisser mon short et de venir m’allonger sur ses genoux pour recevoir la fessée méritée. Un peu gêné, je me suis exécuté devant Michèle amusée. Les premières claques furent assez fortes et douloureuses, mes demandes de commencer doucement furent à peine entendues. Mon fessier commençait méchamment à s’échauffer lorsque l’idée de partager ma fessée vint à l’esprit de ma femme. Elle me fit me relever puis plaça deux chaises face à face comme il m’arrive de le faire pour martyriser des soumis ou des soumises lors des soirées BDSM. C’est en m’étendant sur leurs genoux que je pris conscience que cela ne m’était encore jamais arrivé que deux femmes me donnent une fessée ensembles. Comme à mon habitude, je ne pus contenir mes pensées, ce qui me valut la promesse de sévères représailles.

C’est donc sous quatre mains féminines que je me suis tortillé de douleur au fur et à mesure que les claques sonantes s’abattaient sur mon postérieur rougissant pour d’autres raisons que le pudeur….. Les filles s’éclataient, moi aussi je l’avoue malgré la cuisante fessée qu’elles m’administraient. Michèle pour qui fesser quelqu’un était une première trouva grisant de passer de soumise à dominante. Les coups cessèrent et quand je voulus me relever, Sophie m’imposa de la main de rester sur leurs genoux. Et là, surprise, pendant que j’attendais la suite, au-dessus de mes fesses enflammées les filles se bécotaient tendrement ! Certes elles avaient déjà un peu joué ensembles mais la durée du baiser de la main de rester sur leurs genoux. Et là, surprise, pendant que j’attendais la suite, au-dessus de mes fesses enflammées les filles se bécotaient tendrement ! Csaphique me surprit.

Sonné d’aller chercher ma cage de chasteté, je les laissais entre filles en me demandant si ce prélude aux jeux SM aurait une suite. Pour anticiper les soucis d’érection rendant impossible la pose de la cage de chasteté, je l’ai enfilée avant même de revenir à la cuisine en laissant le plaisir de clore le cadenas à mon épouse. A mon arrivé à la cuisine, elles étaient debout enlacées en train de câliner. J’appréciais un instant du regard ces tendres épanchements avant de venir me lover contre ma femme qui me rabroua pour les avoir dérangées. Elle ferma le cadenas de ma cage de chasteté et mit la clé dans sa poche, m’ordonna de débarrasser la cuisine avant d’emmener Michèle au salon. Autant dire que dans ma cage, la crise du logement se faisait sentir et qu’il n’y avait pas que mes fesses de chaudes….

La cuisine débarrassée, je les ai trouvées au salon poitrines à l’air dans des câlins saphiques des plus gloutons. Ma présence sembla gêner leurs envies, ma femme proposa que l’on s’occupe de moi, idée qui me fit fondre de joies. Mon teeshirt retiré, je fus conduit à notre lit où je m’étendis avec le sourire banane d’un homme qui va se faire croquer par deux femmes.




Sauf que ma belle ouvrit le tiroir où je range mes accessoires ABDL d’où elle sortie une couche, une culotte en plastique et la camisole de force. Sous les yeux amusés de Michèle, elle me langea puis m’ordonna de me lever. J’étais blême de honte d’apparaître ainsi vêtu devant son amie qui l’aida avec joie à m’enfiler puis à boucler la camisole de force. Sophie sortit mon collier de soumis et une chaînette de la caisse à jouets et qu’elle attacha au pied du canapé. Elle m’y coucha puis referma le collier autour de mon cou et me souhaita bonne nuit avant d’entrainer son amie dans notre chambre. J’aime les entraves, les bondages, les plaisirs ABDL, les jeux de contraintes mais là, j’aurai bien aimé participer à leurs ébats ou au moins les regarder. Il n’en fut rien, hormis les soupirs, râles, bruits de vibromasseurs et cris de jouissance, je n’ai rien pu apprécier. Sur mon canapé, j’étais fou…

Ma femme vint me souhaiter bonne nuit puis me parler en quelques mots du plaisir qu’elle avait eu à faire l’amour en me sachant entravé avant de me m’embrasser et de me planter là. La lumière de la chambre s’éteignit en me laissant en pleine crise d’excitation sous cage de chasteté avec mon Popaul gorgé de désir et surtout compressé dans son tube d’acier. Ma nuit fut peuplée de rêves érotiques aussi fous les uns que les autres malgré l’inconfort du canapé.

Au petit matin, mon épouse est venue me libérer de la camisole en me demandant de leur apporter un café, chose que je fis avec l’esprit embrouillé de songes érotiques avec mon Popaul tendu à rompre la cage qui étirait mes testicules à m’en faire mal. Par pudeur, j’avais mis mon peignoir mais elles voulurent voir le « gros bébé » dans ses langes ce qui me troubla énormément car entre délirer seul, délirer avec sa femme et délirer devant une tierce personne, il y a tout un monde. Je m’en ouvris à elle ce qui me valut la réponse suivante qui me surprit et coupa net toutes mes réfutations :

« C’est toi qui me donne toutes ces idées, c’est toi qui achète tout ce matériel, c’est toi qui me parle de stage et de domination sur la durée, c’est encore toi qui écrit des textes et modes d’emploi pour bien dominer son mari. Tu as eu l’outrecuidance de dire à nos amis que je suis trop soft avec toi ce qui m’a gênée pour deux raisons. La première parce que tu parles de notre intimité sans m’en parler au préalable, la deuxième parce que j’apparais comme une maîtresse gnangnan qui ne sait pas dominer. Quand je t’ai dit que je cherchais une Maîtresse pour m’aider à te dominer, cela avait l’air de te plaire n’est pas…. alors j’ai trouvé. Le temps qu’elle trouve un appartement, Michèle va m’aider à te recadrer. Elle a toute ma confiance et je sais pertinemment qu’elle ne cherchera pas à briser notre couple. Tu voulais une domination dans la durée, tu vas l’avoir mais tu as intérêt à être un bon soumis si tu ne veux pas trop souffrir».

Que répondre à cela ?
Rien !
J’étais sans voix, au pied du mur face à mes délires et fantasmes.

Mon épouse me semblait très sérieuse, j’aurai pu me révolter et mettre un terme à ce jeu mais l’appel des émotions et plaisirs BDSM furent plus forts que la raison. Mes yeux se sont baissés presque malgré moi, scellant mon sort pour une histoire qui allait dépasser tout ce que j’aurai pu imaginer parce que ce qu’une femme qui veut obtenir quelque chose de son mari elle l’obtient, deux c’est pire. Michèle prenant son rôle très à cœur m’ordonna de me mettre à genoux, en acceptant j’ai reconnu son autorité. Ce matin restera à jamais gravé dans ma mémoire car il a scellé mon destin. Elles étaient elles aussi imprégnées de cette atmosphère grave, presque lourde, personne ne souriait tant la pression était palpable.

Michèle m’ordonna d’aller refaire du café, mon épouse d’ouvrir ensuite le portail pour qu’elle n’ait pas à le faire pour partir travailler. Ma requête de me changer s’opposa à un refus catégorique. Comme ivre et dans un état second, j’ai enfilé mon peignoir pour réaliser ce qui m’était demandé. Quand je suis revenu après avoir ouvert le portail, elles prenaient la douche ensembles la porte était fermée. Ne sachant que faire, j’ai allumé mon ordinateur et j’ai pris un café en fumant une cigarette.


