Homme soumis

Lundi 3 mars 1 03 /03 /Mars 18:13

Soumis ou ABDL ou la grenouillère de l’enfer


Ma Maîtresse est imprévisible et perverse à souhait. Certes nous les soumis, aimons que les Maîtresses jouent avec nous, mais il y a des limites difficiles à franchir.

Depuis que nous sommes sur Fessestivites, ma Maîtresse a changé d’attitude et de domination. Si au départ elle manquait d’idée, grâce aux 365 idées de punitions disponible sur le site Fessestivites, elle m’impose quasiment quelque chose de nouveau tous les jours. Des fois c’est bien, des fois c’est dur !!!!!!!


Il y a 3 trois mois, elle a suivi des conseils sur le forum chasteté et m’a commandé sur ABCplaisir cette cage de chasteté en métal qui est bien plus discrète que ma CB6000. De fait, je la porte tout le temps même les week-ends où j’ai mes enfants. GRRRRR

UNE LUBIE DE DOMINA !

Pour mon anniversaire, deux gros paquets m’attendaient sur la table du salon ainsi qu’une bonne bouteille de vin, un côte du Rhône à s’en lécher les babines rien qu’en la débouchant. Comme à son habitude, elle jouait l’espiègle dominatrice et me harcelait sous divers prétextes, chose me convenant pleinement car avec elle je m’abandonne totalement en soumission. Pourquoi vais-je aussi loin dans ma soumission je ne saurai le dire mais c’est ainsi.



A la fin du repas, elle m’a autorisé à ouvrir mes cadeaux en me demandant de commencer par le plus plat des deux. Les doigts tremblants, j’ai donc déchiré l’emballage du paquet cadeau pour découvrir une grenouillère pour adulte et une culotte en plastique. Mon regard étonné ne la surpris pas du tout, bien au contraire, elle était pliée de rire en me faisant des remarques du type, « le gros bébé va bien dormir » ou « en vieillissant tu retombes dans l’enfance » avant de conclure avec : « tu vas avoir le droit de me servir de peluche » !!!!!!

J’avais constaté que sur le chat de Fessestivites, elle s’était fait des amis passionnés d’ABDL, une forme de fétichisme pour les couches ou de régressions et tenues de bébé mais je n’aurai jamais pensé que cela puisse l’attirer. Le deuxième paquet contenant un paquet de couches, le doute sur ses envies s’est envolé pour laisser place à de l’inquiétude.

« Nous testerons tes cadeaux samedi soir » m’a-t-elle dit avant de me sauter sur les genoux pour me rouler un patin de femme amoureuse. Dans ma cage de chasteté, mon sexe criait « famine » avant qu’elle saute sur mes genoux, je vous laisse donc imaginer la chose compressée dans son tube en métal….. le soir-même j’ai eu le droit de lui faire une minette et de la conduire au plaisir avec ma langue agile et quelques phalanges coquines.

LE SAMEDI

Nous avions terminé le repas et regardions les informations télévisées quand elle s’est levée pour aller s’installer devant l’ordinateur en m’invitant à prendre une chaise et venir m’asseoir à côté d’elle. Et là, j’ai découvert qu’elle avait décidé de me faire participer au chalenge ABDL de Fessestivites.

- J’ai lu que ton sexe encagé a besoin de faire des pauses et que c’est important pour ta virilité. Comme je n’ai pas envie de te libérer puisque tu as fait une grosse bêtise, je vais t’accorder une pause autrement. Ce soir je vais te retirer ta cage de chasteté et te mettre la grenouillère que tu viens d’avoir comme cadeau d’anniversaire.

Moi les couches, cela ne me branche pas, mais alors pas du tout, mais quand Maîtresse veut quelque chose, j’exécute sans discuter même si parfois c’est dur. La surprise n’était pas tellement de mettre une couche mais d’y passer 24 heures !!!!!!!!!

HUMILIATION

En webcam et devant tous les membres présents, ma Maîtresse m’a retiré ma cage de chasteté avant de me mettre deux couches l’une sur l’autre puis une culotte en plastique. J’étais blême, je me sentais con là-dedans ! En soubrette c’est quand même moins pire qu’en couche pour moi, mais bon. Elle m’a ensuite demandé d’enfiler ma grenouillère pour adulte qui est ultra douce et chaude.

La deuxième grosse surprise est arrivée d’une enveloppe dont elle a sorti un plomb en plastique qu’elle a posé sur des anneaux fixés en haut de la fermeture éclair avant d’annoncer que nous faisions le chalenge des 24 heures en couche. Euh ….. j’ai eu beau essayer de réfuter, elle n’en démordait pas et m’a même fait voir qu’elle nous avait inscrit sur le forum ABDL du site. Elle a même rajouté qu’il valait mieux pour moi que je n’essaie pas de tricher car c’était ma punition pour m’être fait flasher à 117 au lieu de 90.

Si j’ai pu contenir mon avis d’aller aux toilettes pour soulager ma vessie, vers minuit je n’en pouvais plus. Pour m’empêcher de me lever, Maîtresse m’avait mis de menottes dont une était attachée à la tête du lit. Je n’ai donc pas eu le choix que de me pisser dessus mais ce n’est pas aussi facile qu’on ne le pense. J’avais envie mais impossible d’y arriver. A force de bouger je l’ai réveillée et n’ai pu me soustraire à la question : « tu as mouillé ta couche bébé » ?

Quand je lui ai expliqué que je n’y arrivais pas, cette s…… superbe Maîtresse m’a sauté dessus en s’appuyant sur mon ventre. J’ai fini par craquer et m’abandonner dans la couche sous les mains d’une furie bien décidée à me faire abdiquer. Contrairement à ce que j’imaginais, au début cela n’a pas été si désagréable que ça, par contre, sentir mon urine couler entre mes fesses l’était moins. La bonne surprise a été que finalement la couche absorbe car j’avais peur de baigner dans mon urine. Lovée contre moi, Maîtresse a rapidement retrouvé son sommeil, contrairement à moi.

