Histoires Hard (violence et/ou viol)

Lundi 22 avril 1 22 /04 /Avr 10:31

La coquine piégée devient soumise sexuelle

Suite des aventures de « La coquine » dont la première partie est ici :

http://www.fessestivites.com/fre/Article/27_Hard-OU-tres-violent/recits-histoires-roman/4216_RECIT-Une-coquine-piegee-et-forcee-se-decouvre.html

Préambule

Coquine a vécu malgré elle une aventure peu orthodoxe assez proche d'un viol sans pour autant en être un. Ci-dessous le dernier paragraphe du récit précédent pour mémoire.

« Même si aujourd'hui j'ai encore honte j'avoue que j'ai vécu quelque chose de très fort, de si intense que je le revis seule le soir sous ma couette avec mes doigts. Je n'arrive plus à faire fontaine, à connaître cette jouissance qui m'a faite totalement décoller et que je n'avais jamais vécue avant. Louis m'a promis de me faire vivre d'autres choses et que cette fois ce serait dix fois plus fort encore. J'ai honte de le dire mais je n'ai pas dit non ».

La coquine piégée devient soumise sexuelle

Louis et Anna m'appellent maintenant « Coquine » ce sont des coquins libertins adeptes également du BDSM qui m'ont « éclairée » sur les choses de la vie autre que la vie vanille. Ils ne sont pas mes Maîtres mais je ne m'oppose pas à leurs fessées qui me laissent toujours pantelante. Il est fort possible que je me fasse un jour « mangée » par Anna, mais l'avenir nous le dira.

Louis m'a invité ce midi en m'indiquant que je devais prendre mon après-midi. Je m'y rends donc avec une bonne bouteille de rosé puisqu'ils aiment ce vin. L'apéro est un peu plus corsé que d'habitude, je sens bien qu'ils me préparent quelque chose et essayent de me décontracter avec un petit excès d'alcool. Le repas préparé par Anna est simple mais succulent, j'aimerai avoir ses talents de cuisinière. A peine terminé, Louis nous emmène, dépose Anna à son travail pour me conduire à cette fameuse maison en travaux où j'ai vécu des choses diaboliques.

Je sais encore une fois que le suivre n'est pas une bonne idée mais encore une fois, il m'est impossible de résister. Je suis même convaincue que c'est une bêtise mais me laisse conduire au grenier où j'ai vécu une forme de tournante heureuse et très jouissive. En montant les escaliers de bois, mon trouilleomètre est à zéro, je le suis comme une brebis en route pour l'abattoir. Il sort des cordes de son sac, à leur vue mon estomac se bloque, ma gorge se serre, un frisson me saisit mais encore une fois, l'incapacité totale de fuir me submerge. C'est ainsi, ne me demandez pas pourquoi, il m'est impossible de répondre à cette question. Telle une condamnée à mort, lorsqu'il me dévêtit je suis sans réaction. Ma pudeur n'a plus aucune prise sur les évènements.

Sur une sorte de tabouret de bois assez haut, il pose un coussin de cuir puis il entrave mes mains à mes cuisses avec ses cordes. Dans l'incapacité mentale de résister, je le regarde prendre son temps pour m'attacher. Louis me soulève et me pose sur le dos sur le tabouret, mon sang ne fait qu'un tour, je ressemble à une grenouille sur une table de vivisection. Il lie ensuite mes pieds écartés avec une barre de bois puis il passe la corde à une des poutres du grenier. A présente, mon intimité ne peut être plus offerte, je suis morte de honte et comble de l'horreur, cette situation m'excite. Bien que je sois déjà totalement immobilisée et à sa merci, il persiste à ajouter des cordes comme si j'avais envie de m'échapper. Dans l'état psychologique où je suis, les cordes supplémentaires ne servent à rien, je n'ai pas envie de fuir même si j'ai une peur bleue de cet inconnu où je vais avoir la vedette.

Soumise sexuelleAu lieu d'abuser de moi, de me faire monter au septième ciel comme la dernière fois, Louis m'abandonne purement et simplement en me souhaitant un bon après-midi. La haine me submerge aussitôt, comment peut-il me faire ça alors que je lui fais totalement confiance ? Les minutes s'égrainent lentement, elles me donnent l'impression de durer des heures. La position devient rapidement inconfortable, je le hais. Si un fou passe par là, peu probable qu'il s'aventure dans ce grenier, je ne pourrai rien faire hormis le laisser me massacrer après m'avoir violée, car mon intimité est à la fois offerte et à la bonne hauteur pour cela. Mes seins sont eux aussi bondagés, comme s'ils pouvaient décider d'aller voir ailleurs. Quand je lève la tête pour les voir, j'ai l'impression qu'ils grossissent, c'est bizarre comme sensation.

Des bruits de pas me font bondir dans mes liens, mon heure est arrivée. Les ouvriers de la dernière fois entrent dans le grenier, s'approchent de moi et me claquent les fesses en arrivant. Je suis presque rassurée de les voir car malgré les quelques petites gifles ou claques sur les fesses qu'ils m'ont données, ils n'ont pas l'air méchants. Louis les rejoint rapidement et leur explique qu'aujourd'hui je suis totalement à eux. A cet instant, j'aimerai me fondre dans le décor et disparaître mais il est trop tard pour cela, je n'avais qu'à refuser ou prétexter un rendez-vous plutôt que me jeter sciemment dans la meute de loups. Paradoxalement, me sentir ainsi offert à leur merci me met dans tous mes états. Je suis folle, givrée, une vraie malade mentale mais c'est ainsi, je n'y peux rien, me sentir ainsi comme une proie face à des prédateurs sexuels assoiffés de sexe m'excite.

Cette fois ils sont moins prévenants que la première où ils m'avaient déjà bien bousculée. En un rien de temps, l'un des ouvriers sort son sexe et me prend sans comme ça sans même me parler pendant qu'un autre ouvre sa braguette pour extraire sa bite à quelques centimètre de mon visage. Je la prends dans ma bouche et commence à lui donner ce qu'attend son propriétaire pendant que les autres malaxent ma poitrine saucissonnée. A peine ont-ils commencé à malaxer mes seins d'une sensibilité étonnante surement due aux cordes qui en font des grosses oranges, que mon esprit s'envole. La verge en moi me taraudant sans relâche pendant qu'ils me pétrissent les seins comme des boulangers, me pousse déjà au paroxysme de l'excitation. Je ne suce pas la bite que j'ai en bouche, non, elle devient pour moi un exécutoire tellement je me sens transportée dans les brumes évanescentes de ma folie. Je m'y accroche, je l'aspire, je la dévore.

Celui qui branle l'intérieur du ventre m'entreprend comme la première fois. En quelques minutes il m'a conquise, je suis à lui ou plutôt à sa main diabolique, ces phalanges infernales qui vont m'arracher un orgasme d'une puissance impossible à imaginer et que je n'avais jamais connu avant de le rencontrer. La vague arrive doucement du fond de mon âme, sachant ce qu'il m'attend je suis moins contractée, j'ai moins peur. Ce n'est pas une vague déferlante que je sens arriver, mais un tsunami qui emporte tout sur son passage, ma retenue, ma pudeur sont déracinés de mes principes. Cette fois je sais ce qu'il m'arrive et crie « encore » et des « oui » d'une totale impudeur que je ne me connaissais pas. Bien que je sois encore au bord du vertige quand un doigt force ma petite porte de derrière, je m'insurge et crie « non pas là » mais ils n'en n'ont que faire. Louis vient de leur apporter un tube de lubrifiant.

Soumise sexuelleGénéreusement lubrifiée par leurs doigts avides, de par ma position mon anus semble ouvert à leur gourmandise. Si jusqu'à présent j'étais arrivée à interdire ce passage à mes rares amants, cette fois je sais que je n'y couperai pas. Elle se pose contre moi, pousse, avance recule, cherche à dompter la petite porte interdite, cette bite va m'avoir je le crains. C'est sale, dégueulasse, ignoble, j'ai honte plus que je n'ai mal. Mon petit trou finit par céder malgré-moi à la pression impitoyable et à s'ouvrir. Lentement il prend possession de mes entrailles, c'est un douloureux mais comme à cet instant précis comme si Louis leur avait demandé, ils s'acharnent sur mes seins et mon clitoris déjà bien malmené cela reste supportable. C'est fou, totalement fou, je me sens remplie. Ses premiers mouvements lents me perturbent, j'avais peur d'avoir très mal alors que là, cela me fait plus drôle que mal. Après m'avoir laissée apprivoiser la bête, le cheval de Troie s'anime et commence à me conquérir. Ses mouvements lents deviennent plus intenses, plus profonds, plus forts. Le plus surprenant est que cela me transporte dans de sombres sensations plus fortes que la raison. Je me perds, je divague, je crie sous ce laboureur émérite qui parvient à retourner mes sens.

Entre leurs mains, je ne suis plus qu'un corps dont ils peuvent user et abuser à leur convenance. Au bout d'un moment et après plusieurs spéléologues acharnés ayant visité mes intérieurs devenus accueillants et gourmands, ils entreprennent de me libérer puis de me porter sur un vieux canapé hors d'âge à moitié détruit. Soulevée je suis, empalée sur une bite en pleine forme je suis. Son propriétaire me vole un baiser puis soulève mes reins. Ce n'est qu'en sentant une présence contre mon petit trou que je comprends leurs intentions. J'ai soudain peur mais la deuxième bite vient sans trop de souci rejoindre sa voisine. Et là, faisant cause commune pour m'anéantir, elles se mettent en mouvements. Oh mon dieux, (pardon je blasphème) que c'est bon d'être ainsi comblée, pourfendue, possédée, prise de partout avec en prime Louis qui m'oblige à m'occuper de sa bite gorgée de désir. Mes seins frottent la poitrine de celui qui est dessous pendant qu'ils s'animent en moi, mes melons toujours saucissonnés semblent eux aussi s'animer et faire cause commune avec les bites pour me clouer sur la croix du plaisir malsain. Je me perds, je crie, je hurle mon plaisir, je ne suis plus qu'une esclave sexuelle, esclaves de ces hommes, esclave du plaisir qui me ravage et inconnu jusqu'à ce jour.

Soumise sexuelleQuand à la fin de la joute qui a durée un temps indéfinissable, ils se mettent autour de moi à genoux sur le sol poussiéreux pour présenter leur glaive vainqueur, je ne peux que les sucer non pas avec conviction, mais avec passion pour les remercier de ces plaisirs divins. Leurs mains s'animent sur leur arme pour le jugement final, aspergée de sperme, je bois, j'avale, je suce leurs bites avant de m'écrouler sur le sol comme vide de vie mais heureuse.

Louis je te hais mais qu'est-ce que c'est bon.

La coquine

TSM journaliste de Fessestivites.com

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Dimanche 21 avril 7 21 /04 /Avr 15:36

RECIT Une coquine piégée et forcée se découvre

Je savais que je ne devais pas les suivre mais c'était comme si une force particulière m'entrainait. Louis et Anna sont des coquins libertins, ils font aussi du BDSM et me disent depuis toujours qu'en moi réside l'âme d'une soumise qui ne demande qu'à se révéler pour que je m'épanouisse. Nous étions dans le grenier d'une vielle maison en cours de restauration, Louis avait pris une bouteille de vodka pour qu'on s'échauffe les sens mais je n'en ai pas bu, je n'aime pas ça. L'ambiance de ce grenier semblait leur plaire, ils se caressaient, s'embrassaient et moi, je tenais la bougie... Pour les laisser tranquilles, je me suis éloignée mais les râles de plaisir ont attisé ma curiosité.

Dans l'angle d'un mur derrière une vieille porte de bois, je les observais en me disant qu'ils avaient de la chance de pouvoir vivre leurs passions contrairement à moi qui suis trop timide. Ils ont raison sur une chose quand ils parlent de moi, j'aimerai être bousculée, prise comme une salope et m'éclater, les cordes et bondage comptent aussi de mes fantasmes mais entre mes rêves et la réalité, il y a un pas que je ne pensais pas franchir un jour.

Des ouvriers sont arrivés, trop occupée à mater Louis et Anna en me caressant discrètement je ne les ai pas entendus et ils m'ont vue. Je me suis précipitée vers mes amis, les ouvriers ont suivi. Ils ont vite compris et les voyant que je matais leurs câlins. « Elle a des envies de sexe mais n'ose pas » leur a dit cet enfoiré de Louis. J'étais blême, je l'aurais tué.

coquine piégée et forcée« On va la décoincer » Répondit un des ouvriers en me poussant vers mes amis. « Ce serait une bonne idée » leur a répondu Louis au lieu de me défendre. De fil en aiguille, ils sont devenus très entreprenants avec moi, j'avais peur mais la présence de Louis me rassurait un peu. Anna a disparu, je crois maintenant qu'elle était de mèche avec Louis pour ce qu'il m'est arrivé ensuite. Les mains baladeuses des ouvriers sans gêne devenaient plus précises, Louis les a rejoint puis m'a ordonné de me mettre à genoux. Comme je n'arrivais pas à m'y résoudre, ils m'ont appuyé sur les épaules pour me faire fléchir. A genoux face à Louis massant son sexe à travers son pantalon, j'ai alors compris que je n'aurai aucune aide de sa part, bien au contraire. « Suce-le » criait un des ouvriers. L'un d'eux a guidé ma main sur Louis, j'étais morte de honte mais sous leur insistance j'ai fini par ouvrir son pantalon.