Elles sont sorties nues de la salle de bain sans aucun gêne, j’ai du fermer le soutien-gorge de Michèle et l’aider à enfiler son pull. Elles sont parties travailler en me laissant une liste de choses à faire, comme ranger la maison, faire le lit et le repas du midi. Je fais du télétravail mais ce matin-là, mon travail prit du retard car j’étais à la fois, perturbé, excité et troublé. En faisant un brin de ménage, mille questions me traversaient l’esprit, j’étais à la fois heureux de vivre un de mes fantasmes et à la fois inquiet.

Lorsqu’elles sont arrivées presque en même temps vers 12h30 la table était mise, le repas était prêt. Le déjeuner fut assez rapide, elles parlèrent de choses et d’autres comme si de rien n’était. Sophie m’annonça qu’elles arriveraient plus tard ce soir là et que je ne devais pas m’inquiéter sans pour autant m’en dire plus. L’après-midi est passée lentement malgré la surcharge de travail que j’avais. Vers 18 h je me suis mis en cuisine, vers 19h j’ai pris un apéro comme pour tuer le temps en surfant sur le net sans grande conviction.

LA SURPRISE

Les deux voitures sont entrées dans le jardin vers 19h45, elles ont fermé le portail puis elles ont débarqué les bras chargés de sac de fringues en m’ordonnant de servir l’apéro au salon. Connaissant leurs goûts, j’ai aussitôt ouvert une bouteille de blanc que j’ai apporté comme ça au salon avec des verres dans les mains. Michèle me renvoya aussitôt à la cuisine sans me laisser les poser sur la table en m’indiquant qu’un service se fait sur un plateau. Je revins donc avec un plateau pour faire le service sous leurs yeux rieurs. Mon épouse m’indiqua alors avec un sourire radieux qu’elles avaient une surprise pour moi.


Leurs mimiques indiquaient clairement que la surprise risquait d’être difficile et je ne me trompais pas. Sonné de me mettre nu devant elles, je retirais mes vêtements en me demandant ce qui m’attendait. C’est mon épouse qui ouvrit le bal des surprises en ouvrant un sac dont elle sortit une culotte rose en dentelle que je dus enfiler aussitôt devant elle. Michèle se leva avec un soutien-gorge assorti qu’elle me passa en me disant que je serai « belle » avec ça. J’aurai préféré être nu, c’est moins gênant. Sphie sortit ensuite des bas auto-fixant noirs que je dus passer devant elle en écoutant leurs conseils pour les mettre sans les abimer puis ce fut une robe rose en tissu type chiffon qu’elles sortirent d’un des sacs. J’étais blême car si les sous-vêtements féminins m’ont toujours attirés, les porter ainsi devant elles comme un spectacle me gênait. Le clou du spectacle qui m’humiliait fut de mettre une perruque brune cheveux mi-long. Elles s’éclataient comme des folles, leurs commentaires sur ma beauté fusaient. J’ai demandé l’autorisation de me servir un verre, elles me l’ont accordé, c’est une 102 (double pastis) que je me suis servi pour puiser dans l’alcool le courage nécessaire pour ne pas les envoyer « chier ».

Me sentant sûrement proche de mes limites et de l’incident, elles m’invitèrent à m’asseoir entre-elles pour trinquer. Leurs mains se firent coquines sur mon corps, l’une caressait mes cuisses, l’autre mes seins à travers le soutien-gorge, leurs attouchements et baisers me firent fondre et oublier le ridicule de ma situation. « Ce soir, c’est soirée filles » m’indiqua mon épouse en ajoutant que je luis plaisais beaucoup comme ça. Entre leurs mains, je devais fou et un jouet sexuel avec lequel elles s’amusaient comme des folles.

Faire le service du dîner en fille ne m’a pas gêné, c’était rigolo, un peu moins quand elles parlèrent de me trouver des chaussures à talon et de me faire sortir en fille ! Après le diner, la soirée s’orienta immédiatement vers les jeux et câlins. Mon épouse m’envoya chercher notre chaise percée, ce que je fis volontiers car j’aime déguster les minettes et les sentir vibrer sous ma langue. La chaise donne l’impression de contrainte, pour moi ce n’en était pas une sauf que les choses ont un peu dérapé quand Michèle voulu me faire boire son champagne doré pendant que mon épouse jouait avec ses tétons pendant que je savourai sa minette. Certes je l’ai déjà fait, mais partiellement et en étant très chaud mais là, elles surent être très convaincantes.


C’est avec de sévères pinces à sein accrochées à mes tétons et tirées fortement par Michèle en délire puis avec le pied de mon épouse sur mon sexe que j’ai bu une bonne partie de son champagne dorée. Puis ce fut au tour de ma femme de se soulager avant de s’offrir une jouissance titanesque sous mes lèvres et son vibro favori pendant que Michèle lui pinçait les tétons. Mon épouse étant femme fontaine, je fus inondé une troisième fois mais cette fois, je bus avec conviction le fruit de sa généreuse jouissance.

Après ces moments d’extases et de délires, nous étions épuisés. Elles me mirent une couche et la camisole en deux temps trois mouvements avant de m’enchaîner par le cou aux pieds du lit sur et sous une couverture. Ce qui me surpris et aussi surprenant que cela puisse paraître j’étais heureux de dormir avec elles, même si c’était par terre. Un sentiment d’appartenance et un bien être m’a permis de sombrer rapidement dans les bras de Morphée.

Par chance, ou comble de malchance, Michèle trouva le lendemain un travail à Paris très bien rémunéré et partie deux jours plus tard. Je garde un sublime souvenir de cette aventure. Elles ont prévu de passer cet été 15 jours de vacances ensembles, je crains le pire et le meilleur.

Ecrivaillon



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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Soumission et appartenance
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Dimanche 20 avril 7 20 /04 /Avr 09:47

Un stage d’enfer BDSM ou l’enfer d’un stage désiré ?




Cela fait longtemps que je rêvais d’un véritable stage de soumission avec des trucs plus hard que ce que nous pratiquions déjà et avec du viol. Au fil du temps de nos jeux, de nos soirées BDSM, je m’étais ouvert à ma princesse d’Amour et Maîtresse sur mes envies et fantasmes.

Un jour, trouvant qu’elle était véritablement trop douce avec moi, lors d’une discussion « hors jeu » donc libre d’expression, je me suis laissé aller avec des mots choisis à quelques reproches sur son manque d’investissement en titillant volontairement sa fierté. Lors de cette discussion, je lui ai savamment expliqué une foule de choses et comment rentrer dans une domination digne de ce nom. Ce jour là, j’ai compris que mes propos et exemples avaient fait « mouche » mais j’étais loin d’imaginer à quel point !

Mon stage sur quatre jour a commencé gentiment avec la pose de ma cage de chasteté ce qui n’était point pour me déplaire puisque j’aime les sensations quelle génère avec la frustration mais aussi les moments d’excitation démesuré. Le lendemain, le ton est monté dès le matin. Après s’être renseignée sur mon emploi du temps, elle m’a fait mettre une couche pour personne incontinente et une culotte en plastique sous mon pantalon qu’elle a fermé avec une chainette et un cadenas en guise de ceinture. Par chance, me levant plus tôt qu’elle, j’avais eu le temps de faire ma grosse commission car l’idée d’être contraint à déféquer sur moi et de rester ainsi quelques heures me faisait une peur bleue. Elle m’a donc laissé ainsi toute la mâtiné. L’avantage du télétravail est que l’on peut gérer son temps comme on l’entend ou presque. Ce matin là, j’avoue avoir peu travaillé, mes idées gambadaient sur des scénarios plus ou moins débiles. La cage de chasteté et les cafés consommés agirent sur ma vessie, la couche s’alourdissait au fil des heures au point que je commençais à m’inquiéter sur son étanchéité.

A l’arrivée de Madame vers midi, le repas était prêt, la table mise, je l’attendais comme indiqué à quatre pattes derrière la porte en m’enfonçant dans les fantasmes et mes envies de soumission. Elle apprécia que ses directives soient respectées et m’accorda après le repas une demi-heure de loisir et le droit de retirer la couche. Pendant que je surfais allègrement dans mon bureau, je sentais que dans mon dos se tramait quelque chose. Lorsqu’elle m’appela, tout content je me précipitais dans les griffes de la louve qui comble mon cœur. Sur la table de la cuisine, une serviette était étalée, la cire chauffait, me laissant sous-entendre que dans l’immédiat j’allais souffrir sans pour autant avoir du plaisir. Elle m’ordonna d’aller fermer le portail clé puis de ramener la chaise percée dont l’usage peut être double, facesitting ou uro. Une fois l’accessoire demandé posé dans le salon, elle me fit mettre nu, me passa un bâillon puis la cagoule Hannibal, cagoule utilisée par la justice à l’époque et empêchant le célèbre fou de mordre les policiers. Ces deux accessoires cumulés, allaient freiner grandement mon élocution. Elle me força ensuite à me pencher en avant, lubrifia mon anus qu’elle combla d’un gros plug vibrant et gonflable. Pour le maintenir en place elle fit un petit shibari tranquillement en cherchant l’esthétique. Mes neurones commençaient à s’échauffer….

Une fois ces petits préparatifs terminés, elle m’expliqua avec des yeux brillants et un visage amusé qu’elle avait repensé à notre conversation et surtout à mes reproches sur sa trop grande douceur et gentillesse à mon égard en m’indiquant qu’elle avait profité de ses RTT et posé son vendredi, ce qui lui permettrait de s’amuser et de me préparer à la venue d’un couple d’amis très joueur rencontrés sur www.fessestivites.com
Elle est Maîtresse et lui soumis, nous nous connaissions pour avoir joué un week-end avec eux. Leur présence n’était pas pour me déplaire malgré quelques petites inquiétudes car elle annonçait des rebondissements cuisants et d’autres très excitant.

Après m’avoir ordonné de monter sur la table et avoir entravé mes mains par-dessous avec une chainette et des bracelets, elle entreprit d’épiler mes jambes en m’expliquant que si j’avais su ce qu’elle me mijotait avant mes reproches, le fou que je suis même maso n’aurait jamais provoqué. L’épilation de fut pas un plaisir ! ! ! ! Sa nouvelle cire était minable, mon anus travailla plus que de raison en terme de contraction autour du plug vibrant en son centre lorsqu’elle s’acharnait à retirer les plaques de cire. Une heure et demi plus tard et les deux côtés de mes gambettes débarrassés de toute trace de pilosité puis recouverte de crème apaisante, pendant que je rangeais tout ses accessoires d’épilation et passais l’aspirateur, elle s’accorda un café sans m’en proposer. GRRRR, parce que j’aurai bien fait une pause.

L’étape suivante s’orienta vers quelques essayages de tenues féminines, puis des chaussures à talon hauts achetées pour moi. Naviguer féminisé devant ma Maîtresse ne me gêna pas trop mais apprendre que je serai féminisé pendant tout le week-end en présence de nos amis, changea quelques peu la couleur de mes fantasmes.

La séquence d’essayage prit fin et mon anus fut libéré. OUFFFF ! Elle me fit une petite toilette intime ce qui me gêna car me faire laver les fesses par sa Maîtresse me dérange surtout quand en prime, elle s’amuse à me traiter de « merdeux » puis à me dire que la couche va finir par devenir une obligation pour moi si elle s’amuse trop à jouer avec mon « petit cul ». Chose annoncée, chose faite, elle me passa une couche et la culotte en plastique anti fuite puis m’ordonna d’étendre le sac de bondage dans le salon puis de m’y installer. Lorsqu’elle entreprit de le fermer, je bandais comme un fou car les sévères séquences de bondage m’excitent au plus haut point surtout si en prime elles sont associées à un face setting. Dans ma cage de chasteté, Popaul compressé et les orphelines étirées se révoltaient. Lorsqu’elle posa sous ma tête une grosse serviette de toilette, cette sourde excitation tomba d’un cran car elle annonçait une éventuelle gestion d’inondation.

Ma Maîtresse d’Amour retira enfin la cagoule Hannibal et le bâillon, mes mâchoires apprécièrent grandement. Profitant d’un instant de leur liberté, elles furent mises à contribution pas mes neurones inquiètes pour exprimer que si uro il devait y avoir, il faudrait peut-être que je sois un peu plus « chaud » mentalement. En guise de réponse, je n’eu qu’un sourire, mais quel sourire ! Lorsqu’elle sourie, mon épouse est si radieuse et jolie que je fonds sur place et l’arrivée au dessus de mon visage de la chaise face setting me fit fondre plus encore. Le plus beau des paysages se présenta à mon regard avec l’arrivée de son intimité vue de dessous lorsqu’elle entreprit de s’asseoir confortablement sur mon visage. Elle n’eut nullement à m’ordonner de la déguster, c’est un véritable plaisir pour moi. Comme instrument de motivation, elle installa des pinces à seins reliées par une chaînette sur mes tétons en m’expliquant que sa traction signifierait une « accélération linguale ».

Je dus m’y prendre honorablement car elle ne tarda point à s’enflammer tout comme mes tétons. Un doigt fureteur puis un accessoire vibrant me volèrent la place, mon visage migra d’un cran vers l’arrière pour lécher profondément les profondeurs intimes. L’ordre de tout boire fusa entre deux gémissements et contraction, mon épouse étant femme fontaine se libéra dans un orgasme d’une grande intensité qui me combla de bonheur mais également la bouche grande ouverte pour absorber toutes les généreuses émissions lui parvenant. Après l’orage, sommé de bien lécher je dus m’appliquer à laisser place nette. L’endroit devait lui plaire, puisqu’elle attrapa la télécommande de la télé pour regarder son émission préférée sans me libérer ni retirer les pinces de mes tétons.



Comme un bien heureux, bien qu’en manque de tabac, je dégustais à loisir l’entrejambes de ma vénérée Maîtresse d’Amour lorsqu’elle m’annonça l’heure de l’apéro. Comme un idiot, sur le coup, j’ai vu ma libération, un pastis bien frais et une bonne cigarette. Hummmm. Il n’en fut rien, la traction sur mes tétons augmenta soudain, de la cravache elle commença à tapoter de plus en plus fortement le dessus de ma couche ce qui ne tarda pas à réveiller Popaul. L’ordre de ne rien perdre me permit de comprendre que l’apéro ne serait pas du pastaga. Noyé dans mes douleurs érotiques de la verge compressée puis de mes tétons pincés, l’incapacité de fuir du sac de bondage et les évènements précédents, j’ai ouvert la bouche et bu le champagne dorée libéré par petites doses. Même si je ne suis pas très uro, comme dans ma tête c’était Beyrouth, les plaisirs divins de la soumission, du masochisme et des entraves me permirent de prendre plaisir à cet apéro original.

SAUF QUE !



Dans sa grande mansuétude, elle me libéra et me permit d’aller à la salle de bain pour me rincer le visage. Moi, je disais que nous allions faire une pause et prendre l’apéro, le vrai apéro. Ben non ! ! ! ! Au sortir de la salle de bain, la camisole de force me tendait presque les bras. Mes réfutations furent aussi nombreuses que mes demandes de pause, mais mon épouse insista et se fit menaçante. Je cédais et la laissait me passer la camisole de force. C’est lorsqu’elle fut sûre que je ne pourrais plus lui échapper, qu’elle m’annonça ses intensions d’être pour moi une Maîtresse plus sévère et cela pour me plaire……. Elle ajouta également que ce serait aussi pour ma santé. A cet instant, j’ai commencé à la détester !

Assis près d’elle dans le canapé, je regardais donc la fin de son émission en rallant un peu par principe puis en réclamant une cigarette et un pastaga. Ni une ni deux, elle me posa le bâillon et la cagoule Hannibal par-dessus puis m’attira sur le second canapé pour une volée de coup de martinet sur les cuisses. OUF, OUF, OUF.

L’émission prit fin, elle me planta là pour se rendre à la cuisine. Les bruits de vaisselle et la « douce » mélodie du micro onde m’indiquèrent que d’apéro et de cigarette je n’aurai point. Sommé de la rejoindre, c’est en maronnant que je pris place à table où elle me libéra de la cagoule et du bâillon. Les carottes râpées de mon assiette prirent la traditionnelle destination via la mimine de ma Maîtresse armée d’une cuillère. C’est ainsi que le premier plat fut consommé. Pour le deuxième ,toujours avec autant de mansuétude, elle me libéra de la camisole de force en m’indiquant que je devais être sage si je ne voulais pas y rester deux jours entiers et subir sa cravache.

Je ne sais si c’est l’absence de tabac ou la privation de mes éternels pastagas, mais j’avais une faim d’enfer. Nous discutâmes un peu des évènements de l’après-midi, c’est une sorte de débriefing que nous faisons après les jeux. Après le repas et le café, j’eu enfin le droit de fumer une cigarette. Quel bonheur pour un drogué de la « clop » mais elle fut plus absorbée que fumée. J’aidais à débarrasser quand elle s’absenta un instant. Mon regard se posa aussitôt sur son paquet de cigarette mais la belle sauvage ayant préparé son matériel revint avec les moufles de bondage. GRRRR. Mes pauvres mimines se trouvèrent rapidement prisonnières.

Dans le canapé devant la télé, ma Maîtresse d’Amour pris grand plaisir à s’installer confortablement et posa ses jambes sur les miennes. Ses adorables petons titillant comme par inadvertance le devant de ma couche, le film perdit rapidement de l’intérêt, mes pesées se focalisant sur autre chose que l’écran de la télé. Les divertissements de mon épouse prirent plus d’intérêt que la série policières, elle éteignit la télévision puis se lava pour me conduire à la chambre où elle me libéra de la couche propre pour m’entraver solidement sur le lit avec un cousin sur le ventre. Mes fesses allaient donc devenir son nouveau centre d’intérêt. Ma Maîtresse reprit mes propos sur les plaisirs que j’avais éprouvés avec la canne anglaise récemment achetée et maniée « d’après moi » trop modérément. Les premiers coups de cane anglaise furent des caresses comme pour préparer le sujet à quelque chose de plus rude.

Les vingt suivants le furent nettement moins. Sous les cinq premiers, les dents plantées dans l’oreiller étouffèrent à peine mes cris. En adorable Maîtresse néanmoins experte, elle massa l’épiderme fessiers malmené. La conjugaison des picotements avec la douceur de sa main, enflammèrent rapidement les neurones de mon « département » maso. Les cinq coups suivants mon popotin prit feu. Ce fut dur, mais bon ensuite dès la série terminée. Et là, comme un imbécile inconscient, lorsqu’elle me demanda si j’allais bien pendant ses petites caresses, je répondis, j’adore. Quel CON ! Les dix suivants me furent donnés non stop et sans caresse. Là, ce fut TRES dur mais comme je m’enfonçais dans mon masochisme profond en appréciant les milliers de fourmis s’agitant dans mes fesses, quand elle m’a demandé combien je lui en offrais, je répondis vingt. Elle me traita de fou et rangea la cane en me jetant un vêtement sur la tête me privant ainsi de voir la suite de ses préparatifs.

« Tu fantasmais sur du vrai viol, un véritable enlèvement, j’espère que tu apprécies la première partie parce que la suite sera aussi douloureuse ».

Cette phrase aurait du me glacer le sang, mais comme je suis maso et que j’ai une totale confiance en ma Maîtresse, la petite inquiétude qui me traversa l’esprit se transforma en une sourde excitation. Les petits bruits que j’entendais ne me permirent pas de prévoir la suite, ce n’est que lorsqu’elle lubrifia mon anus que je compris où se portais son centre d’intérêt immédiat. Si ces intentions étaient les même que la dernière fois, j’allais déguster.

Ces intentions étaient les même que la fois précédente mais en pire. Armée d’un gros plug long et très pointu fixé sur la ceinture de son gode ceinture modifié pour la circonstance, elle me prit assez rapidement et sans plus de précaution que celle de ne pas me blesser en murmurant à mon oreille qu’un viol ça fait mal. Comme la fois précédente, elle me défonça à grand coup de reins en m’arrachant des cris de douleurs qui peut à peut se transformèrent en gémissements plaintifs puis en râle de plaisir. J’aurai sûrement du continuer de crier car dès que cela commençait à être bon, elle s’arrêta en m’indiquant être précoce. GRRRRR Je l’aurai mordu si j’avais pu.

La différence entre la fois précédente et ce soir là est énorme ! La fois d’avant, elle s’était retirée et nous étions passés à d’autres hostilités néanmoins plaisantes. Là, elle décrocha le plug de la ceinture, le laissa logé en moi en m’ordonnant de serrer les fesses pour qu’il ne sorte pas. Après m’avoir libéré de mes entraves, elle me remit la couche encore propre puis la culotte en plastique. Sommé de me lever doucement car un peu dans les « nuages », je migrais doucement sur le lit pour ne point martyriser mon fondement. La vue de la camisole me permit d’imaginer que la nuit risquait fort d’être difficile. Sans aucune résistance, je l’ai laissée me la mettre et fermer les boucles qui allaient m’emprisonner pour la nuit. Elle poussa tous les accessoires, tira la couette et m’ordonna de me coucher, ce que je fis avec d’immenses précautions. La voir se dévêtir avec un sourire « banane » me chauffa le cœur même si je sentais venir quelques coquineries.

Etendue près de moi, elle s’offrir quelques petits moments de plaisir avec son jouet vibrant tout en savourant le fait qu’elle me frustrait de ne pouvoir y participer. Juste avant l’heureuse conclusion, elle se leva pour venir chevaucher mon visage puis s’offrir une paroxysmique deuxième jouissance tout aussi fontaine que la première. Ma frustration était à son comble, mon Popaul souffrait de la crise du logement, mes précieuses me faisaient mal tant elles étaient monstrueusement étirées par le Popaul tirant sur la cage de chasteté. Et là, mesdames et messieurs les jurés, pardon chers lecteurs, elle tourna puis se lova sur moi pour me manger de bisous en me serrant très fortement. Si en d’autres temps, cet excès d’amour est ultra plaisant, agréable et fait chaud au cœur, là, ses gestations me furent quelques peu « douloureuses » devant et derrière. « Hummm, je t’aime toi, tu me fais trop délirer, je m’éclate de plus en plus en Maîtresse ». Cette phrase venue du fond du cœur me combla au possible mais n’apaisa en rien la sourde, abyssale et diabolique excitation devenue une crise de boulimie sexuelle.