Le matin au réveil, Popaul a retrouvé ses habitudes sportives, mais compressé dans les couches, il ne fit pas un marathon. Déambuler dans la maison en grenouillère avec un gros paquet entre les jambes me fut difficile mais je n’ai pas eu le choix. Comble de l’ignominie, Maîtresse m’a fait de la Blédine à midi avant de partager avec moi une cotte de bœuf. OUF !

Si j’étais parvenu à ne pas aller déféquer le matin, l’après-midi fut bien difficile et m’obligea à des contorsions dont l’élégance reste très limitée : s’arrêter de marcher pour serrer les jambes et les fesses comme un malade. Si je commençais à m’habituer à faire pipi dans la couche, le reste ne me semblait pas concevable et Maîtresse se moquait totalement de ma vision des choses. Pour elle nous allions terminer le chalenge quoi qu’il arrive.

La chose est arrivée à l’apéro du soir quand une saloperie de cacahuète s’est égarée au fond de ma gorge pour prendre la direction de mes poumons. En ce cas, comme tout le monde on tousse et l’indésirable ressort mais quand on n’en peut plus d’attendre pour aller aux toilettes….. ben ça sort des deux côtés du tube digestif. J’étais mort de honte et je ne me suis jamais senti (sans jeu de mot) aussi sale de ma vie. Pour le repas j’ai refusé de m’asseoir, Maîtresse s’est faite très convaincante mais je l’ai eue, en m’asseyant sur le rebord de mes fesses.

C’est donc debout que je me suis présenté en webcam sous les ordres de Maîtresse pour que Maîtresse Alysée puisse constater que le plomb de ma grenouillère était intact. Libéré du plomb et surtout des obligations de ma Maîtresse, j’ai enfin pu courir à petit pas vers les toilettes et la salle de bain avec « va te laver le cul tu pus » comme élégants quolibets.

Le soir même, j’ai pu faire un gros câlin sans cage de chasteté ni couche à ma Maîtresse d’amour que j’aime très fort même si parfois elle me fait chi…

Ecrivaillon

 

Forum ABDL

Rencontres ABDL

Voir les vidéos ABDL SANS PUB

Boutique avec des produits pour ABDL

Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 11:40

Le chien soumis de Maîtresse Alysée

 


Cela faisait quelques jours qu’il cassait les pieds à Maîtresse Alysée sur le chat BDSM de Fessestivites. Malgré un avertissement du webmaster, chien soumis poursuivit sa campagne de séduction toujours très respectueuse et avec des mots courtois très choisis ce qui lui valut de ne pas être exclu du chat à la demande de Maîtresse Alysée.

Maîtresse Alysée décida donc de s’amuser avec ce soumis « pot de colle » à qui elle avait répété mainte et mainte fois qu’elle ne cherchait pas de soumis attiré. Elle commença par lui faire acheter une cage de chasteté en lui expliquant que si elle acceptait de jouer un peu avec lui pour tester sa soumission, il était hors de question qu’il se branle devant l’écran sans sa permission.

Cette pose de cage de chasteté fut faite en grande pompe sur le chat et en webcam tout comme la pose d’un cadenas à combinaison commandé à Fessestivites dont seuls le webmaster et Alysée connaissaient la combinaison.

Chien soumis ne loupa pas une soirée sur le chat, même quand Maîtresse Alysée n’était pas là car il était hors de question à ses yeux qu’il la déçoive par son absence. Une semaine plus tard, il ne demandait toujours pas grâce et présentait sa cage de chasteté cadenassée en webcam à chaque demande de sa Maîtresse temporaire.

Un brin prétentieux, chien soumis essaya de pousser Alysée dans ses retranchements de Maîtresse en lui indiquant qu’il pouvait faire 100 fois plus pour elle sur simple demande de sa part. Il ne manquait pas non plus de propos élogieux ni de respect envers cette Maîtresse pour lui devenue Déesse Alysée. Cette dernière commença à s’amuser follement en le poussant à faire des choses en webcam qu’il n’a jamais esquivées allant même au-delà de ses demandes comme s’il devinait à l’avance ce qu’elle allait lui demander. Il est vrai qu’il avait pas mal observé cette très charmante Maîtresse et s’arrangeait donc pour avoir à portée de main tout ce qu’elle pouvait demander y compris, des couches au cas où elle lui en imposerait comme elle l’a fait un samedi soir aux ABDL.

Devant les propos prometteurs de monts et merveilles de chien soumis, Maîtresse Alysée décida en même temps de le pousser un peu pour voir, jusqu’où ses promesses avaient un sens. Elle le questionna donc pour en apprendre un peu plus sur l’origine du pseudo « chien soumis », et la réponse publique surprit plus d’un des membres présents :

« Maîtresse Alysée, sachez que sans aucune prétention ni mensonge aguicheur de ma part, que la vie de chien est une vie qui me plairait bien. Ne pas parler, ne pas demander, attendre la caresse que la Maîtresse peut donner ou non en fonction de ses inspirations, puis dormir en chien de fusil à ses pieds serait un rêve que dis-je un idéal de vie pour moi ».

Maîtresse Alysée insista pour savoir s’il était réellement sérieux et s’il avait réellement le courage de ses prétentions. La réponse positive la piqua au vif, les ordres suivants tombèrent aussitôt :

- Demain je veux que tu te présentes intégralement nu à moi à 21 heures sur le chat BDSM avec un collier de chien en métal autour du cou, une chaîne de deux mètres de long et des mousquetons, une gamelle de chien remplie de coucous cuisiné mais froid. Avant cela tu devras avoir lavé et désinfecté le sol de ton salon et installé une couverture et ton ordinateur par terre devant le radiateur que j’ai cru apercevoir lors de la soirée cage de chasteté. S’il manque quelque chose je ne te répondrai plus malgré tes suppliques.

- Vos désirs sont des ordres Madame, tout sera fait comme vous le désirait. Fut la réponse de chien soumis.

LE LENDEMAIN SUR LE CHAT BDSM

A 20h50 chien soumis attentait nu assis par terre que Maîtresse Alysée veuille bien lui parler et lui demande d’allumer sa webcam ! Les membres présents ayant suivi la discussion de la veille purent constater, tout comme Alysée, que chien soumis avait respecté ses engagements mais la suite en surpris plus d’un y compris chien soumis !

Maîtresse Alysée commença par lui ordonner de fixer la chaîne au radiateur et à son collier de chien acheté pour la circonstance. Elle lui demanda de faire « le beau » puis lui donna des ordre comme assis, couché et même « attaque » chose qu’il fit en se démontant le cou pour détaller vers une personne imaginaire comme s’il avait oublié sa chaîne ! ! !

Un peu gênée, Maîtresse Alysée lui demanda de se modérer et l’engueula copieusement pour ce geste déplacé qui aurait pu le blesser. A la suite de quoi, en guise de punition, elle lui ordonna de vider sa gamelle de coucous sur le sol et de manger sans les mains comme le ferait un chien. Encore une fois, chien soumis s’exécuta sans aucune hésitation, peut être un peu trop vite car pour manger il tournait le dos à sa webcam et offrait aux yeux de tous une vue imprenable sur ses fesses et sa cage de chasteté pendant entre ses jambes. Si certains trouvèrent cette vue déplacée, Maîtresse Alysée y trouva source d’inspiration en demandant qu’il trouve sans tarder un plug queue de chien pour la ou les prochaines soirées en webcam.

Le coucous répondu sur le carrelage lapé, chien soumis se présenta devant sa webcam en frottant son visage avec ses pattes de devant pour essayer de se redonner un visage présentable. Il écrivit « merci » puis bien madame j’achèterai de tout urgence le plug queue de chien, j’aurai du y penser et vous prie de bien vouloir m’en excuser ».

Félicité pour son obéissance, chien soumis reçu l’ordre d’aller se coucher comme un chien sur sa couverture et de dormir là avec la lumière allumée jusqu’au lendemain, afin qu’elle puisse vérifier ou faire vérifier par des membres volontaires qu’il respecterait cet ordre.

EPILOGUE

Chien soumis respecta toutes les consignes de Maîtresse Alysée et avoua avoir été contraint de lever la patte contre le radiateur car elle ne l’avait pas autorisé à se rendre aux toilettes.

La soumission extrême + le respect affiché + la courtoisie de chien soumis interpella un couple dominant sur le chat qui demanda à Maîtresse Alysée si elle acceptait de céder son chien, chose qu’elle accepta immédiatement, puisque son but n’était pas de prendre un soumis. C’est ainsi que chien soumis fut adopté.

EPILOGUE 2 d’Ecrivaillon

Maîtresse Alysée je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour cette histoire qui n’est que le fuit de mon imagination. Votre façon de dominer mais également votre gentillesse m’ont donné envie de vous dédier un récit que je peux supprimer sur simple demande.

En clair : c’est de votre faute !

Ecrivaillon provocateur, un peu trop peut-être …..

 

Vidéos de domination féminine SANS pub

 Histoires érotiques BDSM d'homme soumis SANS pub

Forum BDSM domination féminine SANS pub

Rencontres BDSM

Boutique BDSM

Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 3 janvier 5 03 /01 /Jan 11:31

Il voulait boire le champagne doré de sa Maîtresse


Maîtresse Kali est une dominatrice dans l’âme très perverse avec les hommes dont elle se joue avec passion. Le dernier soumis rencontré sur Fessestivites.com lui faisant des tonnes de promesses. « Un de plus » pense t’elle qui n’est intéressé que par ma chatte à lécher voir plus si affinités…..

- Alors comme ça, tu rêves de boire mon champagne doré, mais en es-tu capable réellement ? Lui demande Maîtresse Kali sur le chat. Je pense que c’est mon sexe qui t’intéresse.

- Ah non Maîtresse, je ne confonds pas sexe et soumission, mettez-moi à l’épreuve si vous le désirez, vous constaterez que je ne suis pas un menteur.

Un rendez-vous est donc pris pour une première rencontre, soumis Charles lui a donné sans aucune réserve ses coordonnées téléphoniques et même son adresse puis sa véritable identité. Si sa recherche de Maîtresse est sincère, il recherche également une conjointe avec laquelle il pourra faire l’amour, mais cela il refuse de l’avouer.

Récupéré devant la brasserie le Concorde, lorsque Charles suit Maîtresse Kali jusqu’à son logis, son cœur bat la chamade car aussi jolie soit-elle, elle l’impressionne vraiment. A peine entrés chez elle, il se retrouve au donjon où le premier ordre ne tarde pas à tomber : à poil soumis. Charles retire prestement ses vêtements et se met face au mur comme elle l’exige des soumis venant la voir, un peu comme si elle les mettait au piquet comme de mauvais élèves. Par principe et sécurité, elle le menotte aussitôt afin qu’il ne puisse y avoir de débordement et lui pose une cagoule masquant son visage, car elle adore filmer les rencontres et ses jeux.

- A genoux soumis, je vais t’offrir un petit spectacle qui va te mettre en forme. Ordonne Maîtresse Kali.

Et là, ni une ni deux, sans aucune gêne, elle retire sa robe sous laquelle aucun vêtement hormis des bas de couvre sa nudité. Kali n’est absolument pas pudique, si elle pouvait vivre nue en permanence elle le ferait comme elle se plait à le faire au Cap d’Agde tous les étés. Pour Charles, la pression monte car outre la beauté de cette Maîtresse ensorceleuse, le fait qu’elle lui rappelle qu’il va devoir lui prouver ses dires à propos du champagne dorée lui laisse à penser qu’il va pouvoir lécher le sexe glabre qu’elle ne cache pas. A genou face à Maîtresse Kali assise sur une chaise, il affiche fièrement une érection vite réprimée par un coup de pied dans les testicules.

- T’ai-je autorisé à bander gros porc ?

- Non Maîtresse, je suis désolé mais vous êtes si belle que je….. Répond Charles aussitôt coupé dans ses paroles par un second coup de pieds dans ses testicules.

- Que je sois belle ou moche n’est pas une raison, tu n’es pas venu ici pour bander mais pour me prouver que tu aimes le champagne doré et que tu es capable de boire le mien. Lèche mes pieds esclave si tu veux que je t’offre à boire !