Ils me touchaient les seins comme des malades et commençaient à les malmener, l'un d'eux m'a attrapée par la nuque pour plaquer mon visage sur le sexe de Louis. Contrainte et forcée je l'ai pris dans ma bouche, cela m'a fait comme un électrochoc, il y avait au moins deux ans que je n'avais pas de copain. Un des ouvriers me tenait la tête et me faisait faire des mouvements pour que je le « suce bien » pendant qu'un autre passait sa main sous ma jupe. J'avais beau le repousser, ses doigts sont entrés dans ma culotte et là, il a crié à tous le monde que je mouillais comme une salope. Quelle honte. Si j'avais pu passer entre les tuiles je me serai envolée comme un papillon affolé. Au lieu de m'aider Louis forçait ma bouche pendant que les ouvriers me malaxaient les seins ou me tripotaient la chatte malgré ma résistance. Mon chemiser a été ouvert brutalement, laissant dans ce grenier de la honte quelques boutons. Mon soutien-gorge n'a pas résisté longtemps à leur fougue, palpée de toute part, je ne savais plus où donner de la tête. Je disais « non » j'essayais de résister mais en même temps, je faisais tout ce qu'ils me disaient de faire. Quand un autre des ouvriers à sortie son sexe et me l'a présenté, je l'ai sucé lui aussi sans qu'il me le demande.

Pourquoi ai-je fait ça, pourquoi n'ai-je pas crié, pourquoi ne les ais-je pas mordus ? Je n'en sais rien mais à partir du moment où je les suçais au lieu de me débattre, je crois que j'ai ouvert la porte à tous leurs délires et toutes leurs envies perverses. Je suis convaincue maintenant qu'ils ne sont pas des violeurs, certes ils m'ont tripotée comme des mecs qui ont envie de faire peur à une fille mais si j'avais voulu m'enfuir j'aurai sûrement pu le faire. Au lieu de ça, j'ai accepté de sucer toutes les bites qui se présentaient devant ma bouche. Cet enfoiré de Louis a tendu ses fesses vers mon visage en m'ordonnant de les lécher, il a suffi qu'une main me pousse un peu pour que j'y loge mon visage et ma langue. Ils ont tous voulu goutter à ma langue de « lèche cul » et je les ai laissé faire même si je disais « non » sans résister physiquement ou mordre.

coquine piégée et forcéeL'un d'eux a attrapé ma culotte et l'a déchirée, ils m'ont tripotée et s'amusaient à dire que je mouillais comme une salope. Pour me prouver que c'était vrai, l'un d'eux m'a carrément fait lécher ses doigts après m'avoir tripotée. Ils m'ont soulevée pour me présenter jambes écartées à Louis. Soulevée et entre leurs mains, je n'étais qu'un pantin de chair, cuisses ouvertes, chatte à l'air prête à être baisée. Louis a osé me prendre, sa verge dure m'a comblée totalement, si j'étais morte de honte, ses mouvements en moi me troublaient. Entre sa bite et les mains des ouvriers me malaxant les seins et me caressant le clitoris, j'ai rapidement senti monter en moi une onde de plaisir malsain. Louis s'est retiré, j'ai cru qu'un autre aller prendre sa place et me violer mais au lieu de ça, l'un d'eux m'a enfoncé ses doigts dans la chatte pour me branler de l'intérieur comme un malade. A un moment il s'est passé quelque chose que je n'ai pas compris. Mon ventre devenait bouillant, j'avais envie de faire pipi. Je leur ai dit mais ils s'en moquaient. Au lieu de ça, celui qui me branlait comme un malade l'intérieur de mon ventre à accélérer encore son mouvement. J'avais honte, je criais, mon corps semblait décoller, ma vue s'est troublée, j'ai cru perdre connaissance tellement les sensations étaient fortes.

coquine piégée et forcée« Elle est fontaine » cria celui qui me branlait comme un malade. « Elle est fontaine ». J'ai jouis une première fois contre mon gré puis une seconde qui m'a faite hurler tellement c'était fort, puissant, un peu comme une avalanche qui ravage tout sur son passage. A partir de ce moment là, je ne me souviens plus de grand-chose, j'ai été soulevée plus d'une fois et prise dans tous les sens, j'ai sucé des culs et des bites sans même opposer aucune résistance, je n'étais plus moi-même. J'y éprouvais un plaisir malsain, c'est fou.

Même si aujourd'hui j'ai encore honte j'avoue que j'ai vécu quelque chose de très fort, de si intense que je le revis seule le soir sous ma couette avec mes doigts. Je n'arrive plus à faire fontaine, à connaître cette jouissance qui m'a faite totalement décoller et que je n'avais jamais vécue avant. Louis m'a promis de me faire vivre d'autres choses et que cette fois ce serait dix fois plus fort encore. J'ai honte de le dire mais je n'ai pas dit non.

TSM journaliste de Fessestivites

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Vendredi 19 avril 5 19 /04 /Avr 12:40

Soumise violée sous camisole de force

Laurie ex soumise L déprime depuis que son compagnon l'a laissée tomber pour une jeune soumise perverse qui lui a fait tourner la tête. Elle a tout perdu, son homme, son Maître, la maison où elle s'épanouissait depuis 15 ans. Sans travail puisqu'elle l'aidait dans l'entreprise, Laurie est à la rue.

Hébergée par un Maître respectueux du réseau Fessestivites, elle essaye par tous les moyens de s'en sortir. Maître Hervé n'abuse pas de la situation, il ne lui propose ni de participer aux soirées ni de coucher avec lui. Depuis plus d'un mois ils fonctionnent comme frère et sœur. En la voyant sombrer dans une sévère dépression, Maître Hervé lui a conseillé d'aller voir un psy pour obtenir une aide. Comme il est toujours de bons conseils, elle s'est donc rendue chez un psychiatre et lui a tout expliqué en long, en large et en travers de sa vie. II sait donc qu'elle est soumise et d'un naturel maso, points qu'il a creusé lors de la dernière séance.

Le psychiatre Henri est un monstre mais ni elle ni Maître Hervé ne pouvaient s'en douter.

Adepte de BDSM depuis de longues années, mais rejeté par toute la communauté pour son sadisme excessif Henri s'est engouffré dans la tête de sa patiente en état de faiblesse qu'il manipule à souhait. Comme elle trouve une oreille attentive en lui et une patience d'ange pour le paiement de ses honoraires, Laurie s'épanche plus que de raison lorsqu'il creuse sa sexualité en guise de psychothérapie. Si bien qu'un jour, elle lui avoue avoir fantasmé sur l'idée de se faire carrément violer et humilier dans des endroits sordides par des dizaines d'hommes. Si elle avait vue les dessins pervers qu'il griffonnait ce jour là sur son bloc note, Laurie se serait enfuit à toutes jambes.

Au lieu de fuir, elle accepte de sortir avec lui le soir même en lui promettant de ne rien dire à son ami Hervé car un psychiatre n'a pas le droit d'avoir des relations privées avec une patiente. Elle l'appelle donc et prétexte une soirée chez une amie chez qui elle restera peut-être pour la nuit.

Une heure plus tard, Henri conduit Laurie dans un grand restaurent où ils prennent l'apéritif loin des regards dans un parc luxuriant. Sans aucune méfiance, elle se baisse pour ramasser le paquet de cigarette que son psy vient de faire tomber. Lors de cet instant prémédité, Henri verse une poudre dans le verre de sa victime. A la fin du repas servit rapidement à sa demande, Henri aide sa victime à monter dans sa voiture car elle est épuisée, épuisée mais amoureuse.

Soumise violée sous camisole de forceLorsqu'elle ouvre les yeux, Laurie est dans une pièce aux murs matelassés. Quand elle essaye de bouger, elle constate qu'elle est entravée nue dans une camisole de force. Ses appels de détresses restent sans effet, personne ne vient. Soudain, un long moment plus tard deux infirmiers entrent dans cette ex salle réservée aux fous en crise. En guise de réponse à ses questions, ils se mettent à la tripoter, à la traiter de salope quand elle tente de résister. Après une série de gifles dès plus appuyées, elle est obligée de céder à ses violeurs qui l'étranglent lentement pour l'obliger à les sucer.

L'un deux l'attire à lui brutalement puis plaque les lèvres contre les siennes et l'embrasse avec violence avant de diriger sa tête vers son sexe bandé en lui arrachant presque les cheveux. Le gland violacé vient appuyer contre ses lèvres et s'enfonce dans sa bouche avec une certaine brutalité. Il la tient fermement par les cheveux et lui impose des mouvements sauvages. Il tente même de lui faire engloutir l'intégralité de son membre sans être gêné par les haut-le-cœur qui la secouent sous les coups lents et répétés de son gros gland contre la luette. Rejetée en arrière comme un déchet que l'on jette, sa bouche est forcée par l'autre infirmier tout aussi doux. La bouche déformée par ce mandrin, elle hoquette et pleure sans que ses larmes n'attendrissent ses violeurs.

Soumise violée sous camisole de forceLorsqu'ils entreprennent de retirer la sangle de la camisole passant entre ses jambes, Laurie comprend que rien ne lui sera épargné. Ses suppliques restent vaines et trouvent un écho effrayant.

- Ne fais pas la mijaurée, parce qu'une queue comme ça, ça se refuse pas non ? Ici, tu n'es qu'une chatte, un cul et une bouche dans lesquels on va souvent jouir.

Les mots agressifs hurlés par les colosses la figent de peur. Mise à genoux puis la tête écrasée dans la mousse recouvrant le sol, elle sent l'infirmier se placer derrière sa croupe offerte. Elle ne peut accepter ce qu'il va se passer, s'en est trop. Elle tente en vain de se débattre mais placé entre ses genoux écartés de force, l'infirmier ajuste sa verge sur la vulve offerte et la pénètre violemment. Laurie se débat et se tord sous la brute puis se met à hurler. Le second infirmier lui écrase les yeux avec ses doigts pour lui faire comprendre qu'elle doit se taire. Laurie pousse de petits gémissements plaintifs pendant qu'il la prend à grand coups de reins, gémissements interprétés comme du plaisir par ses violeurs.

- Tu vois que tu aimes salope !

Pendant le va et vient sauvage de son violeur, le second infirmier use et abuse de la bouche de Laurie dont il soutient la tête par les cheveux. Entre leurs mains elle n'est plus qu'un pantin de chair dont ils s'amusent à leur guise. Un troisième infirmier arrive mais il ne sera pas son sauveur bien au contraire, il vient chercher sa part de « viande fraiche ».

Soumise violée sous camisole de forceL'infirmier caresse ses fesses et rapidement, commence à titiller l'orifice interdit. « Non pas là crie t'elle en comprenant tout de suite que le doigt préparait le chemin à son pire cauchemar, la sodomie refusée jusqu'à présent même dans sa vie de soumise. Devant ses ruades désespérées, elle est jetée sur le dos, ses jambes maintenues ouvertes ne peuvent que s'agiter lorsque l'infirmier pousse son Priape au centre de l'orifice étroit. Le rectum élargi à outrance à peine mouillé par un brin de salive résiste fièrement. Elle se met à hurler lorsqu'il cède sous la pression et d'absorbe d'un coup toute la bite qui s'enfonce en elle jusqu'à la garde. Ses yeux exorbités par l'effroi reflètent la douleur intense ravageant ses reins vierges jusqu'à présent.

L'un après l'autre ils labourent le rectum à grands coups de reins, obligeant Laurie à appuyer sa tête contre le ventre de ceux qu'elle suce pour se maintenir en position sous peine de s'étouffer quand elle est à genoux. Ils rient à chaque fois lorsqu'elle se débat sous les nouvelles pénétrations.

Baisée ou enculée profondément, totalement vaincue elle suce maintenant les queues qui se présentent à elle sans réfuter ou même essayer de résister. Elle se sent plus que jamais esclaves sans âme ni raison, ballottée, retournée, utilisée sans aucune considération, elle n'est plus qu'un réceptacle. Une heure plus tard, elle pense son calvaire terminé lorsqu'une fois leurs affaires faites et dûment avalées ils lui remettent la sangle ventrale de la camisole de force.

« A demain salope » lui lance le dernier des infirmiers en fermant la porte. Laurie sait maintenant qu'elle a vraiment tout perdu, l'honneur, la dignité, le respect, qu'elle a moins de valeur qu'une prostituée qui peut refuser un client trop brutal ou sale.

Dans son bureau, Henri s'est branlé devant l'écran de surveillance de la salle pendant son viol sans pour autant parvenir à bander réellement. Depuis qu'il a été mordu pour avoir maltraité une soumise, ses érections limitées ne lui permettent plus de savourer les plaisirs de la vie.

Epilogue

C'est encore une fois Maître Hervé qui a réussi à la sauver par son insistance auprès de la police et cela grâce à ses relations sans quoi Lucie serait morte aujourd'hui. Au départ, la police refusait d'enquêter car Laurie est majeure et il n'avait aucun lien de famille avec elle. C'est le téléphone portable de Laurie qui l'a sauvée. Tombé entre les sièges de la voiture du psychiatre, il a permis une géo localisation correspondant soit à son domicile soit à son cabinet. Ce médecin interrogé affirmait ne pas avoir de nouvelle de sa cliente par contre son téléphone était toujours là où il allait ! 24 heures plus tard, la batterie du portable totalement déchargée n'aurait plus permis une géo-localisation. Félicitations à Maître Hervé pour son acharnement.

 

TSM journaliste de Fessestivites

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Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 19:51

Le pensionnat infernal (Viol / abus )

Par TSM journaliste de Fessestivites.com

Le pensionnat infernal

Laurie est une jeune fille mise au pensionnat par des parents qui trouvaient par ce prétexte de bonne famille, un moyen de se dégager de l'éducation de sa progéniture. Le corps et les sens de cette jeune et charmante jeune fille se développent, générant des envies de sexe et de plaisir. Dans les chambres, les filles parlent souvent de sexe entre elles ce qui n'apaise en rien les libidos exacerbée. Il est bien connu que le vice se développe parfois par rapport aux défis que l'on se lance, c'est grâce ou à cause de cela que Laurie est entrée un jour dans un sexe shop et s'est offert quelques accessoires.