La nuit fut difficile et peuplée de songes fous, d’abandon masochiste total mais aussi de douleurs aux testicules et de tentatives désespérées de rejet du plug par mon anus. Au petit matin, alourdie par l’urine la couche détendue permit l’expulsion du missile anal en m’arrachant un gémissement de douleur tant il collait. Les excréments ne m’attirent en rien, dans ma couche j’imaginais la chose « sale » quand mon intérieur s’agita. La peur de déféquer sur moi me poussa au mensonge. Je réveillais ma belle et non moins tyrannique Maîtresse d’amour en prétextant de violentes douleurs dans les épaules. Tirée du sommeil, elle ne chercha point à comprendre et me libéra de la camisole sans me donner d’instructions. Je pus donc me libérer de tout et me laver. L’eau apaisa mon excitation matinale comprimée dans la cage de chasteté ce qui ne pouvait nuire après tant de compression.

Et là, par masochisme ou débilité, je ne pus contenir mon envie d’écrire mes aventures puis une lettre d’Amour à mon épouse et Maîtresse d’Amour tout en lui parlant de mon plaisir démesuré de m’offrir ainsi à elle corps et âme.

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Vendredi 18 avril 5 18 /04 /Avr 09:12

Destruction du cul d’un soumis par une Maîtresse


Soumis Louis avait enfin une réponse positive d’une Maîtresse ! Elle n’était pas opposée à l’idée de le recevoir et de le dominer voir de le prendre comme soumis régulier si affinités et après un contrôle de son obéissance en webcam sur le chat de Fessestivites.

Le premier rendez-vous virtuel fut pris pour le vendredi à 21 heures sur le chat, comme l’on peut s’en douter, il y était bien avant l’heure pour ne pas perdre cette chance inouïe de vivre son BDSM. Maîtresse Jade fut très soft ce soir là, elle ne lui imposa que deux choses, se mettre nu en webcam et rester en webcam une heure avec son slip dans la bouche. Louis fut presque déçu qu’elle ne lui fasse que ça et commença à douter des compétences de la dite Maîtresse.

Comme beaucoup de soumis débutant, il lui adressa un message de remerciement puis entrepris de lister tout ce qu’il avait envie qu’elle lui fasse. Grossière erreur ! ! ! !

Maîtresse Jade lui répondit que s’il se croyait à Mac Do pour passer sa commande de domination, elle ne le prendrait pas et qu’il n’avait qu’à aller voir une professionnelle. Ce fut sa première gifle mais pas la dernière tout comme cette erreur de croire qu’il n’y a qu’à dire à une Maîtresse ce que l’on a envie qu’elle vous fasse.

UNE SERIEUSE DECONVENUE

Louis se présenta chez Maîtresse Jade à l’heure indiquée après s’être fait un lavement, il lui présenta ses respects avant de lui offrir un bouquet de fleur et une bouteille de champagne. A peine entré dans la maison, elle lui ordonna de se mettre nu et à quatre pattes pour l’équiper. Maîtresse Jade lui mit un plug de bonne taille dans les fesses avant de lui passer une sorte d’énorme string en cuir pour qu’il reste en bonne place. A la suite de quoi, elle lui donna un chiffon et du produit nettoyant et lui demanda de faire les vitres. Il essaya d’entreprendre une discussion avec sa Maîtresse en lui demandant s’il pouvait voir son donjon.

- Je n’ai pas de donjon.

- Mais si vous n’avez pas de donjon, c’est que vous n’êtes pas une Maîtresse alors ! Répondit Louis sur un ton presque agressif.

Sans répondre à cette agression verbale, Maîtresse Jade lui jeta un regard froid avant de poser sa tasse de café et de s’approcher de lui. D’une main leste et très décidée, elle l’attrapa par les couilles et commença à les brouiller entre ses doigts. Louis se mit à crier de douleur mais elle ne lâcha pas d’un pouce et plaqua son front sur celui du soumis apeuré pour le plaquer dos au mur.

- Cette main petit con, c’est la main de la Maîtresse qui va te faire ramper comme une merde, à qui crois-tu que tu parles sur ce ton ?

Soumis Louis compris douloureusement son erreur et présenta ses excuses, mais elle n’en avait que faire et l’accompagna sans le lâcher jusqu’à sa cuisine américaine où elle lui écrasa le visage sur le plateau. « Si tu bouges je te massacre » lui dit-elle avant de le laisser un instant pour prendre des menottes et le menotter aux barres métallique verticales de sa cuisine. Penché en avant sur le plateau de bois de cette cuisine américaine et fesses offertes, Louis n’en menait pas large avec en prime, le plug logé dans ses entrailles qui essayait de se faire la belle. Toujours aussi calme, Maîtresse Jade l’abandonna pour aller chercher le matériel adapté à ses projets de domination féminine version sadique. A son retour, elle entreprit de lui donner une sérieuse fessée avec une grosse ceinture de cuir en reprenant les mots de l’impertinent « si je n’ai pas de donjon, je ne suis pas Maîtresse » ….

- Et ton cul là, il te dit quoi ? Que je suis une Maîtresse ou une soumise ?

Au lieu de demander grâce et de renouveler ses excuses, soumis Louis résista et osa lever la jambe pour la repousser lors d’un coup plus appuyé. Toujours aussi calme, Maîtresse Jade plaça un vase plein d’eau à côté de lui dans lequel elle trempa une canne anglaise en lui indiquant qu’un peu d’éducation anglaise lui ferait du bien. Devant les réfutations et jérémiade, elle donna un coup de genou dans les fesses déjà bien rouges ce qui remit profondément en place le plug commençant à s’échapper. Le souffle coupé et les yeux fermés par ce coup de bélier dans son échine, ne lui permirent pas de voir le bras tenant la canne anglaise s’armer. Il entendit soudain un sifflement aussitôt suivi d’un traie de feu dans ses fesses. Dix coups plus tard, il perdait sa superbe irrespectueuse et commença à la supplier d’aller plus doucement et surtout moins fort car c’était vraiment trop hard pour lui.

- Bien, tu progresses dans ta façon de parler à une Maîtresse, même si celle-ci n’a pas de donjon. Alors comme ça tu m’as écrit que tu voulais, normalement on dit j’aimerai…, que je te baise au gode ceinture, c’est bien ça ? Tu m’as même indiqué avec tes mots choisis que tu aimerais que je te viole et te casse le cul. Je te trouve très prétentieux même si tu m’as indiquée être gourmand du cul.

