Histoires Hard (violence et/ou viol)

Mardi 19 août 2 19 /08 /Août 17:18

Le cerveau de Lucy acquiert des pouvoirs quasi illimités.



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Cette histoire n'a aucun rapport avec le film Lucy de Luc Besson qui est diffusée dans les salles de cinéma depuis le 6 août 2014 et que nous vous recommandons.

La plupart des humains n'utilisent que 10 % de leur cerveau, mais suite à un accident de la route et aux électrochocs réalisés aux urgences pour faire redémarrer son coeur, le cerveau de Lucy a changé. Elle parvient à lire et entendre les pensées des personnes qu’elle croise et qui s’acharnent à la maintenir en vie puis à essayer de réparer les dégâts occasionnés sur son corps par un prédateur de la route roulant à 180 kilomètre heure au lieu de 90.

Ce qu’elle entend dans leur cerveau est une véritable torture psychologique, « elle ne s’en sortira pas, si elle s’en sort elle sera un légume, ….. ». La médecine fait des prouesses tout comme le chirurgien tentant de sauver ses jambes. A près douze heures d’opération, Lucy se retrouve aux soins intensifs, où peu à peu, elle retrouve les sensations de son corps et surtout les douleurs. Elle est envoyée dans un centre spécialisé pour les graves accidentés de la route afin d’y suivre une rééducation fonctionnelle. Ne parvenant pas à parler, le personnel soignant se fit à ses réactions physiques pour tirer des conclusions.

A la lecture de son dossier, l’infirmier Tony est convaincu que celle magnifique jeune femme ne parlera plus jamais et sera un « légume ». En grand pervers il profite de la situation lorsqu’il est chargé des toilettes pour laisser courir ses mains plus que de raison. Il pratique même la palpation de ses seins magnifiques en forme de poire n’ayant nul besoin de soutien-gorge lorsqu’elle se déplaçait. Autant dire que la toilette intime est un véritable calvaire pour Lucy percevant toutes les pensées lubriques de l’infirmier allant jusqu’à doigter ses orifices pour qu’ils soient « propres ».

Une nuit, profitant de deux arrêts maladies dont un frauduleux, il se retrouve seul pour gérer une vingtaine de patients. Outre l’enfer de la situation et de la peur générée par les pensées du personnel soignant, Lucy subit un viol de la pire espèce, le viol d’une handicapée.

SIX MOIS PLUS TARD

Lucy a retrouvé l’usage de ses délicieuses jambes, elle marche encore avec des béquilles mais n’arrive pas à parler mais elle parvient maintenant à écrire. Devenant autonome pour les gestes de la vie quotidienne, les médecins estiment qu’elle peut rentrer chez elle et suivre les soins en externe.

UN AN PLUS TARD

Après des mois de galère, Lucy a retrouvé toutes ses facultés. Elle passe à l’hôpital pour remercier le personnel puis laisse une boite de chocolat avec une très jolie lettre à l’attention du chirurgien. A la suite de quoi, elle se rend au centre spécialisé pour les graves accidentés de la route pour remercier le personnel soignant en demandant à voir le prénommé Tony…..

L’infirmier est mort de peur lorsque le directeur du personnel lui demande de venir dans son bureau pour revoir Lucy. Il s’attend au pire, à perdre son travail et à aller en prison. Rien de ce à quoi il s’attendait ne se passe, bien au contraire, Lucy tient à le féliciter et à dire à son chef que Tony par sa gentillesse, ses gestes et son écoute silencieuse a réussi à lui redonner envie de vivre et de se battre. Le directeur est aux anges, fier de son équipe il ne décèle rien et ne s’oppose pas à ce qu’il ait une discussion privée pendant laquelle elle lui donne son numéro de téléphone en lui indiquant qu’elle aimerait beaucoup le revoir avant de quitter rapidement les lieux en prétextant que son taxi l’attend.

L’infirmier Tony croit rêver, une fille digne de poser sur les magasines de charme lui fait du rentre dedans malgré le fait qu’il l’ait violée !!! Il attribue cette absence des faits à une pathologie cérébrale et accepte deux jours plus tard une invitation au domicile de Lucy lui proposant une petite soirée dînatoire.

Fier comme Artaban, avec une fierté poussée à l'extrême frisant l’arrogance, Tony se rend donc au rendez-vous fixé convaincu d’une soirée sexe hors norme. La belle le reçoit vêtue d’une robe courte très échancrée afin de mettre le feu aux neurones coquins de l’enfoiré qu’elle va briser sous peu. Parvenant à lire et entendre les pensées des personnes qu’elle croise, Lucy s’amuse à jouer avec son ex violeur en le provoquant juste ce qu’il faut pour qu’il ne perde pas pieds. Pendant l’apéritif, elle prétexte même d’avoir un problème pour masser le bas de son dos et lui demande, lui qui l’a connue nue, s’il acceptera de lui passer une crème et de lui faire un massage, chose qu’il accepte avec un sourire ravi. S’il savait ……

Pendant le repas, Lucy s’amuse à le faire parler de ses fantasmes, qui n’en a pas lui dit-elle, puis à jouer de ce qu’elle entend dans la tête du pervers pour l’emmener à se confier en guidant ses pensées. A la fin du repas copieusement arrosé au champagne, elle insiste pour lui faire goûter le rhum planteur qu’elle fait elle-même, en lui disant qu’un homme aussi fort que lui ne peut qu’apprécier. L’alcool masquant le GBH (Drogue du violeur) qu’elle est parvenue à se procurer, l’infirmier boit et prétexte dans sa crise de modestie savourer le breuvage même s’il lui fait mouiller ses yeux, pour l’instant d’une façon naturelle…..

Quelques minutes plus tard, il perd de sa superbe puis s’arrête de parler, l’oiseau est pris au piège. Lucy prend son temps pour lui retirer son pantalon en le faisant rouler sur le canapé-lit qu’elle vient d’ouvrir. Elle place un coussin sous sa tête, non pas pour une question de confort mais pour que l’on voit bien son visage quand elle va faire des photos compromettantes. De son frigo elle sort des carottes, une courgette et du beurre comme lubrifiant avant de prendre la papier qu’elle a préparé bien à l’avance en rêvant de cet instant.

Pour que l’on ne reconnaisse pas son intérieur, elle tend des draps autour du canapé qu’elle recouvre également avant de s’occuper de son violeur. Sur les photos qu’elle prend, on voit l’infirmier avec les légumes plantés dans l’anus puis le papier posé bien en évidence où l’on peut lire « cul disponible pour toutes et tous » puis son numéro de téléphone. A l’hôpital cela va faire jaser…..

Les photos réalisées, elle écrit « cul disponible pour tous » au feutre sur le dos de son violeur avant de lui enfiler une culotte en dentelle achetée au marché puis des bas résilles. Après avoir refait une série de photos, elle lui enfile son pantalon, remets ses chaussures puis l’aide à se lever. Le faire marcher jusqu’à sa voiture est difficile mais elle y parvient et l’installe sur le siège arrière.

Dix minutes plus tard, elle est en route vers « le bois » avec ses accessoires dans le coffre. La vengeance va être terrible.

La suite est ici
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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mercredi 13 août 3 13 /08 /Août 20:58

Julie enlevée et violée


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Etendue nue, sur un matelas jeté à même le sol avec les poignets liés au-dessus de sa tête et les jambes maintenues écartées par des cordes attachées à des anneaux vissés dans le sol, Julie attend les clients. Hormis se désespérer et subir elle ne peut rien faire, plusieurs tours de gros scotch retiennent sa petite culotte enfoncée dans sa bouche.

Ses yeux scrutent le plafond crasseux de la réserve d’un bar où sont entassées des caisses vides, pendant que les éclats de voix des hommes jouant sûrement aux cartes dans une salle proche d’elle, bercent ses pensées animées par la peur. A côté de sa tête, un inconnu est venu poser une boite de conserve vide et une assiette en carton avec des préservatif. Une burette en fer de garagiste est posée entre ses jambes. "Quel est son but ?" se demande Julie, affolée. Vont-il oser lubrifier mon sexe avec de l’huile pour moteur de voiture ?

Lors d’un gang bang géré par Organisations84, Julie en proie à une crise de démence après plusieurs jouissances paroxystiques leur criait « je suis une pute, baisez-moi encore …» sans se rendre compte que son Maître n’appréciait pas le mot « pute ». Après cette rencontre des plus jouissives, le retour sur terre fut difficile tant il était furieux.
- Soumise oui, soumise sexuelle oui, salope oui, mais pute ? Franchement ! Je passe pour quoi moi ? Quelle image donnes-tu de toi ? Libertin je suis, proxénète non. Je t’organise des gang bang pour que tu t’éclates et vives tes fantasmes d’esclave sexuelle, pas pour que tu me fasses honte. Nous règlerons cela à la maison. Criait Maître Luc dans la voiture.
Julie fut sévèrement punie au fouet en arrivant à la maison. Il lui avait indiqué que l’idée des gang bang, c’était terminé.

Elle avait regretté la chose car le côté BDSM et sexe l’avait transportée à chaque fois au paradis des plaisirs, se sentir forcée, prise sans son avis mais sous la surveillance de son Maître vénéré lui permettait d’assouvir sa faim de sexe.
……………………………………..
Julie a eu beau crier et se débattre, lorsqu’elle est descendue de sa voiture garée dans le garage, deux hommes inconnus surgis de nulle part se sont jetés sur elle. Maîtrisée, bâillonnée, bras et jambes entravés elle s’est retrouvée en larme dans le coffre de sa propre voiture, en route pour une destination inconnue. A l’arrivée dans une cour qu’elle n’a pas pu voir à cause d’un sac de jute passé sur sa tête, Julie a été transportée dans cette pièce sur l’épaule d’un homme aussi prévenant avec elle que si elle n’était qu’un sac de pomme de terre.

Un autre homme l’a rejoint, tout aussi doux que le premier, il lui a arraché sa jupe malgré les coups de pieds qu’elle essayait de donner à l’aveugle en hurlant sa rage et sa peur. Sa petite culotte a subi le même sort avant de finir dans sa bouche sous plusieurs tours de scotch d’emballage quand ils lui ont retiré le sac de jute. Son chemisier et son soutien-gorge ont été arrachés et jetés dans un des casiers vides. Les minutes ressemblant à des heures s’égrainent lentement pour Julie dans un état de délabrement psychologique avancé. Soudain un homme grand, gros, gras dans son attitude pénètre dans la réserve.

- Tu es à moi pour vingt minutes, j’ai payé pour ça ma belle, tu vas t’en prendre plein la chatte ! Aboie le mec en retirant son pantalon, son slip puis sa chemise qu’il range soigneusement en les jetant par terre.

L’homme s’agenouille entre ses jambes, enfile un préservatif sur son sexe bandé de bonne taille, avant de lubrifier sa chatte à l’huile de moteur de voiture avec la burette. Elle fait des signe « non » de la tête mais il n’en a que faire. Quand il s’étend sur elle puis guide son sexe dans sa vallée des plaisirs si gourmande d’habitude, Julie ferme les yeux de honte, elle a été vendue et va être violée réellement. Les mouvements de l’homme sont brutaux, il lui fait mal et ne cherche que son propre plaisir en l’écrasant de tout son poids.

Au bout d’un moment de calvaire, bien que sa tête soit immergée dans la poitrine velue transpirante, elle l’entend grogner quand une voix vient lui indiquer qu’il ne lui reste plus que deux minutes. Après s’être vidé en elle, l’homme se relève, retire le préservatif qu’il jette dans une poubelle avant de se rhabiller en lui indiquant qu’elle est bonne. De sa poche il sort une pièce de deux euros qu’il lui fait voir en lui disant dans un rire gras : « c’est ton pourboire » avant de la jeter dans la boite de conserve.

Un petit jeune d’une vingtaine d’années entre aussitôt, en un rien de temps il est nu, son corps quasi imberbe est beau, en d’autre temps, Julie aurait apprécié de faire l’amour avec lui mais là, savoir qu’elle n’est plus qu’un objet servant de « vide couilles » change complètement la donne des plaisirs charnels. Jeune mais vigoureux, son sexe ne tarde pas à trouver la faille offerte et à s’y enfoncer profondément. Tout en la baissant, le petit jeune embrasse son visage et caresse sa tête. Ce brin d’attention déclenche une rivière de larmes. Surpris de voir cela, son violeur s’arrête aussitôt, quelque chose ne va pas, on lui a menti, cette femme n’est pas volontaire. Il se retire, s’habille prestement et sort comme un voleur.

