Selfbondage

Vendredi 30 octobre 5 30 /10 /Oct 08:27

Dans cette histoire érotique de selfbondage, le piège n’est pas celui imaginé, il est à répétition.

Je m’étais attachée les jambes avec du cellophane et, pour ma séquence de selfbondage, j’avais coincé mon vibro dans ma culotte. Elle aussi était recouverte de cellophane très serré. Pour ce selfbondage, j’avais fait simple pour une fois, une corde avec un noeud coulant attachée à un des angles supérieur du lit, et une paire de menottes à l’autre angle.

Pour la libération, j’avais du attendre que mon ice-timer me rende les clés. Pour le fun, mes tétons avaient été équipés de pinces à sein soft, parce que cette fois, je ne voulais pas souffrir ni trop lutter, juste jouir plein de fois. Ce fut le cas.....

Lorsque ma colocataire est rentrée, j’étais quasiment libre. Il ne me restait à libérer que mes jambes et ma culotte. Par contre, ma petite cantine de matériel coquin et BDSM était encore dans le salon avec mon ordinateur encore ouvert sur Fessestivites. Au départ, elle a cru qu’il y avait quelqu’un à la maison, puis, en avançant, elle m’a découverte. La porte de ma chambre était grande ouverte, il y avait encore la corde et les menottes accrochées à la tête du lit.

En voyant son visage affolé, je me suis sentie obligée de la rassurer, de lui dire que tout allait bien. Son inquiétude s’est rapidement transformée en curiosité. Elle a regardé avec grand intérêt le contenu de ma cantine, avant d’afficher un sourire banane, le genre de sourire de fille qui semble te crier, qu’elle s’amuse de ta déconvenue. Elle est restée sur la pas de la porte de ma chambre, en me regardant me battre avec ce « putain » de cellophane.

- Mais qu’est-ce qu’il y a dans ta culotte ?

- Heu, tu sais que c’est gênant et que tu n’es pas obligée de jouer les voyeuses !

- Nous sommes entre filles ma belle, et puis si tu ne voulais pas être vue en train de te faire plaisir, tu n’avais qu’à fermer la porte de ta chambre.

- Oui et bien, ferme la porte s’il te plait !

Laurie a fermé la porte avec le même sourire moqueur affiché sur son visage. J’étais ultra gênée et furieuse, de m’être faite surprendre. Pour ce genre de chose, on préfère être seule... Lorsque vêtue normalement, je suis arrivée dans le salon, elle fouillait dans ma cantine.

- Ça va, ne te gêne pas !

- Oh, arrête un peu de faire la coincée que tu n’es pas, à ce que je vois..... ! M’a répondue Laurie en me montrant mon gode vibrant.

Pour ne pas répondre, je lui ai demandé pourquoi elle n’était pas partie comme prévu. Elle m’a répondu que la SNCF avait purement et simplement annulé son train, que le suivant était complet et que son week-end était mort car, partir le samedi après-midi pour rentrer le dimanche après-midi c’était idiot. Mais la garce a arrêté de fouiller, pour se pencher sur mon ordinateur et regarder Fessestivites.

- C’est quoi se site ?

- Un site coquin !

- Ah oui, quand même, on y voit de drôles de choses ! M’a dit Laurie en faisant un surf. Alors comme ça, tu aimes le BDSM, qu’on t’attache et qu’on te fasse des trucs cochons.....

- Cela ne te regarde pas !

- Mais qui te dit que je n’aime pas les trucs cochons moi aussi ? Et si, au lieu de se disputer on se commandait une pizza et qu’on se raconte un peu nos petits délires ?

Sachant que Laurie est une lesbienne, je voyais où elle voulait m’emmener. Cela ne me branchait pas de coquiner avec elle, trop proche, cela ne pouvait que devenir un sac d’embrouilles. Elle a continué de profiter de ma déconvenue pour me demander si, je m’attachais souvent toute seule, ce que je pouvais éprouver en faisant ça.

Pour la contrer et, à mon tour la mettre mal à l’aise, je lui ai proposée d’essayer. A ma grande surprise, en me répondant « volontiers » Laurie m’a prise à mon propre piège, pour la seconde fois de la journée. « Ah tu veux jouer, tu vas souffrir » fut ma pensée du moment. Sans lui laisser le temps de réfléchir, j’ai attrapé une de mes cordes pour lui attacher les mains dans le dos à la façon des shibaristes. Avec une autre corde, j’ai lié ses chevilles avant de la pousser sur le canapé où elle s’est avachie. De là, je l’ai faite glisser par terre, pour lier ses poignets à ses chevilles à la façon Hogtied. Puis, pour le fun, j’ai soulevé sa jupe et tiré sa culotte pour lui glisser un vibro.

Décidée à lui donner une leçon de respect de la vie privée des autres, j’ai dégrafé son chemisier, baissé son soutien-gorge pour poser des pinces sur ses tétons. Cela m’a fait tout drôle, car c’était la première fois que je touchais une fille ainsi. Après, je l’ai faite glisser derrière le canapé et j’ai commandé la pizza. Là, elle a tout de suite trouvé ça moins drôle.

Je n’ai pas cédé à ses demandes, ni ses menaces, ni ses insultes. Au contraire, je l’ai menacée de la remettre devant le canapé pour que le livreur de pizza la voit. Ma menace a dû être prise au sérieux, car elle s’est excusée avant de me demander quand je la détacherai.

- Je ne te détacherai pas, tu vas devoir le faire seule. Mais au lieu de râler, profite du vibro, une lesbienne ça doit aimer quand ça vibre sur le clito non ?

- Il n’est pas bien placé, tu peux le guider un peu s’il te plait ? Fut sa réponse, du coup très gênante pour moi.

Piégée pour la troisième fois de la journée, je suis allée tripoter dans la culotte d’une femme. Histoire de ne pas traumatiser le livreur de pizza, j’ai tout remis dans la cantine avant de me mettre à surfer sur les forums BDSM et selfbondage de Fessestivites. Le temps est passé si vite que le livreur m’a faite bondir. Une fois qu’il fut parti, j’ai tiré le canapé et, sans aucune pitié pour ma colocataire, j’ai attaqué ma part de pizza en la regardant se débattre dans mes cordes.

En fait, elle ne se débattait pas ! La garce cherchait à se donner du plaisir avec mon vibro ! ! ! Comme ça, devant moi sans aucune gêne. Je l’ai vue prendre son pied, et, pour la première fois depuis son arrivée, la situation m’excitait. Je l’ai trouvée mignonne quand elle se pinçait les lèvres ou soufflait lentement, en affichant son plaisir. Les yeux fermés, elle s’était faite un trip et prenait du plaisir. Ce qui m’a troublée aussi, c’est d’être la cause, la meneuse du jeu.

Animée par un sentiment de pitié, je lui ai demandée si elle voulait de l’aide pour se libérer. Elle m’a répondue « non pas toute de suite, c’est trop bon ». Scotchée, elle m’a scotchée ! Moi j’aurai été morte de honte, elle non, au contraire, elle semblait même adorer la situation. Ce n’est qu’au bout d’une heure que je suis allée l’aider à se libérer, même si je pense qu’elle y serait arrivée toute seule. Laurie m’a remerciée de cette initiation, qu’elle a qualifiée de « magique ».