Soumis Louis n’en menait pas large, quand elle enfila autour de sa taille un gode ceinture noir assez impressionnant. Elle lui retira la grosse lanière et le plug avant de lui lubrifier sans trop de douceur le trou de balle déjà préparé à l’arrivée de son missile scud. Maîtresse Jade présenta le gland du gode, lui indiqua « C'est aujourd'hui que tu le perds ! Elle parlait de son pucelage, Vous aviez deviné, j'espère ». (Brassens)

Elle exerça une poussée continue contre la rosette étoilée malgré les jérémiades du soumis ne pouvant fuir à cause de la planche du plan de travail. Pénétré jusqu’à la garde, il « Criait : "Maman !", pleurait beaucoup, Comme l'homme auquel, le jour même, Il aurait bien fait trancher le cou ». Gare au gorille…. (Brassens biss)

Ramoné pendant un petit moment, la rosette finit par se distendre, c’est là que Maîtresse Jade sortit les grands moyens avec un gode ceinture encore plus gros. Elle rusa en l’aveuglant par un bandeau avant de l’inviter à s’étendre sur le dos sur le plan de travail afin de lui accorder maintenant quelques plaisirs mérités. Soumis Louis se décontracta et se laissa même attacher les jambes en l’air et les bras sans aucune inquiétude.

Lorsqu’elle présenta son monstre entre ses fesses, on ne peut plus ouvertes et accessible, avant d’exercer une nouvelle poussée de ses reins, Louis fut aussitôt convaincu de mourir pourfendu ! Il essaya bien de négocier mais on ne négocie pas avec Maîtresse Jade surtout quand elle est en colère parce que ses vitres sont sales. La rosette distendue à outrance finit par céder à l’intrus après mainte et mainte cris et suppliques désespérées. Pénétré à nouveau jusqu’à la garde il chanta quasiment la marseillaise en argot durant toute la ramonage partie.

Lorsqu’elle se retira, le cul de soumis Louis resta ouvert un instant, une idée saugrenue vint à l’esprit de Maîtresse Jade bien décidée à s’amuser encore avec ce soumis impertinent. Débarrassée de son gode ceinture, elle saisit la batte de baseball abandonnée par son fils dans le salon, pour entreprendre de terminer son ouvrage. Elle rajouta une bonne dose de lubrifiant dans le croupion à présent épanoui avant d’y enfoncer l’objet initialement prévu pour lancer des balles pas pour prendre des trous de balle ! Quelques mouvements sportifs dans son cul puis d’une main décidée à jouer avec ses précieuses si fragiles firent rendre l’âme de Louis qui se mit à couler, sa prostate ayant été grandement chahutée.

Libéré de ses entraves, Louis dut s’accrocher aux épaules de Maîtresse Jade pour ne pas s’écouler sur le sol comme une masse. Elle lui pardonna cet écart mais se fit quand même lécher les pieds pour la peine, chose qu’il fit sans discuter cette fois convaincu que cette femme était bien une maîtresse même sans donjon !

Ecrivaillon qui s’excuse pour quelques emprunt aux parles de Georges Brassens.

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 12:09

Maîtresse Enema aime l’uro et le lavement sadique


Lorsque j’ai rencontré Maîtresse Enema sur Fessestivites, n’étant pas totalement inculte, je me doutais bien que mon petit trou du cul serait visité pour ne pas dire nettoyé mais je ne m’attendais pas à tant de perversité ! Dès notre première rencontre elle m’a déstabilisé en me mettant un penilex, sorte de préservatif équipé d’un tuyau puis d’une poche à urine qu’elle a attaché à ma jambe avant de la relier au tuyau du pénilex. A la suite de quoi, elle m’a demandé de me rhabiller puis de lui servir de chauffeur pour ses courses.

J’ai donc compris pourquoi elle m’avait donné rendez-vous à 14 heures. Maîtresse Enema n’aime pas conduire. Comme beaucoup de femme, elle aime le shoping, nous avons donc visité l’intégralité des boutiques ou presque des galeries marchandes de plan de campagne… Je devais marcher derrière elle à environ deux mètres et porter ses paquets, ce qui amusa ceux qui ont repéré son manège. Lorsque j’ai éprouvé une envie de faire pipi, j’ai bien essayé de négocier un passage aux toilettes qui m’a été refusé puisque j’étais « équipé » et valu une punition pour le soir même. Par contre elle a fait plusieurs pauses pipi en me narguant de ses sourires charmeurs mais aussi sadiques !

Au bout d’un moment je n’en pouvais plus, pendant que nous faisions quelques courses au supermarché, j’ai craqué et, la peur au ventre, fini par uriner dans le penilex qui a fait son office. J’avais peur qu’il y ait des fuites et de me pisser dessus en plein supermarché à l’heure de pointe. Si le penilex a fait son office, marcher avec une poche à urine pleine attachée à la jambe génère aussi une gêne et des inquiétudes car j’avais peur que la fixation cède. OUF elle a aussi résisté mais comme expérience au milieu de la foule c’est chaud chaud ! ! !

Arrivés à son logis, Maîtresse Enema m’a fait décharger la voiture et ranger certaines choses avant de m’envoyer à la douche pour « décrasser le cochon » même si j’avais pris une douche avant notre premier rendez-vous. Mon réflexe a été de fermer la porte puis de retirer la poche et le penilex. Elle est arrivée comme une furie en m’indiquant qu’un soumis n’a pas à se cacher et n’a en aucun cas droit à la pudeur avec sa Maîtresse. En guise de punition elle m’a fait m’étendre dans sa baignoire avant de vider la poche à urine que j’avais mise de côté sur mon visage.



Sans même me laisser me rincer, elle m’a forcé à me mettre à quatre pattes pour m’enfiler dans le cul le tube d’une poire à lavement en me promettant les pires punitions si j’avais une fuite dans sa baignoire. J’étais blême ! Avec un demi litre d’eau dans les fesses, prendre ma douche devant une furie ne se privant pas de commentaires sur ma façon de me laver, fut une étape difficile. Et là, elle m’ordonna d’aller me vider le « croupion » aux toilettes sans fermer la porte. Faire devant une Maîtresse qui vous regarde avec un sourire amusé fut assez hard pour moi, surtout pour le bruitage….. Comme Maîtresse n’aime pas la « merde » elle m’a fait remonter dans sa baignoire et collé deux poires à lavement l’une après l’autre avec les même menaces que précédemment de punition en cas de fuite. Re belotte et dix de der, (sauf que le dix de der était loin…) j’ai été accompagné aux toilettes pour la vidange.

J’ai cru qu’elle était satisfaite du résultat lorsqu’elle m’a ordonné de finir de me doucher et de nettoyer la salle de bain et les toilettes. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’après les lavements, même si l’on a rejeté il y a encore des « restes » et donc encore envie de retourner aux toilettes. Je me suis fait attraper juste au moment où j’allais m’asseoir sur le trône et incendier.

- Si tu n’es pas étanche du cul, on peut éventuellement te mettre des couches du con, d’abord tu ne m’as pas demandé la permission d’aller aux toilettes et en prime, tu t’y rends sans avoir terminé le ménage des lieux que tu as salis. Tu cherches les punitions ou quoi ?

C’est donc avec les fesses serrées que j’ai terminé le ménage de la salle da bain et des toilettes avant de demander la permission de m’y rendre et là, elle a tenu à inspecter les lieux comme un contremaître méfiant cherchant la faute quitte à la fabriquer pour avoir le plaisir de punir. Penché en avant sur la baignoire, mes fesses nues ont goûté à la canne anglaise ! Le sifflement annonciateur de douleur ne ment pas, cela fait mal ! Les 10 coups reçus ont laissé une dizaine de marques dont une sur la cuisse qui y est restée au moins dix jours ! ! !

