Femme soumise

Vendredi 18 octobre 5 18 /10 /Oct 10:56

Selfbondage en couple j'aime me sentir prisonnière

J'aime me sentir prisonnière, pourquoi je ne sais pas mais j'aime ça. Peut-être est-ce à cause des livres d'Histoire de l'école ou des photos et vidéos de selfbondage que j'ai vu sur le site du réseau Fessestivites.

Mon mari qui n'est pas très branché BDSM est parfois ravi, parfois furieux quand je vais trop loin. Mes plus grands plaisirs sont quand il profite de la situation quand il rentre et me découvre entravée et offerte. Il y a des fois où il me prend comme un rustre avant de me laisser toute pantelante de désir dans mes entraves si je n'ai pas atteints l'orgasme pendant son « viol ». Le mot « viol » n'est pas adapté parce que nous sommes mari et femme et c'est pour moi la réalisation partielle de mes fantasmes que d'être baisée ainsi soi-disant de force.

Une fois je suis allée bien trop loin dans mon selfbondage, j'aurai pu mourir étouffée car je m'étais mise une corde autour du cou. Dans mes mouvements elle s'est serrée et là j'ai eu vraiment très peur. Je pense que s'il était rentré une heure plus tard, je serai morte. Quand il est rentrée et s'est rendu compte de la situation, il était furieux. Une fois libérée, en guise de câlin je me suis prise une fessée, c'était la première fois qu'il me fessait et il n'y est pas allé de main morte. Je ne lui en ai jamais voulu car il n'aime pas trop mes selfbondage et a eu très peur. J'aimerai bien qu'il me fesse ou me fasse du SM quand je suis entravée, mais ce n'est vraiment pas son truc. Il tolère mes folies parce qu'il a compris que pour moi c'est comme une drogue, j'aime vraiment me sentir prisonnière et à sa merci.

Jusqu'à la semaine dernière, j'ai toujours refusé la sodomie et quand j'ai lu sur Fessestivites qu'il y a beaucoup d'hommes qui aiment ça, j'ai décidé de lui offrir ce plaisir. Dans l'entrée de la maison, un message original l'attendait devant la porte. En entrant il ne pouvait pas le louper, la chaise étant en plein milieu du couloir.

« Mon chéri, ce soir je t'offre la petite porte que je t'ai toujours refusée. Je t'en prie, va doucement parce que j'ai peur d'avoir mal. Ta victime ne peut plus t'échapper, elle est entravée sur le lit ».

Rien que de lui écrire ça et d'imaginer qu'il allait abuser de moi, je mouillais comme jamais malgré une pointe d'inquiétude. Pour me rassurer, j'ai callé mon gros vibro entre mes jambes de manière à ce qu'il enflamme mes sens et me rende folle avant son arrivée. Si j'étais super excitée, ma première sodomie se passerait sûrement mieux. Pour m'offrir à lui, j'ai mis mes cordes à chaque angle du lit avec un noeud coulant dans lequel une fois que mes mains ou me chevilles passées, en tirant sur les cordes, j'allais vraiment être à sa merci. Comme presque tous mes rituels je me suis bâillonnée avec une petite culotte roulée en boule dans ma bouche puis plusieurs morceaux de gros scotch pour m'interdire de la recracher.

Pour que mon gros gode vibrant ne puisse glisser et me priver de plaisir, je l'ai aussi attaché. Après avoir testé mes réglages, j'ai entravé mes chevilles et allumé le gode vibrant et je me suis allongée. Mon état d'excitation était tel, que j'étais à deux doigts de jouir quand il est entré en contact avec mon sexe. Sans tarder j'ai rapidement passé mes poignets dans les cordes attachées aux coins du lit et j'ai tiré dessus.

Etendue sur le ventre, fesses offertes avec les membres en croix attachés très courts, je ne pouvais que très peu bouger et donc échapper à mon bourreau. Avec toutes ces idées dans la tête, attachée et le magic wand massager en bonne place, j'ai rapidement atteint le plaisir. Le premier orgasme m'a terrassée, laminée par la vague titanesque, j'aurai bien fait une petite pose mais le vibro n'en savait rien..... En tirant sur mes poignets j'arrivais à peine à en limiter les effets. Soumise au plaisir divin, j'y suis rapidement retournée pour d'autres moments tout aussi jouissifs. Le temps me paraissant long, trop long, j'ai essayé d'attraper le téléphone qui me sert aussi de sécurité et là, j'ai pris peur en constatant mon erreur : il était trop loin pour que je l'atteigne.

Mon mari est rentré plus tard que d'habitude, j'étais épuisée, les lèvres de mon sexe et mon clitoris étaient en feu. Je n'étais plus vraiment dans le trip ni le souhait de mes fantasmes fous. Il est venu me voir, vérifier comme à son habitude que je ne m'étais pas trop exposée au danger mais avec une attention particulière qui m'a fait chaud au cœur quand il murmuré à mon oreille : « je t'aime » avant de me laisser plantée là. J'aurai aimé lui crier que je souhaitais reporter mon cadeau, mais le bâillon me l'interdisait.

Une demi-heure plus tard environ, il est entré dans la chambre et m'a sourie avant de monter sur le lit. Avec patience il a lubrifié mon anus en essayant de le détendre, quand un peu de lubrifiant a coulé sur mon sexe, cela m'a soulagée car un vibro trop longtemps posé au même endroit cela irrite. Malgré mes tentatives de réfutation et mes muettes plaintes, il a joué mon jeu et mon fantasme avec conviction. J'ai même eu droit à quelques claques et les fesses et insultes qui comme chacun sait, n'en sont pas dans ces moments de complicité.