En appui sur ses genoux, Charles souffre silencieusement en se penchant en avant pour lécher les jolis pieds de Maîtresse Kali non sans jeter un coup d’œil coquin sur son sexe qu’il espère pourvoir lécher dans quelques minutes. Il se complait même à rêver d’un facesitting pendant lequel elle le forcerait à boire à la source de la vie. Maîtresse Kali s’amuse comme une folle à l’exciter d’un pied pendant qu’elle se fait lécher l’autre. Elle apprécie beaucoup le « Ballbusting » voir les hommes se plier de douleur à ses pieds l’a toujours excitée.

- Cela te plait de mater ma chatte avoue !

- Maîtresse elle est si belle que mes yeux sont attirés comme par des aimants.

- Tu aimerais la lécher mais il est bien trop tôt pour cela, tu ne la mérites pas, il va falloir du temps pour mériter cette chance car si la faire voir ne me pose aucun souci, laisser un homme y toucher est une autre histoire. Tu voulais mon champagne alors remet-toi fièrement à genoux, je vais te l’offrir. Lui indique Kali en attrapant un verre posé spécialement pour ça derrière sa chaise.

Et là, toujours sans aucune pudeur, Maîtresse Kali écarte les cuisses et se caresse sous les yeux de Charles au bord de la crise cardiaque. Elle écarte ses lèvres intimes puis place le verre face à son urètre en ordonnant à Charles de bien regarder le champagne couler. Pour ce soumis, c’est une première, jamais une femme n’avait fait pipi devant lui, son sexe affiche encore une érection non autorisée mais Kali ne relève pas la faute, elle a un tout autre projet.

 

- Un champagne de grande qualité ! S’exclame Kali en regardant le verre plein d’urine tout en attrapant le sexe bandé de Charles pour malaxer doucement son gland turgescent. Et ce champagne est pour qui ? Il est pour toi soumis, cette cuvée t’est exclusivement réservée, ne me déçois pas si tu espères revenir me voir ! Lui indique Kali en présentant le verre aux lèvres de Charles.

Soumis Charles est pris d’une nausée, ce n’est pas ainsi qu’il voyait les choses mais quand on est menotté aux pieds d’une Maîtresse comme Kali qui vous malaxe les précieuses déjà bien malmenées, les réfutations sont à haut risque. Même si elle reste silencieuse, le fait de braquer ses yeux bleus dans ceux du soumis en présentant le verre à ses lèvres tout en malaxant son sexe le fait abdiquer. Il boit une rasade de champagne chaud et très salé qu’il avale aussitôt. Maîtresse Kali est jouissive, elle vient encore une fois de faire plier un soumis lécheur de chatte et de le mettre en face de ses réalités.

Kali prend tout son temps, elle ne le force pas à avaler le contenu du verre, non, elle lui fait savourer par petites gorgées sans jamais lâcher la pression qu’elle exerce sur le sexe masculin bandé. Le verre vide, elle le félicite pour avoir tout bu avant de mettre des gifles à la verge tendue vers elle pour avoir osé bander sans permission. Elle se lève soudain pour se diriger vers le tas de vêtements de Charles pour attraper son slip dont elle se frotte le sexe un instant avant de finir d’uriner dessus.

- Lève-toi que je t’aide à t’habiller ! Ordonne Maîtresse Kali.

Soumis Charles est en perdition, cette rencontre ne se déroule absolument pas comme il l’avait imaginé. Kali entreprend de lui mettre son slip trempé puis l’aide à enfiler son pantalon directement sur la culotte mouillée. La ceinture serrée, elle entreprend de malaxer la masculinité du pauvre soumis dépassé par les évènements qu’elle plaque contre le mur en lui indiquant : « tu porteras ce slip jusqu’à demain en souvenir de moi , défense absolue de le retirer».

Une fois libéré des menottes, Charles n’en mène pas large, il enfile sa chemise et se doit de baiser les pieds de Kali avant de sortir du donjon à quatre pattes avec son sac entre les dents.

Une fois dans la rue, Charles prend conscience qu’on le regarde, ou plutôt que l’on regarde son pantalon mouillé, mort de honte il quitte la rue pour se précipiter à sa voiture garée quelques rues plus loin en se disant que la soumission avec une Maîtresse comme Kali, n’a rien à voir avec celle de ses fantasmes. Malgré la honte et les épreuves qu’elle lui a imposées, il conservera en sa mémoire cette expérience très particulière dont il s’est enrichi, à l’avenir il modèrera ses propos vis-à-vis des Maîtresses.



La vidéo de cette rencontre avec une Maîtresse Uro est ici

Les photos de cette rencontre avec une Maîtresse uro sont ici

Pour parler et partager vos expériences ou passion BDSM, rendez-vous sur le forum BDSM du réseau Fessestivites.

Pour parler et partager vos expériences ou passion uro et ondinisme, rendez-vous ICI sur le forum du réseau Fessestivites.


Boutique BDSM


Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : plaisirs SM
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 3 décembre 2 03 /12 /Déc 14:09

Une femme furieuse peut devenir Maîtresse

Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites


- Alors comme ça tu cherches une Maîtresse parce que je suis une coincée du cul ! Crie Anna furieuse lorsque son mari arrive un soir à la maison.

- Tu délires chérie !

- C’est moi qui délire ou c’est toi qui est un menteur ?

- Mais c’est quoi ce délire ?

- Prend-moi pour une conne, le speudo « pauvre soumis délaissé » sur Fessestivites, je l’invente ?

- Mais ce n’est qu’un délire sur le net, que vas-tu penser !

- Oui c’est sûr, et dans tes messages envoyés, cette correspondance avec une certaine Maîtresse Carla à qui tu donnes ton numéro de portable, et à qui en plus tu racontes des tas de trucs sur moi, c’est juste un délire bien sur ! Tout comme la photo de nous deux sur la plage où j’apparais les seins nus sur ton profil, c’est aussi une illusion ?

- Je m’amuse avec mes fantasmes mais c’est tout, ne vas pas penser que je t’ai trompée.

- Je ne pense rien p’tit con, je constate que tu donnes ton portable et m’exposes sur le net à visage découvert et seins nus en me faisant passer pour une Maîtresse qui te délaisse. J’ai aussi lu tes textes et tes déclarations aux Maîtresses qui te plaisent, Maîtresses qui comme par hasard sont dans la région ! Comme c’est juste pour délirer avec tes fantasmes……. tu ne les choisis pas trop loin….. c’est 100 % logique. Si elles étaient au Canada ou de l’autre côté de l’hexagone j’aurais pu te croire…… Crie Anna en toisant son mari. Puisque tu veux une Maîtresse, tu vas en avoir une, et crois-moi sur parole « pauvre soumis délaissé », délaissé tu ne vas plus l’être.

Devant cette avalanche de preuves, Henri perd pieds mais ne s’imagine pas être le soumis de sa femme, pour lui c’est impensable. Une sérieuse dispute éclate, dispute pour laquelle Anna n’y va pas par quatre chemins. Soit il accepte de devenir son soumis, soit elle demande le divorce à tord pour Henri en apportant les preuves qu’elle a imprimées à son avocat.

En tant qu’avocat, Henri est mal, il sait même qu’il est très très mal ! Sa femme a raison sur toute la ligne pour le divorce, il s’imagine même les bruits de couloir au palais de justice si elle demande le divorce. Pour ne pas perdre sa femme, être condamné à une pension alimentaire et détruire sa réputation, il n’a pas trop le choix. Il essaye de négocier, chose dès plus délicate avec une femme furieuse s’estimant trahie, et qui dispose des preuves de cette trahison.

- Tu n’as pas de chance p’tit soumis……. ! Conclue Anna avec une voix dédaigneuse. Si je ne connais rien au BDSM ou à la domination, j’ai eu une enfance dure avec un père particulièrement rude, tu vas apprendre à marcher droit crois-moi ! Va au salon, met-toi nu, j’arrive.

Henri n’arrive pas à admettre ce qui lui arrive, s’il fantasmait sur des séances BDSM très érotique, il se déroule soudain devant lui un avenir bien difficile. Ce n’est pas qu’il soit pudique, mais se dévêtir ainsi sur ordre et attendre sa femme au salon lui semble impossible. Lorsque Anna arrive au salon avec la grosse spatules en bois servant pour ses confitures, il est torse nu, bloqué devant la ceinture de son pantalon qu’il n’arrive pas à défaire. Toujours aussi furieuse, elle ne l’épargne pas et lui impose de se mettre nu en retirant elle-même la ceinture de son pantalon.

- Tu ne vas quand même pas me battre ?

- Te battre ? Non, te fesser et te punir oui ! N’est-ce pas ce que tu demandais à Maîtresse Carla ?

Une fois qu’il est intégralement nu au milieu du salon, Anna tourne autour de lui et tape dans sa propre main avec l’énorme spatule tout en listant les fautes de son mari. Très narcissique, elle ajoute même que la sentence sera assortie de travaux d’intérêt général pendant sa réclusion criminelle à perpétuité. Forcé de se pencher sur la table de la salle à manger, ses fesses sont exposées au courroux de sa femme, semble t’il bien décidée à devenir sa Maîtresse. Au premier coup de spatule qui s’abat sur son fessier, Henri pousse un cri, se redresse et se frotte les fesses en jetant un regard méchant à sa femme.

- Cela ne fait que commencer, tu vas prendre 30 coups, si tu bouges, je recommence à zéro. Quand il nous punissait, mon père nous les faisait compter, tu vas faire de même. Ne me fait pas ton regard de méchant, tu n’y couperas pas, ta vie va changer, c’est ça ou le divorce. Lui indique Anna avec une voix ne laissant aucun doute possible sur ses intentions.

Les coups de spatule s’abattant sur ses fesses lui font un mal de chien, Henri serre les poings et les dents pour ne pas hurler, en se faisant rappeler à l’ordre quand il ne compte pas. Les 30 coups sont vécus par Henri comme un calvaire, au trentième il est à bout de souffle, ses yeux sont gorgés de larmes difficilement contenues. Elle lui ordonne de ne pas bouger et s’en va dans la cuisine un instant, pour en revenir avec un tablier de cuisinière en plastique.

- Mets ça et va faire la vaisselle, je n’ai pas eu le temps aujourd’hui, j’ai passé la journée sur l’ordinateur à lire et imprimer tout ce que j’ai pu. Ne rêve pas, les documents ne sont plus à la maison et j’ai changé ton mot de passe sur Fessestivites ainsi que l’adresse email.

Totalement désarçonné par cette fessée, après la robe noire des avocats portée le matin même, Henri porte maintenant un tablier de cuisinière en plastique rose avec des fleurs. Par la fente un peu coquine de derrière, on peut apercevoir une partie de ses fesses rouges, détail qu’Anna ne loupe pas en venant contrôler, ce qui la fait sourire. Sourire parce que cela lui rappelle quelques souvenirs de jeunesse, de l’époque où ses frères se moquaient d’elle quand elle était fessée ou punie.

L’ambiance du repas n’est pas à la fête, Henri bougonne, Anna n’en a que faire et le presse afin qu’il fasse la vaisselle avant qu’elle ne s’occupe de lui, en bonne Maîtresse tyrannique. Ces propos n’amusent pas l’avocat, comme l’on peut s’en douter. Avant même qu’il ait terminée la vaisselle, revêtue d’une magnifique robe noire, Anna entre dans la cuisine avec la ceinture d’un peignoir dans une main et la ceinture de cuir du pantalon d’Henri dans l’autre. Pendant qu’il frotte les assiettes, elle s’amuse à caresser le beau fessier de son mari, soudain troublé, il n’a pas l’habitude qu’on lui touche les fesses. Anna passe la ceinture de cuir autour du cou de son mari, puis lui retire son tablier de cuisinière avant de le forcer à mettre ses poignets dans le dos qu’elle lie avec la ceinture du peignoir. Tiré par le cou comme un esclave, totalement dépité et sans volonté, il suit sa nouvelle Maîtresse qui le fait s’étendre sur la moquette de la chambre.

- Grâce à toi, j’ai découvert une expression que je ne connaissais pas, le « facesitting », je connaissais évidement le 69, mais je ne suis pas d’humeur à te faire une gâterie. Lui indique Anna en enfourchant le visage d’Henri. Lèche bien et fait moi jouir, si tu faiblis de ta langue si habille au tribunal et pour Maîtresse Carla, je t’arrache les tétons.

