Homme soumis

Mardi 12 novembre 2 12 /11 /Nov 09:20

Maîtresse sadique qui baise avec ses soumis


Contrairement à beaucoup de dominatrices, suis une Maîtresse sadique qui baise avec ses soumis. A mes yeux, ce n’est pas avalisant bien au contraire, mes deux soumis attitrés sont mes sextoys, mes godes et langues sur pattes, mon plaisir et les acteurs de mes spectacles privés.

Ils sont tous les deux sous cage de chasteté en 24/24 et malgré cela, doivent faire un test HIV tous les mois.

En dehors de la DS quotidienne avec mes soumis qui font tout dans la maison et le jardin, mon plaisir est de leur imposer de me faire des spectacles gays ou travestis dans des tenues parfois loufoques. Au début ce fut difficile pour eux, maintenant ils sont habitués à mes sautes d’humeurs, à mes folles envies.

Hier soir par exemple, je leur ai imposé de s’habiller en soubrette pour la soirée, après le repas, ils avaient obligation de jouer comme des filles qui se gouineraient en cachette. Le plus coquin, le plus convainquant serait mon amant du soir, le perdant savait donc ce qui l’attendait. Soumis Eric a réellement joué le jeu et s’est donné à fond dans son rôle, il m’a même faite rire tout en parvenant à m’exciter. Comme j’aime bien les faire languir, ils ont reçu l’ordre de se mettre face à face en position six, le temps que je décide lequel des deux serait le gagnant.

Pour « réfléchir », je me suis mise debout entre eux en leur ordonnant de me lécher. N’en déplaise aux puristes du SM, j’aime quand un soumis me lèche le cul pendant que l’autre me broute le minou. Soumis Eric s’étant surpassé, j’ai donc donné la clé de sa cage de chasteté à soumis Paul pour qu’il puisse le libérer. Libérer le gagnant pour un soumis qui va rester sous cage de chasteté et devoir œuvrer pour mon plaisir est dur, je sais, mais sans une fermeté permanente je me ferai bouffer par mes soumis.

Pour avoir perdu et fait peu d’effort, j’ai demandé à Paul de se pencher sur la table du salon et à Eric de lui tenir les mains. Paul a reçu 50 coups de canne anglaise assez appuyés pour sa médiocrité dans sa participation au spectacle. Une fois puni, il a du se mettre nu et à quatre pattes pour lécher les pieds du vainqueur, cette position offrait son fessier bien trié à mes yeux tout en continuant de l’humilier.

L’heure de mon plaisir ayant sonnée, nous sommes allées dans ma chambre où ils doivent me traiter comme une reine pour me dévêtir avant de m’ouvrir le lit pour que je m’y étende. Selon le rituel établi, Paul a taillé une pipe à soumis Eric pour le mettre en forme, ce qui n’est pas trop dur après une semaine de chasteté, pendant qu’Eric me léchait pour préparer ma minette fragile aux ébats qui allaient suivre.

Pour me faire prendre, j’aime m’allonger sur le dos, qu’on lève mes jambes pour les remonter vers le plafond, soumis Eric s’est donc mis en position pour me baiser comme j’aime. Pendant ce temps, Paul selon mon rituel, s’est installé à genou à côté de ma tête pour masser mes seins et titiller mes tétons. Il est assez fréquent au moment le plus fort de mon plaisir, que je m’accroche aux couilles de celui massant ma poitrine, quand mes doigts se serrent, il faut bien qu’il serrent quelque chose, je ne veux rien entendre, un gémissement de lopette est sévèrement sanctionné.

Mes soumis sont habitués à ne jouir que quand je leur donne la permission, s’ils se loupent, la sanction est de 5 coups de pieds dans les couilles. Croyez-moi sur parole, un soumis qui l’a vécu en punition apprend à ce retenir. Etant vaginale, mon plaisir arrive vite mais comme je suis une salope très gourmande et fière de l’être, il m’est impossible de ne pas remettre le couvert plusieurs fois. Quand ma faim de sexe et de jouissance est satisfaite, le soumis a le droit de jouir en moi, j’aime le moment où son sexe devient dur comme de la pierre dans les mouvements de sa dernière ligne droite.

Le perdant, ou tout simplement celui que j’avais envie de punir, se doit de nettoyer le sexe de celui qui m’a prise pendant quelques secondes puis de venir lécher mon sexe englué du sperme du vainqueur. Hier soir, j’ai eu quelques envies de plus, il a du s’acharner de la langue pendant qu’Eric lui donnait des coups de martinet sur les fesses. Là aussi, croyez-moi sur parole, mes soumis ne trichent pas quand je leur demande ce genre de chose, sans quoi, mes punitions sont telles qu’ils ne le font qu’une fois.

Lorsque j’étais rassasiée, ils m’ont baisé les mains avant de me couvrir et d’éteindre la lumière en sortant de ma chambre. Eric a dormi libre dans la chambre des soumis et Paul avec un plug dans le cul et avec les mains attachées. Je ne me suis pas occupée de cela, ils font ce que je demande point fin et ils savent tous deux, que tricher est à très haut risque.

Comme vous le constatez, si je baise avec mes soumis, ils sont loin d’avoir de l’emprise sur moi !

Ecrivaillon

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mercredi 6 novembre 3 06 /11 /Nov 11:28

Soumis voulait voir le sexe de Maîtresse Carla


Résumé : cette histoire BDSM aborde la punition d’un soumis par une sévère Maîtresse.

Maîtresse Carla est d’une humeur massacrante aujourd’hui, son soumis va en subir les conséquences. Non pas qu’il soit son souffre douleur mais parce qu’il mérite une punition.

- Soumis, la semaine dernière, tu as profité de mon inattention pour mater mes fesses par la porte de la salle de bain, ce n’est pas bien.

- Ah non Maîtresse, je n’aurai pas osé !

- Tu mens, je t’ai vu dans le miroir ! Lui répond Maîtresse Carla en lui donnant une gifle dès plus appuyée. Je t’ai vu. Au lieu de faire le ménage tu as profité que la porte ne ferme plus pour venir mater mes fesses. Ah cela se rajoute le mensonge et le mot « non » que tu viens de dire.

Soumis reconnaît ses fautes aussitôt et se confond en excuses, promet qu’il ne le fera plus mais il est trop tard, Maîtresse Carla va le punir sévèrement et il le sait. Soumis étant maso, elle lui concocte une punition qu’il n’est pas près d’oublier.

- Allez, avoue que cela te plairait de voir ma chatte ! Lui demande Carla en l’obligeant à la regarder dans les yeux.

- J’avoue que j’aimerai apprécier du regard votre corps de reine. Lui répond soumis qui ne sait plus où se mettre. Ses mains sont moites, il regarde le sol en se demandant ce qu’il va lui arriver.

- Puisque tu veux voir ma chatte, tu vas la voir, va au donjon, déshabille-toi et attends moi en position 6.

Lorsque Maîtresse Carla entre dans le donjon, soumis est nu en position 6, la fameuse position connue exposant si bien sa soumission. Elle lui pose un bandeau sur les yeux sans dire le moindre mot, soumis ne réagit pas, sa Maîtresse peut lui faire ce qu’elle veut. Elle lui pose ensuite un bâillon particulier muni d’un trou en son centre avant de l’obliger à s’étendre sur le dos près d’un solide carcan où elle fixe ses poignets à l’aide de solide bracelet de cuir. Maîtresse Carla pose ensuite une barre d’écartement aux chevilles de soumis avant de passer une cordelette autour de ses bijoux de famille.

Dans sa panoplie d’instruments de torture, elle choisit une paire de très sévère pinces à sein reliées par une chaînette à laquelle elle rajoute une deuxième cordelette. Ces pinces ne s’arrachent pas, plus on tire, plus elles serrent et si le pauvre soumis savait ce qu’il l’attend, son sexe n’afficherait pas un début d’érection.

Maîtresse Carla fait descendre son treuil à télécommande sans fil pour y fixer au crochet la cordelette des couilles et des pinces à seins. Ce crochet se situant juste au-dessus de son soumis, lorsqu’elle enclenchera le treuil, la traction générera irrémédiablement son lot de douleur. Sous la tête de soumis, elle glisse son cube destiné au facesitting puis en actionne les molettes qui lui bloque la tête.

Convaincu qu’elle va lui imposer de lécher l’intimité dont il a tant rêvé, soumis affiche maintenant une belle et fière érection, s’il savait…. Maîtresse Carla libère les yeux de son soumis, afin qu’il puisse la voir retirer son string qu’elle vient lui faire sentir. Le parfum du corps de sa Maîtresse est un arome qu’il savoure comme un précieux cadeau. Maîtresse Carla dépose une cravache sur le carcan.

