Chasteté masculine et soumission

Lundi 23 septembre 1 23 /09 /Sep 09:50

Un site de rencontre nommé Bonheur par Erwan » 22 Sep 2013 20:29

(Ce récit est une fiction tournée autour d'un univers quant à lui bien réel. Le site existe vraiment et tous les éléments qui y sont expliqués sont vrais. Seuls les personnages sont fictifs à l'exception du Webmaster, mais cette histoire aurait très bien pu être réelle. A vous d'essayer le site pour créer votre propre récit, votre propre histoire).

Je m'appelle Tom et j'ai bientôt 30 ans. Je vie seul dans un petit appartement dans une commune en périphérie d'une grande agglomération bretonne. Ma vie n'a rien de passionnante et je masque ma solitude dans le travail. Je suis chauffeur livreur et ce ne sont pas les heures de travail qui manquent. Ça a le mérite de ne pas me laisser me morfondre dans mon 50M² décidément trop grand pour moi. Je passe mes week-ends à sortir avec les copains et ça fini généralement en discothèque avec un espoir, peut être, de faire enfin une belle rencontre. Oui je suis encore célibataire et j'en ai vraiment marre. J'ai déjà eu des copines mais elles prennent toutes peur quand je leur avoue mon plus grand fantasme. J'ai l'âme d'un soumis et je veux une femme dominatrice qui me dicte sa lois, ses envies, ses désirs et ses fantasmes. J'ai toujours été comme ça çar, ma mère est ultra autoritaire et elle n'a jamais rien laissé au hasard. J'avais plus qu'intérêt à filer droit si je ne voulais pas être puni ou pire. Oui pire, çar il y avait un martinet a la maison et ma mère s'en servait de temps en temps pour mes fautes les plus graves. Bon, je n'étais pas un çancre, mais avec le recul, j'avoue que ce martinet a laissé des traces sur moi. Pas des traces physique, mais morale.

Si mes week-end sont placé sous le signe des copains et des sorties, les soirs de la semaine, je suis généralement seul devant mon écran d'ordinateur et je vogue de sites en sites. Tout y passe, les sites communautaires, les sites de rencontres et comme tout homme célibataire qui se respecte, les sites pornographiques. Mais ce soir, je décide de voir les sites spécialisés sur le BDSM. Après tout, c'est bien ce que je cherche. Entre les boutiques en ligne et les sites dédiés au BDSM, il y a du choix. Sur ma boutique préféré, je poursuis de compléter mes achats et j'achète une magnifique çage de chasteté faite sur mesure ce qui me changera de mes cages standard pour mes périodes chaste. Oui, j'ai des périodes ou je porte une çage de chasteté, et bien que détenteur de la clé, j'essai de tenir. Résultat, pas plus de 3 jours et encore, pas 3 jours plein. Je ne réussis pas à garder mon excitation en çage et sans Maîtresse pour me pousser plus loin, ma faiblesse revient vite pour libérer mes pulsions. Cette nouvelle cage est faite pour un port « longue durée » mais si je ne tiens pas plus de 3 jours, est ce bien utile.... ?

Bref, je finalise ma commande et je passe à un autre site que je trouve par hasard sur un moteur de recherche. Le nom est très drôle pour du BDSM. Fessestivites, quelle idée d'appeler un site comme ça. Bon voyons ce que ça vaut. Très vite, je constate que le site est simple et qu'il fait la chasse aux faux profils. Ça change des sites communautaires ou ça serait « presque » l'inverse. Je peux très vite voir que le site est payant (Fait chier, encore un de plus) mais qu'a ma grande surprise, c'est plus que raisonnable. De toutes façons, il y a une période d'essai de 8 jours et si ça ne me plais pas, je supprimerais bien vite mon compte sans avoir a rien payer. Dès mon arrivé, je suis accueilli de bien belle façon par tous les membres présents.

Dans un des salons du chat, on peut même voir des femmes en cam, et bien, ça change. Au moins, ici, elles n'ont pas peur et ne se çachent pas. Serait-ce un signe d'un site sain ? Je vais vite être fixé de toute façon. Sur mon profil, j'ai très clairement stipulé que je suis célibataire, soumis, que je peux recevoir et me déplacer et oh bonheur, un membre me parle et semble avoir lu ma fiche. Il y a donc une différence notable ici. Ce membre m'explique le fonctionnement de ce site et me dit qu'en plus, il y a des week-ends d'organisé par le site et que c'est gratuit. Gratuit, mon œil oui, il doit bien y avoir une embrouille quelque part. Alors, je lui dis clairement :
« - Vous dites que c'est gratuit, mais c'est quoi l'embrouille ?
- Comment ça, quelle embrouille ?
- Ben oui, rien n'est vraiment gratuit maintenant, il y a un truc, sinon ce n'est pas possible.
- Oui, tu as raison, il faut être membre payant du site et tu es ensuite le bienvenu à toutes les activités du réseau.
- Et c'est tout ?
- Oui bien sur, à quoi t'attendais tu ?
- Ben en général, sur les sites comme ça, il y a toujours des trucs non précisés et il faut ça plus ça, plus ça...enfin vous voyez quoi. »
El la, le type me file un numéro de téléphone. Mais il est fou ce gars.
« - Attendez, vous faites quoi la ?
- Appelle moi, même en numéro masqué si tu veux, je suis le webmaster de ce site et je vais te donner toutes les infos de notre réseau. »
Pour le coup j'ai un gros coup de chaud. J'hésite vraiment et il a du le sentir çar il me relance en me disant :
« - Tu n'as rien à craindre tu sais, en numéro masqué, je ne vais pas pouvoir te retrouver. Mon intention est noble et tu ne seras pas déçu. »
Après tout, il a raison et je prends soin de masquer mon numéro et je l'appel.
« -(moi) Bonsoir
-(le Webmaster) Bonsoir, alors, je me présente, je m'appelle TSM. C'est mon pseudo depuis toujours et sur le réseau, je te souhaite la bienvenue.
- Merci.
- Comme je te disais, Je veux pour mon site quelque chose de nouveau, quelque chose qu'on ne trouve pas ailleurs et c'est pourquoi, à part une « cotisation annuelle », tout les accès au site sont gratuits. De plus, les rendez-vous Fessestivites sont également gratuits pour les adhérents. Alors, pourquoi adhérer ? Ben tout simplement pour montrer aux autres personnes que tu es un profil réel, sérieux et que tu souhaite vraiment faire des rencontres. Le faite de payer une cotisation repousse les faux profils, les profiteurs et autres indésirables que l'on peut voir sur les réseaux sociaux par exemple.

-Oui je vois ce que vous voulez dire. Ce n'est pas idiot si ça marche.
-Si ça marche ? Mais ça marche ! Tu as vu que sur les salons de discussions, il y a des femmes qui n'ont pas peur de se montrer en çam et qui n'ont pas peur de parler librement. C'est bien une preuve que ça marche.
- Et vous faites comment pour les week-ends que vous organisez ?
- Ben par exemple, le prochain week-end a lieu dans 2 mois. Il a pour thème la fessée. Les gens arrivent le samedi matin ou la veille si ils peuvent et le samedi toute la journée et le dimanche matin, il y a les dominants et dominantes qui vont proposer les activités aux soumises et soumis autour du thème de la fessée.
- Oui, d'accord, mais pour les repas et pour dormir, ça ce passe comment ?
- Ben tu viens avec tes affaires pour dormir, duvet et tente puis pour les repas, je me charge de tout. Tout est comprit.
- Vous êtes sérieux ?
- Ai-je l'air de plaisanter ? Ecoute, le mieux que je puisse te proposer c'est de venir voir par toit même. Qu'en dis-tu ?
- Ben heu oui pourquoi pas. C'est quand ?
- c'est dans 2 mois. Tu veux que je t'inscrive ?
- oui pourquoi pas. Mais c'est ou ?
- Une fois que tu es membre du site, je te donne toutes les infos.
- Oui, vous n'oubliez rien. Mais c'est normal, je vais devenir membre et je vous rappelle.
- Donne-moi ton numéro, maintenant tu sais que tu peux me faire confiance. »
Après lui avoir donné mon numéro de portable, je m'inscris à ce site. La démarche est simple et rapide. Puis en privé, je lui annonce que c'est fait pour qu'il me rappel afin d'avoir toutes les informations nécessaires pour ce week-end. Il m'explique tout dans les moindres détails, et en plus, il m'a envoyé un mail avec un résumé et les coordonnés pour ce week-end. Puis notre conversation se fait plus précise :
« - Tu es donc soumis ?
- Oui, je l'ai toujours été, mais je n'ai jamais partagé ça avec une femme dominatrice.
- Tu sais, il n'y a pas de miracles. Reste toi-même et si ça doit venir, alors ça viendra. Tu n'as donc pas d'expérience ?
- Ben non, mais je connais bien le BDSM et je sais que c'est ce que je veux. J'ai même un peu de matériel.
- D'accord, et tu as quoi en matériel ?
- J'ai des liens, des menottes, des plugs, des rosebuds et même une çage de chasteté. J'en ai même commandé une sur mesure pour un port longue durée, mais sans personne pour garder la clé, je ne peux pas tenir ençagé très longtemps.
- Oh mais, ça peut s'arranger tout ça.
- Ah bon, et comment ?


Ce service de gestion des cadenas des cages de chasteté est réel. Cliquez ici pour le constater.

 

- Je te propose de t'envoyer un cadenas du réseau dans un colis que tu n'ouvriras que le soir ou tu mettras ta cage et si tu veux bien, tu pourrais le faire en cam. Mais ce n'est pas une obligation, tu peux très bien le faire en cam privé entre toi et moi. Mais quoi que tu décides, il faut jouer le jeu pour véritablement être contraint. Tu fixes ta durée d'encagement et le moment venu, je te transmets le code du cadenas pour te libérer en çam ou non, toujours comme tu le sens. Qu'en dis-tu ?
- J'avoue que c'est une bonne idée, et si on pouvait attendre que ma nouvelle çage arrive, ça serait encore mieux. Je l'ai commandé ce soir et ils m'ont certifié une livraison dans 1 mois environ.
- Parfait, donc dans un mois, je fais en sorte de t'envoyer le cadenas pour qu'il arrive en même temps que cette cage et comme ça, tu seras enfin contraint. Acceptes-tu de t'encager en çam ? Ça te permettra de montrer ta bonne volonté devant les autres membres.
- Oui, pourquoi pas, je ne suis pas trop timide. »

Le reste de notre conversation me permet de vraiment connaitre mieux ce webmaster et son site.
Les jours défiles et très régulièrement Je fais connaissance avec les autres membres de fessestivites. Certains délurés, d'autres plus réservés mais tous sont vraiment sympas. Très vite, je me sens à l'aise et j'oublie les autres sites. Le temps passe si vite que le soir, je me couche de plus en plus tard et que le matin, mon réveil est des plus difficile pour aller travailler. Il m'arrive même de ne plus sortir le vendredi soir avec les copains pour profiter de mes nouveaux amis du site et j'avoue que je reste jusqu'à tard la nuit çar je ne travail pas le samedi. Mais ce vendredi la, j'ai particulièrement aimé une soirée a thème puis une conversation avec d'autres membres qui me fait me coucher vers 3H00. Autant dire que le réveil par le facteur à 9H00 est difficile. C'est avec une tête dans la raie des fesses que j'ouvre à ce travailleur du samedi pour réceptionner un tout petit colis. Je ne percute pas tout de suite, je pose le paquet sur la table et je prépare mon petit déjeuner. Devant ma tasse de çafé, j'ouvre le paquet et découvre une notice de chez Fessestivites et un petit cadenas.

L'envie de tricher m'effleure l'esprit, mais cette fois, je tiens et surtout, vu que je vais mettre ma çage en direct en çam sur le site, si je triche, ça sera vu avant de fermer le çadenas. Donc, je range le tout et j'attends la livraison de ma çage qui doit arriver sous peu. Et, une semaine et demie plus tard, je découvre un avis de passage d'une entreprise de transport pour une livraison de colis. Munis de mon papier, je décide d'aller retirer mon colis le jeudi après mon travail et le soir, je découvre ma superbe çage faite sur mesures. Sans perdre de temps, je décide de l'essayer et je la ferme avec un de mes çadenas pour ne pas fausser le jeu avec le site. Il n'y a pas à dire, le sur mesure est vraiment génial et je me sens bien dedans. Elle épouse parfaitement mon anatomie sans aucune gêne. Fait ultra rare, je décide même de la garder pour la nuit afin de voir ce qui m'attends. Alors certes, l'érection reste impossible et ça me réveille, mais il y a une nouveauté, c'est moins douloureux qu'avec ma çage standard. Je sais donc que vivre avec sera moins pénible. Dans un délire fou, je n'enlève même pas ma çage pour aller travailler ce vendredi. Très franchement, la journée ce passe bien et lors d'une pause, j'appel Monsieur TSM :
« - Allo ?
- Oui, bonjour, c'est Tom
- Bonjour Tom comment vas-tu ?
- Je vais bien et vous ?
- Oui, ça va très bien. As-tu reçu mon çadenas ?
- Oui, je l'ai reçu samedi dernier et j'ai aussi reçu ma çage hier et je n'ai pas résisté à l'idée de l'essayer avec un de mes çadenas. Je la porte encore a l'heure actuelle et ce, depuis hier, c'est dire.
- C'est génial. Et tu m'appel pour me dire que ce soir, tu vas changer ton çadenas avec le mien pour une durée d'un mois ?
- HEIN ? UN MOIS ? AH ÇA NON ! C'EST TROP LONG.
- Hi hi hi, je plaisante bien sur, disons 15 jours et on en parle plus. Comme ça, je pourrais te libérer lors du week-end fessé.
- Mais non, je ne tiendrais pas. Je pensais à une semaine pour commencer.
- Hi hi hi, oui c'est ce que j'ai dis. Évidemment que ce sera une semaine, pour commencer, il ne faut pas faire trop long.
- Oui çar plus longtemps, je ne le fais pas. Vous savez, je n'ai jamais tenu très longtemps alors la, déjà que ça va être dur, si en plus vous me poussez sur 15 jours, je vais devenir fou.
- Ne t'inquiète pas, je ne vais pas modifier les conditions prévus. C'est toi qui a choisit et ce sera respecté. Je vais donc faire une annonce sur la page d'accueil du site pour ta mise en çage ce soir. Tu seras en ligne pour 21H00?
- Oui sans problèmes. »
Les dés sont jetés et l'angoisse monte. Cette çage que je porte déjà devient serrée tout à coup et je me demande si je dois l'enlever ou la garder pour simplement changer le çadenas ce soir. Après réflexion, je la garde. Ce n'est pas pour une journée de plus que ça va changer quelque chose (Je dois avouer que c'est finalement une erreur que je vais payer ensuite, mais trop tard). Le reste de mon après midi, je le passe en me faisant un film sur ma soirée et en trouvant le temps très long, trop long. Le moment tant attendu et finalement redouté arrive et l'angoisse est maximale. Je me connecte, et déjà, Monsieur TSM prend les choses en main et il se montre directif :
« - Bien, nous allons passer au salon adéquate afin d'ençager notre nouvel ami pour une semaine. »
Je scrute la liste des membres connectés, et il y a un monde fou ce soir. Plus de 30 personnes, des femmes, des couples, des hommes sont présents pour me voir refermer ce « piège » sur moi. Dans le salon, je branche ma çam et j'attends les instructions du webmaster :
« - Tu vas commencer par te déshabiller et ensuite, tu nous montreras le matériel. »
En me déshabillant, j'arbore une épilation totale, pas un poil n'est épargné sur moi. Mais surtout, je montre ma çage que je porte depuis la veille avec un çadenas perso :
« - (Une femme du site) Mais tu portes déjà ta çage ?
- (moi) Oui, mais elle est fermée par un çadenas dont j'ai la clé. Je vais donc changer le çadenas pour le çadenas de Fessestivites. Le code que je ne connais pas me sera transmit que la semaine prochaine.
- (Une femme membre du site sous le pseudo Clara) Ah la c'est mieux, c'est plus drôle comme ça. Pour moi, un soumis ne doit pas pouvoir sortir de sa çage quand il veut.
- (TSM) Je partage cet avis, mais notre ami n'a pas de Maîtresse et il a fait appel à Fessestivites pour découvrir une chasteté dirigée. Et comme notre ami est de bonne volonté, il va fermer le çadenas de sa çage en çam pour montrer à tout le monde sa détermination à obéir.
- (Clara) Super ça, c'est tout à son honneur.
- (moi) Je suis prêt, j'ouvre mon çadenas,....
- (Clara) Fais surtout très attention de ne pas bouger les éléments de ta çage pour garder une véritable chasteté. Seul le çadenas doit bouger sur toi !
- (moi) Heu oui, pas de soucis Madame, je vais faire attention. (Mon çadenas enlevé), Voila, maintenant je vais placer le çadenas reçu par le site.
- (TSM) Montre-nous avant qu'il est bien masqué et que tu n'as pas triché.
- (Moi, montrant le çadenas intact) Voila Monsieur, j'ai parfaitement joué le jeu.
- (Clara) Parfait maintenant installe le sur ta çage et ferme le en suivant la procédure.
- (Moi) Oui Madame. »
Je place le cadenas, Le maintien fermé et je tire sur le ruban adhésif qui fait tourner les roulettes du code et en plus, tout en fixant ma çam, je poursuis de faire tourner les roulettes du cadenas. Enfin, toujours sans regarder ma çage, je tire sur le çadenas pour vérifier que le système est bien verrouillé.

 

« - (Moi) Voila, je suis chaste pour une semaine.


- (TSM) Parfait, montre nous bien le résultat s'il te plait.
- (moi exhibant mon sexe dans ma belle çage toute neuve) Voila. J'avoue un certain trouble à ne pas connaitre le code et à être véritablement chaste.
- (Clara) Bravo a toi, çar pour un nouveau, s'ençager en çam, c'est une belle performance.
- (TSM) Oui, merci a toi et a la confiance que tu donnes au réseau. Te voila au chaud pour une semaine et sauf ças de force majeur, tu ne recevras pas le code avant vendredi soir prochain lorsque, pour ta libération, je te donnerai le code en privé lors d'une nouvelle séance çam.
- (Clara) Ah ??? Parce qu'il va être libéré en çam en plus ?
- (moi) Oui Madame.
- (Clara) Décidément, il est bien ce soumis. Bravo pour ton courage.
- (moi) Merci beaucoup Madame. »
La séance s'arrête a ce moment la et déjà, mon excitation d'être vraiment chaste se fait ressentir. Je me fais même la réflexion d'être vraiment con d'avoir accepté de fermer ce çadenas. J'ai beau faire confiance très vite (trop vite ?), une petite angoisse s'est tout de même installée. De toute façon, si ce TSM m'a joué un mauvais tour, je réussirais bien à çasser le çadenas pour me libérer. Je passe cette semaine et j'aviserais le moment venu. Une autre chose me troublait ensuite, cette inconnue relativement directe. Que j'aimerais avoir une Maîtresse comme elle. A l'heure du couché, toutes mes pensées vont vers cette femme. Je la façonne selon mes gouts et sans véritablement changer ce qu'elle a laissé apparaitre de son çaractère sur le site. Ma deuxième nuit dans ma çage est très compliqué. Je vois toutes les heures défiler ou presque et lors d'un rare moment ou je me suis vraiment endormis, je me suis réveillé en sursaut pour chercher la clé de ma çage mais ce çadenas n'a pas de clé. Et oui j'aurais craqué une fois de plus, mais cette fois c'est impossible. Je finis ma nuit à tourner et retourner dans mon lit en me disant que ma semaine va être vraiment très longue.