Le nez logé entre les fesses de sa femme, il se met à lécher ses lèvres généreuses, mais Anna en veut plus et commence à écraser les tétons de son mari tout en se penchant un peu en avant pour qu’il accède à son bouton magique. Au plus elle écrase son visage, au plus elle pince ses tétons, au plus la verge d’Henri se gonfle, au point d’afficher quelques secondes plus tard une magnifique érection.

« Mais il aime vraiment ça », constate Anna en découvrant la personnalité cachée de son mari après dix ans de mariage. Amusée de ces réactions et des bonds qu’il fait quand elle s’acharne sur ses tétons, Anna commence réellement à s’exciter, à en vouloir plus. Ni une ni deux, elle se lève, se tourne puis s’empale sur le sexe de son mari. Les mains attachées dans le dos, ses poignets supportent le poids de son corps et celui de sa femme qui, à la recherche de son plaisir, commence à réellement le chevaucher avec fougue. D’une main elle tire sur la ceinture toujours attachée au cou de son mari, de l’autre elle se caresse en le chevauchant. Henri dépassé par les évènements grogne soudain de plaisir, se contracte et jouit quasiment de suite, ce qui rend Anna folle de rage, elle commençait elle aussi à gravir l’échelle des plaisirs. Le sexe de l’avocat ne tarde pas à mollir et à « s’échapper » de l’intimité de son épouse bien décidée à assouvir sa faim de jouissance.

- Puisque tu as déjà jouis, tu vas finir ton travail avec ta langue ! Indique aussitôt Anna en s’asseyant à nouveau sur son visage pour se refaire faire un facesitting.

Anna est déchaînée, elle se frotte contre le nez d’Henri, lui arrache presque les tétons pour qu’il lui donne le plaisir attendu. Noyé dans les généreuses sécrétions de sa femme et son propre sperme, sous la douleur devenant lancinante engendrée par les pincements de ses tétons, Henri se tord dans tous les sens mais n’a d’autres choix que de lécher le plus vite possible pour qu’elle jouisse et le libère. D’une petite taille sous celle de sa femme plus enrobée, l’avocat ayant les mains liées dans le dos ne peut que subir. S’il avait rêvé de facestting forcé, il n’avait jamais imaginé que son épouse puisse lui imposer de le faire avec sa chatte engluée. Comme si elle était envoûtée par la situation, Anna écrase de plus en plus le visage de son mari, avant d’abandonner un de ses tétons pour se masturber jusqu’à la conclusion tant désirée.

Un premier orgasme fulgurant la terrasse mais elle en veut encore et encore. L’avocat commence à comprendre le sens du mot « violé ». Profitant d’un de ses « rebonds » il tourne la tête à la recherche d’air frais, puis la supplie de le libérer. Anna voit les choses autrement, elle se lève en tirant sur la ceinture toujours autour du cou de son mari pour s’allonger sur le lit en tirant la tête du malheureux pour se faire brouter le minou. Henri œuvre tant qu’il le peut pour la satisfaire pendant qu’elle agite son bouton magique comme si elle avait la maladie de Parkinson.

Epuisée et repue, Anna passe sous les draps et libère les mains de son mari. Il frotte aussitôt ses poignets endoloris et n’ose pas regarder sa femme dans les yeux, elle sait maintenant qu’il est réellement soumis. Quand elle lui ordonne d’aller préparer le café pour le lendemain avant de venir se coucher, cet ordre est presque comme une libération, il a besoin de temps pour digérer tout ce qu’il vient de lui arriver.

EPILOGUE

Anna a modifié le pseudo de son mari sur Fessestivites, c’est aujourd’hui MaîtresseA, elle prend plaisir à surfer et à dialoguer sur le chat et les forums avec ses nouvelles amies, Maîtresse Carla lui donne même des astuces et des conseils de dominatrice. Henri quant à lui, s’enfonce de plus en plus dans la soumission, il n’est pas rare de le voir nu avec un plug entre ses fesses striées en train de laver les sols à quatre pattes entre les talons hauts de sa femme.

La garde robe de MaîtresseA évolue de jour en jour tout comme les accessoires SM qu’elle achète régulièrement dans la boutique www.ABCplaisir.com

TSM

P.S. Un autre titre que « Une femme furieuse peut devenir Maîtresse » est possible : « Quand un faux profil devient un vrai profil »…….

 

Vidéos de domination féminine SANS pub

 Histoires érotiques BDSM d'homme soumis SANS pub

Forum BDSM domination féminine SANS pub

Rencontres BDSM

Boutique BDSM


Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 10:48

BDSM strapon maitresse

Une rencontre particulièrement hard pour un soumis lors d'une rencontre Fessestivites.

 

Ili s'est offert à trois femmes déchaînées. Elles l'ont tellement défoncé (réel) qu'après être passé entyre leurs mains il lui fallait une couche pour ne pas fuir.....

 

La vidéo amateur de son après-midi est ici

 

 

bdsm strapon maitresse 0

 

Vidéos de domination féminine SANS pub

 Histoires érotiques BDSM d'homme soumis SANS pub

Forum BDSM domination féminine SANS pub

Rencontres BDSM

Boutique BDSM


Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 10:48

bdsm strapon maitresse 1
bdsm strapon maitresse 1
bdsm strapon maitresse
par TSM

Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 10:47
Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 10:47
Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 10:46
Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 15 novembre 5 15 /11 /Nov 09:55

Les secrets de la chambre des filles


Résumé Entre mettre quelques instants érotiques des sous-vêtements féminin et être obligé d’en porter ainsi que des couches devant une dominatrice lesbienne aussi perverse que diabolique, il y a un monde. Un monde d’une grande cruauté et à rebondissements avec des nuits en couche sous bondage, des fessées et des tonnes de choses immorales qu’un étudiant à la FAC n’aurait jamais imaginé vivre avec ses cousines diaboliques.

…………….

Cet été encore, nous nous sommes retrouvés en Bretagne dans l’immense maison familiale où chaque année la famille se retrouve depuis des lustres. L’ambiance est sympa, la plage est à deux pas, la ville n’est pas trop loin pour aller draguer, le top quand on est étudiant et sans fric comme moi. Pour cause de manque de place, mes deux cousines dorment dans la même chambre, cela ne leur pose pas de problème, elles sont déjà colocataires à Paris pour leurs études.


