Gay

Mercredi 13 novembre 3 13 /11 /Nov 14:40

Auto dédoublement de personnalité sexuelle


AUTEUR : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Je me vois comme dans un miroir en train de me caresser les tétons alors que mes mains sont en train de me caresser les testicules et le sexe dans un moment de plaisir solitaire.

Pendant quelques secondes, je savoure les agréables sensations quand soudain quelque chose ne va pas. Comment mes deux mains peuvent-elles être sur mon sexe est mes deux tétons en même temps ?

Il y a quelque chose d’illogique qui ne va pas ! ! ! ! Je dois dormir et rêver.

L’agréable sensation de la masturbation me pousse à me « branler » plus vite en enserrant doucement mes testicules de l’autre main quand soudain, les deux mains sur ma poitrine sont également plus dures dans les gestes, mes doigts pincent plus fort mes tétons.

- Je rêve ! Dis-je à haute voix.

- Non tu ne rêves pas ! Répond ma voix.

D’un seul coup, mes envies de plaisir solitaire s’arrêtent, je m’assoie dans mon lit, les rayons du soleil du matin filtrent à travers les volets. En face de moi, je me vois assis en tailleur sur le lit alors que je suis dans le lit. Pour mettre un terme à ce rêve fou, je me pince puis, comme mon image ne disparaît pas, je donne un coup de poing dans le mur au-dessus du lit.

- C’est idiot, tu viens de me faire mal alors que je te voulais du bien ! Me dit mon image en se frottant la main.

Le pire c’est qu’elle a raison, je me suis réellement fait mal. D’un bond, je saute du lit et bute contre l’armoire, mon image étonnée me regarde sans bouger. Mon premier réflexe est de tirer sur la couverture mais elle résiste, je me vois assis dessus alors que je suis debout ! ? ! ?

Je fonce à la salle de bain pour m’arroser le visage au lavabo avant de revenir les poings serrés dans la chambre prêt à me battre.

Et là, qui vois-je ? Moi ! Moi toujours assis nu sur le lit.

Tout en me massant la main qui a donné un coup dans le mur, j’entre dans ma chambre, je me vois me sourire et m’inviter à me recoucher. La voix de mon image me dit de me calmer puis de continuer à me branler et à me donner du plaisir !!!!!!

Pendant un instant je crois devenir fou. L’image de mon corps toujours assise sur le lit m’invite à me recoucher en soulevant les draps et la couverture. Le réveil indique 6 heures. Je me recouche avec d’immenses précautions, prêt à me battre avec mon image et donc avec moi-même. Mon image affiche un sourire rassurant puis entreprend de caresser mon sexe redevenu flaque et de la taille d’une grosse nouille. La sensation est agréable, le geste est ultra précis comme quand c’est moi qui me caresse. Avec lenteur et prudence, mes mains rejoignent mon sexe, mon image retire les siennes pour revenir triturer mes tétons, là aussi, la sensation est douce, les gestes parfaits correspondent à ce que j’aime.

Mon image se penche sur mon sexe avec la bouche ouverte et le « gobe » avec douceur. Cela me gêne terriblement de voir un homme me sucer, je ne suis pas gay ni même bisexuel ! ! ! !

Et pourtant, la sensation est divine, le geste parfaitement comme j’aime quand c’est une femme ! Soudain, mon image s’arrête de me sucer pour remonter sur le lit et me tendre un sexe identique au mien.

- Continue, c’est bon ! Me dit mon image.

N’étant pas gay ni même bisexuel, la demande de mon image me gêne fortement, par curiosité je prends ce sexe dans ma bouche, en quelques secondes, ma langue et mes lèvres trouvent ce que j’aime, la totale symbiose se fait. Au plus je suce, au plus c’est bon, c’est la première fois que je suce un mec.

Même si c’est moi cela me perturbe !!!!!!!!!

Mon image passe sa main derrière ma tête pour me forcer à aller plus profond comme j’aime en me disant de ne pas être si timide. Mon premier réflexe est de serrer les poings, si elle continue il va y avoir du sang, mais en même temps, c’est si bon de me sucer et d’être sucé ainsi que je modère mes réactions. Mon image me fait descendre dans le lit puis enjambe ma tête avant de me donner son sexe à sucer. Le nez sur mon ventre, enfin le sien, dans la position du 69 je ne loupe rien de mon anatomie. Pendant que je le / me suce, ses doigts s’attaquent à l’orifice situé entre mes fesses, là, je suis prêt à mordre et à lui arracher ce qui fait de lui un homme !

- Ne fait pas l’idiot tu vas te blesser, laisse-toi aller, ce n’est que toi. Me dit mon image tout en continuant à titiller mon orifice interdit.

Comment sait-elle que j’ai bien failli lui couper la verge d’un coup de dent ? Mystère !

Les doigts de mon image deviennent plus intrusifs tout en étant doux, quelque chose m’échappe vraiment, ce n’est pas désagréable, bien au contraire ! Si je me suis déjà mis un doigt au cul, que ce soit un autre mec qui le fasse même si c’est mon image me gêne terriblement.

Au bout d’un moment sous son attouchement anal réalisé avec douceur en même temps que la sublime fellation qu’il me fait, je me perds dans mes émotions. Je me surprends même à lui tailler une pipe avec conviction !!!!!!!!!!!

Moi sucer un mec et y prendre plaisir ????????

Je suis à deux doigts de jouir quand mon image s’arrête et retire son sexe de ma bouche. Mon image relève mes jambes, je ne résiste pas pour voir ce qu’elle va faire, après tout, jusqu’à présent c’est franchement bon et personne d’autre que moi ne sait ce qu’il se passe. Personne ne sait que je suis en train de baiser avec un mec, enfin moi, mon image, et merde je ne sais plus que dire ou penser !

Je disjoncte ou quoi ?

Quand mon image pose son sexe entre mes fesses, malgré son sourire j’ai envie de lui foutre ma main dans la gueule.

- Calme-toi, tu vas te faire mal ! Me dit mon image.

Comment sait-elle que je voulais lui arracher la tête ?

Après avoir copieusement mouillé mon anus avec sa salive, mon image entreprend de me forcer le fion ! ! ! ! « Laisse-toi aller, tu vas t’éclater » me dit-il avec une voix douce en affichant un sourire banane. J’aimerai le voir à ma place ce con !

Avec d’infimes précautions, mon image parvient à me pénétrer, mon anus distendu me fait un peu mal. Quand il parvient à se glisser en moi, la sensation est bizarre, bonne mais très gênante. Lentement, mon image attrape mes poignets qu’elle plaque contre le lit pour entreprendre des mouvement de va et vient. Aussi surprenant que cela puisse paraître, cela n’est pas désagréable bien au contraire. Quelques minutes plus tard, ses mains bloquent fortement mes poignets, les coups de bite deviennent plus rudes, plus profonds. J’ai beau lui dire d’aller doucement, il n’en a que faire. Les jambes coincées derrière ma tête par ses bras et avec mes mains bloquées, je n’arrive pas à lutter, à me soustraire à cet abominable viol.

Des envies de meurtre me submergent.

Cloué dans le lit, hormis subir ses sauvages pénétrations, il m’est impossible de faire quoi que ce soit. Une horrible envie de pisser me vient, j’essaye d’y résister, ma tête devient brûlante, mon cul s’extasie de plaisirs enivrants malgré moi. Quelques minutes plus tard, je ne suis plus qu’un cul à la recherche ou à la fuite des sensations. La totalité de mon cerveau se focalise sur mon trou du cul, quelle horreur, quel plaisir en même temps. Je deviens fou, moi me faire enculer et y prendre du plaisir ?

Ce n’est pas possible, ce mec m’a drogué, on m’a drogué ! ! ! ! !

Noyé dans les sensations divines et leurs contraires, je perds la tête, je finis par m’abandonner puis à crier mon plaisir. Juste avant de jouir, il se retire et se remet dans la position du 69 en m’imposant son sexe bandé dur comme de la pierre. Ses mains derrière ma nuque me bloquent, il me force la bouche comme un malade quelques instants avant de se répandre sur ma langue et au fond de ma gorge. Ne pouvant m’y soustraire, j’avale le plus vite possible, c’est dégueulasse et salé, si j’arrive à le supporter c’est bien parce que je suis aussi en train de jouir sous la pipe d’enfer qu’il me fait et qui gomme toutes mes résistances.

Epuisé, vidé, je sombre aussitôt dans les bras de Morphée, mon image est enfin partie.

Lorsque je me réveille il est 10h15, ma bouche est pâteuse, je ne dors jamais aussi tard. Mon cauchemar me revient à l’esprit, mes yeux scrutent la chambre, il n’y a personne. Une envie naturelle me pousse à me lever et à me rendre aux toilettes. La fraîcheur de la maison et le carrelage froid sous mes pieds dissipent les brumes évanescentes de mon cerveau embrumé.

L’abominable cauchemar ne quitte pas mon cerveau.