Pour fêter ça, nous avons commencé à boire des coups, trop ! L’a l c o o l délie les langues, surtout la mienne. Elle m’a parlé des filles, moi des hommes, et, quand elle a voulu tout savoir sur le BDSM et le selfbondage, étant un peu pompette j’ai oublié la pudeur. Et quand elle m’a demandée si on pourrait recommencer juste de s’attacher, j’ai répondu oui, en ouvrant la porte à l’inconnu.

Elle m’a aussi demandée si ce n’était pas dangereux de faire du selfbondage. Sur fessestivites, je lui ai faites voir des tutos, je lui ai expliqué le principe du ice-timer, ou les trucs où il faut ramper pour aller chercher les clés.

- Tu me fais peur, j’ai vraiment peur un jour d’arriver à la maison et de te trouver morte. Si tu veux, quand tu joueras, tu m’envoies un texto. Comme ça, je sais que je ne dois pas rentrer avant une certaine heure, et en plus, que je ne dois pas emmener une copine. En plus, si je le sais, je pourrai te libérer et peut-être te sauver si un jour tu es coincée.

- C’est gênant d’adresser un texto pour dire à quelqu’un qu’on va s’envoyer en l’air, tu ne trouves pas ?

- Ce sera encore plus gênant, si un jour j’arrive à la maison avec une copine et qu’on te trouve attachée avec un gode dans la chatte au milieu du salon !

- Pas faux, mais si je te le dis, tu me jures de garder le secret ?

- Promis !

La soirée des filles coquines s’est un peu éternisée avant que nous allions nous coucher. Les confidences intimes n’ont pas manquées, je crois que nous savions tout sur nous.

....................................

J’ai joué le jeu en lui adressant un texto la semaine suivante. En fait, je voulais la tester, voir si elle ne rentrerait pas plus tôt pour jouer la voyeuse. Je n’ai évidement rien fait, mais elle a joué le jeu ce qui m’a rassurée. Laurie ne comptait pas en profiter, pour me piéger à nouveau.

Convaincue de son honnêteté, la semaine suivante j’ai profité de l’annulation d’un de mes cours, pour me faire un scénario de selfbondage plus sophistiqué et surtout, plus coquin. Mes orifices étaient comblés .... (dans les deux sens du terme) et j’étais en train de jouir comme une folle, quand elle est arrivée deux heures plus tôt que prévu. Je l’ai haïe de chez haïs puissance dix. Cette salope a coupé la ficelle de mon ice-timer et s’est barrée avec les clés de mes menottes qu’elle a mises en hauteur, inatteignables sans son aide.

Malgré mes insultes et suppliques, elle m’a clairement annoncée qu’elle comptait bien se venger du coup du livreur de pizza. Et là, elle s’est assise par terre à côté de moi et a planté ses griffes dans mon dos. Son but n’était pas de ma faire mal, mais de me donner du plaisir, de me faire frissonner. Pour ce selfbondage, j’avais attaché mes poignets à mes chevilles puis, pour m’obliger à restée pliée (et donc assise sur mes jouets intimes....) j’avais relié mon collier de soumise, à la chaîne de mes chevilles.

Après m’avoir faite frissonner comme une malade en déposant des bisous sur mes épaules, elle est allée chercher son magic wand massager, le gros noir de chez ABCplaisir. (Depuis j’ai acheté le même mais ça, c’est une autre histoire) A son retour, elle s’est assise derrière moi malgré mes réfutations et l’a fait glisser entre mes jambes. J’avais beau dire « non », elle n’en n’avait que faire. Comme je n’étais pas du tout coopérative, elle s’est attaquée à mes tétons.

La garce sachant y faire avec les filles, elle a vite compris que j’aime quand cela pince un peu et qu’on les fasse rouler sous les doigts. Sans me prévenir, elle m’a faite tomber en arrière sur ses genoux puis glisser complètement sur le dos. Laurie avait une vue imprenable sur mon intimité comblée, malgré la culotte qui avait surtout pour but, de maintenir le plug et le gode vibrant. Elle s’est carrément assise sur mon visage, son bras gauche a bloqué mes jambes pendant que de sa main droite, elle s’est attaquée à mon clitoris avec son magic-wand massager.

Son jean m’empêchait de la mordre, la haine car mes dents glissaient dessus, sans parvenir à avoir une prise.

Le savoir faire de Laurie avec son magic-wand massager qui porte bien son nom, PLUS les sextoys dans mes orifices PLUS la contrainte totale dans le plaisir, cela fait beaucoup de choses monstrueusement érotisantes. (Même pour une hétéro dominée par une lesbienne déchaînée.....) J’ai rapidement compris qu’elle allait m’avoir, que je ne pourrais pas résister, que j’allais jouir entre les mains d’une femme.

Une femme qui connaît bien les femmes, cela fait du « dégât ». Quand elle a senti mes jambes vibrer, elle m’a ordonnée de me laisser aller. Elle s’est mise à pousser mes sextoys en même temps qu’elle titillait plus fortement mon clitoris à travers la culotte. J’ai littéralement implosée, explosée façon puzzle. Le nez dans son jean, j’essayais de jouir sans trop faire de bruit. Me sentant totalement partie et vaincue, elle a tiré ma culotte vers le bas, pour mettre mon clitoris à nu et poursuivre avec sa bête de combat. J’ai crié « non », un non qui voulait dire « oui encore » tant c’était fort et bon en même temps. J’ai cru mourir à la seconde vague de jouissanceSSSSS. C’était comme si cela ne s’arrêtait pas.

Quand elle m’a enfin lâchée, j’étais une véritable carpette. Tout mon corps continuait de vibrer. Cela me faisait peur toutes ces contractions, qui continuaient y compris dans mes membres et mon cou. Laurie m’a embrassée sur la joue et m’a recouverte totalement avec le plaid du canapé. J’étais comme sous cloche sous le tissu, j’étais bien, j’étais dans un autre monde. Elle m’a laissée comme ça un petit moment avant de venir déposer les clés, dans ma main.

Lorsque je me suis libérée, elle était partie. Laurie m’a expliquée plus tard, que son souhait en partant, était de me laisser me retrouver seule avec moi-même dans mon intimité. Cela m’a faite sourire car question intimité...... Je lui ai dit, sans aucune méchanceté, que je me vengerai. Et là, elle m’a répondue « oui, quand tu veux ».

Depuis, de temps en temps nous nous martyrisons. Je ne l’épargne pas question BDSM, et elle ne m’épargne pas question « câlins ». La semaine dernière, elle m’a attachée bras et jambe en croix sur le lit pour une séquence plaisir. Et pour la première fois, alors qu’elle me broutait la chatte à merveille comme sait le faire une lesbienne, j’ai eu envie de lui faire pareil, de l’embrasser et de coucher avec elle.

Cela me trouble d’avoir envie d’une femme, je crois que le piège est là.

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

ABCplaisir a ouvert son rayon selfbondage-shop

Vous trouverez dans cette rubrique des produits adaptés au selfbondage bien sûr, mais aussi des scénarios de selfbondage, des tutos et des liens.

Nous vous invitons vivement cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

Soyez prudents et surtout, ne faites JAMAIS de selfbondage avec du breath control (étouffement / contrôle de la respiration).

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mardi 20 octobre 2 20 /10 /Oct 10:22

Une histoire érotique de chat sadique et de selfbondage

 

J’ai fait des rêves érotiques de bondage une bonne partie de la nuit. Cela m’a emmené à penser qu’une petite séance de selfbondage le lendemain soir, me donnerait un peu de plaisir avant que ma femme rentre de son voyage aux Amériques. Quinze jours sans elle, c’était beaucoup.

Sur Fessestivites, j’avais vu des photos de femmes nues attachées debout et obligées de rester penchées en avant. Pour cela, elles avaient les mains dans le dos et une corde accrochée au plafond les obligeait à rester penchées pour ne pas souffrir du dos. Les fesses bien offertes et les seins pendants, elles étaient trop jolies ainsi exposées aux envies lubriques des Maîtres.

Cliquets-de-corde-pour-bondage-et-selfbondage--2-.jpg


Le « Cliquet de corde pour bondage et selfbondage » acheté récemment chez ABCplaisir allait me permettre de réaliser ce selfbondage. Ce cliquet de corde est ultra facile à utiliser. Quand on tire sur la corde, un mousqueton remonte et quand on arrête de tirer, cela reste bloqué. Fixé à la poutre de mon salon, il serait parfait pour mon scénario. Me connaissant, j’ai ajouté une chaîne car que mes menottes soient tenues juste par un mousqueton, serait trop facile pour que je me libère avant que la glace ait fondu.

Pour le plaisir, j’ai décidé de faire vibrer mon sexe et mes seins en plus du Prostate massager vibrant chauffant télécommande sans fil et du Kit électro massage verge. Si avec ça je n’arrivais pas à jouir, j’allais être dans un état de surexcitation de folie ce qui est aussi très, très bon.....

 

Prostate-massager-vibrant-chauffant-telecommande-sans-fil.jpg

Le Prostate massager vibrant chauffant télécommande sans fil était dans mes fesses et maintenu en place par un string de corde. Les anneaux du Kit électro massage verge étaient posés sur ma verge mais rien n’était allumé. Mettre cela en route avant d’être attaché risquait de couper mes élans de selfbondage.

Le Cliquets de corde pour bondage et selfbondage pendait de la poutre avec la chaîne où j’avais fixé mes menottes. Juste au dessus, commençait à goutter le ice-timer. En double sécurité, j’avais mis le cadenas électronique réglé sur une heure sur la chaîne du cliquet de corde. Il fallait que j’aille vite, car l’envie de me masturber devenait omni présente.

J’ai donc fixé ma barre d’écartement des jambes à mes bracelets de cheville et suspendu le magic wand à mon sexe. A la chaînette de mes pinces à sein, j’ai ajouté un bout de ficelle que j’ai bloquée dans les anneaux du kit d’électro massage. De la ficelle pendait de mon petit montage aux pinces à sein, la principale ERREUR que j’ai commise fut là !

J’ai démarré le magic wand, puis le prostate massager avant de mettre mon bâillon et ma cagoule d’isolation BDSM. Hummm, j’étais déjà bien allumé par la préparation du selfbondage et les vibrations anales PLUS celles du magic sur ma verge, qui se répercutaient un peu sur mes pinces à sein. J’ai mis les menottes, puis j’ai tiré sur la corde pour faire remonter mes bras en arrière. Cela m’a fait me pencher en avant. Et là, j’ai démarré le kit d’électro massage de ma verge qui avait commencé à bien grossir. La deuxième erreur est que je l’ai réglé un peu fort mais je m’en suis rendu compte après avoir lâché le boîtier. Je râlais un peu après moi, car c’était un truc à ce que je n’arrive pas à jouir.

Pour ne pas recevoir la goutte du ice-timer, je me suis un peu décalé ce qui a eu pour effet, de faire bouger la ficelle, qui pendait de mes pinces à sein. Cela a également fait bouger le bout de la corde à cliquet et le magic wand massager suspendu à mon sexe.

ET CA LE CHAT cela l’a intrigué. Il a du penser « Mon esclave veut jouer » chouette !

Alors que je commençais à me concentrer sur les agréables sensations, puis ma position de totale soumission ressemblant un peu à celle imposée parfois pendant l’inquisition, j’ai senti qu’on tirait sur mes pinces à sein ! ! ! Il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre que, ce n’était pas une Maîtresse mais le chat ! Bâillonné sous la cagoule, mon « non » fut inaudible et surtout pas autoritaire. J’ai commencé à prier pour mes « couilles » et ma verge car quand un chat joue à attraper de la ficelle, il sort ses griffes !

« Ne pas bouger » pour ne pas exciter le chat (coupant toute mon excitation à moi) fut ma préoccupation totale. Sauf que les petites décharges électrique du kit d’électro massage sur ma verge, étaient trop forte comme indiqué précédemment. ne pas bouger était ultra difficile. Et ce putain de greffier cela l’amusait. Lancé dans une chasse à la souris ficelle, il menaçait d’arracher (sans précaution) mes pinces à sein et de me griffer le sexe. Je me suis dit que s’il prenait une décharge électrique sur la patte, il n’allait pas aimer et me foutre la paix.

Ce n’était qu’un doux rêve qui s’est transformé en un douloureux cauchemar, quand il a arraché la première pince à sein. J’ai eu des envie d’occire le gros minet. Une pince ne devait pas lui suffire. Le Félix que j’imaginais déjà en Kebab, c’est transformé en chat Cactus et m’a griffé le zizi en arrachant la deuxième pince à sein. Même si j’aime les animaux, heureusement pour lui que j’étais attaché ou je l’aurai épilé !

Après avoir roulé avec sa proie, et surtout..... bien enroulé dans la ficelle, quand il a voulu partir avec « souris pinces », il a tiré sur quoi ? (C’est pour voir si vous avez bien suivi)

En se débattant, il a tiré sur la ficelle (logique) qui était accroché à un des anneaux du kit d’électro massage fixé à .... ma verge. La ficelle à rôti n’étant pas un conducteur électrique, (quel dommage) le chat « Pirate » de plaisir solitaire, s’en est pris au fil électrique du magic wand.

J’ai tapé des pieds comme je pouvais pour faire du bruit avec la barre d’écartement de jambe. Le Berlioz de la castration des plaisirs solitaires, s’est couché sur mon pied gauche pour avoir des câlins. Avec les mains attachées dans le dos et remontées vers le plafond, ce n’était pas possible. A cela se rajoute que j’avais plus envie de lui donner une mandale, plutôt que de lui faire des câlins !

Dans mon troufignon, cela vibrait bien, ma verge commençait à s’accoutumer aux décharges électriques de l’électro massage réglé trop fort et, le magic wand faisait vibrer mon Popaul. Tout cela aurait pu me conduire à la jouissance, si mon chat « pot de colle » ne s’écharnait pas en câlin sur mon pied. Quand, un moment plus tard une clé froide est tombée sur mon dos, l’heure de ma liberté venait de sonner. (Et du règlement de compte !)

OUI MAIS !

Quand on fait un ice-timer, on ne plaint pas la ficelle. Il vaut mieux d’ailleurs, car si elle est trop courte on reste bloqué. (J’avais encore le cadenas électronique en sécurité) Le souci est que le chat « Prédateur » a vu tomber un jouet de plus. Et quand j’ai, avec mes petites mains menottées commencé à vouloir récupérer mes clés, il s’est jeté dessus. Je l’ai imaginé à la broche dans le four ! La lutte fut rude entre le chat et moi.

En étant attaché, avez-vous déjà lutté à l’aveugle avec un chat joueur, quand vous avez un vibro accroché au sexe et un autre dans le cul ? Et bien je peux vous dire que cela n’est PAS amusant du tout ! J’ai fini par récupérer les clés après une longue bataille. Alors que je galérais pour trouver le trou de la serrure des menottes, l’idée m’est venue de voir si le cadenas électronique c’était ouvert. Mauvaise idée !

Pourquoi une mauvaise idée ?

Parce qu’il c’était déverrouillé. Cela m’a permis de décrocher mes bras et de redescendre mes mains. (Ouf pour les épaules) Sauf que la ficelle des clés étaient à nouveau accessible pour les griffes acérées de mon Félix. J’ai craqué et décidé de m’asseoir ce qui, avec une barre d’écartement n’est pas facile et impose,à un moment ou un autre, de tomber sur les fesses. Les miennes étaient comblées. La problématique est surtout que mes précieuses se sont appuyées un peu brutalement sur la tête du magic wand massager. Pour une fois je l’ai détesté ce putain de sextoy ! ! !

J’ai pincé le chat qui n’a pas aimé et a pris la fuite. Cela m’a permis de finir de me libérer tranquillement avec les fesses dans une mare d’eau glacée. N’ayant plus envie de quoi que ce soit d’érotique, j’ai tout rangé et fait le ménage avant de trouver mon chat couché sur le lit. La colère était toujours en moi, mais bon.... En me voyant arriver, il s’est couché sur le dos pour avoir des gratouillis sur le ventre. Il ne les a pas eus !

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

NOTE DE L’AUTEUR

Savez-vous pourquoi les chat nous appellent « esclave » ?

Tout simplement parce que :

- On fait leurs chiottes

- On veille à ce qu’ils aient à boire et à manger

- On répare leurs bêtises

- On leur fait des câlins quand ils ont envie.

Si ça ce n’est pas de l’esclavage c’est quoi ?

 

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Lundi 28 septembre 1 28 /09 /Sep 11:27

ABCplaisir lance son rayon selfbondage-shop

Selfbondage_shop.jpg

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Attention, si vous faites un des scénarios de selfbondage, c’est à vos risques et périls comme pour l’usage de tous les produits achetés sur la boutique. Exemple en fessée, si vous donnez un coup de canne sur la colonne vertébrale de votre partenaire, ABCplaisir ne peut pas être tenu pour responsable. Pour le selfbondage, c’est la même chose.

Nous vous invitons vivement cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

Puisque nous parlons de selfbondage, sachez que vous trouverez sur FESSESTIVITES

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Samedi 20 juin 6 20 /06 /Juin 07:46

Les confidences érotiques d’une fille bisexuelle qui initie son amie au selfbondage et aux câlins entre filles.

Avec mon amie Emilie, nous nous parlons librement de tas de choses. Les mecs n’échappent pas à nos discussions privées et intimes, tout comme nos fantasmes. Elle sait donc que je rêve de bondage, de BDSM et que, pour satisfaire mes envies, je fais, des fois, du selfbondage. Je lui ai confié mes codes d’accès à Fessestivites, le site de nombreuses de mes inspirations...

Elle m’a avouée que sur votre site, certaines choses l’ont beaucoup excitée, d’autres horrifiée quand c’est trop hard ou qu’elle juge trop crade. Emilie ne serait pas fermée à l’idée d’une rencontre BDSM, qu’un homme la bouscule un peu, l’attache et lui face des choses, mais elle a trop peur de tomber sur un malade.

Emilie n’est pas vraiment bisexuelle, contrairement à moi. Nous sommes tellement amies et intimes que nous nous sommes vues nues ou en sous-vêtements plusieurs fois. Bien souvent, c’était pendant les vacances que nous aimons prendre ensemble, pour jouer les aventurières avec le sac à dos. Dormir sous la tente cela rapproche.

Un soir, elle a débarqué à la maison avec le coeur malade. Son dernier mec l’avait plaquée de la pire des façons. Un vrai connard qui ne sait pas dire les choses simplement et qui, pour justifier de mettre un terme à la relation, éprouve le besoin d’être méchant, de casser la personne en lui disant des inepties. Une grosse qui met du 38 en pantalon, vous en connaissez beaucoup vous ? Quel con ce mec ! Déjà qu’elle a des complexes, la traiter de grosse n’a pas arrangé les choses. Moi je la trouve très jolie, 1m65 pour une soixantaine de kilo, les cheveux châtains clairs ultra soyeux et des yeux noisettes qui pétillent de vie.

Nous avons un peu picolé, beaucoup discuté, nous étions un peu allumées. Ce n’était pas la première fois que nous nous consolions à tour de rôle et finissions la soirée ou un week-end ensemble. Lorsque nous sommes allées nous coucher, mes petites affaires de coquine traînaient à côté du lit. Cordes, menottes, sextoys, pinces à sein, et divers trucs étaient visibles dans mon carton à malice. ET là, elle m’a carrément dit qu’elle comprenait pourquoi je préférais jouer seule ou avec des filles que de me faire « chi... » avec des mecs.

Un peu bourrée la miss, elle a commencé à fouiller dans mon carton ce qui est quand même un peu gênant ! La gêne n’a pas trop durée quand même car la tequila et la complicité m’a poussée à lui expliquer l’usage de certaines choses. Quand j’ai allumé mon magic puissance 10 acheté sur ABCplaisir et que je lui ai dit de l’essayer par dessus sa culotte, elle n’a pas hésité.

- Ouaou, mais c’est génial ce truc ! M’a dit Emilie en me le rendant.

Je lui ai expliqué que jouir avec à encore en place ça fait voir les étoiles et que c’est pour ça que des fois j’aimais m’attacher avec lui dans la culotte.

ET LA, de but en blanc, Emilie m’a demandée de lui faire voir comment je m’attachais ! Très gênant ! ! ! ! L’idée de lui faire vivre m’est venue et, pour ne pas lui faire peur, j’ai répondu que nous allions le faire ensemble. Je me suis levée pour aller chercher mon carton avec les cordes et ceintures.

Nous étions assises sur le lit côte à côte, je lui faisais voir comment nouer les chevilles. Elle reproduisait mes gestes, je jouais le rôle de la prof MDR. Nous avons ensuite attaché nos cuisses respectives de la même façon avant de nous faire une ceinture de corde en la reliant à celle de nos cuisses. Je lui ai fait voir en la poussant que s’allonger faisait remonter les cuisses et offrait l’accès au popotin. Elle était émerveillée et s’amusait comme une véritable gamine. Alors l’idée de poursuivre et de lui lancer un défi m’a titillée. J’ai attrapé les pinces à sein les vieilles qui sont gentilles pour elle et les neuves qui mordent déjà plus pour moi. Comme elle s’y prenait mal pour se les mettre, c’est moi qui les lui ai posées pour qu’elle n’ait pas trop mal. Je lui ai passé une des mes paires de menottes dans le dos au niveau de la ceinture de corde. J’ai fait de même avec ma deuxième paire avant de lui proposer mon défi.