- Alors comme ça, tu veux voir ma chatte, et bien tu vas la voir, mais il y a un prix à payer pour ça. Dit-elle en actionnant la télécommande du treuil.

Soumis bombe le torse et se cambre pour essayer de limiter les effets des cordelettes. Ses tétons sont horriblement pincés, ses couilles monstrueusement étirées génèrent une douleur jusque dans ses reins.

- Regarde bien et rince-toi l’œil petite merde de voyeur et de menteur. Lui dit Maîtresse Carla en soulevant sa robe en cuir pour lui dévoiler ses trésors. Profite, le prix à payer arrive de suite, vas-y reluque bien la chatte et le cul de ta Maîtresse, profites-en tu vas pouvoir goutter son nectar.

Soumis n’a d’yeux que pour sa Maîtresse, il ose à peine regarder son anatomie, ces sont regard méchant qui l’affole. Quand elle attrape un entonnoir, il comprend aussitôt ce qu’il l’attend. Dans une main, elle tient la télécommande, dans l’autre, l’entonnoir dont elle dirige le tube dans le trou du bâillon ouvert en son centre.

- A chaque goutte que tu perds, j’appuierai sur la télécommande, tu n’aimes pas ça mais je m’en moque, une punition est une punition et là, tu en mérites trois. Une pour avoir reluqué mon intimité au lieu de faire ton travail, une pour m’avoir menti, une pour m’avoir dit le mot « non », je vais te faire une compil de punition petite merde !

Maîtresse Carla appuie une fois sur la télécommande, le crochet monte de quelques centimètres arrachant des gémissements réels et sérieux.

- Ca c’est pour avoir dit « non »

Elle se saisit de la cravache et lui en porte un coup appuyé sur ses testicules déjà bien tendus, par le bâillon s’échappe aussitôt un véritable cri d’agonie.

- Ca c’est pour m’avoir menti.

Maîtresse Carla retire le string du nez de son soumis pour le placer sous sa nuque avant de se prendre place juste au dessus de l’entonnoir en lui rappelant qu’à chaque goutte perdue, elle appuiera sur la télécommande. Soumis est réellement affolé, jamais sa Maîtresse n’est allée aussi loin dans la douleur et une punition. La douleur de ses seins et de ses tétons est telle qu’il en a les yeux qui mouillent et le pire, c’est qu’il sait que quand Maîtresse annonce quelque chose, elle le fait toujours. S’il perd une goûte de son champagne doré, Maîtresse Carla est réellement capable de le suspendre par les couilles et les tétons 


Lorsqu’il perçoit le bruit du pipi de l’enfer pour lui, soumis se concentre aussitôt. Le liquide chaud et salé parvient à sa bouche, il s’efforce d’avaler le premier jet mais n’y parvient pas totalement. Maîtresse Carla lui fait voir la télécommande avec un sourire sadique posé sur ses lèvres avant d’effleurer le bouton de l’enfer. Le treuil n’a bougé que de quelques millimètres mais suffisamment pour qu’il en sente les effets.

- On continue, tu as intérêt à boire tout ce champagne que j’ai gardé pour toi, sans quoi je te suspends par les couilles et je te chasse ensuite pour m’avoir mentie.

Maîtresse Carla libère sa vessie par petits jets, soumis cette fois ne se laisse pas surprendre et avale consciencieusement malgré son dégoût la totalité de ce que l’on appelle le champagne doré.

Maîtresse Carla satisfaite de l’effort de son soumis, agite la télécommande devant ses yeux en déposant l’entonnoir sur le sol. Soumis est mort de trouille car la douleur des pinces sur ses tétons est insupportable tout comme ses couilles qu’il regrette presque d’avoir. Quand sa Maîtresse appuie sur la télécommande il ferme les yeux de peur mais au lieu de monter, le crochet du treuil redescend doucement diminuant de fait la pression sur ses couilles et ses seins. Une fois son soumis posé sur le sol, elle retire le bâillon qu’elle dépose à côté de l’entonnoir.

Soumis fait alors un gros effort pour dire « merci Maîtresse » car il est agité par une très sérieuse envie de rébellion.

- Puisque tu as encaissé ta punition comme un bon soumis et que tu m’as remerciée de t’avir puni, je vais t’accorder une récompense exceptionnelle, le droit de me lécher. Lui indique Maîtresse Carla en prenant place sur son cube facesitting.

Malgré les monstrueuses douleurs qui accompagnent le retrait des pinces à seins et son horrible punition, soumis fond de bonheur en léchant l’intimité salée de sa Maîtresse. Glissant de plus en plus dans les abîmes creusés par ses fantasmes, il se plairait soudain à déguster quelques gouttes de plus du nectar de sa Maîtresse. Le nez sur la délicieuse rondelle étoilée de sa Maîtresse, la langue au plus profond de son initimité, il plonge dans un océan de plaisir agité par les flux et les reflux de son masochisme quand elle entreprend de masser ses tétons.

Une cacophonie de sentiments et un camaïeu d’étoiles lui emplissent la tête quand quelques minutes plus tard elle libère ses couilles devenant bleues. Il ne comprend pas ce qui lui arrive, outre le dégoût qui l’a submergé, ce mélange de souffrances extrêmes et de plaisirs étranges malgré ce qu’elle vient de lui faire vivre le perturbe au plus haut point. Une pulsion plus forte que sa volonté le pousse à embrasser les pieds de sa Maîtresse lorsqu’elle le libère.

Il ne la décevra plus c’est une certitude mais est-ce parce qu’elle l’a maté ou est-ce à cause de ce sentiment d’appartenance encore plus fort que l’amour qu’il lui porte ?

TSM

 

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 09:38

Soumis transformé par deux lesbiennes

 

L'annonce

Soumis aux femmes je suis, soumis aux femmes je suis fier d’être. Ma volonté n’a rien de copulatoire, les servir suffit à me combler.

Je recherche donc une Maîtresse mais comme je n’aspire en aucun cas à des rapports sexuels, si une lesbienne est intéressée ou un couple de lesbiennes est intéressé par un soumis serviteur, qu’elle n’hésite pas à me contacter.

Disponible à toutes heures mais pour éviter les plaisantins un entretien téléphonique est obligatoire avant que je me déplace.

Discrétion et sérieux assurés
………………………..

Après des années de recherches effrénées sur le net, je commençais à désespérer de trouver une Maîtresse. J’ai donc fait un copier coller de mon annonce pour la publier sur Fessestivites, après tout, je n’étais plus à ça près. Deux mois plus tard, je reçu le message ci-dessous dans ma messagerie.

« Etes-vous réellement sérieux et jusqu’où irez-vous pour me le prouver si j’aspire à vous recevoir comme soumis avec mon amie » ?

Avant de répondre, j’ai consulté le profil de la personne qui m’écrivait. Elle s’annonçait lesbienne et en couple. Mon cœur se mit à battre la chamade !

« Madame, je m’estime réellement sérieux, comme première preuve je vous donne mon numéro de téléphone 06 00 00 00 00 appelez-moi à votre convenance pour vérifier que je suis bien disponible. Jusqu’où irai-je pour vous prouver mon sérieux ? Mettez-moi au défi je le ferai et vous adresserai les photos que vous pourriez me demander, mais si ce défi ressemble à une plaisanterie, je ne donnerai pas suite. Comme vous le constatez, tout comme vous pour un premier contact je reste méfiant malgré le sérieux qui me caractérise et l’engagement qui peut être le mien ».

Sa réponse n’a pas tardée !

"Soumis, j’aime beaucoup ta réponse, elle ne ressemble pas à ces êtres capables de jurer monts et merveilles sans même savoir à qui ils jurent. Pour la peine, je vais te donner un défi simple à réaliser, tu m’adresseras la photo par email. Si dans 24 heures je n’ai pas cette photo, nos relations en resteront là. Je désire que tu poses torse nu avec un journal dans la bouche comme un chien. Tu devras avoir les mains dans le dos et le mot soumis écrit sur ton torse".

Je passe sur notre correspondance, pour en arriver au principal, une semaine plus tard, j’étais « convoqué » le vendredi soir chez Maîtresse Aline et sa compagne.

………………………………………………………………..

Une femme bien enrobée, blonde aux yeux bleus m’ouvrit la porte et me fit entrer. Sans même me débarrasser de la bouteille de champagne et du bouquet de fleurs, elle me montra le chemin de la cuisine. Un papier m’attendait sur la table.