J'ai clairement bien compris « que la salope allait se faire enculer » et autres quolibets tout aussi romantiques..... Quand il a commencé à forcer ma petite porte j'avais mal et l'impression que mon anus s'enflammait. Etendu sur moi et rivé au plus profond des mes reins, il s'est amusé à me tirer les cheveux, à me bousculer comme les autres fois en me disant des mots crus.

Est-ce d'être attachée et réellement sans aucune possibilité de fuite ou une fougue que je ne lui connaissais pas qui m'a faite décoller mais passé quelques moments difficiles, j'ai fini par entrer dans la bulle secrète et mes fantasmes inavouables. Quand il a senti que mon anus se décontractait, il m'a carrément défoncée. Je ne savais plus où j'étais, je perdais la tête, j'étais emportée par ces moments de plaisir qui sont si forts qu'ils font presque mal.

Pour la première fois j'avais vécu de réelles sensations de viol quand il a commencé à me sodomiser mais sans la peur avant de sombrer dans un état second où plus rien ne compte que le coït sauvage et contre nature. J'ai eu mal à l'anus pendant presque deux jours mais je garde un souvenir impérissable de cette aventure et si j'ai bien compris ces mots, cela ne sera pas la dernière si je continue de prendre le risque de m'offrir à lui ainsi.

Il est seize heures, écrire cette confession m'a excitée comme une puce, j'ai deux heures devant moi, l'appel des cordes est très fort.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mercredi 2 octobre 3 02 /10 /Oct 08:27

Je ne supporte pas mais j'aime


Je ne supporte pas la violence, mais j'aime qu'il me batte
Je ne supporte pas la vulgarité mais j'aime qu'il me traite de chienne
Je ne supporte pas les violeurs, mais j'aime être baisée de force
Je ne supporte pas la douleur, mais j'aime qu'il me fesse ou me fouette

Que de paradoxe me direz-vous et je serai d'accord car j'ai mis longtemps à accepter tout ce qui est ci-dessus. Quand je dis « accepter » c'est de moi dont je parle, pas de lui, accepter que j'aime ça.

Il est Mon Maître, il peut faire de moi tout ce qu'il veut,
Il est Mon Maître, je suis sa chienne, sa vide couilles
Il est Mon Maître, il est dur avec sa soumise mais il me rend heureuse, me comble au-delà de tout ce que j'aurai pu imaginer avant de le connaître.

MON HISTOIRE NOTRE HISTOIRE

Je suis venue au libertinage puis au BDSM après mon divorce, l'envie de vivre ma vie de femme autrement qu'en élevant les enfants me travaillait l'esprit d'une force difficile à imaginer. Alors je me suis inscrite sur des sites libertins, j'ai baisé plus que je n'ai été baisée car c'est moi qui prenais l'initiative. Si ma soif de sexe, de bites, osons dire les mots, était étanchée, après chaque rencontre, le vide, que dis-je le néant. Le désert affectif, la solitude de la vie.

Un jour un homme m'a dit « tu es une soumise révoltée, c'est d'un Maître que tu as besoin ». Je l'ai envoyé paître d'une force qui m'a surprise de par la puissance des mots que j'ai utilisés. Moi soumise à un homme ? Impensable !

De retour à la maison vide, (les enfants étaient chez mes parents) je ne décolérais pas. Je me suis inscrite sur Fessestivites pas réellement pour m'instruire sur les Maîtres et le BDSM mais plus pour les narguer. Et là, je suis tombée sur Le Maître. Des amies m'ont dit que j'avais eu beaucoup de chance de le trouver du premier coup parce que dans le monde du SM, il y a beaucoup de mémaitres.

Maître T a su me parler avec respect, avec un respect bien supérieur à celui du libertinage, ce fut Sa Force et c'est par son respect qu'il a fait de moi sa chienne soumise. Nous avons longuement échangé par email, au début j'avais peur du SM, pour moi, cela rimait avec violence. Il ne m'a jamais demandé mon numéro de téléphone, par contre lui mettait le sien après sa signature. Quand je lui ai demandé pourquoi il mettait son tel et ne me demandait pas de l'appeler, il m'a répondu : « tu m'appelleras quand tu seras prête », j'ai tout mon temps.

Lors de nos échanges, il m'a tout appris, enfin, tout est une expression fausse car on ne peut tout savoir, disons qu'il a su m'éclairer avec des mots choisis sur ce monde étrange qui commençait à me titiller pour ne pas dire perturber. Ce mec me vouvoyait, ne me demandait pas de l'appeler, ne me forçait pas la main et surtout m'a répondue un jour alors que je lui demandais s'il me baiserai : « je ne suis pas un queutar en manque, je te baiserai seulement si tu le mérites ». Pour moi qui pendant des mois avais pris les initiatives avec les libertins, ce fut un choc, presque un défi. Au fond de moi j'ai pensé : « je t'aurai comme les autres, tu n'es qu'un mec ». Quelle erreur !

Un soir, il a gagné et j'ai craqué, ce fut comme si lui parler et entendre sa voix devenait un impérieux besoin. J'ai donc pris le téléphone et je l'ai appelé. Il m'a répondu d'une voix posée très mélodieuse qu'il était ravi que j'ai fait le pas du téléphone en me disant qu'il allait raccrocher parce que je ne lui avais pas demandé l'autorisation. Sur le coup, j'ai cru qu'il plaisantait mais non, il était sérieux. Il m'a dit de lui demander par email la permission de l'appeler ce soir, qu'il me répondrait « oui » avec plaisir et il m'a raccroché au nez ! ! ! Surprenant. Dire que je suis restée sur le cul est un euphémisme.

Pour jouer son jeu mais aussi pour comprendre ce qu'il m'arrivait, je lui ai demandé par email si je pouvais l'appeler. Sa réponse positive a été immédiate : « Oui avec grand plaisir, j'attendais ton email depuis des semaines». Ce soir là, j'ai pris ma première leçon de soumission avec un simple téléphone.

Au téléphone il était comme dans ses emails, calme, posé, sûr de lui mais toujours aussi respectueux. Sa voix m'envoûtait et quand il m'a proposé d'aller chez lui prendre un verre, j'ai accepté. Il était 22 heures, quand la grande folle que je suis est montée dans sa voiture pour aller seule au milieu de la nuit rencontrer un Maître.

Ce soir là, il ne m'a pas touchée, nous avons bu une excellente bouteille de champagne et longuement parlé. Je voyais bien que l'envie de moi était présente mais il contrôlait ses mots, ses gestes avec des yeux brillants et un sourire enjôleur. Il m'a proposé de dormir dans la chambre d'amis à cause de l'alcool en me proposant de devenir Mon Maître dès le lendemain si je le désirai. Il a insisté pour que je ne lui donne pas ma réponse le soir même mais il la connaissait déjà. Un seul ordre m'a été donné en guise d'acceptation.

- Si tu acceptes d'être ma soumise, je te promets le respect, la sécurité, de la tendresse et de la fermeté. Je te ferai connaître les plaisirs du SM et des jouissances physiques que tu n'imagines pas mais encore une fois, c'est toi qui feras l'offrande, je ne te violerai pas physiquement ni psychologiquement. Ce soir je ne te toucherai pas, je ne te ferai rien même si j'en ai autant envie que toi.

(Il devait lire dans mes pensées les plus secrètes et les plus inavouables)

- Si tu acceptes d'être ma soumise, demain matin à 8 heures présente-toi nue aux pieds de mon lit avec un café sucré, remué. Tu es libre d'accepter ou de refuser et rien ne t'oblige à le faire. Je peux me servir mon café tout seul, tu n'es pas ma bonne ni ma mère, mais par cette offrande de ta nudité et de ton acceptation de l'ordre tu feras un pas de plus dans ta soumission vers moi.

D'un geste il m'a indiqué la salle de bain puis la chambre d'amis et m'a souhaité une bonne nuit. J'étais très perturbée. Le sommeil ne venait pas, son ordre me travaillait autant que cette force tranquille qui se dégageait de lui et son emprise sur moi.

Qu'ai-je fait ?

Après avoir tourné et retourné les questions qui me traversaient la tête, à 8 heures précises je suis devenu sa soumise. Depuis nous ne nous sommes plus quittés.

Ce matin là, il m'a fait l'amour mais pas comme un mec en manque, non, comme un Maître charmeur attentif. Il m'a pris la main avec douceur pour me guider sur le lit en me disant que j'étais très belle, qu'il était fier de moi et de ma force de soumise. Une soumise pour lui est quelqu'un de fort, car il faut du courage pour l'abnégation de son moi et de sa fierté. Et là, après avoir bu son café il m'a dévorée. Mon premier sentiment d'appartenance je l'ai eu ce matin là après les préliminaires savoureux et le début de l'acte sexuel en lui-même.

J'étais bien, étendue sur le dos offerte à son glaive si délicieux, je savourais ses mouvements puissants et posés quand il a pris mes poignets pour les mettre au-dessus de ma tête. Sa main gauche les a enveloppés et bloqués, il m'a souri, il a déposé un baiser tendre sur mes lèvres avant de me sauter sauvagement sans jamais lâcher mes poignets. Ses mouvements en moi me rendaient folle, ses yeux inquisiteurs et son sourire me faisaient fondre, les mains bloquées je ne pouvais subir que la douce torture de l'amour de mon Maître. J'aurai aimé le serrer dans mes bras, le caresser mais il en avait décidé autrement. Aussi patient en amour que dans sa domination il a attendu que je jouisse pour s'abandonner à son tour.

Sous les draps, lovée contre lui je ronronnais comme une chatte en chaleur, sauf que je ne l'étais pas physiquement alors que mentalement.......

Le samedi fut une journée de discussions et de promenade. Nous avons fait un détour chez moi pour que je prenne des vêtements propres avant d'aller dans un resto dès plus agréable dans les calanques. Alors que nous regardions la mer assis sur des rochers, il m'a annoncé toujours avec le même calme que le soir même j'aurai ma première punition pour avoir jouis le matin dans ses bras sans lui demander l'autorisation.

Ce ne fut pas une réelle punition mais une grisante découverte.

Nous étions dans son salon quand il m'a demandé de lui servir un apéritif puis il m'a interdit de m'asseoir. Je devais rester debout à côté du canapé sans bouger et attendre ma « punition ». Quand il m'a attirée sur lui, j'ai compris que j'allais prendre ma première fessée d'adulte. J'avais peur d'avoir mal mais je me motivais pour ne pas le décevoir. C'est lui qui ne m'a pas déçue !

Il a commencé par caresser mes fesses par-dessus ma robe avant de la remonter doucement comme pour faire durer le plaisir et faire languir ma peur. Je me souviens avoir bondi sous la première claque qui en fait n'était qu'une caresse. Lentement mais sûrement, il m'a fessée. Ces claques sur mes fesses étaient lentes et très modérées, il alternait d'une fesse à l'autre sans jamais s'arrêter. Au bout d'un moment, une impression de chaleur m'a envahie, cela piquait mais c'était bon je l'avoue sans aucune pudeur. Il a du sentir cette évolution de mes sensations car il alternait claques et caresses, ce qui me rendait folle d'excitation. Allongée sur ses genoux fesses à l'air, fessée comme une gamine j'ai commencé à planer dans le monde du plaisir dans la douleur, un plaisir nouveau que je ne connaissais pas.

J'avais un peu mal mais en même temps, je ne voulais pas que cela s'arrête. Il m'a ensuite annoncé que je n'aurai qu'une seule claque punitive pour ma première punition. Celle-là par contre je l'ai sentie passer et comme je n'avais pas dit « merci Maître » j'en ai pris une seconde du même acabit, là je n'ai pas oublié de dire « merci Maître ».

Ma « punition » terminée, étendue sur ses genoux, j'ai sentie des picotements délicieux sur mon épiderme fessier. C'était chaud, c'était bon, ainsi offerte, je n'avais pas envie de bouger, de casser la magie de ma première fessée.

C'était il y a un an et je me souviens de tout comme si c'était hier.

Aujourd'hui,


Je ne supporte pas la violence, mais j'aime qu'il me batte
Je ne supporte pas la vulgarité mais j'aime qu'il me traite de chienne
Je ne supporte pas les violeurs, mais j'aime être baisée de force
Je ne supporte pas la douleur, mais j'aime qu'il me fesse ou me fouette

Traduction

Je ne supporte pas la violence, mais j'aime qu'il me batte quand j'ai fait des bêtises mais ce n'est pas battre dans le sens de la violence conjugale. Cela me permet de grandir en tous points.

Je ne supporte pas la vulgarité mais j'aime qu'il me traite de chienne parce qu'à ses pieds j'en suis une mentalement alors que je n'aurai jamais imaginé cela.

Je ne supporte pas les violeurs, mais j'aime être baisée de force quand il me livre les yeux bandés et les mains attachées dans un gang bang.

Je ne supporte pas la douleur, mais j'aime qu'il me fesse ou me fouette quand il s'occupe de moi dans le domaine du plaisir BDSM.

Il est Mon Maître, il peut faire de moi tout ce qu'il veut,

Il est Mon Maître, je suis sa chienne, sa vide couilles

Il est Mon Maître, il est dur avec sa soumise mais il me rend heureuse, me comble au-delà de tout ce que j'aurai pu imaginer avant de le connaître.

Merci mon Maître

Votre soumise

TSM Journaliste de Fessestivites

 

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Samedi 21 septembre 6 21 /09 /Sep 13:42

Les soumises sont des sadiques !

Prenez une soumise réelle qui vit réellement sa soumission comme un Art de vie et confiez-lui des soumis en lui ordonnant de leur faire du BDSM.

Au départ la soumise refuse et râle en vous disant qu'elle n'est pas Maîtresse. Elle insiste même en vous rappelant qu'elle est soumise dès fois que vous l'auriez oubliée...... !

Insistez en lui rappelant qu'une soumise n'a pas à discuter les ordres de son Maître. Si besoin est, annoncez qu'une protestation ou un refus sera sanctionné d'une punition. (Chez moi les punitions sont redoutées car ce ne sont pas des jeux BDSM)

Regardez-la partir en râlant et observez attentivement. Vous constaterez que si la dite soumise est bien soumise, passé les premières minutes l'ordre de dominer sera exécuté avec une certaine forme de sadisme.

CONCLUSIONS PERSONNELLES et plusieurs fois constatées :

Les réelles soumises ne sont pas domina et ne switchent pas, dominer ne les intéresse pas et les ennuie fortement, elles feront l'effort si elles n'ont pas le choix.

La domination qu'elles mettent en place (puisqu'elles n'ont pas le choix) risque de vous surprendre de part leurs côtés pervers et sadiques.

ET LE PIRE c'est que si ces soumises sont maso, les pauvres soumis risquent de souffrir car elles adaptent la puissance des coups et actions en fonction de leur propre masochisme ! Aie aie aie si le soumis n'est pas maso.....

Personnellement (en grand pervers que je suis) j'adore faire dominer mes soumises parce qu'elles râlent mais exécutent mes ordres et les regarder m'amuse beaucoup. J'aime voir les rictus sur leur visage. Si comme moi vous aimez observer, vous serez surpris.

Les soumis n'apprécient pas toujours (rire) mais ont-ils le choix ?

Après une séance de domination réalisée par une soumise contrainte de dominer, une reprise en main de votre part est aussi salutaire qu'une bonne douche pour Hercule après ses grands travaux. La soumise ne vous en sera que plus reconnaissante......

Ci-dessous quelques photos prises lors d'un week-end de rencontre organisé par Fessestivites, vous constaterez que la soumise (forcée de dominer) a des idées perverses......

J'ai fait le test avec deux soumises, si les approches sont différentes, les résultats sont les mêmes, les soumis « dégustent » et je m'amuse.

TSM Maître et psychopathe en chef chez Fessestivites

 

Là, c'est soumise Ginou et Kio à l'oeuvre cela vous donne là aussi un exemple concret 

BDSM strapon pour soumis rencontre BDSM Fessestivites

Pour réagir sur le sujet, rendez-vous sur ce forum

 

(Les photos ont été prises lors du week-end de rencontre fessestivites de 2013)

 

Précisions : pour participer aux soirées et week-ends GRATUITS il faut être abonné au réseau Fessestivites. On ne peut pas avoir le beurre, l'argent du beurre et le cul de la crémière gratuitement. 

 


Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Vendredi 13 septembre 5 13 /09 /Sep 09:00

La magie du BDSM (Histoire vécue)

Commentaire du webmaster : cette histoire BDSM est réellement vécue, j'y étais.

Fin de l'été, mon Maître a décidé de me faire vivre d'autres sensations, me « faire perdre la tête » comme il dit avec un sourire en coin des lèvres, tandis que je lis dans son regard sadique et plein d'amour : « toi je vais te faire décoller »

Je vis ma passion avec mon Maître qui sait m'y amener avec douceur, je m'abandonne à Lui, ce qui ne m 'empêche pas d'être responsable d'une équipe de travail, comme je dis souvent avec humour, : « dans mon travail je suis agent de maîtrise et avec mon Maître je suis agent Maîtrisée »

Il m’emmène au fond du jardin où j'aperçois une croix st André bien exposée à l'ombre, à coté une chaise ou des instruments familiers sont posés dessus. Mon cœur commence à battre, je sais à peu prés ce qu'il m'attend en voyant les fouets mais j'étais loin d'imaginer la suite, la seule chose qui m'intrigue c'est le marteau et le burin qu'Il porte, à quoi cela va servir ? Bien sur Il reste muet tout en souriant !

Nous avançons vers le matériel de supplices qui va me donner tant de plaisir, l'excitation se fait ressentir, Il me positionne nue face à la croix, commence à me lier un pied, puis l'autre, un baiser entre deux attaches, nos regards se croisent, l’excitation se fait de plus belle, puis vient le tour les mains.

Son visage est plus près de moi, je sens son souffle, son odeur, je ne veux rien perdre de ce moment, je le regarde, je suis aux anges !

Puis Il me plaque le corps sur la croix, me passe une corde autour de la taille, je peux sentir ses mains qui me frôlent, j'en ai des frissons, Il serre la corde fortement de sorte que je ne puisse pas bouger. 

 

Malgré mes questions pour me rassurer un peu, Il reste stoïque toujours ce regard malicieux qui me fait vibrer, en fait je n'attends pas de réponse, juste lui parler pour regarder son visage expressif.
Je suis juste un peu anxieuse mais je me raisonne sachant que je n'aurai que du plaisir, et cela m'excite, oui excitée d'être attachée, ce sentiment d'abandon, être offerte à Lui, à ce moment précis quoi qu'Il fasse je suis à sa merci =, cela me comble de joie, ainsi immobilisée je suis à Lui,

Il prend le marteau et le burin pour y faire un trou dans le gazon juste derrière la croix, enfin rassurée ! Ho je sais bien qu'Il n'allait pas s'en servir sur moi, mais de pas savoir m'a mise dans un état d'angoisse.
Dans ce trou Il cale un trépied qui tenait un micro vibrant, ma tension monte, je râle, je sais et Lui aussi que je résiste peu sous ce micro qui me donne tant de plaisir, sachant pertinemment qu'Il m'interdira de jouir sans sa permission.

Des mots s’échangent un peu pour me déstabiliser, rien qui pourrai m’éclairer sur la suite, je commence à avoir chaud , ma gorge se dessèche, j'ai tellement de plaisir à sentir son regard et son attention sur moi que j'en fonds de bonheur !

Il me cale le micro sur mon sexe déjà mouillé, s'assoit sur une chaise devant moi, me regarde, me contemple avec ses yeux qui parfois se plissent qui parlent et qui en disent long, son petit sourire, me fait craquer !


Je suis là devant Lui, je ne veux pas le lâcher du regard mais les vibrations du micro font monter en moi des petits tremblements, malgré mes liens, je cherche la meilleure position , pour trouver la jouissance, cette jouissance qui m'est interdite d'avoir sans son ordre, je dois me retenir,c'est dur mais j'obéis,

Alors, Il se lève, commence à me caresser le dos avec les martinets pour me chauffer, j'adore ces picotements qui me font monter dans le plaisir, puis Il enchaîne avec les fouets de toutes sortes, sur tout mon corps, le dos, les épaules, les fesses, les bras, les cuisses, les yeux fermés je l'imagine transpirant avec cette lueur dans les yeux.

Les coups arrivent les uns derrière les autres certains, enroulés certains portés, je pousse des petits cris, je ressens un tel plaisir que j’en ai le souffle coupé, mon cœur s'emballe, les frissons m'envahissent et ce satané micro qui vibre encore et encore, envie de jouir, mais non ce n'est pas encore le moment,

Il prend un fouet, m'entoure la gorge et serre, serre, se rapproche de moi en disant tout bas et d'une voix douce et ferme, « tu es à moi, tu es à moi » à ces paroles je me sens partir dans une jouissance cérébrale, je transpire, j' =halète, j'ai du mal à respirer, je sens mon corps trembler, oui je suis à Lui.

Nous sommes en fusion totale, je me sens en sécurité, il toute possession de mon corps, il peut faire tout ce qu'Il veut, je Lui appartiens.

Il me laisse prendre mon souffle, s'en va quelques instants, juste le temps de revenir sur terre, reprendre mes esprits, Il arrive par derrière, sur mon sexe, sa main douce et fraîche caresse mon intimité la plus profonde, cette fraîcheur se transforme en chaleur intense qui anime en moi une excitation immédiate. Je comprends soudain que dans sa main il y avait de la moutarde, dans cette sensation de chaleur je ne ressens plus les coups de fouets, tout se mélange dans ma tête, je suis déstabilisée, je ne comprends plus rien.

Je pleure, je ne sais pas, douleur ? Plaisir ? Je suis excitée et j'ai mal, pourquoi ? La jouissance retenue ? Les coups de fouets ? Je ne sais plus !

Tout ce mélange dans ma tête, le micro vibrant sur mon intimité, les fouets, la chaleur de la moutarde, les mots, mon cerveau ne suit plus, c’est à en devenir folle.

Je me frotte sur le micro mes fesses offertes à mon Maître qui se tient toujours derrière moi, Il me repend son champagne doux et chaud qui dégouline sur mon sexe, mes cuisses ,mes jambes,c'est une première pour moi, je prends ça comme un cadeau, j'en suis fière , et comblée.

A ce moment là je n'en peux plus, des frissons m'envahissent, tout mon corps tremble, j'ai chaud, ma tête tourne, mes jambes vacillent, je pleure de plaisir, d'extase, de bonheur, je supplie mon Maître de m'autoriser à jouir, qui d'une voix grave et autoritaire qui m'excite d'avantage me dit : « oui tu peux » ces paroles sont une délivrance pour moi, je me,lâche complètement.
J'offre ma jouissance à mon Maître à plusieurs reprises, qu’il voit couler sur mes cuisses, tout en continuant le fouet qui me transporte. Ma tête tourne, j'ai l'impression qu’elle va exploser,

Je suis épuisée mais heureuse, tout se relâche en moi, cette tension que j'avais depuis le début laisse la place à la sérénité.

Mon Maître prend soin de me détacher avec prudence et douceur pour ne pas que je tombe, Il m'entoure de caresses et de baisers comme pour me récompenser de ce que je lui ai offert.
Je reste immobile toujours positionnée mais libre de tout liens,,

Assis en face de moi, Il attend que je redescende sur terre, nos regards n'arrivent pas à se décrocher.

Quand je le sentirai je me mettrai à quatre pattes pour aller vers Lui selon son ordre.
J’essaie de lire dans son regard, je vois de la satisfaction, de l'amour, de la tendresse,,
alors que dans les miens il pouvait y lire que je l'aime, Il me comble de plaisir, comment un homme qui est votre Maître peut vous donner autant de bonheur. Comment peut-on s'abandonner à un homme avec autant de confiance, je suis envoûtée par Lui,

Je reprends mes esprits, plus sereine, ma respiration est plus régulière, la tension tombe, les tremblements ralentissent, sans le quitter des yeux je me mets à terre doucement, avance vers Lui à quatre pattes et dans un élan de reconnaissance je lui lèche les pieds avec passion, à ce moment précis j'aurai tout mais tout accepté de Lui.

Oui je suis à Lui comme Il me l'a dit en m’étranglant !
Il m'allonge sur le gazon que je pouvais sentir, le silence nous entourait, j’étais bien, épuisée mais calme près de Lui en lui léchant toujours les pieds. Il me dit ; « tu es belle ! » moi belle ??
Oui a ses yeux je l’étais !
Je me sentais bien, sereine, heureuse, épanouie, amoureuse comblée, rien ne pouvait m'atteindre,
Moi qui est une phobie des fourmis, il y en avait une sur moi et je l'ai enlevée sans sursaut comme je l'aurai fait habituellement !
De longs regards d'amour, de tendresse entre nous, des baisers échangés m'ont remplie de joie, j'aurai voulu que ce jour là ne cesse jamais,

Si je dois définir cette journée en un mot ce serai tout simplement, MAGIQUE

Un grand merci à mon Maître que j'aime

 


Note du webmaster : dans le texte le mot micro signifie Magic wand massager

 

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : plaisirs SM
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Jeudi 12 septembre 4 12 /09 /Sep 18:50
Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : plaisirs SM
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Jeudi 12 septembre 4 12 /09 /Sep 13:28

Lavement en couche avec double ballonné anal

Mon chéri est fou mais je l'aime parce qu'au-delà de sa folie et des trucs parfois crades, il me fait vibrer. Il est aussi adepte du lavement, des couches en plus du BDSM. En parallèle de ça, au lit c'est un excellent amant particulièrement attentionné.

Il a réussi à me faire apprécier les sensations du lavement. Je ne pratiquerai pas tous les jours lol, mais de temps en temps, j'avoue que ce n'est pas désagréable. Pour les couches, c'est différent, j'aime bien là aussi de temps en temps faire pipi dans les couches, mon côté grand enfant sûrement. Il me demande parfois de lui d'en mettre pour la nuit après les gros câlins, surtout le samedi après nos folies.....

En parlant de folie, mon fou m'a fait une sacrée surprise le week-end dernier. Il m'a demandé d'aller me faire un petit lavement pour que j'ai le « cul propre » expression très romantique nous en conviendrons, mais entre nous ce sont des mots d'Amour annonciateurs de coquineries. Sans me dévêtir, il m'a ensuite posé les bracelets puis fait un petit shibari avant de me poser une sucette bâillon puis un bandeau sur les yeux.

 

Avec beaucoup de précautions puis en m'indiquant que cela serait juste un peu désagréable au début, mon fou d'Amour m'a demandée de me mettre à quatre pattes sur le lit, enfin, comme j'étais attachée, c'était la tête dans les draps, à genoux les fesses en l'air. Au début je n'ai pas compris ce que c'était et je ne savais pas qu'il en avait acheter un. Il s'acharnait à faire entrer un truc dans mon anus que je ne connaissais pas. Une fois en place, il m'a embrassée les fesses avec tendresse pendant qu'un truc bougeait en moi et entre mes fesses. Ce truc est vite devenu désagréable surtout quand on ne sait pas ce que c'est. Il m'a expliquée qu'il venait de me mettre un double ballonnets, qu'il y en avait un dans mon colon, un à l'extérieur et que cela maintiendrait le lavement une fois gonflé.

Deux minutes plus tard, j'étais en couche attachée debout dans le salon, jambes écartées au dessus d'une bassine. Une fois qu'il a terminé ses préparatifs, j'ai senti le lavement arriver. Entravée j'aime bien, je me sens toute à lui, sa chose vulnérable qu'il martyrise mais qu'il respecte et protège, hummmmm. La première surprise car il m'en fait souvent n'a pas tardeé !

- Dans la poche à lavement, j'ai fait fondre trois suppos à la glycérine, cela va t'aider à te faire « le cul propre ».

L'enfoiré ! Aller aux toilettes avec ça dans le colon, allait être chaud..... J'ai alors compris, ou cru comprendre, le pourquoi de la couche.

La deuxième surprise est arrivée un bon moment plus tard quand il est revenu pour dégonfler le double ballonnet. Une fois dégonflé, il me l'a retiré avant de bien ajuster ma couche. Et là j'ai compris ! J'ai eu beau râler et gesticuler pour lui faire comprendre que je n'étais pas d'accord, il n'en avait rien à faire. Il m'a fait quelques bisous dans le cou avant de m'abandonner pour filmer son piège à la con. Les fesses serrées comme une malade, dans mon ventre cela gargouillait et me faisait comme de petites crampes. Une première fuite anale m'a surprise quand j'ai voulu soulager ma vessie. La lutte fut rude contre mon envie de pisser, mon ventre qui gargouillait et mon colon poussant en même temps sur mon anus ultra contracté, Comme je parvenais à résister, le traître m'a fait des chatouilles. Et là, j'ai tout lâché.

Morte de honte, j'étais morte de honte mais en même temps qu'est-ce que c'était bon que de tout lâcher ! Les sensations de bien être éprouvées sont difficilement descriptibles par contre, elles sont éphémères car une fois « vidée » la dure réalité vous rattrape.

Alors que je transpirais comme si j'avais réalisé les douze travaux d'Hercule en une heure, il est venu m'embrasser dans le cou puis m'a retiré la sucette bâillon. Je passerai sur mes mots doux ....... qui le faisaient rire. Au lieu d'être en colère ou de me libérer, il m'a donné une petite fessée sur la couche pleine. Quelle horreur ! Comme mon mari et Maître d'Amour assume tout, pour ça il est génial, il m'a partiellement libérée puis portée jusqu'à la chambre où avec beaucoup d'amour il m'a lavée et changée. La deuxième couche avait pour objectif d'être une sécurité en cas de fuites car avec un lavement sérieux, il y a toujours quelques risques.

Mon fou m'a laissée attachée sur le lit puis a fermé la porte de la chambre malgré toute mes suppliques. Deux heures plus tard, quand il m'a libérée, j'ai pu découvrir sa dernière surprise. Il avait fait le repas, une jolie table avec des bougies, une bouteille de champagne nous attendait pour fêter mon premier « caca couche ».

La folle qui souhaite rester anonyme

Témoignage recueilli par TSM journaliste du réseau Fessestivites.

Les photos de ce lavement en couche sont ici

La vidéo de ce lavement en couche est ici

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Le sexe sans tabous
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Vendredi 6 septembre 5 06 /09 /Sep 12:05

Le visage d'une femme fouettée une VIDEO exceptionnelle

Le-visage-d-une-femme-fouettee.jpg

Le visage d'une femme fouettée est une VIDEO exceptionnelle car elle expose à merveille les expressions du visage dans le plaisir SM.

Il n'y a aucun trucage, tout est vécu comme vous le voyez sur cette vidéo que je trouve magnifique pour les regards et expressions.

Non je ne fais pas une crise de modestie ! Ce n'est pas parce que c'est notre vidéo ou parce que Kioki-san est ma soumise mais tout simplement parce que la magie SM y est palpable.

Bon sur les photos c'est moins évident mais alors sur la vidéo..... lorsqu'elle décolle...... cc'est MAGIQUE à voir ! 

Jugez vous-même !

TSM

La vidéo Le visage d'une femme fouettée est ici 


Photos : Le visage d'une femme fouettée une VIDEO exceptionnelle

 

 

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mercredi 4 septembre 3 04 /09 /Sep 09:15

Shibari à la croix, masturbation tête en bas, une petite soirée SM soft associant bondage et plaisir.