A cet instant, une envie de déféquer me vient, quoi de plus naturel ? En prenant place sur les toilettes, je me traite de fou, j’ai fait un cauchemar totalement débile et 100% contraire à mes fantasmes. C’est sûrement à force d’écrire des histoires pour aider mon ami, le webmaster du site de rencontres Fessestivites.com

Et là ! ! ! !

Et là, quand je fais ce que tout être humain fait !

Et là, quand je fais ce que tout être humain fait, mon trou du cul me fait un mal de chien !

Pourquoi ?

Pourquoi mon trou du cul me fait un mal de chien ?

Je n’ai pas la réponse mais n’ose aller à la salle de bain, le miroir me fait peur, je me raserai et me laverai demain.

Ecrivaillon

 

 

Forum Gay

 Rencontres BDSM

 Voir des vidéos Gay (SANS pub)

Histoires érotiques gay (SANS pub)

 

 

 


Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Ecritures Sensuelles
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 5 novembre 2 05 /11 /Nov 08:37

Formation à la soumission par un Gay SM ouvert à l’ABDL


Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

ATTENTION, ce texte écrit il y a deux ans pour un ami est assez hard voir crade. Etant prévenu, le lecteur ne pourra me tenir rigueur si quelque chose le gêne.

 

Formation à la soumission par un Gay SM ouvert à l’ABDL

J’ai rencontré un gay SM très ouvert à l’ABDL sur un site de rencontres et comme les femmes nurses sont assez rares, étant bi, je me suis dit pourquoi pas. Pourquoi ne pas passer une soirée chez lui histoire de vivre.com/phpBB3/fetichisme-medical/colon-h quelques passions. La rencontre s’est faite le plus naturellement possible, échanges d’émail, tel et RDV. Je fus très surpris par sa personnalité, derrière son sourire et ses agréables conversation, se cache un Maître particulièrement sévère. Lors de la première rencontre, nous avons discutés longuement avant qu’il ne s’occupe de moi comme une nurse le ferait avec un enfant, hormis quelques claques sur mes fesses, il n’a pas fait de SM avec moi. Il a fait pire.

Il s’est amusé à mettre le feu à mes neurones puis à créer de nouveaux fantasmes en me faisant voir des photos de soumis entre ses mains et celles de ses amis. Pendant la soirée, Greg me parlait souvent des stages que des soumis étaient venus faire chez lui Le matériel de folie, le cadre et l’ambiance des photos m’ont donné envie d’aller plus loin pour voir. J’ai donc accepté de venir faire un stage chez lui, un stage BDSM pas trop hard disait-il avec des couches pour certaines pratiques. L’envie de vivre un stage DL forcé me séduisant, nous avons donc pris date pour les vacances de la Toussaint. Côté pratique, je devais lui donner 200 euros en espèce pour contribuer aux frais de la semaine pendant laquelle il me fournirait tout, tout signifiant, le gîte, le couvert, les couches, les lubrifiants, préservatifs. Pendant la semaine, mes neurones se sont enflammés à en avoir mal aux mains.

Le vendredi de mon arrivée, il m’a envoyé prendre une douche et me faire un lavement afin que mon colon soit propre. La chose faite, il m’a posé un collier d’esclave fermant à clé puis m’a offert un whisky coca monstrueusement tassé en m’expliquant les règles du jeu. Sécurité maximum pour tout, le « non » m’était interdit, il allait me faire vivre un stage progressif mais comme si j’avais été enlevé. Le whisky coca terminé, j’ai signé une décharge pour qu’il ne soit pas ennuyé en cas d’accident, chose pouvant hélas arriver malgré les précautions d’usage. Je n’ai rien lu, j’ai signé en lui faisant confiance avant de le laisser m’enfiler une camisole de force. Une fois fermée, il m’a attrapé par la queue pour me conduire dans son donjon où je dus prendre place sur son sling. Sous camisole de force, dans le sling avec les jambes attachées en V, je ne pouvais pas lui être plus offert. Les mains gantées, il s’est immédiatement attaqué à mon cul qu’il trouva étroit, et pour cause, hormis pour les choses naturelles, il ne sert que très rarement et accueille de petits plugs sans prétention. Greg fut relativement doux mais il s’entêta à me dilater le cul. Il massa ma prostate avec un savoir faire tel qu’il me fit tourner la tête et que mon sexe même mou se mit à couler.

Quand il a sorti sa bite, j’ai compris pourquoi il m’avait préparé le cul ! Je me suis fait défoncer à en perdre le souffle pendant un bon moment sans aucune possibilité de résister. Mon corps se balançait avec le sling dans un bruit de chaîne accompagné de mes cris, j’ai vécu cela comme un véritable viol tant il fut rude. Il se retira soudain, arracha son préservatif pour venir me la mettre dans la bouche. Je n’avais jamais avalé ni même reçu du sperme dans la bouche, mais je n’ai rien dit. Le sucer fut douloureux pour mes mâchoires, plusieurs fois j’ai du luter pour ne pas vomir quand il allait jusqu’au fond de ma gorge. Il a soudain bloqué ma tête pour s’enfoncer le plus loin possible dans ma bouche en poussant des grognements. Tant bien que mal j’ai avalé sa semence généreuses et salée pendant qu’il agitait ma tête comme un malade. Après s’être vidé les couilles, Greg est revenu s’occuper de mon cul en me disant qu’il fallait me dilater. Il a introduit un gros plug dans mon anus avant de me mettre une grosse couche qu’il a renforcé avec du scotch d’emballage. Un quart d’heure plus tard, complètement chamboulé par ce début de stage, je mangeais comme un chien des petits pois en boite dans une gamelle à même le sol du donjon. Greg m’a ensuite libéré de la camisole de force pour me mettre des menottes « spécial police » avant de me pousser sans ménagement dans une cage. Je pensais que cela allait s’arrêter là mais non, il fixa une chaîne à mes menottes pour me bloquer les mains sur les barreaux juste au-dessous d’un gros rond en métal, laissant imaginer que la bouche des soumis passés dans cette cage était parfois utilisée. En guise de boisson, il m’a donné un biberon de whisky coca toujours autant tassé.

La nuit en cage fut difficile et très inconfortable. Difficile car mon cul s’est révolté, ma bite s’est mise à bander mais avec les mains enchaînées, je ne pouvais rien faire. J’avais beau essayer de pousser pour chasser son plug, à par me faire mal, je n’arrivais à rien. Sans lumière il est difficile d’avoir une notion de l’heure, hormis dormir ou essayer de dormir, on ne peut rien faire pour tuer le temps. Une odeur me gênait, ma couche me semblait bien pleine, alors que je n’avais souvenir d’avoir bu au point de la remplir ainsi. Si la nuit fut difficile, le réveil fut hard ! Il m’arracha de mon sommeil pour me faire passer la tête dans le trou et quand j’ai voulu résister, il a pris un truc électrique pour me balancer des décharges. Quand j’ai voulu arrêter le stage, il m’a remis deux décharges supplémentaires en me rappelant que je n’avais plus que deux droits : me taire et subir. Son truc électrique faisant un mal de chien, j’ai donc passé ma tête dans le trou. A peine passée, il a glissé deux plaques m’emprisonnant comme un pilori. A quatre pattes dans la cage avec la tête dehors, face à Greg tenant toujours son truc électrique infernal, je n’ai pas eu d’autre choix que d’ouvrir ma bouche quand il me l’a demandé. Dix minutes et quelques haut-le-cœur plus tard, j’ai reçu une décharge de sperme en guise de café.

La chose faite, il a libéré ma tête puis m’a tendu un biberon de café froid avant de quitter les lieux et d’éteindre la lumière sans plus de considération. Quand je me suis calé dans la cage, dans ma couche ce fut Beyrouth, les odeurs s’en échappant me firent comprendre que j’avais eu de très sérieuses fuites anales malgré le plug. Une bonne heure plus tard, à la louche car dans le noir on ne peut qu’imaginer, il est venu me sortir en me criant « à la douche gros porc ». J’étais debout dans sa douche quand il a retiré ma couche pleine de merde. Il m’a lavé à grand d’eau sans être gêné par la matière ou les odeurs avant de me sécher sommairement et de me remettre une couche pour me reconduire à la cage. Le plug que j’avais dans le cul était un plug de dilatation percé pour pouvoir être porté 24/24. Vers midi, enfin je suppose, il me redonna un biberon de whisky coca toujours autant tassé et un jambon beurre en guise de repas. En fin d’après-midi, il vint me chercher pour me conduire à nouveau à la douche qui fut aussi dégueulasse que la précédente mais cette fois, il me retira le plug à l’aide de lubrifiant avant de me faire un lavement façon gay avec un tube se fixant sur la douche. Il me tartina ensuite l’anus d’une crème apaisante en me complimentant sur ma résistance psychologique tout en instant sur le fait que d’autres auraient craqué. Il me remit une petite couche avant de m’offrir un apéro avec son éternel whisky coca toujours autant chargé.

- Ce soir va être un grand soir pour toi, m’annonça t-il en me fixant des fers de bagnards aux pieds, tu vas t’éclater et vivre des choses superbes, quand tu repartiras, tu auras la tête pleine de souvenir et tu auras énormément progressé dans ta soumission. Attend-toi à jouir comme un malade.

Il me retira les menottes pour me faire mettre une camisole de force en gros cuir noir, avec des ouvertures au niveau des tétons. Greg me prit par la tête pour me conduire à l’entrée de sa maison où je découvris une drôle d’installation. Sur le mur, il avait fixé une barre verticale avec une sorte d’équerre portant un plug de bonne taille recouvert d’un préservatif et d’un peu de lubrifiant. Il m’ordonna de m’empaler dessus, chose que je fis sans trop de peine, mon anus étant bien ouvert par les traitements subits depuis mon arrivée. Il ajusta l’équerre avant de me faire écarter les jambes pour y fixer une barre d’écartement. En écartant les pieds je n’ai pas eu d’autres choix que de m’empaler totalement et très profondément. Il me posa un bâillon puis fixa ma tête à la barre verticale avant de poser des pinces à sein diaboliques reliées par une chaîne. Il me posa un cockring en cuir puis un étireur de couilles et malgré mes cris une cage de chasteté dent de Kali sur la queue. Abandonné ainsi dans l’entrée, j’avais mal de partout et quand j’ai voulu me plaindre en geignant je me suis fait traiter de chochotte. La sonnette m’a fait bondir, Greg a ouvert la porte à deux de ses amis, leur a fait la bise et m’a présenté comme le stagiaire et accessoirement le portemanteau. L’un d’eux n’a pas hésité un instant, il a posé sa veste, l’a posée sur un cintre qu’il a accroché à la chaîne de mes pinces à sein. La douleur me fit crier dans le bâillon ce qui ne l’offusqua pas pour autant. Il me flatta les couilles y accrocha son sac et me souhaita une bonne soirée. Des envies de meurtre me sont passées par la tête.

Un bon moment plus tard, Greg est venu me soulager en retirant avec beaucoup de douceur les horribles pinces. Il fixa une laisse au cadenas de la cage de Kali pour me conduire à ses invités. L’un des deux était nu aux pieds de son Maître avec une gamelle posée devant lui. Dans sa grande générosité, Greg me servit une gamelle de whisky coca, retira mon bâillon et m’invita à prendre l’apéro avec eux. Sans plus aucune honte, j’avais tant soif que j’ai bu comme un fou aux pieds de Maître Henri. Quelques instants plus tard, quand il a sorti une cagoule uro de son sac, j’ai pris peur ! Le soumis habitué présenta sa tête sans aucune résistance pour qu’il la lui pose et là, Maître Henri se leva pour s’y soulager la vessie. Le soumis buvait son urine bruyamment mais à aucun moment il n’a essayé de fuir. Greg fit de même un moment plus tard, le pauvre soumis avala sans jamais se rebeller, au contraire, il bandait ! ! ! Greg m’attrapa la tête en m’ordonnant de lécher la goûte chose que je fis avec une certaine appréhension pour finalement me rendre compte que ce n’est pas si horrible que je ne l’imaginais. En guise de repas quatre étoiles, nous avons partagé deux pizzas surgelées arrosées au whisky coca. La soirée fut accès sexe pour sexe sur les soumis, nos bouches et culs furent copieusement utilisés par des doigts, des bites, des godes et une main entière pour le soumis qui se fit copieusement fister.

Le comble de l’horreur pour moi est arrivé juste après !

Greg me fit monter sur le sling pour m’introduire le plug de dilatation qu’il fixa avec des cordelettes par peur que je ne le rejette. Pendant ce temps, Maître Henri passait une camisole de force à soumis carpette qu’il entrava solidement sous une sorte de chaise carcan faite en gros bois avec l’assise faite de deux barres servant de pieds mobiles. Greg m’entrava jambes écartées sur cette chaise, mon cul était juste au dessus du visage de soumis carpette. Il me retira la cage de chasteté de Kali pour pouvoir mettre mon sexe et mes couilles dans une sorte de préservatif le recouvrant totalement. A l’extrémité du tube servant à loger le pénis, il y avait un tube permettant d’uriner. C’est quand ils ont mis une grosse cagoule ouverte à soumis carpette que j’ai compris leurs intentions, ou du moins, que j’ai cru comprendre. Sur cette cagoule ils y ont vissé un ballon rigide avant d’y placer deux tubes. Le premier fut relié à mon sexe pour qu’il collecte mes urines, le deuxième à mon plug de dilatation dont Greg retira le bouchon pour y brancher le tube. Devant ma révolte et mon agitation, ils ont doublé mes entraves et m’ont collé de force la cagoule uro. Par chance, ils n’ont pas uriné dans le réceptacle, mais ils y ont vidé un peu de leurs bières en trinquant avec moi. Après avoir pas mal picolé et m’avoir fait boire de la bière, ils nous ont souhaité bonne nuit en nous laissant sans éteindre la lumière. Comme chacun sait, la bière fait pisser. Sachant que je ne tiendrais pas la nuit, j’ai donc abreuvé soumis carpette qui n’eut aucun mouvement dé révolte. Un bon moment plus tard, alors que je commençais à m’endormir, soumis carpette s’est mis à s’agiter et à faire de drôles de bruits. Et là, j’ai pris conscience de ce qu’il se passait. Le plug de dilation sans bouchon ne retenait rien de…. J’étais écoeuré à deux doigts de vomir mais je me suis retenu comme un fou car avec la cagoule uro sur le visage les résultats risquaient d’être dramatiques.

Un très long moment plus tard, ils sont venus nous libérer, je fus mis en couche et menotté dans ma cage comme la première nuit. Le matin, Maître Henri voulu tester mes « qualités buccales », je n’ai opposé aucune résistance car le truc électrique de Greg est vraiment horrible. Après l’abominable douche et le lavement donnée par Greg, il mit le bouchon à mon anneau de dilatation et m’ordonna de faire le ménage, soumis carpette ayant pour mission de préparer le repas du midi. Si le repas se déroula normalement, les Maîtres à table et les soumis par terre en gamelle, la sieste quant à elle fut très SM. Soumis carpette se fit copieusement fouetter pendant que Greg s’amusait à me dilater le cul avec un plug gonflant. Greg me fit m’allonger sur le ventre sur le sling, pour que mon petit cul « qui deviendra grand » lui soit bien offert. Il m’entrava sérieusement. La pauvre carpette ayant le corps strié, Maître Henri décida de lui donner un peu de repos en lui ordonnant de passer sous le sling pour me faire une pipe. Les lanières du martinet me firent bondir plusieurs fois, mais Greg étant modéré, cela était très supportable d’autant que carpette suce comme un dieu. Mon cul fut offert à Maître Henri qui ne s’en priva pas. Etant maintenant bien ouvert analement, entre ses coups de bites et la pipe de carpette, j’allais m’envoler quand Greg armé d’un fouet court me tendit sa bite en m’ordonnant de boire. Je pense qu’ils ont conjugué leur effort pour me faire franchir le pas de l’uro, j’ai bu à la source en me faisant défoncer le cul et sucer par un vorace et le pire c’est que j’ai jouis comme un fou. Avant de libérer la loque humaine que j’étais, Greg m’a mis un anneau de dilatation encore plus gros puis une couche avant de m’envoyer menotté retrouver ma cage.

La semaine fut plus calme, j’ai beaucoup dormi. Le rituel du matin ne changea pas, pipe, douche, couche, cage jusqu’au soir avec deux biberons et deux sandwichs. Le soir, j’avais droit au martinet, à de l’étirement de couille, de la dilatation, il me baisait le cul avant de venir finir dans ma bouche qu’il semble apprécier. Le jeudi soir, il est parvenu à me fister et à me faire grimper aux rideaux.

Le dernier soir, fut très hard, mon état d’esprit ayant changé, j’acceptais tout sans résister en prenant du plaisir quand cela m’était accordé. Je me suis fait fouetter pour la première fois pendant que carpette me bouffait la bite comme un malade avec interdiction de me faire jouir. J’avais un plug de 10 centimètres dans le cul quand je me suis laissé mettre la cagoule uro, Greg s’y est soulagé pendant que carpette avait comme ordre de me faire jouir. J’ai bu, j’y ai trouvé du plaisir alors que je n’aurai jamais pensé faire cela un jour. J’ai du remercier carpette de ma bouche, je l’ai fait avec plaisir et conviction pour le remercier de m’avoir si bien accompagné dans toutes les épreuves que j’avais vécu en sa compagnie. Ce soir là, Greg me mit une couche mais pas les menottes, il ne ferma pas la cage dans laquelle j’ai dormi. Cette soudaine liberté me gêna presque, tout comme le fait de devoir aller prendre mon café avec Greg assis à la table de la cuisine. Nous avons longuement discuté de ce qu’il s’est passé dans la semaine, j’ai tenu à lui faire sa pipe du matin, il a accepté avec le sourire du conquistador en coin. Greg ma conseillé de porter des couches pendant quelques jours, je temps que je redevienne 100 % continent. Quitter ces lieux de débauche totale m’a ému, je ne le remercierai jamais de m’avoir fait vivre tout cela.

Ma sexualité n’a pas changé, je suis toujours bisexuel, disons que je prends maintenant bien plus de plaisir avec les hommes, avant ils n’étaient pour moi, qu’un exutoire en remplacement des femdom ou nurses. Le gag, c’est que je viens d’en rencontrer une qui semble craquer pour moi, croisons les doigts pour que cela dure.

Ecrivaillon

 

 

Forum Gay

 Rencontres BDSM

 Voir des vidéos Gay (SANS pub)

Histoires érotiques gay (SANS pub)

 

 

Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : plaisirs SM
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 27 octobre 7 27 /10 /Oct 05:06

MON MAITRE

Auteur Ecrivaillon

Mike est un motard âgé de 40 ans. Sa corpulence correspond bien à son métier de docker même si aujourd'hui tout est mécanisé. Avec son mètre quatre-vingt-dix et sa carrure d'athlète quand il descend de sa moto et retire son casque, le regard des filles est assez éloquent sur ce qu'elles ressentent mais leur chance d'entrer dans son lit sont minimes car il préfère les hommes depuis des années.

Je l'ai rencontré sur un site de rencontres  où je me suis inscrit à la partie gratuite qui m'a tellement convaincu (et excité) que j'ai pris un abonnement à leur site de rencontres qui fonctionne bien et qui permet, chose rare, de mixer les passions et fétichismes.

Le pied ! Nous avons joué bondage, domination, soumission. J'étais tellement en confiance que j'ai ensuite passé un week-end chez lui sous le prétexte d'un « stage d'éducation SM ».

Depuis ce fameux week-end où j'ai un peu souffert, je ne suis plus le même et j'appartiens corps et âme à ce docker et Maître alors que je n'étais que bisexuel et non pas gay. Mes attirances ont toujours été claires, vivre avec un homme ne m'avait jamais effleuré même s'il m'est arrivé lors de soirée de prendre du plaisir avec des soumis ou des Maîtres dans le cadre de jeux sexuels et SM. Sa fermeté, sa force tant physique que de caractère en font un gros dominant naturel, sa gentillesse et son savoir vivre en font un Maître de qualité.

Sa vision de la vie de couple est soit un esclave dévoué et je te rendrai heureux mais ne te loupe pas parce que je te le ferai regretter ou te jetterais au sens propre du terme. OUF !

Au départ, j'ai conservé mon appartement même si je passais tout mon temps libre chez lui mais lorsque l'entreprise pour laquelle je travaillais a déposé le bilan il m'a proposé de venir vivre chez lui et de devenir sa chose à temps complet. Sa compagnie étant extrêmement agréable au quotidien, les sorties en moto et vacances en sa compagnie grisantes et les soirées coquines sublimes j'ai accepté sa proposition et là, ma vie a totalement changé. Je suis réellement passé d'ami joueur soumis à esclave au sens propre du terme même s'il y a des moments difficiles.

Je suis sous cage de chasteté en permanence, il ne me libère que rarement mais cela ne m'empêche pas d'avoir une vie sexuelle très riche. La nature ayant été généreuse avec lui, quand il me fait l'amour j'atteins des sommets inimaginables entre ses bras bien que j'aime moins ses exigences matinales. Tous les matins, je dois le réveiller en lui apportant son café et passer sous les draps pour apaiser « la pressions » comme il dit. Au départ se fut dur car si lors des soirées j'ai appris à le boire, le matin au réveil ce fut extrêmement difficile. Pour me contraindre à abdiquer, il m'a mis sous camisole de force et en couche toutes les nuits pour que je n'utilise pas le prétexte des envies naturelles et tous les matins il m'a carrément violé la bouche. Déjà que mes bras ne font que la moitié des siens, sous camisole de force, essayer de lui échapper aurait été une ineptie.

Ce week-end prolongé où il a décidé de m'apprendre à boire sur commande fut hard, mon estomac s'est rebellé une fois et a restitué mon repas mais je n'ai pas été puni. J'ai eu le choix d'accepter ma « formation » ou de la refuser mais en l'acceptant je savais par avance que même en le suppliant je n'aurai pas d'autre choix que de faire ce qu'il voulait. La discussion devenait tendue, mes envies de progresser et de lui faire plaisir se heurtaient à la résistance de mon corps, quand il m'a tendu les menottes en me disant « attache-toi » en signe d'acceptation, je me suis menotté mains dans le dos comme on se jette à la mer quand le bateau coule. Le vendredi soir, il a organisé une soirée pour moi et a invité deux amis.

Pour me préparer psychologiquement à boire, ils m'ont entravé solidement couché sur une table, ma tête d'un côté mes fesses de l'autre, je n'en menais pas large. Après une semaine de cage de chasteté mes fesses devenaient très gourmandes car source de plaisir de fait, le premier que j'ai bu je m'en suis à peine rendu compte parce que son ami me prenait sauvagement en même temps qu'il déversait sa semence dans une bouche agitée. Le deuxième fut mon Maître pendant que le troisième larron me pilonnait en claquant mes fesses. L'ayant déjà bu et étant dans les sphères de mon masochisme cela ne m'a pas posé trop de problème mais pour le troisième se fut bien plus difficile car je devais être volontaire. Pour forcer un peu ma volonté à pomper un mec qui attendait mains sur les hanches que « j'officie » mon Maître me cravachait sévèrement dès que je ralentissais. J'ai éprouvé beaucoup de difficultés à être volontaire car « violé » on ne peut résister, là il attendait que j'aille le chercher en agitant ma tête. Pour que je savoure bien, en guise de « diplôme » ils m'ont posé un bâillon et un gros plug puis m'ont laissé mariner sur la table pendant qu'ils se vidaient une bouteille de champagne à ma santé. Mike a tenu à me préparer pour la nuit devant les invités en bloquant le plug par un sévère shibari puis en me mettant en couche avant de me passer la camisole de force.

J'étais mort de honte et épuisé quand ils m'ont couché en se moquant du gros bébé. Je me suis rapidement endormi même si je savais ce qui m'attendais le lendemain, Ma nuit fut peuplée de songes érotiques et de cauchemars. Au petit matin mes fesses poussaient le plug en vain, les articulations de mes épaules se révoltaient, cela devenait abominable. Même si j'avais peu d'espoir, j'ai essayé d'échapper à la « bonne pipe du matin ». Mes tentatives de négociation avec Mike eurent autant d'effet que si j'avais négocié avec une statue de marbre. Il a été gentil parce que dans la dernière ligne droite sous les draps, ses mains m'ont forcée ce qui m'a permis d'entrer un peu dans un délire de viol et contrainte.

Ce qui m'a surpris le plus ensuite c'est qu'au lieu de me libérer il s'est totalement occupé de moi de A à Z sans me retirer la camisole de force dont il a juste délié les bras pour soulager mes épaules. Le retrait du plug était à hauts risques mais il n'en avait que faire. Je lui ai indiqué que cela me gênait mais il m'a répondu qu'assumer son rôle de Maître qui prend soin de son esclave était sa vision des choses. On ne discute pas SA vision des choses même si pour certaines choses pourtant naturelles on préfère être seul....

Après m'avoir lavé et fait un lavement, il m'a ensuite entravé dans son donjon sur un pilori pendant qu'il faisait le ménage à ma place..... Vers onze heures il est venu mettre des poids à mes testicules et des pinces lestées à mes seins. Vers midi, il m'a offert son « apéro » naturel et 100% bio à prendre avec passion si je voulais qu'il retire tous les poids posés sur mon corps. Comme je m'appliquais pour ne plus souffrir son Priape afficha une forme resplendissante, ce qui provoqua en lui des envies. Mes fesses en firent les frais, les poids s'agitèrent pendant mon « viol » et quand il se retira de mes reins pour venir plonger dans ma bouche j'ai fermé les yeux de peur. Sa verge n'avait par chance aucun goût malgré sa longue visite de l'autre côté de mon tube digestif ce qui m'a permis de comprendre pourquoi il m'avait fait un lavement. Je n'aurai jamais imaginé être capable de faire cinq fellations jusqu'au bout en à peine plus de douze heures.

En guise de récompense, après le repas il m'offrit une ballade en moto mais ne me retira pas ma cage de chasteté. La cage et les vibrations de la moto générèrent des envies d'uriner fréquentes ce qui me valut de me faire traiter de gonzesse et une grosse fessée sur le bord de la route puis la promesse de port de couche à chaque sortie. Une moto en panne sur le bord de la route me permis d'esquiver une séquence fellation au cinéma le soir (merci à la solidarité des motards) et un repas chez le couple hétéro non joueurs. A peine arrivé à la maison, les hostilités reprirent par une séquence SM pendant laquelle j'ai un peu dégusté pour lui avoir cassé les pieds avec mes pipis de gonzesse. Ce jour là, il a eu l'idée de me féminiser et m'a commandé des fringues sur ebay pendant que sous le bureau j'officiais en bon esclave. Le coucher se fit à nouveau pour moi sous camisole de force et couche et le matin fut aussi « délicat ».

Le dimanche il y a des puces à Marseille, nous y sommes allés en moto mais cette fois, il m'imposa le port de la couche. J'avais l'impression que tout le monde me regardait et quand il acheta ma première chemise de nuit pour un euros, si j'avais pu me fondre dans le goudron du parking, je l'aurai fait car les gens qui vendaient toutes les merdes du grenier de la grand-mère ont compris. Ce jour là, j'ai vraiment détesté mon Maître et je le lui ai dit. Il était enchanté de l'apprendre et cela m'a valu des promesses de formations..... Après le repas, quand il m'a ordonné de préparer nos maillots et des serviettes puis de retirer ma couche j'étais blême car la cage se voit sous un maillot. Nous avons pris la route vers une destination inconnue qui me terrifiait car elle ne pouvait être pour moi qu'une épreuve supplémentaire. Au départ il n'a pas été trop méchant avec moi-même s'il m'a été difficile de me baigner sur la plage de Port Saint Louis avec ma cage de chasteté à peine masquée par mon maillot. Nous sommes ensuite partis dans les dunes du fond de la plage près du Rhône et là, sous les regards amusés des voyeurs j'ai du intégralement nu avec ma cage de chasteté bien visible lui faire une fellation. Si le mordre avait été sans conséquence, je l'aurai mordu au sang.

J'ai compris en arrivant à Marseille que nous n'allions pas à la maison. Il a pris la direction de la Rose ce qui m'inquiéta car quand Mike a une idée quelque part, il ne l'a pas ailleurs et comme ma « formation » n'était pas terminée....

C'est avec sa prudence habituelle qu'il s'engagea dans l'allée d'une superbe villa retirée à Plan-de-Cuques. A peine arrêté et casques posés, il me posa mon collier et me fit entrer dans un garage m'ordonna de me mettre nu puis m'attacha debout par le cou à une chaine pendue au plafond. Nous ne pouvions qu'être chez des adeptes du SM car les accessoires posés sur un gros congélateur étaient sans équivoque possible. Deux minutes plus tard sans que nous ayons vu quelqu'un, il me plantait là après m'avoir menotté mains dans le dos et m'avoir aveuglé avec une cagoule s'arrêtant juste sous le nez. L'attente fut aussi longue que cruelle pour mes neurones. Je fus tiré de mes pensées par des coups de martinets et de cravaches, il en pleuvait de partout, sur mes fesses, mon buste, mes cuisses, mon dos hormis encaisser et essayer de garder l'équilibre je ne pouvais rien faire. A ce moment là, je n'avais aucune idée de combien ils étaient et si je n'avais pas une confiance absolu en Mike, j'aurais vraiment eu très peur. La séquence dura un moment, mon corps était en feu, ma cage de chasteté ballotait dans tous les sens.

- Une salope bien battue suce mieux quand elle a pris une bonne raclée ! Me dit le mec qui me fit boire un whisky coca ultra tassé. J'espère que tu vas t'appliquer parce qu'ici on ne plaisante pas. Suis-je clair ?

- Oui monsieur.

- On répond oui Maître.

- Non monsieur, je n'ai qu'un Maître, c'est Mike.

- Mais c'est qu'elle a du caractère la petite salope. Humm, on va s'éclater. Me répondit le mec en me collant une grande claque sur les fesses qui me fit faire un bon en avant.

Ils entreprirent de me libérer pour remplacer aussitôt mon collier par un autre avec une chaine et des menottes intégrées dans le dos où ils fixèrent mes poignets rendant mes fesses sans défense. Toujours à l'aveugle ils me firent marcher à l'extérieur, l'air frais me fit du bien mais j'avais peur. Cette peur grandit soudain lorsqu'ils me firent descendre dans une piscine où ils m'attachèrent par le cou à l'échelle. J'avais pieds mais je n'étais pas rassuré. Un mec vient s'asseoir et attira ma tête entre ses jambes vous avez compris pourquoi. La fellation ne sembla pas à son gout, il me repoussa puis plongea ma tête sous l'eau ! La peur me vrilla le ventre car le jeu prenait une tournure qui ne me plaisait pas. Dès que j'eus la tête hors de l'eau j'ai appelé Mike et on me répondit qu'il m'avait laissé en stage pour la nuit ce qui me glaça le sang. Quand le mec m'attira à nouveau entre ses jambes, je mis toute mon énergie à faire ce qu'il attendait de moi quand un autre plongea dans la piscine et vint se lover contre mon dos.

Son sexe bandait même dans l'eau presque froide, ce n'est pas à mes fesses qu'il en voulait mais à mes tétons qu'il entreprit de martyriser comme une brute. J'avais beau me « défouler de la tête et de la langue » l'homme ne venait pas, j'étais fou de rage et de douleur sous les pinces digitales de plus en plus féroces. A force de volonté je suis parvenu à faire craquer l'homme que je suçais comme un fou, sa semence généreuse accompagna les soubresauts de sa verge qu'il enfonça profondément au point de me provoquer à en vomir. Un autre pris sa place, plongea ma tête dans l'eau puis se fit sucer pendant que les autres s'amusaient dans la piscine. Au troisième j'ai dit avoir froid, il m'indiqua que j'aurai le droit de sortir quand j'aurai terminé. C'est donc sans aucun plaisir que j'ai « officié » longuement jusqu'à la conclusion. Ces peaux de vache m'ont sorti mais séché à coup de serviette me faisant regretter d'avoir dit que j'avais froid. J'ai du ensuite m'agenouiller sur une serviette et en sucer un autre mais celui-là, fut un plaisir parce que c'était mon maître d'Amour.

Je ne garde pas un bon souvenir de ce « module de formation » parce que j'ai souvent eu peur au sens propre du terme mais je sais maintenant que quoi qu'il arrive Mike veille sur moi comme il me l'a toujours promis. Je n'ai jamais vu les gens chez qui nous étions, car ils ont pris les mêmes précautions qu'à l'arrivé.

Le soi-même, mon grand gourmand de Maître m'a demandé de lui faire l'amour avec passion et c'est avec passion et tendresse que j'ai mangé chaque parcelle de son corps. Entre mes mains et sous ma langue sa verge vibrait de plaisir mais à mon tour je jouais avec lui en retardant la conclusion le plus possible ce qui m'a valu un qualificatif commençant par un S. Au petit matin, sans aucune contrainte ni accessoire hormis ma cage de chasteté je suis passé sous les draps après lui avoir apporté son café du matin.

La fin de la formation fut gratifiante à la façon de Mike qui outre la cage de chasteté me fit mettre une couche et un pantalon dont il remplaça la ceinture par une chaine et un cadenas pour m'empêcher d'avoir du plaisir en jouant avec mes plugs. La journée fut longue avec une seule couche qui eut des fuites qu'il aperçût dès son arrivée. Comme à son habitude il assuma sans broncher ni gêne ma toilette et me libéra de ma cage le temps de me laver. Ma gratification promise mais inconnue prit la forme d'un gros câlin fait avec beaucoup de douceur et de tendresse. Il retira le cadenas de la cage de chasteté et me fit à son tour une fellation qui me rendit FOU. Mike ne se retira pas quand ma verge tendue à rompre se mit à exploser. Ce fut comme Hiroshima, mon corps était pris de convulsions j'ai cru l'ombre d'un instant que j'allais mourir d'une crise cardiaque.

Ca c'est un Maître ! ! !

Ecrivaillon

 

Forum Gay

 Rencontres BDSM

 Voir des vidéos Gay (SANS pub)

Histoires érotiques gay (SANS pub)

 

 

Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 23 avril 3 23 /04 /Avr 06:20

   Défi de vie en CB à l’hôtel Ibis

Par TSM

 

Avis au lecteur ce texte est un texte gay.

 

On s’est rencontré sur DSSM-Gay, un site qui traite de ces sujets. De fil en aiguille, nous avons sympathisé et échangé hors groupe sur les cages de chasteté masculines et sur bien d’autres sujets. Nous nous sommes raconté nos malheurs respectifs puis nos aspirations sexuelles et de vie. Guy a 40 ans, il est gay depuis l’âge de 20 ans et il s’est séparé de son compagnon de vie il y a huit mois maintenant. Ce dominateur, qui est également un romantique, a bien du mal a trouver quelqu’un qui corresponde à ses aspirations. Moi, j’ai 45 ans, je suis mince, bi, soumis et maso mais ces traits de ma sexualité ne sont pas visibles dans mon quotidien. Dégouté des femmes qui m’ont ravagé le cœur, en quête du bonheur affectif, j’ai décidé d’essayer de vivre la relation homosexuelle qui m’a souvent fait fantasmer. L’anonymat du net altérant la pudeur, je l’ai avoué à Guy tout comme je lui ai avoué ma féminité intérieure, ma bisexualité, mes fantasmes sexuels et affectifs.

 

Récemment, j’ai découvert qu’il habite à Marignane et vingt-cinq kilomètres de chez moi grâce à un traceur qui permet la localisation d’un internaute et je me suis amusé à faire de l’humour sur tous les gens qui s’envoient en l’air au dessus de sa tête en payant parfois des sommes astronomique à des femmes vêtues en uniforme. (Les hôtesses d’accueil de l’aéroport)

 

Que j’ai pu le localiser l’a ennuyé et histoire de le martyriser un peu, je l’ai laissé cherché longtemps malgré ses promesses de représailles en lui répondant que je n’étais pas son/sa soumise et qu’il n’avait rien à exiger de moi. Au fur et à mesure, comme disait la fermière, j’ai entrouverts la porte d’un échange plus physique que virtuel. Hier, sa réponse m’a surpris !

 

Ci-dessous le résumé de notre chat :  

 

- Cela fait partie de mes fantasmes de jouer à la poupée avec un mec et qu’il devienne ma petite gonzesse d’amour très soumise mais il y a tellement de fantasmeurs que j’en ai assez d’espérer et de perdre mon temps avec des gros cons ou des porcs débiles dépourvus d’intelligence.

 

- Teste-moi pour voir si je suis de cela !

 

- Attention à toi si tu me défis, tu pourrais être surpris.

 

- Des promesses, toujours des promesses…..

 

-  OK ! Si tu veux savoir si ce sont des promesses, va à l’hôtel Ibis de Vitrolles, prend une chambre et habille-toi avec des sous-vêtements de pute. Téléphone-moi pour me donner le numéro de ta chambre et le code d’ouverture de la porte. Ensuite, tu passes des menottes, la fameuse cagoule occultant les yeux dont tu m’as parlé et bloques tes poignets dans ton dos.

 

- Tu blagues ?

 

- Non, je suis sérieux ! T’as l’air con maintenant ?

 

- Tu me donnes ton portable ?

 

- Sans problème : 0609181845

 

- Tu ne me plantes pas un râteau si je viens ?

 

- Tu as peur ? Serais-tu comme les autres ?

 

- Enfoiré !

 

- Force est de constater que tu te débines.

 

- Non. J’hésite. Que me feras-tu ?

 

- Surprise, surprise ! Tu as deux heures pour prendre une douche, mettre ta cage de chasteté, prendre tes petites affaires et venir à Vitrolles. N’oublie pas de prendre les clés de tes bidules si tu ne veux pas avoir l’air d’un con. MDR

 

- OK, mais je teste ton portable avant.

 

- Si tu veux !

 

FIN du résumé

 -----------------------------

 

Notre entretien téléphonique n’a duré que quelques minutes pendant lesquelles, il m’a rassuré et mis en confiance puis précisé que cela fait un moment que je titille sa libido. Sur la route qui me conduit à Vitrolles, je me traite pourtant de débile inconscient tout en me disant que j’allais enfin pouvoir vivre quelque chose de fort. Après-tout, qu’est-ce que je risque ? Cela fait un an que je le connais et nos échanges ont toujours été clins sans soucis ni agressivité ou vulgarité. J’ai son portable, sa géo localisation, son email et nous ne serons pas seuls dans l’hôtel. Le paiement de la chambre par CB à 22heures est génial pour sa discrétion mais entrer dans l’hôtel avec mon petit sac m’est finalement plus difficile que prévu. Je suis à la fois terriblement excité mais j’ai un peu peur de l’inconnu. Dans sa cage de chasteté, mon Popaul pousse les murs au fur et à mesure que j’approche de la chambre 12. Le code 4676 me permet d’accéder à une de ces chambres « lyophilisées » et sans âme qui sera peut-être le théâtre de mes fantasmes. Elle me parait soudain froide, si froide que je suis pris d’une envie de fuir. Comme dans les répétitions mentales effectuées sur la route, j’ouvre mon sac et en sort le matériel que Guy m’a demandé de prendre. Sur la table visée au mur, je pose les clés des menottes, de ma cage de chasteté puis des préservatifs et du lubrifiant. Les sous-vêtements féminins que j’ai pris me semblent soudain si ridicules. Je vais être grotesque ainsi vêtu avec mes poils qui dépassent de partout. C’est la première fois que quelqu’un me verra en sous-vêtements féminins. Je n’en mène pas large et c’est presque la mort dans l'âme que je retire mon tee-shirt. Cette fois ma pudeur va être sérieusement malmenée. Je me mets totalement nu et me prépare pour la suite des évènements que je commence à redouter. Soudain, je prends conscience que je n’ai pas fermé le rideau. Je les clos prestement en espérant que personne ne m’a vu avant de revenir vers ce sac qui m’attend sur le lit en frissonnant, la tête  me tourne, mes tempes bourdonnent. La gorge serrée j’enfile un collant noir ouvert à l’entre-jambe. Son contact doux sur les jambes et les cuisses me galvanise un peu. La culotte taille basse en dentelles noires que j’ai choisie masque à peine ma cage de chasteté mais j’aime son contact et la sentir sur le haut de mes fesses. En guise de soutien-gorge, j’enfile un petit haut noir que les sportives mettent pour maintenir leur poitrine, tout cela ne fait pas « pute » mais cela ressemble à ce qu’il m’a demandé.

 

Bon ! Voilà, je suis prêt, il me faut maintenant l’appeler ? Oser l’appeler  est bien plus dur à faire que dans mes fantasmes de soumission….. Je prends une cigarette histoire de me donner du courage puis le téléphone portable. Oh que c’est dur d’oser ! Mon doigt tremble, je n’arrive pas à appuyer sur le bouton vert qui affichera le dernier numéro composé. Vais-y arriver ?  Machinalement, ma main gauche tripote la cage entre mes jambes mais mon index ne parvient pas à appuyer sur le maudis bouton vert ! Mon dieu que je suis con ! Le décevoir me serait insupportable et si je ne me résous pas à réaliser ses demandes, je vais me détester.

« Je l’ai dit, je le fais » ! Dis-je à haute voix en appuyant enfin sur la touche de rappel. Son numéro apparait, j’appuis à nouveau mais je suis loin d’être fier.

 

- Allo.

 

- Chambre 12. Le code 4676.

 

- Tu l’as fait ?

 

- Oui, j’y suis.

 

- Là tu m’épates, bravo ! Prépare ton matricule j’arrive.

 

- Chambre 12. Le code 4676.

 

- J’ai entendu, pas besoin de me le répéter. Prépare-toi.

 

Clic

 

Comme s’il allait arriver dans la seconde, je pose le téléphone puis attrape les menottes et la cagoule que j’enfile et ferme à la vitesse grand V. C’est ensuite au tour des menottes, les clics du premier bracelet me font trembler, j’ai du mal à entrer dans le trip que j’ai espéré, être féminisé et totalement à la merci d’un homme. Il est évident que nous ne venons pas là pour faire un tennis, mais je suis soudain submergé par la peur. Et s’il était brutal ou pire encore, totalement fou ? Mentalement je me remémore les emails et notre conversation téléphonique. Jamais il ne m’a semblé dangereux ou déséquilibré. Au contraire, derrière la carapace de Dom, se cache un romantique, un romantique même dominateur n’est pas un gros méchant. La position avec les poignets derrière le dos me rappelle nos jeux SM avec mon ex puis les longues minettes qu’elle m’imposait en me motivant à l’aide de sa cravache. Ces pensées m’excitent, le fait d'être immobilisé m’a toujours procuré toujours un obscur plaisir sexuel. Rien que de penser que je vais être à la merci de Guy me fait des choses, mon Popaul commence à pousser son tube. Ma main guide le deuxième bracelet sur mon poignet gauche. Pris d’hésitations, je n’arrive pas à le fermer. Un, deux, trois, clic, clic clic, ça y est, c’est fait. Rien que de tirer sur les menottes, me chauffe un peu mentalement. Comment dois-je me mettre ? Sur le lit ou à genoux dans l’entrée ? Les minutes s’égrainent avec une lenteur exaspérante. A genoux, le buste allongé sur le lit et les fesses tournées vers l’entrée de la chambre, je patiente en frottant ma cage de chasteté contre le matelas. Fantasmer à l’idée d’être une fille immobilisée et offerte à la merci d’hommes qui abuseraient de moi m’a toujours déclenché de troubles sensations. Cette nuit me rapprochera de mes fantasmes les plus fous mais la concrétisation de ces absurdes idées me fait à nouveau frissonner. Je suis fier d’avoir osé, hésitant, excité et apeuré en même temps. Quel drôle de mélange de pensées me direz-vous. Assis maintenant sur le lit, mon excitation s’éteint lentement. Fait-il exprès de me faire attendre de longues minutes qui me paraissent des heures ?

Le clic de la serrure qui s’ouvre me fait tressaillir. Ecrasé de honte je ferme inutilement les yeux sous ma cagoule et déglutis avec peine. La porte claque, elle s’est refermée sur nous, sur l’indécence que représente mon corps d’homme féminisé ainsi offert.

 

- Bravo ! Ton courage m’impose le respect. Tes dires à propos des fantasmeurs n’étaient pas que des mots. Tu n’es vraiment pas de ceux-là, je te présente mes excuses pour tout à  l’heure.

 

- Elles sont acceptées mais j’ai une trouille monstre.  

 

- Tu peux me faire confiance et n’as pas à avoir peur si tu m’écoutes à la lettre. Lève-toi et approche !

 

Je me lève avec difficulté et tout tremblant avance de quelques pas à l’aveugle. Le contact soudain de sa main avec ma cage de chasteté qu’il palpe à travers ma culotte m’électrise. Il étire le fin rempart de tissu féminin pour regarder l’objet qui emprisonne mon sexe rabougris qu’il ne peut voir à l’intérieur du tube de métal. Il m'attire à lui brutalement puis plaque ses lèvres contre les miennes en explorant mes fesses à pleines mains. Son baiser n’est pas un baiser tendre, non, il est brutal, animal quasiment sauvage. Je ne peux lui refuser, mais embrasser un homme n’est absolument pas mon truc. Une de ses mains s’insinue dans ma culotte pour suivre la fissure de mon pertuis. Ce nouveau contact me fait frémir des pieds à la tête. D’un doigt il touche mon anus, le titille un instant et le pénètre durement m’arrachant un gémissement de douleur.

 

- Hum, tu es tout serré mais je te sens très tendu. Décontracte-toi un peu, on va passer un bon moment tous les deux.

 

Je ne peux répondre ni exprimer quoi que ce soit, aucun mot ne me vient. Pendant qu’il parcourt mon corps de ses mains fermes mais douces dans les caresses, ses lèvres dessinent dans mon cou un chemin imaginaire. Ces sublimes attouchements me font frémir et onduler comme une véritable femelle en chaleur. Guy m’enlace avec beaucoup de douceur en caressant de la pointe de sa langue, mes lèvres, mes narines puis le creux des oreilles. Ses douces attentions m’apaisent et commencent à me faire fondre. Entre ses bras, je commence à me sentir sa chose, aucune femme jusqu’à présent ne m’a câliné ainsi. Du pied, il m’invite à écarter les jambes, le creux de mes cuisses devient la cible de ses mains câlines, c’est fou ce que ce collant amplifie les sensations de douceur. Sous ses attouchements, ce n’est pas un plan cul SM que je ressens mais une séduction qui me trouble terriblement. Les menottes m’obligent à l’immobilité, ses caresses à l’abandon. Ce mec me fait totalement vibrer de l’intérieur, je n’ai jamais connu ça auparavant dans mes furtives expériences bisexuelles. Au bout d’un long moment de délice, ses lèvres se mettent en quête des miennes, je ne les subits plus et lui rend maintenant son baiser pendant qu’il poursuit ses investigations entre mes jambes. Sa main fouille ma culotte à la recherche de mes testicules qu’il malaxe avec douceur sous la cage. Ma verge est très à l’étroit dans son tube de métal. Maintenant je n’ai plus peur, je suis bien sur le nuage de mon abandon. Avec la même douceur, il appuie sur mon épaule et m’invite à m’agenouiller. Je ne résiste pas, son sujet est prêt à le servir. Le bruit de ceinture et de la braguette m’indique qu’il est temps pour moi d’officier et de lui donner ce qu’il est venu chercher. Ma bouche s’entrouvre pour attendre son sexe qui ne tarde pas à se présenter à elle. Encore une fois, il ne me force pas et me laisse libre de décider mais il est hors de question pour moi de lui refuser quoi que ce soit. C’est même avec plaisir que je prends contact avec sa verge gonflée et terriblement dure. Mes lèvres titillent son gland un instant avant de coulisser lentement autour de son membre d’une bonne grosseur. Par chance, il n’est pas très long, j’arrive sans encombre ni haut-le-cœur à l’absorber totalement jusqu’à la base. Sa main se pose sur ma nuque et me plaque plus encore contre lui mon nez touche les poils de son pubis. Guy me maintient la tête et m’impose des mouvements, lents et profonds. Ma langue virevolte sur son gland avant de s’enrouler autour de son mandrin qu’il enfonce dans ma bouche avec maintenant plus de vigueur. Il m’interrompt ensuite de la main et m’oblige à me lever pour descendre ma culotte en m’intimant l’ordre d’attendre sans bouger. Les bruits m’indiquent qu’il se déshabille et se couche sur le lit.

 

- Maintenant, je veux apprécier les douceurs de ta langue sur tout mon corps, tu as intérêt à t’appliquer si tu ne veux pas souffrir dès le premier jour.

 

Je m’approche du lit à l’aveugle, mes jambes m’indiquent qu’il semble s’y être étendu en écartant les sienne. Je m’agenouille sur la moquette et part prudemment en quête de son corps. Mes lèvres trouvent un genoux qu’elles embrassent un instant avant de partir à l’assaut de la cuisse qu’elles lutinent un instant avant de laisser la place à ma langue qui décrit des cercles en remontant doucement vers son sexe qu’elle évite pour créer la tension du désir. Je m’attaque ensuite à l’autre cuisse dont je mordille l’intérieur quand soudain sa main m’oblige à m’occuper de son entre-jambe.

 

- Lèche-moi les couilles et fait les entrer dans ta bouche, j’adore ça !

 

Elles sont rasées, douces et de bonne taille affichant clairement un retard de plaisir. Une à une je les gobe avec précaution, puis les abandonne pour titiller l’aine si sensible avant de revenir à la charge.

 

- Monte sur le lit !

 

Tant bien que mal, je m’exécute et manque de m’écrouler sur lui. Prestement guidé d’une main, mon visage est plaqué contre ses testicules pendant qu’il saisit les miennes sous la cage d’une poigne plutôt ferme. Sa main les serre et m’arrache un cri de douleur.

 

- Je t’ai dit de me lécher les couilles. Tu t’appliques ou je fais de la marmelade avec les tiennes ?

 

Prestement pour que la douleur bien réelle cesse, je plonge entre ses cuisses pour déguster ses précieuses. Sa main relâche les miennes et joue avec ma cage qu’elle étire puis agite dans tous les sens comme pour faire un état des lieux. Sagement appliqué je n’ose entreprendre quoi que ce soit d’autre que la dégustation demandée qu’il semble effectivement beaucoup apprécier. Des doigts il caresse un instant mes fesses exposées de par ma position à genoux puis de l’autre me guide vers sa verge tendu à rompre.

 

- Honore celle qui va te baiser ou te faire pleurer si tu ne t’appliques pas.

 

Le moment attendu et à la fois redouté s’approche. Je vais me faire prendre comme une femelle soumise sans aucune possibilité de fuite. Lustrer de mes lèvres avec conviction le membre qui va me prendre m’embrase littéralement. Dans ma tête brûlante de fièvre érotique, se projettent divers scénarios. Quelque chose de pervers anime de nouveau mon bas ventre, je bande si fortement que j’ai l’impression que je vais imploser ou que mes couilles vont s’arracher de mon corps. Le bruit d’un emballage de préservatif déchiré m’indique que l’heure d’y passer est venue.

 

- Met-toi au milieu du lit et couche-toi sur les oreillers pour que je me fasse ton petit cul qui me provoque depuis un moment. Tu vas voir, c’est autre chose que tes petits plugs.

 

Guy me guide sur le lit et m’aide à m’installer puis, quand mes fesses relevées par les oreillers sont bien exposées, il lubrifie mon anus d’un gel froid qui me fait frémir. Il me caresse la raie des fesses et me force d’un doigt de façon très directe qui ne me laisse pas le temps de réagir De ce doigt rapidement rejoint d’un second, il fait pénétrer du gel dans mon conduit anal et me dilate un peu. Je fais l’impossible pour me décontracter mais cela n’est pas aussi efficace que je le souhaite. Quand il s’installe entre mes jambes, le temps semble soudain s’arrêter, dans ma tête un malaise et de la crainte s’installent. Le contact de son gland entre mes fesses offertes me fait frémir, du gland, il fouille un instant, trouve sa cible et commence à la forcer en m’intimant l’ordre de me décontracter et de pousser comme si je voulais aller aux toilettes. Je sais que c’est ainsi qu’il faut procéder pour ne point souffrir mais n’y parvient pas vraiment alors qu’il commence déjà à m’investir. Il me nargue avec sadisme en poussant et en reculant son gland tout en me traitant de petite « allumeuse ». A force de séduction, je commence à fondre, cesse de me plaindre pour gémir de plaisir, puis le presse de continuer en m'offrant totalement fesses tendues et ouvertes. Mon anus s’épanouis lentement autour de son gland et le laisse passer. Profitant de cet accueil, il s’enfonce très lentement en moi, la pénétration semble durer une éternité. Je me surprends à cambrer mon derrière pour que cela continue encore un peu quand je sens son ventre sur mes fesses. Ah mon dieu que c’est bon. A peine commence t’il ses mouvements en moi que je suis complètement possédé et savoure cette pénétration en mordant les draps de plaisir. Sous ses assauts légèrement plus rudes, mes chairs s'ouvrent me procurant ainsi un subtil mélange de sensations faites du plaisir de me sentir envahi, rempli. Ses sensations sont accompagnées de douleurs légères et terriblement excitantes. Guy se couche sur moi et va un plus en plus vite en m'arrachant de petits râles étouffés à chaque mouvement. Il tire soudain ma tête vers lui, lèche mon visage, mon cou et mes épaules à petits coups de langue. Une confusion indicible m’envahit sous ses coups de butoir de plus en plus rude, je me sens sa chose, me cabre de volupté entre ses mains qui me palpent fermement.  L’embrasement intégral de mes sens fait que je me sens vraiment sa femelle soumise. Pris dans le tourbillon des émotions générées par ma cage de chasteté écrasée dans l’oreiller, mes entraves, ses mouvements en moi et ce corps à corps si animal, je commence à haleter, lui aussi, la fin approche déjà, je le regrette, tout va trop vite. Guy se reprend, se contrôle et, tout essoufflé, fait une pause.

 

- Quand je vais jouir, veux-tu me boire ?

 

- Non, je n’ai jamais pu faire ça, cela me donne envie de vomir, je suis désolé.

 

- Un bon soumis ne doit jamais refuser de déguster son maître. Même si tu sembles avoir des prédispositions, ton éducation laisse à désirer. Tes ambivalences sont très fortes, tu te donnes comme une femme mais tu es velu, tu as l’âme d’un soumis mais tu refuses de boire que me caches-tu encore ? Tu te dis maso et je veux bien te croire mais quel est le contraire de cette facette de ta personnalité ?

 

- Dans la vie de tous les jours, je suis un dominant pas un soumis.

 

- Hum, tu me plais toi, ton éducation ne sera que plus intéressante si tu acceptes de me la confier.

 

- Oui !

 

- Oui quoi ?

 

- Oui, j’accepte de te confier mon éducation.

 

- Carte blanche ?

 

- Oui, carte blanche.

 

- Même si en ma compagnie, tu risques de vivre des moments difficiles ?

 

- Oui !

 

Guy se retire et me demande de me mettre sur le dos. Je m’exécute aussitôt en brulant d’impatience de savoir ce qui m’attend maintenant. Il s’abat sur moi et me palpe en me dévorant tout en me renseignant sur ses intentions. Je crois que mon éducation ne commencera que demain et que cette nuit, il me désire tout simplement. Le tout simplement signifie qu’entre ses mains, je deviens une véritable poupée de chair qu’il malaxe et pétrit en lui roulant des pelles voraces. Mes jambes sont prestement relevées, mes fesses exposées à son désir. Cette fois, la pénétration est brutale, sauvage, elle m’arrache des gémissements qui sont immédiatement étouffés par sa bouche qui dévore mes lèvres. Menotté et les chevilles bloquées près de ma tête par ses bras, je n’ai jamais été ainsi offert, pris et ne peux que subir sa fougue en de bruyantes expirations. Guy me laboure un moment les reins avec une intensité démoniaque, ses cuisses claquent sur mes fesses, ses mains martyrisent mes tétons sous le soutien-gorge. Des cris de bête me surprennent soudain, il stoppe ses mouvements sauvages et reste profondément bloqué en moi en se laissant aller à la jouissance en une longue plainte de fauve. Même s’il ne fait plus aucun mouvement, mon anus convulse, est-ce ses contractions ou suis-je en train de jouir du cul ? Je ne saurai le dire, mais je viens d’atteindre un degré d’abandon et de plaisir insoupçonné jusqu’à présent, c’est bien plus intense que je ne l’ai imaginé dans mes fantasmes.

 

Tout essoufflé, m’écrasant de tout son poids, Guy s’accorde un instant de repos salutaire. Même si elles sont positionnées de côté pour protéger mes poignets, les menottes me font mal mais je n’ose bouger ni me plaindre. Sortant lentement de sa douce torpeur, en poussant ses reins en avant, il happe ma lèvre inférieure des siennes devenues gourmandes, câlines, possessives. Les fesses tendues au possible, je m’offre à lui, j’aimerai tant qu’il puisse aller plus loin en moi, qu’il me possède plus encore que la nature ne l’autorise. Le duo silencieux des corps s’éteint lentement, Guy se retire et se débarrasse de son préservatif qu’il abandonne sur la table de nuit en me souriant.

 

- Normalement, un soumis remercie de la bouche son maitre de l’avoir honoré en dégustant les dernières gouttes de son plaisir. J’aimerai beaucoup que tu le fasses pour moi.

 

- Je ne m’en sens pas capable aujourd’hui, laisse-moi un peu de temps. S’il te plait.   

 

- Si tu veux, mais ma clémence à ton égard ne durera pas éternellement.

 

L’alternance des échanges verbaux et non verbaux se poursuit mais il ne semble pas envisager de me libérer de ma cage de chasteté ni des menottes. Ma fatigue, tant physique que nerveuse s’exprime par un bâillement discret qu’il décèle en se moquant de moi.

 

- Une chambre, c’est aussi fait pour dormir, je crois que nous en avons besoin tous les deux. Quand penses-tu ?

 

Dans l’état de fatigue où je suis, je ne peux qu’adhérer pleinement à cette idée. Guy éteint alors la lumière et m’attire contre lui. La tête posée contre sa poitrine je me laisse aller à une douce somnolence en revivant mentalement cette folle nuit avant d’être happé par un sommeil peuplé de songes érotiques aussi compliqués que multiples.

 

AU PETIT MATIN

 

La cage de chasteté étire mes testicules dans mon érection matinale qui se produit au petit matin bien avant que ne sèche la rosée. Une visite éclair aux toilettes me soulage à peine la vessie car malgré une douleur dans les muscles de mes épaules, l’effet cage de chasteté et menottes se répercute également sur ma libido qui, tel un alpiniste chevronné, se remet à gambader pour explorer de nouvelles voies. Avec moult précautions pour ne pas le réveiller, je me recouche près de lui un peu honteux de n’avoir pu m’essuyer après m’être soulagé. Morphée ne tarde pas à m’attirer et à m’entraîner vers un sommeil agité.

 

Nous sommes chez Guy au petit matin après une nuit de folie où, totalement féminisé et hormoné, j’ai du satisfaire de mon corps toutes les lubies des personnes invitées à mon second baptême. Vêtu d’une chemise de nuit en satin blanc, je lui apporte son petit déjeuné au lit quand soudain, il soulève le drap et me dévoile sa verge gorgée de désir. Aussitôt et avec joie indescriptible, dès qu’il a saisis le plateau, je me glisse contre lui pour entreprendre la dégustation du Priape de chair. Les yeux fermés je fonds de bonheur à son contact. Ce n’est pas une fellation que je réalise mais un impérial acte d’Amour. Sa main caresse ma nuque puis joue avec mes cheveux, mes lèvres glissent lentement sur sa colonne de chair d’une enivrante douceur. J’ai une telle faim de sa verge que je dois modérer mon envie de mordre. Son membre est secoué de petits spasmes, l'idée qu'il va jouir dans ma bouche me comble de bonheur. Je l’aspire en le serrant de mes lèvres dans de plus grands mouvements puis bois avec délice les jets de son nectar qui semblent venir sans fin lors des sursauts de sa jouissance. Il a un petit goût marin que j’adore et dont je me délecte. Ses râles et spasmes s’enchaînent mais quelque chose me surprend, je pensais qu’il était couché dans l’autre sens. Ma langue virevolte sur le gland brulant pendant que mes neurones s’attellent à la résolution de ce problème d’orientation.

 

- Quand tu m’as dit que tu avais besoin de temps pour me boire, tu me faisais un caprice ou quoi ?   

 

Par réflexe, je « m’arrache » littéralement de mon rêve puis du lit et me précipite vers le lavabo pour vomir mais rien ne me vient même si je tousse comme un asthmatique tuberculeux. Guy s’est précipité derrière moi pour allumer la lumière et m’assister. 

 

- C’était ma première fellation menée jusqu’à son terme. Je n’y suis jamais arrivé car cela me fait vomir.

 

- Ce n’est pas ta dernière crois-moi !


  TSM

A suivre (peut-être) sur plaisirs-interdits.com

   

 

Forum Gay

 Rencontres BDSM

 Voir des vidéos Gay (SANS pub)

Histoires érotiques gay (SANS pub)

 

 

 

 

 

Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Soumission et appartenance
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés