Histoires Hard (violence et/ou viol)

Dimanche 20 avril 7 20 /04 /Avr 09:49

Menottes acier promotion

Chez ABCplaisir.com

Menottes-acier-promotion.jpg

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mercredi 26 février 3 26 /02 /Fév 17:26

HARD à ne pas mettre entre toutes les mains

Ecrivaillon et TSM repostent les textes HARD détruits / interdits par yahoo qui a supprimé les groupes « Mots » et les groupes « contes cruels » avec une littérature à ne pas mettre entre toutes les mains.

Au menu : hard / viol / abuse / inquisition / guerre

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Textes_hard_abuse_viol_inquisition.1.jpg

 

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Dimanche 9 février 7 09 /02 /Fév 10:49

Mon copain me viole



Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Mon copain me viole et j’aime ça, j’aime qu’on me bouscule et ne plus pouvoir m’échapper, être obligée d’y passer, de subir toutes ses lubies, lubies que j’inspire pour le pousser à être toujours plus pervers.


Mon_copain_me_viole.jpg

Ne pensez pas que ce n’est qu’une histoire de câlins virils, non, je me défends, lui donne des gifles et des coups de pieds, lui n’a droit qu’à l’usage de sa force herculéenne car il pourrait m’assommer d’une simple gifle. Je mesure un mètre soixante et pèse 55 kilos lui est déménageur et sportif, un mètre quatre-vingt quinze et baraqué comme une armoire, pour dire, en chemise je lui prends du 3XL ! La lutte ne peut qu’être inégale mais c’est ce que j’aime.

Hier matin, je lui ai adressé des textos pour l’allumer pendant son travail, chose qu’il n’apprécie pas vraiment, ne me dites pas que je suis une garce, je le sais déjà par contre, hier soir j’ai eu la peur de ma vie. Vers 18 heures, deux mecs cagoulés sont entrés dans mon appartement et se sont jetés sur moi. J’ai eu très peur quand l’un des deux a sorti son couteau pour m’obliger à me taire. Son acolyte m’a mis un gros sac de jute sur la tête avant de l’attacher autour de mon cou pendant que l’autre attachait mes mains dans mon dos puis mes chevilles. Quand ils m’ont soulevée pour me jeter sur le canapé, je n’osai pas me défendre car je ne voulais pas mourir. Cette peur là, est horrible à vivre et difficilement descriptible.

Si je ne voyais rien, je pouvais entendre mais entendre quoi ? Ils ne parlaient pas, déplaçaient des choses dans l’appartement, en fait, ils étaient en train de cabrioler la maison. Si j’espérais que Paul arrive pour leur casser la tête, en même temps j’avais peur pour lui car ils étaient deux et avaient un couteau. Soudain l’un d’eux a entrepris de me peloter comme un malade avant de fouiller entre mes cuisses que je gardais le plus serrées possible. Quand il a arraché mon string, j’ai su que j’allais y passer pour de vrai. J’ai envoyé les pieds le plus fort possible pour le repousser, cela a été plus fort que moi, un réflexe d’auto défense à très haut risque vue qu’ils étaient deux et qu’en plus j’étais attachée et aveuglée. Il n’a pas aimé du tout !!!!!!!!

En quelques secondes, je me suis retrouvée couchée sur ses genoux et sa main s’est abattue sur mes fesses. Non seulement cet enfoiré nous cambriolait, il allait sûrement me violer mais en plus il me fessait comme si j’étais une gamine en me faisant un mal de chien. Mon cul s’enflammait sous ses coups qu’il m’était impossible d’esquiver, sa jambe bloquait les miennes. A la peur se mêlait en moi une rage indescriptible. A ce moment là, si j’avais pu le tuer je crois que je l’aurais fait.

Il s’est dégagé et m’a jetée sur le canapé comme un vulgaire sac de patate avant de me plier en deux en rabattant mes jambes contre ma poitrine. Ecrasée sous cet enfoiré qui en plus venait de poser sa main sur ma gorge, hormis subir le pire je ne pouvais rien faire et quand j’ai senti son sexe fouiller le mien, j’ai supplié en criant des « non » désespérés. Sa main s’est alors serrée autour de mon cou pour peut-être me faire taire à jamais. Son sexe s’est soudain enfoncé en moi en me faisant un mal de chien avant de me bourrer la chatte comme un fou. Quand il s’est retiré, j’ai cru qu’il avait jouis et que cela allait s’arrêter mais non, j’ai compris que le pire m’attendait quand il a commencé à mouiller cul.

Sentir son sexe entrer en contact avec mon anus m’a tétanisée mais à sa façon de me forcer en douceur comme s’il ne voulait pas me faire mal, j’ai eu comme un flash. Un doute m’est venu, pourquoi allait-il doucement alors qu’il avait été violent jusque là ? Il s’y est pris en plusieurs fois en remettant de la salive avant de parvenir à s’enfoncer en moi lentement et de me remplir totalement en m’arrachant des plaintes de douleur, car malgré ses précautions, je n’arrivais pas à me décontracter. La décontraction de mon petit trou s’est rapidement faite quand il m’a dit « que mon cul de salope n’était plus vierge » car j’ai reconnu sa voix c’était Paul !

Si j’étais rassurée, j’étais morte de honte en pensant que ses deux acolytes assistaient à tout mais ça, Paul n’en avait que faire, il avait entrepris de me violer le cul, il n’allait pas s’arrêter avant la fin, avant son plaisir. Son acharnement quasi bestial a commencé à me faire grimper aux rideaux malgré la honte d’être vue mais il a jouis avant que je m’envole, le salaud. Il a bien essayé ensuite de me faire croire que j’avais été réellement violée en me plantant là toute pantelante et encore attachée pendant quelques minutes, mais je n’y ai pas cru.

Il a mimé d’entrer dans la maison puis s’est précipité vers moi pour retirer le sac de ma tête mais son inquiétude mal jouée n’a pas fonctionnée du tout. Je l’ai engueulé parce qu’il m’avait fait mal en me fessant comme un malade.

- C’est ce qu’il arrive aux vilaines filles qui me harcèlent de textos.

- Oui mais si quand je t’envoie des textos tu me violes tous les soirs en rentrant tu peux t’attendre à en avoir des tonnes.

- La fessée ne t’a pas suffit ? Ok je recommence.

Et là, je me suis retrouvée sur ses genoux pour une deuxième fessée !

Ecrivaillon


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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Le sexe sans tabous
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Dimanche 29 décembre 7 29 /12 /Déc 10:18

Le dresseur de soumise (texte Hard)

Auteur Ecrivaillon

Le dresseur de soumise n’est point un remake d’Histoire d’O mais l’histoire d’une soumise désirant vivre totalement sa soumission avec une approche à la limite du consensuel et du politiquement correct. Le lecteur est prévenu que cette histoire est donc hard.

Lina a toujours été fascinée par le BDSM, elle a vécu quelques expériences plus ou moins « bateau » qui lui ont donné malgré tout une certaine satisfaction. Son mari décédé depuis deux ans et sans enfant, depuis qu’elle a perdu son emploi, elle a décidé de vivre l’expérience chez Maître Paul, un Maître rencontré sur Fessestivites et connu dans le monde du SM de par son livre et ses vidéos où il ne fait pas que jouer le rôle de l’acteur.

Bien que ce type de contrat ait une valeur juridique quasi nulle, hormis de mettre en avant le contentement de la personne, Maître Paul lui a fait signer des documents indiquant clairement sa volonté. Lors de la signature, il a tenu à réaliser une vidéo lui permettant de démontrer que Lina est plus que consentante puisque après signature elle se met nue et va se menotter toute seule au crochet du treuil pour s’y faire fouetter. Pour cette première séance et la vidéo le sécurisant un peu, Maître Paul a choisi un fouet signal whip pas trop dur, afin de démarrer en douceur, une douceur qui ne durera pas……

Le fouet claque, plusieurs fois sans pour autant toucher le corps nu et tendu de Lina, à chaque fois elle bondit mais les mains menottées au-dessus de sa tête, ne lui permettent plus de fuir ou de refuser quoi que ce soit. Le fouet s’enroule autour de son buste pour venir finir sa course dans son dos, laissant à chaque fois une marque rouge sur son épiderme peu habitué. Le passage de la lanière sur sa poitrine génère en elle d’agréables sensations tandis que dans son dos la morsure de la lanière est nettement plus dure. Maître Paul fait redescendre le crochet avant de lui donner l’ordre d’embrasser ses pieds, tout cela est évidement enregistré sur la vidéo. Il lui propose ensuite de poursuivre son test d’admission en fouettant son devant. Lina n’est pas très rassurée mais elle accepte et s’offre à nouveau.

Sa poitrine déjà bien « échauffée » par la première série de coups de fouet, comme Maître Paul se modère, elle se surprend à aimer cette douce morsure sur ses seins. Les marques qu’elle voit apparaître avec fierté sont comme celles de certaines photos qui l’ont faites fantasmer à devoir se satisfaire seule sous sa couette. Lorsque Maître Paul vient à elle pour caresser son entrejambe elle est trempée de plaisir et s’offre à sa main en recherche de caresses plus appuyées. Ce n’est pas son vagin qu’il force mais son anus sans plus de précaution. Hormis une sodomie manquée, Lina n’a aucune expérience de ce côté de son anatomie.

L’étroitesse du petit orifice ne convient pas pour une esclave, Maître Paul coupe la vidéo pour aller chercher un plug queue de chienne puis une ceinture de chasteté pour le maintenir en place et entreprendre le dressage. Malgré sa bonne volonté, elle éprouve beaucoup de difficulté à absorber analement le plug, ses cris ne changent rien à la décision du Maître. Une fois en place, il passe la ceinture de chasteté en métal puis l’ajuste en la serrant au maximum, les larges chaînes passant entre ses fesses lui interdiront de l’expulser.

Collier BDSM et menottesMaître Paul lui passe un lourd collier d’acier relié à des menottes par des chaînes. Il fait ensuite descendre le crochet du treuil pour entraver ses poignets. Le tout est verrouillé par une grosse clé, un outil spécial pour serrer les boulons qu’elle ne pourra jamais retirer avec ses doigts. Toujours avec le même calme, il lui fait deux couettes au niveau des oreilles qu’il fait tenir avec un ruban rose, donnant ainsi à cette esclave un look de cocker. Conduite à quatre patte par la chaîne jusqu’au placard des tourments, il lui pose ensuite deux bracelets d’acier aux chevilles avant de les fixer par des chaînes à la ceinture de chasteté. Ainsi équipée, Lina ressemble à une chienne, une chienne humaine aux pieds de son Maître.

- Te voilà devenue chienne, une nouvelle vie commence pour toi. Sache qu’à partir de maintenant, tu n’as plus de droit, tu es à moi. Chaque manquement et chaque jérémiade seront punis. N’imagine même pas un instant refuser quoi que ce soit, il est trop tard pour faire marche arrière, tu es venue à moi pour que je te dresse, c’est ce que je vais faire.

- Merci Maître ! Répond peureusement Lina avant de recevoir un coup du fouet court que Maître Paul garde en permanence accroché à sa taille.

Lina se tord de douleur en apprenant qu’elle n’a pas été autorisée à parler, ce fouet là, un signal whip lesté est abominable, elle a l’impression d’avoir un trait de feu sur les fesses. Le Maître l’abandonne là sans plus d’explications, avec les pieds relevés et attachés à sa ceinture de chasteté l’attente sur les genoux devient très douloureuse. Lina se laisse tomber sur le côté pour essayer de trouver une position plus confortable mais en même temps, la peur d’être punie s’installe en elle, le dressage psychologique vient de commencer. L’éducation de son conduit anal aussi, car il essaye en vain de rejeter le plug malgré elle, ce qui la perturbe énormément et la gêne car elle a l’impression qu’elle va faire des scelles.

Deux heures plus tard, Maître Paul entre avec des personnes ce qui gêne Lina car elle est toujours nue et dans une posture humiliante. Les deux femmes portent un collier de soumise la regardent sans y prêter plus d’attention.

- Je vous présente ma dernière recrue, elle vient d’arriver, j’ai tout à lui apprendre mais c’est un joli lot, qu’en pensez-vous ?

- Oh avec toi, elle apprendra vite ! Répondent les deux Maîtres en ricanant.

Un serveur entre à son tour avec une table roulante sur laquelle on peut y voir un apéro dînatoire et du champagne. Maître Paul se saisit des deux gamelles posées sur l’étagère du bas de la table roulante et vient les mettre devant Lina. L’une contient de l’eau l’autre des croquettes de chien ! Dans sa tête, l’inquiétude s’installe, ce n’est pas de sauter un repas qui lui pose souci, c’est de manger de la croquette de chien et pire encore de devoir le faire comme une chienne devant du monde. Un autre problème se pose, elle a une envie monumentale de faire pipi qui lui broie la vessie. Elle lève le doigt pour attirer l’attention sur elle pendant un moment avant de faire du bruit avec ses chaînes.

Maître Paul agacé lui accorde la parole un instant avant de lui répondre que si elle a envie de pisser, elle n’a qu’à le faire dans sa gamelle. Cette idée ne lui plait pas du tout, elle fait non de la tête ce qui n’est pas une bonne chose du tout en ce logis quand on est en formation. Deux coups de fouet s’abattent aussitôt sur sa croupe avec en rappel que le mot « non » lui est interdit. Pour la convaincre de s’exécuter, il demande aux deux soumises si l’une d’elle peut uriner dans sa gamelle pour lui faire voir ce qu’est l’obéissance. La petite blonde soumise affiche aussitôt un sourire malsain en acquiescant de la tête. Conduite par son Maître au dessus de la gamelle d’eau de Lina, elle s’accroupie et vide sa vessie devant tout le monde sans aucune gêne.

- Dès qu’elle peut martyriser une soumise, cette salope s’en donne à cœur joie. Déclare son Maître amusé. Pour la peine, trempe la tête dans cette gamelle et boit !

Ni une ni deux, comme si c’était un geste normal, la petite soumise se met à quatre pattes et y plonge ses lèvres pour aspirer bruyamment sous les yeux de Lina dont le moral chute soudain car elle n’avait jamais imaginé ce genre de chose.

- Faites-lui des mouillettes avec ses croquettes et donnez-lui à manger, vous allez participer à son éducation ! Ordonne Maître Paul avec l’accord des Maîtres présents. Lina ne parvient pas à desserrer les dents lorsque les deux soumises présentent des croquettes gorgées d’urine à sa bouche. Comme cela vous amuse, mangez-en une chacune, cela lui montrera le chemin de la soumission.

Maître Paul s’approche du fessier de Lina avec son fouet de barbare, après 5 coups ultra violents, les yeux gorgés de larmes Lina mange les croquettes qu’on lui présente, avec des hauts le cœur mais sans plus aucune réfutation. En ses sombres pensées, le sens du mot dressage vient de prendre toute sa signification. Quelques croquettes plus tard, la vessie de Lina est au bord de l’implosion, agenouillée sur sa gamelle, elle essaye de viser pour uriner car avec la ceinture de chasteté, cela n’a rien d’évident.

La soirée avance entre adeptes du BDSM, les soumises sont shibarisées, suspendues puis fouettées à tour de rôle sous les yeux de Lina qui se fait discrète. Maître Max demande à sa soumise Catin d’aller cherche le gode ceinture en proposant aux participants un peu de distraction, proposition acceptée à l’unanimité par les Maîtres. Soumise Catin et soumise petite chienne reçoivent l’ordre de se faire un 69 histoire de distraire les yeux des Maîtres puis de lubrifier les « chatons » qui ne vont pas tarder à devenir des chattes gourmandes. Lina est appelée à la rescousse avec comme ordre d’aller lécher les culs, cet ordre ne l’enchante pas mais le fouet de barbare de Maître Paul est si terrible qu’elle ne souhaite pas prendre d’autres coups.

Elle s’approche donc à quatre pattes ne pouvant se déplacer autrement, pour venir lécher les fesses de soumise petite chienne mais en claquement de fouet lui fait vite comprendre que c’est entre le fesses qu’elle se doit de laper….. Sans réelles convictions, elle lèche donc la petite porte ne tardant pas à s’ouvrir sous sa langue, exposant sans aucun doute possible que sa propriétaire est une gourmande en anal. D’un claquement de doigt, soumise Catin se lève pour enfiler le gode ceinture autour de sa taille avant de prendre la place de Lina se retirant aussitôt et avec plaisir avant d’être rappelé pour lubrifier de sa bouche le gode qui ne va pas tarder à officier entre les fesses de petite chienne.

A la posture et aux gémissements de petite chienne, Lina comprend rapidement les raisons de ce pseudo. Ce spectacle l’interpelle car c’est la première fois qu’elle assiste à cela. Alors qu’elle matte sans vergogne, Maître Paul vient la prendre par la laisse pour la conduire aux pieds des Maîtres voyeurs installés dans le canapé. N’osant comprendre, Lina se met à embrasser les chaussures des Maîtres amusés mais un claquement de fouet lui fait aussitôt comprendre que c’est à l’autre extrémité des jambes que sa bouche doit œuvrer. Au fur et à mesure que ses lèvres officient, elle entre progressivement dans son rôle de soumise sexuelle, l’état d’esprit lui convenant plus que de manger des croquettes, Lina se complait à réaliser ces deux fellations en essayant d’être à la hauteur des attentes de son Maître.

La soirée prenant fin, les invités se retirent en les laissant seuls pour la suite de son dressage. Maître Paul retire la ceinture de chasteté de Lina puis, avec d’infimes précautions et du lubrifiant, retire également le plug ayant passé plus de 8 heures en son fessier.

- Comme tu n’as pas fait trop d’histoire, tu vas avoir une récompense. Indique Maître Paul à Lina en la conduisant dans son donjon pour l’installer sur un carcan.

Entravée debout penchée en avant sur un carcan, elle observe son Maître installant entre ses jambes un gros vibro ressemblant à un micro qu’il vient caller contre son sexe. Aussitôt mis en marche, les intenses vibrations ne laissent pas Lina de marbre mais son Maître a d’autres projets : profiter de son cul assouplit. Impitoyablement sodomisée et avec le vibromasseur démentiel sur la chatte, Lina ne tarde point à chanter son plaisir avec des paroles allant du « non » au « oui » puis à s’envoler au paradis des plaisirs sans demander la permission de jouir.

paddle
Une fois soulagé aux creux de ses reins, Maître Paul lui impose une toilette buccale de son sexe avant de lui annoncer qu’elle sera punie pour avoir jouis sans demander la permission. Elle le supplie de ne plus la fouetter en lui indiquant qu’elle ne savait pas mais Maître Paul reste totalement insensible à ses suppliques. Armé d’un gros paddle en chêne, il entreprend de lui donner une très sévère fessée.

Le paddle est un instrument punitif horrible qu’elle découvre pour la première fois. Lina rue dans ses entraves, hurle et supplie mais en vain, les 25 coups de paddle sont donnés comme annoncés. La chose faite, il abandonne la soumise en cours de dressage pour aller chercher un tube de ce condiment japonais dénommé le « wasabi ». Maître Paul en enduit copieusement les deux orifices de Lina avant de lui souhaiter bonne nuit et une bonne réflexion sur la jouissance non autorisée.

Abandonnée dans le noir, entravée sur le carcan, Lina ne tarde pas à découvrir les effets du wasabi. C’est comme si ses deux orifices s’enflammaient. Apeurée elle crie, se débat et pleure toutes les larmes de son corps, sa volonté de vivre une vie BDSM de soumise en 24/24 n’est plus mais entre les mains de Maître Paul, elle ne va pas avoir d’autre choix que de tout accepter, elle l’a écrit et signé et sait qu’il ira jusqu’au bout qu’elle change d’avis ou non.

A suivre sur le forum BDSM de Fessestivités ici

http://www.fessestivites.com/phpBB3/bdsm-et-ses-declinaisons/

 

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 9 novembre 6 09 /11 /Nov 12:00

Violée à la banque devant mes collègues

Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Une de mes anciennes histoires retrouvées sur un disque dur.

Viol violence et fantasmes
………………

J’étais en train de faire le virement que Madame Michel fait à son petit fils chaque mois quand ils sont entrés. Cagoulés et armes à la main, ils se sont mis à hurler en braquant les clients. Mon collègue a appuyé sur l’alarme et s’est couché jeté à terre en essayant de fuir alors que je levais les mains comme ils le demandaient. Tout est alors allé très vite, ils ont tiré sur mon collègue en le blessant à l’épaule pendant que les clients se couchaient à terre en hurlant.

« Le fric » criait l’un d’entre eux en me donnant un sac, j’aurai bien voulu lui donner sauf que je n’ai pas accès au coffre et que nous n’avons pas de liquidité à l’accueil. Apeurée je me suis levée en gardant les main en l’air pour lui faire voir qu’il pouvait venir prendre ce qu’il voulait et quand il a fait le tour du comptoir, il a pu constater que je n’avais pas d’argent.

« Où est le fric » criait-il en me braquant son arme sur la tempe. Je l’ai alors conduit au coffre dont la porte est fermée et dont nous n’avons pas la clé. Je lui ai expliqué comme j’ai pu, il a voulut que je lui donne l’accès aux deux distributeurs. Là aussi, j’ai fait ce qu’il voulait mais nous n’avons accès qu’à la partie technique, tout au plus nous pouvons récupérer une carte bleue, pas accéder à l’argent en l’absence du directeur. Des coups de feu ont été tirés devant la porte de la banque, l’un des gangsters s’est écarté un instant avant de prendre un client comme bouclier et de le forcer à tirer le rideau métallique de la porte d’entrée. C’est là que nous avons compris que la police était devant la porte et que nous étions pris en otage.

J’ai 21 ans, j’ai eu la chance de pouvoir entrer à la banque avec l’aide d’une amie qui m’a recommandée, il parait que je suis belle comme un cœur, il est vrai que je fais des effets aux garçons mais j’étais loin d’imaginer ce qu’il allait m’arriver et de toute cette violence.

Pour aller à l’essentiel, la banque a été cernée, les négociations ont commencé et les gangsters se sont installés en nous mettant tous devant la porte d’entrée puis devant la poste du personnel. Nous étions leur bouclier. J’ai alors demandé si je pouvais m’occuper de mon confrère blessé car si j’ai abandonné mes études d’infirmière, j’en ai gardé les notions d’urgence. Ils ont dit oui mais c’est là que l’un d’eux a commencé à me reluquer. J’essayais tant bien que mal de ne pas le regarder mais cela n’a rien changé. Son regard m’affolait car il en disait long sur ses envies. Une fois que j’ai eu terminé de penser la blessure de mon collègue, il m’a plaquée au mur en me disant de ne pas faire la maligne. Son arme appuyée sous ma mâchoire m’affolait, je n’opposais aucune résistance par peur de mourir et là, il a commencé à me tripoter. Sa main s’est insinuée sous ma jupe pour venir flatter ma chouchounette à travers ma culotte. Je l’ai supplié d’arrêter mais il n’en avait que faire.

Un des gangsters est intervenu en lui criant qu’il y avait autre chose à faire, mon violeur lui a répondu qu’à prendre perpette, autant prendre un peu de bon temps. Sa main s’est alors glissée dans ma culotte pour me masser l’entre jambe avant de fourrer sans plus de précaution un de ses doigts dans ma chatte. Je ne savais pas quoi faire, son arme sous ma mâchoire me tétanisait. Au bout de quelques instant j’ai essayé de lutter et de résister, il m’a quasiment soulevée avec son arme sous ma mâchoire. Sur la pointe des pieds, les yeux en larme, je me suis laissée tripoter sans pouvoir rien faire pour me soustraire à l’ignoble attouchement.

Il a fait une pause quand le téléphone a sonné puis pendant la discussion avec les flics qui connaissaient déjà le nom du chauffeur de la voiture devant leur permettre de prendre la fuite. Il m’a jetée à terre, je n’ai pas résisté, puis est allé voir à la porte. Ce qu’il a vu l’a convaincu qu’ils étaient faits comme des rats. Ils se sont disputés et ont retiré leur cagoule sans même couper les caméras internes de la banque. J’ai compris à ce moment là, que la journée allait être longue si nous nous en sortions vivants.

Rachid, mon violeur était désespéré et agressait verbalement ses acolytes qui lui ont demandé de se calmer en arabe, du moins, est-ce ce que j’en ai compris. Après avoir tourné en rond et qu’ils aient fouillé la banque en jetant tout par terre, Rachid est revenu vers moi. « Autant prendre un peu de plaisir avant de mourir m’a-t-il dit en descendant la braguette de son pantalon. Son arme posée contre la tempe, j’ai essayé de le supplier mais en vain, je n’ai pas résisté quand il a attiré ma tête sur son sexe mou. Mon collègue blessé couché à terre assistait à ma déchéance en comprenant que je n’avais pas le choix. Il a baissé les yeux pendant que je faisais une pipe malgré moi.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, Rachid s’est mis à bander alors que sa propre vie était en jeu. Je me serai bien volontiers passé de ses commentaires élogieux sur la façon de sucer qui a fait rire ses acolytes. Moi je n’avais qu’une envie, en finir pour sauver ma vie et retourner avec les autres mais il en a décidé autrement. Attrapée par les cheveux, j’ai été conduite au comptoir sur lequel il m’a obligée à me coucher. Quand il a arraché ma culotte j’ai compris que rien ne me serait épargné.

Son sexe bandait dur entre mes jambes, d’une main il a entrepris de le guider entre mes lèvres intimes et quand il a trouvé ce qu’il cherchait, il m’a pénétrée d’un seul coup. Mon cri de douleur et de désespoir n’est pas passé inaperçu mais personne n’a bougé pendant mon viol, que pouvaient-ils faire avec des armes pointées sur eux ?

Rachid m’a possédée comme un malade en indiquant que j’étais une bonne chatte bien étroite, ses commentaires m’ont fait aussi mal que sa bite. Les clients et mes collègues de travail me regardaient, ils ne voyaient que mon visage mais comprenaient tout, sans besoin d’avoir un dessin. Quelques minutes plus tard il se vidait en moi et me polluait en poussant des cris de porc que l’on égorge.

Je ne pleurais pas, j’étais sans voix, comme tétanisée quand un de ses pots a fait le tour du comptoir pour prendre sa place en disant qu’après tout quitte à mourir, autant prendre du bon temps. Lui aussi m’a pénétrée sans ménagement, regarder Rachid l’avait sûrement excité. Par contre, tout en me baisant il a tenu à me retirer mon chemisier et mon soutien-gorge pour jouer avec mes « mamelles ». A ce moment là, je n’étais plus qu’un pantin de chair, je n’avais pas droit à la pudeur ou au respect. Quand il s’est retiré pour poser son gland sur mon cul j’ai essayé de résister, le coup de crosse qu’il m’a donné sur la tête a refreiné mes réfutations. Si j’ai déjà été sodomisée et y ais pris plaisir, sa brutalité m’a fait extrêmement mal. Le téléphone a encore sonné, le chef a répondu mais je ne saurai dire ce qu’il c’est dit, j’étais ailleurs à ce moment là.

Il m’a sodomisée comme un malade en criant que j’avais un « bon cul de salope» avant de se mettre lui aussi à beugler en me polluant. Quelques minutes plus tard, il m’a raccompagnée si l’on puis dire, avec les autres, j’étais nue, mes vêtements ayant été arrachés. Un client m’a passé son blouson pour que je puisse me couvrir. Du sperme coulait de mon sexe, je l’ai regardé sans même essayer de m’essuyer.

Quatre heures plus tard, le chef a eu aussi envie de moi et m’a appelée. « Salope vient me soulager » ! Cria t’il sans plus de considération. J’ai résisté quand il m’a attrapée par les cheveux, un client est intervenu et s’est pris un coup de crosse dans la figure avant de s’écrouler sur le sol le nez en sang. Le chef m’a obligée à le sucer devant tout le monde, sa fierté consistait à sortir sa bite de ma bouche et à la remettre comme si son vernis social se limitait à son sexe. A quatre pattes devant le comptoir et devant tout le monde, je me suis ensuite faite prendre en pleurant toutes les larmes de mon corps.

Soudain il y a eu un éclair puis un bruit assourdissant, des coups de feu ont éclaté, Rachid s’est écroulé devant moi avec un énorme trou sanguinolent au milieu du front. On m’a attrapée et portée dehors dans une ambulance où j’ai perdu connaissance.

Quand je me suis réveillée sur un lit d’hôpital, mon épaule était bandée jusqu’à mon sein gauche, j’ai pris deux balles dans la poitrine. Ma mère en larme me regardait sans savoir que dire hormis que les gangsters étaient tous morts, que c’était bien fait pour eux et que justice avait été faite.

Ecrivaillon

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 09:48

Enlèvement et sexe en Haïti


Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Encore un de mes vieux textes hard qui peut-être alimentera vos fantasmes les plus fous si vous êtes adepte du BDSM et du sexe soi-disant sous la contrainte. 


Le tremblement de terre de 2010 en Haïti est un tremblement de terre d'une magnitude de 7,0 à 7,3 survenu le 12 janvier 2010 à 16 heures 53 minutes.

17 heures

Le bateau d’un milliardaire particulièrement sadique mouillé à Port-au-Prince a simplement vibré dans ses amarres. Les cris et lamentations sur le ponton l’ont arraché à sa sieste. En montant sur le pont, la vision apocalyptique de la ville ravagée l’attriste à peine.

Fred semble plus furieux. Niché au creux des poumons, il y a un organe qui s’appelle le cœur. Tous les êtres humains en ont un. Tous sauf lui. A la place, il y a un bloc de fonte que rien n’atteint.

Ses « esclaves » surnom qu’il donne à ses deux matelots grassement payés auraient du faire les courses hier, sa réserve de champagne diminue à vue d’œil et présentement, il va être difficile de se réapprovisionner. Ce n’est pas un sentiment humaniste qui le pousse vers la ville mais sa curiosité malsaine.

Au milieu des immeubles effondrés, les habitants vivent des moments de panique, à la recherche notamment de leurs proches, d’autres, agars, marchent vers nulle part. Les cris de désespoir et lamentations des gens atterrés devant les ruines des immeubles et maisons l’ennuient. Une femme courant comme une dératée le bouscule, au lieu d’être compatissant pour cette mère affolée se rendant à l’école sûrement détruite, il peste, l’engueule, mais elle ne l’entend pas. Agacé, il fait volte face pour retourner sur son yacht.

18 heures 30

Ses deux matelots ne sont pas rentrés, Fred peste de plus en plus, il aimerait appareiller pour fuir ce lieu maudit et toute cette misère. Naviguer seul ne lui pose pas de problème, mais sans personnel pour le service, c’est chiant. Sur le pont supérieur, vautré dans un fauteuil avec un cocktail à la main, il suit de loin les allers et venues quand soudain lui vient une idée. Il va y avoir des centaines, que dis-je des milliers de morts et de disparues, une de plus ou une de moins, ne fera pas la différence…..

Son instinct franchement esclavagiste s’emballe, l’image d’une belle femme nue hurlant de douleur sous son fouet traversant son esprit, lui fait l’effet d’un coup de pied dans son caleçon. Une disparue de plus ou de moins ne changerait pas grand-chose…..

19 heures 30

C’est dans cet état d’esprit que Fred abandonne son bateau pour retourner au milieu des ruines. Faire son marché parmi cette population n’est pas aussi évident qu’il ne le pensait. Les belles jeunes filles lui paraissent soudain moins belles.

20 heures 15

C’est dans la rue, assise sur un tas de gravas qu’il aperçoit une jolie et jeune blanche métissée avec de longs cheveux blonds pleurant toutes les larmes de son corps dans l’ignorance la plus totale. En vacances avec ses parents à l'hôtel Montana, Aline était sortie pour aller flâner sur le port que son père, ancien marin connaît très bien puisque c’est ici qu’il y rencontré celle qui allait devenir sa maman.

En perdition totale et broyée de chagrin et d’inquiétude elle s’abandonne et craque dans les bras réconfortants de Fred avant de le suivre sans aucune méfiance jusqu’à son yacht d’où ils pourront téléphoner. En chemin, entre deux crises de larmes, il apprend qu’ils sont venus en Haïti pour fêter ses dix-huit ans et qu’ils viennent de Paris.

Aline monte à bord sans aucune crainte ou méfiance et sans aucune considération pour le luxe écrasant du yacht qui l’aurait fait rêver en d’autres circonstances. Frigorifiées et couchée en chien de fusil dans une immense chauffeuse, elle attend avec inquiétude qu’il revienne lui donner des nouvelles mais ce n’est pas des informations qu’il lui apporte mais un grand chocolat chaud en lui indiquant que les lignes semblent saturées. Elle veut repartir pour chercher ses parents mais il l’en dissuade en lui expliquant qu’il va contacter des amis sauveteurs et qu’elle devra les guider. Murée dans le silence et morte de peur, les yeux d’Aline fixent de sol, derrière-elle Fred ferme les rideaux puis s’approche doucement comme un prédateur vers sa proie.

L’attaque du sportif musclé est rapide, précise, efficace. A l’issue d’une courte lutte inégale, elle est bâillonnée et se retrouve couchée par terre avec les bras liés dans le dos. Il la soulève comme s’il s’agissait d’un véritable poids plume pour la jeter sur son épaule, les jambes battant dans le vide elle perd l’une de ses chaussures. A l’entrée d’une coursive, sa tête heurte le mur, mais il n’en a que faire.

22 heures

Le bateau vogue à pleine vitesse cap sur la mer des Antilles en longeant les côtes de l’île de la Gonâve. Aline solidement entravée sur le lit ne peut que tirer inutilement sur ses liens et pleurer sur son sort.

22 heures 30

Ni tenant plus, Fred jette l’encre pour aller s’amuser avec son nouveau jouet. Certes des filles il en a eu, il en a martyrisée mais c’est la première fois qu’il en a une qui lui appartient totalement et avec laquelle il va pouvoir faire tout ce qu’il veut. Totalement captive et vulnérable à souhait, entravée couchée sur le dos jambes écartées et bras dans le dos, Aline supplie dans son bâillon puis fait des « non » de la tête en voyant son ravisseur entrer avec un grand sourire malsain sur son visage. Son tee-shirt portant l’inscription « Y love you » avec un gros cœur rouge ne traduit pas les sentiments éprouvés par Aline à l’instant où il s’assoit près d’elle en posant la main sur sa poitrine.

Il palpe ses seins avec douceur, comme pour faire connaissance avec ce corps juvénile malgré les vaines tentatives de fuite.

Particulièrement oppressé et tétanisée par l’horreur elle croit défaillir quand il arrache soudain son tee-shirt. Il n’a pas de pitié pour le soutien-gorge trop pressé de voir sa belle poitrine juvénile. La plénitude de ses jeunes seins généreux et de la courbe parfaite de ses hanches sont un véritable appel à la caresse. Caressée puis palpée plus fermement à pleines mains, Aline couine dans son bâillon. Fred ne cesse de se repaître de sa poitrine qu’il embrasse du bout des lèvres avant de grignoter les tétons qu’il s’amuse à pincer de plus en plus en arrachant à leur propriétaire de longs cris dont il se délecte. Sentir ce corps fragile bondir de douleur sous lui, l’excite au plus haut point.

La main de Fred descend plus bas, Aline se tend comme un arc quand ses caresses deviennent on ne peut plus précises. Elle s’insinue dans son short doucement comme pour faire durer le plaisir, glisse dans le string puis s’incruste dans ses chairs intimes à la recherche du puits qu’il espère inviolé en y enfonçant un doigt.

- Tu n’es plus vierge et en plus tu t’épiles, mais c’est que tu serais une petite salope…. Hummmm je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux.

Fred ouvre délicatement comme s’il ouvrait un cadeau fragile le bouton du short en toile puis découvre en en écartant les pans, un petit éléphant comme motif sur le string rose.

- Mais c’est que tu trompes ton monde toi, coquine, je vais te faire voir une belle trompe moi dans un petit moment, je suis sûr que tu vas apprécier d’en avoir une vraie….

Pressé par la gourmandise, il saisit le short qu’il se met à écarter de toutes ses forces. La fermeture éclair décorative et le tissu ne résistent pas à sa faim de jouvencelle et se déchirent arrachant à Aline le bien faible rempart la protégeant encore de son violeur. Le string n’est qu’une modalité pour le sportif. Aline, les yeux fermés pleure en silence et attendant de vivre ce qu’elle pense être son pire cauchemar. Elle entrouvre les paupières lorsque qu’il manipule la ceinture de son pantalon et le voit avec effroi l’ouvrir puis le baisser en même temps que son caleçon en offrant à son regard une longue et grosse verge gorgée de désir.

Quand il monte sur le lit, elle ferme les yeux comme pour échapper à l’horreur. Tétanisée elle ne bouge pas quand il se couche sur elle, ce n’est qu’au moment où de la main guide le gland pour chercher la faille, que mue par l’énergie du désespoir elle se cabre comme une furie mais en vain. Encore plus excité par cette tentative dérisoire de lui échapper, il s’amuse à la fouiller un instant avant de s’enfoncer profondément en elle d’un seul coup. La pénétration brutale horriblement douloureuse arrache un cri d’agonie à Aline qui se débat sous les assauts du bélier de chair dure et brûlante. Fred se délecte des agitations de ce corps, des seins fermes qu’il malaxe, de la peau du cou laiteuse qu’il se plait à lécher.

Aline épuisée s’est calmée et ne pousse plus que de petits gémissements plaintifs pendant qu’il la prend à grand coups de reins. La chaleur du corps de son violeur, la fait abondamment transpirer. Résignée elle attend maintenant la fin de son calvaire et ne réagit plus. Au bout d’un moment où il se met à ahaner puis à beugler comme un porc en libérant un flot de sperme épais en son ventre profané avant de s’écrouler sur elle tout essoufflé.

Pris d’une soudaine envie câline, il caresse son visage défait, ravagé, lui fait de petits baisers et lèche ses larmes.

- « Pleur » pas bébé, on va s’amuser tous les deux, je vais de faire vivre des sensations si intenses et si fortes que tu n’imagines pas à quel point tu vas jouir. Je suis ce que l’on appelle un Maître, je vais te dresser et te rendre folle de sexe, tu vas connaître des jouissances folles. Regarde ce que j’ai pour te faire vibrer ! Dit-il en se levant pour aller ouvrir un immense placard et dévoiler au regard terrorisé d’Aline une gigantesque panoplie d’accessoires SM bien rangé.

Il extrait d’une caisse deux vibromasseurs filaires avant de revenir vers sa proie avec un sourire sadique posé sur ses lèvres. Après avoir fait un passage dans son sexe pollué, le plus petit des vibros force son anus rapidement suivi par le gros équipé de billes tournantes. Pour les maintenir en place, il les scotche en se gardant bien de couvrir le clitoris pour lequel il a d’autres projets. Fred installe ensuite un socle équipé d’une perche avec un gros vibromasseur en forme de micro scotché à son extrémité. Il pose la grosse boule sur le clitoris d’Aline avant de bloquer le tout par une petite sangle.

Impuissante Aline ne peut que le regarder et trembler de peur quand il branche les prises électriques dans une multiprise. Fred démarre un à un les vibros arrachant des suppliques désespérées à sa victime. Le vibro anal vibre bien sûr mais à l’intérieur une bille décentrée monte et descend dans le tube de forme phallique générant une sensation de pénétration. Celui qui est profondément enfoncé dans son vagin est équipé de mini billes qui se mettent à tourner autour du gros gode, massant ainsi les parois en vibrant. Tout cela n’a rien de douloureux mais affole Aline. Quand Fred allume le gros vibro en forme de micro qui est posé sur son clitoris, elle pousse un cri de surprise car c’est ultra puissant. Pour compléter son abominable machination sexuelle, il lui pose deux électrodes sur les seins et les relie à un boîtier d’électro stimulation.

- Elle n’est pas belle la vie ! Lui indique Fred en s’installant confortablement dans un fauteuil. Regarder une femme luter contre le plaisir avec un bon cigare et un bon verre est quelque chose qui m’amuse beaucoup, résiste au plaisir, mes yeux ne se lassent pas de cette lutte.

« Comment une femme violée peut-elle prendre du plaisir » a envie de lui hurler Aline en lui criant toutes les insultes lui passant par la tête. Elle parvient à contrôler son excès de rage par peur de représailles. Son intimité est monstrueusement chahutée, cet équipement diabolique l’ennuie fortement mais elle reconnaît intérieurement qu’en d’autres circonstances, elle aurait pu apprécier de vivre cela. Pour essayer de mettre un terme à son calvaire, elle mime le plaisir et commence à geindre en espérant qu’il y croit.

- Même pas en rêve petite, je n’en crois rien, mais dans un moment, tu chanteras réellement avant de te mettre à hurler de plaisir.

Fred se lève, affine les réglages de ses instruments diaboliques en augmentant la puissance, et là, Aline sent que des choses se passent en elle. Les picotements électriques sur ses seins détournent son attention sur autre chose que son intimité. Ils varient d’intensité, les fréquences se rapprochent, cela commence réellement à piquer. Puis c’est au tour de son anus de perturber ses pensées, le gode semble s’accélérer. Tout en vibrant, son proche voisin logé dans son vagin entretient un massage pendant que son clitoris commence à s’affoler.

Quelques minutes plus tard, elle tire en vain sur ses liens pour fuir la jouissance qu’elle sent honteusement arriver. Ses mâchoires se mettent à trembler, sa respiration s’accélère, son ventre et ses orifices commencent à se contracter malgré elle. Elle claque des dents, tourne la tête dans tous les sens pour essayer de lutter, elle ne veut lui accorder le plaisir de la voir jouir. Fred se lève et vient inonder son ventre de lubrifiant avant de reprendre place sur son fauteuil, il sait qu’elle va craquer, aucune fille n’a pu résister à ses machines diaboliques.

Confusion indicible commence envahir Aline, son corps est secoué de spasmes comme au paroxysme de la jouissance physique. Elle se met à haleter. Un sentiment de honte puis d'exaltation la submerge. Son regard devient vitreux, son corps tendu comme un arc fibrille un instant avant de se cabrer de volupté sous un embrasement intégral des sens. Une marée de plaisir inonde sa caverne intime en attisant dans son sexe un embrasement de perversité, c’est maintenant un véritable l'incendie qui couve entre ses cuisses s’agitant pour fuir le trop de plaisir, ce plaisir si intense qu’il rend fou.

Elle vient de jouir éperdument mais, une fois sa chair emplie de lave, d’autres spasmes pointent le nez à l’horizon. Elle gémit en implorant avec des mots inaudibles qu’il arrête ses machines mais en même temps se surprend à agiter ses reins.

Fred ne se lasse pas de la voir se contorsionner dans ses liens, quand un bruit de pas sur le pont attire son attention. Il bondit de son fauteuil pour prendre son révolver dans sa chambre avant de se précipiter dehors pour voir qui s’est permis de monter sur son bateau. Quatre pirates sont à l’avant, il braque son arme et leur hurle de sauter par dessus bord quand soudain un violent coup de crosse sur la tête le coupe net dans ses élans. Le pirate qui l’a assommé lui donne encore quelques coups pour s’assurer de son calme, l’un d’eux l’atteint à la nuque lui autant la vie en une fraction de seconde.

Ils se lancent dans une inspection du bateau à la recherche d’autres occupants et découvrent Aline qui à leur entré se met à hurler avant de crier « help help ». Ils poursuivent leur visite du navire avant de revenir vers elle. Les cris qu’elle pousse et ses « help » répétés comme une femme affolée les titillent. Quand l’un d’eux la libère, elle se jette dans ses bras en pleurant puis en le remerciant.

Les pirates peu habitués à ce que leurs victimes leur sautent dans les bras et les remercient comprennent aussitôt que cette fille à été enlevée. Le bateau, fouillé et pillé, ils l’abandonnent sur le navire avec comme seul compagnon le cadavre de Fred. Dans sa folie, elle descend en courrant chercher les cordes la maintenant sur le lit pendant son viol avant de venir lier les mains et les jambes de son tortionnaire sans même se rendre compte qu’il est mort.

Une fois vêtue, elle se précipite dans le bateau à la recherche d’un téléphone. Il est codé et ne peut s’en servir. Au pas de course elle monte au poste de pilotage et s’acharne sur la radio. Elle lui explique la situation et demande de l’aide. L’homme suspicieux demande des précisions avant de lui expliquer comment prévenir la police maritime et indiquer sa position, car il ne veut pas être impliqué. Devant les suppliques désespérées de la femme qu’il a sur la radio, il accepte de prévenir la police pour elle mais il refuse de venir la chercher sur le bateau par peur que les pirates ne reviennent ou que la police le soupçonne.

Trois heures plu tard, un siècle pour Aline, un bateau de la police maritime accoste celui du milliardaire.

Ecrivaillon

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Dimanche 27 octobre 7 27 /10 /Oct 08:58

Emprisonnée au mur de baise

Auteur Ecrivaillon

A l’attention du lecteur. Ce vieux texte hard écrit à l’époque des groupes Mots n’est pas consensuel, il n’est pas destiné aux âmes sensibles.

………………………

Alex a trouvé une astuce pour faire tourner son club de nuit : offrir des femmes !