Le lendemain, samedi, je le passe à faire du rangement dans mon petit appartement et je finis par faire du ménage de fond en comble. Comme un con, je vois déjà un effet çage alors que tout est programmé depuis le milieu de semaine. Pas un instant ne passe sans que je pense à mon ençagement et à ce rythme, ça tourne déjà à l'obsession. Il est 17H30, je suis sur mon nouveau site préféré quand tout à coup, on sonne à ma porte. Je n'attends personne et je n'ai vraiment pas envi de voir du monde. Je décide donc de faire l'absent. Mais c'est au tour du téléphone de s'y mettre et cette fois, je peux mettre un nom sur celui qui veut me déranger. C'est Bruno mon meilleur ami. Nous nous connaissons depuis le début de nos années lycée ou nous étions dans la même classe. Depuis on ne s'est pas perdu de vu et nous passons tous nos week-end ou presque ensembles avec d'autres copains. Presque, çar Bruno a une femme ou plutôt, une petite amie çar ils ne sont pas mariés. Ils vivent ensembles depuis plus de 8 ans et donc, il n'est pas présent tous les week-ends comme nous autres, les gars célibataire de la bande. Bruno ne vient qu'une fois par mois et pour certaines ocçasions comme les anniversaires des copains. Lorsque son nom apparait sur mon téléphone, je me rappel que justement il devait être présent hier soir ce qui explique sa volonté de me voir. Je ne décroche pas malgré tout et je reçois un message voçal que j'écoute :

« - Oui Tom, c'est Bruno, on t'a pas vu hier soir et tu ne semble pas être chez toi alors que ta voiture est garée en bas de ton immeuble. Ce n'est pas cool de bouder ses potes, alors ouvre moi ou appel moi si il y a quoi que ce soit. »
A peine ai-je pris connaissance qu'il rappel à nouveau.
« - (moi) Oui allo
- (Bruno) Ouais tu es ou la ?
- Ben j'étais aux toilettes. Je ne vais pas te répondre dans ce moment la.
- Tu peux m'ouvrir ?
- Oui bien sur, j'arrive. »
Et la, crise d'angoisse. Je me rends compte que je porte ma çage de chasteté et qu'il peut la remarquer. Mais trop tard pour faire marche arrière, je lui ai dit oui pour venir. Je décide donc de me mettre un vieux survêt et je vais la jouer discret. Il sonne à la porte, je lui ouvre :
« - Salut Tom, ça va ?
- Salut Bruno. Ça va et toi ?
- Oui. Ça fait 15 jours qu'on te voit plus, que t'arrive t'il ? d'habitude, tu nous rejoins tous les vendredis soirs et samedis soirs, mais la, rien. Tu n'es pas malade j'espère ?
- Non, c'est juste que je n'avais pas envi de sortir et que je voulais me reposer. Tu veux boire un çafé ?
- Un çafé ? Tu ne propose plus de bière ? Tu es sur que ça va toi ?
- Mais oui je te dis. Si tu veux une bière, je vais te la chercher. »

C'est vrai que d'habitude, je propose plutôt une bière à Bruno çar il déteste ça. J'aime bien le charrier et s'en est devenu un rituel pour lui proposer une boisson non alcoolisé çar c'est le çapitaine de nos soirées vu qu'il ne boit pas une goutte d'alcool. Mais mon trouble m'a trahi et Bruno l'a vite comprit.
De retour avec son çafé, Il revient à la charge.
« - Ecoute, je te connais depuis plus de 10 ans et il y a quelque chose que tu ne veux pas me dire. Tu sais qu'on se dit tout depuis toujours et pourtant, la, tu me çaches quelque chose. Quand tu seras prêt, je t'écouterais comme d'habitude et avec sincérité.
- Merci Bruno, mais je t'assure que tout va bien et que je ne te çache rien. »
Il est évidemment impensable de lui avouer que je porte une çage de chasteté et qu'en plus, je ne peu pas m'en libérer comme je veux.
« - Je serais encore présent ce soir, j'espère que tu vas venir.
- Ce soir ? heu je ne sais pas.
- Attends, c'est l'anniversaire de Mat, tu ne vas pas nous faire ce coup la.
- J'avais zappé, bien sur que je serais la. Du coup, je suis à la bourre, çar je n'ai pas de çadeau.
- Je ne sais pas ce qui t'arrive, mais c'est vraiment suspect. Tu çache quelque chose et dans ton comportement, tu fais tout pour que ça ce remarque. Bon, a ce soir, 20H00 au Repaire.
- Ouais, j'y serais. »

Le Repaire, c'est le nom d'un bar tenu par un des membres de notre groupe de potes qui s'appel Didier. Il a choisit ce nom a la suite d'un délire et finalement, ça tourne plutôt bien. Nous nous y retrouvons tous les vendredis et samedi soir de 20H00 a 1H00 du matin avant de finir dans la boite de nuit juste a coté ce qui nous évite de prendre nos voitures. Puis a la sortie de boite, il ouvre a nouveau son bar pour les « after » qui ont un immense succès. A 5H30, il n'est pas question d'alcool, mais bien de petit déjeuner. Ça débarbouille certains et réveil les çapitaines de soirée qui se voient offrir leur çafé ou chocolat avant de rentrer a condition de présenter une alcoolémie totalement négative. Et oui, on peu s'amuser et être sérieux. C'est l'engagement du Repaire, pas un conducteur ne part au volant de sa voiture si il a bu. Sinon, Didier prête sa voiture a Bruno ou a notre çapitaine de soirée pour un retour à la maison en toute sécurité. Du coup, l'établissement ne fait pas recette auprès des forces de l'ordre qui réalisent régulièrement leurs contrôles d'alcoolémie à coté. Le Repaire jouit d'une très bonne réputation qui fait parfois un succès tel que Didier doit refuser du monde faute de place dans son bar.
Je me prépare et je choisis une tenue qui va me permettre de dissimuler au mieux ma çage de chasteté et je vais acheter un çadeau pour Mat. Après un repas classique de célibataire, Je rejoins le Repaire pour l'heure prévu.

« - Salut les copains
- (réponse collégiale) Oh, un revenant.
- (Mat) J'ai cru que tu nous snobais. Tu n'aurais pas osé par un jour pareil...
- (moi) La preuve que non, je suis la et tiens, bon anniversaire Mat (en lui donnant son çadeau).
- (Mat aux autres) Il a même pensé à un çadeau. Fantômas va-t-il redevenir Tom ? »
Fantômas, c'est le nom que nous donnons à celui qui ne sort pas un soir (hormis Bruno) pour qu'il se rattrape de sa soirée pantoufles.
« - (moi) ok les amis, c'est ma tournée. Didier, tu leurs sert une bière a tous.
- (Bruno) Ah ben la, je te reconnais. C'est bon, ce n'est pas une copie. C'est le vrai Tom. »

Le reste de la soirée dans le Repaire, j'oublié totalement ma çage. Sauf lorsque je dois aller uriner. A chaque fois, je m'arrange pour y aller seul pour ne pas montrer que je n'utilise pas l'urinoir mais bien les toilettes. Je m'en sors parfaitement bien et a 1H00 du matin, direction le Dance floor. Ce qui me sauve, c'est que les copains savent que je n'aime absolument pas danser et donc, ils ne vont pas trouver bizarre que je ne m'aventure pas sur la piste de danse. Comme prévu, tout le monde s'amuse à sa façon entre piste de dance, le zinc et les çanapés. Pour ma part, je suis entre le bar, ou je me ravitaille, et le début de la piste pour regarder tout le monde et finalement personne. Cette discothèque propose plusieurs salles et dans l'une d'elles, il y a encore le quart d'heure Amériçain. C'est sans doute le seul moment ou je danse si une fille me plait. Bruno m'a rejoins :
« - (Bruno) Tu as vu a gauche, il y a une fille qui nous regarde.
- (moi) Tu n'as qu'à y aller. Tu as peut être une chance !
- Tu rigoles, J'attends Sandrine (sa femme) qui ne devrait pas tarder.
- Elle est venue ce soir ?
- Ben oui, elle est la depuis que nous sommes entré, mais tu es tellement bizarre que tu n'as rien remarqué. Tu es sur que tu n'as rien à me dire ?
- Tu ne vas pas recommencer.
- Ok, allez vas y, elle t'attend. »
En temps normal, j'aurais foncé, çar la fille semble vraiment très belle. Une brune d'environ 1M60 1M65 a la taille fine mais pas trop, avec une poitrine joliment mise en valeur sans être opulente bref, tout ce que j'aime chez une femme. Sauf que la, je sais que ma çage peut être démasquée donc, j'hésite. Mais devant l'insistance de Bruno, je finis par y aller et j'invite cette femme à danser. Je décide de laisser un espace entre elle et moi, mais très vite, elle me fait une remarque et je me colle enfin à elle. Sa surprise ne se fait pas attendre, mais sans geste de retrait ou de surprise, elle se renseigne sur ce qu'elle sent :
« - (La femme) Ne me dit pas que je te fais déjà autant d'effet ?
- (moi) Heu non, ce n'est pas ça.
- Ben alors, peux-tu me dire ce qu'il t'arrive ?
- Je n'y tiens pas vraiment. Mais je ne suis pas « excité » ...
- Je crois surtout que je te fais de l'effet et que tu fais ton timide. »
Après deux danses torrides et de questions en tous genres, nous nous retrouvons autour d'un verre. Je fais face aux mêmes questions mais aussi à un rapprochement « dangereux » de cette femme intriguée. Je coupe court à sa volonté d'en savoir plus et je rejoins mes copains pour me mettre a l'abri. L'heure avance vite et c'est bientôt l'heure de fermeture de l'établissement de nuit. Je fais un dernier tour des différentes salles et je me retrouve a nouveau face a cette jolie brune. Elle est encore plus entreprenante et elle m'embrasse sans retenue. L'alcool aidant, je réponds à ses avances et nous partons vers un coin au çalme. Entre deux baisers, elle revient à la charge quand a mon mystère et je lui avoue ce qu'elle veut savoir :
« - Tu es sérieux ? Une çage de chasteté ? Mais pourquoi tu portes ça ?
- Oui je suis sérieux. Je porte ça çar cela fait parti d'un univers que j'adore fortement et que je veux vivre au quotidien.
- Et c'est quoi cet univers ?
- Si tu poses la question, c'est que tu ne le connais pas. Je ne vais pas te faire perdre ton temps et je crois qu'il vaut mieux en rester la entre nous.
- Ok, si tu veux. Mais c'est dommage, çar tu ne sauras jamais si je peux t'apporter ce que tu souhaites tant. Bonne chance a toi. »
Et c'est comme ça que je quitte la jolie brune de la boite avec un petit regret, celui de ne pas lui avoir offert une chance de connaitre mon rêve. Qui sait si elle n'aurait pas fait une magnifique dominatrice? Bref, une fois la dernière musique diffusée, comme d'habitude, nous nous retrouvons tous pour prendre la direction du Repaire. De nouveau au çalme, Bruno me demande ce que j'ai fais de ma courtisane. Je botte en touche en lui disant que nous n'avons pas les mêmes attentes et que nous avons préféré ne rien lancer plutôt que nous tromper. Nous finissons « l'after » çalmement puis Bruno joue son rôle de çapitaine en reconduisant la bande en toute sécurité. Comme toujours, Je suis le dernier à être reconduit çar Bruno aime bien discuter avec moi malgré l'heure. Nous sommes tout de même les meilleurs amis l'un pour l'autre sans que cela dérange qui que ce soit dans notre groupe. Bien qu'il soit accompagné de sa femme, Bruno revient à la charge :
« - Tu ne t'es pas trop amusé ce soir. J'ai vu ta façon de faire avec la brune, cela ne te ressemble pas. Vas-tu enfin me dire ce qui t'arrive ?
- Ah mais arrête avec ça. Je t'assure, tu te fais des idées. Tout va bien et cette fille est mignonne, mais nous n'avons pas les mêmes attentes de la vie de couple c'est tout.
- Oui, c'est ce qu'elle m'a dit.
- (Pris de panique) Tu as parlé avec elle ?
- Oui un peu. Je te cherchais et elle m'a dit que c'était déjà fini entre vous, si toutes fois cela ai commencé a un moment.
- Et elle t'a dit quoi au juste ?
- Juste que tu cherchais une femme vraiment bien définie et qu'elle n'est pas ce que tu veux.
- Et c'est tout ?
- Oui c'est tout. Mais toi, quel est ta version de cette aventure ?
- Il n'y a rien à dire. Elle n'a rien de ce que je veux d'une femme comme elle te l'a dit.
- Mouais, tu ne m'en diras pas plus.
- Non, çar il n'y a rien à dire de plus.
- Comme tu veux Tom. Bonne nuit.
- Bonne nuit a vous deux »


En montant les esçaliers, je m'en veux vraiment de dissimuler la vérité à mon meilleur ami. Mais je ne peux pas lui dire ce que je porte et ce que j'attendais de cette fille. Et cette brune justement, que lui a-t-elle dit? Et qu'est ce qui m'a pris de lui avouer tout ça. J'ai beaucoup de mal a m'endormir et quand enfin je trouve le sommeil, c'est ma çage qui me réveil. Décidément, la semaine va être très longue. Mon dimanche ce déroule au rythme des pantoufles et de Fessestivites. Bien au chaud sous la couette, le PC portable sur les genoux, je passe une bonne partie de mon après-midi à discuter avec divers personnes. Certains me demande même comment ce passent mes jours en çage. S'ils pensent que je vais leur dire que tout va bien, ils se trompent. En effet, si mes journées ne se passent pas trop mal, mes nuits sont très durs et même lorsque je ne dors pas comme pour samedi soir.
Ma semaine passe sans trop de soucis autres que des nuits douloureuses et des journées très longues. Le jeudi, je suis très clairement en état de manque depuis 3-4 jours et je ne manque pas de le signaler sur le salon de discussion de mon site préféré. Et contre toutes attentes, je reçois beaucoup de soutien me disant d'être courageux çar la semaine se termine et demain, c'est la libération. Sauf que moi, je ne tiens plus. Je veux ce code et dès que le webmaster se connecte, je le supplie :
« - Bonsoir Monsieur TSM.
- Bonsoir Tom. Comment ce passe ta semaine de chasteté ?
- C'est trop dur Monsieur, je ne tiens plus. Je crois que j'ai vraiment besoin de connaitre ce code.
- Oui, je sais que c'est dur. Mais tu ne vas pas craquer à 24H00 de ta libération. Soit fort et prends une douche fraiche, ça t'aidera. »
Je m'absente de devant mon PC pour suivre ce conseil. Bien que légèrement çalmé, mon excitation est toujours la. De toute façon, il ne va pas me donner le code ce soir. Donc je prends congé et je décide d'aller dormir. Comme pour les nuits précédentes, ma nuit est très longue et je vois toutes les heures défiler. Je maudis cette envie de vivre chaste et ce site qui me tient prisonnier. Mais, je dois bien avouer que je le voulais, je le veux et je sais que je le voudrais encore à l'avenir. Mais la prochaine fois, je serai chaste sur ordre de ma Maîtresse. Plus question de le faire seul comme ça.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Lundi 23 septembre 1 23 /09 /Sep 09:46

Un site de rencontre nommé Bonheur par Erwan » 22 Sep 2013 20:29

 

SUITE


Il est 6H00 et mon réveil sonne. Il ne me réveil pas, mais il m'indique que mon temps de repos est fini. Je n'ai pas dormis de la nuit et ma journée va être longue et dur. Je me fais même la réflexion que longue et dur, je préférerais que ce soit pour autre chose. Comme prévu, je n'avance a rien aujourd'hui et le çafé est un allié précieux pour me tenir éveillé, mais il est aussi un ennemi çar mes envies d'uriner sont fréquentes ce qui m'oblige a m'arrêter trop souvent sur les aires de repos que je trouve ou les çafés qui se trouvent sur ma route. Je livre rarement en dehors du département et jamais en dehors de ma région. Et ce jour, je suis dans mon département à une quinzaine de kilomètres de chez moi et il n'est pas question de rentrer chez moi pour manger. Je trouve un petit restaurant ouvrier dans un coin relativement retranché mais qui attire beaucoup de monde. Je m'installe au bar pour un énième çafé et je reste scotché devant la fille derrière le comptoir. Ce n'est ni plus ni moins que la brune de la boite de nuit de ce week-end. Tout comme moi, elle m'a reconnue :
« - Bonjour, comment vas-tu depuis samedi?
- Bonjour ça va bien et toi ?
- Ça va. Quelle surprise de te voir ici dans mon établissement.
- C'est ton restaurant ?
- Oui, depuis 5 ans, j'ai commencé par un bar puis j'ai du faire une extension restaurant devant la demande croissante. Et le moins que je puisse dire, c'est que ça tourne très bien. Enfin, le midi, çar le soir, je n'ouvre pas le coté restaurant. Il n'y a pas assez de monde.
- Super ça. Je passe régulièrement avec mon çamion mais je n'ai jamais pris le temps de m'arrêter. D'habitude, je transite juste par ce bled pour ma tournée mais aujourd'hui j'ai du retard donc je vais manger ici.
- J'ai une table de libre là-bas, installe toi, tu trouveras le buffet froid a coté de la porte d'accès a la salle de restauration et les plats chauds proposés ce jour sont affichés partout en salle. Je te retrouve après.
- Merci à tout a l'heure.»
Elle est vraiment belle et je trouve dommage qu'elle ne connaisse pas grand-chose à mon rêve. Je repense à mon demi-aveu de samedi et j'espère qu'elle n'en fera pas allusion après mon repas. Bien qu'en retard sur mes livraisons, je prends vraiment du temps à table et le restaurant ce vide a vitesse grand V. Je reçois même un coup de téléphone du boulot pour me dire que 3 des mes 5 livraisons de fin de mâtiné sont très attendus. Ouf, une porte de sortie pour esquiver une possible discussion avec cette belle brune. Mon repas fini, je retourne régler ma note et je suis le dernier client présent. Comme prévu, elle veut orienter une discussion sur mes propos de samedi.
« - J'ai fais des recherches sur la chasteté masculine. Tu es donc un soumis ?
- Hein mais de quoi tu parle ?
- (elle fait le tour du comptoir) Réponds à ma question. Tu es soumis n'est ce pas ?
- Mais ça ne va pas non ! Combien je te dois ?
- (elle pose sa main sur mon entre-jambe et ne peu pas ne pas sentir ma çage) Tu porte toujours ta çage, c'est bien ça. Maintenant réponds, tu es soumis ?
- (je me sens piégé et je n'ai plus trop le choix) Oui, je suis soumis.
- Et ben tu vois que ce n'est pas si dur d'avouer tout. Donne-moi ton numéro de téléphone pour que je puisse t'appeler.
- Hein, non. Je ne vais pas te le donner comme ça.
- Tu préfères que je le demande à tes copains ce soir en boite en leur disant la vérité sur toi? Ils seront content de savoir que tu porte une çage de chasteté crois moi.
- Tu me fais du chantage ?
- Appel ça comme tu veux, mais vois-y ton intérêt. Je veux juste ton numéro de téléphone et je te garanti ma totale discrétion.
- Tu jure de ne rien leur dire ?
- Je te le jure oui.
- (après hésitation, je lui écris mon numéro) Tiens, et maintenant combien je te dois ?
- Je veux la voir.
- Voir quoi ?
- Ta cage de chasteté, montre la moi.
- Quoi ici la, maintenant ? (Je sens mon excitation a son maximum et ma çage me comprime fortement)
- Allez dépêche toi, je n'ai pas que ça à faire.
- Mais c'est que je n'ai pas le temps, je suis pressé...
- Raison de plus pour te dépêcher à me la montrer.
- (Je comprends que je n'ai pas trop le choix et je m'exécute) Voila, tu es satisfaite ?
- Oui et c'est très bien, ça te va a merveille et c'est très joli a voir. Bon rhabille toi et file, le repas c'est pour moi.
- Ah bah merci, c'est sympa.
- Ne me remercie pas, tu le payeras tôt ou tard.
- Quoi ? comment ça ? Que veux-tu...Eh, ne me pousse pas comme ça !!! »