L’arrivée du troisième homme la fait fondre littéralement en larme, il lui sourit et tient une rose à la main. Elle n’a pas été enlevée, elle n’a pas été vendue, ce n’est que son Maître qui lui a organisé un de ses fantasmes sans la prévenir.

- Il reste quatre hommes, nous ne les avons pas fait venir pour rien, tu vas leur dire que tu veux encore jouer à la pute mais ce sera la dernière fois que tu emploieras ce mot, si tu ne veux pas que je te flanque une correction maison. Ah j'oubliais, dans la burette ce n'est que du lubrifiant, pas de l'huile...... Lui indique Maître Luc en arrachant le scotch maintenant la petite culotte malmenée et innocente.

Quelques minutes et deux baisers tendre plus tard, Julie apprécie grandement le quatrième « client ».

TSM

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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Mondes Libertins
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Lundi 4 août 1 04 /08 /Août 07:51

Travesti pute violée 1

 

Julie, travesti, rêve qu'on l'oblige à faire la pute, d'être obligée de se faire prendre par des mecs. Elle propose ses services sur des sites de rencontres en indiquant "pute gratuite et soumise à votre service". Dans ses fantasmes, elle serait drivée par une Maîtresse aussi intraitable que sévère.

En rencontrant Maîtresse Sad, elle ne se doute pas que ses fantasmes seront réalisés bien au-delà de ses espoirs et qu'elle va connaître l'enfer sur terre et non pas un simulation ou un jeu de rôle.

- Quelles sont tes expériences sexuelles et de pute ? Demande Maîtresse Sad lors de leur première rencontre.

- En plus de mes rencontres, j'ai fait plusieurs fois les parkings de l'autoroute et je me suis déjà offerte deux fois en club gay.

- Tu aimes te faire défoncer et que l'on te force ?

- Oh oui Madame.

- Sache que si je te prends comme soumise sexuelle, avec moi tu vas vivre de grandes choses mais aussi que je suis particulièrement sévère. Quand je punis, ce ne sont pas de petits jeux BDSM ou une simple fessée, mais de véritable sanctions physiques ou psychologiques. Personne n'aime mes punitions mais grâce à cette façon de faire, les soumis dont je m'occupe progressent dans leur soumission. L'acceptes-tu ?

- Oh oui Madame.

- Que nous soyons bien claire entre nous, si tu veux entrer à mon service, je te veux intégralement lisse, chaque poil trouvé sera l'objet d'une sévère punition. A cela je veux que tu prennes des hormones pour faire pousser tes seins, que tu ais une véritable chevelure, les perruques c'est pour les TV d'un soir, puis que tu passes chez une esthéticienne que je vais t'indiquer. Elle t'apprendra à te faire belle, le prix de ses prestations est évidement à ta charge. Je veux aussi une obéissante totale et sans condition ou négociation. Es-tu réellement prête à accepter tout cela ?

- Oui Madame, toute vos exigences sont ni plus ni moins que ce que je cherche à vivre depuis des années. Testez-moi, je ne vous décevrai pas.

- Te tester, bien voyons et t'offrir un moment de plaisir, c'est cela ?

- Non Madame, je suis vraiment décidée à vivre cette vie de soumise et de pute, je ne cherche pas des séances.

- Et bien nous allons faire un test puisque tu es si sûre de toi. A poil tout de suite !

Julie a honte de son corps d'homme, se mettre nue devant quelqu'un est une épreuve, mais pour gagner la confiance de Maîtresse Sad elle s'exécute aussitôt en retirant ses vêtements. Pendant cet effeuillage rapide, Sad se rend à une de ses armoires pour prendre un gros plug et du Wasabi en pot, un piment japonais très fort qu'elle achète dans une boutique asiatique.

- Je veux voir si ton cul est à la hauteur de tes prétentions. Mets ce plug dans ton cul avec mon wasabi en guise de lubrifiant.

Cette exhibition sans préparation psychologique perturbe profondément Julie, encore une fois elle prend sur elle pour réaliser ce qu'il lui est demandé. Lorsqu'elle lubrifie son anus avec la pâte onctueuse, la sensation de chaleur est quasi immédiate, cela brûle un peu. Maitresse Sad mime l'impatience, Julie aux abois malgré maintenant la sensation de brûlure, s'acharne pour faire entre le gros plug en son fondement.

- Tu es trop longue, je vais te motiver un peu. Lui indique Maîtresse Sad en quittant son trône pour venir étaler du wasabi sur le gland de Julie blême.

La bite et le cul en feu, Julie se désespère de ne parvenir à absorber le plug, les yeux fermés pour se concentrer, elle ne peut voir Maîtresse Sad saisir un fouet court. Un sifflement aussitôt suivi d'un trait de feu sur les fesses de la travesti se déhanchant sans pudeur pour réaliser sa mission arrache un cri à Julie puis génère la contraction de ses fesses. Le plug rejeté tombe sur le sol, Maîtresse Sad lui ordonne de le remettre et de se presser si elle espère une récompense et entrer à son service. Ce test d'entrée est très difficile et douloureux mais Julie s'investit totalement pour ne pas manquer cette chance. Maîtresse Sad saisit un tabouret, force la travesti en perdition à s'asseoir puis, sans même la prévenir, lui appuie fortement sur les épaules. En franchissant les sphincters en feu, le plug arrache un cri de douleur à Julie à deux doigts de toute arrêter.

- Bien, je suis fière de toi, branle-toi tu as trois minutes pour jouir dans ta main. Ordonne Maîtresse Sad en attrapant les tétons masculins qu'elle fait rouler sous ses doigts qu'elle utilise rapidement comme des pinces tactiles dont les ongles acérés sont des plus cruels.

Pour Julie, se masturber est un véritable soulagement pour son gland lui permettant d'apaiser les sensations de brûlure du wasabi. Parvenir à la jouissance dans ses conditions lui est très difficile, Maîtresse Sad lui offre ses doigts à lécher avant de lui fourrer dans la bouche pour bien asseoir sa domination. Quelques gifle plus tard, Julie finit par éjaculer dans sa main comme demandé.

- Puisque tu te dis "pute" tu te dois de bouffer du sperme non ? Lèche tout ! Crie Maîtresse Sad devant la moue de Julie.

Cette dernière fait encore un effort et s'exécute malgré son dégoût.
...................................

Félicitée pour ce test, Julie est ravie, bien qu'un peu inquiète par la rigueur extrême et la fermeté de cette dominatrice enjôleuse ayant accepté de la prendre à son service. Maîtresse Sad lui a imposé de porter une cage de chasteté, un modèle spécial à acheter sur ABCplaisir puis lui a indiqué une liste de médicaments et comment les trouver pour s'hormoner sans délai.

Pendant trois mois, à raison d'une séance tous les quinze jours, Julie se rend chez sa Maîtresse. Les rencontres sont difficiles, dures parfois, mais elle peut y vivre sa soumission et se sentir totalement femme. Intégralement lisse, Julie se rend chez Maîtresse Sad le vendredi soir à 18 heures comme convenu pour un long week-end. Le lundi étant férié elle est aux anges, elle va pouvoir passer trois jours en compagnie de sa Maîtresse. Dès son arrivée, une tenue spécifique l'attend dans la petite chambre qui lui est attribuée. Avant même de se maquiller comme demandé, Julie très curieuse se précipite sur les vêtements, un gros corset de cuir, un porte-jarretelles, des bas puis une jupe ultra courte sont étendus sur le lit avec des escarpins noir.

Dans la tête de Julie, le week-end s'annonce bien rien que pour cette tenue, si elle savait qu'elle va vivre un enfer, elle ne se réjouirait pas autant et prendrait ses jambes à son cou.

Maquillée, pomponnée, elle se présente à sa Maîtresse une demi-heure plus tard. En constatant qu'un homme au profil de videur de bas quartier est assis auprès d'elle sur le canapé, Julie s'inquiète. Elle s'approche, fait une révérence puis vient se mettre debout, mains dans le dos jambes écartées à côté d'eux, la position d'attente "d'une bonne soumise" lui a indiqué sa Maîtresse lors des séances de formation.

- Je te présente Julie, une petite pute prête à se faire baiser et à sucer sur simple demande. Pour sa première sortie, je pense qu'il faudra l'attacher car elle est quand même un peu rebelle, dit Maîtresse Sad à la personne assise à côté d'elle, avant de se tourner vers Julie. Va t'allonger sur le dos jambes écartées sur la table de mon salon, il faut que je te prépare.

Julie s'exécute aussitôt, s'installe comme demandé sur la table en se posant mille questions. Maîtresse Sad arrive quelques minutes plus tard, lui retire sa cage de chasteté puis passe une lingette sur le sexe mou parfaitement imberbe. Sad entreprend alors de recouvrir son bas ventre avec un large ruban adhésif noir, puis entreprend de faire entrer les testicules dans le bas ventre à la place où elles étaient avant la naissance. La chose se fait sans douleur, Maîtresse Sad ayant l'expérience du tuking.

Les précieuses masquées, pour qu'elles ne ressortent pas, elle ajoute de nouvelles bandes d'adhésif noir avant de poser un pénilex qu'elle dirige entre les jambes de Julie. Pour parachever la transformation visuelle, Maîtresse Sad termine par la réalisation d'une culotte avec des bandes de ruban adhésif bien ordonnées pour qu'il y ait une certaine élégance dans cette transformation. Autorisée à mettre la main entre ses jambes, Julie n'en croit pas ses yeux ni ses doigts, son sexe masculin a disparu !

LE TUCKING EXPLICATION ICI
http://forums.fessestivites.com/travestissement/le-tucking-t1884.html

- Bien, maintenant que tu es prête, tu vas pouvoir vivre tes rêves de pute, mais sache que si je prends plaisir à te préparer à la réalisation de tes fantasmes, je prendrai plaisir à te massacrer au moindre manquement. Me fais-je bien comprendre ?

- Oui Madame !

- Alors en route !

Julie est heureuse, comblée, comme sur un petit nuage quand, avec un gros collier et une laisse elle trottine derrière sa Maîtresse et l'inquiétant inconnu. Si elle savait qu'elle vient d'entrer dans un des plus dangereux réseau de prostitution, elle sauterait de la voiture en marche mais il est trop tard, elle rêve.

 

La suite est ICI mais attention c'est réellement extrême et réservée à un public averti.

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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Dimanche 27 juillet 7 27 /07 /Juil 18:58

Offerte à des prisonniers dans la prison de Castres



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La prison secrète et ses détenus La prison de Castres a compté entre 50 et 70 détenus, dont ceux transférés du camp du Vernet, presque tous anciens combattants des Brigades Internationales en Espagne (BI), quelques officiers gaullistes, des officiers belges et polonais de services de renseignement alliés, des aviateurs et parachutistes anglais et américains abattus au-dessus de la France et deux femmes françaises soupçonnées d’être des agents secrets des Alliés. La prison tient en isolement total des prisonniers politiques non-condamnés, pour lesquels nul procès n’est prévu et dont la plupart devaient être livrés aux gouvernements fascistes ( allemand et italien notamment ). Les prisonniers venus du Vernet continuent à indiquer ce camp comme lieu de détention avec la mention “ baraque 21 “. Tout leur courrier passe effectivement par le camp. Ils sont strictement tenus à l´écart des prisonniers français et de ceux dits “ alliés “ et vice-versa. La prison aurait dépendu du camp de Saint-Sulpice.

Le directeur de la prison de Castre est un homme pervers, sadique, cruel, dans sa poitrine on se demande même s'il y a un coeur. Sa secrétaire se méfie de lui comme de la peste. Elle résiste psychologiquement tant bien que mal aux mains baladeuses tout comme aux actes barbares dont elle entend parler tous les jours. En ces temps si difficile, survivre est déjà bien. Pour survivre elle fait un peu de troc avec les fruits de son jardin et en offre toujours quelques uns aux prisonniers parfois affamés.