Lors des douches, Laurie s'est approchée d'une des filles qu'elle croyait être une amie et sous le prétexte de l'aider à se savonner le dos, les premiers échanges et câlins furtifs lesbiens de notre jeune pensionnaire virent le jour. Elles prirent donc l'habitude d'aller prendre leur douche ensemble après tout le dortoir, histoire de partager, dans une intimité à hauts risques, quelques moments de tendresse. La directrice guidée par une rapporteuse les a piégée un dimanche.

Laurie et sa copine furent convoquées chez la directrice et c'est là que la pseudo amie de Laurie fit tout ce qu'elle pouvait pour la charger en prétextant que cette dernière essayez d'abuser des jeunes filles du dortoir. D'un naturel fougueux, restée seule avec la directrice, notre étudiante c'est rebellée en indiquant qu'elle n'aimait pas les hommes avant de devenir très insultante. Cet aveu généra de monstrueuses envies à la directrice, un véritable rapace assoiffé de sexe. Niché au creux des poumons, il y a un organe qui s'appelle le cœur. Tous les êtres humains en ont un. Tous sauf elle. A la place, il y a un bloc de fonte que rien n'atteint.

L'inspection du dortoir lui permit de découvrir des objets interdits dans un pensionnat et que Laurie appréciait toutefois les godemichets. Bien décidée à profiter de la situation pour se croquer une jouvencelle, la directrice décida d'en abuser.

Etant en position de faiblesse physique et hiérarchique puis fautive, hormis se plaindre et crier des « non » inutiles, se fit dans un premier temps tripoter sous prétexte d'inspection. Morte de honte lorsque la directrice lui introduit un doigt dans son vagin de jouvencelle, ce dernier révéla qu'il n'était plus vierge et déjà bien rodé à des introductions d'objets de plus grosse taille. Quelques explications et gifles plus tard, la pauvre Laurie était branlée par une main experte ce qui généra une lubrification spontanée, naturelle et surtout généreuse de la vallée des plaisirs.

- Je savais bien que tu es une grosse salope soumise ! Hurla la directrice en étalant de la mouille sur le visage de Laurie. Je vais t'éduquer et te faire vivre bien plus que ce que tu as vécu jusqu'à présent, croit-moi.

Piégée, humiliée, sans aucune possibilité d'échappatoire, Laurie se laissa tripoter et prendre par les doigts de la directrice vautrée sur elle et cherchant sa bouche. A force de persuasion et de savoir faire, bien qu'encore jeune, la petite grotte s'ouvrit sous l'insistance des doigts experts qui finirent par la pénétrer entièrement. A 18 ans, notre pensionnaire vivait donc son premier fist en râlant de plaisir et tout honte bue.

- Pour t'apprendre ce qu'est la vie, je vais t'offrir bien plus que ma main petite garce ! Déclara la directrice sans que Laurie ne puisse comprendre l'enfer qui l'attendait en guise de cadeau.

Abandonnée quelques minutes, Laurie se morfondait en se posant mille questions sans imaginer un instant que la directrice offrait parfois des pensionnaires aux surveillants en guise de prime et d'outils de management. Lorsqu'elle vit entrer quatre hommes affichant un sourire banane, elle crut défaillir rien qu'en s'imaginant que la directrice allait leur dire qu'elle gouinait.

- Elle est à vous messieurs, éduquez-moi cette jouvencelle qui déclare ne pas aimer les hommes et qui se gode le soir sous ses couvertures.

Le sol se dérobât sous les pieds de Laurie à cette annonce. Qu'elle soit révoltée et crie des « non » désespérés ni changea rien, les quatre surveillants l'attrapèrent et entreprirent de la dévêtir ou plutôt d'arracher les derniers remparts de sa pudeur. Entre les gifles et menaces puis poignets de cheveux arrachés, Laurie finit par prendre en bouche le sexe du premier des quatre surveillants pendant que les autres la tripotaient sans vergogne. Ses larmes et réfutations désespérées ni firent rien, quelques minutes et pipes forcées plus tard, maintenue étendue jambes écartées sur un lit elle fut prise de force. Sous l'effet de la saillie sauvage, elle n'était plus qu'une marionnette de chair offerte en pâture.

Infatigable et pervers, il la posséda en rallant comme un loup solitaire qui croquerait une brebis. Son membre épais et volumineux entrait et sortait dans un bruissement visqueux.

De petits cris ponctuaient les gémissements continuels. Les mains de Laurie fouettaient l'air tentant alternativement de repousser l'un puis l'autre des surveillants approchant leur sexe bandé de son visage. Elle se mit à pousser de temps à autre quelques râles étouffés pour causse de sens troublés par le doigt rugueux qui caressait doucement le capuchon de son clitoris pendant que l'on malaxait ses seins et la prenait d'une manière soutenue. Toute résistance avait quitté Laurie, elle laissait manipuler comme un pantin sans vie, sans volonté. Sans comprendre pourquoi, elle avait honte, peur et en même temps elle ne restait pas insensible à cette verge, la première de sa vie, son hymen s'étant déchiré lors de ses jeux intimes. La sueur coulait de son corps, se mélangeant à la cyprine qui suintait de ses lèvres congestionnées, largement ouvertes lorsque son violeur se retira.

L'intimité vulnérable de la jeune fille haletante, ne put se dérober ni échapper à l'intrusion d'une seconde bite. Sous les assauts incessants de ses violeurs, elle finit, malgré la souffrance et l'humiliation, par éprouver des sensations voluptueuses étranges, si vives, si bouleversantes, qu'elle feulait doucement. L'onde de plaisir montait dans son ventre en se disputant avec la raison. A ce moment là, sans savoir pourquoi ni ce qui la poussait à ce geste qu'elle n'aurait jamais imaginé faire un jour, elle attrapa les bites tendues vers elle et se mit à les branler.

Là où les choses se gâtèrent, c'est lorsqu'un doigt se mit à visiter son petit trou, ce coin interdit et sale qu'elle n'avait jamais exploré. Laurie comprit tout de suite que le doigt préparait le chemin à un sexe. Malgré ses « non » désespérés, elle fut rapidement prise par l'anus et hurla de douleur et de honte. Les fesses en l'air, elle fut sodomisée, couchée sur ses épaules, les jambes derrières la tête avec absolument aucune possibilité d'y échapper. Le surveillant profana l'intimité étoilée aux chairs délicates de son vit de rustre avec un rythme soutenu pendant qu'un autre lui arrachait presque les cheveux pour l'obliger à prendre son sexe dans sa bouche. Lorsqu'il décharge dans sa bouche, elle ne peut se dégager de la poigne de fer qui l'obligeait à recevoir au fond de sa gorge le sperme visqueux. Il continua de s'enfoncer pour mieux se vider, son gland heurta la luette et généra des spasmes dont il n'avait que faire.

Retournée comme une crêpe, elle fut prise par les deux hommes en même temps. Bien que préparés à cette double saillit par ses viols précédents, elle éprouva des douleurs au départ mais être ainsi envahie, prise ainsi et avoir sa poitrine malaxée par deux mains lui fit perdre la tête à nouveau. Emportée malgré elle dans un orgasme d'une intensité jamais atteinte, elle se sentait plus honteuse que jamais d'être prise par les deux hommes et d'y trouver tant de plaisirs. Son anus épanoui et son ventre fouillé s'extasiaient de plaisirs enivrants, prise et totalement comblée, Laurie perdait la tête et déraisonnait totalement. Elle prit d'elle-même sans qu'on ne la force, une verge bandée à rompre se présentant devant elle pour ce mettre à la sucer.

Jamais au grand jamais elle n'aurait fait ça à un garçon en d'autres temps, mais sa monstrueuse jouissance avec la directrice puis celles éprouvées de suite après avec les surveillants l'avaient métamorphosée. La directrice s'y mit aussi, armé d'un gode ceinture sorti du tiroir de son bureau, témoignant ainsi aux yeux de tous, qu'elle se plaisait elle aussi à prendre les filles du pensionnat.

Toutes ces caresses sur son corps et ses orifices distendus, longuement pénétrés lui semblaient insupportables mais en même temps comment échapper aux terribles ondes nerveuses traversant ses fourreaux intimes ? Son corps refusait purement et simplement tout les signaux d'alerte de la morale !

Rompue de jouissances, sans plus aucune capacité de résistance à quoi que ce soit, elle se laissa porter et asseoir sur le sol où elle fut entourée par les surveillants bite à la main. Dans un dernier élan solidaire, ils se branlèrent jusqu'à la jouissance pour éjaculer sur son visage de jouvencelle comme des conquérants manquant leur territoire.

Abandonnée seule, à même le sol, elle n'eut même pas l'idée de débarrasser son visage souillé de sperme, c'est la directrice qui le lui fit demi-heure plus tard avec un gant et de l'eau chaude. Laurie était bouleversée par toutes ces bouches qui lui avaient embrassée et sucée les seins, ces dents qui lui avaient mordillé les mamelons, ces mains qui avaient courues sur son corps, ces doigts qui s'étaient fixés obstinément entre ses cuisses, entre ses fesses, et qui l'avaient menée à la jouissance... contre son gré.

Et là, la directrice redevenue souriante, complice qui la caressait avec douceur, parachevait définitivement la déroute phycologique et morale de Laurie. Les attouchements sensuels et un appareil vibrant posé sur son clitoris, la directrice parvint à générer des spammes aux corps de la jouvencelle si bien que cette fois, elle se laissa fister sans aucune honte ni pudeur jusqu'à l'extase totale et dans une impudeur surprenante.

En perdition psychologique totale, lorsque la directrice attira ensuite son visage vers sa chatte trempée, Laurie se mit à la laper comme pour la remercier.

TSM journaliste de Fessestivites.com

Les photos sont ICI

http://www.fessestivites.com/fre/Article/27_Hard-OU-tres-violent/albums/3554_Pensionnat-infernal-Histoire-photos-et-videos.html

Les quatre vidéos sont ICI

Le pensionnat infernal 1

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1920_Pensionnat-infernal-1.html

Le pensionnat infernal 2

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1919_Pensionnat-infernal-2.html

Le pensionnat infernal 3

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1918_Pensionnat-infernal-3.html

Le pensionnat infernal 4

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1917_Pensionnat-infernal-4.html

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Dimanche 16 décembre 7 16 /12 /Déc 19:25

BDSM et viol d'une soumise par Maître Maya à Bugarach

Bienheureux les humbles qui embarqueront au Pic de Bugarach dans le plus simple appareil car eux seuls survivront au cataclysme c'est ce qu'indiquait les nombreux messages sur internet. A un mois du solstice d'hiver qui correspondait cette année au 21 décembre 2012 à une prédiction Maya de "fin du monde", je me suis rendue dans l'Aude après avoir contacté un homme dominateur appelé Maître Maya.

viol bugarach 21 decembre mayaComme indiqué, je me suis présentée nue sous mon manteau à la porte de l'église le vendredi à 19 heures. Il est arrivé vêtu d'un grand manteau noir dans un silence religieux et m'a tendu un collier de soumise.

- Met ça autour de ton cou, à partir du moment où il sera fermé, tu seras ma soumise et devras te monter à la hauteur de mes exigences.

Lorsque j'ai voulu discuter un peu il a mis son doigt devant ses lèvres pour me faire comprendre de me taire. Son sourire et ses beaux yeux bleus ont fait fondre le peu de lucidité qu'il me restait. J'ai donc tendu mon cou à cet homme qui avait su me séduire et me rassurer sur internet. Tel un caniche, je me suis laissée conduire dans les rues de ce petit village jusqu'à une magnifique maison de maître avec des murs de pierre impressionnants.

Toujours sans un mot, à peine la porte fermée, il a ouvert mon manteau et m'a faite étendre sur le sol à deux pas d'une immense cheminée et d'un beau feu crépitant. Nue étendue sur le dos, bras et jambes en croix devant Maître Maya je me sentais une petite chose fragile sous ses yeux perçants ma carapace.

- N'ai pas peur, je vais te préparer pour la cérémonie des douleurs mais tu ne sentiras rien.

Il a commença par poser des bougies sur le sol tout autour de moi puis a éteint la lumière. Avec les crépitements du feu comme seuls compagnons et cette ambiance magique qu'il avait su créer, mon taux d'excitation me faisait oublier peu à peu la cérémonie des douleurs qu'il venait de m'annoncer. Une heure plus tard, avec la musique d'histoire d'O tournant en boucle et quelques centilitres de sécrétions intimes s'écoulant insidieusement sur le grand drap noir je l'ai entendu arriver à pas de velours.

- Vient, l'heure de la cérémonie a sonné.

Avec grande galanterie, il m'a aidée à me relever puis m'a bandée les yeux. Conduite je ne sais où, il m'a demandée à un moment d'attendre sans bouger. Mon cœur bâtait la chamade et lorsqu'il a posé de lourds bracelets à mes poignets, j'ai bien cru qu'il aller s'arrêter de battre. Lentement mes mains se sont mises à monter vers le plafond, l'air de la pièce s'acharnait sur mon épiderme devenu une multitude de capteurs sensoriels.

Pour la première fois depuis mon arrivée, ses mains m'ont touchée, leur contact m'a fait frémir et fondre comme un caramel mou oublié sur une plage au mois d'août. Alors que je commençais à décoller, une autre paire de mains s'est posée sur moi et là, j'ai commencé à déchanter. Fouillée par des mains inconnues, je ne pouvais plus rien faire hormis m'abandonner et vivre ce que j'avais toujours fantasmé de vivre.

D'un seul coup, une lanière a cinglé fortement mon dos laissant un trait de feu sur son passage. Bien d'autres sont tombées, de plus en plus vite de part et d'autre de mon corps me permettant de comprendre qu'ils étaient plusieurs à me fouetter. Si les douleurs du début étaient rudes, au fur et à mesure comme disait Mylène la fermière, mon masochisme me transportait dans un autre monde, un monde si difficile à décrire mais si particuliers à vivre.

Je suis arrivée à un seuil de perdition jamais atteint de douleur mais aussi de jouissance sous leurs coups de plus en plus puissants. A la limite de l'inconscience, j'ai été portée à dos d'homme pour être entravée étendue sur le dos sur une sorte de table. Ma tête dépassait et tombait dans le vide tandis que mes fesses dépassaient un peu d l'autre côté. Les jambes en l'air maintenues en V par des bracelets et accessoires que je ne pouvais voir, mon intimité leur était offerte et n'avait plus rien d'intime. Et là, lorsqu'il a touché mon entre secrète de la pointe de son gland, j'ai compris que j'allais devenir leur jouet mais j'étais bien loin de la réalité.

- Elle est à vous pour la nuit, vous pouvez user d'elle par tous les trous et si elle cherchait à résister, n'hésitez pas à la fouetter. Leur a indiqué Maître Maya.

Prise comme une bête livrée en pâture, je n'ai pu que subir comme une poupée de chair. La bouche forcée par une énorme verge pendant qu'une autre s'acharnait en mon vagin, je ne pouvais que gémir pendant que des mains malaxaient mes seins comme si elles étaient en train de pétrir du pain. Le pire fut ma première sodomie qui fut brutale, sauvage et très douloureuse. J'ai cru un instant être pourfendue, déchirée tant cet enf.... s'acharnait sur moi. La douleur a fini à la longue par faire place à un trouble puis un feu impossible à contrôler. Couvant en moi lentement sous les assauts répétés, lorsqu'une main s'est mise à claquer ma chouchounette il est devenu un brasier. Et là, comme une malade mentale que je suis, j'ai été terrassée par une jouissance paroxystique aussi violente qu'un tsunami balayant tout sur son passage.

Comment ai-je pu jouir dans ces conditions ? Je ne saurai le dire car c'est inexplicable et j'en ai honte maintenant que je suis libre. Ils ont usé et abusé de moi toute la nuit, je crois que j'ai été vendue et non pas offerte dans une logique BDSM. Le pire c'est qu'au début j'ai éprouvée du plaisir et jouis comme une tarée que je suis. A la fin, je ne sentais plus grand-chose hormis du dégoût et une incommensurable envie de fuir. Manipulée par ma peur de la fin du monde, je me suis offerte corps et âme comme une catin. Le lendemain, jetée plus que raccompagnée à ma voiture je me suis entendue dire que je ne pouvais être l'élue et sauvée.

J'ai beaucoup de chance d'être en vie et que mon test du sida soit négatif car la fin du monde aurait pu avoir lieu pour moi il y a peu.

Histoire inventée par TSM en délire sur la thématique de la fin du monde.

 

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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Lundi 26 novembre 1 26 /11 /Nov 15:35

Guillaume un ABDL enlevé par deux folles qui vont lui faire vivre un calvaire ABDL

Guillaume est un jeune homme attiré depuis des années par l'ABDL. Dans son intimité, il se plait à rêver de rencontrer une nurse qui prendrait soin de lui. Pour satisfaire ses envies de pseudo contraintes d'obligations, il porte des couches la nuit et pratique un peu de self bondage ce qui le met dans des états d'excitation démesuré.

 

Il lui arrive de sortir de chez lui en couche avec une chaine et un cadenas en guise de ceinture en laissant bien sûr les clés à la maison. Savoir qu'il n'a pas d'autre choix que de faire pipi dans sa couche génère en lui des sensations divines, même dans les rayons du supermarché du coin. Pour vivre ses passions et rêves de contraintes ABDL, il s'est offert par deux fois un cadenas à combinaison géré par Fessestivites.com.

La première fois, il s'est mis en couche puis a cadenassé son pantalon de 20h à 8h le matin. Sa nuit fut courte et peuplée de songes érotiques les plus fous. La seconde fois, Guillaume a mis la barre plus haut et s'est fait de grosses sensations et frayeurs. Le cadenas fermé à 20h, il dut donc attendre jusqu'à midi le lendemain mais la nature étant ce qu'elle est, refreiner ses envies de déféquer fut difficile. Difficile mais grisant car les fesses et cuisses serrées, son épiderme était comme des capteurs sensoriels, un simple courant d'air l'enflammait. Plus d'une fois, son corps pris de contraction se révoltait mais il était parvenu à ne pas faire dans sa couche tout en se faisant de grosses peurs.

Les cadenas d'ABCplaisir c'est bien, c'est grisant, mais cela ne remplacera jamais la douceur féminine d'une nurse. Il se mit donc en recherche d'une femme sur internet pour s'occuper de lui tout en rêvant de rencontrer en même temps l'élue de son cœur. Après deux mois de recherche et de plaisir solitaire, il parvint à avoir un contact sérieux. La fille prudente lui imposa de lui donner son numéro de téléphone et d'avoir une discussion téléphonique pour faire connaissance. Karine l'appela en masqué pour ne pas se dévoiler, chose qu'il accepta de bonne grâce en comprenant la logique de prudence.

LE RENDEZ-VOUS

Le rendez-vous eu lieu un vendredi soir dans une brasserie. Vers 18 heures, en couche comme lui avait imposé Karine, Guillaume l'attendait sur la terrasse de la dite brasserie avec un bouquet de roses posé en évidence sur la table en guise de code. Ce n'est pas qu'il soit particulièrement timide, mais se présenter en couche même cachée par son pantalon devant une femme, l'intimidait énormément. Plus d'une fois il se traita de fou et faillit partir...

- Bonjour Guillaume ! Lui dit une superbe brune avec des mèches rousses presque rouges dont le sourire et le visage affichaient une sévérité naturelle, laissant paraître qu'il devrait être sage s'ils trouvaient affinités.

Lorsqu'elle attrapa une seconde chaise, Guillaume fut surpris puis atterré dans les secondes qui suivirent, en voyant une seconde fille blonde très complice venir prendre place à leur table.

- Je te présente mon amie, mon amie intime si tu vois ce que je veux dire ! Lui indiqua Karine sans être gênée d'annoncer son homosexualité.

Une heure plus tard, Guillaume parlait de lui sans aucune gêne, les filles ayant tout fait pour le mettre à l'aise. Si bien que lorsqu'elles lui proposèrent de venir chez elles pour le changer, il accepta timidement mais sans aucune méfiance. A peine arrivé dans un très coquet appartement, il dut prendre place sur un magnifique canapé en cuir et trinquer au champagne pour fêter leur rencontre. Si pour Guillaume son rêve de rencontrer l'âme sœur s'envolait, celui de rencontrer une nurse se réalisait doublement, la blonde prénommé Lucie ayant également une passion pour le nursing.

Il commença à chanceler à la seconde coupe de champagne, sa tête devint aussi lourde que ses paupières. Aidé plus que guidé par les filles, il se laissa conduire à une chambre d'enfant pour adulte jusqu'à un très grand lit à barreau. A peine étendu, ses paupières aussi lourdes que du plomb ne purent résister. Il s'endormit comme un bébé en perdant totalement conscience des réalités.

Un quart d'heure plus tard, Guillaume était vêtu comme un bébé avec une couche bien épaisse sans avoir pu apprécier que des filles s'occupent de lui à cause des drogues ajoutées généreusement dans son champagne. De solides et multiples sangles médicales l'entravaient sévèrement lui interdisant toute fuite. Ce n'est qu'au matin, lorsqu'il voulut apaiser une démangeaison, qu'il découvrit en se réveillant qu'il ne pouvait réellement bouger. Le réveil fut rude pour cet ABDL !

Il s'agita dans ses liens médicaux comme un forcené mais en vain, ce matériel médical est justement fait pour maîtriser des adultes. Il se mit donc à appeler puis à hurler ce qui ne changea rien, hormis faire monter son adrénaline et son angoisse. Bien plus tard et après cent mille questions sans réponse, les filles entrèrent dans la chambre. Comme l'on peut s'en douter, ses demandes, ses ordres puis ses suppliques pour être libéré restèrent vaines.

- Ecoute-moi bien Guillaume, soit tu te calmes soit je te castre ! Lui indiqua Karine en entrant dans l'énorme lit pour poser la main sur la couche, juste à l'endroit où cela fait mal quand on écrase ce qui est dessous.

Malgré ses suppliques maintenant désespérées rien ne se passa. Karine affichait un regard toujours aussi sévère.

- Je te fais le bilan, si tu me coupes la parole, je te castre. Comme tu l'as compris, nous sommes deux lesbiennes, nous aimons les couches et le BDSM. Nous aimerions avoir un enfant. Tu as été sélectionné parmi les tonnes de contacts que nous avons eus pour nous permettre de nous essayer, en clair, de voir si avoir un bébé est possible pour nous.

- Oui je comprends, mais pourquoi m'attacher alors que j'étais volontaire ?

- Parce que le test peut durer quelques jours et nous désirons essayer 24h sur 24h sur une durée que nous ne maitrisons pas.

- Désolé de vous ennuyer dans vos projets mais j'ai un travail, lundi il faudra que j'aille bosser.

- Lundi tu feras ce que nous déciderons que cela te plaise ou non, un bébé n'a pas d'ordre à donner.

- Allez vous faire foutre ! Hurla Guillaume furieux en se démenant comme un beau diable.

 

Un grand coup de pied dans la couche calma aussitôt ses ardeurs, un second le fit taire tant par la douleur que le souffle coupé. Lucie ravie de voir que son amie maîtrisait la situation, s'approcha avec un grand sourire et un biberon de Blédine bourré de tranquillisants et de laxatifs, Karine désirant réellement que son amie Lucie vive tous les effets d'une maternité.

Après quelques réfutations d'usage, Guillaume n'eut d'autres choix que d'abdiquer et de boire le biberon que Lucie lui donnait à travers les barreaux du lit. Dans un sursaut de désespoir, il se mit à hurler, chose que Karine n'apprécia pas tout comme le service trois pièces sous la couche qui n'amortit pas grand-chose.... Furieuse, elle alla chercher un bâillon dans leurs jouets BDSM et le lui imposa manu militari. Guillaume décomposé en relâchant sa vessie malmenée pleurait comme un bébé lorsqu'elles quittèrent la chambre.

LE SAMEDI MIDI

En guise d'apéritif, Lucie dut venir changer le bébé qui s'en rendit compte mais cette fois sans réfutation, les tranquillisants et le somnifère anéantissant la prise de conscience des réalités. Son cul merdeux fut lavé et photographié sous tous les angles par Karine, une nouvelle couche fut posée. Lucie prit place dans le lit contre le « bébé » afin de s'adonner aux plaisirs des mamans qui donnent le biberon à leur enfant. La problématique et la chance de Guillaume, c'est qu'étant dans les « vapes » il avala de travers et se mit à vomir sur Lucie.

- Dégueulasse ! hurla Lucie en lui donnant des baffes en guise de réconfort.

- Ca cela fait partie des joies des mamans. Lui indiqua alors Karine avec un petit sourire en coin.

- Cela t'amuse toi qu'il ait vomi sur moi et qu'il se cague dessus ?

- Non cela ne m'amuse pas du tout, c'est écœurant, tu pues et il pue mais le pire c'est que tu vas tout nettoyer, car prendre un bébé c'était ton idée.

- Salope ! Hurla Lucie folle de rage.

- Tu as rendez-vous avec la canne anglaise dans trente minutes. Répondit Karine avec une voix calme, froide, posée que Lucie interpréta clairement. Tu me nettoies tout ça et surtout sans le détacher, n'oublie pas ton rendez-vous.

EPILOGUE

Trente minutes plus tard, Lucie s'allongea nue sur le banc à fessée avec des larmes dans les yeux pour y être solidement entravée. La punition fut à la hauteur de l'insulte, les six lettres du mot « salope » furent transformées en soixante coups de cannes très appuyés que Lucie n'est pas prête d'oublier.

Guillaume fut libéré après cette explication très claire :

« Pendant que tu dormais, j'ai pris ton sac et tes clés pour aller chez toi. J'ai assez de photos et d'informations pour te pourrir la vie et te faire perdre ton travail. Sur les photos on te voit vêtu en bébé, le cul plein de merde et en train de boire le biberon. A cela se rajoute que j'ai pris pas mal de photos de tes petits jouets et quelques-unes sur ton ordinateur, j'ai vue que tu ne t'ennuie pas quand tu es tout seul gros cochon. Si tu nous cherches des ennuies, je vais te pourrir la vie, à cela rajoute que raconter aux flics que tu aimes chier dans ta couche va les faire rire.... et te discréditer. En clair si tu nous oublies tu n'entendras jamais parler de nous. Si tu nous cherches des noises et je te pourris la vie car tu n'as aucune preuves de ce qu'il vient de t'arriver »

Guillaume s'est remis de cette aventure, il lui arrive même d'avoir envie de les revoir mais le pseudo de Karine n'existe plus.

TSM journaliste de fessestivites.com


La vidéo de Guillaume un ABDL enlevé par deux folles est ICI

https://fessestivites.com/media/6018


 

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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : ABDL & plaisir
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Lundi 9 avril 1 09 /04 /Avr 17:28

Pâques SM Histoire de souffrance

 

J’avais beau lui dire qu’elle ne pouvait pas manger son œuf de Pâques avant quarante jours, elle ne me croyait pas. L’histoire des œufs de Pâques est celle-ci-dessous.