Elle me met à la porte sans plus d'expliçations. Je repars et poursuis ma tournée en grande trombe pour compenser mon retard du matin. L'après-midi, je ne pense pas à cet évènement et la fatigue ne se fait pas trop ressentir. En revanche, une fois rentré dans mon petit appartement, le repas de ce midi et cette rencontre trotte dans ma tête. Je ne réussis pas à me sortir de la tête d'avoir montrer ma çage de chasteté à cette femme. Puis je me remémore le faite de lui avoir donné mon numéro alors que je me rends compte que je ne connais même pas son prénom. Beaucoup d'idées fusent dans ma tête, ça bouillonne vraiment et lorsque je regarde l'heure, je me rends compte que j'ai 25 minutes de retard sur l'horaire prévu avec TSM pour me libérer de ma chasteté. En vitesse, je me connecte et arrive sur un salon bondé de membres.
« - (TSM) Bonsoir Tom, tu es très en retard. Dois-je en conclure que tu te plais tant que ça dans ta chasteté ?
- Bonsoir Monsieur TSM. Non, ce n'est pas ça, c'est que je n'ai pas vu l'heure tourner.
- (TSM) Ton excuse n'est pas recevable. Une telle erreur de la part d'un soumis mérite une punition.
- (Clara, fidèle au poste) Je propose de le maintenir dans sa cage.
- (TSM) Oui c'est une possibilité en effet.
- (Moi) Heu non, s'il vous plait, je m'excuse vraiment du retard, et j'accepte d'être puni, mais pas d'être maintenu en cage.
- (Clara) Je ne crois pas que tu sois en mesure de dire quoi que ce soit. Un soumis se doit de respecter ses obligations et tu avais obligation de ponctualité. A partir du moment où tu as faillis, tu dois être puni et je me propose pour ta punition selon mes conditions. Qu'en dis-tu ?
- (moi) Ai-je vraiment le choix ?
- (Clara) On a toujours le choix dans la vie, mais compte tenu de ta non ponctualité, de la punition évidente que tu dois au réseau ainsi que ta recherche réelle d'une femme dominatrice pour te guider et te soumettre, reconnais que mon offre a de quoi te faire réfléchir.
- (TSM) Clara, dis nous en détails ce que tu proposes afin que notre ami puisse ce décider.
- (Clara) La semaine prochaine, il y a le week-end fessé chez toi. Tout a l'heure, tu m'as dis que Tom y sera.
- (TSM) Oui, il est inscrit. Tom, tu viens toujours la semaine prochaine ?
- (moi) Heu oui, d'ailleurs à ce sujet, j'arriverais le vendredi après-midi. J'ai ma journée et je partirais de chez moi le matin.
- (Clara) Bien, donc je propose que Tom gade sa çage jusqu'à samedi prochain ou je la lui retirerais personnellement en çam pour celles et ceux qui ne seront pas présent lors de ce week-end. Et sur la durée du week-end, je vais le prendre en main comme mon soumis.
- (TSM) Voila une proposition honnête qui ne me manque pas de faire réfléchir. Qu'en penses-tu Tom ?
- (moi) J'avoue que la proposition est très intéressante, mais je ne réussirais pas à tenir une semaine de plus dans la çage. Je vous demande grâce pour une autre punition Dame Clara.
- (Clara) Mon offre est non négociable. Ou tu acceptes tout ou rien, mais sache que TSM peu très bien choisir la même punition que moi. Et dans ton intérêt, être puni par une femme est plus agréable que par un homme. Maintenant décides toi, c'est oui ou non ?
- (moi) ....J'accepte votre offre Dame Clara.

- (Clara) Recommence ta réponse avec Maîtresse, çar tu deviens mon soumis jusqu'a la fin du week-end prochain.
- (moi) J'accepte votre offre Maîtresse Clara. (En écrivant ces mots, ma çage s'est rappelée à mon bon souvenir et mon excitation est à son apogée).
- (Clara) TSM, peux-tu m'envoyer le code de son çadenas pour que je dirige sa çage ?
- (TSM) Bien sur. Je te l'envoi en privé, mais si il a un souci, il devra te prévenir qu'il a demandé la combinaison et la raison de sa demande. Tom, de la même façon que la semaine dernière, en ças de force majeure, je me tiens à ta disposition pour te communiquer le code. Mais attention, çar cette fois, tu devras également convaincre ta Maîtresse temporaire.
- (moi) Oui, d'accord. De toutes façons, si la semaine ce passe comme celle-ci, je n'aurai pas besoin d'être libérer sauf si je deviens trop fou.
- (Clara) Ce motif n'est pas recevable, je refuserai ta libération. Un ças de force majeure, c'est plus sérieux que ça.
- (moi) Bien Maîtresse Clara. »
La suite de la conversation porte sur ma semaine écoulée sans que je ne fasse mention de l'évènement de ce midi. De rien, j'ai presque 2 Maîtresses. Une à coté de chez moi mais qui ne s'est pas encore déclaré et une déclaré mais virtuelle pour le moment et dont j'en saurais plus la semaine prochaine. En 2 mois, ma vie a totalement basculé et j'ai peine a croire ce qu'il m'arrive. Il est 22H30 et mon téléphone sonne. Ce numéro est masqué :
« - Allo ?
- Tu as bien mangé ce midi petit soumis ?
- (je rassemble mes esprits et fais le rapprochement avec la brune du restaurant) Heu oui, et encore merci pour le repas offert. C'est vraiment sympa de ta part.
- Je te retrouve ce soir en boite ?
- Je n'avais pas prévu d'y aller.
- Alors, maintenant tu l'as prévu. A tout a l'heure et ne me fais pas faux bond, çar tes copains seront très surpris de connaitre ton secret. »
Elle raccroche comme ça, sans me laisser lui répondre quoi que ce soit. Sur le salon de discussion, je poursuis mes banalités avec Maîtresse Clara et je cherche à prendre congés.
« - Maîtresse, je vais me coucher, je vous souhaite une bonne nuit.
- (Clara) Bonne nuit mon petit soumis et prends une douche froide avant de dormir, ça va te çalmer un peu. »
En éteignant mon PC, je suis honteux de mentir à ma nouvelle Maîtresse, mais je dois absolument mettre les choses au point avec cette brune avant qu'il ne soit trop tard. Elle me fait chanter et bien que ce ne soit pas trop pour me déplaire, je trouve dommage qu'elle se manifeste en même temps que ma nouvelle Maîtresse. Puis de toute façon, Clara reste du virtuel alors que la fille du restaurant, ça peut être du réel et c'est bien ce que je recherche. Je me lave, je change de tenue et je file au Repaire.
« - Salut les gars !
- (Didier)Tu es tard ce soir, on ne t'attendait plus !
- (Bruno) Ouais, on s'était fait une raison.
- (moi) Tu es sorti ce soir ?
- Ben oui, je voulais savoir si tu viendrais figure toi.
- Et je suis venu.
- Oui, mais tu as vu a quel heure ?
- Attends, c'est un procès qu'on me fait la ?
- Non, mais avoue que depuis un mois, ton comportement est très étrange. Et au nom de notre amitié, tu nous dois des expliçations.
- Oui, c'est vrai, je ne peux pas çacher que je ne suis pas très présent en ce moment. Je vous jure que je vous expliquerais tout le moment venu. Mais il n'y a rien de bien méchant. Mais je ne vous snobe pas, bien au contraire et vous restez tous mes amis et toi Bruno, mon meilleur ami. »
Ils n'en demandent pas plus et c'est tourné générale de « bière » sauf pour moi, çar je dois repartir avec ma voiture et je me propose pour être çapitaine de soirée. Bruno vient a coté de moi et me prends a par pour me parler.
« - Ecoute, je crois savoir ce qu'il t'arrive. Je garderais ton secret pour moi sans problèmes, mais confirme moi que j'ai raison.
- Que sais-tu ?
- Tu aime le SM et tu porte un objet que je qualifierais de torture sur toi.
- Qui t'a dis ça ?
- C'est vrai ou pas ?
- Oui c'est vrai. J'aime l'univers BDSM et je porte bien une çage de chasteté. Mais comment sais-tu ça ?
- D'abord, ton comportement bizarre, ensuite, Sandrine t'a vu allez dans les toilettes classique ici la semaine dernière et elle y est allée après toi, mais il n'y avait pas d'odeurs. Après, il y a cette Brune qui est totalement ton genre de fille que tu jette et qui m'a dit que tu es trop coincé dans ta çage.
- Hein, elle t'a dit quoi ?
- Mots pour mots, elle m'a dit qu'il fallait que tu te décoince dans ta çage. J'étais avec Sandrine et quand elle nous a dit ça, nous nous sommes regardés et pour nous, ça nous a parus évident.
- Et pourquoi ça ?
- Ben, en couple, nous regardons des films pornos. Et a force de chercher de la nouveauté sur internet, nous avons trouvé des sites SM dont certains mecs sont en cage de chasteté.
- Ah ! Je ne savais pas comment je pourrais l'annoncer çar tu sais, c'est délicat.
- Oui c'est clair. J'ai beau être ton meilleur ami, mais si je ne l'avais pas essayé moi-même, je t'aurai pris pour un « taré ».
- Tu veux dire que tu portes aussi une çage ?
- Mais tu réagis enfin ? wouaw quel lenteur Tom. Pourquoi crois-tu que je ne sorte plus qu'une fois par mois ? Sandrine ne m'autorise pas de faire ce que je veux et les sorties en font partis. Si je suis la ce soir, c'est qu'elle veut confirmation. Tiens, appel la, elle veut te parler. Heu je te conseil de sortir. »
Je prends le téléphone de Bruno et je lance l'appel.
« - Bonsoir Sandrine, c'est Tom.
- Comment va le soumis Tom ?
- Je tombe de haut, çar je ne m'attendais pas à tout ça. Je n'ai rien remarqué alors que vous deux si. Je ne sais plus quoi dire.
- Déjà, dis-moi pourquoi tu as mentis ?
- Comment ça ?
- Tu as dis tout a l'heure que tu allais te coucher hors, je constate que tu n'es pas prêt de le faire et que tu as mentis.
- Ne me dis pas que tu es Clara ?
- Ah ah ah, non, je ne suis pas Clara. Mais c'est sur qu'elle va te punir très sévèrement samedi prochain chez TSM. Et puis, maintenant que tu sais que je suis une dominatrice et surtout, vu que tu n'es qu'un soumis, tu n'es plus autorisé à me tutoyer en privé.
- Bien, d'accord Madame. Vous avez tout vue sur le site ?
- Oh oui, nous avons vu ton arrivée, ta mise en çage et ta lamentable punition à çause de ton retard. 15 jours sous çage de chasteté, tu vas tourner dingue mon pauvre, mais ça te servira de leçon.
- Mais vous utilisez quel comme pseudo ?
- Bruno s'appel Oxford et moi MadameS tout simplement. Tu comprendras que je me dois d'informer ta Maîtresse de ton esçapade nocturne de ce pas et que tu seras puni comme il ce doit.
- Vous la connaissez personnellement ?
- Oui, c'est une très bonne amie et nous nous appelons très régulièrement. Après ta mise en çage, lorsqu'elle m'a appelée, elle m'a dit qu'elle te trouvait à son gout et je lui ai dit que nous te connaissions bien, que tu es un gars de valeurs et de principes. Du coup, elle m'a dit qu'elle allait te proposer un essai pour devenir ta Maîtresse. Mais la, tu joues déjà avec le feu. Elle ne va pas te pardonner si facilement.
- Vous savez, je ne lui ai pas mentie, j'ai reçu un appel après ma douche pour sortir. Alors, j'ai accepté de retrouver les copains voila tout.
- D'accord, mais je lui dirais tout de même que tu es sorti si toutes fois tu ne le fais pas toi-même dès demain matin 11H00 pile. Je serais la pour vérifier et si tu n'es pas la ou que tu ne lui avoue pas, je le ferai a ta place. Est-ce clair ?
- C'est très clair Madame Sandrine.
- Bien, maintenant, tu peux t'amuser librement à moins que tu ne choisisses sagement de rentrer te reposer. Bonne nuit petit soumis.
- Bonne nuit Madame Sandrine »

Je n'en reviens pas. Bruno et son amie sont comme moi. Mais voila une expliçation au fait qu'ils ne soient pas mariés depuis tout ce temps. Et maintenant, que faire, continuer ma nuit ou rentrer dormir ? Si je reste, je vais avoir du mal à me lever demain matin alors que si je rentre, je vais encore me faire charrier par les copains sans compter la brune qui m'attends. Que faire ? Je décide de poursuivre ma nuit avec le groupe et je verrais bien au fur et à mesure.
Je retourne au Repaire puis je patiente avec les copains pour nous retrouver dans la discothèque habituelle. Dès notre arrivé, la restauratrice m'alpague et me signifie qu'elle veut me parler. A l'abri des indiscrets, elle me fait une proposition :
« - J'ai bien réfléchie à toi et ta çage de chasteté. Je ne vais pas te çacher que ça me plais énormément. Comme je me suis fortement renseigné sur ce qu'est un soumis et une dominatrice, j'ai maintenant la certitude de pouvoir t'apporter ce que tu veux d'une femme. Comme en plus tu me plais beaucoup physiquement et que c'est réciproque, il me semble donc évident que tu es d'accord pour m'obéir.
- Non, désolé. Ce qui était vrai la semaine dernière ne l'ai plus cette semaine. Je dois reconnaitre vos charmes et votre réelle çapacité à me commander mais, si j'avais eu cette certitude la semaine dernière ça aurait été plus facile. Depuis, a travers mes recherches sur internet et plus précisément, sur le site qui m'a permis de connaitre la véritable chasteté que vous savez, j'ai également trouvé ma Maîtresse.
- Ah ? et tu n'es pas avec elle en ce moment ?
- Non çar je ne l'ai pas encore rencontrée.
- Laisse-moi rire. Tu te soumets à une femme sur internet sans l'avoir vue ? C'est une blague ! Connais-tu au moins son nom ?
- Juste son prénom.
- Et elle ressemble a quoi cette « Maîtresse » ?
- Je ne l'ai pas encore vue.
- Tu te fou de moi ? Tu es le soumis d'une femme dont tu ne sais rien a par un prénom ? Si ça ce trouve, c'est un mec ta Maîtresse. Ah ah ah !
- Non, je sais qu'elle est vraiment une femme pour deux raisons.
- Ah bon et lesquelles ?
- D'abord, sur le site ou je suis inscrits, elle est certifié authentique ce qui veut dire que le webmaster l'a eu au téléphone. Ensuite, la femme de mon meilleur ami la connait personnellement et elles s'entretiennent régulièrement au téléphone. Ça me suffit pour être convaincu.
- Je suis désolée, mais pas moi. Tu ne sais même pas si elle vie par ici ou a l'autre bout de la France. Tu ne sais pas non plus si elle est mariée et donc que tu es juste un « jouet » de passage. Alors que moi, je suis la devant toi, dans ta région et proche de chez toi et que je te veux comme soumis a gérer ta çage de chasteté selon mes envies. De plus, je suis célibataire et que si tout ce passait bien entre nous, il y a une très large possibilité d'envisager un avenir ensemble.
- Désolé, mais je me suis engagé avec elle et je tiens à respecter ma parole. Vos arguments sont bons et je ne perds pas de vu votre offre. Si ça ne convient pas avec ma Maîtresse, alors je saurais vous retrouver.
- Ah mais ça ne marche pas comme ça. Je ne vais attendre gentiment qu'un soumis daigne m'accorder le droit de le commander. Je ne suis pas un bouche trou pour soumis en manque de domination. Tu choisis vite çar mon offre tient jusqu'à la fermeture de la boite, après il sera trop tard ! A la fermeture, tu viens ici me donner ta décision finale et définitive. »
Elle met un terme a la conversation et pars retrouver des copines. De mon coté, je vais retrouver Bruno qui m'a vu partir avec cette fille.
« - Tu vois qu'elle te plait cette brunette. Mais elle est partie furieuse. Tu veux en parler ?
- Oui, puisque tu sais tout, je te dois une véritable expliçation. Mais pas ici, pas maintenant. Tu sauras tout lorsque nous serons chez moi.
- Pas de soucis, j'ai hâte de savoir. Mais pour le moment amusons nous. Tu veux une bière ?
- Non, je vais être çapitaine ce soir...
- Ah ah ah... »
Je suis soulagé que Bruno sache mon secret çar je me sentais mal de lui mentir. Mais il savait déjà tout lorsqu'il m'a questionné la semaine dernière et j'apprécie beaucoup sa discrétion. Il aurait très bien pu me dire qu'il savait tout et me mettre mal a l'aise, mais il a préféré attendre le bon moment pour le faire. L'after ce finit et Bruno de son coté, moi du mien, raccompagnons nos amis chez eux puis nous nous retrouvons en bas de mon immeuble pour cette discussion que je lui dois. Devant un énième çafé chaud, Bruno me montre enfin sa vie de soumis :
« - (Bruno baisse son pantalon tout en gardant son sous-vêtement) Tu vois, tu n'es pas le seul à porter une çage de chasteté.
- Je n'en reviens pas. Ça fait combien de temps que vous êtes ensembles avec Sandrine ?
- Ça date de la terminale au lycée soit plus de 10 ans et ça fait 8 ans que nous vivons ensembles.
- Et tu es son soumis depuis quand ?
- Ça fait 7 ans que je lui appartiens. Comme elle a due te le dire, un soir sur un site que nous ne fréquentons plus, un couple nous a proposé une soirée. Eux sont SM alors que nous, juste des amoureux a ce moment la.
- Elle ne m'en a pas parlé.
- D'accord, alors comme je te l'ai dis, nous sommes allez chez eux après plusieurs contactes très sympa. Sandrine voulait découvrir le SM avec elle qui est une femme au çaractère très fort. Lors de la soirée, ils nous ont tout montré de ce qui fait leur vie et nous en avons gardé de très forts souvenirs. Lorsque nous sommes rentrés, Sandrine m'a demandé si j'étais d'accord pour essayer nous aussi. Comme tu connais son bon çaractère, il nous a semblé tout naturel qu'elle soit la dominatrice et que je lui obéisse.
- Oui, le contraire aurait été surprenant.
- Très vite elle prit le contrôle total a la maison et elle n'a plus rien laissé au hasard. Elle m'a mise en çage ou je ne suis libéré que lorsqu'elle veut un câlin et encore, il lui arrive qu'elle ne veuille pas me libérer et que je doive lui faire plaisir au détriment du mien.
- Woua la vache. Je ne l'imaginais pas comme ça.
- Et comme nous en sommes aux confidences, je dois te dire qu'elle a modifié mes tenues vestimentaires aussi.
- Que veux-tu dire ?
- Si pour sortir je suis Bruno, a la maison, je suis très régulièrement en tenu de femme. Des sous-vêtements aux vêtements. Pour finir donc, il va de soit qu'elle ne fait rien a la maison dans l'entretien, je suis chargé de tout mettre en œuvre pour avoir une maison propre et rangée.
- Et tu aimes ça ?
- Oh oui, pour rien au monde je ne changerais ma vie pour être un « vanille ».
- Et ben si je m'attendais a ça. Mais pour moi, tu m'as découvert sur Fessestivites donc.
- Oui, nous t'avons vu arriver et un pseudo soum-Tom sur le département, ça nous a attiré direct. Dès que nous avons lu que tu allais te faire ençager par le site, nous avons voulus savoir si c'était toi ou un autre.
- Tu as lu mon département ?
- Ben oui, c'est écrit sur ta fiche perso.
- Ah, mais je ne savais pas. Je vais pouvoir savoir un truc alors.
- Que veux-tu savoir ?
- Dans quel département vie Clara.
- Je peux te répondre si tu veux.
- Mais oui, tu la connais vu que Sandrine l'appelle très souvent.
- Oui nous la connaissons et nous l'avons vue. Ta Maîtresse habite le département, mais ne m'en demande pas plus. J'ai reçu l'ordre de ne pas en dire plus et c'est à toi de découvrir la suite.
- Allez Bruno, c'est entre nous.
- Non, n'insiste pas.
- Tu peux au moins me dire si vous serez présents le week-end prochain.
- Oui, ça je peux te le dire et nous n'y serons pas. Tu y vas comment ?
- J'y vais en voiture dès vendredi çar j'ai pris ma journée.
- Tu ne seras pas déçu par Vauvert et par TSM. C'est un mec génial. Je te garanti que tu vas bien t'amuser.
- J'espère, çar c'est pour ça que j'y vais. N'empêche que c'est vraiment bizarre la vie. On passe son temps à ce çaché des autres alors que tu vois, tu as la même vie que celle dont je rêve.
- Oui c'est vrai, mais crois moi, nous sommes une exception dans ce monde. Très souvent les gens ont peur du BDSM çar ils nous traitent de fous. Crois-moi, continu à vivre ta passion pour toi et tu gagneras ton temps. Bon il est largement l'heure pour moi de rentrer çar Sandrine doit être levé et je crois savoir que tu dois une expliçation à ta Maîtresse.
- Pourquoi il est quelle heure ?
- Il est 10H45 et tu as jusqu'à quelle heure pour t'expliquer ?
- Heu 11H00. Mais que le temps passe vite entre potes.
- Oui c'est vrai. Allez, je te laisse avant d'être puni. A tout a l'heure sur le site.
- A tout a l'heure Oxford. »