- Je te propose un jeu. Tu me rajoutes une corde où tu veux et je fais pareil avec toi. Ensuite on ferme les menottes et la première qui se libère fait jouir l’autre avec le magic puissance 10 ! On place les clés des menottes à la tête du lit, la première qui les attrape.....

Emilie n’a pas accepté mon jeu de suite, elle était un peu gênée. Alors j’ai attrapé le magic et je lui ai posé par dessus la culotte après l’avoir faite se coucher sur le dos. Elle m’a traitée de salope et a fini par accepter le défi. Elle ne s’est pas méfiée. Je l’ai laissée me mettre une corde. Elle a galéré en essayant de me faire ce qu’elle avait vu sur fessestivites. Le bondage qui fait ressortir les seins et bloque le haut des bras. Il faut dire qu’en étant assise avec les jambes et cuisses liées, ce n’est pas évident.

Moi j’ai fait plus simple, j’ai simplement fait en sorte que ses mains menottées ne puissent pas venir sur son devant. J’ai fait passer la corde entre ses cuisses serrées pour l’attacher derrière là où se trouvaient les menottes. Sous prétexte de vérifier qu’elle les mettait du bon côté, je l’ai aidée à fermer les dites menottes sur ses poignets. Je l’ai aidée à s’allonger et j’ai moi aussi fermé mes menottes dans mon dos en lui faisant voir que je ne trichais pas.

- 3,2,1 c’est partie ma jolie !

Sans expérience et avec les menottes bloquées contre ses reins, elle n’avait aucune chance de gagner ce défi. Lorsqu’elle a vu que j’avais l’avantage, Emilie a essayé de me bloquer avec ses jambes. Quand elle a vu que je montais vers les clés, elle a attrapé la corde au niveau de mes seins avec les dents. Comme cela ne marchait pas, cette garce a attrapé avec ses dents la chaînette de mes pinces à sein. Je lui ai promis que je me vengerai alors elle a tiré plus fort en me disant de redescendre sans lâcher la chaînette. Je voulais tellement qu’elle soit ma proie que j’ai tiré et beaucoup souffert quand une des pinces s’est arrachée.

Emilie a immédiatement lâché la chaînette et s’est excusée de m’avoir fait mal. Je l’ai rassurée en lui disant que cela faisait parti du jeu mais qu’elle allait quand même me le payer. Une minute plus tard, malgré ses tentatives pour me faire échouer, je suis parvenue à me libérer. Quand je dis « tentatives pour me faire échouer » il faut savoir que Emilie est très sportive et tête de mule, autant dire que ce fut sportif. Elle a même essayé de me freiner quand je défaisais les cordes de mes jambes.

Je lui ai crié « Prépare-toi à jouir salope » avant de monter sur elle et de m’asseoir sur ses jambes. En brandissant le magic wand massager puissance 10 comme une arme, j’ai commencé à le faire vibrer sur son ventre puis en remontant vers sa magnifique poitrine. Emilie rigolait, se pinçait les lèvres à certains moments mais ne me laissait pas libre accès à sa chatoune. J’ai récupéré mes cordes pour lui attacher une des deux jambes au pied du lit. Elle ne comprenait pas à quoi cela pouvait servir puisque elles étaient toujours jointes. Elle a comprit quand j’ai lié sa cheville gauche avant d’aller passer la corde à l’autre pied du lit.

Comme je l’avais prévu, quand j’ai retirer les cordes de ses chevilles et de ses cuisses, elle a tout fait pour ne pas écarter les jambes. Quelques chatouilles plus tard, elle avait les cuisses écartées et la chatoune accessible. La garce s’acharnait à rester assise et essayait de me mordre. (Quand je disais qu’elle a de l’énergie....) J’ai fini par m’asseoir sur sa poitrine à bonne distance de ses dents en lui criant « tu vas jouir salope » ! J’étais déchaînée.

Quand j’ai commencé à faire passer le magic sur sa culotte, elle m’a crié quelques insanités avant de finir par se taire, ou plutôt gémir. Voir ses jolies jambes se contracter était un vrai régal pour mes yeux. Quand elle a commencé à me crier « non » j’ai tiré sur la peau de son bas ventre pour f o r c e r l’émergence de son clitoris. Elle s’est tendue comme un arc comme si elle voulait résister. Je me souviens lui avoir crié « même pas en rêve, tu vas jouir ». C’est ce qui a fini par arriver. La sentir se débattre sous mon chaton, et voir ses cuisses se contracter puis vibrer m’a comblée de bonheur. Mon Emilie a fini par exploser avec un joli petit cri.

Je n’ai pas lâché l’affaire pour autant. Une pince à sein arrachée cela fait mal (le vilain prétexte je sais) alors j’ai continué de jouer avec son sexe en faisant glisser le magic un peu plus bas. Quand je suis remonté sur son clitoris, elle a recommencé à crier « non », nous allons dire que je ne l’ai pas entendue..... Quatre orgasmes plus tard, elle m’a suppliée d’arrêter. Alors j’ai négocié un bisou.

Je m’attendais à un petit bisou de fille, juste du bout des lèvres, elle m’a carrément roulé un patin. Ne pouvant pas l’arrêter en si bon chemin, je lui ai rendu en laissant courir ma main sur ses seins puis vers son ventre. Elle n’a rien dit quand mes doigts se sont faufilés dans sa culotte mais le bouton était trop sensible. Ma phalange est descendue dans le marécage pour aller en tester la profondeur. Là, mes gestes furent mieux accueillis. Au bout d’un moment, je lui ai retiré les pinces à sein une à une avec précaution et un « « lutinage » » en règle de chaque téton libéré.

Au bout d’un moment, elle m’a demandée si elle avait purgé sa peine et pouvait être libérée cause sérieuses douleurs aux poignets. Dans ma grande générosité d’âme, j’ai négocié un bisou de plus. Lorsque nous avons éteint la lumière sans rien ranger, elle s’est blottie dans mes bras en me disant des mercis avant de m’avouer qu’elle n’avait jamais joui aussi fort et autant de fois.

Depuis cette soirée, de temps en temps nous jouons à nous attacher mutuellement. Des fois on fait le jeu du selfbondage, des fois on décide à pile ou face qui sera la victime. Emilie a aussi grandement évolué dans sa bisexualité et compris, que ce n’est pas parce que l’on se fait plaisir entre filles, que l’on est lesbienne.

Fin

TSM

 

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Samedi 20 juin 6 20 /06 /Juin 07:06

La honte d’être délivrée d’un selfbondage par ma copine

Contrairement à ce que pensent les mecs, les filles ont aussi des fantasmes et des envies coquines. Les miens portent sur le bondage et le sexe sous la contrainte. Je fais du selfbondage et fantasme sur l’idée que mon Maître me livrerait attachée à des hommes. Ils seraient évidement beaux, bien monté sans excès et mettraient tous un préservatif.

J’ai commencé à 18 ans quand j’étais à la fac où, dans ma chambre d’étudiante, je surfais le soir sur Fessestivites. Les fameux gang bang BDSM ont toujours été la priorité de mes surfs, ceux qui déclenchaient ce petit truc qui faisait qu’en un rien de temps, je montais dans les tours..... Fantasmer sur ce sujet ne signifie pas vouloir le vivre ni être une salope. Pour preuve, en deux ans de fac j’ai eu que deux copains, et avec le dernier, cela n’a duré qu’une semaine. Autant dire que si je suis portée sur le sexe, je ne suis pas une fille facile.

A 21 ans, avec mon diplôme en poche, j’ai eu la chance de trouver un emploi rapidement et en plus bien payé. Mille huit cent euros net pour commencer, il y a pire ! Dès que j’ai eu mon chez moi, une partie de mon salaire est passé en sextoys et accessoires BDSM. J’ai même du m’acheter une petite cantine en métal pour les cacher quand ma soeur venait pendant les vacances. Autant dire que j’ai fait des folies et que je suis un peu connue sur ABCplaisir.

Le premier mec à qui j’ai dévoilé mes fantasmes, ne m’a pas traitée de folle mais presque.

Le deuxième m’avait dit être un Maître. En réalité, il m’a mis deux claque sur le cul avant de se faire tailler une pipe et de jouir en moins d’une minute. Décevant !

Le troisième était plus âgé, je l’ai viré avant même que l’on joue autrement qu’en virtuel. Ce connard m’avait mentie, il était marié !

Alors j’ai décidé d’arrêter de me chercher un mec branché BDSM pour revenir à mes premiers amours, le selfbondage. Là au moins je ne prends pas le risque d’être déçue ou d’une mauvaise rencontre OU que mon coeur saigne car je suis un peu fleur bleue. Cela peut surprendre qu’une fille fantasme sur un gang bang BDSM et qu’elle rêve de son prince charmant..... Et bien messieurs, les deux ne sont pas incompatibles !

Lors de mes selfbondages, je serai en couple avec un Maître. En son absence, je me ferai un petit délire toute seule avec mes menottes, mes sextoys et il arriverait par surprise à la maison avec deux copains pour prendre l’apéro. A poil et entravée en mauvaise posture, j’aurai très honte et, pour me punir, mon Maître ne me délivrerai pas. Après m’avoir un peu martyrisée, il m’offrirait à ses copains et là, bien souvent, je jouis toute seule. Bon tout ça, c’est du fantasme et c’est tout. Cela m’arrivera peut-être un jour, qui sait ?

La semaine dernière, je me suis fait un plan tordu devant être très jouissif. Je me suis faite un string de corde très serré avec mon plug anal et mon vibro Rabbi Jacob dans la choune avec sa pointe extérieure bien placée sur mon clitoris. J’ai mis un soutien-gorge pour que les pinces à linge posées sur mes tétons ne s’arrachent pas quand j’essayerai de fuir les méchants jouant avec mes seins. En clair, quand je ramperai vers le ice-timer contenant les clés.

J’ai attaché mes chevilles et jambes avec deux cordes. A chaque fois, le noeud à l’extrémité des cordes se terminait dans mon dos. J’étais donc à genoux avec l’impossibilité de me lever car j’avais vraiment tendu les entraves et mes pieds touchaient mes fesses. Comme une conne, j’ai perdu les clés des menottes. J’utilise donc une chaîne que j’enroule plein de fois autour de mes poignets et un cadenas. Cette fois, je me suis entravée mains devant au niveau de la choune, quasiment entre mes cuisses. J’ai vraiment galéré pour y arriver.

ET PUIS, j’ai fermé le cadenas.

ET PUIS je me suis rendue compte que je n’avais pas sorti le ice-timer du congélateur.

Je subodore sans trop de risque d’erreur que vous imaginer les mots crus que j’ai utilisés pour parler de la modeste conne que je suis. Mon congélateur se situant au dessus du réfrigérateur, il m’était impossible de le récupérer.

L’envie de jouer n’était plus et je n’ai pas allumé mon vibro Rabbi Jacob ! ! ! Après une heure de sport intensif, je suis parvenue à la conclusion que j’avais été excellente pour les entraves et me mettre dans la merde. J’étais belle et bien piégée. Il me fallait appeler à l’aide et ça, cela signifiait dévoiler à quelqu’un mes petits, gros délires de détraquée mentale.

Quand je fais du selfbondage, je mets toujours mon téléphone mobile à côté de moi. Si j’appelais les pompiers, mes voisins allaient s’affoler et, en curieux, essayer de savoir ce qu’il était arrivé à la petite du troisième. Autant dire que je voyais mal les choses...... J’ai fini par me résoudre à adresser un texto à Elodie, une amie de la fac.

« Viens vite chez moi s’il te plait, c’est ultra urgent ».

Réponse : je peux pas, je vais à la plage

Mon deuxième texto : « je t’en supplie, c’est une question de vie ou de mort »

Réponse : Tu veux que j’appelle tes parents ou les flics ?

Mon troisième texto : « je t’en supplie, c’est une question de vie ou de mort mais viens seule»

Réponse horrible : ok mais j’en ai pour plus d’une heure, ma caisse est en panne.

Mon quatrième texto : « je t’en supplie, ne tarde pas »

Si j’étais soulagée je n’étais pas au bout de mes peines. En effet, j’étais assise sur mon lit et j’allais devoir aller lui ouvrir la porte ! ! !

Ce fut compliqué pour arriver à m’approcher du bord du lit et d’en descendre sans trop me fracasser. Je me suis « niqué » les genoux à l’arrivée sur le carrelage et mon vibro Rabbi Jacob s’est enfoncé d’un seul coup très profondément en moi. Ensuite, j’ai du ramper comme un asticot car sur les genoux et fesses, cela me faisait trop mal. Une fois devant la porte, j’ai joué les équilibristes pour parvenir à faire tourner la clé dans la serrure. Sur cette opération, j’ai du perdre trois kilos !

La patience, la patience..... Là, j’ai vraiment eu l’impression qu’Elodie faisait les boutiques avant d’arriver. J’étais nue par terre, appuyée contre la porte dans une position très inconfortable après avoir rampé et m’être massacrée les genoux.

J’ai commencé par avoir la peur de ma vie quand elle a tapé à la porte ! Quelle conne, c’est moi qui lui avait demandé de venir. Désolée mais on ne contrôle pas ce réflexe quand on se bran... et là, encore moins ! Elle sonnait et m’appelait et quand je lui ai dit d’entrer, j’ai pris la porte dans la gueule ! Complètement affolée, Elodie f o r ç a i t et moi je lui criais « doucement, « attend ». Vous voyez la scène débile de la fille attachée derrière la porte que quelqu’un essaye d’ouvrir?

Une fois entrée, elle a commencé par s’affoler, j’ai du la rassurer, on ne m’avait pas agressée et c’est là que j’ai du tout lui avouer. Au plus j’avais honte, au plus elle riait. Elle riait tellement qu’elle a du aller aux toilettes se soulager pendant que moi, je me morfondais. A son retour, elle n’a rien trouvé de mieux que de faire des photos avec son Smartphone.

- Bon arrête tes conneries, attrape le ice-timer qui est dans le congélateur.

- Le quoi ?

Et là, j’ai aussi du lui expliquer ce qu’est un ice-timer. La honte..... Totalement rassurée, elle a pris tout son temps pour aller le chercher.

- Et on fait quoi maintenant, il faut attendre qu’il fonde ? C’est ça ? M’a demandée Elodie

- Non banane, tu vas le passer sous l’eau chaude.

- Attend là, tu me plantes ma première sortie à la plage, me fais faire une heure de bus pour venir chez toi et me traite de banane ? J’ai bien envie de le remettre au congel ton putain de glaçon !

- Non, s’il te plait, excuse-moi, c’est que je suis mal là.... et que je m’énerve connement désolée.

- Je préfère ça !

Elodie est donc allée à la cuisine faire fondre le glaçon. A son retour, elle a voulu ouvrir le cadenas et c’est là qu’elle a découvert mon vibro Rabbi Jacob. Au lieu de me libérer, elle a voulu savoir ce que c’était et s’est transformée en inquisitrice. En clair, elle m’a soumise à la question, ou plutôt aux questions dérangeantes. Et puis, elle a appuyé sur les boutons du Rabbi Jacob. J’ai essayé de lutter mais avec les poignets enchaînés je ne faisais pas le poids. Dans la bagarre, elle a aperçu mon plug, et..... elle a continué de se foutre de ma gueule.

Malgré mon caractère de colérique qui réfléchit après, je suis parvenue à rester calme ô miracle. Cette espèce de salope s’est avérée être quasiment lesbienne. Elle a commencé à négocier ma libération en échange de bisous. Et.... pendant ce bisou elle a touché mes seins et a commencé à jouer avec les pinces à linge avant de me dire que je l’excitais ! ! !

Elodie a ouvert mon soutien-gorge et trouvé que j’étais vraiment folle mais que, même compressés par ma position, mes seins étaient jolis. Quand elle a retiré une des pinces sans prévenir, à mon cri elle a compris que cela faisait mal. J’ai encore du lui expliquer qu’il faut les retirer lentement. Ma pudeur était déjà au plus mal mais elle n’en avait rien à faire. Comme je lui ai mal parlé, elle a recommencé à jouer avec mon Rabbi Jacob en me disant que la salope c’était moi. Une vraie furie. J’ai découvert que Elodie pouvait être une sacrée garce que rien n’arrête, quand elle commence à s’amuser avec une fille. De but en blanc elle s’est levée, a retiré sa jupe avant de s’allonger sur le dos et de mettre les clés de mon cadenas dans sa culotte.

- Si tu les veux, il faut venir les chercher !

- Mais je peux pas avec les mains entre mes cuisses !

- Avec la bouche tu dois pouvoir y arriver !

Mes tentatives de négociation ont été vaine, j’ai du me ridiculiser en rampant sous ses yeux et, m’acharner à essayer de baisser sa culotte avec les dents, action très difficile quand on est entravée. Celle salope mouillait, sa culotte commençait à se tacher et ce n’était pas ma salive. Ne pouvant contenir plus longtemps mon caractère colérique, je l’ai incendiée. Elle s’est levée, s’est assise sur mon dos pour me donner une fessée. Heureusement que j’avais les bras devant ou je serai morte d’étouffement car Elodie, elle fait son poids...

Pour l’avoir traitée de « grosse femme qui arrondit ses fins de mois le soir », elle m’a ensuite giflée en me disant que soit je la léchais, soit elle balançait les photos sur son facebook. Pour m’aider, elle a mis le Rabbi Jacob à fond. Elodie s’est installée le dos au mur en écartant bien les cuisses en plaquant ma tête à la porte du temple, initialement dédiée à la fécondité.

J’ai compris qu’elle ne cèderait pas, j’étais allée trop loin dans mes insultes. Ma langue s’est donc mise à son service.

- Tu vois petite salope, je pourrai aussi bien inviter des copains à profiter de la situation. Tu les imagines en train de te sauter pendant que tu me lèches ? Allez, avoue que cela te plairait d’être une bonne petite esclave sexuelle ! Je suis sûre que tu te fais ce genre de film quand tu t’attaches avec des trucs dans ta chatte et dans ton petit cul. Allez lèche bien, concentre-toi, applique-toi un peu si tu ne veux pas être punie.

Elodie s’éclatait toute seule dans son délire et sous ma langue. En même temps elle rentrait dans mes fantasmes, sauf que les miens étaient avec des hommes. Le vibro toujours réglé à son maximum avec ses pointes souples travaillant sans cesse mon clitoris, a fini par me faire de l’effet. Je suis aussi montée dans les tours en lui bouffant la chatte. Elle m’a vue jouir même si j’essayais d’être discrète, une femme sait voir ce genre de chose. Encore une foi,s elle ne m’a pas épargnée de ses commentaires graveleux. Et puis elle a joui à son tour en écrasant mes oreilles de ses grosses cuisses finalement très musclées.

Après m’avoir repoussée comme un Kleenex, elle est venue sur moi et m’a embrassée comme une malade. Je lui rendais son baiser en même temps que ses mains caressaient mes seins, mon corps, j’étais sa proie, incapable de fuir. Le vibro continuant son office, j’ai encore joui sans le voir venir, c’est quasiment venu tout seul pendant que je lui rendais son bisou d’affamée.

- Ça me plairait bien moi que tu sois ma soumise ! A murmurée Elodie comme si on pouvait nous entendre.

EPILOGUE

Depuis cette mésaventure, Elodie a les clés de mon appartement. De plus en plus régulièrement, je dois m’attacher pour m’offrir à elle. Quand elle entre dans l’appartement, elle dit qu’elle vient chercher son petit cadeau, ou des choses bien pire comme, demain je viendrai avec des clients. Ce ne sont que des expressions mais aussi des images qui défilent dans ma tête dans ces moments là.

Et dire que j’étais hétéro !

Fin

TSM

 

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Lundi 24 février 1 24 /02 /Fév 09:45

Les confidences érotiques d’un homme qui pratique le selfbondage et la chasteté en solitaire.

Je m’excitais comme un malade en lisant des histoires érotiques sur Fessestivites.com où je trouve, sans rien payer, un max d’idées et de scénarios de selfbondage.

Mes thèmes préférés sont la domination féminine, la chasteté et parfois l’ABDL si c’est associé à de la contrainte.

Je m’étais acheté une cage de chasteté CB6000 chez ABCplaisir avec laquelle j’avais déjà joué. Quelques temps plus tard, je suis passé au métal avec la Stainless steel gros sexe qui est très aérée et pratique pour l’hygiène. Mon sexe n’est pas très gros, c’est juste que ma verge peut se développer un peu dedans, une sensation que j’aime bien.

Ayant testé seul, je n’ai pu que laisser les clés au travail dans mon vestiaire le vendredi pour ne les récupérer que le lundi. Ce fut un week-end très érotique pendant lequel j’ai été très actif. Actif en lecture d’histoires érotiques et de plaisirs solitaires avec des godes et du selfbondage.

Pour varier les plaisirs, je me suis adressé un colis avec les clés de la cage de chasteté en mondial relay. J’ai déposé le colis le vendredi midi au tabac situé à deux cent mètres de mon lieu de travail.

Pour mon selfbondage du samedi soir, j’avais mis une couche pour passer la nuit attaché sans prendre le risque de mouiller mon lit.

La cage de chasteté Stainless steel gros sexe n’est pas idéale pour jouer avec une couche. Elle est du coup trop grosse. La couche serrée appuie dessus et finit par créer une irritation. Finalement, pour associer la couche à mes jeux, je me suis pris une cage de chasteté Castrat comme ils le conseillaient sur Abkingdom.

Je m’égare dans mes confidences érotiques, ou plutôt le partage de mes délires.

Pour mon selfbondage en couche et sous cage de chasteté, j’avais fait simple :

- Avec deux cordes j’ai fixé mes chevilles de façon à garder les jambes écartées.

- Au centre de la tête du lit une chaîne fermée avec un cadenas.

- Une paire de menottes passées dans la chaîne de façon à avoir les mains au-dessus de ma tête.

- Un vibro à pile logé entre la couche et la culotte en plastique juste contre ma cage de chasteté.

Pour la libération de mon selfbondage, j’avais congelé les clés dans une grosse casserole d’eau. A ces clés, j’avais mis de la grosse ficelle que j’avais attachée aux barreaux du lit pour pouvoir les récupérer quand la glace aurait fondu. Afin d’être sûr qu’il n’y ait pas de problème, j’avais un peu décalé mon lit du mur.

La nuit fut finalement très longue !

Quand on est entrain de tout préparer, on s’excite. L’idée d’ajouter des choses vous vient. Avant de mettre la couche et la culotte en plastique, je me suis mis un gode de 19 centimètres de long et de 4 de large dans les fesses. La couche le tenait bien, même que quand je me suis assis sur le lit, j’ai bien senti les 19 centimètres.... Après avoir lié mes chevilles et mis le vibro en route, excité comme un malade, je me suis auto puni en attrapant les petites pinces à sein dans le tiroir de ma table de nuit.

Après avoir éteint la lumière, j’ai mis le bandeau sur mes yeux et passé mes poignets dans les bracelets des menottes. Clic, clic, clic, place au monde des songes coquins.

Une Maîtresse sadique que j’avais rencontrée sur fessestivites.com avait décidé de s’amuser avec moi et de profiter de ma personne. Dans un premier temps, elle avait laissé le vibro pile poil sur ma cage de chasteté et prenait une douche. Hummmmm . A son retour, elle avait pris un gode ceinture qu’elle passa à ma taille pour pouvoir s’empaler dessus ou m’ordonner de faire des mouvements. Cette sadique m’obligeait à donner des coups de reins pour lui donner du plaisir. Ces coups de reins se répercutaient sur le gode que j’avais dans les fesses. Et bien sûr, après avoir pris son plaisir, elle avait voulu que je lèche son chaton baveux pour le faire tout propre avec ma langue. Elle joua avec mes pinces à sein pour régler la vitesse de son sextoy humain. En clair, je masturbais mon fessier avec le gode...

Avec tous ces songes érotiques, le vibro sur la cage de chasteté et le gode dans mes fesses que j’agitais, je me suis pris un pied d’enfer sans pour autant éjaculer. Le souci est qu’après avoir joui du cul, l’excitation s’envole et le retour à la réalité se fait. J’avais mal aux seins, la cage de chasteté commençait à m’irriter et garder les bras au-dessus de la tête commençait à être inconfortable. J’ai eu beau supplier ma Maîtresse imaginaire, rien n’a été fait pour améliorer mon inconfort.

Cette saloperie de vibro à pile a vibré au moins deux heures et m’a empêché d’essayer de dormir. Je me suis réveillé plusieurs fois, la douleur des seins s’était calmée, par contre, le lubrifiant que j’avais mis pour le gode n’agissait plus. A chaque mouvement ce n’était pas très agréable. L’envie d’uriner a pointé son nez vers deux heures du matin. Le faire sous cage en étant étiré sur le lit fut plus difficile que je pensais. La douce chaleur envahissant ma couche en enveloppant mes précieuses me fut finalement très agréable. TROP ! Trop car j’ai eu des songes érotiques et le me suis mis à bander. La cage faisant son office, cela a commencé à tirer sur mes testicules. Et comme la couche s’était détendue quand la Maîtresse s’était servie de moi, elle laissait toute liberté à la cage pour avancer en tirant quelques poils au passage.

Me rendormir fut long, car quand j’ai tiré sur la ficelle des menottes, rien n’a bougé. Vers six heures, quand j’ai ouvert les yeux.... sur la douleur de mes épaules, le glaçon était presque fondu. Avec mes petits doigts, tant bien que mal je l’ai aidé à fondre en me les gelant. Et, comme ils étaient tous gelés, ils se sont vengés en ne me laissant pas trouver le trou de la serrure des menottes facilement.

Une fois que mes mains ont été libérées, ce fut un soulagement de courte durée. Retirer les pinces à sein fut douloureux, mes tétons, qui d’habitude les aiment bien, n’avaient pas apprécié que cela soit aussi long. Je me serai bien masturbé pour essayer de chercher du plaisir dans cette douleur, mais avec la cage de chasteté, cette hypothèse ne pouvait être envisagée.

Pour libérer mes chevilles, il a fallu que je m’assoies. Je l’ai fait bien trop vite, l’intrus dans mes fesses n’a pas aimé être ainsi réveillé et s’est enfoncé profondément en moi bien trop vite. Si j’ai mal quand je joue, je me caresse les tétons ou me masturbe, là, aucun de ces deux possibilités n’était possible. Ma maîtresse imaginaire aurait quand même pu détacher mes jambes ! Elle ne voyait pas ça comme ça. Elle a tenu à s’allonger sur le lit jambes écartées pour que je lui donne du plaisir avec ma langue. (Traduction, couché sur le ventre, je me frottais contre le lit pour rechercher d’agréables sensations en urinant dans ma couche)

Hélas, les agréables sensations furent limitées. Avec d’énormes précautions, je me suis levé pour aller aux toilettes et retirer l’intrus faisant office de bouchon. La douche me fit un bien fou même si j’ai à peine savonné mes tétons. Le journée du dimanche sans rien de précis à faire, m’a laissé le temps de vous faire cette première partie de confidences érotiques.

.........

Le dimanche soir, je n’ai pas osé joué avec mon corps, mes fesses étaient un peu douloureuses, mes tétons n’avaient pas supporté ma chemise, et devant ben.... j’étais bouclé, obligé d’être aussi sage qu’un moine. La nuit du dimanche au lundi se passa sans aucun souci, n’ayant pas bien dormi la précédente.

Le lundi matin, j’ai fait un détour pour aller chercher mon colis chez la fleuriste qui fait Mondial Relay. ELLE ETAIT FERMEE ! Et pour cause, c’était un lundi.

Non seulement je suis arrivé en retard au travail, mais en plus, j’y suis allé sous cage de chasteté. Personne n’a rien vu, ou ils ont pensé que j’étais « bien monté ». Cette saloperie de cage de chasteté s’est rappelée à moi plusieurs fois dans la journée. Sans aucune raison logique, à certains moments j’étais physiquement excité.

Ne pouvant pas arriver deux fois de suite en retard au travail, je suis allé chercher mes clés que le mardi soir. Et là ..... ce fut la fête à la bébête.

Je vous le dis clairement, n’allez pas lire les scénarios de selfbondage sur fessestivites.com ou, comme moi, vous risquez de ne pas résister à la tentation de les essayer.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 12:22
Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 12:20
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Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 12:18
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Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 12:17
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