UN APERO PARTICULIER

Madame s’est faite servir le champagne que j’avais apporté sans pour autant m’en proposer une coupe. Elle m’a imposé de me mettre à genoux devant son canapé avant de poser ses jolis pieds sur mon dos pour siroter son champagne en téléphonant à une amie. A la suite de quoi, une demi-heure plus tard, elle m’a abandonné un instant en m’intimant l’ordre de ne pas bouger. A son retour, Maîtresse Enema a posé une gamelle devant moi avec du champagne puis a posé derrière moi une bouteille dont dépassait un Clyster Ball enema, sorte de pompe à main permettant d’injecter dans les fesses un liquide pompée dans un récipient via un tuyau.



La bouteille d’eau pour un lavement d’un litre et demi m’inquiétait fortement ! L’ordre est tombé de laper comme un chien le champagne dans la gamelle pendant qu’elle m’introduisait la canule dans les fesses. Le champagne avait un drôle de goût, je dirai même un goût sérieusement douteux ! ! ! Elle s’est resservi une coupe puis s’est à nouveau installé dans son canapé en posant les pieds sur mon dos. A chaque fois qu’elle trempait ses lèvres dans sa coupe, j’avais droit à une rasade d’eau dans les fesses via le Clyster Ball enema ! Autant dire que j’avais peur d’avoir des fuites et que je serrais les fesses comme un malade.

Maîtresse Enema s’est soudain levée pour aller chercher la bouteille de champagne et là, ma surprise fut de taille. Elle s’est accroupie devant moi en dévoilant sa tendre intimité avant de pisser dans ma gamelle ! Elle n’a pas vidé totalement sa vessie car elle est allée terminer aux toilettes. En revenant elle a complété la gamelle avec du champagne avant de trinquer avec moi. Cette grande sadique d’une beauté à vous couper le souffle a remué le contenu de ma gamelle avec son index avant de me le donner à lécher. Lorsque je lui ai indiqué que mon colon se révoltait et que malgré mes efforts nous allions à la catastrophe, sa réponse fut très particulière.

- Finit ton apéro avant d’aller aux toilettes !

Dire que ce fut difficile est peu dire mais je l’ai fait ce qui m’a valu des félicitations puis un coup de chaleur dans le cœur et la tête ! Une fois être allé me vider aux toilettes, je pensais être tranquille de ce côté-là de mon anatomie, il n’en fut rien.

« Aimerais-tu lécher le minou de ta Maîtresse » ? Me demanda t’elle en s’agenouillant devant moi jambes écartées ? A la vue de sa vallée intime aussi délicieuse que la totalité de son anatomie, ma réponse a été positive sauf qu’elle m’imposa un deal sans me laisser savoir ce qu’il contenait.

- Ok, alors je vais encore m’amuser avec toi et tu vas tout accepter sans rouspéter et, si tu es méritant, je te laisserais me lécher ce qui sera un honneur pour toi car je ne l’accorde quasiment jamais aux soumis.

Maîtresse Enema m’a planté à nouveau la canule de son Clyster Ball enema avant de m’injecter une nouvelle bouteille d’eau. Le pire fut après quand elle a sortie une couche pour adulte et m’a demandé de m’étendre sur le dos pour me la mettre. Mort de honte je m’apprêtait à refuser quand elle m’a rappelé notre deal en précisant que si je n’avais pas de parole, c’était la porte immédiatement. Mûrissant des envies de la revoir, abdiquer était mon seul choix, l’âme en peine je me suis donc laissé faire tout en la maudissant.

La couche posée, elle m’a enjambé en restant debout au dessus de mon visage. Ne portant pas de culotte, la vue me fit oublier la couche un instant, ses cuisses fuselées admirablement dessinées par la mère nature donnèrent un sacré coup de pied à mon échine même si elle était pleine. Mon sexe replié dans sa couche l’aurait bien déchirée mais il était comme muselé. Quand elle s’est baissée et mise à genoux sur mon visage, un doux parfum de féminité enivra mes neurones. De la pointe de la langue je me suis aventuré entre ses délicates lèvres intimes, elle ondula aussitôt puis se replaça pour mieux profiter de l’instant. Dans un réflexe câlin, mes mains se sont mises à la caresser, je planais sur un nuage quand un coup de poing dans mon ventre explosa net mon rêve de par ce qui est soudain sorti sans crier « gare » dans ma couche.

Vider ainsi mes entrailles dans une couche castra net la magie et mon érection. J’étais mort de honte pendant qu’elle cherchait ma langue s’étant mise en pause au moment du tsunami du bas. Ses pinces digitales sur mes pauvres tétons innocents accompagnèrent un ordre clair net et précis : « lèche-moi » ! Si en d’autres temps j’ai rêvé d’un facesitting avec une Maîtresse, là je n’avais qu’une envie, foncer à la salle de bain ! L’ordre est tombé d’ouvrir la bouche et de boire sans en perdre une goutte, sous peine de représailles. J’ai donc pour la première fois bu du champagne doré à la source de la vie. Il était un peu salé mais entre ses mains, j’aurai léché un paquet de sel entier pour qu’elle continue de me laisser savourer ses trésors féminins.

Maîtresse Enema a mis un terme à mes délices pour m’envoyer me laver en m’accordant 10 minutes douche et ménage de la salle de bain compris. Tel un gros bébé tout merdeux dans sa couche, la queue basse et les joues blêmes, je suis donc allé à la salle de bain où j’ai découvert avec surprise que la couche était propre, seulement mouillée de l’eau de mon lavement.

Cette dominatrice si perverse m’a ensuite rapidement raccompagné vers la sortie en m’indiquant que je semblais être un bon soumis et qu’elle me rappellerait sûrement pour d’autres moments plus chauds si j’avais envie de revenir. Il va de soit que j’ai répondu positivement malgré les gigantesques moments d’humiliation qu’elle m’avait fait subir, allez donc savoir pourquoi ?

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Soumission et appartenance
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Lundi 24 mars 1 24 /03 /Mars 11:45

Piégé en gigoteuse adulte sac de bondage par une nurse en colère.


Depuis des années, soumis Louis fantasme sur le bondage, la cage de chasteté puis sur les contraintes que pourrait lui imposer une Maîtresse. Ses attirances l’ont conduit à acheter une cage de chasteté mais avoir la clé de sa cage quand on est célibataire n’est pas très grisant. Il a toutefois réalisé les défis organisés par Fessestivites et Maîtresse Alysé qui gère parfois les cages de chasteté de quelques membres du réseau. Il fera d’ailleurs le prochain défi chasteté du 31 mars 2014.

Sur le chat webcam de Fessestivites, il est entré en contact avec une nurse un peu sévère, soumis Louis n’est pas ABDL mais pour être dominé il est prêt à tout.

Lorsque la boutique ABCplaisir a lancé une gamme de gigoteuse pour adulte équipée d’anneaux pour des cadenas puis des moufles ABDL assorties également équipées d’anneaux et chaînettes pour des cadenas, il n’a pu résister à la tentation de se les offrir. S’il est parvenu à se faire un selfbondage dans cette gigoteuse pour adulte et a galéré deux heures pour s’en libérer. L’absence d’une Maîtresse lui pèse énormément. Lors des échanges sur le chat de Fessestivites, il parvient à obtenir une rencontre avec Nurse Mam en lui parlant de cette gigoteuse qu’il pourrait emmener pour lui faire voir.

