Libertinage cuckold

Samedi 30 novembre 6 30 /11 /Nov 18:30

Le sexe et la voiture, l'itinéraire du plaisir

Comme moyen de transport prisé par les amants en quête de changement ou de tranquillité....., la voiture est un terrain de jeux érotiques où plus de deux Français sur trois se seraient déjà amusés. La voiture représente également un espace certes public mais qui offre un certain abri du regard extérieur en fonction des lieux. A chacun sa façon de choisir et doser son goût du risque.

La voiture est un lieu neutre et mobile pratique pour briser la routine et jouer avec l'ivresse de l'interdit. Attention, la voiture même garée dans un endroit discret ne vous mettra pas complètement à l'abri de la patrouille de police ou du badaud passant par là...

La voiture est un lieu idéal pour quelques jeux de rôle coquins de type « l'autostoppeur et la conductrice entreprenante », ou encore pour rejouer le fameux « coup de la panne ». Avec un peu d'imagination et de pratique, on peut en exploiter toutes les ressources et adapter positions et plaisirs en fonction de la partie de voiture choisie.

Les exhibitions simples

Faire d exhibitions sur l'autoroute à faible vitesse en doublant les camions est quelque chose d'assez fréquent mais attention, est-ce bien prudent de détourner l'attention d'un chauffeur conduisant un 38 tonnes ? Allez acheter une glace à Mac-Do par exemple ou mettre de l'essence ou passer par les péages avec un guichet permet de jouer plus ou moins avec le regard des autres.

Véhicule à l'arrêt :

A l'extérieur, parmi les positions les plus pratiquées, on y trouve madame penchée ou couchée sur le capot de la voiture ou penchée par la fenêtre ouverte fesses à l'extérieur, une manière de goûter aux plaisirs de la levrette à l'air libre ! Couchée sur le dos sur le capot de la voiture est aussi très sympathique mais attention, les tôles deviennent si fines que le capot risque de se creuser et de conserver une forme « indélicate ». L'attelage attire certaines gourmandes, pensez au préservatif à mettre sur la boule pour préserver la santé de madame. La tête dans le coffre le capot maintenu fermé par une corde est parfois utilisé par les adeptes du BDSM ....

A l'intérieur du véhicule c'est plus étriqué et sportif bien que certaines voitures permettent d'abattre la banquette arrière et d'offrir un espace proche d'un lit. Si ce n'est pas le cas, la banquette arrière offre des possibilités multiples y compris en ouvrant une des vitres arrières.

Les précautions

Il est important de rappeler les quelques règles à suivre lorsqu'il s'agit de s'ébattre dans un lieu public, de surcroît lorsque ce lieu public est capable d'être lancé à plus de 90 km/h... La voiture doit être à l'arrêt si vous câliner, n'oubliez pas que des vies sont en jeu.

Afin d'éviter de mettre votre vie et celles des autres en danger, prenez toujours le temps de vous garer et de couper le contact avant de commencer toute caresse. Certains n'ont pas eu cette patience et en ont payé les frais...

Choisissez l'endroit et le moment

En pleine campagne à la lisière d'une forêt de jour comme de nuit ou si vous habitez une zone plus peuplée, choisissez un endroit relativement désert mais qui n'éveille pas l'attention. Si vous êtes la seule voiture garée dans ce parking abandonné, une patrouille de police sera tentée de mettre son nez. Garez-vous au milieu d'autres voitures, la nuit, et pas juste en dessous d'un lampadaire. Les parkings souterrains vous offriront également une tranquillité assez sûre !

Au regard des autres et de la loi

Article 222-32 du Code pénal : « L'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public est puni d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende ». Il s'agit cependant d'une peine maximale rarement appliquée à moins que vous ne vous ne soyez des multirécidivistes. Des excuses accompagnées de « si ma femme l'apprend je suis dans la merde.... » sont 100 fois mieux que « on ne fait rien de mal ».

Une petite idée de jeu ?

Mettez des pinces aux lèvres intimes de madame nue sous sa jupe ou sa robe et sur ces pinces, faites un crochet avec un trombone. Allez faire des courses. Arrivés sur le parking du supermarché accrochez les clés de la voiture aux pinces. Elles doivent y rester pendant toute la durée des courses.

Et si vous nous racontiez vos aventures en voiture sur le forum des libertins ici ?

http://www.fessestivites.com/phpBB3/exhibitionnisme-et-voyeurisme/le-sexe-et-la-voiture-l-itineraire-du-plaisir-t1913.html

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 09:50

Femme seule plaisir solitaire

Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivite

Après avoir pris mon premier café et fumé ma première cigarette, j'ai eu besoin d’une bonne douche pour me réveiller. Une fois séchée, je m'enduisais le corps de crème hydratante tout en réfléchissant à ce que j'allais porter. Mes mouvements se faisaient plus lent, plus langoureux, s'attardant sur un téton ou dans le creux d'une cuisse.
Je me forçais à reprendre mes esprits mais n’y parvenais pas, mes mains devenaient de plus en plus entreprenantes. Comme ce n'était pas le moment, j’ai choisis une culotte de coton noir et un soutien gorge assorti bordé de quelques dentelles soulignant parfaitement la rondeur de mon 90C.

Je choisis une jupe légère en coton noir parsemée de quelques dessins rouges qui m'arrivait au genou et un tee-shirt rouge sans manche car les températures annoncées promettaient d'être estivales ! En passant par ma chambre que j'entrepris de ranger, à la vue des vêtements jonchant le sol en direction du lit, le souvenir de nos ébats de la veille acheva ma sagesse.
Cette pensée m'émoustilla et me remémora la nuit, ses mains sur moi puis quand il était en moi en me parlant avec des mots crus. Ses souvenirs réveillaient en moi une certaine excitation en me faisant regretter son absence.

J'entrepris alors de me satisfaire seule en m'allongeant sur notre lit défait. Il était parfumé de l'odeur de notre étreinte ce qui me permit d'imaginer qu'il était là, que c'était ses mains et non les miennes qui passaient sur mon corps et caressaient mes seins en pinçant mes tétons. La danse de mes mains m'arrachait des soupirs et ma respiration s'accéléra. J'écartais ma culotte et me caressait plus franchement alors qu'un doigt pénétrait mon vagin m’arrachant un gémissement de plaisir.

Mes pensées vagabondaient, voyaient le corps nu de mon homme quand soudain il me parla en m’ordonnant de lui offrir une danse du cul. Le petit gode dans le tiroir de la table de nuit a rejoint mes mains naturellement, mon corps mue comme par enchantement se leva pour se rendre à la commode située aux pieds du lit.
Après avoir léché le gode un instant, j’ai mouillé mon petit anneau pour l’introduire en moi. Il est passé tout seul ou presque, signe d’un désir de folies sodomites peut-être. Mes fesses se sont posées sur a commode, enfonçant en moi le gode jusqu’au plus profond de mes reins. Et là, jambes écartées face au lit pour qu’il me voit bien, je me suis caressée en l’allumant, mes mains devenaient folles.

Je commençais à haleter franchement lorsqu’une vague de chaleur m'envahit. J'ondulais et remuais les fesses au rythme de la pression de mes doigts sur mon clitoris tout en malaxant ma poitrine.

La jouissance était sur le point de me submerger lorsque la sonnette de la porte retentit et m'interrompit un instant en plein élan. Mon homme a crié « entre » et m’a ordonné de continuer. Un de ses amis est entré silencieusement dans la chambre, malgré ma gêne j’ai continué, la situation gênante m’excitait. La sonnette a retenti une seconde fois, c’était un autre ami venu assister à mon humiliante exhibition. J’ai implosé, explosé, j’ai fait fontaine en soulevant totalement les pieds du sol pour m’empaler plus encore.
La sonnette maudite ramena mes pieds sur terre au sens propre comme au sens figuré. Je me suis levé d'un bond, le petit gode se dissimula dans mes vêtements jetés sur le sol, j’arrangeait ma jupe et m'avançait jusqu'à la fenêtre pour voir partir mon homme, il avait oublié ses clés.

Le soir même je lui ai tout avoué, il m’a obligée en guise punition à recommencer, se fut bien plus dur que la matin même mais quand il a décidé de prendre la place de gode, je suis devenue chienne.

Et vous, allez-vous oser avouer vos plaisirs solitaires sur le forum ?

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Vendredi 25 octobre 5 25 /10 /Oct 08:12

Jeux de viol et gang bang forcé

 


Auteur: Ecrivaillon

J’ai vu un film jeux de viol sur Fessestivites, comme il ne s’agissait pas d’un vrai viol, mes neurones se sont enflammés à la vue de cette superbe fille se débattant pour échapper à son viol par des hommes très décidés. Leur complicité se voyait, voilà pourquoi j’ai aimé ce film même si c’était chaud chaud. J’en ai parlé à mon mari qui est un ancien libertin et ne m’a pas loupée quand je lui ai dit que je m’imaginais être à la place de la fille.

- Quand je te parle de libertinage, tu m’envoies balader mais quand tu rêves de jouer le viol en groupe, ce n’est plus du libertinage.

Je lui ai répondu que ce n’était pas la même chose mais ses arguments concernant ce film m’ont ennuyés. Et là, il m’a surprise car jamais nous n’avions fait ça. Il s’est levé pour aller chercher la ceinture d’un peignoir. Quand il s’est approché de moi en me disant « donne tes mains, je vais te violer » je suis restée sans voix. La tête baissée je ne savais plus quoi dire, alors il m’a attrapée par les cheveux pour me jeter sur le ventre dans le canapé. En un rien de temps j’avais les mains attachées dans le dos, il faut dire que je n’ai pas trop résisté. Mon string n’a pas résisté deux secondes à ses gros bras musclés. Quand il a commencé à me tripoter comme un sauvage, j’ai eu droit à des commentaires très élogieux du type « tu mouilles comme une salope » et le pire c’est que c’était vrai.

Ce soir là il m’a fait la totale, il était déchaîné, ses gestes brusques mais pas violents, m’ont transportée vers des sommets que je n’aurai jamais imaginés. Je l’ai même sucé sans gêne après qu’il m’ait sodomisée, c’est dire….. Après ce pseudo viol nous avons échangé quelques mots pendant lesquels il est revenu sur le libertinage et son envie de m’emmener un soir dans un club libertin.

Deux jours plus tard, il m’a bandé les yeux avant de m’attacher sur le lit bras et jambes écartées. Pendant la soirée il est venu plusieurs fois me tripoter puis me prendre en jouant le rôle du proxénète qui a mis une de ses prostituées à l’abatage. Il introduisait les clients dans la chambre, parlait de moi puis jouait ensuite le rôle des clients venus se servir de la marchandise humaine. A chaque fois il s’arrangeait pour me laisser sur ma faim et me laissait plantée là, toute pantelante la tête pleine d’envie, de fantasmes, de sensations. Des commentaires graveleux accompagnaient mes pseudos viols, au plus je tirais sur les liens au plus s’était bon, au plus je m’envolais, c’est comme si ces liens me libéraient. C’était torride, j’ai adoré être sans défense ainsi offerte à ses hommes imaginaires si bien que lorsqu’il ma prise la dernière fois et s’est abandonné en moi, j’ai connu la plus puissante des jouissance de ma vie. Même quand il s’est retiré, mon corps tout entier était encore agité de convulsions.

Mon mari est revenu à la charge avec son libertinage en me forçant à avouer que j’avais de sérieuses inclinaisons pour l’amour sauvage et des rapports sexuels sans amour avec plusieurs hommes. Il a insisté sur le « sans amour » pour me faire reconnaître que ma réponse : « je ne peux baiser avec des inconnus » n’était pas la vraie raison de mon refus de faire du libertinage. De fils en aiguilles, j’ai reconnu qu’il avait raison et qu’en fait, c’est une part de jalousie et de pudeur qui me freinaient. Quand il m’a proposé d’organiser pour moi un pseudo viol avec ses amis libertins, je n’ai pas dit « non » et quand je lui ai dit « si je dis stop vous arrêterez » sa réponse a été claire :

- Non, tu n’auras que deux choix possibles, accepter la soirée ou la refuser. Si tu dis oui après il sera trop tard. Je te présenterai tes violeurs, ce sont des gens charmants ultra respectueux dans la vie mais qui adorent ce genre de plan tout comme le BDSM.

Une semaine plus tard, nous sommes sortis pour aller chez un de ses amis libertins. Sa maison fait rêver, c’est une magnifique maison d’architecte. Il n’était pas seul chez lui, d’autres amis à lui étaient là, des gens charmants, souriants, gentils avec qui discuter était un plaisir. La conversation a rapidement dérivée sur le libertinage mais avec des mots choisis, sans vulgarité et relativement respectueux envers les femmes ce qui m’a permis d’être assez à l’aise. Quand mon mari m’a demandé si je me sentais en danger en leur compagnie je ne pouvais que répondre « non » et c’est là qu’il m’a appris qu’ils allaient être mes violeurs.

Guy, le propriétaire de cette magnifique maison m’a expliqué qu’il dispose d’une pièce secrète dans laquelle des choses aussi inavouables que sadiques se déroulent parfois, en ajoutant que celles qui s’y sont aventurées y reviennent avec plaisir. Quand il m’a proposée de la voir j’ai accepté avec une petite boule sur l’estomac. Cette pièce aux murs de béton brut est très épurée, un gros carré de moquette au milieu, une espèce de table avec des anneaux et un petit placard représentent le seul mobilier. Il s’y dégageait une ambiance bizarre bien différente de la maison, bizarre mais en même temps très érotique.

- C’est dans cette pièce que nous violons des femmes, elle crient parfois au début mais jouissent beaucoup après, c’est ce qui fait le charme de ce type de jeux sexuels. Avec nous tu ne risques rien, hormis avoir peur au début avant de monter au septième ciel. Comme tu peux le constater, ici on ne force personne, tu peux sortir librement, aucun mal ne te seras fait, par contre, si tu acceptes de jouer, nos attitudes seront différentes mais sans aucune violence rassure-toi.

Mon mari nous a rejoint avec ses amis, nous avons achevé une bouteille de champagne dans cette pièce où j’allais me jeter dans les griffes du loup. Les hommes me souriaient mais restaient à distance comme pour me faire voir qu’ils n’allaient pas me manger. Quand mon époux m’a enlacée dans ses bras en me disant de m’abandonner et de m’éclater j’ai pris la folle décision de le faire. J’avais à la fois peur et j’étais terriblement excitée. Il a pris la flutte de champagne de ma main en me disant de lutter mais sans violence, d’essayer de m’échapper, de leur résister puis il est sorti de la pièce. Guy m’a alors regardée dans les yeux en me rappelant que ce n’était qu’un jeu, un jeu fou mais si jouissif qu’il me faudrait au moins deux jours pour me remettre de toutes mes jouissances. Comme s’ils étaient habitués à ce genre de jeux, ils se sont écartés pour me laisser sortir et qui m’a dit avec un grand sourire charmeur :

- Soit tu sors immédiatement de la pièce et la soirée et finie, soit tu restes mais si tu restes ….. Ne parle pas, ou tu sors ou tu restes.

La sortie me tendait les bras ! Je n’avais que quelques pas à faire pour quitter les lieux et en grande folle je ne suis pas sortie. D’un regard Guy leur a fait signe qu’ils pouvaient. L’un d’eux ma dit d’essayer de leur échapper, pendant un instant c’est devenu comme un jeu d’enfant, le plus fou c’est que je m’éclatais comme une grande ado. Le cercle c’est refermé, leurs mains sont devenues plus précises, fermes mais sans me faire mal. S’ils avaient voulu m’attraper et me plaquer au sol, cela aurait été d’une grande facilité pour eux mais ils jouaient le jeu des sadiques qui jouent avec leur proie. Attrapée à bras le corps j’ai été soulevée et couchée sur le sol, ils s’amusaient à me toucher, ils se sont attaqués à ma culotte et sont arrivés à me la retirer malgré mes tentatives pour les en empêcher. Après un moment de lutte acharnée je me suis retrouvée nue et les choses n’ont pas tardées.

Leurs mains sur moi n’avaient rien de violent ou de méchant, par contre, comme ils me maintenaient avec fermeté, je ne pouvais y échapper. Quand ils m’ont mise de force à quatre pattes et que l’un d’eaux s’est mis derrière-moi j’ai vraiment pris conscience que j’allais y passer, que j’allais vivre les choses folles peuplant mes rêves coquins les plus fous. Au moment ou le sexe de Guy a touché le mien pour y trouver la faille, j’ai voulu fuir, j’ai pris réellement peur mais je n’ai pu y échapper. Ses mouvements en moi, m’ont perturbée tout autant que de voir les autres hommes se dévêtir. Maintenue par les cheveux, ma tête fut dirigée vers un sexe bandé, j’ai fait ce que son propriétaire attendait de moi pendant qu’un troisième me malaxait ou plutôt, me pétrissait les seins.

En un rien de temps, je suis devenue chienne, le sexe me labourant m’a rendu chienne sous les yeux de mon mari venu participer lui aussi à le curée. Ils m’ont prise mainte et mainte fois en me tournant, dans tous les sens en me soulevant, en maintenant mes jambes écartées. Entre leurs mains j’ai compris le sens réel d’être un « pantin de chair ». Mon corps et ma bouche leur appartenaient, ils en faisaient ce qu’ils voulaient, je ne pouvais plus y échapper. Je commençais réellement à perdre pied, je suçais les verges tendues comme un échappatoire aux très fortes sensations de mon intimité chahutée.

Soudain, ils m’ont soulevée pour me porter jusqu’à la table où ils m’ont entravée sur le dos jambes écartées. Ainsi attachée, je ne pouvais leur être plus offerte et c’est là que mon mari est entré dans le jeu. Après deux mouvements en moi il s’est attaqué à ma petite rose peureusement contractée pendant qu’un autre chahutait mon clitoris comme un malade. Pourquoi je ne saurai le dire, mais être sodomisée devant tout le monde m’a énormément gênée. Cette gêne n’a pas durée car entre leurs mains, la pudeur s’envole.

Les sensations énormes m’ont faite chavirer dans un univers où toutes mes neurones se sont centrés sur mon corps pour essayer de suivre les dites sensations. Pour être crue, les seins pincés, tripotés, une bite dans chaque main et une dans la bouche pendant qu’une autre vous défonce l’anus devenant gourmant, vous perdez la tête. Vous aimeriez à la fois que les choses se calment et en même temps vous avez envie de plus, c’est inexplicable et indescriptible.

Prise de partout par tous les hommes, je devenais vraiment folle et j’ai atteint des sommets de jouissances inconnues surtout quand en même temps ils ont posé sur mon clitoris un truc magique ressemblant à un micro. Quand ils m’ont détachée, j’ai cru que c’était fini mais non, ils en voulaient encore ou plutôt, ils avaient décidé de me faire vivre la double pénétration. L’un d’eux s’est étendu sur le sol, on pas plus portée que guidée sur son sexe pour m’y empaler. Quand une verge s’est posée sur mon anus j’ai cru que j’allais avoir mal, il n’en fut rien mais il faut dire qu’avec ce qu’il avait pris avant il ne pouvait qu’être accueillant. La double pénétration maintenant je sais, c’est terrible, frustrant quand l’un des deux s’arrête et extrêmement fort quand ils arrivent à s’accorder.

Ils m’ont achevée ! Ils voulaient m’achever et y sont parvenus. A tour de rôle ils m’ont ensuite prise comme des forcenés, leur seul but : me faire rendre l’âme. J’ai rendue l’âme, j’ai crié, jouis à n’en plus pouvoir, je n’en voulais plus, j’avais ma dose mais en même temps quand un autre prenait la place devant ou derrière je redevenais chienne. A la fin, ils se sont tous libérés sur moi, je n’étais plus qu’une loque humaine recouverte de sperme et le pire c’est que là aussi j’y ai pris plaisir alors que jusqu’à présent, ce truc ne m’avait jamais excitée. Bien au contraire les images de ce type que l’on voit sur le net me dégoûtaient.

Le jeu terminé, ils m’ont lavée avec des lingette et couverte avec un peignoir avant de m’offrir une flute de champagne. Leurs sourires complices, leur attitude à nouveau dès plus respectueuse m’ont accompagnée dans mon retour sur terre, celles qui ont vécu des gangs bangs doivent comprendre le sens de mes mots. Guy m’a accompagnée à sa salle de bain pour que je puisse me doucher. Mon mari m’y a rejointe pour m’apporter mes vêtements et m’aider à me sécher entre deux énormes bisous d’amour.

Je ne sais pas si je recommencerai car c’est vraiment très chaud mais je ne regrette pas de l’avoir vécu. Mon mari m’attache de plus en plus souvent pour faire l’amour et sait maintenant que je prends plaisir à être réellement sa soumise sexuelle, son jouet, sa chienne.

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Mardi 8 octobre 2 08 /10 /Oct 07:18

La doraphilie fétichisme de la fourrure

La Doraphilie ne signifie pas être excité sexuellement tous les matins en regardant Dora l'exploratrice à la télévision. Non la Doraphilie est le mot savant pour le fétichisme de la fourrure.

Glorifié dans « La Vénus à la fourrure » de Leopold von Sacher-Masoch, le fétichisme de la fourrure compte de nombreux d'adeptes qui se cachent souvent pour éviter les foudres de la SPA ou des écolos. Que l'on se rassure il y en a aussi des synthétiques.

doraphilie fétichisme de la fourrure

Ce fétiche n'est ni une partie du corps féminin, ni une partie des vêtements de la femme, mais une étoffe déterminée qui par elle-même, en tant que matière peut faire naître ou accentuer les sentiments sexuels.

Ces cas se distinguent des faits précédents de fétichisme érotique du vêtement par le fait que ces étoffes ne sont pas, comme le linge, en rapports étroits avec le corps féminin et n'ont pas, comme les souliers ou les gants, une corrélation avec des parties déterminées du corps féminin ou ne sont pas une signification symbolique quelconque de ces parties.

Certaines sensations tactiles comme la douceur puis une sorte de chatouillement qui a une parenté éloignée avec les sensations voluptueuses, sont, chez des individus hyperesthésiques, la cause première de ce genre de fétichisme.

Pour la femme, outre la beauté et l'élégance, il y a le bonheur, la sensation excitante d'être en tenue légère sous un manteau de fourrure... en chemin pour une soirée libertine. Sachez toutefois mesdames qu'un véritable manteau de vison est lourd à porter.

Outre le fameux manteau de vison, le renard ou le lapin sont d'excellentes peaux qui séduisent, les peaux de lapin cousue étant plus accessible financièrement.

La doraphilie se caractérise par la recherche de bien-être procuré par la chaleur et la douceur. La fourrure offre au doraphile à la fois un retour à la nature et au naturel et une réponse à son besoin de douceur. Ainsi donc, ne sont pas considérés comme doraphile les gens qui portent de la fourrure dans un but social (afficher sa réussite, suivre la mode, etc...). Le doraphile a clairement un besoin tactile et irrépressible d'être au contact quasi permanent de la fourrure.

La fourrure sera principalement naturelle, celle-ci offrant un bien meilleur toucher, mais il n'est pas exclus que le doraphile retrouve son plaisir dans la fourrure artificielle. Ce fétichisme est proche et comparable à celui de la laine angora ou éventuellement du satin et de la soie. Ces dernières matières offrant toutes douceur au toucher. Bien que souvent liée à la sexualité, le doraphilie peut se limiter à la sensualité.

La fourrure n'est pas à la hauteur de toutes les bourses, mais voici tout de même quelques trucs pour acheter un manteau de fourrure le moins cher possible.

  • Magasiner dans les friperies
  • Les vides grenier.
  • Les sites de petites annonces classées.
  • Ebay
  • Acheter un manteau de fourrure synthétique.
Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Le sexe sans tabous
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Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 09:14

J'ai osé avec 4 hommes

Mon copain m'avait plaquée, mon cœur était mort, mon corps profitait des hommes sans histoire de cœur. J'avais 23 ans, brune 1m65, 60 kilos ce qu'il faut là où il faut et j'aime le sexe. L'idée de découvrir le BDSM me titillait tout comme d'être une fille soumise que l'on baise quand on veut où l'on veut. Cette idée m'aurait permis de m'éclater sans histoire de cœur mais fallait-il encore ne pas tomber dans un piège avec des fous. Fessestivites m'a permis d'entrer en contact avec un homme qui annonce clairement être marié en indiquant qu'il organise des soirées chaudes pour des filles gourmandes sachant vivre.

Stéphane est à la fois directif et à l'écoute, respectueux et ferme dans ses propos, il sait parler aux femmes tout en étant rassurant sur ses intentions. Sans être vulgaire, il sait également les sonder pour aller chercher au fond de nous ce qui ne s'avoue pas au premier venu, nos envies de sexe et nos fantasmes. Avec lui, les mots coulent dans la décontraction, les choses sont si simples qu'on accepte rapidement de lui donner notre téléphone et de le rencontrer dans un lieu public comme il propose spontanément. Il a plus de deux fois mon âge mais pour un plan baise, un homme mûr c'est bien et comme il est grand et costaud cela laisse imaginer des choses surtout quand il vous promet d'assurer votre sécurité lors d'une telle rencontre.

Lors de la première rencontre, il m'a clairement indiqué vouloir vérifier que j'étais bien celle que j'indiquais, une fille pas farouche qui sait ce qu'elle veut. Pour qu'il organise quelque chose avec moi et pour moi, je devais le lui prouver sans quoi, il ne m'en voudrait pas mais nous en resterions là et il jetterait mon numéro de téléphone. Il m'a expliqué qu'il ne pouvait faire déplacer des gens pour rien si je n'étais pas celle que je lui disais. J'ai donc accepté de le suivre au parking pour y vivre ma première chaleur. Il prenait son temps pour m'allumer et ne cherchait pas à me faire monter dans sa voiture et quand il m'a demandé d'écarter les jambes, j'ai eu un petit moment d'hésitation mais je l'ai fait. Sa main s'est insinuée sous ma jupe pour me masser le sexe à travers mon string, en même temps son regard clair et son sourire malicieux m'ont fait monter d'un cran dans l'excitation.

- Toujours décidée à t'éclater petite coquine ?

« Oui monsieur » lui ai-je répondu doucement comme si l'on pouvait nous entendre. Il m'a ouvert sa portière de sa voiture et invitée à monter. Quelques minutes plus tard, quand nous sommes entrés dans un entrepôt dont il avait les clés je me suis traitée de folle. Toujours avec le même calme, il m'a invitée à descendre mais cette fois, loin des regards, ses mains sont devenues plus entreprenantes. L'ordre de lui faire voir mes seins est tombé pendant que sa main s'insinuait dans mon string, j'ai donc retiré mon chemisier et mon soutien-gorge pour les lui offrir.

- Je vais te baiser, montre-toi chienne et soumise et je te monterai ton plan cul avec des hommes. Crois-moi tu vas t'éclater avec eux, ils vont te baiser sans relâche pendant des heures comme tu ne l'as jamais été. Mais fais-moi voir que tu es une bonne salope. Suce-moi pour commencer. M'a dit Stéphane en ouvrant son pantalon pour sortir un sexe déjà bien fier.

Je me suis accroupie pour faire ce qu'il me demandait, sa main accompagnait ma tête mais sans la forcer. Au fur et à mesure que je le suçais, il est devenu plus directif en me traitant de bonne salope. Comme convenu, il a sorti un préservatif qu'il a enfilé sous mes yeux puis il m'a relevée et plaquée contre la voiture. J'avais la tête et les mains sur le capot chaud, les fesses offertes quand il m'a prise en douceur. Quelques secondes plus tard, je me faisais défoncer comme une chienne et s'était bon, torride. Entre ses mains, je devenais une véritable salope comme il dit. Prestement retournée puis soulevée je me suis retrouvée couchée sur le dos jambes écartées. Pendant qu'il me possédait, une de ses mains caressait mes seins l'autre mon clitoris avec un savoir faire qui ne laisse pas de marbre. J'ai pris un pied pas possible dans cet entrepôt. J'aurai aimé que cela dure des heures mais il en a décidé autrement. Pendant que je me rhabillais, il m'a tendue une petite bouteille d'eau en me souriant, un geste de courtoisie que j'ai apprécié, qui change de l'attention que les hommes nous portent après nous avoir baisée.

- Je te dépose au parking et je fille à mon rendez-vous et si tu veux que je te monte un plan cul comme prévu, je suis d'accord. Tu es vraiment une chouette fille qui mérite d'être connue et d'être heureuse.

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Deux jours plus tard, Stéphane m'adressait un texto en me demandant si j'étais toujours partante pour quatre hommes et si oui, de lui indiquer mes disponibilités. Si avec lui la rencontre avait été excellente, j'avais encore besoin d'être rassurée. Je lui ai demandé s'il serait là, il m'a répondu « je suis toujours là pour une fille qui se confie à moi, puis-je t'appeler ». Comme j'étais à la maison, j'ai répondu oui, l'entretien téléphonique que l'on a eu ma totalement rassurée et j'ai dit « oui » à la grande aventure.

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Il était là. Il ne me voyait pas de l'autre côté de la rue avec mon petit sac et des vêtements de rechange au cas où, je n'osais plus avancer. Quand mon téléphone a sonné et que j'ai vu que c'était lui j'ai répondu « j'arrive » avant d'oser traverser la rue. Nous avons un peu discuté pendant le trajet, il m'a dit que j'allais m'éclater, qu'il connaissait bien les quatre hommes, qu'ils étaient sérieux et respectueux. Pendant le trajet, il a tenu à ce que je lui donne mon string chose que j'ai faite sans problème.

- Là où nous allons, l'endroit est un peu lugubre mais tu ne risques rien. Il n'y aura que nous et je serai là en permanence. Concentre-toi sur toi et sur le sexe des hommes qui vont te baiser, oublie le lieu et éclate-toi comme une bonne petite salope.

Nous sommes arrivés quelques minutes plus tard dans les ruines d'une vielle maison qui devait servir à un artisan car des poutres en béton laissaient entendre qu'une activité industrielle avait eu là. Un bungalow hors d'âge et trois hommes nous attendaient. Quand je suis descendue je n'étais pas fière, j'avais peur, ma seule source de courage était le sourire enjôleur de Stéphane. Il a pris une couverture et un sac dans le coffre de sa voiture et m'a pris la main comme un enfant que l'on conduit chez le docteur. Une fois dans le bungalow, il a étendu la couverture sur un lit puis m'a embrassée en me caressant les fesses. « Tu vas t'éclater » a-t-il murmuré à mon oreille en retirant mon tee-shit et mon soutien-gorge pendant que les hommes entraient.

- Elle est à vous messieurs, préservatif obligatoire, pas de SM ni de claque, Sophie est une salope qui débute, à vous de lui donner envie de recommencer. A dit Stéphane en ouvrant une bouteille de champagne.

Il m'a offert une flutte de champagne que j'ai presque bue cul sec pour me donner du courage. Une fois avalée, Stéphane voyant mes hésitations ma prise dans ses bras pour me conduire aux hommes afin qu'ils commencent à me toucher. Leurs mains m'ont électrisée, elles flattaient mes fesses, mes seins, on me touchait de partout en même temps. Conduite sur le lit et mise à quatre pattes, j'étais à eux pour deux heures. Même si j'avais un peu peur, l'excitation est rapidement montée, j'avais vivre mon fantasme de chienne soumise au sexe de plusieurs hommes en rut.

J'ai commencé à sucer l'un d'entre eux pendant qu'un autre frottait son sexe sur mes fesses en disant que j'avais un très beau cul. Stéphane leur a donné du gel et a posé un rouleau de sopalin pour qu'ils n'en mettent pas partout. Quand un doigt m'a lubrifiée et pénétrée j'ai fermé les yeux et je me suis concentrée sur la bite que je suçais. Le premier à me prendre était doux au départ, mais cela n'a pas duré. A quatre pattes comme une chienne je me suis faite baiser pendant un long moment en suçant deux bites l'une après l'autre pendant qu'on me malaxait les seins. C'est devenu très bon, fabuleux, divin d'être ainsi offerte. Et puis ils m'ont retournée et mise sur le dos.

L'un d'eux a mis mes bras au-dessus de ma tête puis les a enjambés avant de venir au dessus de mon visage pour que je le suce. Le nez sur sa raie des fesses, je ne loupais rien de son anatomie. Quand le suivant m'a soulevée les jambes, mon réflexe a été de redescendre mes bras pour les tenir mais c'était impossible, celles de l'homme sur moi les bloquaient. A cet instant là, je ne pouvais plus rien faire hormis me faire baiser, être leur chose, leur chienne. Le mec m'a prise aussitôt en remontant mes jambes les plus haut possible. Celui que je suçais les a attrapées pour les bloquer, putain ce que j'ai pris mais qu'est-ce que c'était bon.

Pendant deux heures j'ai sucé des bites pendant que d'autres me prenaient. A la fin je n'en pouvais plus. J'avais la chatte en feu mais en même temps c'était divin. Ils n'ont jamais essayé de m'enculer parce que je ne voulais pas, j'avais dit non à la sodomie, finalement j'aurai du dire oui car dans une aventure comme celle-là, cela doit être planant.

Stéphane les a arrêtés au bout d'un moment, il m'a donné un peignoir puis nous a servit du champagne. Les hommes m'ont félicitée à leur manière en me traitant de bonne salope, et le pire c'est que pour le mot salope pour une fois j'étais d'accord.

Cette expérience restera à jamais gravée dans ma mémoire, la tentation de recommencer me titille et si je le refais, ce sera avec Stéphane qui se fait appeler organisation84 car il sur www.fessestivites.com m'a accompagnée, respectée, baisée, protégée et a tout fait pour que je m'éclate.

C.. surnommée Sophie pour ce récit.

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Samedi 5 octobre 6 05 /10 /Oct 10:42
Soumise sexuelle treize à la douzaine

Sling BDSM accessoire sexeSi j'écris cette histoire, c'est parce que je n'ai pas le choix. Mon mari m'a enchaînée sur une chaise avec deux godes placés là où vous imaginez avec comme ordre de raconter mes aventures de vendredi. Je ne m'éterniserai donc pas, car je commence à avoir envie de faire pipi.

En résumé, nous sommes un couple libertin et BDSM soft, marié depuis 19 ans, notre vie de couple et sexuelle sont épanouies. En 19 ans de mariage nous avons finit par nous dévoiler nos petits secrets intimes. Mon mari aime bien me dominer, comme je ne suis absolument pas maso, sa domination est soft. De mon côté, j'ai toujours eu le fantasme du viol en série, d'être prise par des inconnus qui abusent de moi. Que l'on se rassure, j'aime mon mari et il est hors de question que je le fasse cocu.

Pour assouvir mon fantasme, nous allons depuis peu une fois par trimestre dans un club libertin le soir à gang bang. Je me promène nue sous le peignoir qu'ils nous louent avec un petit sac contenant mes menottes et bracelets à la main. Au fond de la grande salle, il y a un sling très confortable sur lequel je vais m'installer quand nous y allons. Je passe mes bracelets aux chevilles avant de m'allonger sur le sling.

Une fois installée nue, jambes attachées et écartées sur le sling, je mets les mousquetons des bracelets de mes chevilles sur les chaînes suspendant le sling. Les hommes me regardent avec beaucoup d'intérêt (surtout entre les jambes) avec un certain étonnement pour certains. (Les libertins sont parfois coincés) Je passe ensuite les menottes à mes poignets pour m'entraver toute seule une main sur chaque chaîne. Rien que de m'installer, je suis dans tous mes états, même si j'ai toujours un peu peur, mon excitation est énorme et ma chatte trempée.

Mon mari vient alors m'embrasser et me mettre une cagoule en spandex sur le visage, elle me permet de respirer aisément sans voir qui me prend et m'évite à avoir à sucer les sexe pas toujours très propres..... Il accroche un petit panier avec du lubrifiant et des préservatifs puis annonce à qui veut l'entendre que sa chienne est disponible par les deux trous. A chaque fois cette annonce me fait froid dans le dos, mais je sais aussi que je vais m'envoler et peut-être souffrir un peu.

Quand les premiers hommes me touchent, à chaque fois je bondis de peur même si je sais que mon mari veille à tout. Leurs mains qui me palpent et me fouillent sans aucune gêne me transportent au septième ciel en un rien de temps. J'aime moins quand elles me pincent les tétons mais ai-je le choix ? Quand on est violée on n'a pas le choix, je me contente alors de gémir et de dire des « non » que personne n'écoute. Vendredi soir il leur a indiqué que j'aime être violée et qu'ils pouvaient s'en donner à cœur joie. En entendant ça, j'ai pris peur, j'ai voulu qu'on arrête mais il ne répondait pas. Sur le coup j'ai cru qu'il m'avait laissée seule mais j'ai appris après la soirée qu'il ne m'avait jamais quittée.

Lorsque le premier sexe s'est posé contre ma chatte, j'étais totalement dans un autre monde, dans le viol pur et dur, sauvage et ignoble. Le mec m'a possédée comme une brute, les chaînes du sling rythmaient son martèlement brutal en même temps que mes cris. Au bout d'un moment j'ai réussi à me décontracter un peu, à moins que ce soit lui qui m'est décontractée.... Il s'est rapidement mis à grogner avant de se mettre à beugler avant même que je ne prenne du plaisir, un précoce qui devait s'imaginer que pour que ce soit bon, il faut essayer de battre des records de vitesse.

Le suivant a été plus doux, son sexe allait et venait en moi profondément à chaque fois, à chaque fois je savourais la possession car il n'était pas brutal. ET là, alors que j'allais partir, il s'est retiré pour poser son gland contre mon petit trou bien offert de par ma position. Le mec devait être bien monté car je l'ai sentie passer même si j'aime la sodomie. Comme il était très excité, il ne m'a pas laissée le temps de me décontracter, à peine en place il m'a labourée. Je tirai comme une malade sur les chaînes mais entre les entraves et ses mains me tenant fermement, j'ai eu l'impression de me faire démonter par un docker. Quand il s'est retiré après avoir jouis, mon anus continuait de se contracter, c'était magique.

Le suivant n'a pas tardé à profiter de la place libre, mon vagin déjà bien ouvert l'a apprécié et moi aussi. Ses mouvements me transportaient dans les brumes évanescentes du plaisir divin, le plaisir de l'abandon total à cette bite inconnue mais si efficace..... L'homme d'après n'a pas voulu faire connaissance, il m'a enculée directement sans plus de précaution en se servant de la fille offerte.

Après il y en a eu d'autres, beaucoup d'autres, je ne savais plus, je ne comptais pas mais j'avais perdu le fil. Prise à la chaîne, je n'étais plus qu'un pantin de chair épuisé mais disponible pour les mâles en rut. Certains m'ont éveillée les sens plus que d'autres, combien de fois ais-je jouis, je ne saurai le dire, mais quel pied.

La surprise du bonheur est arrivée à la fin quand j'ai entendu mon mari dire « treize à la douzaine » sauf que le treizième c'était lui. J'ai reconnu sa façon de me faire l'amour, de jouer avec mes sens, ma porte comme s'il hésitait à entrer. Il a du s'acharner tant j'étais épuisée mais il m'a eu comme toujours ou presque. Ses doigts sur mon clitoris faisaient la chamade en même temps qu'il me prenait à son tour, le coup de grâce du Maître de mon cœur m'a tuée.

Lorsque nous sommes rentrés, je dormais dans la voiture, le temps qu'il ferme le portail sans douche sans rien je me suis écroulée sur le lit comme une bien heureuse comblée, vidées, lessivée.

Le lendemain de ces soirées, pour remercier mon homme de tant de générosité d'âme, je lui suis entièrement soumise en anticipant même ses désirs, ses envies, ses caprices. Mes lèvres le butinent, ma bouche le mange, ma langue virevolte à la recherche de son exclusif plaisir parce qu'il le vaut bien non ?

Et là en guise de remerciement à mes généreuses attentions, il m'a enchaînée sur une chaise avec deux godes placés là où vous imaginez avec comme ordre de raconter mes aventures de vendredi. GRRRRR

Solange

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Lundi 30 septembre 1 30 /09 /Sep 09:57

Julie 19 ans candauliste confession érotique

Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça mais la première fois il s'est passé quelque chose en moi. Mon ami me suffit amplement pour les câlins, je l'aime, il m'aime, au lit pour nous tout va bien. Je ne suis pas une salope, une mangeuse d'homme comme certaines. Il y a en moi quelque chose d'étrange qui me pousse au sexe par le candaulisme que je ne contrôle pas.

Nous parlons librement de nos fantasmes, de nos envies coquines. Paul m'a indiqué qu'il aimerait faire venir un homme à la maison en me disant qu'il aimerait me voir baiser avec un autre. Je lui ai demandé s'il voulait être cocu, il m'a répondu qu'il ne serait pas cocu puisqu'il serait là et que c'est lui qui me proposait de faire venir un homme. Un samedi matin, alors que nous nous prélassions l'un contre l'autre sur le canapé il est revenu à la charge sur le sujet. Pourquoi ai-je accepté je n'en sais rien.

En moi une voix me disait qu'il ne fallait pas, mon corps me disait autre chose, je n'arrivais même plus à parler. Quand Paul m'a demandé si j'acceptais, le son ne sortait pas de ma bouche, je n'ai pu que faire un hochement de tête. Il a téléphoné à un copain, je le regardais sans plus rien penser, vide de songe, de réflexion je me laissais guider. Une demi-heure plus tard il est arrivé, mon corps ne répondait plus, même si nous sommes chez moi, c'est lui qui est allé ouvrir la porte.

Julie 19 ans candaulisteAssisse entre eux deux sur le canapé, je n'étais plus qu'un pantin de chair, une poupée avec laquelle on va pourvoir jouer. Son copain n'osait pas me toucher, c'est Paul qui a du entreprendre les choses en me caressant la poitrine par-dessus mon tee-shirt qu'il remontait lentement comme pour ne pas m'apeurer. Son copain m'a un peu caressé les seins, cela me faisait tout drôle, une sensation indescriptible me submergeait. Quand Paul m'a attirée pour que je m'étende sur lui, pendant que son copain touchait mon corps, je m'accrochais aux mains de mon chéri, et là, j'ai vraiment décidé de m'abandonner. Ils peinaient à retirer mon jean, je me souviens m'être levée pour le faire sans même qu'ils ne me le demandent. Leurs mains sur moi enflammaient mes sens, ma tête était chaude, c'est comme si j'avais bu.

Son copain s'est déshabillé, son sexe énorme était en érection, je n'osais y toucher. Paul m'a poussée vers lui alors je l'ai pris dans mes mains et je l'ai sucé. Pendant que je le suçais, Paul ne faisait rien, il avait juste sa main sur ma hanche, j'étais bien, rassurée par cette main. Si j'aime prendre le sexe de Paul dans ma bouche, celui de son copain ne générait rien en moi, je faisais ça machinalement. Paul m'a attirée sur lui, il a écarté mes jambes pour m'offrir à son copain. Mes mains cherchaient les siennes, j'avais besoin de les toucher, pas qu'il me tienne pour me forcer, non, juste les sentir dans les miennes.

Quand le sexe de son copain a touché le mien, j'ai fermé les yeux un instant. Il a joué à l'entrée de ma vallée intime puis avec ma chatte sans la prendre ni la forcer, mon dieu que c'était bon. Lentement mais sûrement il s'est enfoncé en moi, sa grosse bite me distendait et me faisait un peu mal, mes mains se sont mises à le freiner. Au bout d'un moment je me suis détendue et j'ai pu savourer ses mouvements en moi. Ma tête ne pensait plus, seul mon corps vivait, c'est fou, difficile à expliquer, mais c'est vraiment ce que je sentais. Ils m'ont demandée de me mettre à quatre pattes sur le canapé, la tête sur l'épaule de Paul qui me caressait la nuque et les cheveux je planais dans un autre monde au gré de ses mouvements en moi.

Julie 19 ans candaulistePuis ils m'ont remise sur le dos, pendant que son copain me prenait bien plus fort qu'au début, j'ai été prise d'une jouissance différente des autres, de celles que j'ai avec Paul. Cela ne s'arrêtait pas alors que je ne suis pas vaginale. Il a éjaculé sur moi en me souriant entre deux grimaces de plaisir. Son copain a eu l'intelligence de ne pas s'attarder, peut-être l'avaient-ils convenu ainsi. Paul a pris un gant, m'a lavée puis m'a prise dans ses bars en me disant que j'étais belle, très belle à regarder pendant l'amour et moi, je l'ai remercié pour cet instant magique que je venais de vivre. Nous avons ensuite fait l'amour comme des fous, je l'ai mangé de bisous.

Nous avons décidé de recommencer, mais la prochaine fois, j'aimerai essayer avec un bandeau sur les yeux pour ne rien voir et me concentrer sur les sensations magiques que mon corps m'a offert dans ce moment candauliste.

Julie

TSM journaliste de fessestivites

Les photos de Julie 19 ans candauliste sont ici

http://www.fessestivites.com/fre/Article/36_Libertins-echangistes-candaulistes-Cuckold/albums/5028_Julie-19-ans-candauliste.html

La vidéo de Julie 19 ans candauliste est ici

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/30_Cuckolding-et-candaulisme/3961_Julie-19-ans-candauliste.html

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Samedi 21 septembre 6 21 /09 /Sep 18:25

L'ABDL peut être très érotique, la douche, diaper en anglais aussi nous en conviendrons !

 

Voir une fille en couche peut être un fantasme, porter une couche aussi mais voir une fille ABDL en lingerie faire un show sensuel à la barre, cela ne laisse pas de marbre. 

 

La vidéo ABDL est sur Fessestivites


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Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : ABDL & plaisir
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Mardi 17 septembre 2 17 /09 /Sep 13:22

Soumise sexuelle

Je suis Stéphanie, la soumise sexuelle de mon Maître mais ne pensez surtout pas qu'il est irrespectueux avec moi dans la vie ou quelqu'un de vulgaire, ce n'est pas le cas. Lors de nos soirées il sait faire ressortir mes pulsions de salope pour ne pas dire chienne même si ces deux mots pour parler d'une femme me gênent, je dois bien avouer que parfois......

Le week-end dernier nous n'avions pas les enfants, il y avait une soirée BDSM et plus organisée par des membres du réseau Fessestivites du côté de Lyon, ne me demandez pas où, mon sens de l'orientation est celui d'une blonde si vous voyez ce que je veux dire.

Comme pour toutes les soirées, je dois être belle, sans culotte cela va sans dire, avoir mon collier, le « cul propre » au cas où..... et mettre mon rosebud. Juste avant de partir, mon Maître a eu comme idée saugrenue de me mettre un ballon de baudruche dans le sexe puis de le gonfler un peu avec une pompe à main. Cela fait une drôle de sensation mais en même temps c'est rigolo.


Soumise sexuelle


A peine arrivé chez le couple qui recevait dans une magnifique villa, il a mis une laisse à mon collier puis m'a fait tirer la valise à roulette contenant ses « jouets » préférés. Les présentations faites, il m'a ordonnée de me mettre à l'aise, traduction retirer ma robe pour évoluer en guêpière et sans culotte... au milieu des invités. Après l'avoir servi, j'ai eu le droit de boire une coupe d'un champagne particulièrement bon ce qui m'a incité à en prendre une seconde lors d'une conversation en oubliant de demander la permission à mon Maître. Cela ne lui a pas échappé ! Trente secondes plus tard, couchée sur ses genoux j'ai reçu la première fessée de la soirée devant tout le monde. Au lieu de m'aider à me relever, il a chaangé le ballon de baudruche logé dans mon sexe et l'a gonflé. Autant dire que les yeux des participants n'étaient pas dirigés vers le plafond......

N'étant pas très maso, pendant la soirée je n'ai reçu que quelques coups de martinet et, pour être passée devant l'hôte au lieu de m'effacer, trois coups de canne anglaise, instrument que je n'aime pas du tout. GRRRR Ce sadique de m'a pas loupée. En parlant du sadique, quand il a demandé à mon Maître si je pouvait accompagner sa soumise pendant sa séance de fouet, mon estomac c'est noué !

- Va te mettre à genou devant Julie et bouffe-lui la chatte pendant qu'il la fouette. M'a ordonné mon Maître, ordre qui m'a rassurée comme vous pouvez vous en douter.

Cette jolie brune très maso était déjà trempée à l'idée d'être fouettée. J'ai trouvé ça très excitant de la sentir vibrer sous le fouet quand la langue furetait sur son très joli chaton. Naturellement il m'est venue l'idée d'étreindre ses hanches pour la plaquer plus encore contre ma bouche ce qui n'était pas une bonne idée du tout, car laisser traîner ses doigts sur un cul fouetté ça fait très mal. Julie criait à la fois de plaisir et de douleur, de douleur plaisir d'ailleurs, ses généreuses sécrétions le confirmant tout comme ses délicieux mouvements de bassins.

Après ce délicieux moment, mon Maître m'a ordonné de rester à quatre pattes comme une chienne. Ainsi conduite à travers le salon vers le canapé, j'offrais parait-il un déhanchement aussi excitant qu'amusant, le bout du ballon orange et le rosebud attirant les yeux coquins. Une fois à quatre pattes sur le canapé, mon Maître m'a caressée la chatte en déclarant haut et fort que sa chienne était trempée puis a invité les participants à venir le constater.

- Quand je disais que c'est une salope, je ne vous avais pas menti ! Déclara mon Maître pendant que des mains me tripotaient.

J'étais très gênée mais en même temps très excitée, un paradoxe qui m'échappe totalement mais c'est ainsi. Mon Maître m'a retiré le rosebud puis a proposé qu'une fille vienne me faire accoucher de ses dents. La rousse désignée s'est amusée comme une folle à tirer sur le ballon puis à le lâcher pour qu'il reprenne sa place. Cela leur a beaucoup plus....

Mon Maître a réussi à me remettre le ballon puis m'a obligée à me mettre sur le dos et à me branler devant tout le monde pour leur faire voir que je suis une « grosse salope ». Là j'avais vraiment honte mais comme une bonne soumise, je n'ai pas discuté. Et puis... et puis cela a commencé à me plaire, je ne trichais pas mais il m'a interdit de jouir.

- Cette chienne est insatiable, elle m'épuise, si vous désirez la baiser par tous les trous ne vous gênez pas, elle est à vous pour la soirée. Leur a dit mon Maître en ajoutant que le préservatif était obligatoire.

Les mâles en rut n'ont pas tardé ! Remise à quatre pattes sur le canapé pour que mes fesses soient à la bonne hauteur, j'ai été prise sur le champ par un rustre pendant qu'un autre présentait sa queue à mes lèvres. Alors que cela commençait à peine à devenir bon, le rustre précoce a jouis avec des cris de cochon que l'on égorge, comme si la puissance de ses cris représentait la puissance de son sexe...... Si je n'aime pas trop être ainsi exposée, (toujours mon paradoxe) quand une autre bite s'est enfoncée en moi, j'avoue avoir apprécié de ne pas rester .....inassouvie. Elle est arrivée comme un tsunami laminant tout sur son passage. Accrochée aux bites que je devais sucer, la vague de ma jouissance a en même temps rasé ma pudeur. J'en voulais encore et encore, si bien que lorsqu'un autre mec m'a prise tout mon corps tremblait. C'était torride, monstrueusement bon jusqu'au moment où il a décidé de m'enculer. Il n'y arrivait pas, quel dommage car à ce moment là, c'est d'une poutre dont j'avais besoin en moi.

Un soumis m'a sûrement eu en récompense, sa Maîtresse lui accordant le droit de me lécher le cul et la chatte. Moi ce n'est pas d'une langue que j'avais envie mais d'une bonne bite qui sait se tenir ! ! ! Le soumis a également du lécher le sperme que certains avait laissé sur mon dos et sa Maîtresse me l'a gentiment prêté pour que je prenne encore un peu de plaisir. Couchée sur le canapé pendant qu'il me léchait, je me suis branlée sans aucune honte ni pudeur en regardant une fille se faire tanner le cul à la canne anglaise. La soirée tirant à sa fin, nous sommes allés à l'hôtel où j'ai dû câliner mon Maître pour le remercier de cette soirée. Sa bite était belle, douce, dure, parfumée comme j'aime. Ma langue et mes lèvres s'en délectaient avec amour.

Mon Maître m'a autorisée à m'asseoir sur lui. Pendant que mes mains guidaient sa bite majestueuse entre mes lèvres et entre mes fesses, je lui ai demandé si je pouvais la prendre derrière, chose qu'il m'a accordée non sans m'obliger à lui dire : « votre salope a envie de se faire enculer ». A ce moment là, j'avais tellement envie de lui, que je lui aurai dit tout ce qu'il voulait sans hésiter. Oh mon dieu que c'était bon de le sentir glisser en moi sans faillir. Cela devait être fête ce soir là car il m'a laissée me branler en même temps, quel pied. Après qu'il ait joui j'en voulais encore mais il m'a arrêtée pour que je remercie son Priape comme il se doit.

J'ai fini la nuit mains menottées dans le dos « pour que je sois sage » et à ses pieds, que j'ai un peu dégustés avant de finir par sombrer dans les bras de Morphée.

TSM Journaliste de Fessestivites

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Jeudi 11 juillet 4 11 /07 /Juil 15:37

Défi des autoroutes libertines avec 1 mois d’abonnement à gagner sur Fessestivites aux 5 premiers qui le feront et auront posté leurs photos.


1°) Ecrire Fessestivites sur vos fesses ou les fesses de votre partenaire.
2°) Sur une aire de repos d’autoroute, faites voir vos fesses nues ou ses fesses nues offertes avec l’inscription Fessestivites.
Il faut faire 5 photos minimums où l’on voit les fesses offertes ET avec l’inscription Fessestivites sur une aire d’autoroute en arrière plan.
3°) Postez vos photos sur le site www.fessestivites.com

Faites attention de ne pas être vus par des enfants, des adultes ou la police.

Pour ceux qui ne savent pas poster les photos sur Fessestivites.com, voir le mode d’emploi ci-dessous.
http://www.fessestivites.com/fre/Article/44_Les-news-infos-ANNONCES-et-soirees-de-Fessestivites/trucs-infos-astuces/1320_Comment-telecharger-VOS-histoires-et-vos-photos.html

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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