Dans le Kalevala, livre de la grande tradition finlandaise, le monde est né de l'œuf. La coutume de l'œuf de Pâques a été constatée chez les chrétiens coptes dès la fin du Xe siècle. En France, les textes qui parlent de cette tradition concernent l'Alsace et remontent au XVe siècle.

On a dit que Louis XIV faisait bénir de grandes corbeilles d'œufs dorés qu'il remettait aux courtisans et à son domestique2. La tradition aurait fait du roi le destinataire du plus gros œuf du royaume.

Il est cependant admis que l'origine des œufs de Pâques date de l'instauration du carême. L'Église interdit la consommation d'œufs pendant cette période de quarante jours. Il s'agissait donc à l'issue du jeûne de consommer les œufs qui s'étaient accumulés pendant le carême, en les mangeant normalement pour les plus récents et en les cuisant puis en les décorant pour les plus vieux.

EN 2012

Il est logique que les adeptes du SM s’attachent à respecter la légende et l’adaptent à leur manière. J’ai donc enchainé soumise Kioki-san à une lourde charrue de décoration en lui mettant son œuf de Pâques 40 centimètres plus loin.

Histoire de motiver sa gourmandise naturelle des plaisirs de la vie et du chocolat, il lui avait été imposé une tenue légère faite des bas résilles et d’un corset pour protéger son dos lors des efforts.

Elle dut essayer en rampant de tracter la charrue qui de son côté s’entêtait à ne point bouger. A l’aide d’un long fouet, comme à l’époque romaine, je fouettais donc la « bête » pardon la belle soumise, pour qu’elle mette plus de cœur à l’ouvrage. Les fesses bien rouges, elle a finit par déclarer forfait et à se résigner à attendre 40 jours pour manger son œuf.

40 coups de fouets plus tard, libérée de ses chaînes, la belle mordait à pleine dents dans du chocolat.

Les adeptes du SM perpétuent donc la légende la preuve en image ci-dessous !

TSM

07 Paques SM

018 Paques SM

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Dimanche 20 juin 7 20 /06 /Juin 07:03

 

L’entrepôt réaffecté

Par TSM

18 juin 2010

 

Dans mon intérieur la haine et la rage côtoient mon angoisse, cela doit bien faire deux ou trois heures que je suis suspendue. Ma passion des photos érotiques et SM dans des lieux glauques risque cette fois de me coûter cher si ce n’est la vie. 

L'entrepôt

Quelle conne ai-je été de venir ici, il m’a promis de me libérer mais je n’y crois plus. Cet enfoiré s’est joué de moi sur tous tableaux non pas pour me convaincre puisque j’étais déjà piégée mais juste pour jouer avec moi comme le chat et la souris.

Quand j’ai vu cet entrepôt désaffecté en pleine Camargue mon regard artistique m’a fait foncer tête baissée. J’imaginais des plans, des poses, je m’excitais comme une folle puis j’ai découvert qu’une partie de l’entrepôt était encore utilisé pour des soirées SM parce qu’une porte de sécurité était mal fermée. Etant seule avec mes fantasmes et ma curiosité maladive, j’ai pris des poses sur les instruments en imaginant des étalons beaux comme des dieux en train de me faire l’amour. C’était si grisant que je me suis abandonnée au plaisir et ne l’ai pas entendu arriver. Je n’ai ouvert les yeux qu’au moment où il a fermé autour de mon cou le collier métallique du carcan.   

 Mes suppliques, mes cris et hurlements n’ont eu aucun effet, il m’a regardée me débattre en souriant avant de prendre une chaise et de s’asseoir près du carcan. Vautré sur sa chaise, cet enfoiré m’a questionnée sur les raisons de ma présence ici. Il a regardé mon matériel photographique avec un vif intérêt, nous avons parlé de l’Art de la photo, un peu de mes fantasmes et mes besoins d’argent. Son calme et sa façon de faire ont légèrement apaisé mes craintes, j’étais à ce moment là convaincue qu’il jouait juste avec mes nerfs pour me donner une leçon car à aucun moment il ne m’a touchée alors qu’il aurait pu me violer en toute tranquillité. En fait, ce pervers s’amusait à me manipuler.

 Quand il a commencé à faire des photos de moi, à me demander de soulever ma robe ou de descendre une des bretelles, j’ai cru qu’il allait abuser de moi mais non, au contraire, il a redescendu ma robe en me disant qu’elle me dévoilait trop. Il me faisait des compliments sur ma beauté, mon charme et mon visage de princesse pendant qu’il me mitraillait en plaisantant sur son modèle. J’ai collaboré quand il m’a posé un bâillon en espérant que ce ne serait que pour les photos et non pas pour étouffer mes cris. Puis il a ébouriffé mes cheveux, avec de l’eau il s’est amusé à faire des trainées sous mes paupières pour faire comme si j’avais pleurée alors qu’il avait tous les moyens de me faire pleurer réellement. Puis il m’a proposé d’acheter mes photos alors qu’il aurait très bien pu tout simplement  garder mon appareil, j’ai compris qu’il était dans la presse spécialisée.

 Il m’a dit « je vous propose mille cinq-cents euros pour ses photos mais si vous acceptez d’en faire d’autres sur d’autres appareils, je double la somme » mes peurs se sont alors envolées, on ne propose pas de l’argent à quelqu’un que l’on va assassiner. Après m’avoir libérée et aidée à descendre, il m’a faite prendre les poses sur un pilori, sur une croix de saint André, accrochée à une chaine. Au plus le temps passait, au plus je m’amusais, au plus je m’excitais. Alors que j’étais debout avec les bras maintenus en l’air par une chaîne et des bracelets, il s’est approché de moi. Il a posé ses mains sur moi et j’ai su que j’allais m’offrir à lui sans même connaître son prénom. Ses lèvres ont commencé à butiner les miennes en douceur, je lui ai rendu son baiser. Complètement envoutée par son baiser et ses mains titillant délicatement mes tétons, mes neurones enflammés m’ont poussée à l’attirer contre moi d’une de mes jambes. J’avais envie de lui, de cet homme charmant et sûr de lui avec une voix grave et si douce. Sa main s’est faite plus aventureuse mais je n’ai pas serré les cuisses…. 

 Alors que la vague montante s’annonçait, il m’a abandonnée un instant pour bander mes yeux en me promettant de me faire découvrir la jouissance extrême. Si j’avais eu les mains libres, dans l’état où j’étais je l’aurais violé mais entre ses mains, entre les mains du Maître de mon plaisir je n’ai pu qu’attendre qu’il m’achève. Les chaines se sont mises à bouger, mes bras sont descendus doucement puis avec délicatesse il m’a faite me pencher en avant pour attacher quelque chose à mon cou. Lorsque j’ai voulu me relever, cela n’a pas été possible, maintenue penchée en avant avec les bras encore au dessus de ma tête, le chemin de mon intimité lui était grand ouvert. Il se mit à bouger des trucs au lieu de me prendre, j’étais folle. Soudain, quelque chose s’est appuyé à l’entrée de mon sexe puis m’a pénétrée mais ce n’était pas son sexe. La chose s’est mise à bouger, à me prendre avec un rythme régulier puis une grosse boule s’est posée sur mon clitoris. Il bricola un instant puis elle se mit à vibrer trop fortement à mon goût même si c’était agréable.

 Pour que je ne puisse me soustraire au plaisir qui ne pourrait que venir d’après lui, il entrava mes chevilles et pour que je garde la tête haute, il me fit une queue de cheval avec une corde qu’il attacha à la chaîne de mes mains. Mes oreilles me rapportèrent que la séance photo reprenait. Je l’aurai frappé si j’avais pu car à cet instant c’est de sexe que j’avais envie, pas de photos. L’Artiste du SM a entrepris mes seins avec de la corde au lieu de les caresser, il en a fait des boulles avant de poser sur mes tétons des pinces qui elles aussi se mirent à vibrer. En affinant ses réglages il m’a fait mal mais a refusé de desserrer les pinces en me promettant une jouissance extrême. Mon corps lui appartenait, il en faisait ce qu’il voulait, comme il voulait et le pire est que je me sentais partir de plus en plus haut dans l’excitation, l’acceptation, l’abandon.

 De légers coups de martinet se sont abattus sur mes fesses, ce n’était pas douloureux, c’était juste un peu piquant parfois. Au fur et à mesure que je vibrais, que le temps passait, il tapait de plus en plus fort. Cela me faisait un peu mal mais paradoxalement c’était bon. Il s’est arrêté de me flageller puis a laissé ses machines me rendre folle. Quand sa verge bandée s’est posée contre mes lèvres, elles lui ont donné ce que j’aurai aimé lui donner avec mon corps. Jamais au grand jamais je n’ai autant apprécié de faire une fellation. La première vague contraction m’a faite hurler sans pudeur, je ne pouvais plus me contrôler, c’était trop fort, trop violent, trop bon, magique. La torride jouissance à peine terminée une autre s’annonça rapidement, j’étais essoufflée et en nage mais il ne changea rien, sa chose ne pouvait qu’accepter ce qu’il voulait.

 La seconde vague de jouissance a laminé ma retenue, je me souviens avoir hurlée et m’être pissée dessus. Il m’a dit que je suis une femme fontaine, je ne sais pas ce que c’est réellement mais l’orgasme qui m’a emportée n’avait aucun rapport avec ce que j’ai pu connaître avant d’arriver ici. Lorsqu’il a jouis dans ma bouche sans me demander si j’acceptais de le « boire » j’ai tout bu, tout avalé sans aucune répulsion alors que j’ai une sainte horreur de ça. Entre ses mains, je n’étais plus la même femme, mon corps lui appartenait totalement. Pendant un instant j’ai eu l’impression de jouir en continue avant de me mettre à pleurer nerveusement et de m’évanouir.

 Quand je me suis réveillée, j’étais suspendu par un harnais à deux mètres du sol avec une grosse couche pour personne incontinente entre les jambes. Mes mains recouvertes de moufles cadenassées sont attachées aux chaines. Mes pieds libres ne peuvent que battre l’air, cet enfoiré m’a transformée en pantin vivant et suspendue comme ça, je ressemble à un bébé dans son yoopala. Un gros bâillon recouvert d’une large bande de cuir m’interdit de parler, de crier. Le son de ma voix est presque inaudible. Où est-il ? Que fait-il ? Que va-t-il faire de moi ?

 Lorsque je l’aperçois mon cœur s’emballe, il n’est pas seul, un homme l’accompagne. Je le hais, je me déteste, une peur viscérale me submerge. Ils parlent de moi je le vois, que vont-ils me faire ?  La lumière est soudain tamisée, des bougies sont posées ci-et-là, ils mettent de la musique, un style qui me fait froid dans le dos on dirait du grégorien mais rythmé. L’idée qu’ils aient organisée une soirée SM dont je serai la vedette me glace le sang. L’énorme écran télé s’allume, oh mon dieu, ce sont les photos prises cet après-midi. Je me revois prendre des poses lascives on ne peut plus suggestives, pourquoi ai-je fait ça au lieu d’essayer de m’enfuir quand j’en ai eu l’occasion ? 

 Un couple entre, la femme porte un collier de chien, le mec la tire par une laisse. Ils se serrent la main, s’embrassent, la fille s’agenouille devant le bar pendant qu’ils prennent un verre. Un autre couple arrive, la fille bardée de cuir est énorme, sa jupe ne cache rien ou presque, l’homme lui retire la veste qu’elle porte dévoilant aux personnes la poitrine de sa soumise comprimée et exposée par un harnais. Je n’en peux plus, je fais un deuxième pipi dans ma couche. D’autres couple arrivent ils semblent ravis de se retrouver, une magnifique blonde est entravée sur la croix de saint André par son maître qui la laisse là pour aller boire un verre après avoir déposé une valise dans un coin.

 Soudain, un projecteur braqué sur moi dévoile ma présence, si je suis heureuse que des gens sachent que je suis là parce que l’on n’expose pas quelqu’un que l’on va assassiner, je suis blême d’être vue ainsi suspendue pire que nue avec cette couche. Au bout d’un long moment, le maître des lieux invite les filles à prendre place sur un long banc. Elles s’y rendent, s’agenouillent et soulèvent les minces vêtements voilant leurs fesses exposant ainsi aux hommes une rangée de culs. Une séquence flagellation débute sous mes yeux, le pire c’est que toutes ces femmes semblent s’amuser comme des folles, elles discutent parfois pendant qu’ils les frappent. Quelque chose m’échappe, je ne comprends pas que l’on puisse prendre du plaisir à être ainsi flagellée devant tout le monde. Au bout d’un moment les filles se retirent, il n’en reste plus qu’une. Elle agite ses fesses comme pour provoquer trois hommes, elle est complètement inconsciente de faire ça, ils vont la massacrer.

 Le massacre commence, l’un après l’autre ils fouettent ses fesses, son dos, bien que complètement libre de ses mouvements, elle ne bouge pas et garde la tête baissée. Une fille vient face à elle pour lui parler et l’embrasser. Malgré la musique j’entends ses cris, c’est complètement fou parce qu’elle semble prendre réellement son pied ! ! ! Les hommes s’arrêtent, l’un deux vient passer une crème sur ses fesses puis il l’aide à se relever. A peine est-elle debout qu’elle l’enlace et l’embrasse à pleine bouche.

 Les yeux rivés sur cette fille complètement maso, je n’ai pas vu que les autres couples s’adonnent à leur envies et jeux SM. Un homme nu ou presque avec un harnais et entravé dans le pilori, une femme le fouette, une femme intégralement nue est saucissonnée devant tout le monde par un homme faisant comme des dessins avec la corde sur sa soumise. Ci-et-là on picole, on discute, en s’attache, on se fouette. Deux femmes étendues sur une couverture rouge se donnent en spectacle et se font un 69 glouton devant le bar. Un homme arrive avec un martinet fait de grosses lanières, il les fouette, elles ne bougent pas comme insensibles aux coups qu’elles prennent. Je n’en crois pas mes yeux parce qu’ils semblent s’éclater comme des fous. Mes chaînes se mettent à vibrer, oh mon dieu ils me descendent dans l’arène, que va-t-il m’arriver ? 