Par inadvertance, elle offre une pomme à une personne sous contrôle, pour ne pas dire maltraitance, du directeur. Lorsqu'il apprend la chose, furieux, il lui passe un savon dune rare violence verbale avec des menaces de sanction qui la terrorisent. Lucette ne sait que dire, que faire pour sortir de cette impasse. Si elle perd son travail, elle ne s'en sortira pas, alors elle le supplie en se mettant à genoux mais il reste de marbre face à ses rivières de larmes de désespoir.

- Il y a peut-être une solution pour vous tirer de ce mauvais pas ! Lui indique le directeur. J'ai un projet pour les détenus d'une cellule et vous allez y participer. Cela sera dur mais ça ou vous êtes virée.

Lucette n'a aucune idée de ce qu'il l'attend mais elle accepte la proposition du directeur en le remerciant de tout son coeur. Ce qu'elle ne peut savoir c'est qu'il est impuissant, il ne bande plus depuis des années mais cela ne l'empêche pas d'avoir des idées et envies d'une grande perversité. Son voyeurisme est très sadique, il aime voir les femmes souffrir psychologiquement ou physiquement, les deux le comblent.

- Revenez ce soir à 10 heures avec de jolis sous-vêtement sous votre tenue réglementaire, vous allez avoir la chance de faire un geste pour les services de renseignement et de garder votre poste.

Lucette, blême et affreusement inquiète franchit la porte de la prison à l'heure indiqué, les gardiens s'étonnent de la voir revenir en pleine nuit. A peine arrivée dans le bureau du directeur, il lui ordonne de lui faire voir ses sous-vêtements sans même bouger de son bureau. Pour la circonstance et ne pas décevoir, elle a mis un soutien-gorge, une culotte de dentelle et porte jarretelle assortie pour maintenir sa dernière paire de bas. Lui faire voir ses dessous la perturbe au plus haut point, elle peine a entrouvrir son uniforme et à soulever sa jupe réglementaire pour les lui dévoiler.

- C'est très bien, prenez ce verre de schémas, vous le méritez et allez en avoir besoin.

- Je ne bois jamais monsieur le directeur, je vais être saoule si je le bois.

- Vous ai-je demandé votre avis ? Hurle le directeur.

Lucette prend le verre et fait cul sec comme elle l'a vu faire. L'alcool lui brûle la langue, la gorge et l'estomac sur son passage. Elle tousse et s'étouffe un petit moment. Il lui en ressert un second et lui ordonne de le boire cul sec, Lucette n'ose refuser, elle sait qu'elle ne peut rien refuser.

- Alors je vous explique ce que vous allez faire. Je vais vous conduire dans une cellule du bloc Est, vous entrerez et ferez un show érotique aux prisonniers avant de vous offrir à eux. Ils sont trois, vous accepterez tout ce qu'ils demandent sans aucune résistance. Après vous être amusée avec eux et les avoir soulagés, vous essayez de savoir quel est leur camp contact à Toulouse, soyez fine car ils ne sont pas idiots. S'ils vous demandent pourquoi vous faites ça, pourquoi vous vous offrez à eux, vous répondrez tout simplement que c'est parce que vous aimez ça. Je serai derrière la porte, je surveillerai tout, en cas de dérapage, nous interviendrons pour vous extraire de la cellule. Retenez bien que si vous essayez de leur résister, si vous ne faites pas ce que je vous demande, vous ne reviendrez pas demain. Me suis-je bien fait comprendre ?

- Oui monsieur le directeur ! Répond Lucette rouge de honte et un peu pompette.

A leur arrivé dans l'aile Est, les gardiens ouvrent les portes, le directeur demande aux gardiens de se regrouper derrière la grille et d'attendre sans bouger qu'il les appelle si besoin. Il guide Lucette dans les couloirs sombres vers une cellule dont il ouvre la porte avant de la pousser à l'intérieur et de la refermer sur elle. L'oeil collé contre le judas, tout excité, il commence à caresser son sexe mou à travers son pantalon.

La surprise est de taille pour les détenus, ultra méfiants ils ne bougent pas et se taisent. C'est le moment fatidique pour le directeur, soit elle se décide, soit son plaisir ne sera pas et il la virera en récupérant son uniforme après l'avoir un peu giflée. Rentrer en sous-vêtement lui apprendra ce qu'il en coûte de lui résister.

Par chance pour Lucette, l'alcool fait ses effets, elle a honte mais sa tête est chaude. Debout face aux trois hommes toujours allongés sur leur couchette, elle entreprend de défaire le premier bouton de la veste de son uniforme puis de son chemisier. Ses mains tremblent, l'image du directeur la menaçant passe devant ses yeux, alors elle décide de se lancer totalement pour s'en sortir. Un à un elle retire les boutons restant en regardant les prisonniers dans les yeux avant d'écarter les deux pans de sa veste et de son chemisier, dévoilant sa poitrine généreuse aux regards de plus en plus étonnés. Quand elle entreprend de caresser ses seins par dessus le rempart de dentelle, les détenus ne peuvent résister à l'envie de sortir leur sexe et de se caresser.

Lucette descend lentement la fermeture éclair de sa jupe règlementaire, avant de la laisser choir à ses pieds et de leur apparaître en sous-vêtement. Comme mue par un instinct de survie, elle s'approche des hommes pour s'allonger sur une des couchettes, leur donnant par ce geste une indication très précise.

- Pourquoi fais-tu ça ? Demande un des prisonnier.

- Parce que j'aime ça ! Répond Lucette ayant répété cette phrase au moins vingt fois dans sa tête.

Bien qu'un peu hésitants, les hommes commencent à la toucher, à la caresser, ne sentant aucune résistance leurs mains s'aventurent sous le soutien-gorge pour palper ses merveilles. Soudain l'un d'eux lui retire sa culotte avec douceur, ou plutôt méfiance, ne rencontrant aucune résistance il plonge la tête entre ses cuisses pour se mettre à dévorer sa minette, cela fait deux ans qu'il n'en a pas vu.

Sous l'effet de l'alcool et des caresses, Lucette commence à peine à se décontracter, la langue entre ses cuisses est si agile, qu'elle lui titille déjà les sens. N'ayant pas eu de rapport sexuel depuis trois ans, depuis que son compagnon est parti au front, elle ne reste pas insensible aux caresses douces des détenus. Pourquoi elle saisit des mains les sexes bandés près, elle n'en sait rien, mais sentir leur chaleur et leur vigueur la trouble. Sa tête tourne de plus en plus, l'alcool continue ses effets pervers.



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Derrière la porte, à travers le judas, le directeur a sorti son sexe toujours mou de son pantalon, il l'agite frénétiquement, cela lui fait des choses de voir sa secrétaire faire la pute pour lui et se donner aux détenus.

Le plus courageux de tous se met à genoux sur le sol dallé, ajuste sa verge au sexe mouillé de sa bouche pour la pénétrer et faire des mouvements très lents comme pour savourer la douceur de cette chatte inespérée et offerte. Un petit gémissement plaintif filtre des lèvres entrouvertes de Lucette appréciant les sublimes sensations cumulées, les caresses des mains, ces verges chaudes qu'elle branle doucement et la pénétration douce mais de plus en plus appuyée. Les effets de l'alcool et la situation la font décoller, lentement mais sûrement. Au plus elle prise, au plus elle est caressée au plus elle s'offre aux mâles.

Le fait d’être offerte à la merci des hommes qui lui font l’amour, lui déclenche de troubles sensations, en quelques minutes, sans comprendre la révolution sensorielle qui l'a submerge elle s'abandonne pour n'être plus qu'un corps à la recherche de sensations, de contacts, de virilité. Les voluptés inexplicables la conduisent dans une autre dimension, l'extase qu'elle ressent est telle qu'elle a l'impression de basculer dans un autre univers.

Les verges qu'elle attrape et suce maintenant une après l'autre avec envie et passion passent en elle, en son corps qu'elle offre bien volontiers. Une confusion indicible l'envahit soudain, elle se cambre de volupté sous la verge impitoyable la fouillant profondément avant d'être foudroyée par l’extase, les spasmes de son corps s’enchaînent. Elle geint et ses yeux clos, roule la tête en tous sens.

Derrière la porte, par le judas, le directeur parvint à faire couler quelques gouttes de liquide séminal de sa verge désespérément molle et à avoir une contraction, un miracle vient de se produire pour lui grâce à cette femme qu'il vient d'offrir comme une pute et qui vient de s'offrir sans limite aux plaisirs des amours multiples.

Après avoir éjaculé sur elle et dans sa bouche des plus accueillante, les détenus s'étendent sur leur couchette, l'un d'eux la garde dans ses bras comme pour profiter encore d'une moment de tendresse dans cet univers carcéral, si dur en temps de guerre car on ne sait pas si l'on sera encore de ce monde demain. Lucette revient doucement sur le plancher des vaches, la deuxième partie de sa mission lui revient à l'esprit, elle essaye de discuter avec eux mais leur méfiance est telle qu'ils ne lui disent pas grand chose.

Le directeur décide que cela suffit, ouvre la porte et lui demande de se vêtir puis de sortir. Le retour sur terre est des plus dur pour Lucette soudain très honteuse. Elle ne tarde point à le rejoindre dans le couloir, la porte se referme sur les détenus dont l'avenir est des plus incertain. Pendant le retour au bureau, elle marche en regardant le sol, telle une condamnée à mort.

- Je suis content de vous, vous avez été excellente, qu'êtes vous parvenue à glaner comme informations ?

Sans oser le regarder dans les yeux, elle lui répète les quelques informations glanées et, comme elles ne sont pas satisfaisante à ses yeux, il décide de lui accorder un "sursit" en clair, il garde la possibilité de jouer encore avec cette femme si désirable qu'il ne peut sauter lui même. La vie de Lucette s'annonce bien difficile car si elle est parvenue à vivre quelque chose de fabuleux malgré toute l'horreur de la situation, devant elle s’ouvre une existence bien difficile dans laquelle son corps est devenu une valeur négociable.

Ecrivaillon


La vidéo Offerte à des prisonniers dans la prison de Castres est ici


Les photos Offerte à des prisonniers dans la prison de Castres sont ici


HISTOIRES EROTIQUES GRATUITES

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Mondes Libertins
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Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 09:19

Le Kiné Sadique


Kine_sadique_20.jpg

Le kiné du village a mauvaise réputation
Qu'il se démène ou qu'il reste coi,
Il pass’ pour un je-ne-sais-quoi.
Il ne fait pourtant de tort à personne,
Sauf aux maris jaloux, cela va de soi.

Après cette légère distorsion sur les paroles d'une chanson très connue, je m'en vais de ce pas, vous raconter l'histoire d'une des patientes de ce Kiné particulier. Lorsqu'elle se doit d'aller chez le kinésithérapeute, elle jubile de joie tout en ayant quelques craintes pour sa réputation, les murs du Kiné sont si minces.....

Max accueille pourtant les femmes avec respect, ne fait jamais d'attouchements inutiles mais sa façon de procéder est bien pire et totalement hors normes bien que remboursée par la sécurité sociale. La pauvre soumise Ginou, trop heureuse d'avoir obtenu un rendez-vous, se rend donc chez le docteur Max un vendredi soir vers 20h30 pour une séance de massage ayant pour objectif, de décontracter les muscles abdominaux.

A peine entrée dans le cabinet, le docteur Max lui demande de se dévêtir et de passer un sorte de string en cuir avec des anneau sur le devant puis une cagoule sur sa tête.

- Une cagoule, mais pour quoi faire ? Demande Ginou.

- La culotte de cuir est pour maintenir un appareil, la cagoule c'est juste une précaution d'usage pour votre visage et vos yeux dans le cadre des produits que je vais utiliser. Lui répond Max.

Dépitée, Ginou s'exécute enfile le string de cuir bizarre puis la cagoule. Max s'approche d'elle puis la conduit au centre de la pièce pour entreprendre de la recouvrir de cellophane. Au plus il tourne autour d'elle, au plus elle est immobilisée. Totalement entravée, Ginou ne peut plus bouger les bras, hormis bouger ses pieds de quelques centimètres elle ne peut pas marcher non plus ! Et là, mesdames et messieurs les jurés, Max approche une table sur laquelle il la pousse sans plus d'explication. Elle a peur, certes les massages et ses instruments sont dès plus agréables mais là, quelque chose ne va pas.

Dans le gros creux de la culotte de cuir, Max installe un vibromasseur Magic Wand de chez ABCplaisir qu'il branche à une rallonge électrique, coincées sans aucune gêne entre les orteils de sa patiente ! Ginou est très gênée, une grosse boule appuie sur sa plus tendre intimité. Elle demande pourquoi il l'a enroulé dans tout ce plastique, la réponse de Max la surprend au plus haut point.

- Attachée oui et non, disons que je vous ai enroulée dans du cellophane, le truc que vous avez contre votre intimité est un appareil de massage médical qui va vous faire grimper au plafond. Plutôt que vous masser pendant une heure, je vais vous faire jouir avec cet appareil. Vous allez avoir très chaud, transpirer à grosses gouttes, monter dans des sphères de plaisir orgasmiques que vous ne devez pas connaître, votre ventre va s'auto masser. Le cellophane vous permettra de ne pas tomber de la table, c'est juste par sécurité.

Lorsque Max enclenche le vibromasseur Magic Wand, Ginou fait un bon sur la table en poussant un long aouhouuuuuuuuu ! Effectivement cet appareil est démentiel mais l'idée de jouir devant le kiné ne l'emballe pas, ce genre de chose c'est plutôt "intime".

Oui mais comment résister à ce truc diabolique répond Ginou à sa conscience très perturbée lors d'un débat en chat privé avec elle même ? La machine en forme de micro poursuit inlassablement son ouvrage en vibrant sur le clitoris de la belle ne pouvant absolument rien faire pour se soustraire à ces divines sensations. Profitant qu'elle ne voit pas ce qu'il fait grâce à la cagoule, Max sort deux martinets lourds qualité plus de chez ABCplaisir pour entreprendre de flageller son ventre par dessus le cellophane. Ginou crie mais il la rassure en lui indiquant que c'est une forme de massage très ancienne appelée MSDB. (BDSM à l'envers pour le lecteur qui n'aurait pas compris)

Entre le "massage" et le clitoris atteint par une forme de maladie de Parkinson sous la boule magique, Ginou ne parvient pas à résister à la vague sourde et perverse montant en elle. Elle la sens arriver, elle la voit arriver dans ses paupières devenues des écrans d'ordinateur connectés sur Fessestivites. Tel un tsunami balayant tout sur son passage, la vague déferlante lamine sa retenue. Emportée comme une plume par la vague d'une jouissance qui ne s'arrête pas, elle crie, tremble, s'agite pour échapper à la boule vibrante devenant trop forte pendant au moins deux minutes.

- Allez on fait une pause, je dois maintenant m'occuper des huiles essentielles nécessaires à la suite de votre traitement. Indique Max à sa patiente "décomposée" tant elle a joui.

Tel un rustre, Max allume une cigarette, tire deux goulées puis s'en sert pour faire des trous dans le cellophane avec la braise. "C'est chaud, c'est chaud" crie Ginou, mais non, ce n'est rien, vous n'allez pas commencer à faire la chochotte à votre âge ! En guise d'huiles essentielles, Max allume une des bougies BDSM qu'il vient d'acheter sur ABCplaisir.

Il remet en route le vibromasseur Magic Wand, histoire de détourner l'attention de sa patiente avant d'entreprendre de recouvrir son abdomen en faisant couler la cire par les trous réalisés à la cigarette. Comme Ginou n'arrête pas de bouger et pour cause....., le micro magique a fini par glisser. N'ayant pas de cendrier sous la main, sans aucune gêne il demande à sa patiente d'ouvrir la bouche, pour y introduire sa clop !

- Serrez les dents mais pas trop fort pour ne pas casser cette tige de 8mm qui est assez fragile. Par contre ne la lâchez pas, vous pourriez vous brûler. Lui indique MAx en se retenant de rire.

Comme le lecteur peut le constater, ce Kiné est sans aucune gêne, mais pour apaiser l'inquiétude de ses patientes, il a affiché un passage des paroles de Brassens sur le mur de la salle d'attente.

"Le jour du quatorze-Juillet,
Je reste dans mon lit douillet ;
La musique qui marche au pas,
Cela ne me regarde pas".

Sa patiente ayant trempée la table (de partout) Max décide de suspendre la séance en la félicitant pour son courage..... Il prend les ciseaux et découpe le cellophane avant d'aller chercher un grand couteau de cuisine et une fourchette. Pourquoi faire se demandera le lecteur ?????

Tout simplement pour retirer la cire de bougie sans que ses mains ne touchent les zones intimes de sa patiente, il ne tient pas à avoir mauvaise réputation.

Ecrivaillon (En plein délire)

La vidéo du Kiné sadique est ici
Les photos du Kiné sadique sont ici
Le chat BDSM sur lequel cette histoire c'est réalisée en webcam est ici (réel)

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Mondes Libertins
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Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 09:17

Offerte à des prisonniers dans la prison de Castres



La prison secrète et ses détenus La prison de Castres a compté entre 50 et 70 détenus, dont ceux transférés du camp du Vernet, presque tous anciens combattants des Brigades Internationales en Espagne (BI), quelques officiers gaullistes, des officiers belges et polonais de services de renseignement alliés, des aviateurs et parachutistes anglais et américains abattus au-dessus de la France et deux femmes françaises soupçonnées d’être des agents secrets des Alliés. La prison tient en isolement total des prisonniers politiques non-condamnés, pour lesquels nul procès n’est prévu et dont la plupart devaient être livrés aux gouvernements fascistes ( allemand et italien notamment ). Les prisonniers venus du Vernet continuent à indiquer ce camp comme lieu de détention avec la mention “ baraque 21 “. Tout leur courrier passe effectivement par le camp. Ils sont strictement tenus à l´écart des prisonniers français et de ceux dits “ alliés “ et vice-versa. La prison aurait dépendu du camp de Saint-Sulpice.

Le directeur de la prison de Castre est un homme pervers, sadique, cruel, dans sa poitrine on se demande même s'il y a un coeur. Sa secrétaire se méfie de lui comme de la peste. Elle résiste psychologiquement tant bien que mal aux mains baladeuses tout comme aux actes barbares dont elle entend parler tous les jours. En ces temps si difficile, survivre est déjà bien. Pour survivre elle fait un peu de troc avec les fruits de son jardin et en offre toujours quelques uns aux prisonniers parfois affamés.

Par inadvertance, elle offre une pomme à une personne sous contrôle, pour ne pas dire maltraitance, du directeur. Lorsqu'il apprend la chose, furieux, il lui passe un savon dune rare violence verbale avec des menaces de sanction qui la terrorisent. Lucette ne sait que dire, que faire pour sortir de cette impasse. Si elle perd son travail, elle ne s'en sortira pas, alors elle le supplie en se mettant à genoux mais il reste de marbre face à ses rivières de larmes de désespoir.

- Il y a peut-être une solution pour vous tirer de ce mauvais pas ! Lui indique le directeur. J'ai un projet pour les détenus d'une cellule et vous allez y participer. Cela sera dur mais ça ou vous êtes virée.

Lucette n'a aucune idée de ce qu'il l'attend mais elle accepte la proposition du directeur en le remerciant de tout son coeur. Ce qu'elle ne peut savoir c'est qu'il est impuissant, il ne bande plus depuis des années mais cela ne l'empêche pas d'avoir des idées et envies d'une grande perversité. Son voyeurisme est très sadique, il aime voir les femmes souffrir psychologiquement ou physiquement, les deux le comblent.

- Revenez ce soir à 10 heures avec de jolis sous-vêtement sous votre tenue réglementaire, vous allez avoir la chance de faire un geste pour les services de renseignement et de garder votre poste.

Lucette, blême et affreusement inquiète franchit la porte de la prison à l'heure indiqué, les gardiens s'étonnent de la voir revenir en pleine nuit. A peine arrivée dans le bureau du directeur, il lui ordonne de lui faire voir ses sous-vêtements sans même bouger de son bureau. Pour la circonstance et ne pas décevoir, elle a mis un soutien-gorge, une culotte de dentelle et porte jarretelle assortie pour maintenir sa dernière paire de bas. Lui faire voir ses dessous la perturbe au plus haut point, elle peine a entrouvrir son uniforme et à soulever sa jupe réglementaire pour les lui dévoiler.

- C'est très bien, prenez ce verre de schémas, vous le méritez et allez en avoir besoin.

- Je ne bois jamais monsieur le directeur, je vais être saoule si je le bois.

- Vous ai-je demandé votre avis ? Hurle le directeur.

Lucette prend le verre et fait cul sec comme elle l'a vu faire. L'alcool lui brûle la langue, la gorge et l'estomac sur son passage. Elle tousse et s'étouffe un petit moment. Il lui en ressert un second et lui ordonne de le boire cul sec, Lucette n'ose refuser, elle sait qu'elle ne peut rien refuser.

- Alors je vous explique ce que vous allez faire. Je vais vous conduire dans une cellule du bloc Est, vous entrerez et ferez un show érotique aux prisonniers avant de vous offrir à eux. Ils sont trois, vous accepterez tout ce qu'ils demandent sans aucune résistance. Après vous être amusée avec eux et les avoir soulagés, vous essayez de savoir quel est leur camp contact à Toulouse, soyez fine car ils ne sont pas idiots. S'ils vous demandent pourquoi vous faites ça, pourquoi vous vous offrez à eux, vous répondrez tout simplement que c'est parce que vous aimez ça. Je serai derrière la porte, je surveillerai tout, en cas de dérapage, nous interviendrons pour vous extraire de la cellule. Retenez bien que si vous essayez de leur résister, si vous ne faites pas ce que je vous demande, vous ne reviendrez pas demain. Me suis-je bien fait comprendre ?

- Oui monsieur le directeur ! Répond Lucette rouge de honte et un peu pompette.

A leur arrivé dans l'aile Est, les gardiens ouvrent les portes, le directeur demande aux gardiens de se regrouper derrière la grille et d'attendre sans bouger qu'il les appelle si besoin. Il guide Lucette dans les couloirs sombres vers une cellule dont il ouvre la porte avant de la pousser à l'intérieur et de la refermer sur elle. L'oeil collé contre le judas, tout excité, il commence à caresser son sexe mou à travers son pantalon.

La surprise est de taille pour les détenus, ultra méfiants ils ne bougent pas et se taisent. C'est le moment fatidique pour le directeur, soit elle se décide, soit son plaisir ne sera pas et il la virera en récupérant son uniforme après l'avoir un peu giflée. Rentrer en sous-vêtement lui apprendra ce qu'il en coûte de lui résister.

Par chance pour Lucette, l'alcool fait ses effets, elle a honte mais sa tête est chaude. Debout face aux trois hommes toujours allongés sur leur couchette, elle entreprend de défaire le premier bouton de la veste de son uniforme puis de son chemisier. Ses mains tremblent, l'image du directeur la menaçant passe devant ses yeux, alors elle décide de se lancer totalement pour s'en sortir. Un à un elle retire les boutons restant en regardant les prisonniers dans les yeux avant d'écarter les deux pans de sa veste et de son chemisier, dévoilant sa poitrine généreuse aux regards de plus en plus étonnés. Quand elle entreprend de caresser ses seins par dessus le rempart de dentelle, les détenus ne peuvent résister à l'envie de sortir leur sexe et de se caresser.

Lucette descend lentement la fermeture éclair de sa jupe règlementaire, avant de la laisser choir à ses pieds et de leur apparaître en sous-vêtement. Comme mue par un instinct de survie, elle s'approche des hommes pour s'allonger sur une des couchettes, leur donnant par ce geste une indication très précise.

- Pourquoi fais-tu ça ? Demande un des prisonnier.

- Parce que j'aime ça ! Répond Lucette ayant répété cette phrase au moins vingt fois dans sa tête.

Bien qu'un peu hésitants, les hommes commencent à la toucher, à la caresser, ne sentant aucune résistance leurs mains s'aventurent sous le soutien-gorge pour palper ses merveilles. Soudain l'un d'eux lui retire sa culotte avec douceur, ou plutôt méfiance, ne rencontrant aucune résistance il plonge la tête entre ses cuisses pour se mettre à dévorer sa minette, cela fait deux ans qu'il n'en a pas vu.

Sous l'effet de l'alcool et des caresses, Lucette commence à peine à se décontracter, la langue entre ses cuisses est si agile, qu'elle lui titille déjà les sens. N'ayant pas eu de rapport sexuel depuis trois ans, depuis que son compagnon est parti au front, elle ne reste pas insensible aux caresses douces des détenus. Pourquoi elle saisit des mains les sexes bandés près, elle n'en sait rien, mais sentir leur chaleur et leur vigueur la trouble. Sa tête tourne de plus en plus, l'alcool continue ses effets pervers.


Derrière la porte, à travers le judas, le directeur a sorti son sexe toujours mou de son pantalon, il l'agite frénétiquement, cela lui fait des choses de voir sa secrétaire faire la pute pour lui et se donner aux détenus.

Le plus courageux de tous se met à genoux sur le sol dallé, ajuste sa verge au sexe mouillé de sa bouche pour la pénétrer et faire des mouvements très lents comme pour savourer la douceur de cette chatte inespérée et offerte. Un petit gémissement plaintif filtre des lèvres entrouvertes de Lucette appréciant les sublimes sensations cumulées, les caresses des mains, ces verges chaudes qu'elle branle doucement et la pénétration douce mais de plus en plus appuyée. Les effets de l'alcool et la situation la font décoller, lentement mais sûrement. Au plus elle prise, au plus elle est caressée au plus elle s'offre aux mâles.

Le fait d’être offerte à la merci des hommes qui lui font l’amour, lui déclenche de troubles sensations, en quelques minutes, sans comprendre la révolution sensorielle qui l'a submerge elle s'abandonne pour n'être plus qu'un corps à la recherche de sensations, de contacts, de virilité. Les voluptés inexplicables la conduisent dans une autre dimension, l'extase qu'elle ressent est telle qu'elle a l'impression de basculer dans un autre univers.

Les verges qu'elle attrape et suce maintenant une après l'autre avec envie et passion passent en elle, en son corps qu'elle offre bien volontiers. Une confusion indicible l'envahit soudain, elle se cambre de volupté sous la verge impitoyable la fouillant profondément avant d'être foudroyée par l’extase, les spasmes de son corps s’enchaînent. Elle geint et ses yeux clos, roule la tête en tous sens.

Derrière la porte, par le judas, le directeur parvint à faire couler quelques gouttes de liquide séminal de sa verge désespérément molle et à avoir une contraction, un miracle vient de se produire pour lui grâce à cette femme qu'il vient d'offrir comme une pute et qui vient de s'offrir sans limite aux plaisirs des amours multiples.

Après avoir éjaculé sur elle et dans sa bouche des plus accueillante, les détenus s'étendent sur leur couchette, l'un d'eux la garde dans ses bras comme pour profiter encore d'une moment de tendresse dans cet univers carcéral, si dur en temps de guerre car on ne sait pas si l'on sera encore de ce monde demain. Lucette revient doucement sur le plancher des vaches, la deuxième partie de sa mission lui revient à l'esprit, elle essaye de discuter avec eux mais leur méfiance est telle qu'ils ne lui disent pas grand chose.

Le directeur décide que cela suffit, ouvre la porte et lui demande de se vêtir puis de sortir. Le retour sur terre est des plus dur pour Lucette soudain très honteuse. Elle ne tarde point à le rejoindre dans le couloir, la porte se referme sur les détenus dont l'avenir est des plus incertain. Pendant le retour au bureau, elle marche en regardant le sol, telle une condamnée à mort.

- Je suis content de vous, vous avez été excellente, qu'êtes vous parvenue à glaner comme informations ?

Sans oser le regarder dans les yeux, elle lui répète les quelques informations glanées et, comme elles ne sont pas satisfaisante à ses yeux, il décide de lui accorder un "sursit" en clair, il garde la possibilité de jouer encore avec cette femme si désirable qu'il ne peut sauter lui même. La vie de Lucette s'annonce bien difficile car si elle est parvenue à vivre quelque chose de fabuleux malgré toute l'horreur de la situation, devant elle s’ouvre une existence bien difficile dans laquelle son corps est devenu une valeur négociable.

Ecrivaillon


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Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 08:40

Ville de Plaisir rencontre BDSM (Récit un brin hard)


Par Ecrivaillon



Ville_de_plaisir_rencontre_BDSM.jpg



Situé au coeur des Yvelines, la Ville de Plaisir compte près de 32 000 habitants dont Carine, une femme adepte du BDSM, une femme soumise du réseau Fessestivites en recherche d'un Maître.
Si l'homme est un animal choisi pour son pelage, Carine ferait bien de prendre le temps de méditer avant de se lancer dans des aventures.


Prête à tout pour réussir, y compris à satisfaire les patrons dans leurs moindres désirs. Elle postule chez Monsieur Henri, est un véritable sadique adapte du BDSM qui n'hésite pas à pousser ses victimes féminines dans leurs plus intimes retranchements.


Encore en période d'essai dans l'entreprise, elle commet une bêtise assez importante et onéreuse en termes de conséquences. Immédiatement convoquée à la direction, elle se confond en excuses puis ajoute au cas où, "je sais que cela mériterait une sérieuse fessée". L'avalanche de mots incendiaires du patron cesse aussitôt.


- Pouvez-vous répéter ce que vous venez de dire mademoiselle ?


- Oui Monsieur, je sais que cela mériterait une sérieuse fessée et je suis profondément désolée par ma bêtise qui coûtera de l'argent à l'entreprise. Répond Carine les yeux baissés.


Le petit canon assis en face de lui dans un fauteuil volontairement placé à distance du bureau, lui permet d'avoir une vue imprenable sur ses cuisses délicieusement fuselées. Pour un Maître sadique, une telle perche ne se loupe pas ! Qu'il la vire ou pas, il aura toujours trois mille euros de frais, autant creuser un peu pour voir ce que cache cette magnifique poupée dans son paquetage.


- Revenez ce soir après 18 heures je vais méditer sur votre histoire qui, je ne vous le cache pas, est mal engagée.


"Alors virée" demande la secrétaire habituée aux colères de son employeur. Carine répond par la négative en précisant qu'elle en a bien peur. La suite de la journée se déroule sans encombre, elle fait son possible pour être une vendeuse exemplaire en tous points.


A dix-huit heure précise, les jambes en coton, elle reprend les escaliers conduisant aux bureaux. La secrétaire étant partie, elle frappe timidement à la porte, avant de l'ouvrir suite à un aboiement significatif signifiant "entrer".


Cette fois, il ne l'invite pas à s'asseoir et se décide à lever son gros popotin pour tourner autour de sa proie dans un but fort simple : en apprécier les courbes et le savant parfum de ce chef d'oeuvre de la nature. Pendant un long moment il arpente le bureau en recommençant sa grande messe d'employeur furieux avant d'en venir aux faits.


- Ce matin, vous m'avez indiqué par deux fois que cela mériterait une fessée. Est-ce que je me trompe ?


- Non monsieur.


- Je crois que je vais vous la donner cette fessée méritée mais soyons bien d'accord, je ne vous oblige en rien et j'ai un motif à 3000 euros pour vous licencier. Nous n'allons pas tergiverser deux heures, si vous êtes toujours dans les dispositions de vous faire pardonner, retirer votre string et posez-le sur le bureau.


Carine se doutait bien qu'elle allait vivre un truc comme ça, n'étant pas à une fessée près, elle n'avait pas tendu la perche pour rien. Mentalement, elle se plaça dans l'état d'esprit de son ex vie de soumise, exécuter un tel ordre lui donna même un coup agréable dans l'échine, échine qui n'allait pas tarder à être rudoyée. Après six mois d'abstinence fessière, cette fessée était presque la bienvenue. Prestement tirée par le bras, elle n'offrit aucune résistance lorsqu'il la fit s'installer sur ses genoux.


Le corps de Carine n'est pas celui d'une biche, aux courbes pleines et sensuelles, mais plutôt celui d'une gazelle, souple et nerveuse, avec de jolies jambes aux mollets discrets, au fuseau de la cuisse légèrement accentué. Partout, sa chair est d'une grande fermeté, sa peau tendue sur ce que l'on sent être des muscles. Son ventre est plat, ses hanches à peine rondes mettent en valeur ses sublimes fesses, petites et pommées.


Lorsqu'il souleva sa jupe courte, Henri eut un coup au coeur ! Il avait sous les mains le plus beau cul qu'il n'ait jamais martyrisé. Il ne s'en priva pas, mais, par peur de blesser cette beauté, il commença doucement avant de revenir à son naturel : faire crier les filles. Au bout d'un certain nombre de claques retentissantes sur les fesses, l'épiderme rougit et sa propriétaire s'agite. Là non ! Certes il était rouge vif mais la garce encaissait sans bouger. Il y mit toute son ardeur au point de ruisseler de transpiration mais en vain.


Il lui fallait cette fille qui ne pouvait qu'être une maso pour se laisser fesser par son patron et qui plus est, ne pas réagir à sa punition. Il en fut convaincu quelques secondes plus tard quand il lui demanda de se relever.


- Merci monsieur ! Dit Carine les yeux baissés avant de prendre un mouchoir dans la boite posée sur le bureau pour essuyer le visage de son patron très étonné par ce geste ! ! !


- Votre cul d'une grande beauté est pire que le supplice de tantale pour les yeux. Vous mouillez généreusement, j'ai donc dans l'idée que vous êtes habituée à prendre des fessées, répondez !


- Oui monsieur.


- Mais encore ?


- J'étais soumise fut un temps monsieur et fière de l'être mais mon Maître s'est envolé vers d'autres horizons. Répondit spontanément Carine sans même réfléchir à qui elle disait cela, après cette fessée dès plus humiliante pour une salariée, elle avait effectivement quasiment jouit.


- Penchez-vous en avant sur mon bureau, nous n'en avons pas terminé !


Henri n'en croyait pas ses yeux, une soumise aussi belle et libre ! Autant en profiter de suite, elle ne pouvait le rester.


- Je veux tester votre soumission avant de prendre ma décision de vous garder à mon service, en clair je vais vous baiser. Lui indiqua Henri en attrapant un préservatifs dans un des meubles de son bureau sans trop la quitter des yeux.


La belle restait sans réaction ! ! !


Deux minutes plus tard, profondément logé en elle comme s'il fallait faire mal pour avoir du plaisir, il laminait son ventre de jouvencelle en appréciant les petits gémissements plaintifs qu'il parvenait enfin à lui arracher. Pour Carine, ce fut une nouveauté, son enfoiré de patron parvenait à la faire grimper, elle s'offrit même plus encore en se mettant sur la pointe des pieds à ce pieux la taraudant comme jamais. Est-ce les circonstances, les six mois d'abstinence qui généraient en elle un tel plaisir nous ne le saurons pas mais Carine s'envoyait bel et bien en l'air en s'approchant à grands pas de la stratosphère aussi paradoxalement que cela puisse paraître.


En grand gourmand de sexe et de BDSM, il ne put résister à un appel circulaire.


- Ton étroit fourreau culier est beau quand il se crispe !... Comme ta petite fleur brune vibre et palpite, tends bien ton derrière je veux aussi le prendre pour te faire chanter de bonheur ma belle ! Lui indique Henri en se retirant de la minette éplorée.


Du bout des doigts, il mouille le délicat petit émonctoire avant d'y poser son gland turgescent. A force de batailles et de pressions psychologiques anales, un relâchement sphinctérien se fait lui permettant de s'engouffrer dans les voies initialement impénétrables d'après certains. Pour la première fois, Carine parle, demande d'aller moins fort, chose qu'il accepte un temps limité avant de reprendre la dernière ligne droite d'une chevauchée digne d'un champ de course.


Bizarrement, la sensation de douleur se transforme progressivement en plaisir, soumise dans l'âme en perdition, Carine ressent une grande excitation à offrir à son boss ce qu'elle a de plus intime. Le rapace ne tarde point à apprécier la souplesse de ce délictueux fondement devenu accueillant, mais hélas, cela ne dura pas. Un beuglement s'échappa de sa bouche grande ouverte en résonnant dans les bureaux par chance pour lui, vides.


La chose faite, il la pria de s'asseoir, ouvrit un de ses placards contenant un frigidaire dont il sortit une bouteille de champagne pour fêter son CDI.


................................................


En son petit appartement de la rue de la République, Carine méditait après cette surprenante aventure car elle l'avait très bien vécue malgré toute l'horreur de la situation. En clair elle venait de se faire fesser et de tirer un coup, chose qu'Henri ne pouvait savoir.


UN EPILOGUE SURPRENNANT


Elle refusa ensuite de poursuivre cette relation. Henri, gardant l'espoir de la conquérir et pour éviter les ennuies....., n'insista pas hormis une promotion lui permettant d'avoir un second rendez-vous privé inutile pour sa tentative de séduction.


Un mois plus tard surprise surprise !!!!!!!!!!!!!


Carine arriva de bonne heure dans l'entreprise, prit les escaliers des bureaux avec la ferme intention de s'amuser et de venger les femmes qu'il avait dû martyriser avant elle. Lorsqu'elle se dirigea vers le bureau du patron, la secrétaire l'interpella en lui demandant où elle allait, le big boss n'étant pas encore arrivé.


- Il en est totalement informé, je dois l'attendre dans son bureau, ne vous inquiétez pas ! Répondit Carine particulièrement joyeuse.


Elle pénétra dans le bureau, se fit un café avant de s'installer confortablement derrière le bureau d'Henri pour le siroter tranquillement. Comme l'on peut s'en douter, lorsque le patron découvrit la chose, les murs tremblèrent sous ses cris.


Carine le regarda calmement avec son sourire aux dents blanches, ses yeux clairs et rieurs pétillants d'intelligence avant de lui conseiller fortement de s'asseoir pour lui remettre un document.


Ayant peur qu'elle ait porté plainte pour harcèlement sexuel, il parvint à grand peine à se calmer mais refusa de s'asseoir en face de son bureau pour lire le dit document qu'elle lui tendait. Et là, la surprise fut telle qu'il prit place dans le fauteuil indiqué, comme Carine un mois plus tôt.


- Cher monsieur, comme vous le constatez, grâce à un héritage substantiel, j'ai racheté 70 % des parts sociales de votre entreprise. Les 21 % que vous aviez accordés à votre ami Antoine Le Persan, afin de conserver la majorité de blocage, sont passés dans mon portefeuille boursier, il va prochainement prendre sa retraite. En clair je suis votre patronne.


Rouge comme une écrivisse Henri s'étouffait de rage. Il attrapa une poignet de mouchoirs pour s'éponger le front en essayant tant bien que mal de faire passer sa salive dans un conduit de peur devenu très étroit.


- Un Président directeur général cela se vire facilement, c'est une question de stratégie ou d'argent, mais n'étant pas une aussi bonne gestionnaire que vous, mon banquier a étudié votre bilan de l'année dernière, je vais vous garder dans l'entreprise. Sachez que je peux appuyer sur le bouton "licenciement" quand je veux si besoin était. Rassurez-vous, mon but n'est pas de vous nuire, juste de vous apprendre le respect des femmes, soumises ou non.


- Que voulez-vous réellement ? Parvint difficilement à dire le PDG.


- Je veux deux choses simples à faire, enfin au moins une. La première est un poste aux côtés de votre DRH, bien rémunéré cela va de soit, cela me permettra de contrôler vos agissements. J'y viendrai de temps en temps. Ensuite je veux quelque chose que vous allez avoir plus de mal à admettre.


- Je vous écoute !


- Je veux que vous me léchiez le cul ! Au sens propre évidement.


Henri crut avoir une attaque ! Carine se leva, fit le tour du bureau, souleva sa jupe offrant au regard du PDG son adorable petit postérieur protégé par aucun rempart de dentelles ni même un string.


- Jamais ! Aboya Henri


- A zéro vous êtes viré. 5 / 4 / 3 / 2


Carine n'eut pas besoin de prononcer les autres chiffres.


Ecrivaillon


Note de l'auteur : Je me suis un peu amusé avec cette histoire totalement fictive et un peu tirée par les cheveux j'en convient, mais je trouvais que la ville Plaisir" était en totale adéquation avec mon envie de punir, au moins par une histoire, les employeurs et "chef" usant de ces pratiques.


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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Lundi 30 juin 1 30 /06 /Juin 18:15

SM ultra hard à la grecque


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Laurie avait connu le BDSM avec un ami rencontré sur Fessestivites. A cause de ses sentiments affectifs très forts, il ne parvenait pas à la dominer réellement. C'est d'ailleurs souvent le cas dans des couples adeptes du BDSM. Oh ce n'est pas qu'il n'était pas attentionné et un brin pervers, non, c'est juste qu'il ne voulait pas lui faire mal ou aller trop loin dans l'humiliation. Leur vie de couple devenant « vanille » elle commença à s'ennuyer, faire des fellations sur commande ne l'amusait plus, il lui fallait quelque chose de plus fort, de plus hard que Gérard ne pouvait lui donner. Elle l'avait quitté trois mois auparavant.


Ce que Laurie voulait c'était vivre des séances comme sur les vidéos avec du fouet, du pony-girl, de vraies fessées, pas de petites claques sur les fesses avant de faire l'amour. Non ce qu'elle voulait c'était du hard, jamais Gérard ne lui avait donné ce qu'elle désirait vivre. Elle avait donc refait son annonce pour trouver Le Maître capable de l'amener vers des sommets jamais atteints. Sauf que des Maîtres il y en avait des tonnes, mais les bons étaient tous pris ou trop loin de chez elle. Et puis il y avait ceux qui se disaient Maître mais qui en fin de compte n'avaient qu'une envie : la sauter.


Elle sympathisa sur Fessestivites avec un couple adorable, ils correspondaient par email ou en chat privé. Un jour, ils partagèrent avec elle une soirée en cam privée sur le chat. Ce qu'elle vit la mit tellement en émoi que ses mains se dirigèrent naturellement vers son entrejambe. Il y avait depuis une tache sur le fauteuil de son bureau, c'est dire.....


Ce couple lui proposa de les rejoindre en Grèce où ils passaient leurs vacances chaque année dans une propriété de rêve comportant sur son terrain les ruines d'un ancien temple et une plage privée. Laurie accepta avec plaisir puis cassa sa tirelire pour s'offrir ce voyage au pays des merveilles coquines.


Lors de son arrivée, la jalousie de Lise était palpable. L'atmosphère était pesante et malgré ses efforts pour rester distante de Paul, le mari pour qu'il n'y ait pas de tension à cause d'elle, rien n'y fit.


Le soir même, Paul entrava Lise bras et jambes en croix sur la plage avec des pieux plantés dans le sable pour lui donner le fouet en l'obligeant à lécher sa minette. Assise sur une serviette elle lui offrit son intimité à lécher comme le souhaitait Paul. Aux premières loges pour cette séance de fouet et avec une langue aussi habile que celle de Lise, elle s'envola au paradis des plaisirs. La belle soumise fouettée atteignit le subespace et fut laminée par des jouissances paroxystiques très émouvantes pour les yeux de Laurie.


Le lendemain, ils discutèrent de cette séance, c'est lors de cette discussion que Laurie appris ce qu'est le subespace. Elle avait bien entendu parler de cette histoire de plaisir si intense dans la douleur que les personnes ne désirent pas que cela s'arrête. Elle n'y croyait pas trop mais là, elle venait de voir que ce n'était pas une histoire, c'était bien réel. De fait, elle leur demanda s'ils lui feraient découvrir le fouet et le subespace. A cause de la jalousie de Lise, l'ambiance devint rapidement tendue. Paul trouva la solution pour concilier les femmes : c'est Lise qui fouetterait Laurie demain dans les ruines, lui ne ferait que la vidéo de cette découverte.


....................................


Lise étant rassurée, les tensions s'apaisèrent, elles déjeunèrent toutes les deux tranquillement sur la terrasse en regardant la mer des sensations éprouvées par Lise la veille.


- Tu sais, j'ai confiance en vous, j'aimerais vraiment vivre une réelle séance de fouet et que tu me pousses jusqu'aux jouissances extrême que tu as vécues hier soir.


- De toi à moi, c'est quand même assez hard et pour arriver à jouir sous le fouet il faut quand même forcer un peu. Tu risques d'avoir de sacrées marques sur le corps pendant quelques jours. Lui répond Lise.


- Je m'en moque des marques, elles partiront et puis qui les verra ? Tu sais j'aimerai vraiment le vivre au moins une fois et si je crie stop, ne t'arrête pas, fait-moi vivre ça au moins une fois dans ma vie.


- Sache que je vais te faire mal pour de vrai surtout au début, tu ne m'en voudras pas ?


- Je t'en donne ma parole et je te l'écris si tu veux. Comment puis-je t'en vouloir si tu me donnes ce que je désire ?


- Ok comme tu voudras mais tu le répèteras à Paul quand il se lèvera car je ne voudrais pas qu'il pense que je me venge, l'addition serait trop lourde car ses punitions sont terribles.


DEUX HEURES PLUS TARD DANS LES RUINES


Laurie confirma une seconde fois à ses amis qu'elle désirait vraiment aller jusqu'au bout pendant qu'ils l'attachait debout bras et jambes écartées entre deux colonnes de pierre. Elle insista même en disant que même si elle les suppliait, ils devraient aller jusqu'au bout. En leur tenant ce discours, Laurie lutta aussi contre sa peur, elle en avait envie mais une inquiétude sourde montait petit à petit en elle.


Lorsqu'elle fut totalement entravée, pendant qu'ils installaient le caméscope sur pied, elle se traitait de folle, elle était autant inquiète qu'excitée. Lise s'approcha d'elle avec un long fouet noir à la main. Elle lui caressa le visage d'une main douce avant de l'embrasser tendrement sur la bouche.


Lise prit le recul nécessaire, lui adressa un baiser du bout des lèvres puis envoya le fouet qui s'enroula autour de la taille de Laurie avant de finir sa course sur ses fesses. Laurie bondit de douleur. « Oh putain » pensa t-elle en constatant que cela n'a aucun rapport avec les jouets BDSM de son ex. Elle se tordit de douleur sous le fouet qui s'enroulait régulièrement autour de son corps. Si quand il passait sur ses seins cela n'est pas réellement douloureux, la fin de sa course dans son dos ou sur ses fesses, c'était vraiment hard. Elle criait et se débattait mais ne demandait pas grâce, elle voulait vraiment vivre la séance jusqu'au bout. Cela en devint un défi pour elle que de connaître cette jouissance quel qu'en soit le prix à payer. Par trois fois, le fouet fini sa course sur les cuisses, et si cela était très douloureux sur le corps, la douleur sur cette zone extrêmement sensible lui paraissait insurmontable.


Paradoxalement, lorsque Lise fit une pause, elle regretta presque que cela soit terminé.


Mais ce n'était pas vraiment une pause. En fait, il vinrent la tourner pour qu'elle vive la suite qui comme l'indiqua Lise « va devenir intéressante ». Elle l'embrassa à nouveau sur la bouche et lui murmura à l'oreille : « Accroche-toi ma belle, c'est maintenant que tout va se jouer ».


Entravée bras et jambe en croix, face à la mer et à Lise, Laurie se traita mentalement de folle. Le premier coup enroulé finit sa course sur son sein gauche. Sous la douleur saisissante, elle se vrilla dans ses entraves avant de pousser un hurlement de bête que l'on égorge. Sans lui laisser le temps de se remettre, Lise continua de la fouetter sans relâche en laissant maintenant des stries rouges sur sa poitrine et son ventre plat. Au bout d'un moment, elle eut l'impression de perdre la tête, elle souffrait oui, mais cela devenait bon. Sous les coups suivants, elle se mit à convulser, son corps agité de tremblements insurmontables. Son sexe se mit à couler mais elle ne put ni le voir ni le sentir, elle était à présent dans une autre dimension.