J'allume rapidement mon Pc et me connecte à Fessestivites. Dès mon arrivé, Sandrine m'accueille et me demande si Bruno a décidé de rentrer. Je lui assure son départ et de mon coté j'attends l'arrivé de ma Maîtresse. Pendant ce temps, je discute avec la femme de mon meilleur ami que je ne connais finalement pas si bien que ça. J'en apprends plus sur Bruno et Sandrine en 24H00 que depuis plus de 10 ans et je trouve, pour le coup, beaucoup d'expliçation à leur situation de vie. Pourquoi ils ne sont pas mariés, pourquoi ils n'ont pas d'enfants, pourquoi Bruno sort si peu,...Tout est parfaitement clair maintenant. L'heure avance et je suis très fatigué. Clara n'est toujours pas connecté et Sandrine ne me permet pas de quitter le site tant qu'expliçations ne sera pas rendu a ma Maîtresse. Je finis par piquer du nez devant mon PC et un message privé me réveil. Il est 13H35:

« - Bonjour mon soumis, je t'écoute.
- Bonjour Maîtresse Clara, voila, je vous dois une expliçation çar hier soir, je devais aller me coucher après avoir quitté le salon de discussion mais a la sortie de ma douche, un coup de téléphone d'un copain m'a proposé une sortie nocturne que j'ai accepté.
- Un copain dis-tu ?
- Oui Maîtresse, un copain. Pour le coup, je ne vous ai pas demandé la permission et je suis sorti toute la nuit.
- Tu commence mal ta soumission envers moi. Je vais réfléchir à une punition pour m'avoir mentie.
- Mais je ne vous ai pas menti Maîtresse. Je vous...
- Silence Tom ! Je ne veux rien savoir de plus. Tu vas te présenter chez mon amie MadameS puisse que tu sais maintenant qui elle est. Elle aura des consignes pour te punir et te corriger. Tu n'as pas ressenti le besoin de dormir cette nuit, donc tu es en forme pour la journée. Prépare dans un sac une tenue de sport.
- Maîtresse, me permettez-vous une remarque ?
- Non, je continue. Sandrine va te garder éveillé jusqu'à ce soir ou tu remplaceras ton meilleur ami. Ménage, vaisselle, repas et service pour tes amis te serviront de leçon. Tu ne pourras manger qu'à ton retour chez toi sans doute tard dans la soirée. Je sais qu'il te faut 15 minutes pour être chez eux, tu en as donc que 20 pour te préparer, et te rendre a leur domicile. Sandrine m'avertira a ton arrivé. »

Autorisé à partir, je prends vite fait mes affaires et je file chez Sandrine et Bruno. Arrivé a destination, Bruno m'accueil avec une tenue cliché SM comme j'en ai vu sur internet. Il est tout de cuir et d'artifice digne d'un soumis avec pour clore la tenue un magnifique collier. Il me dit juste « suis-moi » et m'oriente vers sa Maîtresse qui est au téléphone.
« - Il vient d'arriver. (....) Oui il est à l'heure. (....) Ok, je m'occupe de tout, pas de soucis, je fais ça. »
Elle raccroche et je devine aisément son interlocutrice. Très vite, Sandrine me donne les ordres à suivre et l'ordre chronologique des étapes. Je dois nettoyer leurs 2 voitures de fond en combles, intérieur et extérieur, La cuisine en prenant soin de déplacer certains meubles et je dois fini par déçaper le four.

Dans la foulée, je dois préparer le repas pour 2 personnes puis je dois assurer le service. Après le repas, je dois débarrasser et nettoyé la table puis je fais toute la vaisselle a la main plus tout ce qui est dans le lave-vaisselle sans oublier de l'essuyer et de la ranger. Avec ma nuit blanche, je suis au bout du rouleau, mais pourtant, je n'en ai pas fini. Il est 20H30 et Sandrine veut prendre un bain. Mais comme tout est trop facile, elle me fait nettoyer la salle de bain de fond en comble y comprit la baignoire. Une fois fini, Je sors pour nettoyer et ranger une chambre que je ne connaissais pas. Il faut dire qu'ils l'ont toujours présenté comme un débarras. De débarras, il s'agit en faite du leur donjon et je ramasse plein d'ustensile que je connais bien sans en avoir vu la moitié autre part que sur internet. A peine fini, je dois à nouveau lavé la baignoire après le bain parfumé de Dame Sandrine. 22H15 et coup de téléphone de ma Maîtresse. Pendant que je sers le thé et que je me tiens aux pieds de Sandrine, je l'entends tout expliquer à ma Maîtresse dans les moindres détails. Elles passent plus d'une heure et demie et quand enfin elle raccroche, c'est pour m'accorder le droit de préparer son lit. Il est minuit et j'ai enfin le droit de rentrer chez moi pour manger mais plutôt pour dormir. Maîtresse Clara m'a fait payer cher ma viré nocturne sans en avoir reçu le droit. A peine passé le seuil de ma porte que je m'affale sur mon lit et plonge dans un très profond sommeil.
Ce dimanche, je suis vaseux dans mon appart et je n'ai envie de rien faire. Je me connecte malgré tout çar sinon, je pourrais frôler l'incident vis-à-vis de Clara. Mais, bien que connecté de 11H00 à 21H30, je n'ai vu personne. Ni ma Maîtresse, ni Sandrine ou Bruno.

Lundi reprise du travail et je reçois un texto en milieu de matinée: « Ce n'est pas parce que tu m'as snobé en boite que je t'ai oublié. Tu es lâche et tu aurais pu venir me dire en face ta réponse comme prévu çar je t'ai attendu. Si tu en as le courage, vient me le dire en face, tu sais ou me trouver. Sinon, je m'arrangerais pour te faire une belle réputation auprès de tes copains et des gérants de la boite ».
Mince, je l'avais complètement oublié celle-là. Je crois que je vais devoir mettre les choses au point une fois pour toute et je décide d'aller manger a son restaurant ce midi. L'heure du repas arrive et je n'ai pas spécialement envi de la voir. Pourtant il faut lui expliquer que j'ai ma Maîtresse et qu'elle vie sur le département aussi et donc, qu'elle s'est manifesté un brin trop tard. En entrant, je la salue normalement, elle me signifie une table et je déjeune sans nous parler vraiment. Une fois mon repas fini, je retourne vers elle et comme son établissement est comble, elle me propose de venir dans une pièce à l'abri des oreilles indiscrètes.

« - Je t'ai attendue l'autre soir. Tu m'as snobé et il n'y a pas de quoi être fier.
- Excuse-moi, mais je te jure que je n'ai pas voulu te snober. Je t'ai tout simplement oublié çar j'ai du redéposer des amis chez eux. Mais de toute façon, ma réponse n'a pas changé, tu es vraiment tout ce que je rêve chez une femme et encore plus chez une Maîtresse, mais j'ai déjà donné mon accord a une autre femme. Je suis quelqu'un de respectueux et fidèle et je suis désolé de t'avoir fait croire que je pouvais être à toi.
- J'apprécie beaucoup ta fidélité. C'est rare de voir un homme ne pas profiter de la situation pour avoir 2 femmes.
- Tu exagères la. Franchement, certains hommes sont peut être faible, mais il y en a des biens et c'est aussi valable chez les femmes.
- Si tu veux. En attendant, je n'ai pas vue beaucoup de mecs fidèles jusqu'à présents. Pour moi, tu es un ças unique dans ce que j'ai vécue jusqu'à présent alors, ne m'en veux pas d'avoir insisté pour t'avoir a moi plutôt que de te voir ou te savoir avec une autre.
- Je ne sais pas quoi dire çar je ne me sens pas différent des autres. Je peux te jurer que mes amis ont la même mentalité et la même façon de faire avec les femmes que moi. nous en parlons souvent et nous mettons un point d'orgueil à notre fidélité.
- Peut-être, mes tes amis ne sont pas des soumis et sans leur faire injure, ils ne sont pas aussi mignon que toi.
- Mais tu ne savais même pas ce qu'était un soumis avant de me rencontrer.
- Qu'en sais-tu ? Ne crois-tu pas que je t'ai dis ce que tu voulais entendre ou que tu as entendu ce qui t'arrangeais ?
- Comment ça ?
- Quand tu m'as avoué porter une çage de chasteté, souviens toi ce que je t'ai dis.
- Ben que tu ne savais pas ce que c'était.
- Faux ! Tu m'as dis que ça faisait parti d'un univers que tu aimes. Je t'ai demandé quel univers pour que tu me confirmes ce que j'espérais mais tu as coupé court et tu as fuis. Je voulais que tu me dises quel univers t'attire afin d'être sur de ne pas rêver ou de ne pas me faire une fausse idée. J'ai due te tirer les vers du nez pour savoir et c'est la que tu me dis trop tard. Avoue que c'est fort tout de même. Quand tu m'as avoué le port de ta çage, j'ai pensé à deux choses. Premièrement, que tu es un soumis qui aime le SM et deuxièmement que tu as une Maîtresse. Mais pour ce deuxième point, j'ai vite réfléchie en pensant qu'un soumis en çage ne va pas en discothèque draguer comme il veut. Donc je savais avoir une chance avec toi. Et quand je me déclare, tu me dis que tu jouais sur deux tableaux et que tu as fait ton choix. Excuse-moi de penser que tu te jette trop vite dans les bras de cette autre femme sans rien savoir d'elle en plus. La seule chose qui t'honore a mes yeux, c'est ta fidélité dans ton engagement.

- Je n'ai jamais menti et encore moins joué sur plusieurs tableaux. Entre nous, il y a eu un malentendu manifeste et j'en suis vraiment désolé çar à l'heure actuelle, tu serais probablement ma Maîtresse. Maintenant, les choses ont évolué à grande vitesse et si il est vrai que je me suis fais surprendre, je n'ai jamais triché. Tu reconnais que tu aurais due te manifester plus vite et je reconnais que je ne t'ai pas donné ta chance. Voila, c'est comme ça et pour l'heure, je suis engagé moralement avec ma Maîtresse. Comme je te l'ai déjà proposé, si ça ne marche pas, tu en seras la première avertie et tu choisiras si tu me donne une chance. »

Nous avons fini par nous dire que nous allons restés bons amis et qu'après mon week-end, j'en saurais plus sur ma Maîtresse. Ça demande une semaine d'attente et ma belle restauratrice, qui m'a enfin donné son prénom (Marion), m'a dit qu'elle allait m'appeler dès le lundi suivant pour savoir si je suis vraiment à Clara ou si je suis libre.
Je passe le reste de ma semaine à manger tous les midis chez Marion. Je passe également toutes mes nuits à souffrir çar ma chasteté maitrisée me fait vraiment souffrir. Je n'en peux plus et je prie pour ma libération rapide, mais rien n'est possible sans connaitre ce code. Je tente quelques combinaisons mais sans succès. Mes nuits sont longues et jeudi midi, Marion me fais remarquer que j'ai d'énormes cernes sous les yeux. Elle rigole de mon état et me fais plusieurs clin d'œil a ce qu'elle veut pour moi. Une véritable complicité est née entre nous. Je me pose même la question vis-à-vis de Clara. Vais-je réussir à lui donner sa chance? J'ai même le sentiment de la tromper indirectement avec Marion et ce n'est pas nos conversations sur Fessestivites qui remplace une présence physique. J'ai pourtant essayé de la rencontrée avant le week-end fessé chez TSM mais elle m'a dit que je devais apprendre la patience et que je devais savoir mériter ma première rencontre avec ma Maîtresse. Avec le soutien de Sandrine et de TSM, je comprends vite que ma première rencontre physique avec Clara se fera lors du week-end fessé.

Le jeudi soir sur le chat salon de discussion, Je demande congé très tôt pour gagner du repos en vu de la très longue route qui m'attend pour me rendre dans le sud de la France. Il est 21H30, je coupe ma connexion et je termine mon sac de voyage. Toutes mes affaires sont prêtes pour demain donc je vais dormir. Je suis réveillé par mon réveil et ma première remarque, c'est que j'ai dormis le plus normalement pour la première fois depuis 15 jours. Pas une douleur liée à ma çage n'a interrompu mon sommeil et je suis relativement surpris. Mais je passe outre cette nuit surprenante et je finis de me préparer. Il est 7H30 et hop, en voiture pour un très long voyage. Ma journée est vraiment longue et mes arrêts pour mes envies naturels me dérangent çar j'ai le sentiment de perdre vraiment du temps. J'ai une idée farfelue et je demande conseils.
« - Allo Bruno, c'est Tom.
- Salut Tom que puis-je pour toi ?
- Je suis sur la route depuis ce matin et mes arrêts pipis sont trop fréquents à mon gout. C'est vrai que je bois un peu plus de çafé qu'à l'habitude, mais la, c'est vraiment trop d'arrêts. Comment fais tu lorsque tu vas chez TSM ?
- Sandrine me met des couches.
- QUOI ? tu es sérieux ? ça existe ça pour les adultes ?
- Oui, je suis très sérieux. Sandrine me met une couche et ce qu'elle appel un insert à savoir une couche droite traversable.
- Et tu trouve ça ou ?
- Dans des magasins spécialisés ou supermarché. Mais je te conseils les magasins spécialisés çar les couches sont de meilleures qualités. Tu es ou la ?
- J'en suis a mi parcourt a hauteur de Vierzon.
- Attends je regarde sur le net. »
Grace a internet, il me donne une adresse d'un magasin spécialisé qui ce trouve a 10 kilomètres de l'endroit ou je suis. J'hésite fortement à y aller mais une nouvelle envie pressante se fait sentir et ça finit de me convaincre. Je me détourne de ma route et me dirige vers ce magasin. Devant la boutique, je marque un temps d'arrêt et je finis par rentrer. Je tombe sur une demoiselle ou une jeune femme
« - Bonjour Monsieur, que puis-je pour vous ?
- Bonjour, je voudrais acheter des couches.
- Des couches ?
- Oui, des couches pour adultes.
- Vous voulez dire des changes complets.
- Pourquoi, il y a une différence ?
- Monsieur, les couches c'est ce que portent les enfants, pour les adultes, ont appel ça des changes complets ou protections anatomiques. Quels soucis avez-vous ?
- C'est pour voyager tranquillement.
- Pardon ?
- (Je me rends compte que j'ai dis une belle « connerie ») Oui, c'est juste pour ne pas a avoir à m'arrêter pendant mon très long voyage.
- (Elle me regarde bizarrement) Je suppose que vous voulez une absorption maximale.
- Heu oui la plus forte.
- Alors, je vous conseille ces changes complets qui vont vous satisfaire pour votre voyage.
- (Je regarde honteusement le paquet) Ça fait très couche tout de même.
- Oui, c'est vrai. Mais avec ça, vous n'aurez pas de soucis de fuites.
- Avez-vous aussi des couches droites traversables pour mettre dedans afin d'augmenter la çapacité d'absorption?
- Oui, nous avons ça. Je vous mets un paquet aussi ?
- Heu oui s'il vous plait. »
Je règle mes achats et avant de sortir j'ai deux questions qui me trottent dans la tête.
« - Pouvez-vous me conseiller pour les mettre de la meilleur façon possible ?
- Vous allez les mettre debout ou allongé ?
- Ben je n'ai pas pensé à ça, je ne sais même pas ou les mettre. Avez-vous un endroit ou je puisse m'équiper ?
- Je vous propose les toilettes mais vous devrez mettre votre change debout. Pour ce faire, vous devrez procéder ainsi (elle me montre sur elle, tout en restant habillé, la méthode en sortant une couche de mon paquet et en la dépliant)
- Wouaw, c'est énorme une fois déplié.
- Bien sur, vous vous attendiez à quoi ?
- Ben je ne sais pas, mais c'est vraiment imposant. »

Je prends la couche sortie et sors un insert du paquet. Je file dans les toilettes et m'équipe suivant la méthode de la vendeuse. Une fois la couche en place, je me regarde et une grosse honte m'envahie à nouveau. Je remonte mon pantalon mais il à beaucoup de mal a monter du faite de l'épaisseur. En revanche, une fois le pantalon monté, il ferme plutôt facilement comparé a la difficulté pour le monté jusqu'à mes hanches. Je sors des sanitaires, rouge pivoine et la vendeuse me scrute.
« - Oui, ça doit ce voir que je porte une couche.
- Non Monsieur, pas tant que ça. C'est vrai que c'est une impression normale, mais à part un derrière légèrement plus prononcé, nul ne peut deviner que vous portez une couche. Vous pouvez vous voir grâce au miroir là-bas.
- Oui merci (Je m'admire sur toutes les coutures et en effet, c'est relativement discret). Merci beaucoup et au revoir
- Monsieur, n'oubliez pas vos paquets.
- Heu oui merci. »

Je récupère mes deux paquets de couches et je reprends ma route. Bilan des opérations, 35 minutes de perdue et une petite somme non négligeable en moins dans mon budget. Ce n'est pas donné les couches pour adultes, mais au moins avec ça, je peux poursuivre ma route sans avoir d'arrêt à faire. Comme prévu, ma première envie de faire arrive et je ne m'arrête pas. Je vais pouvoir tester ma nouvelle acquisition mais malgré mon envie, je ne réussis pas à me libérer. L'envie est la mais impossible de faire dans la couche. Après 15-20 minutes de tentative, le liquide sort en envahie le devant de ma couche enfin. Mon premier réflexe est de mettre une main sur le devant de mon pantalon et rien, c'est totalement sec. J'arbore un large sourire çar je sais que je vais pouvoir continuer sans problèmes maintenant. Je trouve également la sensation du liquide qui coule dans la couche relativement agréable et je me fais peur de ressentir cette sensation.
Les heures passent et les kilomètres défilent bien. Je suis à moins d'une centaine de kilomètres du but et il est grand temps que j'arrive çar je ressens une fatigue importante. On ne fait pas 850-900 kilomètres sans conséquences. Et la, je suis vraiment marqué. Je m'équipe de mon oreillette et je donne des nouvelles rassurantes a mon hôte sur mon avancé et le temps qu'il me reste avant mon arrivé. Il me rappel un détail a mon arrivé pour ne pas louper sa maison et je lui signifie que ça va aller. Les derniers kilomètres sont interminables mais je finis par voir le panneau d'entré de commune Vauvert. Je m'arrête sur un parking et je relis le plan. Si vous voyez la pançarte d'entré de commune de Vauvert, faites demi-tour et venez chercher vos coups de cravaches. Bon, j'ai gagné le gros lot on dirait. Je rebrousse chemin et arrive enfin à destination.

« - Bonjour Tom et bienvenu
- Bonjour Monsieur TSM.
- Tu as fais bonne route ?
- Oui, bien qu'un peu long, mais ça a été. Je me suis juste trompé en arrivant.
- Oui je t'ai vu passé. Tu as gagné une récompense prévu dans ce ças de figure.
- J'en ai bien peur.
- Bon, sors tes affaires, je vais te montrer l'endroit ou ta vas pouvoir planter ta tente pour la nuit. »
J'ouvre mon coffre en oubliant totalement mon achat en cours de trajet.
« - Veux-tu un coup de main pour t'installer ?
- Oh ben oui, ce n'est pas de refus.
- (J'ouvre mon coffre) Et bien, je vois qu'on a prit ces préçautions.
- Heu ce n'est pas ce que vous croyez.
- Mais ne t'inquiète pas, il m'arrive également de porter des couches. Ce n'est pas tabou ici. Mais je pense que ça fera plaisir a ta Maîtresse quand elle saura ça.
- Vous êtes obligé de lui dire ?
- Non, mais de toute façon, elle le verra.
- Pas si on ne lui dit rien.
- Tu vas le çacher à ta Maîtresse ? Je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée. Connaissant Clara, il vaut mieux jouer franc jeu avec elle.
- Vous croyez ?
- Oh oui, j'en suis persuadé. Et puis, sur notre réseau, les couches on toute leur place. Donc elle ne sera pas choquée d'apprendre que tu en as porté pour rouler tranquille. Bien maintenant, allons voir les autres membres qui sont déjà arrivés pour que je te présente. »

Sur une pelouse de bonne taille, plusieurs tentes sont déjà plantées et je rencontre enfin certaines personnes avec lesquelles j'ai déjà conversé grâce au site. Une grosse timidité m'envahie lorsque je salue tous mes amis virtuel devenu bien réels. TSM m'indique une place et je m'installe. J'ai une tente rapide a monté ce qui me permet de l'installer sans aide. Le webmaster prend congé alors qu'un membre me tient la conversation pour faire connaissance. Une fois ma tente en place, je regarde un peu partout quand tout à coup, je marque un gros temps d'arrêt. A coté d'une tente, deux femmes discutent et l'une d'elle semble être Marion. Mais c'est impossible que ce soit elle. Que ferai-t-elle ici ? Je ne peux m'empêcher de m'approcher doucement pour confirmer qu'il s'agisse bien d'elle. Plus je m'approche, et moins le doute est permis, c'est elle.

« - Bonsoir Marion, que fais tu la ?
- Ah salut Tom. Et toi, que fais tu la ?
- Ben je viens participer au week-end.
- Et il ne t'est pas venu à l'esprit que je suis ici pour la même chose ?
- Ben oui forcement, mais je ne savais pas que tu étais membre de Fessestivites.
- Parce qu'une fois de plus, tu ne m'as pas demandé.
- Oui c'est vrai. Mais tu savais bien que j'étais membre pourtant, non ?
- Oui, bien sur.
- Attends, ça veut dire que lorsque je t'ai avoué mon port de çage, tu savais très bien ce que je portais.
- C'est encore exact. Continu, tu n'es plus très loin.
- Quoi ?
- Continu de réfléchir, tu vas y arriver.
- Non, ne me dis pas que...
- Que quoi petit soumis ?
- ...tu es Clara ?
- Enfin tu fais le lien. Et ben, il t'en aura fallu du temps. Pourtant, avec les indices que t'ont donnés Sandrine et Bruno, tu aurais du faire le rapprochement plus vite. Mais ça m'a fait rire de te laisser dans cette situation. Et puis, ça m'a permis de savoir a quel point tu es fidèle et je t'en félicite. J'espère que tu n'es pas déçu de me voir enfin ?
- Heu non je dois t'avouer...heu vous avouer...Je ne sais même pas si je dois tutoyer ou vouvoyer.
- Tu peux me tutoyer dans le quotidien. Tu me vouvoieras lors de nos séances ou nos jeux.
- D'accord. Donc, je dois t'avouer que j'espérais fortement que Clara te ressemble trait pour trait çar durant la semaine, j'ai senti une forte complicité naitre entre nous. J'ai même eu honte de cette sensation çar j'avais l'impression de tromper Clara.
- J'ai laissé cette complicité s'installer çar je voulais vraiment qu'on s'amuse ce week-end. Maintenant que tu sais qui je suis, nous allons vraiment bien nous amuser.
- Dis moi, est ce que je peux ?
- Tu peux quoi ?
- ...T'embrasser
- Bien sur gros nigaud. Ça m'a manqué aussi durant les 15 jours ou j'aurai pu tout te dire. »
J'étais enfin devant celle dont je rêvais secrètement. Celle que j'ai toujours attendu et cette fois, elle est bien réelle. Elle pose ses mains sur mes fesses et me lance une remarque inévitable.
« - Tu as un derrière bien rembourré. Baisse ton pantalon !
- Pas devant tout le monde
- Tu es ici pour un week-end fessé. Tu vas donc prendre des fessés a cotés de toutes les soumises et tous les soumis. Tu penses bien que la fessée se fera cul nu donc pas de pudeur. Maintenant enlève moi ton pantalon. »
Imparable ! Je ne peux qu'admettre qu'elle a raison et la tête basse, je baisse mon pantalon pour lui montrer ce que je porte.
« - Oh le grand bébé. Qu'il est mignon dans sa couche.
- Non, ce n'est pas ce que tu crois.
- Mais je ne crois rien, je constate. Tu porte une couche qui est souillée devant.
- Oui mais c'est juste parce que sur la route...
- Chutttt !! Ne te justifie pas. Tu porte des couches et ça ne me dérange absolument pas. Je vais réfléchir à tout ça le moment venu mais pour l'heure, je t'interdis de l'enlever et même de remettre ton pantalon.
- Non s'il te plait, pas la couche à l'air.
- Il va falloir t'y faire, tu ne feras plus ce que tu veux, mais bien ce que je veux. N'est ce pas ce dont tu rêves depuis toujours ?
- Oui bien sur mais...
- Alors obéis. Je ne veux pas te voir avec le pantalon remis. Arbore fièrement ta couche souillée. Tu es un pissou et puis c'est tout. »

Je ressens un mélange de honte et de soulagement. Honte çar montrer une couche sale devant tout le monde, ce n'est pas évident la première fois. Soulagement çar ma Maîtresse est exactement comme mes rêves les plus fous ou mes fantasmes me l'auraient laissé pensé. Je lui obéis aveuglement et je suis déjà très fier de lui appartenir. Il est 20H00 et TSM nous abandonne le temps d'aller chercher des membres à l'aéroport. De notre coté, une grosse ambiance de fête s'installe et personne ne prête vraiment attention a mon exhibition couche. Ça me rassure vraiment çar pour ma première fois, je n'en mène pas large. Un des membres présents alimente le barbecue et je me propose de l'aider.

« - Tu as besoin d'aide ?
- Non merci, va ira. Mais si tu veux te rendre utile, va me chercher les barquettes qui sont là-bas.
- Ok, j'y vais. (de retour) Tu es un soumis toi aussi ?
- Non pas vraiment.
- Oh pardon.
- Ne t'inquiète pas, ça viendra tranquillement.
- Tu sais combien de personnes seront présents pour ce week-end ?
- Si c'est comme d'habitude, on peu compter une vingtaine de personnes.
- Ah oui quand même ?
- Et oui, c'est un sacré réseau. C'est ta première fois ?
- Oui, je m'appel Tom.
- C'est toi qui s'es fait encager en cam il y a 15 jours non ?
- Oui c'est moi.
- Je n'ai pas pu voir ta libération.
- Ben elle n'a pas eu lieu encore.
- Tu la porte encore sous ta couche ?
- Heu oui et normalement, je dois être libéré ce soir ou demain ici.
- Ah d'accord. Finalement, je n'ai rien loupé et c'est tant mieux.
- Pour quoi tant mieux ?
- J'aime bien voir les soumises et soumis en mauvaise posture jusqu'au bout. Et le faite de ne pas avoir vu ta libération était dommage, donc j'ai le droit a un sursit et je m'en réjouis.
Le repas a pris le temps de doré au rythme de la braise et TSM est revenu avec d'autres convives que je n'ai pas encore eu le temps de voir. Je me rapproche de ma Maîtresse, mais je ne la vois pas. Peut être dans la maison ? Je décide d'aller voir et nouvelle stupeur.
« - Bonsoir Madame Sandrine, je croyais que vous ne deviez pas venir ?
- Bonsoir Tom. Tu ne crois pas que nous allions te prévenir ? Ça aurait éveillé tes soupçons vis-à-vis de ta Maîtresse.
- Vous aviez tout prévu.
- Oh oui et ça nous a bien amusé.
- Bruno est la aussi ?
- Bien sur, tu ne crois pas que j'allais le laisser alors qu'il va prendre sévère ici.
- Oui, je me disais bien que ça aurait été surprenant.
- (Bruno) Bonsoir Tom
- Salut mon ami. Je suis très content de te voir ici. Au moins, avec vous je me sentirais moins seul. Et ce week-end sera plus facile.
- Ne crois pas que nous allons a une partie de pèche. Certes nous allons nous amuser, mais ce sont surtout les dominantes et dominants qui vont rigoler.
- (TSM) C'est l'heure de l'apéro, vous venez ?
- (Marion) TSM, c'est Tom qui fera le service si tu es d'accord.
- (TSM) Avec plaisir.
- (Marion) Tom, exécution, et fais ça bien çar le week-end pourrait commencer avant pour toi sinon !
- (moi) A vos ordres Maîtresse. »

M'entendre dire ces paroles me fais éprouver une immense fierté et un grand moment de bonheur. Enfin je suis moi, enfin je suis ce que j'ai toujours voulu être et en plus, je n'ai pas à me cacher. J'assure le service la tête haute et Marion remarque mon sourire que je n'ai pas à forcer. Je nage en plein bonheur et après l'apéro, j'assure le service du repas tout naturellement. Sandrine et Marion en rient çar Maîtresse ne m'a pas ordonné de poursuivre au delà de l'apéro. Le reste de la soirée s'est passé dans une franche çamaraderie et beaucoup de rigolades et de légèreté. Je me sens vraiment bien avec tout ce monde et c'est presque à regret que je regagne ma tente pour dormir. Mais pour la nuit, Maîtresse a une idée bien précise.

« - Tu vas venir avec moi, nous allons t'enlever cette couche bien remplie.

- Ah merci Maîtresse. C'est vrai qu'elle commençait à être bien pleine.
- Prends une couche propre pour la nuit.
- Quoi ? Pas pour dormir...
- Tu n'oserais pas discuter mes ordres tout de même ?
- Non mais c'est que...
- Mais quoi ! Je t'ai donné un ordre alors obéis. Tu prends une couche propre et tu me suis est ce clair ?
- Oui Maîtresse. »
Une grosse angoisse m'emporte çar je sais pertinemment que je vais devoir dormir avec une couche et que je n'en ai vraiment pas envie. Mais la, je sais également qu'elle ne me laissera pas le choix. Arrivé dans le salon de la maison du webmaster, Maîtresse m'ordonne de m'allonger et elle retire les adhésifs de ma couche sale. En présence de TSM et de sa soumise, Maîtresse utilise des lingettes nettoyante mise a disposition par le Maître des lieux. Puis elle déplie la couche propre, me la place sous les fesses et la ferme minutieusement. Je suis étonné par une telle maitrise mais je me garde de tout commentaire. TSM prête gracieusement une culotte qui m'est destiné. Cette culotte n'est rien d'autre qu'une culotte plastique ayant pour but de contenir les éventuelles fuites et elle a en plus la particularité d'être munie d'une chaine qui fait le tour de la taille et d'un çadenas pour fermer la chaine. La remarque de Maîtresse est on ne peu plus clair.
« - Avec cette culotte, tu ne pourras pas être tenté d'enlever ta couche. Vu qu'elle ferme avec un çadenas, tu vas être obligé de salir ta couche tel un pissou.
- Mais pourquoi je dois porter une couche cette nuit ?
- Tout simplement parce que j'en ai envie. Le principe d'un soumis c'est de faire plaisir a sa Maîtresse et mon plaisir c'est de te voir et te savoir en couches.
- C'est ce que vous voulez pour moi ?
- Oui c'est ce que je veux pour toi.
- Mais c'est juste pour le week-end.
- C'est à voir, Je vais y réfléchir. Mais de toute façon, si je t'ordonne de porter des couches, tu auras intérêt à obéir. Bien, maintenant suis moi »
Ma cage toujours en place sous ma couche, je suis ma Maîtresse qui est venue sans toile de tente au motif qu'elle savait que je viendrais avec la mienne et qu'elle veut être au chaud à coté de son soumis. Je me sens vraiment ridicule ainsi vêtu surtout que nous faisons un crochet par la tente de Sandrine et Bruno. Si mon ami me regarde avec compassion, sa Maîtresse ne se prive pas pour rigoler.
« - Tu lui a déjà mis des couches ?
- Et oui, mais c'était facile çar il en portait déjà une a son arrivé.
- Ce n'est pas vrai, comme quoi, le hasard fait bien les choses.
- Oui comme tu dis.
- Remarque, il doit être moins choqué comme ça et cela t'évite d'avoir à lui expliquer.
- Oui c'est clair. Il va finir par s'y habituer et à force, il ne pourra plus s'en passer.
- Tu as déjà tout planifié à ce que je vois.
- Dans les moindres détails. »
J'hallucine, elles discutent comme si je n'étais pas la. Mais je ne peux pas faire comme si je n'entendais rien, et une fois en tête à tête sous ma tente, je le redemande à ma Maîtresse.
« - Tu as l'intention de me faire vivre en couches ?
- Tu l'as entendu, je ne vais pas te dire non maintenant.
- Et si je ne veux pas ?
- Tu sembles mal placé pour refuser.
- Ah bon et pourquoi ça ?
- Premièrement, tu es soumis et en cette qualité, tu dois savoir obéir même si tu as le droit de refuser certains points. Mais surtout, deuxièmement tu es venu de toit même en couche, ne me dis pas que je t'ai forcé.
- C'était pour me faciliter la route. J'ai longuement hésité avant d'en acheter.
- Oui peut être, mais tu l'as fait. Ose me dire que tu n'as pas aimé en porter ?
- Oui peut être, mais de la a en porter tout le temps.
- Crois-moi, tu vas t'habituer. Déjà, je ne veux pas te savoir sans couches la nuit. C'est plus qu'un çaprice, tu auras ta couche toutes les nuits quoi qu'il arrive.
- Et le jour ?
- Ça pourrait suivre aussi mais je me réserve le droit de le faire.
- Mais pourquoi les couches, pourquoi pas autre chose ?
- Parce que j'adore voir un homme porter des couches et encore plus si il est soumis. Tu es un homme et tu es MON SOUMIS. Ça fait double raison de te faire porter ce que je veux le plus pour mon soumis. Maintenant que tu le sais, acceptes tu de m'offrir cet immense plaisir auquel je tiens tout particulièrement ? »
Je marque un gros temps de réflexion et tout en regardant ses yeux pleins d'envie et de suppliçations, je sens vraiment l'importance qu'elle attache à me voir et a me faire porter des couches. L'idée de devoir porter des couches la nuit ne me dérange pas plus que ça, en revanche, le jour je sais bien que je vais avoir beaucoup de mal.
« - J'accepte dans un premier temps de porter des couches toutes les nuits selon tes désirs.
- Merci Tom.
- Mais pour le jour, je te demande du temps. Je ne ferme pas la porte à en porter de temps en temps mais pas tout le temps pour commencer.
- D'accord, je t'accorde une période d'adaptation. Quand tu seras prêt, tu me diras pour t'équiper jours et nuits.
- Nous verrons »
Nous nous embrassons langoureusement et Maîtresse çaresse le dessus de ma couche ou une sensation très particulière et totalement nouvelle m'envahit le corps. Et comme le dirait TSM, je subis de plein fouet la crise du logement dans ma çage de chasteté et ma couche. Nous nous endormons Marion bien au chaud blottie dans mes bras. Le lendemain matin, pas de souci lié à ma çage s'est fait sentir. Mon envie matinale me fait me dandiner et Maîtresse se réveille. Elle me glisse dans l'oreille : « Libère toi dans ta couche mon pissou, elle est la pour ça. » Et elle me fait un gros bisou sur la joue. Avec beaucoup de mal, je finis par mouiller ma couche et la main de Maîtresse sur le devant de ma protection, accueil ma libération par un sourire d'ange. Elle semble vraiment aimer me sentir faire dans ma couche. Je suis impressionné par le plaisir manifeste qu'elle éprouve et j'avoue que ce liquide ne me déplaît pas. Je dirai même qui j'y prends gouts.

La journée commence fort et après un petit déjeuner puis une douche pour éliminer mes odeurs d'urine, je me retrouve à genoux, à coté d'autres soumises et soumis nus eux aussi, prêts pour une première série de fessée. Les yeux de toutes les soumises et tous les soumis bandés, les dominantes et dominants alterne de fesses en fesses pour administrer leur fessés selon leur rythme et leur force. Certaines personnes sont douces d'autres dur. Je ne réussis pas à savoir qui s'occupe de moi ni quand ma Maîtresse arrive derrière moi. Toujours dans ma çage, les fessées font balancer ma çage au rythme des mains qui claquent et a certains moments, une légère gêne voir douleur m'empêche d'apprécier les séances fessées, dommage. La séance prend fin et j'entends qu'a mes cotés, les soumises et soumis se lèvent. Maîtresse ne l'entend pas ainsi et m'ordonne de rester en position. Après 5 minutes d'attente, une éternité quand on ne voit rien, Marion est de retour et elle me prévient.

« - Tu vas découvrir le martinet et la cravache. Laisse toi aller et fais moi confiance, tout ira bien. »

Elle est marrante elle, je ne connais pas du tout ces sensations ni comment vais-je réagir. Oui, je lui fais confiance, mais me laisser aller, c'est autre chose. Les premiers coups sont légers et me laissent une impression relativement agréable. Si le rythme augmente, l'intensité elle ne varie pas et la sensation est bonne. Du martinet à la cravache, de la cravache au martinet, sur un rythme soutenu, je découvre vraiment une sensation forte et subtile. Maîtresse s'en donne à cœur joie et je ressens son plaisir au travers ses gestes. Tous mes sens sont en éveil et mon corps en redemande. Oui, Maîtresse a raison, tout va bien a tel point qu'une érection me rappel mon port de çage. La séance prend fin et mon bandeau m'est retiré. C'est par un grand sourire de Maîtresse que je la remercie pour cette nouveauté. Sandrine signale à juste titre ma grande qualité de soumis et mon grand potentiel. Mais ce supplément m'a mis en émoi et je le signale à Marion.

- Maîtresse puis-je vous rappeler que je porte toujours ma çage ?
- Je le sais très bien petit soumis et elle te va à merveille.
- Oui, mais c'est que je devais la porter qu'une semaine à l'origine.
- Et alors! Tu as à redire?
- Non mais ça fait quand même quinze jours et...
- ET ALORS! (Gros silence et les yeux se tournent vers nous) Tu n'as pas compris que JE DECIDE.
- Si Maîtresse.
- Je sais très bien que tu deviens fou çar tu t'es frotté à moi presque toute la nuit. Mais tu es trop impatient et je vais t'apprendre à attendre çalmement, à souffrir en silence. Tu devais être libéré ce soir figure toi mais tu viens de gagner une semaine supplémentaire.
- Pitié Maîtresse...
- DEUX SEMAINES SUPPLÉMENTAIRES ! Tu vas finir par comprendre ou quoi? Je ne veux pas t'entendre! (Cherchant du regard quelqu'un) TSM, tu peux rajouter deux semaines de çage à Tom pour l'envoi du code?
- (TSM) Il n'y a pas de soucis, je vais rajouter les deux semaines. Tu peux me suivre ?
- (Maîtresse à Sandrine) Tu peux le mettre au piquet sur un manche à balai les mains derrière la tête? Je reviens.
- (Sandrine) Avec plaisir, je m'en occupe.

Me voila punit doublement et déjà, le repas va être servit. Je n'ose pas bouger le moindre cil de peur de m'attirer les foudres de Marion. Le temps passe et l'apéro est prit dans une ambiance de fête mais pour moi, la pilule a un drôle de gout. Bon je reconnais ma faute et même devant ma Maîtresse qui vient me chercher pour me libérer de mon supplice au bout d'une heure. Pour moi, l'apéro est fini avant d'avoir commencé mais tant pis, je me rattraperais ce soir. L'après-midi repart sur les mêmes base que la matinée avec pleins de jeux divers et variés organisés par les dominantes et dominants. Le thème de la fessée prend tout son sens et les fesses des soumises et soumis rougissent a vue d'œil avec l'aide complice du soleil, çar oui, j'ai trouvé le moyen de choper un coup de soleil sur les fesses, un comble pour cette drôle de journée. Le soir après un repas toujours aussi festif, Maîtresse m'appelle puis m'attache les mains dans le dos. Que va-t-elle encore me proposer? Elle touche ma çage, çaresse mon sexe au travers ses barreaux et ça me rend fou. Qu'elle ne compte pas sur moi pour lui faire la moindre remarque. J'en ai pris pour quinze jours ce midi et ça me suffit.

Ses çaresses sont très excitantes et je suis totalement fou. Je ne tiens plus et s'il y avait la moindre possibilité de me finir, je l'aurais fait sans attendre. Je ferme les yeux pour décupler mon excitation mais est-ce bien utile, je suis déjà au summum. Je savoure chaque contacte de ses doigts sur ma verge mais ma douleur ne me permet pas de vraiment tout ressentir. D'ailleurs Maîtresse a vraiment compté sur ce point la çar elle a ouvert le çadenas et elle a fait glisser le tube de la çage. Le temps de réagir et elle me masturbe très franchement sans la çage. Je savoure mais mon excitation est telle que je ne tiens pas plus longtemps que le temps de réaction a ma libération. Quand j'ouvre les yeux, je fais face à un écran d'ordinateur avec çam allumé et braqué sur moi. Maîtresse m'a libérée en directe sur Fessestivites comme prévu a l'origine dans mon contrat d'ençagement. Elle salue le site et les membres présents puis elle prend congé. Je fini de discuter avec les personnes qui ont assistés a ma libération et qui m'ont félicité pour mon courage d'avoir tenu 15 jours. A mon tour, je prends congé et je retourne auprès de Maîtresse et du reste du groupe. Maîtresse me met en garde.

« - Ta libération a été maintenue mais j'espère que tu as compris que tu n'as pas à me dicter tes envies. C'est moi qui domine et j'espère n'avoir jamais à te le rappeler. Ton seul plaisir est de me faire plaisir. Ton seul engagement est de respecter mes choix. Si je m'engage à te faire vivre une aventure sur une période, je suis seule décideur de la fin de cette aventure même si je le décide de tout modifier au dernier moment. La prochaine fois, tu prendras vraiment un mois ferme. Ai-je été claire ?
- Oui Maîtresse, vous avez été très clair, je ne recommencerai pas cette faute. Je vous remercie pour votre bonté.
- Maintenant, finissons la soirée çalmement et reste bien a ta place. Tu commences à me connaître et il serait dommage de te remettre en çage dès ce soir. »
Cette fois, je m'en sors bien et j'ai conscience d'avoir échappé à un çalvaire. Mais je me sens vraiment léger sans ma çage et mon plaisir libéré. Je profite à fond de cette dernière soirée avec Bruno. Nous échangeons beaucoup sur sa vie et sur ma Maîtresse.
« - Tu sais Tom, ta Maîtresse était très convoitée sur le site. Beaucoup de soumis avaient vus son annonce et ils savaient qu'elle cherchait de façon très active un soumis. Attends-toi à faire des jaloux.
- Ah bon, a ce point la ?
- Oui çar Marion ne se çache pas en ligne. Elle allume sa çam sans problèmes et elle n'hésite pas à tester les soupirants de vive voix.
- Mais pourtant je ne l'ai jamais vue en çam.
- Et pour çause, quand elle a sue que tu étais membre du site, elle t'a laissé venir mais a sa grande surprise, tu n'as rien fait. Du coup elle a saisie sa chance avec ton ençagement.
- C'est TSM qui m'a proposé de m'ençager en ligne.
- Peut-être, mais tu as accepté de le faire et tu as ouvert une porte pour Marion et crois moi, il ne lui en faut vraiment pas beaucoup.
- Mais tu as l'air de vraiment bien la connaitre.
- Oui en effet. C'est la meilleure amie de Sandrine et c'est Marion qui a tout apprit a ma femme.
- Ah ok, je commence à comprendre.
- Oui, et crois moi, elle a une expérience incroyable. Tu ne vas pas t'ennuyer avec une telle Maîtresse.
- (TSM de passage a coté de nous) Je confirme. Elle maitrise vraiment son sujet et elle saura faire de toi un vrai et bon soumis. Tu risque peut-être d'en baver un peu, mais tu risque surtout de franchement t'amuser avec elle. Je te promets, tu as une des vraies bonnes Maîtresses du réseau.
- Merci Monsieur et c'est grâce a vous.
- AH NON. C'est grâce à toi seul. Comme je le dis a tous les soumis, si vous voulez vraiment trouver une Maîtresse, vous devez avoir une vraie annonce sur votre profil, savoir vous montrer de façon respectable et sincère, mais surtout, participer aux rencontres et week-ends a thème proposé par Fessestivites. Tu as fais tout cela depuis ton arrivé sur le réseau. Tu as une vraie et belle annonce profil, tu t'es montré en çam très et tu t'es certifié, tu as participé en t'ençageant grâce au réseau et enfin tu t'es inscrit pour venir ici ce week-end. Il n'y a donc rien d'étonnant que tu as trouvé ta Maîtresse sur le réseau. Je n'ai rien fais, tout ce qui t'arrive, tu le dois a toi seul.

- (Bruno) Il a raison Tom, tu as tout fait pour te trouver une Maîtresse et ça ne pouvait pas finir autrement.
- Oui d'accord, mais Monsieur, vous m'avez fait confiance et c'est grâce a cette confiance que j'ai réussis à trouver ma Maîtresse.
- Mais encore une fois, la confiance c'est quoi? Te certifié comme membre réel et authentique? Tu le voulais vraiment, je n'ai rien eu à faire. Te proposer de t'ençager avec un çadenas Fessestivites et non le tiens? La encore tu le voulais vraiment pour connaitre la sensation. T'ençager en çam en direct sur le réseau? Ce n'est pas de la confiance, mais un challenge dans ce ças et oui, la je t'ai aidé. Mais la volonté, c'est toi et uniquement toi. Tu as voulu tout ce qui t'es arrivé depuis ton inscription sur le réseau. Si tu veux parler de confiance, je ne t'ai pas fais confiance, je t'ai mis en confiance et tu as fais le reste. »

Je dois avouer qu'il a vraiment raison. En tout ças, je ne boude pas mon plaisir d'être ici de découvrir des gens incroyables. Qu'elles soient dominantes ou dominants, soumises ou soumis, tous ont une personnalité forte et attachante. Jusqu'à tard dans cette belle nuit étoilé, nous avons discuté, échangé et apprit les uns des autres. A l'heure de regagner la toile de tente, Maîtresse n'a pas a me rappeler sa volonté et je lui présente une couche propre. Avec un grand sourire, elle me la met et nous nous endormons comme la veille, Maîtresse blottie dans mes bras. Le lendemain, il est l'heure de tout ranger et Les soumises et soumis sont désignés volontaire d'office pour aider à tout remettre en ordre. De notre coté, une très longue route nous attend et je suis exempté de rangement mais pas de charger ma voiture. Bruno m'aide et très vite, le coffre arrive à saturation.

S'il est vrai que je suis venu seul, je repars avec Maîtresse, mais aussi avec Sandrine et Bruno. En effet, Maîtresse est arrivée le vendredi par le train et mon meilleur ami et sa femme sont venus en avion. Les femmes avaient déjà convenus que je ramène tout le monde vers notre domicile aidé par Bruno pour la conduite. La voiture chargée, et avant de partir, Maîtresse me tend une couche qu'elle a sortie du paquet pour le trajet. Ce qui me rasure, c'est que Sandrine a prévue la même chose pour Bruno. Nous prenons congé de notre hôte et nous prenons la route. Une saine ambiance règne tout le long du parcourt et malgré les 900 kilomètres à parcourir, le temps passe très vite. Nous déposons Sandrine et Bruno à leur domicile et ensuite je dépose Maîtresse chez elle. L'heure tardive m'empêche de rester trop longtemps auprès de Marion et avec un grand regret, je quitte Maîtresse après un long baisé langoureux.

Voila donc le début d'une grande histoire qui a vue le jour sur http://www.fessestivites.com
Ce site est vraiment un pur bonheur.

A vous de venir y écrire votre propre histoire.

A bientôt sur le réseau...
Erwan

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mercredi 14 août 3 14 /08 /Août 16:19
Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mercredi 1 mai 3 01 /05 /Mai 12:24

TV encagée malmenée par Maitresse sur la machine à baiser

Maîtresse Louisa conserve la clé de la cage de chasteté de sa TV soumise depuis maintenant un an. Elle prend plaisir à l'allumer, la rendre folle de désir. Elle l'a rencontrée lors d'un des pique-niques de rencontre de Fessestivites, depuis cette date une relation est née, elles se voient toutes les semaines voir plus car une grande affection a vu le jour entre elles.

Pour SophieTV, faire le trajet de Lyon à Nîmes fut donc « rentable » car depuis ce pique-nique elle a enfin trouvé sa Maîtresse, sa complice, sa gardienne de clé. Maîtresse Louisa quant-à elle vient du libertinage où elle a pris plaisir fut un temps à se laisser dominer dans des clubs de rencontre où lors de soirées privées. Cette domination était plus sexuelle qu'autre chose, elle y trouvait son compte quand dans une période de sa vie, le sexe et le SM était un exécutoire.

Au fil du temps sa nature à évoluée, elle est devenue Maîtresse Louisa et ce que l'on appelle une Maîtresse phallique qui prend plaisir à dominer les TV, à les enculer au gode-ceinture où à leur faire sucer son gode pendant des heures. SophieTV a des moyens financiers importants leur permettant de vivre leurs passions sans trop de restriction. Maîtresse Louisa rêvait d'avoir une machine à baiser, les rêves de sa Maîtresse sont presque des ordres pour Sophie qui n'a pas tardé à en trouver une d'une excellente qualité sur ABCplaisir.

La semaine dernière, ils recevaient un ex amant de Maîtresse Louisa qui libertine de temps en temps pour « mon côté sanitaire » dit-elle sans aucune honte. Elle propose donc à Paul son amant du week-end d'assister à ses « divertissements sadiques » histoire de l'exciter et d'humilier un peu sa TV.

SophieTV se retrouve attachée dans le garage, sa lingerie rose tranche avec ses bas blancs à froufrou. Lorsque Maîtresse Louisa entreprend de jouer avec sa TV sous les yeux de Paul, il lui propose de filmer la scène pour leur faire des souvenirs mais en même temps pour s'occuper un peu car tenir la chandelle n'est pas son truc.

Fière de la machine à baiser offerte par sa TV, Maîtresse Louisa l'installe donc derrière Sophie puis introduit le gode dans son petit orifice devenu accueillant avec les temps et les frasques régulières de sa Maîtresse. Histoire d'allumer un maximum sa TV, elle titille la cage de chasteté puis la fesse un peu pendant que la machine à baiser fait son œuvre inlassablement.Une idée perverse traverse l'esprit de Maîtresse Louisa qui n'en manque pas.....

- Maintenant que tu es installée et que tu prends ton plaisir comme une grosse salope, je vais aller prendre le mien avec Paul, tu ne seras libérée que lorsqu'il m'aura faite jouir comme il sait si bien le faire. Dit Maîtresse Louisa en se relevant.

- Maîtresse supplie Sophie, vous n'allez pas me laisser seule ainsi, je vous en prie.... Pleurniche SophieTV.

- Et si, mais tu ne vas pas te plaindre ma belle, tu vas te faire baiser pendant au moins une heure sans qu'elle débande toi, alors ne râle pas. Lui répond Maîtresse Louisa en guise de compassion en jetant un regard provocateur à son amant avant de tourner les talons.

Epilogue

Maîtresse Louisa et Paul ont baisé plus de deux heures, la pauvre SophieTV a énormément souffert des épaules et du C.... car deux heures c'est long. Au départ, elle s'éclatait toute seule en s'imaginant que des hommes venaient la prendre sans discontinuer et tout cela en pensant à sa Maîtresse dans les bras de Paul. Ses suppliques et ses cris d'alerte « au feu du cul » ne furent pas entendus mais elle n'en veut point à sa Maîtresse.

C'était TSM journaliste de Fessestivites pour Maîtresse Louisa et SophieTV


La vidéo de cette TV encagée et malmenée par une Maîtresse est ici

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Couples Cuckold et Gynarchique
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Jeudi 25 avril 4 25 /04 /Avr 13:08

Ma cage de chasteté électrique

Ma cage de chasteté électrique est une lubie de ma Maîtresse, elle adore jouer avec et ne s'en prive pas. Elle n'a testé la force 4 qu'une seule fois, croyez-moi sur parole, je fais tout pour éviter une punition qui lui donnerait envie de renouveler.

Ce boitier électrique se pose au dessus de la cage de chasteté avec un fil électrique qui passe dans le tube. Quand elle appuie sur un des boutons de la télécommande je prends une décharge électrique. Son sadisme a pris soudain de l'ampleur avec cette machine diabolique. Avant elle m'appelait pour se faire servir, maintenant elle appuie sur la télécommande pour m'appeler. Autant dire que j'essaye d'anticiper ses besoins.

Elle s'en sert également pour me punir, la puissance de la décharge électrique est proportionnelle à la faute. Si je dis un gros mot ou oublie quelque chose c'est force un, si je suis en retard force deux et quand elle est en colère force trois. La force quatre, le jour où elle l'a testée je me suis vrillé en deux et retrouvé par terre.

Vous m'avez demandé pourquoi j'accepte ça, pourquoi je ne coupe pas le fil. La réponse est simple, je suis son soumis, elle est ma reine, sans sa domination je ne suis plus moi. J'aime la servir, la choyer et subir ses petits caprices. Cela m'excite et me rend dingue, ne me demandez pas pourquoi je ne le sais pas moi-même.

DE LA CAGE DE CHASTETE AU CUCKOLD

Comme mes érections ne sont pas spectaculaires et que je bande mou, avec moi ma Maîtresse ne prend du plaisir qu'avec ma langue et en me dominant. Depuis quelques temps elle me parlait de prendre un amant pour satisfaire ses besoins de choses viriles. Je ne me suis pas opposé à cela car j'aime ma femme, ma Maîtresse, je la veux heureuse même si je dois souffrir. Son bonheur est mon seul objectif de vie même si elle est parfois cruelle avec moi.

Pour exemple, la semaine dernière elle m'a demandé de préparer sa robe rouge en m'indiquant que c'était pour aller se balader avec son amant. Nous étions dans la chambre, elle s'est amusée à m'envoyer des décharges, plus pour me mettre la pression que me punir car il n'y avait pas de motif. Et là elle a franchi un cap en me disant de lécher là où son amant passerait sûrement. Je m'attendais à ce qu'elle m'offre sa minette que j'affection beaucoup mais elle en a décidé autrement. « A genoux » m'a-t-elle ordonné avant de me tourner le dos. Maîtresse s'est penchée pour présenter à mes yeux ses délicieuses fesses admirablement bien galbées. Naturellement j'ai commencé à les embrasser avec douceur mais une décharge m'a fait comprendre que c'était plus bas. Je me suis donc penché sur le côté pour essayer d'atteindre sa vallée des plaisirs et j'ai pris une seconde décharge. Lorsqu'elle a écarté ses fesses j'ai compris ce qu'elle attendait.

La pointe de ma langue a commencé à glisser du haut de son pertuis en titillant les parois pour venir finir sa course sur le cratère habituellement camouflé. Avec délicatesse elle le titillait, le provoquait pour qu'il frétille mais elle en voulait plus même si je n'aime pas ça. Elle tenait à ce que ma langue entre dans sa grotte. Comme je ne parvenais pas à m'y résigner, elle a appuyé sur le bouton force deux. Plutôt que de résister et prendre le risque de prendre une décharge de force trois, je me suis jeté à l'eau si je puis dire ainsi. Je m'attendais à ce que cela soit dégueulasse en termes de gout, il n'en était rien. J'ai donc enculé ma Maîtresse à coup de langue avec une certaine conviction car le petit gémissement de plaisir qu'elle a poussé ma donné des ailes. Elle était heureuse et appréciait.

Au bout d'un moment, elle m'a dit « être prête » puis m'a ordonné de la vêtir. J'ai donc revêtu son corps de déesses avec douceur, ce corps qu'un autre allait sans nul doute malmener. Ce n'est pas tellement qu'elle aille voir un amant qui me chagrine le plus, mais qu'il lui fasse du mal. Dans mon âme de soumis réside un tueur, si un jour quelqu'un lui fait du mal, je l'étranglerai sans aucune hésitation avant de le jeter aux chiens. Chaque fois qu'elle s'en va voir un amant en me laissant seul à la maison j'ai peur, c'est ainsi, on ne se refait pas.

Mon rêve est qu'elle les reçoive à la maison, je serai plus tranquille et qui sait, je pourrai peut-être les regarder ou l'accompagner dans son plaisir mais pour l'instant elle refuse catégoriquement. Non je ne suis pas jaloux, je veux qu'elle vive sa vie de femme, la vie que je ne peux lui offrir. D'après elle je suis une perle, une perle soumise certes mais une perle car quand elle revient de ses rencontres, elle se love contre moi avec amour et me raconte tout sans rien me cacher. Si ce n'est pas de l'amour ça, c'est quoi ?

Soumis de Maîtresse Anaïs

TSM journaliste de Fessestivites

Les photos de sa cage de chasteté électrique sont ici

La vidéos de sa cage de chasteté électrique est ici


 

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Couples Cuckold et Gynarchique
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Lundi 25 mars 1 25 /03 /Mars 12:22

Cage de chasteté libération sous conditionSS

Il cherchait sa Maîtresse, il l'espérait belle, juste et sévère lors des soirées coquines fantasmagoriques. Il se voyait aussi lui faire l'amour, voir même switcher traduire, inverser les rôles de temps en temps.

Il a rencontré une Maîtresse belle, sévère, capricieuse qui ne switchera jamais car sa bisexualité est si avérée qu'elle se plait à câliner maintenant qu'avec ses amies. En guide de câlin, deux mois après leur rencontre, elle lui a imposé une cage de chasteté trouvée dans la boutique partenaire de Fessestivites. Pour elle l'homme a un côté « pratique » et « utile » pour toutes les choses qu'elle n'aime pas faire.

Cette cage de chasteté il la porte maintenant en permanence car pour Julie, il est hors de question qu'il se branle. Cette cage le rend fou, fou d'amour pour sa si charmante Maîtresse qui se complait à le féminiser parfois histoire de l'humilier en le traitant de petite fille manquée. La semaine dernière, Julie lui a imposé quelque chose d'horrible lorsqu'il lui a fait remarquer que cela faisait presque deux mois qu'il n'avait pas joui.

- Demain ma copine viendra me voir, si tu lui fais voir ta cage de chasteté, je te promets qu'après nos câlins, je te permettrai de te branler et que je t'accompagnerai. Sans quoi, tu resteras encore deux mois sous cage sans compter évidement les jours supplémentaires qui s'ajoutent lors de tes punitions.

Pour Dany, cette proposition lui fit l'effet d'une gifle car jamais au grand jamais, il n'aurait imaginé qu'elle puisse lui imposer cela. Il a bien essayé de parlementer mais en vain, lorsque Julie a décidé quelque chose, elle ne change pas d'avis. Elle a même rajouté qu'il devrait être fier de porter une cage de chasteté pour elle et de la faire voir. La nuit de Dany fut peuplée de cauchemars et de rêves érotiques l'arrachant à son sommeil avec une trique d'enfer abominable pour ses testicules. Il était dans le jardin quand Julie l'a appelé. Lorsqu'il s'est approché de la maison et qu'il a vu une Clio garée devant la porte, Dany a compris aussitôt que son heure avait sonné. Vautrée dans le canapé, une blonde de rêve avec une crinière époustouflante le toisa aussitôt du regard. Sur ordre de Julie, il dut se présenter à elle et baisser son pantalon puis son slip. Ce geste fut dur, très dur et si Julie n'avait pas levé la voix, il n'y serait jamais parvenu. Cette garce de blonde l'aida soudainement à finir de descendre son pantalon qui chuta sur ses chevilles entrainant le slip avec lui.

A cet instant précis, s'il avait pu passer sous la moquette du salon, il l'aurait fait tant il était gêné. Quand Julie lui a ordonné de reprendre son travail, jamais un ordre ne lui avait fait plus plaisir.

En fin d'après-midi, Julie l'appela à nouveau en lui indiquant qu'il allait avoir sa récompense mais que pour cela, il fallait qu'il se mette nu et enfile le collant noir posé sur la table. Elle lui imposa de se mettre à genou devant elle et de la supplier de le libérer un instant. Habitué aux idées loufoques de sa Maîtresse, il n'opposa aucune résistance et quémanda sa libération comme un enfant réclame un bonbon. Sa Maîtresse s'amusa un moment avec la clé puis finit par le libérer de sa cage de chasteté. L'air frais sur son sexe lui fit comme un électrochoc, il se mit à bander presqu'aussitôt.

- Trois minutes, tu as trois minutes pour jouir, passé ce délai, je te renferme pour deux mois.

- Maîtresse c'est trop injuste, trois minutes c'est trop court, je vous en supplie.

- Pas de jérémiade ou je t'encage de suite !

Il s'exécuta donc en essayant de tirer le maximum de plaisir, plaisir qu'elle prenait un malin plaisir à perturber en lui parlant.

- Tu ne vas pas arriver à respecter les délais, je vais t'accorder un supplément de temps mais je veux que tu t'allonges sur le dos et que tu mettes ton cul en l'air pour diriger ta bite vers ton visage. Appuie-toi contre le canapé, je veux tout voir sans rester debout.

Dany totalement perdu dans ses pensés s'exécuta sur le champ et se remit à se branler. Assise près de lui, elle ne loupait rien de ses gestes ni de son petit trou du cul offert à son regard. Lorsqu'elle sentit qu'il allait jouir, elle lui ordonna de viser sa propre bouche pour boire son sperme. Arrivé au point de non retour, encore une fois, il s'exécuta sans même réfléchir, deux mois sans jouir cela castre un peu le sens de l'analyse..... L'éjaculation arriva si soudainement que Julie n'eut pas le temps de lui rappeler d'ouvrir sa bouche. Il reçu une généreuse quantité de sperme sur son visage, semence masculine qu'elle guida vers sa bouche de la pointe de son pied.

- Les hommes disent que c'est bon pour les femmes, ne te prive pas, profites-en !

Sans même attendre qu'il redescende un peu de son « nuage » elle se leva et le planta là sans oublier de lui ordonner de remettre sa cage après s'être lavé.

TSM journaliste de Fessestivites.com

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Vendredi 22 mars 5 22 /03 /Mars 10:30

Chasteté et cuckold version sadique

Au fil des années, ma femme est devenue ma Maîtresse et depuis que les enfants volent de leurs propres ailes les choses ont beaucoup évolué. Sans pour autant ne plus l'aimer il est vrai et je le reconnais, que je l'ai un peu délaissée pour m'adonner au plaisir de l'onanisme. Les surfs sur le net et sur www.fessestivites.com où j'ai trouvé matière à m'encanailler sur les récits, photos et vidéos puis le chat m'ont aidé à révéler plus encore mes besoins de soumission.

Comme un fou débile et totalement inconscient, j'ai guidé ma femme sur Fessestivites avec comme but de lui donner des idées, des envies de me dominer plus sévèrement. Je crois que ma cage de chasteté y est pour beaucoup car les sensations que j'éprouvais me donnaient des envies de toujours plus. Au départ, elle gardait la clé pour me faire plaisir, maintenant je garde la cage pour faire plaisir à ma Maîtresse. Autant dire que cela change totalement les choses ! ! !

 

Mon épouse et Maîtresse a très vite compris que de ma chasteté elle pourrait retirer des tonnes d'avantages après avoir lu un texte trouvé sur Fessestivites. Pour tester elle a commencé par me faire faire du ménage en m'imposant le port d'une chemise de nuit et là, comme je me suis mis à bander en passant l'aspirateur, Jane s'est convaincu que j'avais une grande part de féminité cachée. Il n'en est rien, la féminisation ne m'attire pas hormis pour jouer le pauvre soumis et ce qui m'avait fait bander c'était qu'elle s'occupe de moi puis me promette une fessée si la maison n'était pas propre.

Sur ce putain de site où je l'ai guidée, elle y a découvert de choses et pris des idées quand elle ne conversait pas des heures le soir en chat. C'est à ce moment là que ma vie a basculé totalement dans la soumission. Pour exemple, Jane a commencé par créer un carnet de punition où elle note tous mes débordements, mes manquements comme se plait à dire. Un soir, elle m'a fait revêtir une chemise de nuit, m'a fait étendre sur le lit pour s'occuper de moi puis elle s'est offerte un facesitting d'enfer. Dans ma cage de chasteté je devenais fou mais c'était divin. Du tiroir de sa table de nuit, Jane a extrait son carnet de punition pour me faire lire une de mes fautes. « Lundi soir, soumis a regardé le match sans même avoir débarrassé la table ». Et là, de but en blanc, elle m'a annoncé que je ne jouirai pas et que j'aurai une semaine de cage de chasteté supplémentaire. J'étais fou, fou de rage avec ma bite si gonflée qu'elle m'arrachait presque les testicules mais j'ai accepté

 

Si mois plus tard, l'idée de prendre un amant lui ait venue. Certes nous avions fait un peu d'échangisme au début de notre mariage mais de là à prendre un amant, la marche est haute même pour un mari soumis sous cage de chasteté. Il n'est point besoin que je vous dise et explique qu'une femme décidée qui a une envie est une chose et qu'une Maîtresse c'est encore pire......

Elle m'a promis que je saurai tout, que je verrai tout et de tout me raconter puis qu'elle s'occuperait de son soumis avec plus d'intensité puis que le dit soumis aurait droit à des compensations si elle y prenait plaisir. Nous n'avions pas la même vision des choses pour les compensations ! Moi je m'étais imaginé des tas de trucs érotiques, BDSM et même que je pourrai peut-être rencontrer d'autres femmes voir même la Maîtresse avec qui elle s'encanaille sur Fessestivites.

Le grand soir, le soir de première était samedi dernier et là, je peux dire qu'elle m'a surpris de chez surpris. Jane m'a surpris par la préparation de ses idées diaboliques, elle qui d'habitude n'est pas très organisée et encore moins pour nos « jeux » érotiques, là elle s'est surpassée.

Ensuite, elle m'a surpris et particulièrement étonné par son côté diabolique pour me rendre fou jugez vous-même !

 

Sur la chaise du bureau, m'attendait une chemise de nuit en satin, un gode vibrant était posé en évidence devant l'écran de l'ordinateur. Sur son ordre j'ai du me le mettre tout seul puis m'asseoir sur le fauteuil recouvert d'une serviette éponge puis me laisser enfiler la chemise de nuit. ET là, Jane a sortie un sac que je ne connaissais pas de l'armoire. Il m'a semblé lourd et intrigué. Une paire de menottes a immobilisé mon poignet gauche sous la chaise une autre paire mon poignet droit à l'accoudoir. De ce sac elle a extrait ensuite une longue chaine froide pour m'entraver totalement les jambes et le buste à l'aide de cadenas.

Planté là sans explication, je l'ai entendue se préparer, ce qui représente un temps long non négligeable pour que je me pose mille questions et m'excite en même temps. Allez t'elle faire venir son amant à la maison et me verrait-il ainsi accoutré furent les questions qui me minaient le plus. Elle fit pire ! ! !

Une bonne heure plus tard, ma ravissante Maîtresse est revenue vers moi avec une bassine remplie d'eau congelée. De cette bassine, dépassait une cordelette qu'elle attacha à mon poignet droit semi-libre puisque seulement attaché à l'accoudoir par des menottes. ET LA elle m'expliqua ses idées diaboliques !

« Dans la bassine se trouvent les doubles des clés des cadenas et des menottes. S'il m'arrive quelque chose, tu pourras te délivrer lorsque le glaçon aura fondu. Si tu es attaché devant ton ordinateur c'est parce que je t'ai fait la promesse que tu verrais tout et même mon amant. Dans une demi-heure va sur le chat de fessestivites au salon libertin puis met-toi en absent. Quand Diabolo te demandera en privé accepte puis accepte la visio pour que tu puisses me voir en webcam. Alain a acheté pour la circonstance une cam HD grand angle pour que tu ne loupes rien. Sois sage mon chéri et si tu as des envies, je t'accorde le droit de bouger tes fesses sur ton siège pour faire plaisir à ton p'tit cul ».

Et là, Jane m'a embrassé, elle a mis en route le gode vibrant logé dans mes fesses avant de me souhaiter une bonne soirée ! ! ! (Diabolique n'est-ce pas ?)

Tant bien que mal, avec le peu de marge de manœuvre que j'avais, j'ai pu diriger la souris et me rendre sur Fessestivites et le salon indiqué. Par chance, il n'y avait personne, ils étaient tous semble-t-il regroupés en BDSM soit pour un débat soit pour une exhibition mais je ne m'y suis pas aventuré car avec la main menottée, pour écrire j'aurai eu du mal. Je n'ai pas attendu longtemps pour être contacté en privé, 15 minutes tout au plus. Lorsque la cam c'est allumée j'ai effectivement pu découvrir l'amant de ma femme, un mec d'une quarantaine d'année que j'ai trouvé aussitôt moche, baraqué mais moche. Cet enfoiré m'a fait un signe de la main puis m'a totalement ignoré.

Je peux vous dire que voir ma femme entrer dans cette chambre quelques minutes plus tard m'a énormément perturbé tout comme la voir trinquer au champagne avec ce molosse. Sans aucune hésitation, le mec est passé derrière elle pour lui masser seins à travers sa jolie robe noire. Face à la cam, ma femme me souriait. Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à me rendre fou et à m'humilier. Quand j'ai vu la main du molosse descendre vers son entrejambe puis passer sous sa robe mon sang n'a fait qu'un tour. Semble t'il décidée à se faire sauter sans tarder, elle a pris les devants en retirant prestement sa robe pour m'apparaître dans sa guêpière noire qui sembla faire de l'effet au molosse. Sans tarder lui non plus il entreprit de ce mettre nu. Prise par les cheveux, ma femme pourtant Maîtresse se laissa guider et mettre à genou devant la bite du mec qu'elle prit dans sa bouche avec un plaisir non dissimulé. Ce n'était pas la première fois que je voyais ma femme faire une pipe à un homme car nous avions déjà libertiné il y a 15 ans, mais la sentir seule avec cet homme et moi piégé à la maison me rendait dingue

Attrapée à bras de corps, Jane fut transportée sur le lit, sa culotte vola dans la pièce, ni une ni deux, il plongea la tête entre ses cuisses pour lui dévorer la minette. De par la position qu'ils avaient, la cam m'offrait une vue imprenable sur le cul du mec, cul dont je n'avais rien à foutre. Quelques minutes plus tard, Jane fut déplacée comme un vulgaire sac de patate mais sans même râler ouvrit ses jambes en V comme si elle était en manque. Le préservatif enfilé, il la prit sur le champ sans plus de préliminaire. Ses jambes maintenues par les bras du molosse, ma p'tite femme disparue presque sous son corps aussi poilu que celui d'un singe. Si elle avait envie de viril et brutal, elle était servie ! ! ! Au bout de quelques minutes, elle sembla retrouver ses esprits car le Brutus s'arrêta net pour se retirer. Jane s'installa à quatre pattes face à la cam, ce qui me fit plaisir quelque part car elle ne m'oubliait pas.

Lorsqu'il passa derrière elle pour la chevaucher à nouveau, elle m'adressa un baiser ce qui me fit bander comme un malade dans ma cage de chasteté. Mon dieu qu'elle était belle dans ses mimiques de plaisir. Au plus fort de la chevauchée, Jane agita sa tête dans tous les sens offrant à mon regard troublé les envolées de ses longs cheveux soyeux que j'aime tant caresser et sentir quand elle se laisse câliner. Besognée par le molosse, elle capitula rapidement sous le plaisir montant pour s'avachir et tendre sa croupe au Priape de chair la pourfendant. Je sus que les ébats allaient se terminer quelques moments plus tard quand le visage du Brutus se transforma en gueule de bouledogue. Couché sur le lit, sans même une attention pour ma Maîtresse, le molosse ressemblait à une vache, une vache qu'il s'offrait du champagne à même le goulot de la bouteille. Quelle honte !

Jane ne sembla pas y prêter attention mais s'occupa de son sexe ce qui me laissa songeur. Ses intentions furent soudain très claires lorsqu'elle s'approcha de la cam avec ses cheveux en bataille pour me montrer le préservatif auquel elle fit un nœud. Elle comptait me ramener son trophée ai-je pensé à ce moment là. Quel con !

Il ne lui fallut que peu de temps pour se vêtir et remettre de l'ordre dans sa tenue puis quitter le rustre à moitié endormi. Moins de vingt minutes plus tard, elle se jetait sur moi pour me dévorer de bisous et étreindre mon corps agité de soubresauts pour cause de cage de chasteté écrasée et de gode enfoncé au plus profond de mon être. Elle ouvrit ma cage de chasteté, me mit un préservatif et s'empala sur moi comme une malade. Dans l'état où j'étais, avec un gode dans le cul et après trois semaines de chasteté j'avais beau luter contre la monté de sève, dans l'incapacité de la freiner dans ses ardeurs j'ai « éclaté » en jouissance. Si j'écris « éclater » c'est parce que j'ai bien cru que l'implosais. Jane lancée dans son plaisir ne s'arrêta point et m'arracha des spasmes dingues me laissant à la limite du vertige. J'étais épuisé, mon sexe mou vidé de toute énergie ne lui servait plus à rien mais elle s'y agitait encore malmenant mon anus toujours comblé.

Et là, ma garce de femme, ma cruelle Maîtresse retira mon préservatif et y fit un nœud. Jane me planta là sans explication et revint avec mon préservatif et celui du Brutus en m'ordonnant d'ouvrir la bouche ! ! ! Je me suis totalement opposé à sa demande comprenant clairement ses intentions. Attaché comme j'étais, la lutte fut inégale surtout avec mes couilles entre ses pinces digitales décidées à les réduire en purée si je persistais. J'ai donc bu le contenu d'un seul des deux préservatifs, elle ne m'a jamais dit si c'était le mien ou celui de son amant. Jane m'a juste rappelé que les hommes aiment que les femmes boivent leur sperme et disent que c'est le nectar de la vie......

TEMOIGNAGE recueilli par TSM journaliste de Fessestivites

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Couples Cuckold et Gynarchique
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Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 08:33

Le sextoy humain encagé d'une Maitresse gynarchiste

« Je serai à vos pieds et votre sextoy si vous le désirez » ! Dire cela à une gynarchiste convaincue n'est pas sans risque.

Maîtresse K ne mélange pas ses amants et la domination. Un soumis c'est fait pour servir pas pour baiser. A ses yeux, confondre les deux c'est prendre le risque de gâcher un serviteur dévoué. Louis est donc sous cage de chasteté en 24/24 depuis qu'il est au service de sa Maîtresse, la frustration le rend fou, mais également fou d'Amour pour sa Maîtresse. Pour la satisfaire il est aujourd'hui prêt à tout et accepte toutes ses lubies, même les plus folles, les plus cruelles.

Si certaines de ses tâches sont faciles à assumer, il y en a toutefois pour lesquelles il cède par principe mais non sans mal. Nous avons vu dans les récits précédents, qu'elle n'hésite pas à s'en servir de toilette ou de papier toilette et à lui faire lécher le sperme de ses amants.....

Maîtresse K n'est pas de nature pudique, mais alors pas du tout, mais elle se complait à ne pas dévoiler son corps de rêve aux yeux de son soumis, décuplant encore sa frustration. De fait, lorsqu'il lui lèche le sexe, boit son champagne doré, Louis est systématiquement aveuglé par un bandeau ou une cagoule.

Habitué aux frasques de sa Maîtresse, soumis Louis ne s'étonne pas lorsqu'elle lui fait enfiler une tenue zentai en spandex l'aveuglant totalement. Son sourire de louve jamais rassasiée l'inquiète un peu, car elle peut être fascinante et venimeuse à la fois... Une fois aveuglé, il se laisse guider jusqu'à l'armoire de la chambre où elle le fait s'étendre avant de clore les portes.

Ce qu'il y a de merveilleux dans l'attente, c'est les pensées qui s'agitent en vous. Seul, abandonné avec sa frustration et ses interrogations, Louis se complait à imaginer perspectives érotiques mais bien loin de ce qu'il l'attend.

UNE HEURE PLUS TARD

Etendue sur son lit, après avoir lu ses messages, Maîtresse K laisse courir ses doigts finement manucurés sur son corps de rêve. Au plus elle pense à ce qu'elle va faire subir à son soumis, au plus sa vallée des plaisirs s'anime et se recouvre d'une fine rosée délicatement parfumée. Ni tenant plus, elle se lève d'un bond pour sortir Louis du placard en lui indiquant qu'il va lui servir de sextoy humain. Louis comprend le sens de ces mots lorsqu'elle entreprend de fixer un gode-ceinture à sa taille.

- Puisque ta nouille ne sert pas et que j'ai des envies, je te mets un gode-ceinture pour que tu me serves de machine à baiser !

La formulation de ce désir provoqua chez Louis une onde nouvelle de plaisir au moins imaginaire. Même par gode-ceinture interposé, il va prendre possession de ce lieu interdit dont il rêve en secret si souvent. Maîtresse K le laisse debout au bord du lit, s'étend sur le dos dans une position dès plus impudique face à son jouet humain qui ne peut la voir. L'introduction du phallus se fait sans aucune difficulté, le temple d'amour étant particulièrement désireux d'être visité. Etre aussi proche physiquement de l'intimité et des jambes de sa Maîtresse génère en Louis des sensations divines si intenses, qu'il en tremble comme une feuille.

- Allez travaille jouet, donne du plaisir à ta Maîtresse.

Avec d'infimes précautions pour ne pas la brusquer, il entreprend une série de vas-et-vient délicats dans une mélodie de muqueuses généreusement humectées. Dans sa tête c'est Hiroshima et Beyrouth dans sa cage de chasteté, son Popaul kamikaze étant prêt à imploser.

- Plus fort le jouet, plus fort et plus vite. Ordonne Maîtresse K

Ce n'est pas qu'il ne désire pas satisfaire la gourmandise de Madame, mais chaque fois qu'il s'enfonce en elle, la base du gode-ceinture lui écrase la cage qui, par vengeance, vient écraser ses testicules. (Si chaque fois que vous donnez un coup de B... vous avez l'impression de prendre un coup de pied dans les C..... cela calmerait vos ardeurs)

Furieuse après son sextoy récalcitrant à la manœuvre, Maîtresse K incendie son soumis en lui, promettant de très sévères représailles. Louis écarte les jambes pour essayer de faire « un peu de place à son service trois pièces » puis parvient avec peine à accélérer et allez plus fortement en avant pour satisfaire ses obligations. Mais il est trop tard, ne se séparant jamais de son outil pédagogique, Maîtresse K accompagne le martèlement sauvage de coups de martinet, pour l'obliger à accélérer encore tout en se comportant come une trapéziste émérite sur le gode-ceinture pour qu'il ne s'échappe point.

Louis ayant enfin trouvé le rythme désiré et la solution pour ne point se castrer, la totalité de son épiderme s'enflamme simultanément aux mouvements et à la chaleur des jambes féminines érotisant ainsi la moindre parcelle de son corps.

- Tu baises bien pour un mec encagé, continue, continue. Crie Maîtresse K au bord du vertige en titillant sa perle clitoridienne d'un second jouet vibrant.

Bien que son sexe soit inutile dans sa prison de métal, Louis est au bord de l'implosion et la jouissance. Résister, résister pour ne pas faiblir, devient son objectif sans pour autant ralentir les mouvements malgré les larmes de transpiration inondant son visage sous le spandex.

Maîtresse K est foudroyée par l'extase, les spasmes de son corps s'enchaînent. Elle geint, les yeux clos, sa tête roule en tous sens. Le calice de la volupté l'emporte mais elle n'arrête pas pour autant les vibrations de ses jouets pour prolonger le plus longtemps possible ces divines sensations.

Le sextoy humain est prestement repoussé pour être rangé dans l'armoire après quelques secondes salutaires, leur permettant de reprendre leur souffle. Le jouet humain heureux d'avoir comblé sa Maîtresse se laisse à nouveau enfermer en se demandant s'il n'a pas rêvé.

TSM

Les photos de Maîtresse K et de son jouet sont ICI

https://fessestivites.com/album/7928

La vidéo de Maîtresse K et de son jouet est ICI

https://fessestivites.com/media/5991

Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Lundi 12 novembre 1 12 /11 /Nov 18:37

Torture mentale strapon et chasteté

Maitresse K est diabolique avec son soumis. Sous cage de chasteté depuis des mois, hormis quelques pauses qu'elle lui accorde de temps en temps, Louis devient fou. Les rares fois où elle le libère pour dirons-nous, des raisons de santé, il a pour obligation de se « purger » sous ses yeux et de lécher son sperme, le sperme que beaucoup d'hommes se plaisent à faire « déguster » à leur femme.

A son retour du bureau, Louis trouve un décor et un message dès plus surprenants :

Met-toi nu

Met le gode-ceinture

Met ta cagoule

Attache-toi sur la chaise

J'ai des envies ce soir

Maitresse K


Du fond de son calçons et dans sa cage de chasteté, Louis sent bien qu'il est troublé, mais il a du mal à comprendre les objectifs de sa Maîtresse, qui chaque jour devient de plus en plus diabolique. Le jour où il lui a parlé du site fessestivites, il aurait mieux fait de se casser une jambe car elle y prend des idées particulièrement saugrenues.

En bon soumis, Louis exécute immédiatement non sans prendre la précaution de soulager sa vessie révoltée, car avec sa Maîtresse..... Une fois la dite vessie apaisée, il met donc le gode-ceinture à sa taille en se trouvant complètement débile de s'équiper ainsi au dessus de sa cage de chasteté. Il prend ensuite place sur la chaise puis s'entrave les pieds et met sa cagoule. Ses mains cherchent à l'aveugle les menottes disposées par sa Maîtresse au dos de la chaise. Les doigts tremblants, il parvient à menotter un de ses poignets mais au moment de menotter le second, le doute l'habite. (Sans jeu de mot il est encagé)

 

Louis aime bien se perdre dans des excitations sulfureuses, surtout depuis qu'il est sous cage de chasteté. Cela fait maintenant partie de lui de s'érotiser, d'exciter ses neurones, il adore ce petit plus qui tourne autour de la honte, de la frustration mais de là à s'attacher tout seul avec un gode-ceinture autour de la taille, il y a un monde.

Annick Foucault en évoquant le masochisme a dit "La mort, chez nous, est comédie, comme la peur est factice, fabriquée pour jouir" et là en l'espèce, Louis doute fort qu'il pourra jouir au sens propre. La mort dans l'âme, il ferme donc la deuxième menotte sur son poignet encore libre, s'offrant ainsi corps et âme à sa Maîtresse qui sans nul doute va le martyriser. Les minutes s'égrainent lentement, une à une pour former une heure. Le carillon de la maison lui permet de suivre le temps, le temps à attendre sans savoir à quelle sauce il sera mangé.

Trois heures plus tard, le bruit de la porte d'entrée le fait bondir dans ses liens et le tire des rêveries érotiques dans lesquelles il se complaisait à naviguer. Pas un mot n'est prononcé mais il sait qu'elle est là, il l'entend, il sent le parfum pimenté qu'il lui a offert il y a peu. Lorsqu'elle pose les mains sur lui, Louis bondit dans les liens par lui-même posés, tous les pores de sa peau sont comme des capteurs sensoriels. Troublé, ému, excité comme une puce, submergé par une envie de l'étreindre, il ne peut qu'attendre qu'elle veuille bien jouer avec lui. Maîtresse K ne tarde point, elle prend déjà place sur ses genoux et lui caresse les seins.

Sa poitrine fait l'objet d'un malaxage sans retenue et de petits pincement pendant que son sexe encagé est agacé par l'entrejambe de Maîtresse K se frottant à lui en recherche de plaisir, ajoutant par là même un peu d'acide à la confusion de ses pensés de soumis. Louis est aux abois dans sa tête et dans sa cage de chasteté.

Et là, sans aucune gêne et avec un plaisir non dissimulé, Maîtresse K s'empale sur le gode-ceinture. Pendant de longues minutes, elle s'extasie de plaisirs enivrants et bruyants, dont la mélopée diabolique crucifie Louis sur la croix de la frustration. Sous les assauts incessants de sa violeuse, il finit, malgré la souffrance intérieure, celle de ses « couilles » martyrisés et l'humiliation, par éprouver des sensations voluptueuses étranges, si vives, si bouleversantes, qu'il feule doucement. L'onde de plaisir monte dans son ventre en se disputant avec la raison car il sait qu'il n'arrivera point à l'heureuse conclusion.

Vade retro, Satana a soudain envie de hurler Louis lorsque Maîtresse K se lève pour jouer et embrasser ses testicules un instant, déclenchant en lui, des décharges électrico-érotiques de cent mille volts. Soudain, elle s'empale à nouveau, ravie et comblée de sentir son soumis à l'agonie. Dans une chevauchée fantastique, proche de Richard Wagner et John Wayne déchainé dans le fameux film culte de John Ford, Maîtresse K s'emballe jusqu'au galop final pour déguster des ondes voluptueuses traversant son corps. Sa féminité chahutée en redemande, elle repart au trop cette fois, déjà épuisée par la première déferlante.

Accrochée au cou de Louis, elle retrouve ses esprits au bout de quelques minutes, quelques minutes d'un souffle roque qui finissent d'anéantir les espoirs de Louis. Il ne jouira pas ce soir, sa maitresse est rassasiée. Abandonné avec ses espoirs déchus, il reste entravé sur sa chaise, le temps qu'elle prenne un bain salutaire.

- J'ai faim ! Indique Maîtresse K lorsqu'elle vient le libérer.

TSM

La vidéo Diabolique Maîtresse strapon et cage de chasteté est ICI

Diabolique Maîtresse strapon et cage de chasteté

Les photos Diabolique Maîtresse strapon et cage de chasteté est ICI sont ICI

https://fessestivites.com/album/7970

Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 08:20

Chasteté chaise percée champagne  

Entravé sous une chaise percée, il attend sa Maîtresse en se tortillant comme un vers de terre à même le sol sur un plaid. La cage de chasteté trop étroite pour son sexe gorgé de désir lui arrache presque les testicules tant son pénis cherche à pointer. Près de lui, le saladier contenant le gros glaçon de sécurité avec les clés de ses menottes fond lentement. Cette idée de glaçon de sécurité avec les clés vient de lui, enfin, de ses lectures sur le self bondage qu'il pratiquait avant de rencontrer SA REINE.

Maitresse Sarah cinéphile depuis des années, est incollable sur les acteurs, les metteurs en scène et origines des films. Elle sort souvent avec ses amies pour aller au cinéma en le laissant sous sa chaise percée.

Aura-t-elle envie de rentrer de suite ? Iront-elles boire un verre ou plus se demande Damien qui commence à avoir froid.

Le scénario est simple, Maitresse Sarah sort sans changer ses habitudes, son soumis entravé et encagé ne peut qu'attendre qu'elle rentre pour savoir si elle aura envie de faire pipi et de lui offrir son champagne doré. C'est souvent le cas, hormis les fois où, n'y tenant plus, elle va se soulager dans les toilettes d'une brasserie et là, c'est à la fois un soulagement et une punition pour lui. Soulagement parce que son champagne doré est parfois très salé et très fort, punition parce qu'il est souvent doux, délicieux, un véritable nectar pour soumis.

Sarah est devenue la Maîtresse de Damien depuis presque un an. Ils se sont connus au tout début de la création du réseau fessestivites lors d'un pique-nique de rencontre. Depuis, l'amour fou et SM entre eux s'est installé. Haut fonctionnaire, il ne peut sortir en club, la peur d'être reconnu le mine tant elle pourrait être fatale dans sa carrière. Il a eu la chance de sa vie lors de ce fameux pique-nique de rencontre, une des rares sorties qu'il s'est autorisée en ce monde BDSM. Il n'a pas lâché la belle Reine qui a accepté de s'occuper de lui, il a su la choyer sans pour autant l'ennuyer ni l'agresser, elle s'est laissée séduire par son charme, sa culture, son humour et surtout sa courtoisie.

Un bruit de clé dans la serrure le tire de ses songes érotiques, la lumière du salon lui fait cligner les yeux. Ma reine aura-telle envie se demande-t-il ?

- Bonsoir mon petit soumis, tu es en forme dans ta cage de chasteté à ce que je vois. Vais-je t'offrir mon champagne ?

- C'est vous qui décidez ma Reine. Lui répond Damien tout penaud.

Lorsqu'il la voit s'approcher avec son sourire ravageur et ses beaux yeux bleus d'azur pétillants de vice, il comprend aussitôt que ce soir, ce sera fête. Etendu sur le sol, la vision qu'elle lui offre debout près de lui dans la dernière robe Chanel qu'il lui a offerte est affriolante. Les longues jambes admirablement dessinées par Mère Nature conduisent ses yeux avides sous la robe où un string coquin lui fait de l'œil.

Lentement et avec toute la perversité qui la caractérise lorsqu'elle a envie de s'amuser, Sarah remonte sa robe puis, dans de sublimes et coquins déhanchements, baisse son string qu'elle jette négligemment sur sa cage de chasteté. Le frôlement du tissu le fait frémir, un frison de plaisir parcours son échine. Lorsqu'elle enjambe la chaise percée, il gémit de bonheur et en oublie aussitôt ses articulations ankylosées.

En s'abaissant sur lui, elle expose à ses yeux son jardin secret puis la fleur émotive au centre des pétales épanouis il le sait, cette situation excite sa Maîtresse. A peine s'est t'elle assise sur son visage qu'une odeur envoûtante, savamment épicée, un parfum de Déesse, indescriptiblement enchanteur encensent ses neurones.

Le nez dans le cratère camouflé par les délicieuses courbes fessières, sa bouche enveloppe aussitôt les lèvres délicates de l'intimité de sa Reine. D'infimes contractions et le plissement de la porte secrète lui indiquent que l'envie est pressante. Son merveilleux minou de princesse s'ouvre comme une fleur sur sa bouche avide pour libérer son nectar, un véritable champagne doré grand cru de par sa finesse.

Damien s'enivre des fragrances en savourant avec une indicible joie les saveurs féminines de sa Reine lorsqu'un flot goutteux et tumultueux se met à investir son gosier. Pour le convaincre davantage, si besoin était, de prendre son breuvage, elle use d'un moyen dès plus coercitif avec son soumis en lui saisissant les tétons de ses pinces tactiles. Le sentir s'agiter pour les fuir tout en consommant son champagne l'émeut, Sarah a découvert les joies et plaisirs de l'uro avec Damien, les frissons générés par cette situation la transportent aux portes du paradis des plaisirs.

Une fois soulagée, comme à son habitude, elle se lève et s'en va, laissant son soumis savourer ses effluves et une très sérieuses crise du logement dans sa cage de chasteté. Pour se libérer et la rejoindre dans la couche conjugale, il se devra d'attendre que le glaçon contenant les clés de ses menottes fonde.

Comme à son habitude, Damien se libèrera, récupèrera le caméscope et partagera les photos et la vidéo qui le rend fou avec les membres de fessestivites, le seul réseau où il se sent bien. Les photos sont issues de la vidéo, on ne voit pas leur visage.

TSM journaliste de Fessestivites.com

Les photos Chasteté chaise percée histoire de champagne

 https://fessestivites.com/album/7989

Voir la vidéo Chasteté chaise percée histoire de champagne

https://fessestivites.com/media/5235

 

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Couples Cuckold et Gynarchique
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