Sadique et cruelle garce
Depuis qu’il a emmené son épouse sur Fessestivites, Jean ne la reconnaît plus. Son but avoué était de lui donner envie
qu’elle devienne sa Maîtresse, qu’elle le domine de temps en temps histoire de mettre un peu de piment dans leur relation disait-il, en vérité, c’était tout simplement pour réaliser ses propres
fantasmes.
Pour Louisa ce fut une révélation, l’ouverture totale à la débauche et à la luxure. Son enfance dans une famille d’accueil
rude et stricte ne lui a pas permis de découvrir les plaisirs de la vie, à peine sortie de l’école son rôle était pire que celui d’une « bonne » car en plus de l’exploiter, ils se complaisaient
à la persécuter psychologiquement. Le jour de ses 18 ans, ils lui ont parlé de mariage puis lui ont présenté un homme plus âgé qu’elle. Ce n’est pas son charme qui fit tourner la tête de Louisa
mais sa gentillesse. La douceur et le respect qu’il dégageait firent qu’elle se laissa embrasser sur le chemin du retour d’un restaurant, son premier restaurant, sa première sortie en ville
comme un être « normal ». Six mois plus tard elle était mariée à Jean qui la conditionna psychologiquement pour qu’elle devienne une « bonne épouse »
Elle connut donc ses premiers émois avec son mari et se révéla être « gourmande » et surtout gloutonne de câlins, les
câlins qu’elle n’avait pas eu pendant son enfance. La vie n’étant pas toujours un long fleuve tranquille, ils ne purent avoir d’enfant, Jean étant stérile, chose qui le perturba énormément et
généra secrètement en lui après sa dépression, le sentiment d’être inférieur. Les méandres de la psychologie dans des cas comme celui-là peuvent générer des réactions de violence, d’alcoolisme
pour s’auto détruire, ou bien d’autres attitudes. Chez Jean ce fut la soumission.
Pendant près des années il surfa en cachette sur des sites pornographiques où il trouva matière à apaiser son esprit et son
corps manuellement en solitaire. Lorsque l’idée d’orienter la sexualité de son épouse lui est venue, il commença par la fessée qu’il lui donna avant de lui demander de lui en
donner une petite pour voir ce que cela fait. Contrairement à ce qu’il s’imaginait et redoutait, Louisa adora lui donner une bonne fessée. La sexualité de leur couple évolua donc dans le monde
de la fessée, il lui en donnait des petites et elle lui en donnait des sévères en échange. La « chose » ne perturbant pas son épouse, il s’aventura à lui faire découvrir
Fessestivites où l’on trouve des articles, des histoires et des vidéos avec la thématique Maîtresse / soumis. C’est sur le forum BDSM que Louisa passa le plus
de temps en l’absence de son mari refusant depuis toujours qu’elle travaille.
Pour Louisa, surfer sur Fessestivites c’était un peu comme faire voir un catalogue de jouets à un enfant, l’envie d’aller
dans le magasin la titillait de plus en plus. S’étant instruite sur le sujet Femdom, elle proposa un soir à son mari de l’attacher pour lui faire des choses. Lors de cette première fois, elle
ne lui fit rien de plus que s’il avait été libre, la seule différence était qu’il était attaché mais pour Louisa fut une deuxième révélation.
Elle n’était plus soumise de la vie, elle la dominait, elle décidait. Extrêmement chipie elle poussa Jean dans ses
retranchements en arrêtant la fellation juste avant l’explosion pour s’offrir un cunnilingus assise sur son visage. Pour Jean ce fut merveilleux, il réalisait son fantasme de
soumission si bien qu’il s’investit totalement à la tâche puis, une fois libéré la serra très fortement dans ses bras en lui indiquant qu’elle avait été merveilleuse.
Prenez une gourmande de sexe frustrée dans sa jeunesse, offrez-lui une bonne dose de perversité en la conduisant sur
Fessestivites et ajoutez ensuite des câlins et des compliments, la recette de ce cocktail peut donner des réaction psycho-chimiques surprenantes. C’est exactement ce qu’il se passa dans la tête
de Louisa, avec en prime de l’argent et un mari toujours prêt à acheter des tonnes de sex-toy et accessoire sur ABCplaisir.com pour continuer à donner les moyens à sa femme de
lui faire ce qu’il avait envie.
SIX MOIS PLUS TARD
En vacances au Cap D’Agde découvrirent le libertinage et le Clair Obscur où Jean céda à son épouse de plus en plus
persuasive et fit un tour dans le cercueil sur lequel elle prit un malin plaisir à boire un verre en le titillant puis soudain, le termina assise sur la partie ouverte du cercueil au dessus de
son visage !!!!! Louisa devint rapidement « disjonctée » au point qu’il dut la freiner, en lui rappelant que son métier de juge ne lui permettait pas de s’exposer tenu en laisse dans les rues
même au Cap D’Agde. Elle se vengea le soir même au gode-ceinture en lui explosant le fondement strié a la canne anglaise.
Au retour de ses vacances très révélatrices pour Louisa, elle décida d’introduire un homme dans leur relation. Bien souvent
c’est l’homme qui initie le candaulisme, chose que les femmes n’apprécient pas toujours au départ….. puis parfois s’en accommodent bien pour soi-disant faire plaisir à leur mari…. Là, ce fut
donc le contraire mais Jean, éperdument amoureux de sa femme et de sa Maîtresse accepta avec peine. L’ex frustrée des plaisirs de la vie devenue gloutonne ne tarda point à trouver un mâle
adepte du cuckold sur Fessestivites. La première soirée candaulisme BDSM se déroula simplement, elle attacha son mari sur une chaise et s’envoya en l’air sur
le canapé sous ses yeux. L’amant de passage parti, elle le libéra et le dévora à son tour.
SIX MOIS PLUS TARD
Louisa devenant de plus en plus sadique et cruelle imagina un plan cocufiage démoniaque après avoir vu des vidéos cuckold candaulisme très BDSM sur Fessestivites. Elle demanda à un
des amants de passage de lui fabriquer une forme de caisse cercueil comme celui du Clair Obscur avec quelques variables très perverses. Le jour de l’anniversaire de Jean, elle lui fit la
surprise en dévoilant le cercueil installé dans le salon.
- Un cercueil comme cadeau d’anniversaire, ne penses-tu pas que tu fais un peu fort ma chérie ?
- Ce n’est qu’une partie de ta surprise petit soumis, mets-toi nu et installe-toi à l’intérieur. Lui
répondit Louisa en lui pinçant les tétons à travers sa chemise.
Jean abdiqua comme toujours et s’allongea nu dans la caisse en bois où elle commença par lui faire un bondage de couilles
avec une corde dont elle laissa un long morceau à l’extérieur. A la suite de quoi elle calla la tête de son mari avec des serviettes pour qu’elle dépasse de la caisse après lui avoir mis un
bâillon bouche ouverte. Elle referma le couvercle du cercueil BDSM en passant la corde par un trou prévu à cet effet. Histoire de s’amuser un peu, elle prit place sur le visage
de son mari puis tira sur la corde ce qui eut pour effet de tirer sur les couilles bondagées et de générer de gémissement plaintifs bien réels.
« Lèche la chatte de ta Maîtresse » ! Criait Louisa particulièrement en forme ce soir-là.
Pendant cette première partie de son plan BDSM, Jean malgré ses plaintes bandait dur et s’éclatait mais son plaisir fut
coupé net lorsqu’il entendit la sonnette et vit le fessier de son épouse disparaître. La tête bloquée dans sa caisse, son champ de vision était limité mais il put apercevoir un jeune homme et
entendre la conversation. Louisa le dominait lui aussi ! Il dut se mettre nu et se branler pour bien bander, le juge commençait à s’affoler car son épouse devenait de plus ne plus hystérique.
Soudain il vit son épouse monter sur la caisse au dessus de son visage puis un sexe très en forme sans préservatif au-dessus de son visage. Quand il vit qu’elle allait se faire sauter au-dessus
de lui il hurla « préservatif », Louisa lui répondit qu’il venait de lui remettre son test HIV et qu’il serait puni pour ne pas s’en être douté.
Aux premières loges, Jean put voir la belle bite fouiller entre les lèvres intimes de sa femme puis la pénétrer lentement.
Après un court moment de chevauché, elle ordonna (le mot est bien choisi) au soumis cocufieur de faire une pause puis de se retirer. Louisa assise sur la tête bloquée de son mari s’offrit un
facesitting en le motivant à l’aide de la corde attachée à ses précieuses. Prête à jouir, elle se releva et ordonna au soumis de la baiser à nouveau.
Les couilles du soumis ballottaient juste au dessus du nez de jean en le frôlant parfois mais quand son épouse se coucha
littéralement sur le cercueil elle lui servirent de lunettes ! ! ! N’étant pas du tout bisexuel il n’apprécia pas le cadeau mais du se résigner à attendre que sa femme soit rassasiée
Il savait pertinemment que sa femme pouvait être sadique et cruelle, mais elle fut une véritable garce quelques minutes
plus tard quand elle prit place sur son visage pour se faire lécher la chatte gluante de sperme et de mouille. Le bâillon bouche ouverte ne lui permit pas d’esquiver les gouttes de sperme mais
il refusa de lécher jusqu’au moment où ses couilles bondagées furent étirées très fortement.
Pour avoir osé résisté à son cadeau d’anniversaire, elle s’acharna à faire bander le soumis à nouveau en le suçant et en
l’obligeant à se branler puis, en grande perverse prit le relais dans la dernière ligne droite de la branlette pour diriger les jets de sperme sur son visage. Le juge était comme fou dans son
cercueil, entravé, enfermé et avec un bâillon bouche ouverte il ne put rien faire pour éviter un jet de sperme qu’il dut avaler. Le jeune soumis fut rapidement congédié Louisa ayant maintenant
envie de son mari. Lorsqu’elle retira le couvercle du cercueil, au lieu de le libérer elle joua avec le sexe et les couilles bondagées de son soumis avant de s’empaler dessus pour le chevaucher
comme une folle à la recherche d’autres orgasmes dont elle ne se privait plus depuis plus d’un an.
Se faire chevaucher les couilles bondagées fut assez douloureux pour Jean mais il ne put résister à la montée de sa
jouissance qu’elle lui fit lécher cette fois sans le bâillon ouvert. Il refusa mais dut encore abdiquer sans quoi elle lui faisait passer la nuit dans le cercueil après lui avoir arraché les
couilles.
Et là, la chose faite, elle l’abandonna toujours attaché pour aller chercher une bouteille de champagne et deux fluttes en
cristal. Avant de le libérer elle lui annonça qu’elle était fière de lui et lui donna du champagne à la becquée. L’idée lui vint d’enfourcher la bouteille de champagne et de l’agiter en elle
avant de s’asseoir à nouveau sur son visage. Comme l’on peut s’en douter, il y eu du champagne de partout mais cela amusa beaucoup Louisa qui recommença deux fois pour trinquer avec son
soumis.
Ecrivaillon
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