 Equipé d’un micro le mec qui m’a piégée ici attire l’attention des acteurs, il les invite à s’approcher de moi.

 - Mesdames et messieurs, je vous présente Valérie, une soumise en devenir qui fantasmait en secret avant de venir ici. Paul lance le PPS, nous allons faire voir à nos amis que cette très charmante femme a des prédispositions.

 Les chaînes s’arrêtent de bouger, je ne suis qu’à quelques centimètres du sol, tous les regards sont sur moi ou la télévision où défilent mes photos. 

 - Cette magnifique femme est venue ici par effraction. Je l’ai trouvée étendue sur le carcan en train de se caresser sans retenue. Plutôt que d’appeler la police et de porter plainte il m’a semblé intéressant de faire sa connaissance. Comme vous le constatez en regardant les poses, elle prenait lorsque je la photographiais. Valérie a de sérieuses prédispositions et attirances pour le SM. Au bout d’un moment, cette coquine très gourmande m’a presque mangé tant elle était excitée. Comme elle me semblait insatiable, je lui ai montée une séance comme le grand Maître Costello. (mastercostello.com) Comme vous le constatez sur les photos qui défilent sur l’écran, elle n’a pas été insensible et y a pris beaucoup de plaisir. Je puis d’ailleurs vous dire qu’elle pousse de très jolis cris lorsqu’elle jouit.

 Même s’il ce qu’il dit est la vérité, je suis blême, morte de honte. Si je pouvais l’étrangler je jouirai de le sentir étouffer sous mes mains.

 - Comme Valérie n’avait semble-t-il comme expérience que celle de ses fantasmes, je l’ai invitée à notre soirée mensuelle qui comme chacun le sait est organisée tous les premier samedi du mois. Je propose chers amis que les soumises s’occupent d’elle et la câline un peu avant de la libérer mais sans SM pour l’instant. Que des douceurs pour cette perle que je vous demande d’applaudir pour lui souhaiter la bienvenue.

 Je n’en peux plus, je suis folle de rage, piégée, humiliée comme je ne l’ai jamais été et je vais être violée en public par une horde de filles masos. J’ai beau faire des « non »  désespérés de la tête en les voyant s’approcher de moi, ces garces me touchent, me caressent, m’embrassent dans le cou pendant que deux d’entre-elles mangent mes seins. L’une d’elle parvient à insérer sa main dans ma couche et à titiller mon clito. Même si je n’ai aucune attirance pour les femmes, j’avoue que toutes ces mains et ces bouches commencent à m’exciter et à me rendent folle. Mon ravisseur les rejoint avec le mec prénommé Paul, ils me soulèvent dans mon harnais et arrachent la couche qui protégeait ma vertu et avait retenue l’urine. Les gloutonnes perverses en profitent, leurs mains se font très coquines et s’acharnent sur mon intimité offerte. Le plus surprenant est que leurs bouches aussi malgré que j’ai porté une couche. Ce que je ressens et complètement fou, je suis tenaillée par la honte mais aussi par l’envie de m’abandonner malgré moi. Telle la vague d’un tsunami balayant tout sur son passage, la jouissance monte en moi. Lorsqu’elle arrive elle rase en moi les mots « pudeur, gêne, principe, honte, … » la totalité de mon corps se met à vibrer puis à convulser. Dans ma tête et mon corps c’est Hiroshima. Je m’entends hurler dans mon bâillon tout baveux en prenant mon pied devant tout le monde.

 Mon ravisseur prénommé Marc me retire le bâillon et me serre contre lui, les filles nous laissent tous les deux. Lorsqu’il soulève ma tête qui me semble lourde et m’embrasse à pleine bouche, ma langue lui rend son baiser sans ma permission. Cet homme m’a conquise et domptée malgré moi, il se sert de mon corps pour me faire perdre la tête, mais je ne saurai dire pourquoi je n’ai pas envie de lui résister.

 TSM

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Samedi 26 décembre 6 26 /12 /Déc 16:01

Histoire de bien finir l'année, pour ceux qui aiment lire avec ce texte qui m'est venu en regardant des BD adressées par un ami.

 Pour vous changer un peu des textes et photos de nos soirées et stage SM, je vous ai pondu une petite histoire en m’appuyant sur la BD ci-dessous. Le texte n’est pas très travaillé mais ce n'était qu'une petite envie d'écrire que j'ai assouvie.

Bonne lecture et bon week-end.

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L’étudiante piégée

Par TSM

 

Parce qu’elle est jolie et que tous les étudiants lui tournent autour, Laurie s’est faites des ennemies à la fac. Au fil du temps, cette gourmande des plaisirs de la vie, a cédé à quelques prétendants sauf que l’un deux n’était ni plus ni moins le chérie de la diabolique Sarah. Pour se venger, elle a monté une cabale particulièrement odieuse pour sa rivale trop gourmande de sexe.

Il est 20 heures, son piège est prêt. Depuis quelques temps, elle communique par email avec Laurie et construit son piège. Le contenu des emails qu’elle a transformé est sans équivoque, cette fille maso particulièrement salope rêve de viol et de ganband. Les mecs les plus pervers attendent avec impatience cette soirée à laquelle une fille maso inconnue veut s’offrir corps et âme pour se faire défoncer et jouir toute la nuit.

Pour parachever son œuvre diabolique, Sarah a dirigé les pensées et folies de Laurie très attirée par le BDSM. Elle l’a même aidé à monter un blog agrémenté de photos SM qu’elles ont faites toutes les deux dans une chambre puis dans la chaufferie de la fac. Laurie visage masqué y apparaît en soumise entravée et offerte. La plus grosse des difficultés pour Sarah a été de ne pas étriper sa rivale lors des séances photos puis des discussions coquines entre filles lorsqu’elles construisaient le blog. Les textes de Laurie sont sans équivoques possibles tout comme les photos, elle aime l’amour vache, les rapports musclés et se plait à se jouir attacher quand on lui fait l’amour.

Hier, Sarah a changé le code d’accès au blog et les photos pour publier celles sans le masque exposant le visage de sa rivale en train de crier « baisez-moi » ou « je veux qu’on me baise en série » puis des phrases toutes aussi provocatrices du style, « les mecs de la fac bandent trop mou pour me faire jouir ». Dans sa folie, elle a préparé une annonce sur le ganband de ce soir où Laurie dans sa soif de sexe et de BDSM se livrerait à tous ceux qui seraient capables de la baiser correctement.

Depuis le midi, elle diffuse des messages annonçant le ganband où une maso s’offrirait. Vers 18 heures, sous prétexte de fêter son ticket gagnant du loto, Sarah débouche dans sa chambre une bouteille de champagne avec sa copine et l’incite à boire plus que de raison. Sous prétexte d’aller voir ses messages, elle met en évidence une image de fille entravée offerte à des hommes montée comme des étalons. Laurie s’enflamme aussitôt et part dans des délires impudiques.

Sa rivale la pousse dans ses retranchements en lui faisant de fausses confidences, le mot « pudeur » n’a plus de sens ce soir dans cette chambre où en principe elles devraient se concentrer sur leurs études. Elle lui offre un collant résille ouvert à l’entrejambe, un cadeau « comme ça » entre filles. Laurie impudique et en confiance l’enfile, s’excite plus encore puis achève la bouteille de champagne avant de se laisser lier les mains dans le dos pour une séance de photos. Vers 20 heures, après une centaine de photos, elles sortent sans changer de dessous pour aller faire la fête en ville et passent un grand manteau par-dessus leurs tenues.

Sous prétexte d’aller récupérer une fiche de cours, Sarah fait un détour par la fac puis lui propose de passer par la chaufferie pour faire d’autres photos coquines. Dans son innocence, Laurie cède à la tentation comme elle cédera à la tentation de s’allonger sur la vieille table transformée en établi pour mimer la pauvre victime qui va être offerte aux étalons. Sarah l’entrave plus que d’habitude, lui rempli la bouche d’une culotte avant d’enrouler du scotch autour de la tête de Laurie pour réellement maintenir le bâillon. L’étudiante manifeste son mécontentement mais il est trop tard pour réagir, ses « hummm » et « onnnnn » restent sans effet. Hormis tirer sur les entraves elle ne peut rien faire. Sarah rajoute des cotons démaquillants sur les yeux de sa victime puis un autre tour de scotch pour les maintenir en place privant sa rivale de tout moyen de communication.

 

- Même tes larmes ne se verront pas salope !  

 

La diabolique rivale jubile en sortant de son sac à main une affiche où il est écrit, je suis maso, claquez mes fesses et surtout baisez-moi comme des sauvages même si je crie. Sur les fesses de Laurie, Sarah dessine ensuite deux flèches désignant les orifices offerts. Son piège terminé, il ne lui reste plus qu’à couper la ficelle du string puis à envoyer les textos du téléphone portable de Laurie.

Les étudiants n’y croyaient pas vraiment, pour eux c’était un canular mais ils se rendent sur le le blog de Laurie qu’ils connaissent pour l’avoir croisée dans les amphithéâtres et sont particulièrement surpris. Pendant que l’incendie court dans les neurones des étudiants manipulés, Sarah efface ses empreintes, abandonne le téléphone portable et va se faire un alibi en béton en allant ennuyer le proviseur pour une histoire d’horaires. Elle se fait rabrouer mais n’en a que faire et insiste avant de se faire jeter purement et simplement. C’est presque au pas de course qu’elle retourne à la chaufferie, accroche un étudiant qu’elle connaît puis lui demande si sa copine a vraiment osé réaliser ses délires ici. La réponse qu’il lui fait est éloquente : « oui, elle est venue se faire tringler par qui le désire ».

Jubilant, Sarah rajoute aux bavardages et à qui veut l’entendre que ce n’est pas la première fois que Laurie fait ça, mais qu’oser le faire à la fac est une sacrée folie.

Plusieurs étudiants sont arrivés, ils n’osent pas toucher Laurie fesses à l’air sous son collant ouvert mais ils se laissent aller à des commentaires graveleux. Comme bien souvent dans les groupes, il y en a un qui cherche à se faire mousser, il sait des choses. Questionné, il indique être au courant des délires de Laurie. Elle l’aurait même fait à la fac de Montpellier. Les plus courageux s’approchent mais personne n’ose toucher. La diabolique rivale se doutait de leurs hésitations, mais elle a anticipé.

- Pour savoir si une fille est excitée, tu sais où il faut mettre le doigt ! Murmure Sarah à l’oreille d’un des plus entreprenants.

Laurie vit les pires secondes de sa vie, à être ainsi entravée et exposée ventre et fesses nus, totalement offerte devant ces homme abjecte qui viennent voir sa déchéance comme au spectacle mais c’est bien pire encore lorsque l’un d’eux s’approche, touche l’entrejambe offert et constate d’un doigt inquisiteur que l’excitation est là. L’excitation n’est pas, c’est simplement le contenu du tube de lubrifiant que Sarah a vidé dans son vagin avant de s’enfuir et qui s’écoule lentement.

- Putain les mecs, elle est trempée comme une salope !

- Cette salope a écrit sur son blog que les étudiants d’ici bandent trop mou pour la faire jouir. Crie l’un deux. Si ça ce n’est pas de la provoc c’est quoi ?

Deux autres s’approchent, touchent sans aucune gêne et constater que Laurie est vraiment mouillée. La seule chose qui mouille chez la victime sont ses yeux. Murée dans son silence elle pleure toutes les larmes de son corps. Submergée de honte et de rage, elle a pris l’ampleur du piège dans lequel elle est tombée.

- Cette garce nous allume, on va lui faire voir si on bande mou. S’écrie l’un des étudiants en sortant sa verge gorgée de désir. 

Ce qu’elle entend lui arrache le cœur, comment peuvent-ils penser qu’elle désire se faire violer ?

- Ouai, on va la ramoner cette salope et lui faire regretter d’oser écrire ça sur son blog ! Clame un autre en défaisant sa braguette.

Tirant sur ses liens comme une perdue, Laurie essaie de se soustraire à l’inévitable. Au plus elle bouge, au plus ses fesses deviennent le centre d’intérêt des mâles en rut. Le plus courageux monte sur la table, sous les encouragements des étudiants. Laurie agite sa tête dans tous les sens pour dire « non » mais ses gémissements ne sont pas perçus. La verge tendue fait son chemin entre les cuisses maintenues ouvertes par les cordes, rien ne peut plus l’arrêter. 

Prostrée et en pleurs elle est prise sur cette table devant tout le monde et ne peut rien faire pour se dérober à l’intrusion de la bite profanant son intimité aux chairs délicates. Elle s’agite sous l'infernal va et vient comme pour se soustraire mais en vain, ou même pire, ses mouvements sont pris comme de l’excitation ou du plaisir et largement commentés. Complètement rompue par le désespoir elle se laisse aller au rythme du ballottement de son corps sur la table en pleurant silencieusement.

L’étudiant la besogne comme un malade tandis que ses jambes engagent un combat sans espoir. Infatigable et pervers, il la possède jusqu’à sa jouissance en rallant comme un loup solitaire croquerait une brebis malgré la présence des spectateurs.

A peine a-t-il laissé la place sous des applaudissements obscènes qu’un autre prend la place, ajuste sa verge et s’engage alors dans la fleur féminine comme un rustre. Ses poignets agités de vaines contractions rythment le martèlement violent. Il la laboure purement et simplement comme si la violence d’un coït était une démonstration de virilité.