« Met-toi nu, enfile la culotte rose et le tablier, fait la vaisselle et attend que l’on t’appelle » indiquait le texte sur le dos d’une enveloppe usagée. Autant dire que l’entrée en matière me parue rude car la féminisation et le travestissement n’est pas mon truc. Bien décidé à ne pas la décevoir, je me suis exécuté en m’autorisant le fait de mettre la bouteille de champagne au réfrigérateur. La vaisselle faite, j’attendais patiemment dans la cuisine quand Maîtresse Aline m’appela. En entrant dans le salon, je pus découvrir sa compagne, une brune à l’antithèse du profil de Maîtresse Aline, petite, fluette avec un regard sévère.

- Soumis, ramène ta bouteille de champagne et deux flûtes, elles sont dans le placard de la cuisine, m’ordonna Maîtresse Aline avant de reprendre sa discussion avec son amie.

A mon retour, je dus les servir avant qu’elles m’imposent la position à quatre pattes comme un chien. Alors qu’elles sirotaient leur champagne, la compagne de Maîtresse Aline se leva pour aller chercher une gamelle de chien dans laquelle elle vida un peu de champagne avant de m’ordonner de laper. J’appris pendant la conversation que la compagne de Maîtresse Aline s’appelle Julie. D’un caractère critique, elle me parut finalement plus que sévère dans ses analyses, mais je ne me permis pas de donner mon point de vue, n’étant pas invité à parler.

- Qu’est-ce qu’on va faire de toi ? Me demanda Julie en me regardant d’un air dédaigneux. Un mec ici, qui l’aurait cru ? Et en plus un poilu !

- On va en faire notre bonniche mais tu as raison Julie, ses poils sont dégoûtants. Va à la salle de bain, tu as 10 minutes pour me faire partir tout ça, mais tu as intérêt à faire le ménage après car si je trouve des poils dans ma salle de bain, je te massacre. Exécution !

Etant convaincu qu’elles me testaient, j’avais décidé d’être irréprochable lors de cette première rencontre. Faisant fi des remarques corrosives et de l’absence de communication à mon égard, autre que des ordres, je me suis donc rendu dans leur salle de bain où j’ai trouvé de quoi raser mon corps dans leur douche à la vitesse grand V. De retour au salon, je me suis fait incendier pour mon retard avant une inspection rigoureuse de mon anatomie qui me valut des reproches sur mon rasage. Maîtresse Aline m’ordonna de me pencher en avant et de lui offrir mes fesses. Trois coups, seulement trois coups de cravache mais d’une force telle que j’ai faillis hurler et lui mettre une gifle.

- Tu l’as compris, on n’aime pas les hommes, si tu veux être notre soumis, il va falloir que tu ressembles à une femme, sans quoi tu ne feras pas de vieux os ici. Me dit Maîtresse Aline en m’attrapant par l’oreille comme si j’étais un gamin.

- Bien madame, mais la féminisation n’est pas trop mon truc, mon corps ne s’y prête pas.

Est-ce que l’on t’a demandé ton avis soumis ? Me répondit Maîtresse Aline

Je me suis excusé platement avant de proposer de les resservir, quand Julie fut soudain mue par une envie de s’occuper de ma personne. Elle se leva pour m’attraper par l’oreille et me conduire dans la maison vers une de leurs chambres. Elle jeta des bas et une robe sur le lit en m’ordonnant de les passer sans tarder puis de revenir me présenter au salon pour la suite du service. J’ai eu envie de partir car la féminisation n’est vraiment pas mon truc tout comme les trois coups de cravache ultra violents et le traitement de ma personne comme un objet mais je m’en suis tenu à mes idées premières. A mon retour au salon, « j’avais l’air d’un con ma mère » ! Julie s’est levée pour m’exhiber et m’humilier en me faisant tourner sur moi-même comme si mon corps ressemblait à celui d’une star au festival de Canne.

- Avec des talons, une perruque et une touche de maquillage, soumis pourrait commencer à devenir intéressant qu’en penses-tu ? Demanda Julie.

Maîtresse Aline approuva et trouva cette idée très amusante contrairement à moi. Et là, je suis soudain devenu l’objet de toutes leurs attentions. Elles me firent asseoir et entreprirent de me refaire une « beauté ». J’étais mort de honte. Entre leur mains, je n’étais plus qu’un jouet que l’on manipule, que l’on habille, que l’on maquille, si bien qu’une heure plus tard, je me suis retrouvé perché sur des chaussures à talon haut, maquillé vêtu d’une robe à froufrou et avec un soutien-gorge.

C’est chiant un soutien-gorge ! Cela gratte, cela serre, cela gêne et son utilité sur moi n’avait qu’un but : m’humilier. Marcher avec des talons hauts me fut très difficile, j’avais l’horrible impression que j’allais m’écrouler à chaque pas. Un bâillement Maîtresse Aline m’annonça que la fin de la soirée approchait mais il n’en fut rien. Elle m’envoyèrent à la cuisine voir si elles y étaient, en clair, de les laisser seules. Quelques minutes plus tard, je fus rappelé auprès de ses dames de nouvelles surprises m’attendaient, cela se voyait sur leur visage. Elles entreprirent de me déshabiller puis me firent enfiler une chemise de nuit de la grand-mère de Julie, avec comme indication que je devais la porter fièrement. Si le vêtement ne me séduisait guère, le vêtement laissait sous-entendre que j’allais dormir ici. Ce fut le cas mais version sadiques.

Maîtresse Aline et Julie posèrent des bracelets à mes poignets et à mes chevilles puis un collier de chien avant de m’ordonner de me mettre à quatre pattes pour me conduire à leur chambre à coucher. Une petite merveille, superbement décorée avec un magnifique et immense lit à baldaquin, leur chambre ressemble à une reconstitution historique de la maison de Barbie version lupanar. Elles m’invitèrent à passer sous leur lit et à m’étendre sur le ventre bras et jambes en croix. A l’aide de cordes, elles entreprirent de fixer mes poignets et mes chevilles mais grande chance pour moi, m’accordèrent d’aller aux toilettes avant afin de soulager ma vessie prête à exploser.

A mon retour, je fus prestement entravé sous le lit avant d’être abandonné là. Je commençais à me poser des questions quand au bout d’un long moment elles sont revenues pour se coucher. Julie m’annonça que si je ronflais, je risquais gros ce qui ne me rassura point. Et là, elles se couchèrent et firent l’amour le plus simplement du monde en se moquant totalement de ma présence. Les entendre et les sentir câliner au-dessus de moi me mit dans tous mes états, malgré l’inconfortable position. En guise de participation, elles me jetèrent leurs petites culottes à renifler silencieusement…. J’avoue qu’encore une fois, que ce qu’elles prirent pour une humiliation combla mes sens olfactifs car j’aime le parfum du corps des dames.

Ma nuit fut aussi inconfortable qu’érotique, car être attaché à la merci de deux femmes compte de mes fantasmes. Au petit matin, Maîtresse Aline se leva pour aller aux toilettes puis me délivra en murmurant d’aller préparer le petit déjeuner et d’attendre tranquillement à la cuisine. Elle m’autorisa à prendre un petit déjeuner puis me congédia de la main.

Une heure plus tard, Maîtresse Aline m’appela en réclamant le petit déjeuner. Ayant prévu le coup, deux minutes plus tard je pénétrais dans leur chambre avec un plateau. La nature humaine étant ce qu’elle est, les voir assises toutes les deux côte à côte dans leurs déshabillés vaporeux mit le feu aux poudres sous la ceinture que je n’avais pas ayant toujours sur moi la chemise de la grand-mère. Aline s’en aperçue et m’incendia avant de s’en plaindre à Maîtresse Aline qui la rassura en lui disant que si elles me gardaient, je porterai une cage de chasteté ce qui bloquerait ce genre de dérapage naturel.

- Ca te plairait de nous voir nues hein gros porc ? Me demanda Julie.

- Il me plaira ce qu’il vous plaira mesdames, je ne suis pas là pour mon plaisir mais pour votre bien être. Leur ai-je répondu à la volée pour éviter de dire une ânerie.

- Tu es mielleux ! Me dit Maîtresse Aline, mais c’est une excellente réponse. Si tu restes avec nous, tu auras l’occasion de nous voir nues bien plus que tu ne l’imagines, mais il faudra le mériter. Après avoir desservit, tu iras me faire couler un bain, je l’aime très chaud, file !