Un matin, la famille quitte la maison pour aller voir une exposition en ville, la peinture ne m’intéressant pas, je décline la proposition de les accompagner. Profitant d’être seul, je vais fouiner dans la chambre de mes cousines, je les sais très coquines et m’attends à des surprises. Un rapide coup d’œil dans la grande armoire ne m’offre pas de trésor féminin, tout au plus des jupes et chemisiers ou tee-shirt d’été. Lorsque je m’attaque à leur valise, ma libido déjà exacerbée prend un coup de pied dans l’échine. Sous les petites culottes que je prends plaisir à caresser, je découvre des dessous très coquins comme une culotte fendue et deux culottes en plastique avec deux couches rectangulaires assez grosses pour être de simples protections. Très attiré par les dessous féminins, je fais une très excitante séance d’essayage. Mon sexe au garde-à-vous dépasse des petites culottes dont la douceur m’enchante.


Le lit n’étant pas fait, je m’allonge dans leurs draps aux senteurs féminines avec sur moi une culotte en plastique rose. Mes mains sont attirées par mon sexe, ce qui devait arriver arriva, après quelques caresses plus intimes, je m’envole au paradis des plaisirs.

Deux filles superbes sont avec moi, l’une me caresse le corps pendant que l’autre me fait une gâterie quand soudain, un coup de sac dans la figure m’arrache de mes rêves. Mes cousines furieuses sont là avec leur téléphone portable à la main. Mes excuses les plus plates les font sourire, je sens l’embrouille grave.

  • Enfoiré, tu n’as pas honte de fouiller dans les affaires des autres ? Me demande Julie.

  • Les fouiller et les essayer tant qu’à faire. Tu es très beau en fille mes copines vont adorer ! Ajoute Laura en me faisant voir son téléphone portable.

  • Tu vas commencer par tout ranger comme il faut et puisque tu es là, fais notre lit. M’ordonne Julie.

Dans la position où je suis, je ne peux qu’accéder à leurs demandes, si elles parlent, je vais être la honte de la famille. Obligé de restituer la culotte et de m’habiller devant elles, ma pudeur est mises à mal tout comme mon moral quand soudain, Julie m’arrête et me tend une culotte en m’ordonnant de la mettre. Devant mon refus, en me montrant son téléphone portable, Julie me demande si elles font voir les photos à l’apéro ou au dessert. Que répondre ? Que faire ? Rien, hormis céder à son caprice débile.

La culotte enfilée, elles me demandent de m’habiller, cette garce de Julie en profite pour faire d’autres photos qui ne me disent rien de bon. Une fois vêtu, je fais donc leur lit à la hâte avec comme objectif de fuir leur chambre mais encore une fois Julie m’arrête avant que je ne sorte.

  • Regarde comme tu es belle ! Me dit-elle en me montrant son téléphone portable. Jusqu’à la fin des vacances, tu viendras faire notre lit et le ménage dans la chambre, sans quoi, tes vacances risquent d’être difficiles si tu vois ce que je veux dire.

  • C’est du chantage, tu es ignoble.

  • Oui, et fouiller les affaires des filles et les essayer avant de squatter leur lit pour te branler c’est quoi ? Un signe de chrétienté et de chasteté ?

  • Ce n’est quand même pas pareil.

  • Pour moi, c’est du pareil au même et puisque tu râles alors que nous pourrions te pourrir la vie aux yeux de toutes la famille voir plus, tous les soirs tu viendras chercher ma culotte sale que tu porteras le lendemain. Tu voulais les essayer, je vais t’en donner les moyens conard ! Sort de là avant que je m’énerve.

Mes 15 derniers jours de vacances furent un calvaire, mes cousines n’arrêtant pas de me prendre pour leur boy, de vérifier « mes dessous » et tenant presque tous les soirs à ce que j’enfile la culotte de Julie devant elles avant d’aller me coucher.

LA CATA !

Les arrangements familiaux sont parfois cruels ! Pour la rentrée scolaire, octobre pour moi, mes parents se sont arrangés avec ceux de mes cousines pour la colocation. Mes réfutations n’ont pas durée plus d’une minute, mon père m’ayant répondu : « on n’a pas de fric et on te paye tes études, alors si ça te plait pas tu vas à l’usine, je peux t’y faire rentrer lundi si tu veux ». Que répondre à cela ? Rien.

………………………

Le 30 septembre 2012, j’arrive donc chez mes cousines avec ma valise à roulette, mon sac à dos et mon ordinateur portable. La première chose que j’ai vue en arrivant, c'est moi avec une culotte de fille sur les fonds d’écran de leur ordinateur.

  • Notre « larbine » est arrivé ! Crie Julie à Laura dans sa douche.

Je me suis révolté, j’ai même faillit la gifler, mais elle m’a cadré de suite cette salope.

  • Ecoute conard, avant nous étions peinardes toutes les deux, maintenant il va falloir que l’on supporte une tante qui fouille dans nos affaires. Penses-tu que ta présente nous arrange ? Non, bien au contraire, tu viens polluer notre existence alors tu la fermes où je diffuse les photos de toi sur le site de la fac. Suis-je claire ?

Je suis vert de rage mais ne peux que répondre, « n’aller pas trop loin ou je vous étrangle ». Sur ces entre faits Julie me montre ma chambre et sort sans fermer la porte. Ma cousine Laura passe nue dans le couloir et me fait un petit coucou de la main. Heuuuuuu. Dix minutes plus tard, les filles m’appellent dans leur minuscule salon transformé en bureau.

  • Je vais te planter le décor « larbine ». Me dit Julie. Nous sommes toutes les deux lesbiennes, tu comprends donc que la présence d’un mec chez nous nous faire carrément chier. Nous n’allons pas changer nos habitudes pour toi et vivre notre vie comme avant. La seule variable c’est que nous avons une bonne gratuite. Tu feras le ménage et la bouffe, si tu ne sais pas la faire on t’apprendra. Tu as intérêt à te faire discret si tu ne veux pas d’embrouille, sache que nous ne voulons pas de mec à la maison. Si tu veux voir un copain, c’est dehors ou chez lui. Comme on ne veut pas de mec à la maison, Laura t’a préparé une tenue.