La rencontre ne devait durer deux heures……………

La rencontre ne devait durer que deux heures mais soumis Louis s’y est très mal pris avec Nurse Mam n’ayant pas apprécié du tout qu’il essaye de négocier ses services en la prenant pour une professionnelle à qui on s’imagine pouvoir dire « je veux ». Elle s’est même sentie pousser des ailes de Maîtresse sadique et perverse en l’écoutant parler. Le recadrage fut à la hauteur du caractère de Nurse Mam, carré, expéditif et punitif. Soumis Louis s’est retrouvé sur ses genoux pour une fessée maison qui s’est terminée au paddle. Le cul en feu après la fessée et mis au coin comme un gamin, il n’en menait par large quand Nurse Mam lui demanda ses disponibilités pour le soir même. Il lui répondit qu’il était libre comme l’air et en RTT et le week-end.

Soumis Louis ayant emmené comme convenu sa gigoteuse et ses moufles, Nurse Mam entreprit de les regarder de près et les trouva superbes. Elle annonça à Louis sans lui demander son avis qu’il allait y passer quelques heures et en couche. Il essaya bien de négocier pour éviter la couche mais on ne négocie pas avec Nurse Mam quand elle est en colère. Il en eut une grosse avec deux inserts, trois suppositoires à la glycérine sans savoir ce qu’elle mettait dans ses fesses et même une culotte en plastique. Rouge de honte, il faut conduit par l’oreille dans une petite chambre où elle jeta la gigoteuse sur le lit en lui ordonnant de se glisser à l’intérieur. Elle lui posa les moufles qu’elle cadenassa serrées pour qu’il ne puisse les retirer.


Prévoyante, Nurse mam lui posa une cagoule en polaire qui ne permit pas à soumis Louis roi de l’évasion de ses selfbondages de voir ce qu’elle lui préparait. Elle rajouta une chaîne sous les bras de Louis puis des sangles tout autour de la gigoteuse. Une fois entravé, il n’était plus capable d’écarter les jambes ni les bras de son corps.

- Tu voulais du bondage, être entravé et découvrir ce qu’est une réelle contrainte avec une Maîtresse ? Et bien tu vas le découvrir avec la Nurse que tu as vexé mufle.

Avant même que soumis Louis n’ait le temps d’essayer de formuler des excuses, Nurse Mam avait quitté la chambre et fermé la porte. La première heure, il se fit quelques films érotiques dans sa tête au point de bander comme un taureau mais avec le sexe maintenu entre ses jambes par la couche, il découvrir aussi une autre forme de contrainte. Une heure plus tard, l’envie d’uriner le taraudant, il appela Nurse Mam mais en vain et il du se contenir. L’envie pressante fut rapidement rattrapée par une envie d’aller à la scelle ce qui le perturba au plus haut point comme l’on peut s’en douter. Les fesses ultra serrées, il dut se résoudre à vider sa vessie avec une attention particulière sur son anus contracté.

Trois heures plus tard, Nurse Mam fit irruption dans la chambre avec un biberon à la main. Elle fut accueillie par des tonnes de jérémiades et de multiples requêtes de libération. En guise de réponse, Nurse Mam monta sur le lit, enjamba Louis et posa son fessier généreux sur le ventre du soumis entravé qui crut s’étouffer sous la surprise. A grands coups de fessier sur son ventre, il ouvrit la bouche comme demandé et absorba le contenu du biberon de lait contenant un laxatif, un somnifère et un décontractant. En manque de tabac il essaya de négocier le droit de fumer une cigarette, elle lui répondit qu’un bébé ne fume pas, avant d’entreprendre un cours de politesse.

Louis dut se résoudre à répéter les phrases demandées du type, « s’il vous plait madame », « merci madame », « pourrais-je avoir s’il vous plait » suivi d’un volume d’information descendantes du même style sur la façon de parler aux dames. Lorsqu’il s’aperçut qu’elle allait à nouveau quitter la chambre et le laisser là, il la supplia et, devant l’absence de réponse se laissa emporter par la colère et l’insulta. Nurse Mam fit demi-tour, lui retira la cagoule pour lui donner une paire de gifles monumentales à décorner un boeuf.

- Répète pour voir ce que tu viens de dire ? Lui demanda Nurse Mam en levant la main.

Louis s’excusa platement et essaya à nouveau de négocier mais en vain. Nurse Mam lui rappela qu’il avait accepté de rester pour qu’elle le domine à sa façon. Elle lui rappela également tous ses manques de respect justifiant entre autre sa punition avant de sortir de la chambre en laissant le soumis désespéré. Lorsqu’elle revint le voir deux heures plus tard, Louis dormait à poings fermés comme un bébé. Il eut beaucoup de difficultés à se réveiller et, dans un état comateux, prit le gros biberon sans même discuter. Etendue contre lui sur le lit pendant qu’il tétait, Nurse Mam lui parla avec douceur et caressa son visage avec beaucoup de douceur. Cette douceur fit fondre Louis de bonheur, ses neurones embrumés ne lui permettant plus vraiment de discerner les choses.

Agrémenté d’un second somnifère le biberon fut assez rapidement terminé, Nurse Mam lui mit dans la bouche une grosse sucette maintenue avec un bandeau élastique avant de quitter la chambre. S’il aurait pu la rejeter, Louis n’en fit rien et se mit à téter en se pissant dessus avec plus de facilité que la première fois ce qui lui valut des fuites anales. Sa nuit fut paisible jusqu’au petit matin où des crampes dans le ventre le réveillèrent. Malgré ses efforts désespérés, il finit par se vider dans ses couches en pleurant comme un bébé.

8 HEURES

Nurse Mam entra dans la chambre accompagnée de son mari, bâti comme un docker. Elle retira les moufles des mains de Louis à moitié dans les vapes, l’aida à sortir ses bras de la gigoteuse avant de poser une paire de menottes sur ses poignets. Totalement libéré des autres entraves, il put tant bien que mal se mettre debout pour être conduit dans une douche spéciale où il fut entravé mains en l’air pour y être décrassé au jet d’eau. Nurse Mam le sécha comme le ferait une maman avec son enfant, (hormis les menottes) avant de le guider dans sa nurserie pour le langer et le mettre en grenouillère pour la mâtiné qu’il passa menotté dans un parc à bébé sans même discuter. Il but un biberon cette fois « conventionnel » et prolongea sa nuit.

12 HEURES

Louis avait repris tous ces esprits mais accepta sans rechigner de prendre un autre biberon. Etant devenu sage, il eut le droit de fumer une cigarette, un moment magique pour lui n’ayant pas fumé depuis 14 heures le jour d’avant.

- Est-ce que tu te sens de conduire pour repartir ?

- Je crois que oui Madame. Répondit Louis cette fois avec politesse. Est-ce que vous me libérez ?

- Oui, mais tu n’as jamais été mon prisonnier, juste un soumis désirant vivre une aventure en soumission, n’est-ce pas ce que tu m’avais demandé ?

- Oui madame, mais je n’avais pas vu les choses comme ça.

- Disons que si tu avais été plus poli et surtout plus respectueux de ma personne, j’aurais fonctionné autrement mais tu méritais une bonne leçon.

EPILOGUE

Nurse Mam a estimé qu’il était plus prudent que Louis déjeune avec eux avant de prendre la route, le repas fut enrichissant en termes de discussions et d’échange. Pour remercier Nurse Mam et essayer de se faire pardonner il lui offrit la gigoteuse et les moufles de son calvaire. Elle accepta à condition qu’il revienne au moins une fois, chose qu’il fit la semaine suivante en arrivant pour lui faire plaisir en couche sous ses vêtements.

TSM


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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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