Pendant que le bain coulait, je fis la vaisselle du matin avant d’être appelé à la salle de bain. A mon arrivée, Maîtresse Aline s’y trouvait nue, je fis volte-face pour ne point la regarder et lui demander ce qu’elle désirait. Elle m’ordonna d’entrer et de me mettre à genoux. Dans la position demandée, mes yeux se trouvaient en bonne place si j’avais été voyeur mais je fis très attention à les garder baissés afin de ne pas attirer son courroux. Sans aucune gêne quant à sa nudité, elle prit place dans la baignoire en m’ordonnant de venir laver ses pieds, chose que je fis avec une attention particulière. Une demi-heure plus tard, elle m’ordonna de les lécher. Ma langue leur fit l’amour avec une extrême douceur,

- Mais il te fait l’amour ce porc ! Cria soudain Julie dans mon dos.

- Non, il fait l’amour à mes pieds et j’avoue que sa façon de faire et très agréable. Répondit Maîtresse Aline

- Prend-le dans ton bain tant que tu y es ! Pesta Julie.

- Tien, c’est une idée ça, on va le laver à ma façon. Clama Maîtresse Aline en sortant du bain avant de m’ordonner d’y entrer.

Quand on vous propose d’entrer dans une baignoire, après vous êtres mis nu, votre premier réflexe est de vous y allonger, chose que je fis et qui me valut deux tonnes de reproche. Je dus y prendre place à quatre pattes où je fus lavé par deux furies. En guise de rinçage elles m’obligèrent à m’allonger sur le ventre dans la baignoire pleine d’eau, en mettant mes mains dans le dos. Trente secondes plus tard, elles étaient sur moi et m’y enfoncèrent totalement. La tête sous l’eau j’ai pris peur et je me suis débattu mais coincé sous leurs corps je ne pus faire grand-chose hormis mettre de l’eau de partout et battre des pieds dans leurs produits.

Maîtresse Aline sortit ma tête de l’eau pour me permettre de respirer en m’incendiant pour mon manque de confiance. Que répondre à cela ? Ma tête replongea aussitôt pour un temps que j’ai trouvé très long mais elle m’en ressortit quelques secondes plus tard.

- Rince-toi, éponge tes conneries et fait le ménage de la salle de bain, tu as 15 minutes.

Pour ne pas les gêner avec ma nudité, j’ai donc enfilé la chemise de nuit avant de les rejoindre au salon où une surprise de taille m’attendait. Julie avait trouvé des vêtements amples et plus ou moins extensibles dans les vêtements de la grand-mère. Je dus les enfiler ainsi qu’un corset des temps anciens qu’elles se mirent à serrer comme des malades si bien que ne parvint pas à mettre les escarpins qui m’étaient destinés.

- Ce sera ta tenue pour la journée, ce matin nous sortons mais j’ai caché tes vêtements et tes papiers. Si tu veux t’échapper tu le peux, mais ce sera ainsi vêtu. Rassure-toi, je ne vais pas te voler ton sac, je veux juste m’assurer que tu seras réellement la bonne que je veux trouver à notre retour. Démerde-toi comme tu veux mais fais-nous un bon repas pour midi. M’indiqua Maîtresse Aline

- Sois sage ! Ajouta Julie vêtue comme une déesse avant de claquer la porte derrière elles.

Arfff ! OUffff. Dur dur ! Je sais, il n’y a rien de français dans ces mots, mais reconnaissez que pour une première rencontre et pour un homme qui n’a aucune attirance pour la féminisation, la marche était haute ! Cette saloperie de corset m’a énormément gêné, pour me baisser je n’avais pas eu d’autre choix que de me mettre à genoux. Allez aux toilettes fut une étape délicate, surtout pour remonter la culotte de grand-mère……

Elles sont revenues vers 11h30 et ont apprécié les parfums de ma cuisine. Enfin un compliment. Maîtresse Aline se rendit aux toilettes faire un gros pipi, si j’ai ce détail c’est parce qu’elle a laissé la porte ouverte.

- Soumis vient ici, tu vas avoir droit à ta récompense ! M’ordonna Maîtresse Aline

Je me suis donc approché des toilettes en gardant les yeux baissés pour ne pas la gêner mais elle ne le semblait pas du tout !!!! Elle se leva, fit demi-tour en me disant : « lèche la goutte, c’est ta récompense ». Heuuuuuuuuuuuuu ! Je me suis donc mis à genoux derrière elle et j’ai tendu la langue quand soudain, sa main a attrapé mes cheveux pour me plaquer contre son intimité odorante, mouillée et un brin salée.

- Je suis satisfaite de tes services, Julie va te rendre tes vêtements et tu vas pouvoir rentrer chez toi. Si tu veux devenir notre bonniche, tu as maintenant un aperçu de ce que nous sommes et voulons. Par contre, si tu reviens, nous exigeons que tu ais une cage de chasteté et des vêtement de bonniche que tu devras acheter. Nous te donnerons les adresses pour les vêtements. A toi de voir ce que tu décides. J’attends une amie, presse-toi d’aller te vêtir et de partir. Tu me donneras ta réponse par email.

Quelques minutes plus tard, je quittais leur domicile mais j’étais si perturbé que j’ai mis un quart d’heure pour retrouver ma voiture. Quand j’ai ouvert mon sac pour prendre une cigarette, il y avait une enveloppe à l’intérieur. Je l’ai décachetée pour voir ce quelle contenait. Il y avait un papier et un billet de 50 euros. Sur le papier il était indiqué : « je joue sur toi, les 50 euros seront ma participation pour la cage de chasteté, ne me déçois pas ». Le papier était signé Maîtresse Aline.

J’avoue que je m’interroge mais quelque chose me dit que malgré la féminisation qui m’ennuie je vais leur céder. Allez donc savoir pourquoi ?

 

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Vendredi 25 octobre 5 25 /10 /Oct 06:49

Garçon manqué devient Maîtresse phallique

 

Pendant toute ma jeunesse j’ai été jalouse de mes frères, pendant qu’ils jouaient, j’ai du participer à la vie de famille ou réaliser des taches ménagères puis, pendant mon adolescence, j’ai du faire la nounou au lieu d’aller m’amuser comme mes copines. Mon premier amant fut lamentable, autant dire que pour lui j’étais une « décharge » car il s’occupait de son plaisir et jamais du mien ce qui ne m’a pas beaucoup motivée pour les câlins. Bien qu’il me l’ait faite connaître une fois la jouissance, mon fiancé était un fainéant de première, c’est moi qui montais les meuble casto ou autre que nous achetions parce qu’il disait que cela lui « prenait la tête » quand il ne les cassait pas en hurlant. Ce mec royal s’est barré avec ma meilleure amie…..

De mon enfance à l’âge adulte, j’ai donc développé des regrets de ne pas être un homme et de ne pas avoir une verge à la place d’un vagin puisque les hommes avaient à mes yeux d’énormes avantages et beaucoup de plaisir.

La révélation !

Bien que déçue des rapports humains, j’avais tout de même des envies et donc des plaisirs solitaires en visionnant sur fessestivites des photos pornos. Le jour où j’ai découvert la photo d’une femme harnachée d’un gode ceinture en train de sodomiser son amant, ce fut une véritable révélation pour moi. Mes phalanges sont devenues folles….

Je me suis donc décidée à prendre un abonnement sur ce site de rencontre que j’aime bien ce qui m’a permis d’accéder aux annonces et aux chats. Pour m’amuser je me suis fait un profil de Maîtresse, dès le premier soir, j’avais trente messages dont certains totalement débiles. Certains contacts étant à des centaines de kilomètres de chez moi, après avoir fait un premier tri par département, j’ai entrepris de répondre. Sentir les hommes prêt à ramper à mes pieds m’a beaucoup excitée, ma première nuit fut très courte tant je m’amusais sur le site. Je suis même parvenue le premier soir à obliger un mec à se branler pour moi en webcam et à lécher son sperme.

Un des soumis me parut sympathique, je me suis donc ouverte à lui en lui expliquant que je débutais et que je n’avais pas de matériel. Il me parlait de ses fantasmes, je lui en ai confié quelques uns des miens en tant que Maîtresse. Soumis35 m’a proposé de m’offrir un gode-ceinture pour que je m’en serve sur lui et cette proposition m’a donnée des idées. Lors de la première rencontre, j’étais plus gênée que lui surtout quand j’ai du mettre le gode-ceinture à ma taille. Ce soumis a été adorable et ne s’est pas moqué de moi, au contraire, il me guidait.