Laura se lève de son bureau pour déposer sur la petite table du salon une culotte, un soutien-gorge et une robe noire avant de venir s’asseoir aux pieds de Julie.

  • Il est hors de question que je m’habille avec ça ! Hurlais-je soudain.

  • Déjà Larbine, tu vas nous parler sur un autre ton. Me répond Julie avec un calme qui me surprend. Sache que je suis une dominatrice et que si je te supporte c’est parce que mes parents ne m’ont pas laissé le choix. Soit tu fais ce que je t’ordonne, soit je vais faire de ta vie un enfer. Regarde mon ordi, je n’ai que trois clics à faire pour balancer les photos de toi sur le net. Non non, ne rêve pas, il est codé et j’ai les doubles sur mon téléphone portable puis sur celui de Laura et sur un disque dur externe. Va t’habiller et ne m’énerve pas sans quoi, cette cravache va t’aider à le faire. Me dit Julie en sortant une cravache de derrière le clic-clac

Les larmes dans les yeux, je quitte le salon avec les vêtements donnés par Laura. Arrivé dans ma chambre, je médite un instant sur tout ça. Mes cousines sont lesbiennes, Julie est dominatrice et elles veulent que je sois leur larbin sans quoi, je peux dire adieu à mes études sachant qu’en prime, mon père me tuerait s’il apprenait ! ! ! OUF …… .

Enfiler des sous-vêtements féminins dans le secret de ma chambre aurait tendance à générer des réactions physiques du côté de mon bas-ventre mais là, la chose est tout autre. Je me sens ridicule au possible, sortir de ma chambre me semble impossible. La cravache à la main, Julie pousse soudain la porte et m’attrape par l’oreille comme un gamin pour me conduire au minuscule salon. Laura est nue à quatre pattes, ses délicieuses fesses attirent mon regard mais Julie m’envoie aussitôt à la cuisine faire du café que je dois leur servir.

Dans le silence seulement troublé par la cafetière, mes neurones s’affolent. Où suis-je tombé ? Que m’arrive t-il ? Les trois cafés servis, je prends un plateau pour les emmener. Arrivé au salon, Laura est couchée sur les genoux de Julie qui m’ordonne d’attendre sans bouger et de rester silencieux. Sans tenir compte de ma présence, elle entreprend de lui donner une fessée sous mes yeux ébahis. La fessée dure un long moment, les fesses de Laura virent au rouge, ses jambes se soulèvent parfois, offrant sans pudeur à mon regard gourmand d’images son petit abricot aussi lisse qu’un nouveau né. La fessée de Laura terminée, elle s’installe aussitôt à ses pieds en la remerciant ! ! ! Julie vautrée sur le clic-clac m’ordonne de servir le café et de m’asseoir par terre pour le boire.

  • Tu viens d’assister à une punition, si tu ne veux pas que je m’occupe de tes fesses, tu as intérêt à marcher droit ! Me dit Julie en me montrant du doigt.

Nous avons discuté pendant deux heures comme si de rien n’était, jusqu’au moment ou Laura m’a conduit à la cuisine pour faire le repas et me faire voir où sont les choses. La cuisine fut aussi vite préparée que consommé au salon dans la même position que pour le café : pâtes à la carbonara et raisins. Une fois consommé, Julie m’ordonne d’aller faire la vaisselle et de ranger la cuisine, chose que je fais bien volontiers en finissant par oublier ma tenue. Les choses se sont rapidement corsées quand j’ai rejoins les filles au salon ! Julie a tenu à venir vérifier mon travail, ce qui ne m’ennuyait pas outre mesure, sauf que pour elle, la vaisselle aurait du être essuyée et rangée.

  • A ton prochain loupé, je te tanne le cul larbine ! Allez on va te coucher, c’est l’heure.

A 21h, je n’avais aucune envie d’aller me coucher mais je n’ai pas trop eu le choix avec Julie qui agitait sa cravache. La surprise est arrivée dans ma chambre avec Laura qui est entrée avec une couche à la main. Elle m’a aidé à me dévêtir puis m’a demandé de m’étendre sur le lit. Julie s’est agenouillée à la tête du lit pour y attraper quelque chose de métallique en m’ordonnant de lui donner mes mains. Au moment où je les lui tendais, j’ai aperçu des menottes, le temps que je réagisse, un de mes poignets étaient prisonnier du métal. J’ai essayé pour ne pas lui donner le second, les trois puissant coups de cravache qui sont tombés sur les cuisses m’ont convaincu de céder à sa demande……


Laura est montée à son tour sur le lit pour me mettre la couche pendant que Julie m’indiquait qu’il était hors de question que je trouve un prétexte pour me lever et les voir câliner. J’étais blême et vert de rage. Quand Laura très soumise m’a demandé de l’aider, comme Julie s’énervait après elle, j’ai soulevé mes fesses et l’ai laissée me mettre une énorme couche-culotte puis la fameuse culotte en plastique que j’avais essayé dans le secret de leur chambre. Avant de me recouvrir du drap, Julie a fait quelques photos avant de fermer la porte de la chambre.


Julie et Laura lesbiennes, la fessée à laquelle j’avais assisté, Julie dominatrice m’imposant de me féminiser et me faisant dormir en couche attaché à mon lit, tout cela me perturbait grandement. Dans un sens, j’étais révolté, dans l’autre, je découvrais en vrai un monde de domination soumission que je n’avais vu que sur le net et qui m’excitait. Le voir et fantasmer est bien, le vivre obliger est autre chose.


Les cris de Laura à travers la fine cloison séparant ma chambre du salon, attirent mon attention. Que lui fait-elle pour qu’elle crie comme ça ? Le silence se fait à nouveau avant d’être troublé par des gémissements de plaisir. Avec Julie et Laura, mon année scolaire s’annonce chaude, brûlante même !

La suite des aventures de Larbine et ses cousines dominatrices est ici 

 

Vidéos de domination féminine SANS pub

 Histoires érotiques BDSM d'homme soumis SANS pub

Forum BDSM domination féminine SANS pub

Rencontres BDSM

Boutique BDSM

 

Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés