Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 19:51

Le pensionnat infernal (Viol / abus )

Par TSM journaliste de Fessestivites.com

Le pensionnat infernal

Laurie est une jeune fille mise au pensionnat par des parents qui trouvaient par ce prétexte de bonne famille, un moyen de se dégager de l'éducation de sa progéniture. Le corps et les sens de cette jeune et charmante jeune fille se développent, générant des envies de sexe et de plaisir. Dans les chambres, les filles parlent souvent de sexe entre elles ce qui n'apaise en rien les libidos exacerbée. Il est bien connu que le vice se développe parfois par rapport aux défis que l'on se lance, c'est grâce ou à cause de cela que Laurie est entrée un jour dans un sexe shop et s'est offert quelques accessoires.

Lors des douches, Laurie s'est approchée d'une des filles qu'elle croyait être une amie et sous le prétexte de l'aider à se savonner le dos, les premiers échanges et câlins furtifs lesbiens de notre jeune pensionnaire virent le jour. Elles prirent donc l'habitude d'aller prendre leur douche ensemble après tout le dortoir, histoire de partager, dans une intimité à hauts risques, quelques moments de tendresse. La directrice guidée par une rapporteuse les a piégée un dimanche.

Laurie et sa copine furent convoquées chez la directrice et c'est là que la pseudo amie de Laurie fit tout ce qu'elle pouvait pour la charger en prétextant que cette dernière essayez d'abuser des jeunes filles du dortoir. D'un naturel fougueux, restée seule avec la directrice, notre étudiante c'est rebellée en indiquant qu'elle n'aimait pas les hommes avant de devenir très insultante. Cet aveu généra de monstrueuses envies à la directrice, un véritable rapace assoiffé de sexe. Niché au creux des poumons, il y a un organe qui s'appelle le cœur. Tous les êtres humains en ont un. Tous sauf elle. A la place, il y a un bloc de fonte que rien n'atteint.

L'inspection du dortoir lui permit de découvrir des objets interdits dans un pensionnat et que Laurie appréciait toutefois les godemichets. Bien décidée à profiter de la situation pour se croquer une jouvencelle, la directrice décida d'en abuser.

Etant en position de faiblesse physique et hiérarchique puis fautive, hormis se plaindre et crier des « non » inutiles, se fit dans un premier temps tripoter sous prétexte d'inspection. Morte de honte lorsque la directrice lui introduit un doigt dans son vagin de jouvencelle, ce dernier révéla qu'il n'était plus vierge et déjà bien rodé à des introductions d'objets de plus grosse taille. Quelques explications et gifles plus tard, la pauvre Laurie était branlée par une main experte ce qui généra une lubrification spontanée, naturelle et surtout généreuse de la vallée des plaisirs.

- Je savais bien que tu es une grosse salope soumise ! Hurla la directrice en étalant de la mouille sur le visage de Laurie. Je vais t'éduquer et te faire vivre bien plus que ce que tu as vécu jusqu'à présent, croit-moi.

Piégée, humiliée, sans aucune possibilité d'échappatoire, Laurie se laissa tripoter et prendre par les doigts de la directrice vautrée sur elle et cherchant sa bouche. A force de persuasion et de savoir faire, bien qu'encore jeune, la petite grotte s'ouvrit sous l'insistance des doigts experts qui finirent par la pénétrer entièrement. A 18 ans, notre pensionnaire vivait donc son premier fist en râlant de plaisir et tout honte bue.

- Pour t'apprendre ce qu'est la vie, je vais t'offrir bien plus que ma main petite garce ! Déclara la directrice sans que Laurie ne puisse comprendre l'enfer qui l'attendait en guise de cadeau.

Abandonnée quelques minutes, Laurie se morfondait en se posant mille questions sans imaginer un instant que la directrice offrait parfois des pensionnaires aux surveillants en guise de prime et d'outils de management. Lorsqu'elle vit entrer quatre hommes affichant un sourire banane, elle crut défaillir rien qu'en s'imaginant que la directrice allait leur dire qu'elle gouinait.

- Elle est à vous messieurs, éduquez-moi cette jouvencelle qui déclare ne pas aimer les hommes et qui se gode le soir sous ses couvertures.

Le sol se dérobât sous les pieds de Laurie à cette annonce. Qu'elle soit révoltée et crie des « non » désespérés ni changea rien, les quatre surveillants l'attrapèrent et entreprirent de la dévêtir ou plutôt d'arracher les derniers remparts de sa pudeur. Entre les gifles et menaces puis poignets de cheveux arrachés, Laurie finit par prendre en bouche le sexe du premier des quatre surveillants pendant que les autres la tripotaient sans vergogne. Ses larmes et réfutations désespérées ni firent rien, quelques minutes et pipes forcées plus tard, maintenue étendue jambes écartées sur un lit elle fut prise de force. Sous l'effet de la saillie sauvage, elle n'était plus qu'une marionnette de chair offerte en pâture.

Infatigable et pervers, il la posséda en rallant comme un loup solitaire qui croquerait une brebis. Son membre épais et volumineux entrait et sortait dans un bruissement visqueux.

De petits cris ponctuaient les gémissements continuels. Les mains de Laurie fouettaient l'air tentant alternativement de repousser l'un puis l'autre des surveillants approchant leur sexe bandé de son visage. Elle se mit à pousser de temps à autre quelques râles étouffés pour causse de sens troublés par le doigt rugueux qui caressait doucement le capuchon de son clitoris pendant que l'on malaxait ses seins et la prenait d'une manière soutenue. Toute résistance avait quitté Laurie, elle laissait manipuler comme un pantin sans vie, sans volonté. Sans comprendre pourquoi, elle avait honte, peur et en même temps elle ne restait pas insensible à cette verge, la première de sa vie, son hymen s'étant déchiré lors de ses jeux intimes. La sueur coulait de son corps, se mélangeant à la cyprine qui suintait de ses lèvres congestionnées, largement ouvertes lorsque son violeur se retira.

L'intimité vulnérable de la jeune fille haletante, ne put se dérober ni échapper à l'intrusion d'une seconde bite. Sous les assauts incessants de ses violeurs, elle finit, malgré la souffrance et l'humiliation, par éprouver des sensations voluptueuses étranges, si vives, si bouleversantes, qu'elle feulait doucement. L'onde de plaisir montait dans son ventre en se disputant avec la raison. A ce moment là, sans savoir pourquoi ni ce qui la poussait à ce geste qu'elle n'aurait jamais imaginé faire un jour, elle attrapa les bites tendues vers elle et se mit à les branler.

Là où les choses se gâtèrent, c'est lorsqu'un doigt se mit à visiter son petit trou, ce coin interdit et sale qu'elle n'avait jamais exploré. Laurie comprit tout de suite que le doigt préparait le chemin à un sexe. Malgré ses « non » désespérés, elle fut rapidement prise par l'anus et hurla de douleur et de honte. Les fesses en l'air, elle fut sodomisée, couchée sur ses épaules, les jambes derrières la tête avec absolument aucune possibilité d'y échapper. Le surveillant profana l'intimité étoilée aux chairs délicates de son vit de rustre avec un rythme soutenu pendant qu'un autre lui arrachait presque les cheveux pour l'obliger à prendre son sexe dans sa bouche. Lorsqu'il décharge dans sa bouche, elle ne peut se dégager de la poigne de fer qui l'obligeait à recevoir au fond de sa gorge le sperme visqueux. Il continua de s'enfoncer pour mieux se vider, son gland heurta la luette et généra des spasmes dont il n'avait que faire.

Retournée comme une crêpe, elle fut prise par les deux hommes en même temps. Bien que préparés à cette double saillit par ses viols précédents, elle éprouva des douleurs au départ mais être ainsi envahie, prise ainsi et avoir sa poitrine malaxée par deux mains lui fit perdre la tête à nouveau. Emportée malgré elle dans un orgasme d'une intensité jamais atteinte, elle se sentait plus honteuse que jamais d'être prise par les deux hommes et d'y trouver tant de plaisirs. Son anus épanoui et son ventre fouillé s'extasiaient de plaisirs enivrants, prise et totalement comblée, Laurie perdait la tête et déraisonnait totalement. Elle prit d'elle-même sans qu'on ne la force, une verge bandée à rompre se présentant devant elle pour ce mettre à la sucer.

Jamais au grand jamais elle n'aurait fait ça à un garçon en d'autres temps, mais sa monstrueuse jouissance avec la directrice puis celles éprouvées de suite après avec les surveillants l'avaient métamorphosée. La directrice s'y mit aussi, armé d'un gode ceinture sorti du tiroir de son bureau, témoignant ainsi aux yeux de tous, qu'elle se plaisait elle aussi à prendre les filles du pensionnat.

Toutes ces caresses sur son corps et ses orifices distendus, longuement pénétrés lui semblaient insupportables mais en même temps comment échapper aux terribles ondes nerveuses traversant ses fourreaux intimes ? Son corps refusait purement et simplement tout les signaux d'alerte de la morale !

Rompue de jouissances, sans plus aucune capacité de résistance à quoi que ce soit, elle se laissa porter et asseoir sur le sol où elle fut entourée par les surveillants bite à la main. Dans un dernier élan solidaire, ils se branlèrent jusqu'à la jouissance pour éjaculer sur son visage de jouvencelle comme des conquérants manquant leur territoire.

Abandonnée seule, à même le sol, elle n'eut même pas l'idée de débarrasser son visage souillé de sperme, c'est la directrice qui le lui fit demi-heure plus tard avec un gant et de l'eau chaude. Laurie était bouleversée par toutes ces bouches qui lui avaient embrassée et sucée les seins, ces dents qui lui avaient mordillé les mamelons, ces mains qui avaient courues sur son corps, ces doigts qui s'étaient fixés obstinément entre ses cuisses, entre ses fesses, et qui l'avaient menée à la jouissance... contre son gré.

Et là, la directrice redevenue souriante, complice qui la caressait avec douceur, parachevait définitivement la déroute phycologique et morale de Laurie. Les attouchements sensuels et un appareil vibrant posé sur son clitoris, la directrice parvint à générer des spammes aux corps de la jouvencelle si bien que cette fois, elle se laissa fister sans aucune honte ni pudeur jusqu'à l'extase totale et dans une impudeur surprenante.

En perdition psychologique totale, lorsque la directrice attira ensuite son visage vers sa chatte trempée, Laurie se mit à la laper comme pour la remercier.

TSM journaliste de Fessestivites.com

Les photos sont ICI

http://www.fessestivites.com/fre/Article/27_Hard-OU-tres-violent/albums/3554_Pensionnat-infernal-Histoire-photos-et-videos.html

Les quatre vidéos sont ICI

Le pensionnat infernal 1

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1920_Pensionnat-infernal-1.html

Le pensionnat infernal 2

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1919_Pensionnat-infernal-2.html

Le pensionnat infernal 3

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1918_Pensionnat-infernal-3.html

Le pensionnat infernal 4

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/1917_Pensionnat-infernal-4.html

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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