Paul s'approcha et fit signe à Lise de lever le pied, Laurie était partie, ce n'était plus la peine d'appuyer les coups. Quand elle commença à s'effondrer, à ne tenir debout que par ses entraves, Paul intervint pour la soutenir en ordonnant à Lise de la délivrer. Il la prit sur son épaule pour aller l'étendre sur une serviette de plage ou il l'allongea avec douceur.


Tout en reprenant son souffle, elle les remercia, puis se mit à pleureur. Ses nerfs lâchaient, son corps encore agité de tremblements. Quelques minutes plus tard, Lise se glissa entre ses cuisses pour venir titiller de sa langue la perle clitoridienne cachée au cœur de son écrin. Lise poussa presque aussitôt un hurlement et serra les cuisses en repartant une nouvelle fois au paradis des plaisirs. Cela devint trop fort, trop puissant, elle repoussa son amie en criant « Stop, stop, je n'en peux plus, s'il te plaittttttttttttttttttttt ! »


EPILOGUE


Une heure plus tard, quand elle fit l'état des lieux dans la salle de bain, elle se traita de givrée, de malade mentale en voyant les marques sur son corps. Laurie ne regretta rien bien au contraire........


Ecrivaillon


 La vidéo est ici


 http://www.fessestivites.com/f/videos/210286-SM-ultra-HARD-a-la-grecque


Les photos sont ici


 http://www.fessestivites.com/f/articles/6283-SM-ultra-HARD-a-la-grecque


Accéder au forum BDSM


http://forums.fessestivites.com/bdsm-et-ses-declinaisons/


Où acheter un vrai fouet


 http://www.abcplaisir.com/fr_FR/Fouet-whip/Fouet-whip


Faire des rencontres BDSM


http://www.fessestivites.com/fr_FR/Rencontres

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : plaisirs SM
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Jeudi 26 juin 4 26 /06 /Juin 12:43

Une femme flic fessée sur un parking


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Karine s’est levée du mauvais pied ce matin sans même savoir pourquoi, ce n’est absolument pas sa façon d’être, elle est si joyeuse en temps normal. A peine arrivée au commissariat, elle comprend que la situation n'est pas prête de s'arranger : son équipier déprime, il vient de se faire jeter par son épouse, vingt ans de vie commune s’envolent. Elle essaye tant bien que mal de lui remonter le moral quand ils sont appelés en intervention pour une voiture garée sur un emplacement de livraison, le chauffeur furax menace de détruire la voiture s’ils ne viennent pas.

Ils partent donc tous les deux dans une voiture de police, gyrophare allumé pour aller plus vite, lorsque le portable de son coéquipier sonne. C’est son épouse, la crise de couple continue mais laisse apparaître que les choses peuvent s‘arranger entre eux.

- Ca te dérange d’y aller toute seule et de me couvrir pendant que je vais essayer de sauver mon couple ? Demande son coéquipier en lui assurant que cette intervention est banale et qu’en plus, quand ils arriveront, le chauffeur-livreur ou la voiture ou même les deux seront déjà partis.

- Si quelqu'un l'apprend, on est mort, mais tu me revaudras ça, n'est-ce pas? Lui rétorque-t-elle en feignant la mauvaise humeur, alors qu'en réalité elle espère tout autant que lui que les choses vont s'arranger. Par contre, la seule chose que je te demande c’est de laisser ton téléphone portable ouvert pour que je puisse t’appeler et te prendre au retour.

Karine dépose son coéquipier à un arrêt de bus avant de se rendre seule à la brasserie « Les étoiles ». A son arrivée, elle constate qu’il y a bien une voiture garée sur l’emplacement de livraison mais que le camion est parti. Le conducteur en infraction arrive sur ces entrefaites et monte dans son véhicule en la poussant comme un simple objet afin de monter à bord. Karine voit rouge, elle aurait pu se limiter à faire un peu de morale au conducteur indélicat mais son attitude irrespectueuse l’horripile, pire encore, au lieu de l’écouter et de lui présenter ses papiers comme demandé, il met le moteur en route en l’envoyant « chier » au sens propre du terme. Une altercation éclate, l’homme est dès plus irrespectueux, Karine pose sa main sur son arme de service en réitérant ses injonctions de couper le moteur et de présenter ses papiers.

- Il y a longtemps que tu ne t’es pas pris une fessée toi, fais pas chier va plutôt t’occuper des voleurs ou tu vas t’en prendre une ! Aboie le conducteur menaçant avec un doigt pointé vers elle.





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Voyant qu’elle n’est pas prête à céder et libère son arme de son étui, le conducteur coupe le moteur et sort du véhicule en indiquant que ses papiers sont dans le coffre du véhicule. Lorsqu’il ouvre brusquement la portière, il la surprend en lui en donnant un coup dans les chevilles générant une douleur et un moment d’inattention. Ce moment va coûter cher à Karine ! En une fraction de seconde, il saisit son bras armé, le plaque dans son dos avant de lui arracher son arme de service qu’il pose sur le toit de son véhicule.


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- Tu vas te prendre la fessée que tu mérites emmerdeuse ! Crie le conducteur.

Pour Karine, l’inconcevable lui saute aux yeux en lui broyant l’estomac de peur quand, en un rien de temps, elle se retrouve plaquée contre le véhicule avec la tête à l’intérieur fesses offertes par-dessus la portière et les poignets bloqués dans son dos. Cet homme ne va pas lui faire ça ? Ce n’est pas possible ! ! ! Quand la première claque s’abat sur son fessier, elle croit rêver, ou plutôt, faire un cauchemar, à la suivante, elle prend conscience de la gravité de la situation et surtout de sa condition. Si elle savait à qui elle avait à faire, elle ne le l’insulterait pas, ne lui promettrait pas des représailles et de la prison. Sauf qu’elle ne sait pas qui est le conducteur. Elle se débat avec rage et s’emporte avec un choix de mots très « romantique » des plus surprenants pour une aussi jolie jeune femme. Parmi c’est « jolis mots » l’un d’eux ressemble à la description d’un « métier » ne correspondant pas à l’image que se fait le conducteur de sa maman…… (Fils de …. si vous aviez besoin d’un éclairage)

- Je vais t’apprendre la politesse petite conne ! Aboie soudain le conducteur en la sortant du véhicule pour la plaquer contre lui afin de lui bloquer les bras et d’entreprendre d’ouvrir son pantalon de service.

Karine a soudain très peur car contre la force herculéenne du conducteur, ses gestes de défense sont totalement inutiles. Quand elle sent qu’il ouvre le bouton de son pantalon et s’attaque à la braguette qu’il descend avant de la déculotter, son sang ne fait qu’un tour. Avant même qu’elle n’ait le temps de réagir, elle se retrouve dans la position initiale, la tête dans le véhicule, le ventre sur la portière et cette fois, les fesses à l’air !!!!!!!!! Elle se met aussitôt à hurler puis lui dit que s’il la viole elle le tuera.

- Tout faux petite emmerdeuse, je ne suis pas un violeur et encore moins un tueur, je vais juste te donner la fessée que tu mérites pour avoir insulté ma mère.

Et là, une grande claque s’abat sur ses fesses en terme de ponctuation. Plutôt que de baisser sa culotte, il s’en sert pour en faire un string et libère le joli joufflu de Karine de son fin rempart de tissu pour mieux le fesser. Les claques qui s’abattent sur son fessier sont régulières et fortes, sans violence, non, c’est juste une véritable fessée qu’il lui donne, un peu comme celles qu’elle a reçues étant enfant.


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Cette copieuse fessée la met au bord des larmes, tant elle est sévère, mais aussi parce qu’elle lui rappelle celle de son père intraitable quand il la fessait. Elle essaie malgré tout de résister et de donner des coups de pieds avec ses rangers, le conducteur la fait un peu plus rentrer dans le véhicule et lui bloque les jambes. La fessée est dès plus cuisante, réelle, sérieuse, méthodique et sans haine. Le conducteur cherche réellement à la punir et la fait craquer puis pleurer à chaudes larmes.

La chose faite, il l’a sort de son véhicule, la pousse sur le sol où elle s’écroule puis il récupère les balles de son arme de service qu’il jette dans le parking avant de jeter son arme par-dessus les arbres en lui indiquant : « pendant que tu iras récupérer tes jouets de grands, tu ne feras pas de connerie ».

Le conducteur monte dans son véhicule et lui jette à la figure son carnet de contraventions en lui indiquant : "Tiens petite, c’est pour que tu fasses tes devoirs ce soir". Karine se lève aussitôt et le menace avant même d’avoir remonté son pantalon. Le conducteur ressort du véhicule et lui plante un décor particulier.

- On va faire simple ma belle. Je sais qui tu es, ton nom, ton prénom et ton adresse, Si tu veux que je te redonne une fessée continue comme ça, je viendrai te la donner ce soir chez toi. J’ai dans l’idée que tu aimes ça pour continuer à m’agresser verbalement. Pour info « petite » tu mouillais pendant que je te fessais alors si tu veux que je recommence je passe ce soir chez toi. Tu peux aussi faire venir tes potes du commissariat chez moi et essayer de me faire mettre en taule sauf que je serai dehors en quelques semaines et que toi tu ne changeras pas de nom ni d’adresse.

Karine ne comprend rien à ce qu'il raconte et cela se lit sur son visage. Comment cet homme pourrait-il la connaître? Il lui disait vaguement quelque chose, l'avait-elle vu au commissariat? IL avait tout à fait le profil d'un "client". Comprenant ce qu'il se passait dans la tête de sa "victime", l'homme poursuivit.

- Tu ne me reconnais pas, n'est-ce pas? Pas très physionomiste pour une flic! Pour info j’habite au dessous de chez toi et c’est moi que tu fais « chier » avec ta musique le soir. Autre info plus amusante, avant même que tu te sois rhabillée et que tu ais récupéré les balles et ton flingue j’aurai téléchargé la vidéo surveillance du parking, c’est mon métier. Sache que la brasserie « Les étoiles » est un de mes clients et qu’avec mon iPhone je vais télécharger la vidéo originale. Tu veux que je la diffuse sur le net et que tes pots de travail la voient ?

L'horreur s'affiche alors sur le visage de Karine. En un instant, elle s'imagine les conséquences qu'une telle vidéo pourrait avoir sur sa carrière, celle de son coéquipier, et les moqueries de ses collègues si elle songeait seulement à porter plainte. Toute sa crédibilité s'envolerait.

- Vous n’oseriez pas !

- La télécharger si ! Le diffuser non sauf si ce soir tu me fais le plaisir de venir prendre un verre à la maison. Promis cela sera sans arme, sans chantage ce n’est pas mon monde et sans fessée, sauf si tu en mérites une d’ici ce soir.

EPILOGUE

Se traitant de folle, Karine se rendit au rendez-vous fixé avec une angoisse si forte qu’elle lui broyait les « tripes » quand elle a osé appuyer sur le bouton de la sonnette. Elle se demandait pourquoi elle faisait cela. Il avait raison, elle avait mouillé alors qu'il la fessait. Mais il l'avait aussi traitée avec un manque de respect flagrant. Il détenait une vidéo qui pourrait foutre en l'air sa carrière toute entière. Après tout, elle n'avait pas vraiment le choix. Henri le conducteur la reçut avec élégance, lui offrit un verre de champagne et lui remit une clé USP en lui indiquant : « C’est la vidéo de ce matin, je n’en ai aucun double et j’ai effacée celle du client. Sache que je ne suis pas un Maître chanteur, juste un fesseur qui a recadré sa voisine qui met la musique trop fort ».

Depuis cette date, ils se sont revus, il y eu bien d’autres fessées, un bébé verra le jour dans six mois mais c’est une future histoire de discipline domestique, enfin je crois.

TSM


Toutes les photos sont ICI

Rappel à la loi : user de violence sur un fonctionnaire de police est punie de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.


Faire des rencontres autour de la fessée


Forum fessée spanking


Chat webcam où l'on voit parfois des fessées en direct

Si comme moi vous aimez ce genre de délire, vous pouvez acheter des vêtements et tenues ici
http://www.7eme-compagnie.com/chaussure-rangers-magnum-elite-spider-8-noir,fr,4,1A165H.cfm
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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : La fessée
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Jeudi 12 juin 4 12 /06 /Juin 16:17

Sandrine abusée et baisée dans une caisse

 

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Auteur : Ecrivaillon

En se confiant, Sandrine va vivre la peur de sa vie.

A 30 ans, Sandrine est une sacrée coquine et si quelqu’un la traite de « salope » elle répond « et fière de l’être ». Lorsqu’elle est arrivée sur Fessestivites fin 2011, elle s’y est plu et a décidé de rester sur ce site où il y a des personnes de tout horizon et surtout un mélange des pratiques. Un brin lasse du libertinage et ne désirant toujours pas se mettre en couple, elle a commencé à explorer d’autres voies comme la fessée et le BDSM.

Elle ne cache pas son attirance pour les rapports sexuels sous la contrainte en postant des commentaires sur les vidéos de viol, de pseudo maltraitance de filles. Les gangs bangs BDSM organisés par Organisations84 l’attirent, elle aimerait beaucoup être dominée par Maître TSM avant d’être baisée entravée sans possibilité de fuite mais n’ose pas se jugeant encore trop « jeune » dans le BDSM.

Sur le chat, elle s’est trouvé des affinités avec MaitreC le C signifiant « cool » d’après lui. Il indique même aimer initier les filles et les conduire dans la réalisation de leurs fantasmes. En vérité le C de son pseudo signifie aussi « cul » ou « cruauté » car pour lui le BDSM signifie sexe et abus mais ça, Sandrine va le découvrir bien trop tard. Lors des échanges privés par la messagerie et par téléphone ils conviennent d’un scénario où elle sera enlevée, bousculée mais pas trop puis abusée sexuellement comme dans les vidéos qui l’excitent.

Le jour J elle se présente à l’adresse indiquée vêtue d’une simple robe d’été à petit prix avec rien dessous. Dans leur scénario il est prévu qu’il lui arrache ses vêtements, elle a donc prévu de quoi se vêtir après le week-end de stage qu’il a programmé pour elle. Devant la porte d’une menuiserie assez rustique, elle se traite de folle, de tarée et n’ose pas entrer. Soudain son téléphone portable sonne et la fait bondir, tant elle est tendue.

- Bonjour Sandrine, je vois par la fenêtre de mon bureau que tu es arrivée. Entre car après je fermerai le portail afin que nous ne soyons pas ennuyés, car il faut être prudents, la zone industrielle est déserte le week-end.

Le fait qu’il lui parle de prudence la rassure, elle enclenche la vitesse, débraille trop vite tant ses jambes tremblent et fait crier les pneus sur le goudron. Bientôt ce sera elle qui criera mais elle ne se doute pas à quel point. Elle descend de sa voiture puis pénètre dans le hangar par la porte entrouverte comme prévu. Même si les choses qu’elle va vivre sont organisées, Sandrine prend peur quand MaitreC lui saute dessus pour lui passer un gros sac de jute par-dessus la tête. Aveuglée et affolée elle commence à crier, à dire stop mais il est trop tard puisqu’ils avaient convenu qu’il ne devrait pas écouter ses suppliques.

Le sac de jute lui bloquant les bras, il est facile pour MaitreC de lui lier les poignets dans le dos avant d’entreprendre une « étude de la marchandise » comme il se plait à le dire. Ses grosses mains massent sans vergogne sa poitrine avant de s’aventurer sous la robe pour fouiller entre ses cuisses qu’elle serre de toutes ses forces en suppliant. Prestement retournée, presque soulevée elle se retrouve fesses à l’air sur la hanche de son bourreau. Sa main en forme de battoir s’abat fortement sur ses délicieuses rondeurs fessières pour une « fessée de bienvenue ». Sandrine se débat mais en vain, hormis s’épuiser elle ne peut que subir une copieuse fessée.

- Puisque tu veux jouer les effarouchées, on va donc employer les grands moyens pour te faire plier salope !

Prestement portée dans le hangar comme un sac de pomme de terre que l’on jette sur l’épaule elle est conduite devant une caisse en bois dont il manque le dessus et l’arrière. Ce qu’elle ne peut voir en s’y logeant sans résistance c’est qu’il y a un trou pour y passer son cou. MaitreC plaque aussitôt un tasseau derrière sa nuque, prend sa visseuse et le visse en quelques secondes. Avec ses mains de menuisier, déchirer la robe et la lui retirer est un détail, Sandrine est maintenant nue dans une caisse avec un sac de jute en guise de cagoule.

MaitreC prend le dessus de la caisse qu’il visse en deux temps trois mouvements avec sa visseuse professionnelle. Le bruit de la visseuse affole Sandrine qui crie qu’elle ne veut plus, qu’elle veut partir. Une fois qu’elle est bien enfermée agenouillée dans la caisse avec la tête et les fesses dehors, il attrape son palan qu’il fixe à cette sorte de cage et la fait monter d’un mètre au dessus du sol. La caisse se balance un moment avec une proie traumatisée et tremblante.

Avec douceur il lui retire le sac servant de cagoule, la lumière violente force Sandrine un fermer les yeux un instant avant de les rouvrir pour découvrir le théâtre de l’enfer dans lequel elle s’est jetée toute seule.

- Cela fait plusieurs fois que tu me dis que tu ne veux plus et que tu veux partir mais je te rappelle que nous avons conclu un accord. Quand tu m’as indiqué que tu voulais vivre cette expérience de gré ou de force, je t’ai mise en garde en te disant de réfléchir car une fois la chose promise lancée, je ne reviens jamais sur les engagements. En te demandant de me le confirmer par email, je t’ai laissé le temps de la réflexion. Tu m’as écrit je te cite : « je veux vivre ce stage BDSM avec du sexe forcé, même si je crie ou ne veux plus forcez-moi, c’est mon fantasme ». Tu peux donc supplier, crier, hurler si tu veux, je ne reviendrai donc pas en arrière. Tu vas déguster crois-moi. Lui indique MaitreC avec une voix calme et posée mais froide. J’ai invité du monde, tu seras ma pute ce week-end, une pute qui va se faire troncher de force. Tu pourrais me sourire quand je te dis des choses comme ça, cela doit te plaire non ?

Comment sourire quand on comprend que l’on est piégée et que l’on va faire la pute ? Comment sourire quand on a peur de mourir ?

 

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Pour l’obliger à sourire, MaitreC attrape des crochets de lèvres et un crochet de nez qu’il a acheté sur ABCplaisir. Une fois la sangle passée derrière sa tête, il pose les crochets à la commissure des lèvres puis les règles sans douceur. Le sourire qu’elle affiche n’est pas son plus beau, bien au contraire, c’est le sourire forcé physiquement d’une fille en larme. Le crochet de nez placé dans ses narines lui tire la tête en arrière et lui déforme le visage. Soudain Sandrine disjoncte et marmonne comme elle le peut un flot d’insultes qui ne plaisent pas à MaitreC, mais alors pas du tout. Pour la punir, il lui place des pinces lestées sur la langue avant de la laisser seule un instant.

Sandrine mesure maintenant l’étendue de sa déchéance, du piège dans lequel elle s’est jetée. Outre la douleur de ces pinces sur sa langue, elle bave lamentablement, son maquillage dessine des rus prenant leur source sous ses magnifiques yeux bleus pour passer en de multiples points sur ses joues étirées. Dans son champ de vision apparaît soudain un black nu comme un vers avec un gourdin de chair à la main. Il se place derrière la caisse, frotte son gourdin de chair contre ses fesses, traumatisant bien plus encore Sandrine convaincue qu’il va la déchirer s’il l’a sodomise. Le black prend la commande du palan pour la faire monter un peu, pour que sa chatte soit à la bonne hauteur. Il enfile un des préservatifs posés sur un établi avant de se poser à l’entrée de la vallée des plaisirs qui lui est offerte. Le gros gland fouille un instant entre ses lèvres intimes à la recherche de la faille dans laquelle il s’engouffre sans pitié mais sans brutalité. Après quelques mouvements doux, il entreprend un martèlement sauvage qui arrache des cris de douleur à Sandrine, lors de ce coït viril, les pinces posées sur la langue se balancent et lui font un mal de chien. Elle crie « ince, ince, ince » sans discontinuer pour lui faire comprendre le problème en espérant qu’il les lui retire.

MaitreC et le black ne sont pas des bourreaux, ils ne font que réaliser son fantasme de viol mais à ce moment là, Sandrine est convaincue du contraire. Quand il comprend le problème, le black se retire puis vient retirer les pinces de sa langue avec une extrême douceur.

- Toi tu as du mal parler à MaitreC, je te les retire mais évite ce genre de chose car s’il est gentil, il peut très vite te faire regretter d’être née si tu lui parles mal.

Le black n’attend aucune réponse et vient prendre son plaisir dans sa chatte qu’il qualifie de très accueillante. Le gourdin de chair s’active au bout de quelques minutes dans la grotte commençant à s’épanouir malgré les peurs de Sandrine, elle est ainsi, plus c’est rude plus elle aime et là elle est servie car elle se met à jouir presque sans discontinuer pendant qu’il la laboure. Lorsqu’il vient en elle, ils sont tous les deux à bout de souffle, il la remercie puis lui donne une claque amicale sur la fesse avant de quitter les lieux.

Combien de mecs vont venir se demande Sandrine un peu inquiète, est-ce qu’il respecteront le fait que je ne veux pas être sodomisée ? Les minutes s’égrainent lentement quand on se pose ce genre de questions en étant enfermée dans une caisse avec les orifices offerts. Soudain MaitreC apparaît, il est nu, son sexe turgescent est déjà recouvert d’un préservatif, il vient prendre sa part de plaisir. De la même façon que le black, il la prend doucement avant de se lancer dans une chevauchée fantastique pour une chatte aussi gloutonne que gourmande. A cet instant précis, ce n’est pas d’être piégée dans une caisse qui ennuie Sandrine, c’est qu’elle bouge au fur et à mesure qu’il la baise. A la recherche de son plaisir physique, il accélère et ralenti en fonction de la montée de sève. Sandrine s’envole chaque fois qu’il accélère et la burine à toute vitesse, jusqu’au moment où, ni tenant plus, il s’abandonne à la jouissance qui est d’ailleurs simultanée à une des énièmes jouissances de Sandrine.

La chose faite, il se retire et la laisse là, suspendue dans une caisse avec une foule de questions. Quand elle le voit apparaître vingt minutes plus tard, il a dans les mains une bouteille d’eau et un gant de toilette. Avec beaucoup de douceur il lui retire les crochets étirant ses lèvres et son nez avant de lui passer le gant tiède sur le visage. Il lui fait boire un peu d’eau en lui indiquant qu’il a un autre projet pour elle. Epuisée Sandrine demande si elle peut faire une pause, la réponse est négative, une fille violée et abusée ne demande pas de pause.

En guise de tourments il veut la rendre folle, folle de plaisir. MaitreC installe une perche derrière la caisse, y fixe un vibromasseur Magic wand qui plaque contre l’intimité féminine déjà bien chahutée. Au moment où il le branche, Sandrine pousse des cris de peur dont il n’a que faire, dans quelques minutes ce sera des cris de plaisir. Sous les vibrations aussi magiques qu’intenses, le plaisir ne tarde pas à pointer son nez, le coté sadique de la chose est qu’elle ne puisse se soustraire de l’engin quelques secondes quand elle jouit. Derrière son écran d’ordinateur MaitreC s’éclate à la regarder et à l’écouter grâce à sa caméra de surveillance. Une demi-heure plus tard, il estime qu’il est temps d’arrêter pour éviter l’accident cardiaque.

EPILOGUE

Décrochée, portée jusqu’à un bain chaud, Sandrine ressemble à une véritable loque tant elle est épuisée. Il ne la quitte pas des yeux, on ne sait jamais elle pourrait s’évanouir. Il la rassure sur les tremblements qui surviennent parfois de façon inopinée, c’est ce qu’il appelle le retour sur terre, cela va passer. Mise en peignoir et à nouveau portée jusqu’à son logis, il l’étend maintenant dans son canapé et lui propose une coupe de champagne pour fêter son premier viol. Comme le lecteur s’en doute, Sandrine n’a pas porté plainte, elle s’est juste lovée contre lui pour ronronner avant de fermer les yeux et de sombrer dans les bras de Morphée.

Ecrivaillon

 

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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Le sexe sans tabous
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