Subissant les assauts et coups de bélier de plusieurs hommes depuis plus d'une demi-heure, Laurie n’est plus qu’un réceptacle, un objet de plaisir, sans âme et sans désir qu’on utilise à l’envie, sans considération ni attentions simplement humaines. Le dernier, bien décidé à lui offrir un feu d’artifice bien plus fort que les autres veut s’offrir son cul.

Laurie comprend tout de suite au doigt préparant l’étroit chemin de son anatomie qu’elle va vivre son pire cauchemar : se faire enculer devant tout le monde. Dans l’intimité, elle adore ça, mais là, présentement, la honte la submerge, son violeur ne le sait pas et s’il le savait n’en aurait que faire. Au contraire, pour « préserver » sa pudeur, il demande de l’aide, qu’on la force à cambrer les reins, qu’on lui écarte les fesses. Jamais au grand jamais, elle n’aurait imaginé vivre un jour une telle avanie.

L’étroit orifice exposé entre les deux paires de mains devient la cible du beau Priape couvert d’un préservatif. En guise de lubrifiant, il crache sur l’étoile peureusement contractée avant de la forcer de son gland turgescent. Pendant un instant, la rosette poussée vers l'intérieur du rectum se refuse à éclore. Laurie lâche des cris de terreur et de souffrance dans son bâillon mais son violeur maintient sa pression insensible aux supplications. Sous les yeux des aides et spectateurs l'anus vient de céder et d'absorber d'un coup toute la longueur de la verge et lui arrache un grand cri étouffé.

- Oh, les mecs, elle n’est pas neuve de ce côté-là moi je vous le dis. 

Le jeune homme monté comme un dieu entreprend de labourer le rectum à grands coups de reins, obligeant Laurie à s'agripper à ses entraves pour se maintenir en position sous peine de se massacrer les seins sur le plateau de la table. Ils rient lorsque sous la pénétration sauvage ses petites mains s’agrippent aux entraves. Gagnée par une sorte de frénésie, ses vagissements se transforment en râles, pendant un instant, elle en oublie les spectateurs et sa condition. Son corps commence à la trahir, elle commence à éprouver un plaisir malsain, ignoble et complètement fou. Durant une seconde elle a effleuré l’extase un spasme l’a traversée, elle vit un de ses fantasmes malgré toute l’horreur de la situation. La jouissance monte en elle, gagnant son cerveau perturbé par le rut sauvage et ignoble.

Des ondes maléfiques traversent ses reins, un plaisir odieux la submerge. L’implacable vigueur, avec laquelle il la prend use sa résistance, lui fait perdre conscience des réalités pour finir par lui offrir le plus long et le plus puissant orgasme de sa vie.

Tout au long de son viol les téléphones portables prennent des photos et vidéos qui s’échangeront dans toute la fac et sur internet. Lorsqu’enfin ils la libèrent, elle les voit mais ferme les yeux comme pour effacer le souvenir de cette extase qui vient de la transporter et la met à présent mal à l'aise puis la fait se sentir coupable. Les viols l’ont cassée, ont brisée son vernis social mais la jouissance éprouvée bien malgré elle, ne seront pas sans un effet. 

Libérée et débarrassée de ses entraves collantes, Laurie est portée plus qu’elle n’est raccompagnée au campus. A ses yeux rouges et son visage défait, le doute s’installe chez certains des violeurs. Préférant ne pas trop réfléchir, ils choisissent de la féliciter pour son courage mais ne s’éternisent pas. L’eau de la douche coule longtemps cette nuit là mais ne parvient pas à la laver de la honte et de la culpabilité. Plusieurs questions la minent sur son avenir, sur ce qu’elle doit faire, ce qu’elle va devenir mais la plus cruelle est : comment ai-je pu jouir en étant ainsi malmenée et violée ? 

Suis-je maso à ce point là ?

TSM 

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mercredi 5 novembre 3 05 /11 /Nov 10:07

Le scandale de l'opéra

Par TSM

 

Une lumière s'allume et des mains me saisissent. Trois cambrioleurs masqués sont sur moi. Quand je me mets à crier, ma bouche grande ouverte est aussitôt comblée par la boulle d'un bâillon. Une main, plaqué sur mon visage le maintien. J'essai de le recracher en vain. Avant que j'ai le temps de réagir, ils me retournent prestement et fermement.

Bien que je me débatte furieusement de rage et de peur, ma tête est enfoncée dans l'oreiller et mes poignets sont menottés dans mon dos. Le bâillon est attaché sur ma nuque. Mon pied droit, enfin libéré des draps, atteint la tête d'un des cambrioleurs qui se met à crier.

La pression des bras se relâche un instant. Je fais un roulé sur le côté, me relève et prends position pour décrocher un coup de pied à la tête du second. Une gifle  monumentale me prend en pleine extension et me fait basculer sur le lit. Choquée, il me faut un instant pour réagir. Soudain, ils passent une cagoule sur ma tête et mes coups de pieds, dernière armes utilisées à l'aveugle, ne rencontrent plus que le vide. Des frissons d'horreur me traversent, je vais déguster !

Mes jambes sont saisies simultanément et liées entre elles par une corde, qui met un terme à toutes mes tentatives de self-défense. Je commence à avoir très très peur. Je suis brutalement tirée du lit puis soulevée dans les airs. Je retombe sur l'épaule d'un des gaillards qui sort de la maison avec mon corps comme un simple un baluchon. Il fait quelques pas puis me jettent dans le coffre d'un véhicule. Je pleure comme une madeleine et sombre dans le désespoir. 

Je viens de comprendre avec horreur que ce n'est pas un cambriolage mais un enlèvement. Pendant que la voiture roule à vive allure, dans mes pensées, défilent les affiches des disparus, que l'on voit plaquées sur les murs par les familles désespérées. Puis la colère me reprend, je me sens prête à tuer à la moindre occasion. Ce qu'ils ne savent pas, c'est que la blonde de vingt ans qu'ils viennent d'enlever, est ceinture noire de karaté et que je n'ai pas l'intention de me laisser faire. Rien que de penser que j'ai sûrement cassé le nez de l'un d'entre eux, me console un peu.

La voiture s'arrête, rapidement le coffre s'ouvre. Une couverture est jetée sur moi puis on m'en entoure totalement. Ils prennent, semble t-il, des précautions pour me dissimuler. Nous devons être en ville. Lorsqu'ils me sortent pour me placer à nouveau sur l'épaule de l'un d'entre eux, la poigne s'est effectuée sur les menottes qui me scient les poignets. Mes cris sont mal étouffés par le bâillon.

- Ta gueule poufiasse !

Un coup est porté violemment sur ma tête, sonnée et résignée, je ne bouge plus et me tais.

Pendant le trajet, mes oreilles captent de la musique. Il me semble reconnaître un style de musique chantée. Les voix puis les applaudissements que j'entends me confirment que nous devons être à l'opéra. Pourquoi enlever une fille pour l'emmener à l'opéra ?

Dans l'escalier qui nous descendent, ma tête heurte un mur. La couverture a amorti le choc, mais le coup était violent. Ils me déposent à terre sans précaution et tirent sur la couverture. Je roule sur le sol froid et rugueux. Des mains vigoureuses me saisissent et me relèvent.

Quand ils retirent les menottes de mes poignets, à l'aveugle je fais des mouvements de défense et tire sur la cagoule. Mon poing touche la tempe du premier des hommes qui s'est approché. Cette putain de cagoule résiste. Une baffe magistrale me fait vaciller, on me récupère avant que je ne m'écroule. L'un d'eux me ceinture et m'écrase totalement contre lui.

Mes bras sont attachés séparément, largement écartés et tirés vers le haut. Mes tentatives de défense sont évitées et mes chevilles sont liées à une barre qui m'empêche de refermer les jambes. Désespérée et pétrifiée de peur, je fonds en larmes.

Ils parlent entre eux et me laissent tranquille un petit moment. Je teste les liens mais ils résistent. Ma chemise de nuit et ma petite culotte sont arrachés avec brutalité. Des mains tripotent sans vergogne ma poitrine, pincent mes tétons. Une main descend jusqu'à ma vulve et fouille son intimité. Je sens monter en moi un mélange explosif fait de honte, de peur et d'agressivité extrême qui me permettrait du tuer.

L'un d'eux dénoue ma cagoule puis la retire. Aveuglée par la lumière, je ferme les yeux un instant puis les réouvre. Ce que je découvre me glace le sang.

Je suis dans une cave aménagée comme une salle de torture pendant l'inquisition. Des chaînes, un palan à cordes, un chevalet et bien d'autres outils dont je ne connais pas l'usage, meublent ce lieu de démence. Devant moi, un homme d'une cinquantaine d'années, brun et le nez en sang me regarde. Son regard est teinté de cruauté et son sourire bestial. 

Il s'empare de mes seins et les malaxe puis, triture de mes tétons. En me souriant, il les pince violemment et tire dessus en faisant des ronds comme s'il voulait les rallonger. J'adore que l'on martyrise mes petits tétons, mais l'instant n'est pas au plaisir, ce connard me fait mal et s'en délecte.

L'homme abandonne mes seins et fait descendre la barre qui tient mes poignets. Il y fixe solidement mes coudes et mes bras avec de larges sangle de cuir. Je suis comme crucifiée et les jambes écartées, ouverte et totalement exposée !

Il se recule puis se dirige vers une chaîne accrochée au mur. Lorsqu'il se met à tirer dessus, mon corps monte vers le plafond. Intégralement nue et bâillonnée, je tourne un instant, suspendue les bras et jambes en croix. Il s'approche de moi avec un sourire pervers.

- Je sais à ta lecture que tu aimes être soumise à l'homme, que tu aimes être à la merci des mecs. Ici tu vas être servie !

Je réalise soudain, qu'ils ont vu le roman photo SM commandé sur Internet et que j'ai feuilleté avant de m'endormir épuisée par mes caresses solitaires agrémentées de petits accessoires érotiques. Cette pensée m'horrifie. Ils m'ont enlevée et savent que j'ai des fantasmes SM ! Il plonge sa main dans sa poche et en ressort les pinces à seins réglables que j'ai achetée la semaine dernière et qui m'ont donnée tant de plaisir.

- Regarde, je t'ai même ramené un de tes jouets, mais j'en ai d'autres bien plus amusants. Je te les ferai découvrir. Tu sais, il me tarde depuis longtemps de voir si tu aimes autant que ça la baise SM !

Suspendue, mains et coudes liés à la barre, j'exhibe involontairement ma poitrine à cause de la cambrure. L'homme goûte le spectacle et caresse doucement du bout des doigts mes tétons saillants. Je ferme les yeux un instant comme pour échapper à l'horreur

Saisissant mon sein droit, le fait rouler la pointe entre ses doigts et la tire. Avec minutie, il y referme la pince et tourne la molette, qui immanquablement, compresse mon téton. La douleur vient progressivement, mais ce con ne s'arrête pas de serrer. Je commence à gémir et à ruer dans mes liens mais rien n'y fait. Il s'amuse de ma douleur. Il fait ensuite la même chose avec mon téton gauche, qu'il écrase sauvagement avec la pince.

Il fouille dans un sac et s'approche de moi avec son sourire pervers qui me glace le sang.

- On va rallonger tes tétines, puis jouer à mon jeu préféré : le question réponse !

 De boules d'acier noir reliées à un crochet sont posées aux pinces qui écrasent mes tétons en feu.

- Trois, deux, un lâchez .....

Ses mains lâchent les poids qui tombent. Le crochet qui les retient à mes pinces à seins joue son rôle  et tire brusquement sur mes tétons. Une douleur violente traverse ma poitrine. Je gémis les dents plantées dans le bâillon, les yeux fortement fermés. Je souffle par le nez comme une perdue. J'essaie tant bien que mal de gérer la douleur et de retrouver une respiration normale.

Une pensée me vient : ne me détaches surtout pas, je t'arrache les yeux et les couilles.

Il joue un instant à faire balancer les poids, mais grâce aux leçons de karaté, ma capacité de concentration me permet de gérer la douleur. Il m'abandonne un instant, se dirige vers un mur chargé d'accessoires et y décroche une cravache. En revenant il me lance :

- Nous avons quelques comptes à régler tous les deux. Pour les apurer, je te propose mon jeu des questions réponses. A chaque mauvaise réponse la cravache, à chaque bonne réponse une caresse ou un accessoire pour ton plaisir. Que penses-tu de ma proposition ?

- HHHHUUUUMMMM

- A oui, j'oubliais, le bâillon te gêne ! C'est vrai que tu le portes mal. Tu baves lamentablement. Je vais te le retirer.

Il passe derrière moi, caresse mes fesses et fait descendre son doigt dans mon sillon fessier. Sa main se pose en cuillère sur mon bas ventre offert et un de ses doigts force mon intimité. Ses attouchements me donnent la chair de poule. Quand il se décide enfin à retirer mon bâillon, je fais bouger mes mâchoires toutes endolories. Je contiens difficilement les insultes qui brûlent mes lèvres à cause de sa cravache qui me fait horriblement peur.

- Je vois avec plaisir que tu as perdu de ta superbe ! Première question : que signifie BDSM ?

- Bondage et sado maso.

Il laisse la cravache glisser le long de ma colonne vertébrale, jusqu'aux creux des reins. La pointe continue son chemin, et s'enfonce dans le sillon de mes fesses. Un sifflement puis une cuisante douleur sur mes fesses me font bondir dans mes liens.

- Faux ! BDSM est un acronyme qui en renferme lui-même trois autres : BD, DS et SM... Le premier signifie Bondage/Discipline, le second Domination/Soumission et le dernier est Sado-Maso.

Un autre coup tombe, il est bien plus fort que le premier. Je bondis sous la brûlure

- Autre question : combien d'argent y a t'il sur ton compte en banque ?