C’est donc avec lui que j’ai fait mes premiers pas en Maîtresse, que j’ai appris plein de choses. Mon équipement de Maîtresse grandissait de semaine en semaine et une certaine complicité voyait le jour mais lorsque sa femme a découvert le pot aux roses, notre relation a immédiatement pris fin. Bien que déçue car je l’aimais bien, je me suis remis en chasse et là un espèce de « choumis » aussi narquois que macho m’a permis de me découvrir un côté sadique. J’ai pris un pied pas possible à lui tanner le cul à la cravache. Autant dire qu’il n’est pas revenu.

De fils en aiguilles, j’ai appris à me faire offrir des choses en échange de mes prestations en donnant les liens des vêtements ou accessoires qui me plaisaient. Je tenais à ce qu’ils me les emmènent et non pas à ce qu’ils me donnent de l’argent. Vous me direz que c’est du pareil au même mais pour moi c’est différent. J’accepte les cadeaux pas l’argent, l’argent cela fait professionnelle, le cadeau cela fait profiteuse, l’image n’est pas du tout la même nous en conviendrons. Par contre, je leur offre quelque chose d’intime en échange de leur cadeau. Quand ils s’en vont, je retire la culotte que je porte pour la leur offrir, quand je ne m’en sers pas avant comme bâillon ou pour les humilier.

Chastesoum a su retenir mon attention, célibataire et bricoleur doté d’un certain humour, voilà un bon parti me suis-je dit lorsque j’ai accepté de le recevoir. Comme cadeau, il m’a offert une très belle paire de menottes en acier et les étrennées le soir même en se tortillant comme un malade sur mon lit pendant que je lui démontais le cul avec mon gode-ceinture. Allongé sur le ventre avec les mains menottées à la tête du lit et avec un gros coussin sous le ventre, ses fesses ne pouvaient pas m’être plus offertes et j’en ai profitées. Lors de notre première rencontre, quand je lui au fait cadeau de mon string, il l’a portée aussitôt à son visage pour l’humer en me remerciant comme si je lui avais offert la lune.

Cadre supérieur dans une grande entreprise, Chastesoum a des moyens financiers que je n’ai pas mais jamais au grand jamais je n’en ai abusés. Pour exemple, il m’a proposée de m’emmener dans de grands restaurants, de m’offrir des tonnes de trucs mais je suis restée cantonnée à mes principes de petits cadeaux simples et pratiques en échange de mes culottes portées. Etant célibataire, il a pu rester à la maison pour un week-end pendant lequel il s’est lancé dans le bricolage ce qui m’a permis d’avoir maintenant de jolis éclairages que je ne me serai pas aventurée à installer. Le samedi soir, j’ai été une véritable garce en l’obligeant à faire la cuisine (qu’il fait très bien d’ailleurs) nu avec comme seul vêtement sa cage de chasteté et un tablier de cuisinière. Je n’ai pas arrêté de le martyriser, de l’engueuler pour un oui, pour un non, au plus je l’engueulais et lui claquais les fesses au plus il me semblait heureux.

Devant ses réactions à chaque claque sur ses fesses, ce samedi soir je me suis aussi découvert une passion pour la fessée. Etendu sur mes genoux, j’ai aimé le sentir vibrer et se contorsionner sous les grandes claques que je lui donnais. Ce n’est que la couleur de ses fesses qui m’a arrêtée car je me suis vraiment éclatée. Sa première nuit, il l’a passée sur le tapis de la salle de bain que nous avions mis aux pieds de mon lit avec une simple couverture en guise de couchage. Le matin, quand je me suis levée dans le brouillard comme d’habitude je lui ai marché dessus et j’ai bien faillit me casser la cheville. Il était tout honteux alors que c’est moi qui avais fauté. Ce petit incident m’a permis de découvrir que Chastesoum a de sérieuses prédispositions pour les massages.

De par sa gentillesse et sa générosité d’âme puis son humour il m’a donnée envie de le revoir, quand je lui ai dit que j’accepterai sûrement qu’il devienne mon soumis, ses yeux se sont mouillés. Il était si mignon que je n’ai pas pu résister à l’envie de le prendre dans mes bras pour le consoler. Je me suis rapidement reprise de mes élans affectifs en l’envoyant acheter un cadenas à combinaison pour sa cage de chasteté. L’idée du cadenas à combinaison me vient de Fessestivites, il y a pas mal d’astuces et d’idées à prendre pour les jeux BDSM ou libertins.

Il lui a fallu trois heures pour le trouver car un dimanche matin, il n’y a pas beaucoup de magasins de bricolage ouverts. Je commençais à m’inquiéter mais le bruit de la sonnette m’a rassurée. Ce grand fou est très particulier, vous l’envoyez acheter un cadenas, il vous rapporte un mixer, un grille-pain et un repas acheté chez un traiteur en plus du cadenas !

Pour le remercier de sa grande générosité, après le repas j’ai enfilé mon gode-ceinture qu’il a eu le droit de lécher avant que je m’occupe de son petit cul. Entre les claques et sur fesses et le gode-ceinture, je l’ai un peu bousculé et pour me faire pardonner, je l’ai autorisé à retirer sa cage et à se masturber devant moi. Il n’a pas refusé de lécher sa semence mais m’a prévenue qu’il risquait de vomir, ce qui a motivé ma clémence. Par contre, après sa toilette, il n’a pas coupé à la pose du cadenas à combinaison.

Pendant la semaine, nous avons communiqué par internet mais il m’a manqué. Chastesoum a quelque chose de particulier en lui qui le rend différent des autres hommes. Il est gentil, attentionné, posé, j’aime son humour, sa façon d’être et de parler. Son respect envers la femme est palpable et chose rare, en tant que soumis il ne demande rien et prend ce qu’on lui donne comme un présent.

Le week-end suivant, égal à lui-même, il a répondu présent à ma convocation pour le vendredi en me précisant qu’il ne pouvait arriver avant 21h pour cause professionnelle en s’en excusant mais en indiquant qu’il s’occupait du repas. En guise de repas, cette fois il ne s’était pas arrêté chez un traiteur, il est arrivé avec un repas de roi ou plutôt de reine avec des feuilletés au saumon et au foie gras maison et un civet de marcassin le tout accompagné des vins pour chaque plat. J’étais terriblement gênée de tant de générosité car en prime il avait un paquet cadeau sous un de ses bras chargés.

Il a demandé de me servir et que j’attende la fin du repas pour ouvrir mon cadeau, demande que j’ai acceptée. A la fin du repas, il a débarrassé la table et m’a servie un café avant de se mettre à genou devant moi et de me tendre son paquet cadeau. Lorsque je l’ai ouvert, j’ai pu découvrir une magnifique robe de soirée. J’ai joué mon rôle de maîtresse en lui ordonnant de ne pas bouger et je suis allée l’essayer. Elle était superbe et m’allait à la perfection ! Quand je lui ai demandé comment il avait fait pour avoir ma taille, il m’a répondu honteusement avoir regardé dans mon coffre à linge pour avoir toutes mes tailles.

Que répondre à cela ? Rien !

Par principe, je lui ai donné une fessée pour avoir fouillé dans mon coffre à linge, mais cette fessée n’avait rien de méchant, bien au contraire. Après sa fessée j’ai craqué et je l’ai embrassé.

Et là une nouvelle vie a commencé.

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Domination et amour...
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Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 09:12

Le fétichisme de la cigarette, la capnolagnie 

Le fétichisme de la cigarette s'appelle en langage des sciences, la capnolagnie

Il y a de véritables passionnés de la capnolagnie. Ce fétichisme se présente sous plusieurs formes avec par exemple :

- La femme vêtue faisant des ronds ou des jets de fumée

- La femme vêtue avec son porte cigarette voir les photos vintage

- La femme vêtue dominant une personne en lui soufflant la fumée au visage par exemple

Coté érotique, les points précédents se retrouvent mais avec la nudité ou des tenues affriolantes.

Côté sexe et la capnolagnie apparaît sur des photos et vidéos avec des images représentant

- La femme en train de fumer et de faire l'amour

- La femme soufflant la fumée dans le sous-vêtement d'une homme ou d'une femme

- La femme jouant à mettre une cigarette allumée dans son vagin en la faisant fumer par des contactions abdominales

Cotés BDSM la capnolagnie apparaît comme indiqué plus en soufflant au visage mais dans le hard* avec :

- La main servant de cendrier (simple ou pour écraser la cigarette)

- Les marques sur le corps de préférence sur des zones érogènes seins, gland, fesses, autres....