 

shibari croix 1

shibari croix 2

shibari croix 3

shibari croix 4

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shibari croix 5

 

Voir la vidéo Shibari à la croix de saint andré avec masturbation tête en bas

 

Voir les photos du Shibari à la croix de saint andré avec masturbation tête en bas

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 31 août 6 31 /08 /Août 08:50

ABDL shibari enema Histoire et vidéo amateur

ABDL-shibari-enema-Histoire-et-video-amateur.jpg

Il était une fois, une ABDL passionnée de shibari moins de l'enema ..... STOP il était une fois ressemble à une histoire pour enfant alors que là c'est pour adulte. Oui mais la soumise portait une couche !

Reprenons !

Le vendredi 30 août 2013, l'idée de faire des photos d'ABDL associé au shibari m'est venue pour alimenter le site Fessestivites. J'ai donc décidé d'attacher Soumise Kioki-san en couche sur le lit et de la photographier sous toutes les coutures. Comme j'aime bien lui faire des surprises, je lui ai demandé de se faire un petit lavement en lui indiquant qu'après les photos j'avais quelques envies coquines s'orientant vers l'épicentre de son délicat fessier.

Debout en couche devant moi, ma soumise passionnée de shibari se laissa ficeler les bras dans le dos. Je lui fis une forme de « arms binder » en corde, accessoire initialement en latex ou cuir très inconfortable. Une fois ficelée, j'ai pu lui présenter ma surprise : un lavement ! J'ai donc introduit un tube dans sa petite rondelle étoilée avant de la pousser sur le lit pour finir de l'entraver.

Etendue sur le ventre avec une barre d'écartement aux pieds, les bras et les mains liées dans le dos, la belle ne pouvait que râler, chose qui m'amuse follement car lorsqu'elle râle, je rajoute toujours quelque chose en plus ! Sa tête fut donc tirée en arrière par les cheveux par de la corde et pour le fun, histoire de faire de la pédagogie pour râleuse, sa jolie queue de cheval fut elle aussi emprisonnée. Il ne me restait plus qu'à relier le tuyau logé dans son fondement au bocal à lavement et à y verser un litre et demi d'eau. 
La voir gesticuler et se tirer les cheveux elle-même m'amusait. Pour l'accompagner pendant son lavement et « l'aider » à se décontracter (en se tirant les cheveux) quelques chatouilles la firent bondir et donc se concentrer sur autre chose que son colon.  

Il était temps de passer aux choses sérieuses : les photos pour Fessestivites. Mitraillée et en cours de « remplissage » dans cette position inconfortable, hormis se plaindre, la pauvre Kioki-san ne pouvait rien faire. Et là, une autre idée sadique m'est venue ! Filmer son auto libération. Le caméscope à la main, j'ai donc fait quelques plans avant de lui dévoiler mes idées.

- Je vais retirer quelques nœuds et te laisser te libérer toute seule, cela nous fera peut-être une vidéo sympathique !

« J'ai mal au ventre » geignait la belle saucissonnée. Hé hé hé.

- Ok je retire le tuyau de ton lavement, tu vas pouvoir te vider ! A été ma réponse.

L'idée de rejeter le lavement dans sa couche ne lui plaisait pas du tout, mais alors pas du tout, mais pour un Maître comme moi, est-ce important ? Franchement ? ? ?

N'ayant relâché que quelques nœuds, sa libération s'annonçait longue ! J'ai donc installé le caméscope sur un pied et je suis allé me réhydrater, traduire prendre un bon pastaga bien frais loin de ses jérémiades aussi ennuyeuses qu'inutiles. A force de gesticuler, Soumise Kioki-san est parvenue à deux choses :


1°) Retirer quelques bouts de corde.

2°) Lâcher une partie de son lavement relativement propre pour cause de lavement préalable dans sa couche.....


J'en étais au deuxième pastis agrémenté d'olives, lorsque l'idée d'aller voir ma soumise « en travail » se débattre contre les cordes et la pression de ses intestins. Quel beau spectacle elle m'offrit !

Le meilleur fut la fin quand toute joyeuse elle m'annonça j'y suis arrivée ! Le plus naturellement du monde elle s'est assise sur le lit pour finir de retirer la barre d'écartement et les cordes la gênant pour se lever. Et là, s'asseoir sur une couche contenant un bon litre d'eau génère une remontée soudaine de liquide sur les fesses et la minette...... Avec un sourire radieux (enfin presque..) elle commenta avec des mots choisis ses agréables sensations : c'est dégueulasse !

Comme Soumise Kioki-san était parvenue à se libérer, je l'ai autorisée à aller prendre une douche, sympa non ?


TSM

P.S. Nos vidéos et photos représentent souvent nos délires, l'idée pour nous n'étant pas de faire du commercial à l'état pur mais de partager notre vie SM et parfois ABDL.

Les photos Shibari ABDL enema sont ici

 

La vidéo Shibari ABDL enema est ici

 


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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Shibari bondage BDSM
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Mercredi 28 août 3 28 /08 /Août 12:05

Shibari et bondage à la balançoire, les cordes se mariaient à merveille lors d’une rencontre BDSM organisée en France par Fessestivites

 

 

 


shibari balançoire 01

shibari balançoire 02

shibari balançoire 03

shibari balançoire 06

shibari balançoire 10

 

 La série complète de photos shibari et bondage à la balançoire  est ici 

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Shibari bondage BDSM
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