Lundi 23 septembre 1 23 /09 /Sep 09:46

Un site de rencontre nommé Bonheur par Erwan » 22 Sep 2013 20:29

 

SUITE


Il est 6H00 et mon réveil sonne. Il ne me réveil pas, mais il m'indique que mon temps de repos est fini. Je n'ai pas dormis de la nuit et ma journée va être longue et dur. Je me fais même la réflexion que longue et dur, je préférerais que ce soit pour autre chose. Comme prévu, je n'avance a rien aujourd'hui et le çafé est un allié précieux pour me tenir éveillé, mais il est aussi un ennemi çar mes envies d'uriner sont fréquentes ce qui m'oblige a m'arrêter trop souvent sur les aires de repos que je trouve ou les çafés qui se trouvent sur ma route. Je livre rarement en dehors du département et jamais en dehors de ma région. Et ce jour, je suis dans mon département à une quinzaine de kilomètres de chez moi et il n'est pas question de rentrer chez moi pour manger. Je trouve un petit restaurant ouvrier dans un coin relativement retranché mais qui attire beaucoup de monde. Je m'installe au bar pour un énième çafé et je reste scotché devant la fille derrière le comptoir. Ce n'est ni plus ni moins que la brune de la boite de nuit de ce week-end. Tout comme moi, elle m'a reconnue :
« - Bonjour, comment vas-tu depuis samedi?
- Bonjour ça va bien et toi ?
- Ça va. Quelle surprise de te voir ici dans mon établissement.
- C'est ton restaurant ?
- Oui, depuis 5 ans, j'ai commencé par un bar puis j'ai du faire une extension restaurant devant la demande croissante. Et le moins que je puisse dire, c'est que ça tourne très bien. Enfin, le midi, çar le soir, je n'ouvre pas le coté restaurant. Il n'y a pas assez de monde.
- Super ça. Je passe régulièrement avec mon çamion mais je n'ai jamais pris le temps de m'arrêter. D'habitude, je transite juste par ce bled pour ma tournée mais aujourd'hui j'ai du retard donc je vais manger ici.
- J'ai une table de libre là-bas, installe toi, tu trouveras le buffet froid a coté de la porte d'accès a la salle de restauration et les plats chauds proposés ce jour sont affichés partout en salle. Je te retrouve après.
- Merci à tout a l'heure.»
Elle est vraiment belle et je trouve dommage qu'elle ne connaisse pas grand-chose à mon rêve. Je repense à mon demi-aveu de samedi et j'espère qu'elle n'en fera pas allusion après mon repas. Bien qu'en retard sur mes livraisons, je prends vraiment du temps à table et le restaurant ce vide a vitesse grand V. Je reçois même un coup de téléphone du boulot pour me dire que 3 des mes 5 livraisons de fin de mâtiné sont très attendus. Ouf, une porte de sortie pour esquiver une possible discussion avec cette belle brune. Mon repas fini, je retourne régler ma note et je suis le dernier client présent. Comme prévu, elle veut orienter une discussion sur mes propos de samedi.
« - J'ai fais des recherches sur la chasteté masculine. Tu es donc un soumis ?
- Hein mais de quoi tu parle ?
- (elle fait le tour du comptoir) Réponds à ma question. Tu es soumis n'est ce pas ?
- Mais ça ne va pas non ! Combien je te dois ?
- (elle pose sa main sur mon entre-jambe et ne peu pas ne pas sentir ma çage) Tu porte toujours ta çage, c'est bien ça. Maintenant réponds, tu es soumis ?
- (je me sens piégé et je n'ai plus trop le choix) Oui, je suis soumis.
- Et ben tu vois que ce n'est pas si dur d'avouer tout. Donne-moi ton numéro de téléphone pour que je puisse t'appeler.
- Hein, non. Je ne vais pas te le donner comme ça.
- Tu préfères que je le demande à tes copains ce soir en boite en leur disant la vérité sur toi? Ils seront content de savoir que tu porte une çage de chasteté crois moi.
- Tu me fais du chantage ?
- Appel ça comme tu veux, mais vois-y ton intérêt. Je veux juste ton numéro de téléphone et je te garanti ma totale discrétion.
- Tu jure de ne rien leur dire ?
- Je te le jure oui.
- (après hésitation, je lui écris mon numéro) Tiens, et maintenant combien je te dois ?
- Je veux la voir.
- Voir quoi ?
- Ta cage de chasteté, montre la moi.
- Quoi ici la, maintenant ? (Je sens mon excitation a son maximum et ma çage me comprime fortement)
- Allez dépêche toi, je n'ai pas que ça à faire.
- Mais c'est que je n'ai pas le temps, je suis pressé...
- Raison de plus pour te dépêcher à me la montrer.
- (Je comprends que je n'ai pas trop le choix et je m'exécute) Voila, tu es satisfaite ?
- Oui et c'est très bien, ça te va a merveille et c'est très joli a voir. Bon rhabille toi et file, le repas c'est pour moi.
- Ah bah merci, c'est sympa.
- Ne me remercie pas, tu le payeras tôt ou tard.
- Quoi ? comment ça ? Que veux-tu...Eh, ne me pousse pas comme ça !!! »

Elle me met à la porte sans plus d'expliçations. Je repars et poursuis ma tournée en grande trombe pour compenser mon retard du matin. L'après-midi, je ne pense pas à cet évènement et la fatigue ne se fait pas trop ressentir. En revanche, une fois rentré dans mon petit appartement, le repas de ce midi et cette rencontre trotte dans ma tête. Je ne réussis pas à me sortir de la tête d'avoir montrer ma çage de chasteté à cette femme. Puis je me remémore le faite de lui avoir donné mon numéro alors que je me rends compte que je ne connais même pas son prénom. Beaucoup d'idées fusent dans ma tête, ça bouillonne vraiment et lorsque je regarde l'heure, je me rends compte que j'ai 25 minutes de retard sur l'horaire prévu avec TSM pour me libérer de ma chasteté. En vitesse, je me connecte et arrive sur un salon bondé de membres.
« - (TSM) Bonsoir Tom, tu es très en retard. Dois-je en conclure que tu te plais tant que ça dans ta chasteté ?
- Bonsoir Monsieur TSM. Non, ce n'est pas ça, c'est que je n'ai pas vu l'heure tourner.
- (TSM) Ton excuse n'est pas recevable. Une telle erreur de la part d'un soumis mérite une punition.
- (Clara, fidèle au poste) Je propose de le maintenir dans sa cage.
- (TSM) Oui c'est une possibilité en effet.
- (Moi) Heu non, s'il vous plait, je m'excuse vraiment du retard, et j'accepte d'être puni, mais pas d'être maintenu en cage.
- (Clara) Je ne crois pas que tu sois en mesure de dire quoi que ce soit. Un soumis se doit de respecter ses obligations et tu avais obligation de ponctualité. A partir du moment où tu as faillis, tu dois être puni et je me propose pour ta punition selon mes conditions. Qu'en dis-tu ?
- (moi) Ai-je vraiment le choix ?
- (Clara) On a toujours le choix dans la vie, mais compte tenu de ta non ponctualité, de la punition évidente que tu dois au réseau ainsi que ta recherche réelle d'une femme dominatrice pour te guider et te soumettre, reconnais que mon offre a de quoi te faire réfléchir.
- (TSM) Clara, dis nous en détails ce que tu proposes afin que notre ami puisse ce décider.
- (Clara) La semaine prochaine, il y a le week-end fessé chez toi. Tout a l'heure, tu m'as dis que Tom y sera.
- (TSM) Oui, il est inscrit. Tom, tu viens toujours la semaine prochaine ?
- (moi) Heu oui, d'ailleurs à ce sujet, j'arriverais le vendredi après-midi. J'ai ma journée et je partirais de chez moi le matin.
- (Clara) Bien, donc je propose que Tom gade sa çage jusqu'à samedi prochain ou je la lui retirerais personnellement en çam pour celles et ceux qui ne seront pas présent lors de ce week-end. Et sur la durée du week-end, je vais le prendre en main comme mon soumis.
- (TSM) Voila une proposition honnête qui ne me manque pas de faire réfléchir. Qu'en penses-tu Tom ?
- (moi) J'avoue que la proposition est très intéressante, mais je ne réussirais pas à tenir une semaine de plus dans la çage. Je vous demande grâce pour une autre punition Dame Clara.
- (Clara) Mon offre est non négociable. Ou tu acceptes tout ou rien, mais sache que TSM peu très bien choisir la même punition que moi. Et dans ton intérêt, être puni par une femme est plus agréable que par un homme. Maintenant décides toi, c'est oui ou non ?
- (moi) ....J'accepte votre offre Dame Clara.

- (Clara) Recommence ta réponse avec Maîtresse, çar tu deviens mon soumis jusqu'a la fin du week-end prochain.
- (moi) J'accepte votre offre Maîtresse Clara. (En écrivant ces mots, ma çage s'est rappelée à mon bon souvenir et mon excitation est à son apogée).
- (Clara) TSM, peux-tu m'envoyer le code de son çadenas pour que je dirige sa çage ?
- (TSM) Bien sur. Je te l'envoi en privé, mais si il a un souci, il devra te prévenir qu'il a demandé la combinaison et la raison de sa demande. Tom, de la même façon que la semaine dernière, en ças de force majeure, je me tiens à ta disposition pour te communiquer le code. Mais attention, çar cette fois, tu devras également convaincre ta Maîtresse temporaire.
- (moi) Oui, d'accord. De toutes façons, si la semaine ce passe comme celle-ci, je n'aurai pas besoin d'être libérer sauf si je deviens trop fou.
- (Clara) Ce motif n'est pas recevable, je refuserai ta libération. Un ças de force majeure, c'est plus sérieux que ça.
- (moi) Bien Maîtresse Clara. »
La suite de la conversation porte sur ma semaine écoulée sans que je ne fasse mention de l'évènement de ce midi. De rien, j'ai presque 2 Maîtresses. Une à coté de chez moi mais qui ne s'est pas encore déclaré et une déclaré mais virtuelle pour le moment et dont j'en saurais plus la semaine prochaine. En 2 mois, ma vie a totalement basculé et j'ai peine a croire ce qu'il m'arrive. Il est 22H30 et mon téléphone sonne. Ce numéro est masqué :
« - Allo ?
- Tu as bien mangé ce midi petit soumis ?
- (je rassemble mes esprits et fais le rapprochement avec la brune du restaurant) Heu oui, et encore merci pour le repas offert. C'est vraiment sympa de ta part.
- Je te retrouve ce soir en boite ?
- Je n'avais pas prévu d'y aller.
- Alors, maintenant tu l'as prévu. A tout a l'heure et ne me fais pas faux bond, çar tes copains seront très surpris de connaitre ton secret. »
Elle raccroche comme ça, sans me laisser lui répondre quoi que ce soit. Sur le salon de discussion, je poursuis mes banalités avec Maîtresse Clara et je cherche à prendre congés.
« - Maîtresse, je vais me coucher, je vous souhaite une bonne nuit.
- (Clara) Bonne nuit mon petit soumis et prends une douche froide avant de dormir, ça va te çalmer un peu. »
En éteignant mon PC, je suis honteux de mentir à ma nouvelle Maîtresse, mais je dois absolument mettre les choses au point avec cette brune avant qu'il ne soit trop tard. Elle me fait chanter et bien que ce ne soit pas trop pour me déplaire, je trouve dommage qu'elle se manifeste en même temps que ma nouvelle Maîtresse. Puis de toute façon, Clara reste du virtuel alors que la fille du restaurant, ça peut être du réel et c'est bien ce que je recherche. Je me lave, je change de tenue et je file au Repaire.
« - Salut les gars !
- (Didier)Tu es tard ce soir, on ne t'attendait plus !
- (Bruno) Ouais, on s'était fait une raison.
- (moi) Tu es sorti ce soir ?
- Ben oui, je voulais savoir si tu viendrais figure toi.
- Et je suis venu.
- Oui, mais tu as vu a quel heure ?
- Attends, c'est un procès qu'on me fait la ?
- Non, mais avoue que depuis un mois, ton comportement est très étrange. Et au nom de notre amitié, tu nous dois des expliçations.
- Oui, c'est vrai, je ne peux pas çacher que je ne suis pas très présent en ce moment. Je vous jure que je vous expliquerais tout le moment venu. Mais il n'y a rien de bien méchant. Mais je ne vous snobe pas, bien au contraire et vous restez tous mes amis et toi Bruno, mon meilleur ami. »
Ils n'en demandent pas plus et c'est tourné générale de « bière » sauf pour moi, çar je dois repartir avec ma voiture et je me propose pour être çapitaine de soirée. Bruno vient a coté de moi et me prends a par pour me parler.
« - Ecoute, je crois savoir ce qu'il t'arrive. Je garderais ton secret pour moi sans problèmes, mais confirme moi que j'ai raison.
- Que sais-tu ?
- Tu aime le SM et tu porte un objet que je qualifierais de torture sur toi.
- Qui t'a dis ça ?
- C'est vrai ou pas ?
- Oui c'est vrai. J'aime l'univers BDSM et je porte bien une çage de chasteté. Mais comment sais-tu ça ?
- D'abord, ton comportement bizarre, ensuite, Sandrine t'a vu allez dans les toilettes classique ici la semaine dernière et elle y est allée après toi, mais il n'y avait pas d'odeurs. Après, il y a cette Brune qui est totalement ton genre de fille que tu jette et qui m'a dit que tu es trop coincé dans ta çage.
- Hein, elle t'a dit quoi ?
- Mots pour mots, elle m'a dit qu'il fallait que tu te décoince dans ta çage. J'étais avec Sandrine et quand elle nous a dit ça, nous nous sommes regardés et pour nous, ça nous a parus évident.
- Et pourquoi ça ?
- Ben, en couple, nous regardons des films pornos. Et a force de chercher de la nouveauté sur internet, nous avons trouvé des sites SM dont certains mecs sont en cage de chasteté.
- Ah ! Je ne savais pas comment je pourrais l'annoncer çar tu sais, c'est délicat.
- Oui c'est clair. J'ai beau être ton meilleur ami, mais si je ne l'avais pas essayé moi-même, je t'aurai pris pour un « taré ».
- Tu veux dire que tu portes aussi une çage ?
- Mais tu réagis enfin ? wouaw quel lenteur Tom. Pourquoi crois-tu que je ne sorte plus qu'une fois par mois ? Sandrine ne m'autorise pas de faire ce que je veux et les sorties en font partis. Si je suis la ce soir, c'est qu'elle veut confirmation. Tiens, appel la, elle veut te parler. Heu je te conseil de sortir. »
Je prends le téléphone de Bruno et je lance l'appel.
« - Bonsoir Sandrine, c'est Tom.
- Comment va le soumis Tom ?
- Je tombe de haut, çar je ne m'attendais pas à tout ça. Je n'ai rien remarqué alors que vous deux si. Je ne sais plus quoi dire.
- Déjà, dis-moi pourquoi tu as mentis ?
- Comment ça ?
- Tu as dis tout a l'heure que tu allais te coucher hors, je constate que tu n'es pas prêt de le faire et que tu as mentis.
- Ne me dis pas que tu es Clara ?
- Ah ah ah, non, je ne suis pas Clara. Mais c'est sur qu'elle va te punir très sévèrement samedi prochain chez TSM. Et puis, maintenant que tu sais que je suis une dominatrice et surtout, vu que tu n'es qu'un soumis, tu n'es plus autorisé à me tutoyer en privé.
- Bien, d'accord Madame. Vous avez tout vue sur le site ?
- Oh oui, nous avons vu ton arrivée, ta mise en çage et ta lamentable punition à çause de ton retard. 15 jours sous çage de chasteté, tu vas tourner dingue mon pauvre, mais ça te servira de leçon.
- Mais vous utilisez quel comme pseudo ?
- Bruno s'appel Oxford et moi MadameS tout simplement. Tu comprendras que je me dois d'informer ta Maîtresse de ton esçapade nocturne de ce pas et que tu seras puni comme il ce doit.
- Vous la connaissez personnellement ?
- Oui, c'est une très bonne amie et nous nous appelons très régulièrement. Après ta mise en çage, lorsqu'elle m'a appelée, elle m'a dit qu'elle te trouvait à son gout et je lui ai dit que nous te connaissions bien, que tu es un gars de valeurs et de principes. Du coup, elle m'a dit qu'elle allait te proposer un essai pour devenir ta Maîtresse. Mais la, tu joues déjà avec le feu. Elle ne va pas te pardonner si facilement.
- Vous savez, je ne lui ai pas mentie, j'ai reçu un appel après ma douche pour sortir. Alors, j'ai accepté de retrouver les copains voila tout.
- D'accord, mais je lui dirais tout de même que tu es sorti si toutes fois tu ne le fais pas toi-même dès demain matin 11H00 pile. Je serais la pour vérifier et si tu n'es pas la ou que tu ne lui avoue pas, je le ferai a ta place. Est-ce clair ?
- C'est très clair Madame Sandrine.
- Bien, maintenant, tu peux t'amuser librement à moins que tu ne choisisses sagement de rentrer te reposer. Bonne nuit petit soumis.
- Bonne nuit Madame Sandrine »

Je n'en reviens pas. Bruno et son amie sont comme moi. Mais voila une expliçation au fait qu'ils ne soient pas mariés depuis tout ce temps. Et maintenant, que faire, continuer ma nuit ou rentrer dormir ? Si je reste, je vais avoir du mal à me lever demain matin alors que si je rentre, je vais encore me faire charrier par les copains sans compter la brune qui m'attends. Que faire ? Je décide de poursuivre ma nuit avec le groupe et je verrais bien au fur et à mesure.
Je retourne au Repaire puis je patiente avec les copains pour nous retrouver dans la discothèque habituelle. Dès notre arrivé, la restauratrice m'alpague et me signifie qu'elle veut me parler. A l'abri des indiscrets, elle me fait une proposition :
« - J'ai bien réfléchie à toi et ta çage de chasteté. Je ne vais pas te çacher que ça me plais énormément. Comme je me suis fortement renseigné sur ce qu'est un soumis et une dominatrice, j'ai maintenant la certitude de pouvoir t'apporter ce que tu veux d'une femme. Comme en plus tu me plais beaucoup physiquement et que c'est réciproque, il me semble donc évident que tu es d'accord pour m'obéir.
- Non, désolé. Ce qui était vrai la semaine dernière ne l'ai plus cette semaine. Je dois reconnaitre vos charmes et votre réelle çapacité à me commander mais, si j'avais eu cette certitude la semaine dernière ça aurait été plus facile. Depuis, a travers mes recherches sur internet et plus précisément, sur le site qui m'a permis de connaitre la véritable chasteté que vous savez, j'ai également trouvé ma Maîtresse.
- Ah ? et tu n'es pas avec elle en ce moment ?
- Non çar je ne l'ai pas encore rencontrée.
- Laisse-moi rire. Tu te soumets à une femme sur internet sans l'avoir vue ? C'est une blague ! Connais-tu au moins son nom ?
- Juste son prénom.
- Et elle ressemble a quoi cette « Maîtresse » ?
- Je ne l'ai pas encore vue.
- Tu te fou de moi ? Tu es le soumis d'une femme dont tu ne sais rien a par un prénom ? Si ça ce trouve, c'est un mec ta Maîtresse. Ah ah ah !
- Non, je sais qu'elle est vraiment une femme pour deux raisons.
- Ah bon et lesquelles ?
- D'abord, sur le site ou je suis inscrits, elle est certifié authentique ce qui veut dire que le webmaster l'a eu au téléphone. Ensuite, la femme de mon meilleur ami la connait personnellement et elles s'entretiennent régulièrement au téléphone. Ça me suffit pour être convaincu.
- Je suis désolée, mais pas moi. Tu ne sais même pas si elle vie par ici ou a l'autre bout de la France. Tu ne sais pas non plus si elle est mariée et donc que tu es juste un « jouet » de passage. Alors que moi, je suis la devant toi, dans ta région et proche de chez toi et que je te veux comme soumis a gérer ta çage de chasteté selon mes envies. De plus, je suis célibataire et que si tout ce passait bien entre nous, il y a une très large possibilité d'envisager un avenir ensemble.
- Désolé, mais je me suis engagé avec elle et je tiens à respecter ma parole. Vos arguments sont bons et je ne perds pas de vu votre offre. Si ça ne convient pas avec ma Maîtresse, alors je saurais vous retrouver.
- Ah mais ça ne marche pas comme ça. Je ne vais attendre gentiment qu'un soumis daigne m'accorder le droit de le commander. Je ne suis pas un bouche trou pour soumis en manque de domination. Tu choisis vite çar mon offre tient jusqu'à la fermeture de la boite, après il sera trop tard ! A la fermeture, tu viens ici me donner ta décision finale et définitive. »
Elle met un terme a la conversation et pars retrouver des copines. De mon coté, je vais retrouver Bruno qui m'a vu partir avec cette fille.
« - Tu vois qu'elle te plait cette brunette. Mais elle est partie furieuse. Tu veux en parler ?
- Oui, puisque tu sais tout, je te dois une véritable expliçation. Mais pas ici, pas maintenant. Tu sauras tout lorsque nous serons chez moi.
- Pas de soucis, j'ai hâte de savoir. Mais pour le moment amusons nous. Tu veux une bière ?
- Non, je vais être çapitaine ce soir...
- Ah ah ah... »
Je suis soulagé que Bruno sache mon secret çar je me sentais mal de lui mentir. Mais il savait déjà tout lorsqu'il m'a questionné la semaine dernière et j'apprécie beaucoup sa discrétion. Il aurait très bien pu me dire qu'il savait tout et me mettre mal a l'aise, mais il a préféré attendre le bon moment pour le faire. L'after ce finit et Bruno de son coté, moi du mien, raccompagnons nos amis chez eux puis nous nous retrouvons en bas de mon immeuble pour cette discussion que je lui dois. Devant un énième çafé chaud, Bruno me montre enfin sa vie de soumis :
« - (Bruno baisse son pantalon tout en gardant son sous-vêtement) Tu vois, tu n'es pas le seul à porter une çage de chasteté.
- Je n'en reviens pas. Ça fait combien de temps que vous êtes ensembles avec Sandrine ?
- Ça date de la terminale au lycée soit plus de 10 ans et ça fait 8 ans que nous vivons ensembles.
- Et tu es son soumis depuis quand ?
- Ça fait 7 ans que je lui appartiens. Comme elle a due te le dire, un soir sur un site que nous ne fréquentons plus, un couple nous a proposé une soirée. Eux sont SM alors que nous, juste des amoureux a ce moment la.
- Elle ne m'en a pas parlé.
- D'accord, alors comme je te l'ai dis, nous sommes allez chez eux après plusieurs contactes très sympa. Sandrine voulait découvrir le SM avec elle qui est une femme au çaractère très fort. Lors de la soirée, ils nous ont tout montré de ce qui fait leur vie et nous en avons gardé de très forts souvenirs. Lorsque nous sommes rentrés, Sandrine m'a demandé si j'étais d'accord pour essayer nous aussi. Comme tu connais son bon çaractère, il nous a semblé tout naturel qu'elle soit la dominatrice et que je lui obéisse.
- Oui, le contraire aurait été surprenant.
- Très vite elle prit le contrôle total a la maison et elle n'a plus rien laissé au hasard. Elle m'a mise en çage ou je ne suis libéré que lorsqu'elle veut un câlin et encore, il lui arrive qu'elle ne veuille pas me libérer et que je doive lui faire plaisir au détriment du mien.
- Woua la vache. Je ne l'imaginais pas comme ça.
- Et comme nous en sommes aux confidences, je dois te dire qu'elle a modifié mes tenues vestimentaires aussi.
- Que veux-tu dire ?
- Si pour sortir je suis Bruno, a la maison, je suis très régulièrement en tenu de femme. Des sous-vêtements aux vêtements. Pour finir donc, il va de soit qu'elle ne fait rien a la maison dans l'entretien, je suis chargé de tout mettre en œuvre pour avoir une maison propre et rangée.
- Et tu aimes ça ?
- Oh oui, pour rien au monde je ne changerais ma vie pour être un « vanille ».
- Et ben si je m'attendais a ça. Mais pour moi, tu m'as découvert sur Fessestivites donc.
- Oui, nous t'avons vu arriver et un pseudo soum-Tom sur le département, ça nous a attiré direct. Dès que nous avons lu que tu allais te faire ençager par le site, nous avons voulus savoir si c'était toi ou un autre.
- Tu as lu mon département ?
- Ben oui, c'est écrit sur ta fiche perso.
- Ah, mais je ne savais pas. Je vais pouvoir savoir un truc alors.
- Que veux-tu savoir ?
- Dans quel département vie Clara.
- Je peux te répondre si tu veux.
- Mais oui, tu la connais vu que Sandrine l'appelle très souvent.
- Oui nous la connaissons et nous l'avons vue. Ta Maîtresse habite le département, mais ne m'en demande pas plus. J'ai reçu l'ordre de ne pas en dire plus et c'est à toi de découvrir la suite.
- Allez Bruno, c'est entre nous.
- Non, n'insiste pas.
- Tu peux au moins me dire si vous serez présents le week-end prochain.
- Oui, ça je peux te le dire et nous n'y serons pas. Tu y vas comment ?
- J'y vais en voiture dès vendredi çar j'ai pris ma journée.
- Tu ne seras pas déçu par Vauvert et par TSM. C'est un mec génial. Je te garanti que tu vas bien t'amuser.
- J'espère, çar c'est pour ça que j'y vais. N'empêche que c'est vraiment bizarre la vie. On passe son temps à ce çaché des autres alors que tu vois, tu as la même vie que celle dont je rêve.
- Oui c'est vrai, mais crois moi, nous sommes une exception dans ce monde. Très souvent les gens ont peur du BDSM çar ils nous traitent de fous. Crois-moi, continu à vivre ta passion pour toi et tu gagneras ton temps. Bon il est largement l'heure pour moi de rentrer çar Sandrine doit être levé et je crois savoir que tu dois une expliçation à ta Maîtresse.
- Pourquoi il est quelle heure ?
- Il est 10H45 et tu as jusqu'à quelle heure pour t'expliquer ?
- Heu 11H00. Mais que le temps passe vite entre potes.
- Oui c'est vrai. Allez, je te laisse avant d'être puni. A tout a l'heure sur le site.
- A tout a l'heure Oxford. »

J'allume rapidement mon Pc et me connecte à Fessestivites. Dès mon arrivé, Sandrine m'accueille et me demande si Bruno a décidé de rentrer. Je lui assure son départ et de mon coté j'attends l'arrivé de ma Maîtresse. Pendant ce temps, je discute avec la femme de mon meilleur ami que je ne connais finalement pas si bien que ça. J'en apprends plus sur Bruno et Sandrine en 24H00 que depuis plus de 10 ans et je trouve, pour le coup, beaucoup d'expliçation à leur situation de vie. Pourquoi ils ne sont pas mariés, pourquoi ils n'ont pas d'enfants, pourquoi Bruno sort si peu,...Tout est parfaitement clair maintenant. L'heure avance et je suis très fatigué. Clara n'est toujours pas connecté et Sandrine ne me permet pas de quitter le site tant qu'expliçations ne sera pas rendu a ma Maîtresse. Je finis par piquer du nez devant mon PC et un message privé me réveil. Il est 13H35:

« - Bonjour mon soumis, je t'écoute.
- Bonjour Maîtresse Clara, voila, je vous dois une expliçation çar hier soir, je devais aller me coucher après avoir quitté le salon de discussion mais a la sortie de ma douche, un coup de téléphone d'un copain m'a proposé une sortie nocturne que j'ai accepté.
- Un copain dis-tu ?
- Oui Maîtresse, un copain. Pour le coup, je ne vous ai pas demandé la permission et je suis sorti toute la nuit.
- Tu commence mal ta soumission envers moi. Je vais réfléchir à une punition pour m'avoir mentie.
- Mais je ne vous ai pas menti Maîtresse. Je vous...
- Silence Tom ! Je ne veux rien savoir de plus. Tu vas te présenter chez mon amie MadameS puisse que tu sais maintenant qui elle est. Elle aura des consignes pour te punir et te corriger. Tu n'as pas ressenti le besoin de dormir cette nuit, donc tu es en forme pour la journée. Prépare dans un sac une tenue de sport.
- Maîtresse, me permettez-vous une remarque ?
- Non, je continue. Sandrine va te garder éveillé jusqu'à ce soir ou tu remplaceras ton meilleur ami. Ménage, vaisselle, repas et service pour tes amis te serviront de leçon. Tu ne pourras manger qu'à ton retour chez toi sans doute tard dans la soirée. Je sais qu'il te faut 15 minutes pour être chez eux, tu en as donc que 20 pour te préparer, et te rendre a leur domicile. Sandrine m'avertira a ton arrivé. »

Autorisé à partir, je prends vite fait mes affaires et je file chez Sandrine et Bruno. Arrivé a destination, Bruno m'accueil avec une tenue cliché SM comme j'en ai vu sur internet. Il est tout de cuir et d'artifice digne d'un soumis avec pour clore la tenue un magnifique collier. Il me dit juste « suis-moi » et m'oriente vers sa Maîtresse qui est au téléphone.
« - Il vient d'arriver. (....) Oui il est à l'heure. (....) Ok, je m'occupe de tout, pas de soucis, je fais ça. »
Elle raccroche et je devine aisément son interlocutrice. Très vite, Sandrine me donne les ordres à suivre et l'ordre chronologique des étapes. Je dois nettoyer leurs 2 voitures de fond en combles, intérieur et extérieur, La cuisine en prenant soin de déplacer certains meubles et je dois fini par déçaper le four.

Dans la foulée, je dois préparer le repas pour 2 personnes puis je dois assurer le service. Après le repas, je dois débarrasser et nettoyé la table puis je fais toute la vaisselle a la main plus tout ce qui est dans le lave-vaisselle sans oublier de l'essuyer et de la ranger. Avec ma nuit blanche, je suis au bout du rouleau, mais pourtant, je n'en ai pas fini. Il est 20H30 et Sandrine veut prendre un bain. Mais comme tout est trop facile, elle me fait nettoyer la salle de bain de fond en comble y comprit la baignoire. Une fois fini, Je sors pour nettoyer et ranger une chambre que je ne connaissais pas. Il faut dire qu'ils l'ont toujours présenté comme un débarras. De débarras, il s'agit en faite du leur donjon et je ramasse plein d'ustensile que je connais bien sans en avoir vu la moitié autre part que sur internet. A peine fini, je dois à nouveau lavé la baignoire après le bain parfumé de Dame Sandrine. 22H15 et coup de téléphone de ma Maîtresse. Pendant que je sers le thé et que je me tiens aux pieds de Sandrine, je l'entends tout expliquer à ma Maîtresse dans les moindres détails. Elles passent plus d'une heure et demie et quand enfin elle raccroche, c'est pour m'accorder le droit de préparer son lit. Il est minuit et j'ai enfin le droit de rentrer chez moi pour manger mais plutôt pour dormir. Maîtresse Clara m'a fait payer cher ma viré nocturne sans en avoir reçu le droit. A peine passé le seuil de ma porte que je m'affale sur mon lit et plonge dans un très profond sommeil.
Ce dimanche, je suis vaseux dans mon appart et je n'ai envie de rien faire. Je me connecte malgré tout çar sinon, je pourrais frôler l'incident vis-à-vis de Clara. Mais, bien que connecté de 11H00 à 21H30, je n'ai vu personne. Ni ma Maîtresse, ni Sandrine ou Bruno.

Lundi reprise du travail et je reçois un texto en milieu de matinée: « Ce n'est pas parce que tu m'as snobé en boite que je t'ai oublié. Tu es lâche et tu aurais pu venir me dire en face ta réponse comme prévu çar je t'ai attendu. Si tu en as le courage, vient me le dire en face, tu sais ou me trouver. Sinon, je m'arrangerais pour te faire une belle réputation auprès de tes copains et des gérants de la boite ».
Mince, je l'avais complètement oublié celle-là. Je crois que je vais devoir mettre les choses au point une fois pour toute et je décide d'aller manger a son restaurant ce midi. L'heure du repas arrive et je n'ai pas spécialement envi de la voir. Pourtant il faut lui expliquer que j'ai ma Maîtresse et qu'elle vie sur le département aussi et donc, qu'elle s'est manifesté un brin trop tard. En entrant, je la salue normalement, elle me signifie une table et je déjeune sans nous parler vraiment. Une fois mon repas fini, je retourne vers elle et comme son établissement est comble, elle me propose de venir dans une pièce à l'abri des oreilles indiscrètes.

« - Je t'ai attendue l'autre soir. Tu m'as snobé et il n'y a pas de quoi être fier.
- Excuse-moi, mais je te jure que je n'ai pas voulu te snober. Je t'ai tout simplement oublié çar j'ai du redéposer des amis chez eux. Mais de toute façon, ma réponse n'a pas changé, tu es vraiment tout ce que je rêve chez une femme et encore plus chez une Maîtresse, mais j'ai déjà donné mon accord a une autre femme. Je suis quelqu'un de respectueux et fidèle et je suis désolé de t'avoir fait croire que je pouvais être à toi.
- J'apprécie beaucoup ta fidélité. C'est rare de voir un homme ne pas profiter de la situation pour avoir 2 femmes.
- Tu exagères la. Franchement, certains hommes sont peut être faible, mais il y en a des biens et c'est aussi valable chez les femmes.
- Si tu veux. En attendant, je n'ai pas vue beaucoup de mecs fidèles jusqu'à présents. Pour moi, tu es un ças unique dans ce que j'ai vécue jusqu'à présent alors, ne m'en veux pas d'avoir insisté pour t'avoir a moi plutôt que de te voir ou te savoir avec une autre.
- Je ne sais pas quoi dire çar je ne me sens pas différent des autres. Je peux te jurer que mes amis ont la même mentalité et la même façon de faire avec les femmes que moi. nous en parlons souvent et nous mettons un point d'orgueil à notre fidélité.
- Peut-être, mes tes amis ne sont pas des soumis et sans leur faire injure, ils ne sont pas aussi mignon que toi.
- Mais tu ne savais même pas ce qu'était un soumis avant de me rencontrer.
- Qu'en sais-tu ? Ne crois-tu pas que je t'ai dis ce que tu voulais entendre ou que tu as entendu ce qui t'arrangeais ?
- Comment ça ?
- Quand tu m'as avoué porter une çage de chasteté, souviens toi ce que je t'ai dis.
- Ben que tu ne savais pas ce que c'était.
- Faux ! Tu m'as dis que ça faisait parti d'un univers que tu aimes. Je t'ai demandé quel univers pour que tu me confirmes ce que j'espérais mais tu as coupé court et tu as fuis. Je voulais que tu me dises quel univers t'attire afin d'être sur de ne pas rêver ou de ne pas me faire une fausse idée. J'ai due te tirer les vers du nez pour savoir et c'est la que tu me dis trop tard. Avoue que c'est fort tout de même. Quand tu m'as avoué le port de ta çage, j'ai pensé à deux choses. Premièrement, que tu es un soumis qui aime le SM et deuxièmement que tu as une Maîtresse. Mais pour ce deuxième point, j'ai vite réfléchie en pensant qu'un soumis en çage ne va pas en discothèque draguer comme il veut. Donc je savais avoir une chance avec toi. Et quand je me déclare, tu me dis que tu jouais sur deux tableaux et que tu as fait ton choix. Excuse-moi de penser que tu te jette trop vite dans les bras de cette autre femme sans rien savoir d'elle en plus. La seule chose qui t'honore a mes yeux, c'est ta fidélité dans ton engagement.

- Je n'ai jamais menti et encore moins joué sur plusieurs tableaux. Entre nous, il y a eu un malentendu manifeste et j'en suis vraiment désolé çar à l'heure actuelle, tu serais probablement ma Maîtresse. Maintenant, les choses ont évolué à grande vitesse et si il est vrai que je me suis fais surprendre, je n'ai jamais triché. Tu reconnais que tu aurais due te manifester plus vite et je reconnais que je ne t'ai pas donné ta chance. Voila, c'est comme ça et pour l'heure, je suis engagé moralement avec ma Maîtresse. Comme je te l'ai déjà proposé, si ça ne marche pas, tu en seras la première avertie et tu choisiras si tu me donne une chance. »

Nous avons fini par nous dire que nous allons restés bons amis et qu'après mon week-end, j'en saurais plus sur ma Maîtresse. Ça demande une semaine d'attente et ma belle restauratrice, qui m'a enfin donné son prénom (Marion), m'a dit qu'elle allait m'appeler dès le lundi suivant pour savoir si je suis vraiment à Clara ou si je suis libre.
Je passe le reste de ma semaine à manger tous les midis chez Marion. Je passe également toutes mes nuits à souffrir çar ma chasteté maitrisée me fait vraiment souffrir. Je n'en peux plus et je prie pour ma libération rapide, mais rien n'est possible sans connaitre ce code. Je tente quelques combinaisons mais sans succès. Mes nuits sont longues et jeudi midi, Marion me fais remarquer que j'ai d'énormes cernes sous les yeux. Elle rigole de mon état et me fais plusieurs clin d'œil a ce qu'elle veut pour moi. Une véritable complicité est née entre nous. Je me pose même la question vis-à-vis de Clara. Vais-je réussir à lui donner sa chance? J'ai même le sentiment de la tromper indirectement avec Marion et ce n'est pas nos conversations sur Fessestivites qui remplace une présence physique. J'ai pourtant essayé de la rencontrée avant le week-end fessé chez TSM mais elle m'a dit que je devais apprendre la patience et que je devais savoir mériter ma première rencontre avec ma Maîtresse. Avec le soutien de Sandrine et de TSM, je comprends vite que ma première rencontre physique avec Clara se fera lors du week-end fessé.

Le jeudi soir sur le chat salon de discussion, Je demande congé très tôt pour gagner du repos en vu de la très longue route qui m'attend pour me rendre dans le sud de la France. Il est 21H30, je coupe ma connexion et je termine mon sac de voyage. Toutes mes affaires sont prêtes pour demain donc je vais dormir. Je suis réveillé par mon réveil et ma première remarque, c'est que j'ai dormis le plus normalement pour la première fois depuis 15 jours. Pas une douleur liée à ma çage n'a interrompu mon sommeil et je suis relativement surpris. Mais je passe outre cette nuit surprenante et je finis de me préparer. Il est 7H30 et hop, en voiture pour un très long voyage. Ma journée est vraiment longue et mes arrêts pour mes envies naturels me dérangent çar j'ai le sentiment de perdre vraiment du temps. J'ai une idée farfelue et je demande conseils.
« - Allo Bruno, c'est Tom.
- Salut Tom que puis-je pour toi ?
- Je suis sur la route depuis ce matin et mes arrêts pipis sont trop fréquents à mon gout. C'est vrai que je bois un peu plus de çafé qu'à l'habitude, mais la, c'est vraiment trop d'arrêts. Comment fais tu lorsque tu vas chez TSM ?
- Sandrine me met des couches.
- QUOI ? tu es sérieux ? ça existe ça pour les adultes ?
- Oui, je suis très sérieux. Sandrine me met une couche et ce qu'elle appel un insert à savoir une couche droite traversable.
- Et tu trouve ça ou ?
- Dans des magasins spécialisés ou supermarché. Mais je te conseils les magasins spécialisés çar les couches sont de meilleures qualités. Tu es ou la ?
- J'en suis a mi parcourt a hauteur de Vierzon.
- Attends je regarde sur le net. »
Grace a internet, il me donne une adresse d'un magasin spécialisé qui ce trouve a 10 kilomètres de l'endroit ou je suis. J'hésite fortement à y aller mais une nouvelle envie pressante se fait sentir et ça finit de me convaincre. Je me détourne de ma route et me dirige vers ce magasin. Devant la boutique, je marque un temps d'arrêt et je finis par rentrer. Je tombe sur une demoiselle ou une jeune femme
« - Bonjour Monsieur, que puis-je pour vous ?
- Bonjour, je voudrais acheter des couches.
- Des couches ?
- Oui, des couches pour adultes.
- Vous voulez dire des changes complets.
- Pourquoi, il y a une différence ?
- Monsieur, les couches c'est ce que portent les enfants, pour les adultes, ont appel ça des changes complets ou protections anatomiques. Quels soucis avez-vous ?
- C'est pour voyager tranquillement.
- Pardon ?
- (Je me rends compte que j'ai dis une belle « connerie ») Oui, c'est juste pour ne pas a avoir à m'arrêter pendant mon très long voyage.
- (Elle me regarde bizarrement) Je suppose que vous voulez une absorption maximale.
- Heu oui la plus forte.
- Alors, je vous conseille ces changes complets qui vont vous satisfaire pour votre voyage.
- (Je regarde honteusement le paquet) Ça fait très couche tout de même.
- Oui, c'est vrai. Mais avec ça, vous n'aurez pas de soucis de fuites.
- Avez-vous aussi des couches droites traversables pour mettre dedans afin d'augmenter la çapacité d'absorption?
- Oui, nous avons ça. Je vous mets un paquet aussi ?
- Heu oui s'il vous plait. »
Je règle mes achats et avant de sortir j'ai deux questions qui me trottent dans la tête.
« - Pouvez-vous me conseiller pour les mettre de la meilleur façon possible ?
- Vous allez les mettre debout ou allongé ?
- Ben je n'ai pas pensé à ça, je ne sais même pas ou les mettre. Avez-vous un endroit ou je puisse m'équiper ?
- Je vous propose les toilettes mais vous devrez mettre votre change debout. Pour ce faire, vous devrez procéder ainsi (elle me montre sur elle, tout en restant habillé, la méthode en sortant une couche de mon paquet et en la dépliant)
- Wouaw, c'est énorme une fois déplié.
- Bien sur, vous vous attendiez à quoi ?
- Ben je ne sais pas, mais c'est vraiment imposant. »

Je prends la couche sortie et sors un insert du paquet. Je file dans les toilettes et m'équipe suivant la méthode de la vendeuse. Une fois la couche en place, je me regarde et une grosse honte m'envahie à nouveau. Je remonte mon pantalon mais il à beaucoup de mal a monter du faite de l'épaisseur. En revanche, une fois le pantalon monté, il ferme plutôt facilement comparé a la difficulté pour le monté jusqu'à mes hanches. Je sors des sanitaires, rouge pivoine et la vendeuse me scrute.
« - Oui, ça doit ce voir que je porte une couche.
- Non Monsieur, pas tant que ça. C'est vrai que c'est une impression normale, mais à part un derrière légèrement plus prononcé, nul ne peut deviner que vous portez une couche. Vous pouvez vous voir grâce au miroir là-bas.
- Oui merci (Je m'admire sur toutes les coutures et en effet, c'est relativement discret). Merci beaucoup et au revoir
- Monsieur, n'oubliez pas vos paquets.
- Heu oui merci. »

Je récupère mes deux paquets de couches et je reprends ma route. Bilan des opérations, 35 minutes de perdue et une petite somme non négligeable en moins dans mon budget. Ce n'est pas donné les couches pour adultes, mais au moins avec ça, je peux poursuivre ma route sans avoir d'arrêt à faire. Comme prévu, ma première envie de faire arrive et je ne m'arrête pas. Je vais pouvoir tester ma nouvelle acquisition mais malgré mon envie, je ne réussis pas à me libérer. L'envie est la mais impossible de faire dans la couche. Après 15-20 minutes de tentative, le liquide sort en envahie le devant de ma couche enfin. Mon premier réflexe est de mettre une main sur le devant de mon pantalon et rien, c'est totalement sec. J'arbore un large sourire çar je sais que je vais pouvoir continuer sans problèmes maintenant. Je trouve également la sensation du liquide qui coule dans la couche relativement agréable et je me fais peur de ressentir cette sensation.
Les heures passent et les kilomètres défilent bien. Je suis à moins d'une centaine de kilomètres du but et il est grand temps que j'arrive çar je ressens une fatigue importante. On ne fait pas 850-900 kilomètres sans conséquences. Et la, je suis vraiment marqué. Je m'équipe de mon oreillette et je donne des nouvelles rassurantes a mon hôte sur mon avancé et le temps qu'il me reste avant mon arrivé. Il me rappel un détail a mon arrivé pour ne pas louper sa maison et je lui signifie que ça va aller. Les derniers kilomètres sont interminables mais je finis par voir le panneau d'entré de commune Vauvert. Je m'arrête sur un parking et je relis le plan. Si vous voyez la pançarte d'entré de commune de Vauvert, faites demi-tour et venez chercher vos coups de cravaches. Bon, j'ai gagné le gros lot on dirait. Je rebrousse chemin et arrive enfin à destination.

« - Bonjour Tom et bienvenu
- Bonjour Monsieur TSM.
- Tu as fais bonne route ?
- Oui, bien qu'un peu long, mais ça a été. Je me suis juste trompé en arrivant.
- Oui je t'ai vu passé. Tu as gagné une récompense prévu dans ce ças de figure.
- J'en ai bien peur.
- Bon, sors tes affaires, je vais te montrer l'endroit ou ta vas pouvoir planter ta tente pour la nuit. »
J'ouvre mon coffre en oubliant totalement mon achat en cours de trajet.
« - Veux-tu un coup de main pour t'installer ?
- Oh ben oui, ce n'est pas de refus.
- (J'ouvre mon coffre) Et bien, je vois qu'on a prit ces préçautions.
- Heu ce n'est pas ce que vous croyez.
- Mais ne t'inquiète pas, il m'arrive également de porter des couches. Ce n'est pas tabou ici. Mais je pense que ça fera plaisir a ta Maîtresse quand elle saura ça.
- Vous êtes obligé de lui dire ?
- Non, mais de toute façon, elle le verra.
- Pas si on ne lui dit rien.
- Tu vas le çacher à ta Maîtresse ? Je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée. Connaissant Clara, il vaut mieux jouer franc jeu avec elle.
- Vous croyez ?
- Oh oui, j'en suis persuadé. Et puis, sur notre réseau, les couches on toute leur place. Donc elle ne sera pas choquée d'apprendre que tu en as porté pour rouler tranquille. Bien maintenant, allons voir les autres membres qui sont déjà arrivés pour que je te présente. »

Sur une pelouse de bonne taille, plusieurs tentes sont déjà plantées et je rencontre enfin certaines personnes avec lesquelles j'ai déjà conversé grâce au site. Une grosse timidité m'envahie lorsque je salue tous mes amis virtuel devenu bien réels. TSM m'indique une place et je m'installe. J'ai une tente rapide a monté ce qui me permet de l'installer sans aide. Le webmaster prend congé alors qu'un membre me tient la conversation pour faire connaissance. Une fois ma tente en place, je regarde un peu partout quand tout à coup, je marque un gros temps d'arrêt. A coté d'une tente, deux femmes discutent et l'une d'elle semble être Marion. Mais c'est impossible que ce soit elle. Que ferai-t-elle ici ? Je ne peux m'empêcher de m'approcher doucement pour confirmer qu'il s'agisse bien d'elle. Plus je m'approche, et moins le doute est permis, c'est elle.

« - Bonsoir Marion, que fais tu la ?
- Ah salut Tom. Et toi, que fais tu la ?
- Ben je viens participer au week-end.
- Et il ne t'est pas venu à l'esprit que je suis ici pour la même chose ?
- Ben oui forcement, mais je ne savais pas que tu étais membre de Fessestivites.
- Parce qu'une fois de plus, tu ne m'as pas demandé.
- Oui c'est vrai. Mais tu savais bien que j'étais membre pourtant, non ?
- Oui, bien sur.
- Attends, ça veut dire que lorsque je t'ai avoué mon port de çage, tu savais très bien ce que je portais.
- C'est encore exact. Continu, tu n'es plus très loin.
- Quoi ?
- Continu de réfléchir, tu vas y arriver.
- Non, ne me dis pas que...
- Que quoi petit soumis ?
- ...tu es Clara ?
- Enfin tu fais le lien. Et ben, il t'en aura fallu du temps. Pourtant, avec les indices que t'ont donnés Sandrine et Bruno, tu aurais du faire le rapprochement plus vite. Mais ça m'a fait rire de te laisser dans cette situation. Et puis, ça m'a permis de savoir a quel point tu es fidèle et je t'en félicite. J'espère que tu n'es pas déçu de me voir enfin ?
- Heu non je dois t'avouer...heu vous avouer...Je ne sais même pas si je dois tutoyer ou vouvoyer.
- Tu peux me tutoyer dans le quotidien. Tu me vouvoieras lors de nos séances ou nos jeux.
- D'accord. Donc, je dois t'avouer que j'espérais fortement que Clara te ressemble trait pour trait çar durant la semaine, j'ai senti une forte complicité naitre entre nous. J'ai même eu honte de cette sensation çar j'avais l'impression de tromper Clara.
- J'ai laissé cette complicité s'installer çar je voulais vraiment qu'on s'amuse ce week-end. Maintenant que tu sais qui je suis, nous allons vraiment bien nous amuser.
- Dis moi, est ce que je peux ?
- Tu peux quoi ?
- ...T'embrasser
- Bien sur gros nigaud. Ça m'a manqué aussi durant les 15 jours ou j'aurai pu tout te dire. »
J'étais enfin devant celle dont je rêvais secrètement. Celle que j'ai toujours attendu et cette fois, elle est bien réelle. Elle pose ses mains sur mes fesses et me lance une remarque inévitable.
« - Tu as un derrière bien rembourré. Baisse ton pantalon !
- Pas devant tout le monde
- Tu es ici pour un week-end fessé. Tu vas donc prendre des fessés a cotés de toutes les soumises et tous les soumis. Tu penses bien que la fessée se fera cul nu donc pas de pudeur. Maintenant enlève moi ton pantalon. »
Imparable ! Je ne peux qu'admettre qu'elle a raison et la tête basse, je baisse mon pantalon pour lui montrer ce que je porte.
« - Oh le grand bébé. Qu'il est mignon dans sa couche.
- Non, ce n'est pas ce que tu crois.
- Mais je ne crois rien, je constate. Tu porte une couche qui est souillée devant.
- Oui mais c'est juste parce que sur la route...
- Chutttt !! Ne te justifie pas. Tu porte des couches et ça ne me dérange absolument pas. Je vais réfléchir à tout ça le moment venu mais pour l'heure, je t'interdis de l'enlever et même de remettre ton pantalon.
- Non s'il te plait, pas la couche à l'air.
- Il va falloir t'y faire, tu ne feras plus ce que tu veux, mais bien ce que je veux. N'est ce pas ce dont tu rêves depuis toujours ?
- Oui bien sur mais...
- Alors obéis. Je ne veux pas te voir avec le pantalon remis. Arbore fièrement ta couche souillée. Tu es un pissou et puis c'est tout. »

Je ressens un mélange de honte et de soulagement. Honte çar montrer une couche sale devant tout le monde, ce n'est pas évident la première fois. Soulagement çar ma Maîtresse est exactement comme mes rêves les plus fous ou mes fantasmes me l'auraient laissé pensé. Je lui obéis aveuglement et je suis déjà très fier de lui appartenir. Il est 20H00 et TSM nous abandonne le temps d'aller chercher des membres à l'aéroport. De notre coté, une grosse ambiance de fête s'installe et personne ne prête vraiment attention a mon exhibition couche. Ça me rassure vraiment çar pour ma première fois, je n'en mène pas large. Un des membres présents alimente le barbecue et je me propose de l'aider.

« - Tu as besoin d'aide ?
- Non merci, va ira. Mais si tu veux te rendre utile, va me chercher les barquettes qui sont là-bas.
- Ok, j'y vais. (de retour) Tu es un soumis toi aussi ?
- Non pas vraiment.
- Oh pardon.
- Ne t'inquiète pas, ça viendra tranquillement.
- Tu sais combien de personnes seront présents pour ce week-end ?
- Si c'est comme d'habitude, on peu compter une vingtaine de personnes.
- Ah oui quand même ?
- Et oui, c'est un sacré réseau. C'est ta première fois ?
- Oui, je m'appel Tom.
- C'est toi qui s'es fait encager en cam il y a 15 jours non ?
- Oui c'est moi.
- Je n'ai pas pu voir ta libération.
- Ben elle n'a pas eu lieu encore.
- Tu la porte encore sous ta couche ?
- Heu oui et normalement, je dois être libéré ce soir ou demain ici.
- Ah d'accord. Finalement, je n'ai rien loupé et c'est tant mieux.
- Pour quoi tant mieux ?
- J'aime bien voir les soumises et soumis en mauvaise posture jusqu'au bout. Et le faite de ne pas avoir vu ta libération était dommage, donc j'ai le droit a un sursit et je m'en réjouis.
Le repas a pris le temps de doré au rythme de la braise et TSM est revenu avec d'autres convives que je n'ai pas encore eu le temps de voir. Je me rapproche de ma Maîtresse, mais je ne la vois pas. Peut être dans la maison ? Je décide d'aller voir et nouvelle stupeur.
« - Bonsoir Madame Sandrine, je croyais que vous ne deviez pas venir ?
- Bonsoir Tom. Tu ne crois pas que nous allions te prévenir ? Ça aurait éveillé tes soupçons vis-à-vis de ta Maîtresse.
- Vous aviez tout prévu.
- Oh oui et ça nous a bien amusé.
- Bruno est la aussi ?
- Bien sur, tu ne crois pas que j'allais le laisser alors qu'il va prendre sévère ici.
- Oui, je me disais bien que ça aurait été surprenant.
- (Bruno) Bonsoir Tom
- Salut mon ami. Je suis très content de te voir ici. Au moins, avec vous je me sentirais moins seul. Et ce week-end sera plus facile.
- Ne crois pas que nous allons a une partie de pèche. Certes nous allons nous amuser, mais ce sont surtout les dominantes et dominants qui vont rigoler.
- (TSM) C'est l'heure de l'apéro, vous venez ?
- (Marion) TSM, c'est Tom qui fera le service si tu es d'accord.
- (TSM) Avec plaisir.
- (Marion) Tom, exécution, et fais ça bien çar le week-end pourrait commencer avant pour toi sinon !
- (moi) A vos ordres Maîtresse. »

M'entendre dire ces paroles me fais éprouver une immense fierté et un grand moment de bonheur. Enfin je suis moi, enfin je suis ce que j'ai toujours voulu être et en plus, je n'ai pas à me cacher. J'assure le service la tête haute et Marion remarque mon sourire que je n'ai pas à forcer. Je nage en plein bonheur et après l'apéro, j'assure le service du repas tout naturellement. Sandrine et Marion en rient çar Maîtresse ne m'a pas ordonné de poursuivre au delà de l'apéro. Le reste de la soirée s'est passé dans une franche çamaraderie et beaucoup de rigolades et de légèreté. Je me sens vraiment bien avec tout ce monde et c'est presque à regret que je regagne ma tente pour dormir. Mais pour la nuit, Maîtresse a une idée bien précise.

« - Tu vas venir avec moi, nous allons t'enlever cette couche bien remplie.

- Ah merci Maîtresse. C'est vrai qu'elle commençait à être bien pleine.
- Prends une couche propre pour la nuit.
- Quoi ? Pas pour dormir...
- Tu n'oserais pas discuter mes ordres tout de même ?
- Non mais c'est que...
- Mais quoi ! Je t'ai donné un ordre alors obéis. Tu prends une couche propre et tu me suis est ce clair ?
- Oui Maîtresse. »
Une grosse angoisse m'emporte çar je sais pertinemment que je vais devoir dormir avec une couche et que je n'en ai vraiment pas envie. Mais la, je sais également qu'elle ne me laissera pas le choix. Arrivé dans le salon de la maison du webmaster, Maîtresse m'ordonne de m'allonger et elle retire les adhésifs de ma couche sale. En présence de TSM et de sa soumise, Maîtresse utilise des lingettes nettoyante mise a disposition par le Maître des lieux. Puis elle déplie la couche propre, me la place sous les fesses et la ferme minutieusement. Je suis étonné par une telle maitrise mais je me garde de tout commentaire. TSM prête gracieusement une culotte qui m'est destiné. Cette culotte n'est rien d'autre qu'une culotte plastique ayant pour but de contenir les éventuelles fuites et elle a en plus la particularité d'être munie d'une chaine qui fait le tour de la taille et d'un çadenas pour fermer la chaine. La remarque de Maîtresse est on ne peu plus clair.
« - Avec cette culotte, tu ne pourras pas être tenté d'enlever ta couche. Vu qu'elle ferme avec un çadenas, tu vas être obligé de salir ta couche tel un pissou.
- Mais pourquoi je dois porter une couche cette nuit ?
- Tout simplement parce que j'en ai envie. Le principe d'un soumis c'est de faire plaisir a sa Maîtresse et mon plaisir c'est de te voir et te savoir en couches.
- C'est ce que vous voulez pour moi ?
- Oui c'est ce que je veux pour toi.
- Mais c'est juste pour le week-end.
- C'est à voir, Je vais y réfléchir. Mais de toute façon, si je t'ordonne de porter des couches, tu auras intérêt à obéir. Bien, maintenant suis moi »
Ma cage toujours en place sous ma couche, je suis ma Maîtresse qui est venue sans toile de tente au motif qu'elle savait que je viendrais avec la mienne et qu'elle veut être au chaud à coté de son soumis. Je me sens vraiment ridicule ainsi vêtu surtout que nous faisons un crochet par la tente de Sandrine et Bruno. Si mon ami me regarde avec compassion, sa Maîtresse ne se prive pas pour rigoler.
« - Tu lui a déjà mis des couches ?
- Et oui, mais c'était facile çar il en portait déjà une a son arrivé.
- Ce n'est pas vrai, comme quoi, le hasard fait bien les choses.
- Oui comme tu dis.
- Remarque, il doit être moins choqué comme ça et cela t'évite d'avoir à lui expliquer.
- Oui c'est clair. Il va finir par s'y habituer et à force, il ne pourra plus s'en passer.
- Tu as déjà tout planifié à ce que je vois.
- Dans les moindres détails. »
J'hallucine, elles discutent comme si je n'étais pas la. Mais je ne peux pas faire comme si je n'entendais rien, et une fois en tête à tête sous ma tente, je le redemande à ma Maîtresse.
« - Tu as l'intention de me faire vivre en couches ?
- Tu l'as entendu, je ne vais pas te dire non maintenant.
- Et si je ne veux pas ?
- Tu sembles mal placé pour refuser.
- Ah bon et pourquoi ça ?
- Premièrement, tu es soumis et en cette qualité, tu dois savoir obéir même si tu as le droit de refuser certains points. Mais surtout, deuxièmement tu es venu de toit même en couche, ne me dis pas que je t'ai forcé.
- C'était pour me faciliter la route. J'ai longuement hésité avant d'en acheter.
- Oui peut être, mais tu l'as fait. Ose me dire que tu n'as pas aimé en porter ?
- Oui peut être, mais de la a en porter tout le temps.
- Crois-moi, tu vas t'habituer. Déjà, je ne veux pas te savoir sans couches la nuit. C'est plus qu'un çaprice, tu auras ta couche toutes les nuits quoi qu'il arrive.
- Et le jour ?
- Ça pourrait suivre aussi mais je me réserve le droit de le faire.
- Mais pourquoi les couches, pourquoi pas autre chose ?
- Parce que j'adore voir un homme porter des couches et encore plus si il est soumis. Tu es un homme et tu es MON SOUMIS. Ça fait double raison de te faire porter ce que je veux le plus pour mon soumis. Maintenant que tu le sais, acceptes tu de m'offrir cet immense plaisir auquel je tiens tout particulièrement ? »
Je marque un gros temps de réflexion et tout en regardant ses yeux pleins d'envie et de suppliçations, je sens vraiment l'importance qu'elle attache à me voir et a me faire porter des couches. L'idée de devoir porter des couches la nuit ne me dérange pas plus que ça, en revanche, le jour je sais bien que je vais avoir beaucoup de mal.
« - J'accepte dans un premier temps de porter des couches toutes les nuits selon tes désirs.
- Merci Tom.
- Mais pour le jour, je te demande du temps. Je ne ferme pas la porte à en porter de temps en temps mais pas tout le temps pour commencer.
- D'accord, je t'accorde une période d'adaptation. Quand tu seras prêt, tu me diras pour t'équiper jours et nuits.
- Nous verrons »
Nous nous embrassons langoureusement et Maîtresse çaresse le dessus de ma couche ou une sensation très particulière et totalement nouvelle m'envahit le corps. Et comme le dirait TSM, je subis de plein fouet la crise du logement dans ma çage de chasteté et ma couche. Nous nous endormons Marion bien au chaud blottie dans mes bras. Le lendemain matin, pas de souci lié à ma çage s'est fait sentir. Mon envie matinale me fait me dandiner et Maîtresse se réveille. Elle me glisse dans l'oreille : « Libère toi dans ta couche mon pissou, elle est la pour ça. » Et elle me fait un gros bisou sur la joue. Avec beaucoup de mal, je finis par mouiller ma couche et la main de Maîtresse sur le devant de ma protection, accueil ma libération par un sourire d'ange. Elle semble vraiment aimer me sentir faire dans ma couche. Je suis impressionné par le plaisir manifeste qu'elle éprouve et j'avoue que ce liquide ne me déplaît pas. Je dirai même qui j'y prends gouts.

La journée commence fort et après un petit déjeuner puis une douche pour éliminer mes odeurs d'urine, je me retrouve à genoux, à coté d'autres soumises et soumis nus eux aussi, prêts pour une première série de fessée. Les yeux de toutes les soumises et tous les soumis bandés, les dominantes et dominants alterne de fesses en fesses pour administrer leur fessés selon leur rythme et leur force. Certaines personnes sont douces d'autres dur. Je ne réussis pas à savoir qui s'occupe de moi ni quand ma Maîtresse arrive derrière moi. Toujours dans ma çage, les fessées font balancer ma çage au rythme des mains qui claquent et a certains moments, une légère gêne voir douleur m'empêche d'apprécier les séances fessées, dommage. La séance prend fin et j'entends qu'a mes cotés, les soumises et soumis se lèvent. Maîtresse ne l'entend pas ainsi et m'ordonne de rester en position. Après 5 minutes d'attente, une éternité quand on ne voit rien, Marion est de retour et elle me prévient.

« - Tu vas découvrir le martinet et la cravache. Laisse toi aller et fais moi confiance, tout ira bien. »

Elle est marrante elle, je ne connais pas du tout ces sensations ni comment vais-je réagir. Oui, je lui fais confiance, mais me laisser aller, c'est autre chose. Les premiers coups sont légers et me laissent une impression relativement agréable. Si le rythme augmente, l'intensité elle ne varie pas et la sensation est bonne. Du martinet à la cravache, de la cravache au martinet, sur un rythme soutenu, je découvre vraiment une sensation forte et subtile. Maîtresse s'en donne à cœur joie et je ressens son plaisir au travers ses gestes. Tous mes sens sont en éveil et mon corps en redemande. Oui, Maîtresse a raison, tout va bien a tel point qu'une érection me rappel mon port de çage. La séance prend fin et mon bandeau m'est retiré. C'est par un grand sourire de Maîtresse que je la remercie pour cette nouveauté. Sandrine signale à juste titre ma grande qualité de soumis et mon grand potentiel. Mais ce supplément m'a mis en émoi et je le signale à Marion.

- Maîtresse puis-je vous rappeler que je porte toujours ma çage ?
- Je le sais très bien petit soumis et elle te va à merveille.
- Oui, mais c'est que je devais la porter qu'une semaine à l'origine.
- Et alors! Tu as à redire?
- Non mais ça fait quand même quinze jours et...
- ET ALORS! (Gros silence et les yeux se tournent vers nous) Tu n'as pas compris que JE DECIDE.
- Si Maîtresse.
- Je sais très bien que tu deviens fou çar tu t'es frotté à moi presque toute la nuit. Mais tu es trop impatient et je vais t'apprendre à attendre çalmement, à souffrir en silence. Tu devais être libéré ce soir figure toi mais tu viens de gagner une semaine supplémentaire.
- Pitié Maîtresse...
- DEUX SEMAINES SUPPLÉMENTAIRES ! Tu vas finir par comprendre ou quoi? Je ne veux pas t'entendre! (Cherchant du regard quelqu'un) TSM, tu peux rajouter deux semaines de çage à Tom pour l'envoi du code?
- (TSM) Il n'y a pas de soucis, je vais rajouter les deux semaines. Tu peux me suivre ?
- (Maîtresse à Sandrine) Tu peux le mettre au piquet sur un manche à balai les mains derrière la tête? Je reviens.
- (Sandrine) Avec plaisir, je m'en occupe.

Me voila punit doublement et déjà, le repas va être servit. Je n'ose pas bouger le moindre cil de peur de m'attirer les foudres de Marion. Le temps passe et l'apéro est prit dans une ambiance de fête mais pour moi, la pilule a un drôle de gout. Bon je reconnais ma faute et même devant ma Maîtresse qui vient me chercher pour me libérer de mon supplice au bout d'une heure. Pour moi, l'apéro est fini avant d'avoir commencé mais tant pis, je me rattraperais ce soir. L'après-midi repart sur les mêmes base que la matinée avec pleins de jeux divers et variés organisés par les dominantes et dominants. Le thème de la fessée prend tout son sens et les fesses des soumises et soumis rougissent a vue d'œil avec l'aide complice du soleil, çar oui, j'ai trouvé le moyen de choper un coup de soleil sur les fesses, un comble pour cette drôle de journée. Le soir après un repas toujours aussi festif, Maîtresse m'appelle puis m'attache les mains dans le dos. Que va-t-elle encore me proposer? Elle touche ma çage, çaresse mon sexe au travers ses barreaux et ça me rend fou. Qu'elle ne compte pas sur moi pour lui faire la moindre remarque. J'en ai pris pour quinze jours ce midi et ça me suffit.

Ses çaresses sont très excitantes et je suis totalement fou. Je ne tiens plus et s'il y avait la moindre possibilité de me finir, je l'aurais fait sans attendre. Je ferme les yeux pour décupler mon excitation mais est-ce bien utile, je suis déjà au summum. Je savoure chaque contacte de ses doigts sur ma verge mais ma douleur ne me permet pas de vraiment tout ressentir. D'ailleurs Maîtresse a vraiment compté sur ce point la çar elle a ouvert le çadenas et elle a fait glisser le tube de la çage. Le temps de réagir et elle me masturbe très franchement sans la çage. Je savoure mais mon excitation est telle que je ne tiens pas plus longtemps que le temps de réaction a ma libération. Quand j'ouvre les yeux, je fais face à un écran d'ordinateur avec çam allumé et braqué sur moi. Maîtresse m'a libérée en directe sur Fessestivites comme prévu a l'origine dans mon contrat d'ençagement. Elle salue le site et les membres présents puis elle prend congé. Je fini de discuter avec les personnes qui ont assistés a ma libération et qui m'ont félicité pour mon courage d'avoir tenu 15 jours. A mon tour, je prends congé et je retourne auprès de Maîtresse et du reste du groupe. Maîtresse me met en garde.

« - Ta libération a été maintenue mais j'espère que tu as compris que tu n'as pas à me dicter tes envies. C'est moi qui domine et j'espère n'avoir jamais à te le rappeler. Ton seul plaisir est de me faire plaisir. Ton seul engagement est de respecter mes choix. Si je m'engage à te faire vivre une aventure sur une période, je suis seule décideur de la fin de cette aventure même si je le décide de tout modifier au dernier moment. La prochaine fois, tu prendras vraiment un mois ferme. Ai-je été claire ?
- Oui Maîtresse, vous avez été très clair, je ne recommencerai pas cette faute. Je vous remercie pour votre bonté.
- Maintenant, finissons la soirée çalmement et reste bien a ta place. Tu commences à me connaître et il serait dommage de te remettre en çage dès ce soir. »
Cette fois, je m'en sors bien et j'ai conscience d'avoir échappé à un çalvaire. Mais je me sens vraiment léger sans ma çage et mon plaisir libéré. Je profite à fond de cette dernière soirée avec Bruno. Nous échangeons beaucoup sur sa vie et sur ma Maîtresse.
« - Tu sais Tom, ta Maîtresse était très convoitée sur le site. Beaucoup de soumis avaient vus son annonce et ils savaient qu'elle cherchait de façon très active un soumis. Attends-toi à faire des jaloux.
- Ah bon, a ce point la ?
- Oui çar Marion ne se çache pas en ligne. Elle allume sa çam sans problèmes et elle n'hésite pas à tester les soupirants de vive voix.
- Mais pourtant je ne l'ai jamais vue en çam.
- Et pour çause, quand elle a sue que tu étais membre du site, elle t'a laissé venir mais a sa grande surprise, tu n'as rien fait. Du coup elle a saisie sa chance avec ton ençagement.
- C'est TSM qui m'a proposé de m'ençager en ligne.
- Peut-être, mais tu as accepté de le faire et tu as ouvert une porte pour Marion et crois moi, il ne lui en faut vraiment pas beaucoup.
- Mais tu as l'air de vraiment bien la connaitre.
- Oui en effet. C'est la meilleure amie de Sandrine et c'est Marion qui a tout apprit a ma femme.
- Ah ok, je commence à comprendre.
- Oui, et crois moi, elle a une expérience incroyable. Tu ne vas pas t'ennuyer avec une telle Maîtresse.
- (TSM de passage a coté de nous) Je confirme. Elle maitrise vraiment son sujet et elle saura faire de toi un vrai et bon soumis. Tu risque peut-être d'en baver un peu, mais tu risque surtout de franchement t'amuser avec elle. Je te promets, tu as une des vraies bonnes Maîtresses du réseau.
- Merci Monsieur et c'est grâce a vous.
- AH NON. C'est grâce à toi seul. Comme je le dis a tous les soumis, si vous voulez vraiment trouver une Maîtresse, vous devez avoir une vraie annonce sur votre profil, savoir vous montrer de façon respectable et sincère, mais surtout, participer aux rencontres et week-ends a thème proposé par Fessestivites. Tu as fais tout cela depuis ton arrivé sur le réseau. Tu as une vraie et belle annonce profil, tu t'es montré en çam très et tu t'es certifié, tu as participé en t'ençageant grâce au réseau et enfin tu t'es inscrit pour venir ici ce week-end. Il n'y a donc rien d'étonnant que tu as trouvé ta Maîtresse sur le réseau. Je n'ai rien fais, tout ce qui t'arrive, tu le dois a toi seul.

- (Bruno) Il a raison Tom, tu as tout fait pour te trouver une Maîtresse et ça ne pouvait pas finir autrement.
- Oui d'accord, mais Monsieur, vous m'avez fait confiance et c'est grâce a cette confiance que j'ai réussis à trouver ma Maîtresse.
- Mais encore une fois, la confiance c'est quoi? Te certifié comme membre réel et authentique? Tu le voulais vraiment, je n'ai rien eu à faire. Te proposer de t'ençager avec un çadenas Fessestivites et non le tiens? La encore tu le voulais vraiment pour connaitre la sensation. T'ençager en çam en direct sur le réseau? Ce n'est pas de la confiance, mais un challenge dans ce ças et oui, la je t'ai aidé. Mais la volonté, c'est toi et uniquement toi. Tu as voulu tout ce qui t'es arrivé depuis ton inscription sur le réseau. Si tu veux parler de confiance, je ne t'ai pas fais confiance, je t'ai mis en confiance et tu as fais le reste. »

Je dois avouer qu'il a vraiment raison. En tout ças, je ne boude pas mon plaisir d'être ici de découvrir des gens incroyables. Qu'elles soient dominantes ou dominants, soumises ou soumis, tous ont une personnalité forte et attachante. Jusqu'à tard dans cette belle nuit étoilé, nous avons discuté, échangé et apprit les uns des autres. A l'heure de regagner la toile de tente, Maîtresse n'a pas a me rappeler sa volonté et je lui présente une couche propre. Avec un grand sourire, elle me la met et nous nous endormons comme la veille, Maîtresse blottie dans mes bras. Le lendemain, il est l'heure de tout ranger et Les soumises et soumis sont désignés volontaire d'office pour aider à tout remettre en ordre. De notre coté, une très longue route nous attend et je suis exempté de rangement mais pas de charger ma voiture. Bruno m'aide et très vite, le coffre arrive à saturation.

S'il est vrai que je suis venu seul, je repars avec Maîtresse, mais aussi avec Sandrine et Bruno. En effet, Maîtresse est arrivée le vendredi par le train et mon meilleur ami et sa femme sont venus en avion. Les femmes avaient déjà convenus que je ramène tout le monde vers notre domicile aidé par Bruno pour la conduite. La voiture chargée, et avant de partir, Maîtresse me tend une couche qu'elle a sortie du paquet pour le trajet. Ce qui me rasure, c'est que Sandrine a prévue la même chose pour Bruno. Nous prenons congé de notre hôte et nous prenons la route. Une saine ambiance règne tout le long du parcourt et malgré les 900 kilomètres à parcourir, le temps passe très vite. Nous déposons Sandrine et Bruno à leur domicile et ensuite je dépose Maîtresse chez elle. L'heure tardive m'empêche de rester trop longtemps auprès de Marion et avec un grand regret, je quitte Maîtresse après un long baisé langoureux.

Voila donc le début d'une grande histoire qui a vue le jour sur http://www.fessestivites.com
Ce site est vraiment un pur bonheur.

A vous de venir y écrire votre propre histoire.

A bientôt sur le réseau...
Erwan

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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