- Je suis fauchée, je dois avoir environ 500 euros d'avance !

Quatre coups s'abattent sur mes fesses. La douleur est particulièrement cuisante, je dois avoir des boursouflures et mes fesses doivent êtres en sang.

- Faux ! Tu as 2600 euros et un compte épargne.

- Comment pouvez-vous savoir de combien je dispose ?

- Ta gueule pouffiasse, c'est moi qui pose les questions ! Connais-tu le tribunal de l'inquisition ?

- C'était un redoutable tribunal institué par la papauté pour lutter contre l'hérésie aux environs du 12ème siècle. La torture était souvent employée pour faire avouer et dire ce que l'inquisition avait décidé. La religion et la peur de Satan ont été ainsi utilisé pour manipuler les foules au profit de l'église.

- Ta réponse est juste, mais ce n'est pas celle que j'attendais. Sur www.Jeanneda tu m'as répondu que mon histoire SM « l'inquisition » était du barbarisme pas du SM. Que mon histoire était pitoyable !

Je réalise soudain que ce fou était un abonné de mon site SM et que ses histoires ne tenaient pas debout. Les détails étaient très précis, mais ses histoires lamentables. Je réagis aussitôt par instinct de survie.

- En fait, j'ai bien aimé vos histoires, mais je ne pouvais pas les diffuser sur mon site. Il faut avoir votre maîtrise du SM pour comprendre le sens des mots que vous avez utilisé. Je les ai gardées sur mon disque dur et je les ai relues plusieurs fois.

- Faux ! Ton firewall est minable. J'ai examiné et fouillé ton PC de chez moi plusieurs fois, elle n'y est plus. Tu m'as catalogué comme fou et m'as bloqué l'accès à ton le forum !

- Comment pouvez-vous penser cela ? C'est faux, j'aime bien les histoires SM et les vôtres étaient géniales.

- Tu es une salope de la pire espèce ! Tu as copié certains passages de mes histoires, puis tu les as dénaturées dans tes récits qui ne sont que de la fabulation et du fantasme à bon marché. Puisque tu dis sur ton site aimer le SM, je vais t'en donner. Je vais te permettre d'atteindre le nirvana sous la cravache puisque tu as écrit que tu jouis parfois sous le martinet !

Il fait tourner mon corps grâce au dispositif de suspension. Je suis terrassée par la peur. Il se recule puis entreprend de me cravacher comme un malade. Il frappe sans discontinuer. Je cris à chaque coup, mes yeux se remplissent de larmes. Mon dos, mes fesses, mes cuisses, mes seins sont en feu. Ce fou frappe pour faire mal, ce n'est pas du SM c'est de la torture.

Je le supplie, m'excuse, implore mais il n'en a que faire et continue de s'acharner sur moi. Je vais mourir c'est sûr !

La douleur me fait perdre connaissance. Quand je me réveille, je suis dans une posture pénible. Une large sangle passée autour de ma taille, tire mon dos vers le plafond. Il a attaché mes jambes repliées à ses poignets. Ainsi suspendue, je ressemble à une grenouille. Chaque mouvement déclenche les pires douleurs dans mon ventre et mes membres. Mes cuisses et mes fesses me brûlent affreusement. 

La porte s'ouvre, il entre accompagné d'un homme masqué. Un sentiment de honte et d'horreur bloque ma gorge un instant.

- Comme tu peux le constater, Jeanneda est maintenant ma soumise. Elle sera superbe pour le spectacle d'après-demain. Si tu veux, on se la fait à deux avant le spectacle final ! 

- Oui c'est une idée, d'autant qu'elle a un beau cul et que tu as besoin de moi !

- A toi l'honneur !

Ils vont me violer ! Je sens mon estomac se resserrer et j'en éprouve une peur physique. L'homme masqué ouvre la braguette de son pantalon et exhibe devant mon visage une bite énorme au gland violacé. Il frotte sa verge contre mon visage et m'ordonne de le sucer. Je ne desserre pas les dents

Une main s'abat sur mes fesses puis une véritable volée de claques. Je cris de surprise et rus dans mes liens, mais plus je me débats, plus je m'épuise. Mes cris et mes supplications n'atténuent en rien son ardeur à me frapper.

D'une main, il soulève ma tête par mes cheveux et de l'autre pose la lame d'un couteau sur ma gorge.

- Si tu mors, je t'égorge !

J'ouvre aussitôt la bouche à la queue qui sent l'urine. Il s'engouffre jusqu'au fond de ma gorge. En le suçant, je ne peux m'empêcher de pleurer.

- Elle est chiante à bramer comme ça, je vais me la farcir.

Il s'arrache de ma bouche et passe derrière moi. Il tâtonne de son gland entre les lèvres de mon sexe offert, trouve l'entrée et s'y enfonce de toute sa longueur. Je cris de douleur, de honte et de rage. Ainsi suspendue par le dos, je peux voir qu'il se plante fermement sur ses pieds entre mes bras et mes jambes attachées. Ses mains se posent sur mes anches et s'y agrippent. Il entreprend un martèlement sauvage de mon ventre qui me fait ahaner.

L'homme qui m'a fouettée, prend fermement mes oreilles et guide ma bouche vers son sexe bandé. L'odeur est forte et repoussante mais à quoi bon résister. D'un coup de reins provocateur, il investit ma bouche de sa queue. Mes papilles gustatives sensibles, sont choquées par le goût salé et poivré de pisse et de sperme. Mon estomac se contracte, je hoquète, je vais vomir.

- Si tu vomis, je te massacre !

La peur me fait réagir, je ravale la gorgée qui vient et le suce à nouveau. C'est horrible. Suspendue, forcée par la bouche et violée, je me balance au gré de leurs assauts. Ils semblent s'en amuser et se renvoient mon corps. Entre leurs mains je ne suis plus qu'un jouet et rien ne pourra réfréner leurs ardeurs sauvages et bestiales. Quand je pense que j'ai souvent fantasmé sur ce qu'il m'arrive aujourd'hui et que j'en avais éprouvé du plaisir !

L'homme qui me baise se retire et présente son gland contre ma rosette. Je cris en tentant de résister à la pression atroce qui s'exerce sur mon anus. Mes hurlements et mes plaintes, n'ont d'autres résultats que de redoubler l'ardeur de mon violeur à me pénétrer.

Il me force à petits coups, sous l'assaut répété, mes sphincters s'écartent pour le laisser passer malgré moi. Bien que je sois une adepte de la sodomie, la douleur est violente.

Mains agrippées à mes hanches, il prend mon cul sans ménagement. Mon anus se décontracte un peu. Je sens ses couilles cogner contre ma vulve. A chaque mouvement, je laisse échapper un « ah » de douleur, étouffé par la queue qui comble ma bouche. Il se régale de mes cris et me lime de plus en plus gaillardement. Il s'empare de mes seins et les malaxe comme un malade.

Après mes seins, c'est à mon sexe qu'il s'attaque. Ses mains frottent habilement mes lèvres puis mon clitoris. Jamais je n'ai été ainsi touchée, palpé et massée.

Je commence à gémir car ses plongées deviennent de plus en plus fortes, profondes et violentes. Le rythme de sa main qui frotte mon clitoris augmente. Cette caresse et ses vas-et vient durent longtemps. J'ai honte de moi car j'ai peur de jouir. Soudain, la queue dans ma bouche tressaute et lâche des jets de sperme. Son propriétaire l'enfonce au fond de ma gorge et me tire les cheveux comme un malade. Je suis écœuré et mon estomac réagit. Je salive et en fais couler le plus possible. La position et sa force m'obligent à en avaler. Un jour je le tuerai.

Mon violeur accélère encore ses mouvements, mon anus s'échauffe de ses assauts. Je sais qu'il va jouir. Des hurlements de fauve résonnent dans la salle pendant qu'il pétrit mes anches et s'abandonne en moi.

Il se retire sans précaution, se rhabille et sort en me laissant avec mon tortionnaire.

- Dis-donc la pouffiasse, il me semble que tu as aimé te faire casser le cul hein ?

Je décide de tenter le tout pour le tout et de le séduire.

- Oui je me suis éclatée de vos grosses queues sauvages. Détaches-moi et je te ferai voir que j'ai encore envie de baiser, mais cette sangle le coupe en deux. Baises-moi à quatre pattes comme une chienne que je suis !

- C'est ça oui ! Prends-moi pour un con ! Je vais plutôt t'installer pour la nuit et nous étudierons demain cette charmante proposition. 

Il va chercher un bâillon et une cagoule et revient vers moi.

- Ouvre la bouche !

- Non s'il te plait pas le bâillon ! Je ne vais pas pouvoir dormir de la nuit tant il est gros et me fait mal aux mâchoires.

La seule vraie réponse que j'obtiens, c'est une grande gifle qui m'assomme presque, tant elle est violente.

- Ouvre ta gueule pouffiasse !

Je résiste et refuse de desserrer les dents. Son regard se teinte soudain d'une cruauté qui me fait froid dans le dos. 

- Ne fais pas l'idiote, sinon je vais devenir méchant !

J'abdique et desserre les dents. Ma bouche est rapidement comblée par la balle en caoutchouc, la lanière de cuir est serrée sans ménagement dans mon cou. Il m'enfile ensuite une cagoule qui m'aveugle totalement, ajuste mon nez dans l'encoche percée prévue à cet effet et l'attache derrière ma tête. Après m'avoir descendue et décrochée, par crainte de recevoir un autre coup de pied, c'est avec d'infimes précautions qu'il s'occupe de mes jambes. Il me passe des menottes de chevilles et de poignets avant de retirer les liens en place.

A petits pas, à cause des menottes des chevilles, je suis dirigée dans la salle. Mon dos est plaqué contre un mur froid. Il passe autour de mes bras, au-dessous des menottes, de larges liens qui enveloppent tous mes avant-bras. Cet homme a vraiment peur de moi. J'enrage car mes projets de fuites s'amenuisent. Mes mains sont étirées vers le haut, mettant ainsi ma poitrine totalement à découvert. Pendant un instant, je l'entends qui s'affaire dans la salle. Je suis morte de peur.

Quand il revient, il passe autour de mes chevilles de larges liens puis remonte mes jambes et attache les liens aux même points que mes bras. Je me retrouve dans une position hautement impudique. Le dos contre le mur, les bras et les jambes relevées au-dessus de ma tête. Mon intimité et mes orifices sont totalement exposés et ouverts à toutes les agressions.

Quelque chose de gros, rond et froid tourne et dilate mon vagin. Je me sens envahie par une grosse boule, qui s'enfonce dans mon ventre. Cela doit être un plug ! J'entends quelqu'un parler.

- Pourquoi fais-tu ça ?

- Après demain, je la récupère, je ne veux pas que son cul éclate, alors je la prépare.

- Tu sais que c'est une connerie ?

- Oui, mais celle-là je me la garde !

- C'est une grosse connerie !

- Si tu veux bosser à l'opéra, tu apprends à fermer ta gueule !

- Ok Boss, ok !

Une autre plug recouvert de lubrifiant tourne et dilate mon petit cul. Celui-là doit être énorme car il bute contre les parois de mes fesses. Des mains viennent en renfort et m'écartent un peu plus. Ils me travaillent un moment, je cris sous ma cagoule mais ils continuent et se moquent de ma douleur. A force de pressions et de rotations, mes sphincters largement distendus, la laissent passer. Percluse de douleurs, je me sens envahie par une grosse boule, qui me déchire le cul.

Une drôle de sensation irradie au creux de mes reins et de mon ventre. Je me sens totalement remplie et distendue. Je transpire sous la cagoule. Une corde est posée autour de ma taille puis sur les objets qui comblent mes orifices, leurs interdisant ainsi, toute tentative de rejet.

La porte claque. Il n'y a plus de bruit. Ils ont du partir. Combien de temps vais-je rester ainsi attachée ? Que va t'il m'arriver, qu'est-ce qui m'attend ? Vais-je mourir ? Le fait qu'il ait dit : « Oui, mais celle-là je me la garde ! » me rassure et m'affole en même temps. N'est-il pas préférable de mourir plutôt que de le subir une vie entière dans d'atroces situations humiliantes et douloureuses ?

Les larmes montent à mes yeux. J'essaye de lutter pour garder mon calme, pour mesurer calmement la situation et trouver une solution. Je ne suis plus qu'une femme prisonnière dans un lieu infâme et promise à une échéance qui ne pourra être que difficile, forcément douloureuse et dégradante. Mais, car il y a un mais ! Je suis vivante et ceinture noire de karaté. Peut-être ai-je une chance de m'échapper. Je m'accroche à cet espoir de liberté, qui sera sans nul doute difficile à obtenir.

Combien de temps s'écoule au juste avant que je sombre, je ne saurai le dire. Dans cette odieuse position et les orifices comblés, je finis malgré tout par sombrer dans un sommeil tumultueux où mon passé de webmaster SM, mes plaisirs SM et ma condition actuelle se bousculent dans mes rêves.

Aussi bizarrement que cela puisse paraître, dans mes rêves, j'appréhende l'avenir et le sollicite en même temps. Le fait que mes orifices soient comblés et que j'ai quasiment jouis pendant qu'ils me violaient, me traumatise et me rassure. Je dois être en train de sombrer dans le syndrome de la victime qui devient consentante. J'ai peur, je déraille, je perds les pédales !

Au milieu de la nuit je suis réveillée par mon cul qui pousse en vain et une envie de pisser monumentale. Après qui j'ai libéré honteusement ma vessie, le temps s'écoule avec une lenteur exaspérante. Je sombre à nouveau.

A suivre sur Plaisirs-interdits avec les histoires les plus HARD de TSM

 

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol)
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