- Les petits points ultra rapides visant à chauffer

 

**** dans le hard la cigarette est parfois utilisée pour faire un branding (marquage sur le corps).Il existe une technique consistant à ne pas générer d'horribles douleurs mais du plaisir par de multiples petits points ultra rapides mais répétés

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Le sexe sans tabous
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Lundi 30 septembre 1 30 /09 /Sep 09:58

La femme d'un ABDL découvre qu'elle est cocue et se venge de son mari soumis

La cocue d'un soumis ABDL se venge est une histoire dès plus classique avec une femme trompée par son mari cherchant des femmes sur des sites de rencontre pour vivre ses fantasmes. Excellent bricoleur René a fabriqué une croix de Saint André pour plaire à sa Maîtresse rencontrée sur Fessestivites, après avoir découvert le pot aux roses sa femme se venge avec une grande perversité

Blasée, Jacqueline avait accepté après 30 ans de mariage que son mari ABDL aime les couches et la délaisse. Elle s'était aussi faite à l'idée d'une vie sans Amour charnel son mari ne semblant plus intéressé par la chose. Au hasard de la venue d'une de ses copines, elles se rendent au garage pour aller chercher un pot de confiture qu'elle souhaite lui faire goutter. Lorsqu'elle tire la bâche servant de porte, Jacqueline découvre une croix de Saint André trônant fièrement devant ses pots de confiture. La réalité lui saute aux yeux en même temps que son amie d'un naturel gynarchiste commente cette découverte.

- Tu es cocue, tu vois, moi en étant célibataire je n'ai pas ce genre de problème ni de mauvaise surprise. Les mecs, je les prends et je les jette après usage quand je ne m'amuse pas à les martyriser. Lui dit Maryline.

- Je ne comprends pas pourquoi cette croix est là et à quoi elle sert ! S'étonne encore Jacqueline.

- C'est pourtant simple et gros comme un éléphant dans un couloir mais tu ne le vois pas. Ton mari est soumis, il a une Maîtresse qui le domine. Il la gâte et la soigne en lui faisant des cadeaux, cette croix en est la preuve.

- L'enfoiré va ma payer ça. Il aime les surprises, je vais lui en faire une, tu veux bien m'aider ?

- Avec plaisir Lui répond Maryline.

Une femme en colère c'est dangereux, deux c'est pire, surtout quand l'une d'entre elle est gynarchiste. Jacqueline et Marilyne conspirent puis décident de prétexter une surprise à René. Arrivée dans la maison comme si de rien n'était, Jacqueline lui pose un sac sur la tête pour lui faire une soi-disant surprise. Pour apaiser sa méfiance, Marilyne en rajoute en disant qu'il a de la chance d'avoir une femme aussi sympa.

A l'aveugle avec son sac sur la tête, René se laisse donc conduire vers sa surprise. Elles troublent les pistes en le conduisant dans la maison puis sur la terrasse pour qu'il ne se doute pas qu'elles le conduisent au garage. C'est quand Jacqueline entrave un de ses poignets à la croix qu'il comprend la ruse de sa femme et qu'elle a découvert ce qu'il a fabriquée pour sa Maîtresse. Malgré sa résistance, son deuxième poignet est solidement entravé en un rine de temps.

René est mal, très mal même, il ne sait que dire car il a compris qu'une sévère scène de ménage s'annonce et là, il va avoir du mal à s'en sortir indemne. Il ment comme un homme inquiet et pris en faute avec une certaine agressivité en prétextant que c'est pour une amie.

- Une amie, oui mais une amie Maîtresse ! Crie Jacqueline. Pourquoi ne m'en as-tu pas parlé ?

- Parce que tu es trop coincé du cul ! Répond René furieux.

- Ah je suis coincée du cul, ah ben on va voir ça ! J'accepte tes conneries avec les couches et je lave tes culottes en plastique sans rien dire, mais je peux aussi te tanner les fesses. Hurle Jacqueline.

En découvrant le côté infantilisme de René et devant cet échange dès plus irrespectueux envers son amie, Marilyne en rajoute en conseillant à son amie de lui laisser son mari une semaine en stage de soumission. J'en ferai fera un agneau puis un bon soumis obéissant ajoute-elle avec la conviction d'une Maîtresse en colère. Jacqueline emportée par sa colère baisse le short puis le slip de son mari pour le ridiculiser devant son amie.

Elle va même lui mettre une couche pour l'humilier plus encore, mais devant les propos caustiques de son mari puis les excuses de plus en plus bidons fournies lors de ses réponses, elle voit rouge. Elle confie son mari à Marilyne pour qu'elle joue avec lui comme elle le fait avec les soumis parfois le temps d'aller chercher une couche et le bocal à lavement qu'elle a récemment découvert caché au fond d'une armoire.

René se sent de plus en plus mal quand Marilyne commence à lui claquer les fesses. Par réflexe d'auto défense il lui envoie un coup de pied, chose à ne pas faire avec une Maîtresse en colère surtout quand on a les bras entravés sur une croix de Saint André. A la recherche d'un instrument pour flageller René à distance, Marilyne tombe sur un martinet de fabrication maison, sans nul doute un autre cadeau pour sa Maîtresse. Et là, les choses s'enveniment vite, très vite même. Sérieusement entrepris à coup de martinet, malgré ses ruades désespérées, les fesses et ses cuisses de René prennent vite de la couleur.

Plus ou moins maté, il n'a plus vraiment la force de résister, sous les coups redoublés il se laisse sans aucune résistance entraver une cheville. Dans un sursaut de révolte, il envoie le pied pour repousser Marilyne qui l'esquive et lui met un coup de genou dans les couilles. Totalement piégé, il la laisse lui entraver la dernière cheville, s'offrant ainsi sans aucune résistance possible à deux femmes furieuses.

Jacqueline, revenue avec la couche et le bocal à lavement essaye de reprendre une discussion pour en savoir plus sur cette Maîtresse. A ses questions, Marilyne en rajoute d'autres et lui demande s'il lui lèche bien le cul ou la chatte. René perd pied, répond n'importe quoi, s'emmêle dans ses réponses qui sont souvent accompagnées de grandes claques sur ses fesses maintenant brûlantes. Quand sa femme entreprend de lui fourrer la canule à lavement dans les fesses, il baisse la garde et supplie mais il est bien trop tard pour faire profil bas.

- Ah je suis coincée du cul, ben tu vas avoir le cul merdeux salop. Crie Jacqueline furieuse en demandant à son amie de lui poser la couche pendant qu'elle va chercher de l'eau.

René essaye bien de résister un peu mais à chaque ruade, les grandes claques de Marilyne lui brûlent la peau des cuisses car elle n'y va pas de main morte. Entravé en couche sur la croix de Saint André avec la canule d'un gros bocal à lavement dans les fesses, son moral n'est plus dans ses chaussures mais sous ses chaussures. Pour être sûres qu'il n'arrachera pas sa couche, les femmes déchaînées font x et x tours de sa taille avec un scotch d'emballage.

Jacqueline remplit le bocal à lavement. Elle fait cela très lentement pour qu'il écoute bien le bruit de l'eau, le bruit de sa misère. Cette « misère » va aller au-delà de tout ce qu'il peut imaginer ! ! !

Planté là par les femmes, il sent l'eau froide envahir lentement son colon. Les coliques ne tardent point. Il résiste par fierté et ne fera pas dans sa couche, jamais il ne leur fera le plaisir de l'humilier ainsi. Dans l'ABDL c'est juste le fait d'uriner qui l'amuse, la chaleur des couches mais jamais l'idée de déféquer dedans ne l'a effleuré.

 

Assises devant l'ordinateur de René, les femmes fouillent dans sa messagerie. Jacqueline n'aurait jamais fait cela pour deux raisons, d'abord elle n'y connaît rien en informatique, ensuite elle n'aurait jamais eu l'idée d'aller fouiller dans les affaires de son mari. Etre cocue donne des ailes à la pudeur..... Avec l'aide de Marilyne au clavier, elle découvre les échanges privés et secrets que son mari entretien avec une Maîtresse.

Les belles phrases et les mots d'amour qu'elle lit lui arrachent le cœur, les larmes montent à ses yeux, ruissellent lentement sur les joues d'une femme broyée par le chagrin et la déception.

Diplomate, Marilyne parvient à lui expliquer qu'un homme peut écrire ce genre de chose à une Maîtresse sans pour autant l'aimer. A grands coups d'exemples, elle lui parle de BDSM, de soumis venus la voir qui jamais au grand jamais n'auraient quitté leur femme.

La tromperie de son mari lamine Jacqueline. Elle accepte ses couches par amour, elle aurait aussi accepté qu'il veuille vivre certaines choses SM s'il lui en avait parlé. Elle ne se sent pas l'âme d'une dominatrice mais aurait pu lui accorder quelques plaisirs, ils auraient pu trouver des solutions ensembles.

- Pourquoi ne m'a-t-il jamais parlé de ça ?

- Parce que les hommes bien souvent n'ont pas les couilles nécessaires pour cela. Plutôt que d'affronter le regard de leur femme, de leur expliquer qu'ils ont des fantasmes, ils préfèrent ne rien dire et aller ailleurs. Ce n'est pas qu'ils n'aiment pas leur femme, non, c'est qu'ils n'osent pas leur parler, l'image du grand mâle qu'ils ont d'eux les bloque.

- Peux-tu faire venir cette salope que je parle avec elle à ma façon ?

- Pourquoi l'insulter ? Elle ne t'a rien fait, c'est lui qui est allé la chercher, qui lui fait des cadeaux. Regarde cette croix dans le garage, il va la lui offrir, je suis certaine que c'est lui qui lui a proposée. Il lui fait des cadeaux, elle lui fait plaisir en SM et il revient à la maison. En fait, ils ne s'aiment pas, ils vivent du SM, chose qui n'a aucun rapport avec l'amour. Par rapport à ce que je lis sur ses emails, je ne pense pas qu'il la baise, leur relation semble purement SM. Il y va elle le domine, il revient heureux à la maison retrouver sa femme. Tu ne vas pas foutre en l'air 30 ans de mariage pour ça, tu peux encore reprendre la situation en main et sauver votre couple.

- Tu crois ? Demande Jacqueline en buvant les paroles de son amie.

- Si tu veux, j'essaye de la joindre, je lui parle et on voit mais tu me jures que tu ne lui sautes pas aux yeux ni ne l'insultes, cela ne sert à rien et serait injuste.

- Elle reçoit quand même mon mari !

- Oui mais absolument pas comme tu l'entends. Si René allait se faire masser en cachette, casserais-tu la figure de la masseuse ?

............

Marilyne appelle la Maîtresse dont elle a trouvé le numéro de téléphone dans les emails. Elle se présente sous son pseudo de Maîtresse et explique la situation. Encore une fois avec beaucoup de diplomatie, elle parvient à la convaincre de venir chercher la croix de Saint André en lui promettant d'être présente et que tout se passera bien. Jacqueline et la Maîtresse discutent quelques minutes au téléphone, cela rassure la Maîtresse sur ses intentions. L'idée de donner une leçon à un soumis en présence de sa femme l'amuse follement, elle viendra toutefois accompagnée de son mari, sa seule condition.

Là encore, Jacqueline de comprend pas qu'elle vienne avec son mari. A ses yeux le mari de cette Maîtresse est aussi un cocu. Marilyne reprend ses explications sur la domination féminine en lui expliquant que les Maîtresse couchent très rarement avec leur soumis puis qu'elles prennent leur plaisir autrement grâce au SM. 

Toujours accroché à sa croix, René se décompose lorsqu'il les entend arriver. Son colon a gagné la bataille sur la résistance de son anus. Il s'est répandu honteusement dans sa couche comme une personne incontinente. L'odeur nauséabonde s'en échappant ne laisse aucun doute sur ce qu'il s'est passé. Lorsqu'il apprend qu'elles ont fouillé son ordinateur, sa gorge se serre. Les filles s'en donnent à cœur joie pour l'humilier en parlant de la couleur de sa couche, en lui disant également qu'il pue le rat mort. Elles poussent même le vice à lui claquer les fesses par-dessus la couche pleine, engendrant des effets sur les liquides quelle contient, effet désastreux sur le moral de René abominablement souillé.

Son cœur semble s'arrêter quand il apprend qu'elles ont eu sa Maîtresse au téléphone, les quelques détails qu'elles lui donnent ne laissent aucun doute.

Il est à deux doigts de la crise cardiaque lorsqu'elles lui apprennent que sa Maîtresse va venir en personne chercher la croix qu'il a fabriquée. Comble de l'infamie elles lui laisseront même le plaisir de le délivrer et de la démonter pour qu'elle puisse l'emporter dans sa voiture. Elles le plantent là avec sa misère, pour aller prendre un café. Ni tenant plus, il finit par uriner dans sa couche, augmentant encore les volumes de liquide. Ses yeux commencent à mouiller, fait comme un rat, René ne peut à présent que se lamenter sur son sort.

Une heure plus tard, il entend les filles passer, son sang se glace dans ses veines lorsqu'une voiture qui se gare devant le garage. Il croit mourir en entendant le son de la voix de sa Maîtresse. Pour parachever son supplice, en affichant une joie perfide d'assister à son supplice Marilyne lui retire le sac qu'il avait encore sur la tête. Le regard des autres en ces moments sont pires qu'un coup de fouet.

Il vit les pires secondes de sa vie, à être ainsi entravé et exposé avec sa couche souillée comme seul vêtement totalement offert dans sa honte devant cet homme, sa femme, sa Maîtresse puis cette garce de Marilyne.

Sa Maîtresse le libère puis lui demande de démonter la croix pendant qu'elle va discuter avec sa femme. Une demi-heure plus tard, alors qu'il dévisse les derniers boulons, ils reviennent au garage, la discussion entre femmes semble s'être bien passée. Il est tellement mal dans sa tête, dans son corps et son âme qu'il n'a même plus honte du spectacle qu'il offre à quatre pattes avec sa couche odorante souillée. Il fait le plus vite possible pour qu'ils s'en aillent, pour que cette horreur se termine.

- Tu as une femme merveilleuse, ouverte à beaucoup de choses mais tu ne la mérites pas. Si tu reviens me voir un jour petit soumis, je sais ce qu'il faut faire pour te punir, sauf que moi je te ferai bouffer le contenu de ta couche en guise de punition. Lui dit sa Maîtresse pendant que son mari charge la voiture. Oublie mon adresse et mon numéro de téléphone, ce n'est pas un conseil, ce sera le dernier ordre que je te donnerai.

Étant très fine et pas en manque de soumis, la Maîtresse de René joue le jeu des filles en humiliant encore le soumis au « cul merdeux » dans tous les sens du terme avant de quitter les lieux. Marilyne fait de même, il est temps de les laisser seuls.

La suite de cette histoire ?

Guidée par Marilyne, avec le temps Jacqueline est devenue une forme de Maîtresse Femme sans pour autant devenir une pure domina. Son plaisir est la fessée, son mari en prend souvent et depuis ce jour là René marche droit car la discipline conjugale à la maison est assez rude.

TSM journaliste de Fessestivites

Les photos des mésaventures ABDL et SM de René sont ici

Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Soumission et appartenance
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Vendredi 27 septembre 5 27 /09 /Sep 12:11

Un forum BDSM très émouvant ! 

Magnes lançait le 25 août 2013 une discussion sur le forum BDSM discussion

Un échange dès plus émouvant m'incite à en extraire une partie pour vous en donner connaissance. Vous pouvez réagir à votre tour en fonction des vos positions ou pour y poser vos questions.

Précision : Polisson est le soumis de Maîtresse Martine

Webmaster

 

MAgnes » 25 Août 2013 13:57

Bonjour à toutes et tous,

Une pratique relativement répandue dans le monde BDSM est d'envoyer son soumis ou sa soumise en stage chez une autre personne dominante.

N'ayant jamais pratiqué cela (que ce soit envoyer mon soumis en stage ou recevoir une personne venue en stage chez moi), je suis curieuse de connaître les tenants et aboutissants de cette pratique.

Que vous soyez le dominant envoyant son soumis, le soumis lui même, ou le dominant qui reçoit, qu'est-ce que cette pratique vous a apporté, quels en sont les plaisirs à vos yeux, quel était l'objectif et a-t-il été atteint ? etc.

Agnès
Curieuse de nature

Maîtresse Martine » 27 Sep 2013 09:02

Après une longue absence je reviens parmi vous et découvre une sérieuse évolution au niveau des discussions, super !
Jusqu'à présent l'idée de prêter mon soumis ne m'avait pas effleuré l'esprit mais je trouve que cette idée originale méritait réflexion et discussion. Je lui en ai parlé et lui demande de venir répéter ici la réponse qu'il m'a donnée vous allez comprendre pourquoi.

polisson » 27 Sep 2013 09:10

Maîtresse, je vous aime, je vous ai cherchée pendant des années et aujourd'hui je suis heureux. Je n'ai besoin de personne d'autre que vous pour vivre ma soumission, je n'ai envie de servir personne d'autre que vous. Dans un pays il n'y a qu'un roi ou qu'une reine, dans mon monde il n'y a qu'une reine : vous ! Les autres ne m'intéressent pas ou plus puisque pendant des années j'ai cherché une reine, ma Reine.
Votre demande m'a énormément touché et si j'avais les larmes aux yeux c'est parce que j'ai eu peur de vous perdre. Maintenant que vous m'avez rassuré sur vos intentions et sentiments à mon égard, même si l'idée ne me plait absolument pas, pour vous ma reine je suis prêt à tout et donc à aller servir une autre si vous en exprimez le désir. Ordonnez je ferai,prêtez moi si bon vous semble mais s'il vous plait, ne m'abandonnez pas, j'en mourrai.
Votre soumis aux yeux mouillés.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Samedi 21 septembre 6 21 /09 /Sep 08:58

dog trainning chasteté par Maitresse

 

Rencontre Fessestivites de septembre 2013

Tous les week-ends organisés par Fessestivites sont gratuits pour les membres.

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Vendredi 13 septembre 5 13 /09 /Sep 09:02

Le papier toilette d'une gynarchiste au Japon

Au japon, contrairement aux idées reçues, mettre la main aux fesses des femmes n'est pas sans risque comme l'a découvert Aguri. En sortant d'une réunion, le magnifique fessier de la secrétaire Chiemi était trop tentant pour lui, il a fallu qu'il le touche pendant qu'ils faisaient la queue pour sortir. Manque de chance ou bien fait pour lui, peu importe, la DRH s'en est aperçue.

Immédiatement convoqué chez la DRH, Madame Hisae lui a fait ce que l'on appelle une « remontée de bretelles » avant de convoquer son amie la secrétaire Chiemi. Au Japon, le licenciement pour harcèlement sexuel et manque de respect rime avec des difficultés pour retrouver un emploi auxquelles s'ajoute la honte, le motif étant publié sur le panneau du personnel. 

Ayant des affinités très intimes cachées avec Chiemi, Madame Hisae d'une perversité sans limite décide de s'amuser et d'offrir un jouet à celle qui lui bouffe si bien la chatte quand elles s'isolent dans son appartement. Tout y passe, la menace du licenciement, la pression psychologique en appuie sur sa dignité qu'elle peut détruire d'un claquement de doigt. Sous la pression, Aguri signe les papiers de son licenciement en reconnaissant sa faute en échange de la discrétion. Pour lui c'est une véritable catastrophe financière et familiale. Juste avant qu'il ne sorte du bureau avec les larmes au bord des yeux, Madame Hisae le rappelle pour lui faire une proposition. Au lieu de le licencier, elle lui propose de se mettre au service de la secrétaire Chiemi et de céder à tous ses caprices comme doit l'être un homme abjecte comme lui. Aguri accepte immédiatement sa proposition sans même savoir ce qu'il l'attend.

- Alors pour nous prouver que vous êtes un homme de parole, vous allez vous mettre à quatre pattes et lécher les chaussures de celle que vous vouliez déshonorer. Lui ordonne la DRH.

En totale perdition psychologique Aguri accepte aussitôt cette demande originale sans même réfléchir. Pour Chiemi, une lesbienne invétérée, avoir un homme à ses pieds est une jouissance cérébrale extraordinaire qui lui donne des ailes. Elle éprouve un incommensurable désir d'humilier cet homme à qui elle tend maintenant le dessous de ses escarpins en lui ordonnant de lécher là aussi. Devant les réfutations d'Aguri, elle lui donne une gifle en le traitant de porc et d'incapable.

- Si vous n'êtes pas capable de lui accorder ce genre de chose c'est que votre promesse de vous mettre au service de celle que vous avez humiliée ne vaut rien. Dois-je ressortir la lettre de licenciement du plus gros faux cul que j'aurai licencié ? Demande la DRH.

Piégé par sa connerie, Aguri s'exécute donc avec la peur au ventre d'être licencié au point que sa langue parcourt la semelle comme si sa vie en dépendait. Pendant qu'il déguste les chaussures de celle qui n'a qu'un claquement de doigt à faire pour que son avenir bascule, Chiemi fait signe discrètement à son amie qu'elle a une envie pressante suite à l'interminable réunion. Et là, Hisae trouve le moyen de pousser plus encore le soumis et jouet vautré à même la moquette.

- La secrétaire Chiemi a besoin d'aller aux toilettes. Vous désiriez toucher ses fesses, vous allez donc les voir de près et même les lécher en lui servant de papier toilette. Si vous accepter d'être à sa disposition, de la servir comme on vous le demande, votre dossier restera au fond de mon bureau. Relevez-vous et accompagnez-là aux toilettes. Ordonne la DRH.

Chiemi est gênée par cette demande, mais au regard dur de sa Maîtresse, elle n'ose réfuter. Ils se rendent tous deux aux toilettes et ferment la porte derrière eux. A quatre pattes comme demandé, il a le loisir de la voir remonter sa jupe et baisser ses collants puis s'asseoir pour se soulager. Si en d'autre temps la voir se dévêtir l'aurait excité, l'heure n'est plus pour lui à la bagatelle, un avenir de soumis piégé se déroule devant ses yeux. Dans l'action, Chiemi perd sa pudeur et se lève offrant au regard de son jouet humain une vue imprenable sur son triangle magique délicieusement entretenu. Elle fait volte face, lui tend ses fesses et lui ordonne de lécher.

Sans voix et sans plus aucune volonté, Aguri s'exécute encore une fois. Avec les larmes aux yeux il lèche la chatte humide qu'il aurait bien volontiers dégustée dans d'autres conditions. Chiemi l'attrape par les cheveux pour qu'il s'applique et remonte entre ses fesses pour que la toilette soit bien faite. Au point de dégradation psychologique où il en est, Aguri s'exécute et lèche maintenant la raie fessière sans même réfléchir. Prestement repoussé, il baisse les yeux pendant que la secrétaire devenant sa Maîtresse remonte ses collants puis ajuste sa jupe.

Tu peux tirer la chasse et retourner à ton travail ! Lui dit en partant celle qui va devenir son enfer dans l'entreprise.

TSM journaliste de Fessestivites


La vidéo du papier toilette d'une gynarchiste au Japon est ici

 

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Couples Cuckold et Gynarchique
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Lundi 2 septembre 1 02 /09 /Sep 12:28

40 degrés à l'ombre, un marquage au shibari

40-degres-a-l-ombre-marquage-au-shibari.jpg

40 degrés à l'ombre, un marquage au shibari n'est pas le titre de la célèbre émission de divertissement de FR3, c'est la température qu'il faisait en Camargue le jour du marquage au shibari pour Soumise Kioki-san.

Dans un premier temps, et après qu'elle se soit recouverte d'ambre solaire je lui ai fait un corset avec des cordes en jute souple et confortables trouvées via le réseau Fessestivites. A la suite de quoi, je l'ai entravée sur la croix de Saint André dans le parking pour laisser le temps au soleil de faire son œuvre. 

Histoire de faire plaisir à ma soumise puis de torturer ses sens, un vibromasseur extrêmement puissant a trouvé sa place au bon endroit féminin qu'il n'est point besoin de décrire. Et là pour lui mettre la pression, je suis parti en voiture en lui souhaitant une bonne après-midi. Autant dire que la belle n'était pas fière 

Par prudence et surtout pour ne pas la laisser seule, je me suis garé à quelques centaines de mètres de la maison pour revenir surveiller ma soumise. Ses frémissements sur le vibromasseur me donnaient la température.....

30 minutes plus tard, j'ai récupéré la voiture et je suis revenu mais pas avec comme projet de la libérer, non non, juste de la réhydrater car il faisait réellement 40 degrés à l'ombre. Lorsqu'elle m'a vu arriver avec une carafe d'eau elle a pris peur !

N'étant ni inconscient ni totalement sadique, l'eau de la carafe était tiède et m'a permis de faire descendre un brin la température de son corps. Ne pouvant la laisser mouillée, je l'ai séchée au martinet histoire de la faire vibrer encore un peu puis de la « ventiler ».

Comme elle me semblait bien ( il y a des milliers de touristes qui restent 4 heures au soleil sur la plage) je suis allé moi aussi me réhydrater avec un bon pastaga dans la maison climatisée ! 30 minutes plus tard, j'ai récupéré ma soumise exténuée non sans l'obliger à me baiser les pieds pour me remercier de lui avoir accordé de multiples jouissances et un marquage provisoire réalisé sans douleur.

TSM du réseau Fessestivites

Les photos de ce bondage sont ici 

La vidéo de ce shibari particulier est ici 

 

Je fais mes rencontres BDSM ICI sur Fessestivites et ces photos sont de moi


Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Shibari bondage BDSM
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