Lundi 26 novembre 1 26 /11 /Nov 15:35

Guillaume un ABDL enlevé par deux folles qui vont lui faire vivre un calvaire ABDL

Guillaume est un jeune homme attiré depuis des années par l'ABDL. Dans son intimité, il se plait à rêver de rencontrer une nurse qui prendrait soin de lui. Pour satisfaire ses envies de pseudo contraintes d'obligations, il porte des couches la nuit et pratique un peu de self bondage ce qui le met dans des états d'excitation démesuré.

 

Il lui arrive de sortir de chez lui en couche avec une chaine et un cadenas en guise de ceinture en laissant bien sûr les clés à la maison. Savoir qu'il n'a pas d'autre choix que de faire pipi dans sa couche génère en lui des sensations divines, même dans les rayons du supermarché du coin. Pour vivre ses passions et rêves de contraintes ABDL, il s'est offert par deux fois un cadenas à combinaison géré par Fessestivites.com.

La première fois, il s'est mis en couche puis a cadenassé son pantalon de 20h à 8h le matin. Sa nuit fut courte et peuplée de songes érotiques les plus fous. La seconde fois, Guillaume a mis la barre plus haut et s'est fait de grosses sensations et frayeurs. Le cadenas fermé à 20h, il dut donc attendre jusqu'à midi le lendemain mais la nature étant ce qu'elle est, refreiner ses envies de déféquer fut difficile. Difficile mais grisant car les fesses et cuisses serrées, son épiderme était comme des capteurs sensoriels, un simple courant d'air l'enflammait. Plus d'une fois, son corps pris de contraction se révoltait mais il était parvenu à ne pas faire dans sa couche tout en se faisant de grosses peurs.

Les cadenas d'ABCplaisir c'est bien, c'est grisant, mais cela ne remplacera jamais la douceur féminine d'une nurse. Il se mit donc en recherche d'une femme sur internet pour s'occuper de lui tout en rêvant de rencontrer en même temps l'élue de son cœur. Après deux mois de recherche et de plaisir solitaire, il parvint à avoir un contact sérieux. La fille prudente lui imposa de lui donner son numéro de téléphone et d'avoir une discussion téléphonique pour faire connaissance. Karine l'appela en masqué pour ne pas se dévoiler, chose qu'il accepta de bonne grâce en comprenant la logique de prudence.

LE RENDEZ-VOUS

Le rendez-vous eu lieu un vendredi soir dans une brasserie. Vers 18 heures, en couche comme lui avait imposé Karine, Guillaume l'attendait sur la terrasse de la dite brasserie avec un bouquet de roses posé en évidence sur la table en guise de code. Ce n'est pas qu'il soit particulièrement timide, mais se présenter en couche même cachée par son pantalon devant une femme, l'intimidait énormément. Plus d'une fois il se traita de fou et faillit partir...

- Bonjour Guillaume ! Lui dit une superbe brune avec des mèches rousses presque rouges dont le sourire et le visage affichaient une sévérité naturelle, laissant paraître qu'il devrait être sage s'ils trouvaient affinités.

Lorsqu'elle attrapa une seconde chaise, Guillaume fut surpris puis atterré dans les secondes qui suivirent, en voyant une seconde fille blonde très complice venir prendre place à leur table.

- Je te présente mon amie, mon amie intime si tu vois ce que je veux dire ! Lui indiqua Karine sans être gênée d'annoncer son homosexualité.

Une heure plus tard, Guillaume parlait de lui sans aucune gêne, les filles ayant tout fait pour le mettre à l'aise. Si bien que lorsqu'elles lui proposèrent de venir chez elles pour le changer, il accepta timidement mais sans aucune méfiance. A peine arrivé dans un très coquet appartement, il dut prendre place sur un magnifique canapé en cuir et trinquer au champagne pour fêter leur rencontre. Si pour Guillaume son rêve de rencontrer l'âme sœur s'envolait, celui de rencontrer une nurse se réalisait doublement, la blonde prénommé Lucie ayant également une passion pour le nursing.

Il commença à chanceler à la seconde coupe de champagne, sa tête devint aussi lourde que ses paupières. Aidé plus que guidé par les filles, il se laissa conduire à une chambre d'enfant pour adulte jusqu'à un très grand lit à barreau. A peine étendu, ses paupières aussi lourdes que du plomb ne purent résister. Il s'endormit comme un bébé en perdant totalement conscience des réalités.

Un quart d'heure plus tard, Guillaume était vêtu comme un bébé avec une couche bien épaisse sans avoir pu apprécier que des filles s'occupent de lui à cause des drogues ajoutées généreusement dans son champagne. De solides et multiples sangles médicales l'entravaient sévèrement lui interdisant toute fuite. Ce n'est qu'au matin, lorsqu'il voulut apaiser une démangeaison, qu'il découvrit en se réveillant qu'il ne pouvait réellement bouger. Le réveil fut rude pour cet ABDL !

Il s'agita dans ses liens médicaux comme un forcené mais en vain, ce matériel médical est justement fait pour maîtriser des adultes. Il se mit donc à appeler puis à hurler ce qui ne changea rien, hormis faire monter son adrénaline et son angoisse. Bien plus tard et après cent mille questions sans réponse, les filles entrèrent dans la chambre. Comme l'on peut s'en douter, ses demandes, ses ordres puis ses suppliques pour être libéré restèrent vaines.

- Ecoute-moi bien Guillaume, soit tu te calmes soit je te castre ! Lui indiqua Karine en entrant dans l'énorme lit pour poser la main sur la couche, juste à l'endroit où cela fait mal quand on écrase ce qui est dessous.

Malgré ses suppliques maintenant désespérées rien ne se passa. Karine affichait un regard toujours aussi sévère.

- Je te fais le bilan, si tu me coupes la parole, je te castre. Comme tu l'as compris, nous sommes deux lesbiennes, nous aimons les couches et le BDSM. Nous aimerions avoir un enfant. Tu as été sélectionné parmi les tonnes de contacts que nous avons eus pour nous permettre de nous essayer, en clair, de voir si avoir un bébé est possible pour nous.

- Oui je comprends, mais pourquoi m'attacher alors que j'étais volontaire ?

- Parce que le test peut durer quelques jours et nous désirons essayer 24h sur 24h sur une durée que nous ne maitrisons pas.

- Désolé de vous ennuyer dans vos projets mais j'ai un travail, lundi il faudra que j'aille bosser.

- Lundi tu feras ce que nous déciderons que cela te plaise ou non, un bébé n'a pas d'ordre à donner.

- Allez vous faire foutre ! Hurla Guillaume furieux en se démenant comme un beau diable.

 

Un grand coup de pied dans la couche calma aussitôt ses ardeurs, un second le fit taire tant par la douleur que le souffle coupé. Lucie ravie de voir que son amie maîtrisait la situation, s'approcha avec un grand sourire et un biberon de Blédine bourré de tranquillisants et de laxatifs, Karine désirant réellement que son amie Lucie vive tous les effets d'une maternité.

Après quelques réfutations d'usage, Guillaume n'eut d'autres choix que d'abdiquer et de boire le biberon que Lucie lui donnait à travers les barreaux du lit. Dans un sursaut de désespoir, il se mit à hurler, chose que Karine n'apprécia pas tout comme le service trois pièces sous la couche qui n'amortit pas grand-chose.... Furieuse, elle alla chercher un bâillon dans leurs jouets BDSM et le lui imposa manu militari. Guillaume décomposé en relâchant sa vessie malmenée pleurait comme un bébé lorsqu'elles quittèrent la chambre.

LE SAMEDI MIDI

En guise d'apéritif, Lucie dut venir changer le bébé qui s'en rendit compte mais cette fois sans réfutation, les tranquillisants et le somnifère anéantissant la prise de conscience des réalités. Son cul merdeux fut lavé et photographié sous tous les angles par Karine, une nouvelle couche fut posée. Lucie prit place dans le lit contre le « bébé » afin de s'adonner aux plaisirs des mamans qui donnent le biberon à leur enfant. La problématique et la chance de Guillaume, c'est qu'étant dans les « vapes » il avala de travers et se mit à vomir sur Lucie.

- Dégueulasse ! hurla Lucie en lui donnant des baffes en guise de réconfort.

- Ca cela fait partie des joies des mamans. Lui indiqua alors Karine avec un petit sourire en coin.

- Cela t'amuse toi qu'il ait vomi sur moi et qu'il se cague dessus ?

- Non cela ne m'amuse pas du tout, c'est écœurant, tu pues et il pue mais le pire c'est que tu vas tout nettoyer, car prendre un bébé c'était ton idée.

- Salope ! Hurla Lucie folle de rage.

- Tu as rendez-vous avec la canne anglaise dans trente minutes. Répondit Karine avec une voix calme, froide, posée que Lucie interpréta clairement. Tu me nettoies tout ça et surtout sans le détacher, n'oublie pas ton rendez-vous.

EPILOGUE

Trente minutes plus tard, Lucie s'allongea nue sur le banc à fessée avec des larmes dans les yeux pour y être solidement entravée. La punition fut à la hauteur de l'insulte, les six lettres du mot « salope » furent transformées en soixante coups de cannes très appuyés que Lucie n'est pas prête d'oublier.

Guillaume fut libéré après cette explication très claire :

« Pendant que tu dormais, j'ai pris ton sac et tes clés pour aller chez toi. J'ai assez de photos et d'informations pour te pourrir la vie et te faire perdre ton travail. Sur les photos on te voit vêtu en bébé, le cul plein de merde et en train de boire le biberon. A cela se rajoute que j'ai pris pas mal de photos de tes petits jouets et quelques-unes sur ton ordinateur, j'ai vue que tu ne t'ennuie pas quand tu es tout seul gros cochon. Si tu nous cherches des ennuies, je vais te pourrir la vie, à cela rajoute que raconter aux flics que tu aimes chier dans ta couche va les faire rire.... et te discréditer. En clair si tu nous oublies tu n'entendras jamais parler de nous. Si tu nous cherches des noises et je te pourris la vie car tu n'as aucune preuves de ce qu'il vient de t'arriver »

Guillaume s'est remis de cette aventure, il lui arrive même d'avoir envie de les revoir mais le pseudo de Karine n'existe plus.

TSM journaliste de fessestivites.com


La vidéo de Guillaume un ABDL enlevé par deux folles est ICI

https://fessestivites.com/media/6018


 

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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : ABDL & plaisir
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