Les clients ne les voient pas réellement, ils ne voient que leurs jambes et leur intimité offerte. Le renard chassant loin de son terrier, elles sont enlevées dans les départements voisins et endormie au chloroforme pour les faire taire pendant le trajet. Lucie est l’une d’entre elle. Enchaînée par le cou comme une bête dans une cave, âgée de 24 printemps, cette étudiante en médecine se désespère et attend son heure convaincue de mourir sous peu.

Lorsque Alex ouvre la porte de la cave, elle n'arrive pas à concevoir ce qu'il lui arrive, elle ne peut pas admettre ce qui va se passer. Par prudence il est toujours cagoulé, ce qui ne permet pas à Lucie de connaître son visage. A son approche, elle se recule contre le mur couvert de salpètre et se met à crier.

- Je te conseille de ne pas crier trop tôt !! Tu as bien le temps !! Lui dit Alex toujours très calme même quand elles se débattent.

Il lui tend un bâillon et lui demande de le mettre puis lui donne une cagoule afin qu’elle ne puisse reconnaître les lieux, la tuer l’ennuierait, ce n’est pas son truc. Rapidement menottée, elle se laisse guider à l’aveugle dans les escaliers où elle butte sur les marches inégales. Arrivée dans la pièce des horreurs, Lucie est étendue sur le dos à même une solide planche de bois posée à 80 centimètres du sol sur des barreaux d’acier. Une chaîne autour de son buste vient compléter le dispositif pour l’entraver et lui ôter toute possibilité de fuite.

La planche et Lucie sont ensuite poussés à travers un trou fait dans un premier mur de placoplâtre insonorisé par de très épaisses couches d’isolants pour étouffer ses cris, précaution supplémentaire car de l’autre côté, la musique doit en principe couvrir les plaintes et hurlements. Alex sort de la pièce pour faire le tour et entrer dans son club avant de se diriger vers le mur de baise situé dans un box près des toilettes. C’est bien pense t’il la petite n’a pas bougé.

Il se saisit des pieds de l’étudiante et la tire fortement d’un seul coup à travers le mur de brique. Habitué aux gestes de défense il plaque aussitôt une jambe contre le mur avec son épaule pendant qu’il entrave la jambe droite avec des bracelets qu’il cadenasse. Ces bracelets sont doublés avec de la fourrure pour faire croire à ses clients qu’il prend soin des filles. L’autre jambe subit le même sort. A ce stade, il ne lui reste plus qu’à découper le fin rempart de tissu protégeant l’intimité de l’étudiante et à pousser sa jupe derrière la cloison.

Les clients ne verront de Lucie que ses jambes attachées en V contre le mur et son intimité offerte. L’imagination perverse d’Alex lui a permis de concevoir une sorte de glory hole où ce n’est pas le sexe de l’homme qui entre dans le trou, mais seulement l’intimité de la fille qui dépasse. Au dessus de son horrible dispositif il est écrit en gros :

Cette salope ne vous a fait aucun mal, merci de ne pas la blesser.
Le préservatif est obligatoire
Merci de jeter vos préservatifs dans la poubelle prévue à cet effet.

Alex revient dans la salle des horreurs pour finir de combler le trou du mur afin qu’un client trop curieux ne puisse apercevoir les entraves. Lucie pleure à chaudes larmes, supplie mais en vain, il n’a que faire de ses suppliques. Une fois son travail d’isolation achevé, il sort de la pièce et coupe la lumière.

21h le club ouvre ses portes, le videur monte la garde devant la porte, rappelant aux clients de par sa présence qu’en ces lieux le respect est obligatoire comme indiqué sur la porte. L’entrée de son club est à 40 euros avec une consommation. Les premiers clients entrent et viennent chercher leur conso avant de s’étaler sur les banquettes face à la scène où une fille viendra dans un moment s’exhiber à la barre. Un des habitués ne tard pas à se rentre aux toilettes puis à bifurquer vers le box maudis. Il palpe les merveilles avec douceur, comme pour faire connaissance avant d’ouvrir sa braguette pour en sortir son sexe bandé et de passer un préservatif.

Lucie hurle, la musique assourdissante et son bâillon couvre ses cris. Ses vaines tentatives de fuite sous les mains odieuses ne servent à rien, ses jambes ne bougent pas de plus d’un demi centimètre. Des doigts parcoururent la toison d'or et s’incrustent dans ses chairs intimes arrachant à Lucie des plaintes et des larmes de désespoir. Constatant qu’elle est sèche, le client prend du lubrifiant au distributeur à savon devenu distributeur de lubrifiant qui est vissé au mur.

Il joue d’une main avec sa fourrure intime pendant que l’autre lubrifie ses lèvres et sa chatte on ne peut plus offerte. La malheureuse serre les cuisses par réflexe pour se soustraire à ces attouchements mais en vain.

Elle sent une verge s'ajuster sur sa vulve à la recherche de l’entrée de son nid d’amour. Le gland l’ouvre, l’écarte et la remplit soudain sans plus de précaution. Lucie ne peut retenir un cri de douleur inaudible sous l'assaut du bélier de chair dure et brûlante. Sous l’effet de la saillie sauvage elle hurle silencieusement sa rage et son désespoir. Lucie sait maintenant qu’elle est moins qu’une fille à plaisir, elle est devenue un simple objet à satisfaire les hommes. Ses frêles jambes écartées lutent encore mais en vain.

Un autre homme ne tarde pas à arriver, il ajusta son sexe face à la vulve offerte puis la pénètre sans autre formalité. Lucie subit les assauts et coups de butoir depuis plus d'une demi heure quand elle prend conscience que rien ne lui sera épargné. Un nouveau contact la fait frémir des pieds à la tête. Un doigt touche son anus et la pénètre à sec générant d’horribles douleurs. L’homme met un peu de lubrifiant, pose son Priape au centre de l'orifice étroit et se met à forcer cette petite ouverture encore vierge. Le rectum s’élargit à outrance arrachant à sa propriétaire de hurlement de douleur. D’une seule poussée il s’enfonce dans l’anus vierge et contracté. Lucie pousse un cri de bête forcée en se débattant inutilement dans ses entraves sans pouvoir se dérober à l’intrusion de la bite féroce.

Complètement rompue par le désespoir elle se laisse tout entière aller au rythme du ballottement ignoble des hommes venant se servir du réceptacle humain. L’intimité vulnérable de Lucie haletante est en feu. Ses poignets agités de vaines contractions, rythment le martèlement quasi continuel jusqu’à une heure du matin, un horaire imposé par la préfecture.

Après avoir fait sa caisse et fermé le club, Alex libère Lucie qui est quasiment inconsciente. Esclaves sans âme ni raison elle le laisse nettoyer et soigner ses orifices en feu et reconduire à la cave sans aucune réfutation, elle n’en a plus la force.

………………..

Le club est sous la surveillance de la police depuis quelques temps car il y a toujours quelqu’un pour parler. Alex a répondu au policier en civil venu comme un client et qui n’a fait que mimer une pénétration, que les filles sont soit des salopes en manque de baise hard soit des soumises sexuelles mise en pâture par des Maîtres par plaisir ou en guise de punition. Au quartier général de la PJ, même si l’on sait que cela existe dans le monde libertins et BDSM, qu’Alex ait autant de contact génère des questions tout comme le fait qu’on ne voit pas sortir les filles après la fermeture hormis la danseuse. Un rapprochement est fait entre les enlèvements et ce que racontent les filles totalement désorientées ou devenues folles que l’on découvre ces derniers temps dans les départements voisins.

Le procureur et le préfet alertés dans la nuit donnent l’ordre d’investir les lieux. Le GIGN investit simultanément le club et le domicile d’Alex à 6h01. Alex tiré de son sommeil par l’alarme infrarouge de sa propriété se barricade et tire sur les policiers. Prévenu par radio que le résultat de l’intervention est tristement positif, le préfet donne carte blanche au GIGN. Deux minutes plus tard, par chance ou malchance pour Alex, la balle à destination de son cerveau se dévie en traversant le triple vitrage et lui arrache la moitié de la main droite. Il est donc interpellé et transporté sous bonne garde au centre hôtelier.

Un mois plus tard, Alex est incarcéré à la maison d’arrêt de Fresnes en attendant son procès. Le père de Lucie étant gardien de prison dans une autre maison d’arrêt de la région parisienne, la solidarité fonctionne pour rendre la vie d’Alex particulièrement odieuse. Les détenus sont parfois de véritables sauvages mais lorsqu’ils apprennent qu’un pédophile et violeur d’enfants et dans les murs, la vie du détenu accusé de ces horreurs est un véritable calvaire et ne tient qu’à un fil. Ales nie, c’est faux, elles étaient toutes majeures mais on ne le croit pas. Il ne connaîtra pas la honte du jugement il a été retrouvé mort une semaine plus tard avec son propre sexe dans sa bouche.

Ecrivaillon

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Lundi 5 août 1 05 /08 /Août 16:46
Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Jeudi 2 mai 4 02 /05 /Mai 12:51

Lope encagé au glory hole par Maîtresse Sophie

« Je cherche une Maîtresse pour faire de moi un esclave sexuel, une lope, un trou à bite » c'est ce qu'Alexandre, dit trav-maso, écrivait dans son annonce. LE PAUVRE !

Il n'est pas rare de voir ce type d'annonce sur des sites de rencontre, publiées bien souvent par des TV en manque ou des soumis qui fantasment. Si très souvent elles font fuir les Maîtresses d'une certaine classe, elles offrent toutefois des perspectives économiques à ceux et celles désirant en faire un bisness.

Le jour ou trav-maso a reçu un message de Maîtresse Sophie il n'en croyait pas ses yeux. Méfiant au départ, il voulut savoir si elle était vénale mais elle sut le rassurer en lui indiquant qu'elle ne demandait pas d'argent, par contre qu'elle était une Maîtresse gynarchique impitoyable. Le rendez-vous fut pris dans une brasserie où il devait se présenter avec un beau bouquet de rose rouge à la main, en guise de signe de reconnaissance.

Si Maîtresse Sophie lui avait donné rendez-vous dans une brasserie, ce n'est pas un hasard, elle ne désirait pas lui indiquer son adresse car ses projets d'une perversité rare imposaient une certaine prudence. Après une demi-heure de métro parisien où il devait la suivre à distance, elle le fit entrer dans son donjon puis lui ordonna de se mettre entièrement nu avant d'entrer dans une cage d'esclave. Si trav-maso convaincu d'avoir trouvé sa reine était heureux comme un prince, il s'étonna toutefois de l'épaisseur des barreaux de la cage et du cadenas de très bonne taille. Il ne risquait pas de s'échapper.

En guise de pot de bienvenue, elle lui passa une gamelle à travers les barreaux puis vida une bouteille d'eau contenant un mélange réalisé par un ami pharmacien. Trav-maso but donc à la gamelle comme un chien un mélange de drogues, d'excitants puis un produit affectant la mémoire et donnant soif. Esclave sexuel il voulait être, esclave sexuel il allait devenir mais pas comme il l'entendait....

Pour dire les choses clairement, Alexandre dit trav-maso rêvait d'être féminisé de force et enculé par plusieurs mecs bien montés pendant les soirées qu'il avait de libres. En clair, il cherchait son plaisir et non pas à être esclave !

Lope encagé au glory hole par Maîtresse Après l'avoir drogué, Maîtresse Sophie commença par le déphaser en affectant son sommeil. Réveillé toutes les deux heures par Maîtresse ou son assistante, une brune cruelle et sadique, trav-maso commença par perdre toute notion d'heure. Il dut mettre une cage de chasteté et lécher le cul pas très propre de l'assistante ce qui lui posa quelques problèmes vite réglés par Maîtresse Sophie avec un appareil électrique dont les décharges sont dès plus mordantes. Soit disant pour préparer son « trou à bite », elles l'obligèrent à se mettre à quatre pattes dans sa cage les fesses contre les barreaux. Maintenu dans cette position par une chaîne, il offrit sans aucune résistance son anus à sa Maîtresse qui lui colla deux suppos de drogue supplémentaire et un plug de bonne taille.

Entre les drogues et ce traitement BDSM, en 24 heures, trav-maso devenait réellement une lope sans force. Conduit aux toilettes pour ne pas dire soutenu par les filles, il put se libérer et du subir un lavement puis une douche éclair assis dans une baignoire pour qu'il ne tombe pas. A nouveau comblé par un plug de bonne taille, trav-maso pu rejoindre sa cage à quatre pattes guidé comme un « brave toutou ». Le cumul des drogues, de la cage de chasteté et l'environnement particulier dans lequel il était, trav-maso commença à fantasmer puis à délirer en attendant la soi-disant soirée où il allait être offert en bonne petite chienne à baiser.

Lope encagé au glory hole par Maîtresse Le lendemain et après trois réelles heures de sommeil, la chienne fut cagoulée et conduite dans un glory hole pour ses premières pipes. Lorsque une première bite passa à travers le trou Maîtresse Sophie insista sur le fait qu'il ne devait pas la décevoir. Il s'appliqua donc à faire ce qu'il lui était demandé mais sans réelle expérience en la matière, hormis quelques amusements avec un gay rencontré une paire de fois. Maîtresse Sophie du intervenir et le guider pour qu'il soit rentable, car au rythme où il allait, les clients ne risquaient pas de jouir, à moins qu'ils soient en manque et éjaculateurs précoce ! Les deux soumis convoqués pour la circonstance eurent donc une pipe à l'œil sans voir qui la leur faisait mais qu'ils jugèrent à peine satisfaisante.

Trav-maso se fit engueuler copieusement et reçu quelques coups de martinet mais à ses réactions de défense et ses cris de bête qu'on égorge, Maîtresse Sophie jugea qu'il avait encore besoin de 24 heures de « formation » avant de pourvoir être rentable. A tour de rôle avec son assistante, elles lui firent tailler des pipes gloutonnes à leur gode-ceinture à travers la cage devenue son lieu de résidence.

LE LENDEMAIN

Après le lavement et la douche, trav-maso fut conduit dans un club mixte particulier. Coupé en deux zones, la zone gay et la zone hétéro, ce club contenait une pièce particulière aménagée pour le service sexuel pas toujours volontaire....

D'un côté de la pièce, un glory hole permettant aux clients de passer leur bite à travers un mur. De l'autre côté du mur, une mentonnière et des sangles maintenaient la tête du suceur ou de la suceuse ne pouvant plus se rétracter une fois entravé. De l'autre côté de cette pièce très étroite, un gros trou fait dans la cloison permettait d'y passer les fesses du même esclave puis de les bloquer par une barre en fer cadenassable. Coincé entre ces deux murs, trav-maso aux lèvres maquillées d'un gros rouge désirant être un esclave sexuel et un trou à bite allait être servi !

Au cas où un client hétéro aurait l'idée de regarder par le trou du glory hole, la zone était volontairement sombre et la pièce où se trouvait trav-maso dans le noir total. Côté hétéro il était indiqué au dessus du trou « la pipe à 5 euros pour lui permettre de prendre un verre ». Un savant jeu de câbles permettait aux clients de tirer sur des pinces à seins japonaises posées sur les tétons de trav-maso si la pipe n'était pas satisfaisante. Cette nuit là, la bouche de trav-maso rapporta 80 euros à Maîtresse Sophie.

Côté gay, la carte donnée à l'entrée prévoyait une boisson et un cul à baiser ce qui donnait un certain charme au club nous en conviendrons. Négocié 100 euros la soirée, le cul de trav-maso fut visité 18 fois par des membres parfois très brutaux. En fin de nuit, pour l'after des gays, trav-maso totalement épuisé servit de latrine dans les douches histoire de satisfaire les fêtards amateurs d'uro. La lope fut quasiment portée jusqu'au coffre de la voiture de Maîtresse Sophie tant elle étant vidée d'énergie.

Enfermé dans sa cage avec son éternelle gamelle de drogue, il trouva ce soir là le sommeil immédiatement.

EPILOGUE

Trav-maso trouva donc chez Maîtresse Sophie la réalisation de ses fantasmes : être un esclave sexuel et des trous à bite. La problématique majeure est qu'il perdit son emploi, ses comptes bancaires et sa maison furent saisis sans même qu'il ne le sache. Il essaya bien de se révolter mais un esclave n'a qu'un droit : tout accepter ou mourir dans d'atroces souffrances en étant livré dans une soirée pour une Snuff movies, où les places s'arrachent à prix d'or pour assister à la mise à mort d'une soumise ou d'un soumis.

La première révolte de trav-maso complètement abruti par les drogues fut vite réglée par une séance de fouet particulièrement hard dont on peut trouver la vidéo vendue sur le net. Sa deuxième révolte fut plus ennuyeuse pour le club et signa son arrêt de mort quand il mordit un client très sale.

La Snuff movies le conduisant à la mort lui « offrit » deux avantages. Le premier c'est de connaître le sub espace et de prendre un plaisir fou quelques minutes malgré les horribles douleurs. Suspendu nu par les bras et par le cou puis offert sans cage de chasteté à des clients particulièrement sadique, il put à loisir se tordre et hurler librement. La deuxième fut la libération par la fin de son calvaire quand son cœur s'arrêta de battre.

Message à l'attention de ceux qui écrivent « je veux être un esclave sexuel, une lope, un trou à bite » : attention, le mot esclave est bien différent du mot « soumis ».

TSM journaliste de Fessestivites.com

Les photos sont ici

http://www.fessestivites.com/fre/Article/15_Domination-feminine-Gynarchie-SM-chastete-camisole/albums/4288_Lope-encage-au-glory-hole-par-Maitresse-Sophie.html

La vidéo de son apprentissage est ici

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/7_BDSM-homme-soumis-Gynarchie-SM/2840_Lope-encage-au-glory-hole-par-Maitresse-Sophie.html

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Dimanche 28 avril 7 28 /04 /Avr 11:34

Alexandre le fermier sadique du Vercors

Alexandre aime les femmes, comme tout le monde me direz-vous, sauf que lui a une particularité réellement hors norme : il les enlève et les maltraite avant de les faire disparaître dans le ruisseau des Blandis.

Niché au creux des poumons, il y a un organe qui s'appelle le cœur. Tous les êtres humains en ont un. Tous sauf lui. A sa place, il y a un bloc de fonte que rien n'atteint. Il mesure 1.80, pèse 90 kilos de muscle et déteste qu'on le contrarie et ne supporte pas la moindre frustration.

Sa ferme quasiment en ruine est située sur la commune Les bayles, pas très loin de Grenoble où il va chercher ses proies à la gare. Il leur promet monts et merveilles et comme il choisit des femmes en état de faiblesse, elles tombent dans ses filets avec une facilité déconcertante. Son approche est celle d'un séducteur, soi-disant veuf depuis 10 ans qui cherche à recommencer sa vie. Il ne leur cache pas qu'il a des tendances BDSM mais ultra modérées et toujours respectueuses. Son désir est d'après-lui de rendre heureuse la femme qui illuminera son cœur puis de lui permettre de vivre des moments de plaisir en plus d'une vie simple et équilibrée à la campagne à deux pas d'une grande ville.

Il se montre en cam sur skipe à la moindre sollicitation dans la seule pièce encore en bon état de la maison en exposant en arrière le plan d'une magnifique cheminée en pierre. En espérant le bonheur, ses proies déchantent vite mais alors très vite. Sous prétexte d'entendre un bruit suspect dans sa roue avant droite de sa voiture, il s'arrête sur le bord d'une petite route puis à la première occasion pose un tampon de chloroforme sur le visage de la fille. Elles essaient de résister quelques secondes et se débattent mais entre ses bras ultra musclés et ceux des filles surprises, la lutte est inégale.

Alexandre le fermier sadique du Vercors

Enchainée dans un ancien poulailler, Christelle rage, peste et se débat depuis une semaine chaque fois qu'il l'approche et la viole. Il aime sentir cette résistance, cela le fait bander. Si elle s'offrait à lui il n'y parviendrait pas, seule la violence, la souffrance et les rapports de force le font bander. Affamée Christelle a fini par manger comme une chienne, chose qu'elle n'aurait jamais imaginée. Elle a fait voler à coups de pieds les deux premières gamelles qu'il lui a apportées mais la soif a eu raison de sa résistance. Pour ne pas gâcher cette nourriture, il a mis quelques poules avec elle pendant trois jours. Ces innocentes volailles ont commencé par picorer les poids rependus sur le sol puis se sont approchés d'elle pour essayer de picorer les grains de poussières qu'elle avait sur son corps. Ce n'est pas qu'elle est peur des poules, mais mains enchaînées dans le dos, quand elles viennent picorer son corps dans son sommeil elle bondit de peur à chaque fois.

Alexandre le fermier sadique du Vercors

Pour la convaincre de lui faire une pipe sans le mordre, il est venu avec sa hache et une énorme buche de bois qu'il a fendue en deux d'un simple coup. « Si tu me mords, je te coupe un pied de la même façon » lui a-t-il dit quand il a introduit son gland fétide dans sa bouche. Ses rapports sexuels sont toujours un mélange de vulgarité et de violence pure. Tout en lui maintenant la tête de sorte qu'elle ne puisse aucunement se dérober, il commence par lui défoncer la gorge puis, en fonction de ses envies, il la viole ou déverse son sperme au goût musqué. Souvent, après avoir recraché et toussé quelques instants elle se met à vomir et pleure toutes les larmes de son corps.

Alexandre le fermier sadique du Vercors

Alexandre le fermier sadique du VercorsAlexandre a envie de nouveauté puis de jouer avec des femelles, deux femmes câlinant ensembles sur une vidéo porno lui en ont donné l'idée. Elle s'appelle Angélique, comme bien d'autres filles elle découvre la ferme de l'enfer quand il la dépose nue comme un sac de pomme de terre dans la paille près de Christelle affolée.

- Je t'ai emmenée de la compagnie ! Dit-il en enchainant les mains d'Angélique à un des gros anneaux d'acier rouillé par le temps. On va bien s'amuser les filles et puis, vous pourrez vous câliner et baiser toutes les deux pour le plaisir de mes yeux ou pour vous réconforter. Allez roulez-vous une pelle salopes !

Les filles sont éberluées par ce qu'elles viennent d'entendre, elles se regardent un instant avant de se mettre à pleureur de concert. Dans la tête d'Angélique l'horreur vient de s'installer quand elle a compris quel serait son nouveau mode de vie.

Alexandre isère sadique

Alexandre isère sadique- Hmm ! Je suis sûr que cette fille va nous faire passer d'agréables moments! Dit-il avant de ravaler sa morve d'un coup de snif bruyant. Allez embrassez-vous ! Lance Alexandre très excité par ce concert de pleurs.

Si Christelle est prête à faire ce qu'il demande pour ne pas être fouettée, il n'en est pas de même pour Angélique qui n'arrive pas encore à admettre sa nouvelle condition de vie. Elle tire comme une dératée sur les chaînes mais en vain, elle est bien piégée. Christelle quant-à elle se recule pour ne pas prendre les coups de pieds que donne sa nouvelle compagne en proie à la panique. Alexandre interprète cela comme de la rébellion, un refus pur et dur des femelles de son cheptel. Il saisit son énorme fouet noir et s'approche d'elles avec un sourire carnassier posé sur les lèvres.

Alexandre le fermier sadique du VercorsRoulées en boule, elles essaient de protéger leur visage, les coups de fouet d'une violence rare s'abattent sur leurs corps agités de soubresauts de douleur. Les cris qu'elles poussent galvanisent le fou du Vercors qui s'en donne à cœur joie. Christelle supplie Angélique de faire ce qu'il leur demande et s'approche d'elle. La voir commencer à embrasser le visage baigné de larme de sa nouvelle victime le calme un peu, ni une ni deux il ouvre son pantalon et se branle comme un malade puis vient éjaculer sur ses victimes sans tarder tant cette séance de fouet et ces cris l'ont excité.

Deux jours plus tard, affranchie par Christelle, Angélique n'oppose plus de résistance pour manger ou boire. Pour les câlins lesbiens non plus quand il vient prendre son moment de spectacle à une nuance prêt, elles doivent se lécher les « trous » même quand il y a déversé son ignoble semence. Ce qu'il affectionne, c'est les voir s'embrasser ou se brouter la chatte en faisant un 69.

Récit érotique hard viol abuseAngélique est étendue sous Christelle, elle s'applique à faire ce qui lui est demandé quand soudain dans son champ de vision, elle voit apparaître son pénis gorgé qu'il masturbe à pleines mains. Quand il s'allonge sur elles, Angélique est aux premières loges pour assister à un viol. La pénétration est brutale, sauvage, l'assaut du bélier de chair dure et brûlante ravage son sexe un instant avant de prendre un autre chemin plus étroit.

Alexandre sourit à la pensée des cris à venir quand l'étroit conduit va devoir gober sa grosse bite. Ses yeux exorbités par l'effroi reflètent la haine de Christelle puis la douleur intense qui ravage ses reins quand il entreprend de l'enculer. L'idée qu'elle va être forcée par derrière comme une bête par ce monstre la rend malade de dégoût, de honte et de terreur. D'une seule poussée il s'enfonce dans l'anus vierge et contracté. Christelle pousse un cri de bête blessée en se débattant inutilement sous Alexandre, dont la force herculéenne a toujours raison de la résistance des filles. Par chance si l'on peut dire ainsi, Alexandre est un éjaculateur précoce, il déverse rapidement un flot de sperme épais en son ventre profané.

Alexandre parti, Christelle est accroupie, la respiration haletante de cette horreur qu'elle vient de subir, elle peine à trouver des mots, elles pleurent silencieusement l'une contre l'autre. Angélique embrasse doucement sa sœur de peine pour essayer, non pas de la consoler, mais pour l'aider à surmonter l'horreur qu'elle vient de subir.

10 HEURES

Si l'anneau d'acier a résisté à la force d'une fille, face à la force du désespoir de deux filles acharnées et décidées à survivre, le ciment a fini par céder. Le paysan qui n'a eu d'autres choix que d'arrêter son véhicule pour ne pas les écraser n'en croyait pas ses yeux. Quand il est descendu de sa camionnette et qu'il a vue ces deux femmes nues, le corps strié de la tête aux pieds enchainées à un anneau, il a commencé par faire le signe de croix.

6 HEURE LE LENDEMAIN

Un bataillon de police encercle la propriété, le GIGN est prêt à intervenir. En guise de réponse aux sommations, Alexandre a tiré un coup de fusil. Trois heures plus tard, le préfet donnait l'ordre attendu car les regroupements faits par les inspecteurs de police, localisaient enfin le tueur en série du Vercors considéré comme une bête sadique.

Les trois tireurs délite dépêchés sur place attendaient le moment crucial pour en découdre avec ce tueur qui tirait sur tout ce qui bougeait autour de sa ferme. Quand le volet de bois est parti en éclat sous la charge d'explosif, une balle de fort calibre est entrée entre les deux yeux d'Alexandre emportant avec elle l'histoire de 18 autres filles maltraitées et assassinées.

« Un fou de moins qui ne gâchera pas nos impôts en prison » fut la pensé du tireur d'élite.

TSM Journaliste de fessestivites.

Les 122 horribles photos sont ICI

http://www.fessestivites.com/fre/Article/27_Hard-OU-tres-violent/albums/4263_Alexandre-le-fermier-sadique-du-Vercors.html

 

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