Gay

Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 10:03
Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Samedi 1 juin 6 01 /06 /Juin 11:46
Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Samedi 1 juin 6 01 /06 /Juin 11:30
Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Jeudi 13 décembre 4 13 /12 /Déc 14:18

Mon Maître m’avait mis sous cage de chasteté depuis 8 jours, une Bon45 achetée sur ABCplaisir dont il avait pris les clés avant de partir 15 jours pour affaires.

 

En partant, il m’avait laissé libre de m’amuser si je voulais mais uniquement comme une fille. Huit jours plus tard, j’étais donc en manque et totalement « folle », à certains moments, la cage de chasteté, cela rend dingue. Je surfais donc en recherche sur Fessestivites d’un plan cul plutôt que de m’aventurer sur des parkings.

« TTBM cherche trav ou trans à sodomiser, recherche réelle, sans passer deux heures sur le net » indiquait son annonce.

Je le contacte en MP, il me propose immédiatement un chat webcam en me disant « je n’aime pas les fantasmeurs, comme ça, on voit si tu es réelle ou pas ». Je lui demande 15 minutes pour finir de me faire belle, il ne m’en accorde que 5. Autant dire que j’ai fait le plus vite possible pour essayer de transformer ce coup que je sentais bien. Trop bien.....

De retour à l’ordinateur, je le contacte à nouveau et lui propose une cam, chose qu’il accepte rapidement. Et là, il me dit que je lui plais beaucoup, mais qu’il aime aussi le BDSM. Je lui réponds que je n’ai rien contre les entraves, une petite fessée et que je suis sous cacge de chasteté mais que la douleur pour la douleur ce n’est pas mon trip.

- Cela tombe bien moi aussi ! Me répond Milit en allumant à son tour sa webcam pour que je puisse le voir.

Hummmm, un beau militaire âgé d’une trentaine d’année et bâti comme une armoire

apparaît sur mon écran. Après quelques questions mutuelles, nous décidons de nous rencontrer. Milit accepte mon invitation sans discuter mais m’annonce que je dois accepter ses règles, sans quoi il ne vient pas et me les rappelle :

- Je dois avoir le cul parfaitement propre.

- Je dois être très féminine.

- Je dois accepter qu’il m’attache et me bande les yeux pour me baiser.

- Préservatif obligatoire.

- Je dois lui donner mon adresse par téléphone parce qu’il n’a pas envie de se taper 30 bornes pour rien.

Etant sur un petit nuage et excitée à mort, je valide toutes ses demandes en lui indiquant que j’adore être un peu bousculée et f o r c é e.

- Et bien tu vas être servie ma belle. Prépare-toi à être v i o l é e ! Conclut Milit avant de raccrocher.

Je fonce donc à la salle ne bain me laver les fesses, je mets de la musique et tamise les lumières avant de me maquiller et de mettre mes faux seins, une robe de charme puis mes tallons hauts. La sonnette tant attendue me fait bondir. Je me précipite pour aller lui ouvrir et, par réflexe, je demande qui c’est. « C’est ton violeur banane » est sa seule réponse.

Lorsqu’il entre dans mon appartement, j’ai immédiatement l’impression d’être toute petite malgré que je fasse une mètre soixante-dix sans mes tallons. Milit me colle une bouteille de whisky dans les mains et m’ordonne de servir deux verres en précisant : « au pas de course salope ». Moi le whisky sec, cela ne passe pas, c’est trop fort, j’ajoute donc du coca dans mon verre.

- Encore une chochotte ! Me dit Milit en le voyant et en prenant son verre pour le vider cul sec.

Alors que je m’apprête à le resservir, il se colle contre mon dos et me plaque le nez contre le mur. Et là, je n’en mène pas large.

- Qui t’a autorisée à mettre du coca dans ton verre ? Me demande Milit en malaxant mes fesses.

- Personne monsieur !

- Tu sais ce que cela mérite ?

- Une punition monsieur, mais pas trop forte s’il vous plait, je ne savais pas qu’il fallait demander.

Ses mains baladeuses s’aventurent entre mes cuisses, tripotent ma cage de chasteté et s’en amusent avant de revenir à mes fesses. Il les écarte sans ménagement pour fouiller l’épicentre d’un doigt pour sonder l’orifice qu’il va réellement ravager, mais ça, je ne le savais pas encore.

Il remonte brusquement mes mains dans le dos qu’il menotte avec une sorte de serflex en plastique solide. J’ai vu les même sur ABCplaisir, c’est pas mal ce truc. Ses gestes rapides me laissent à penser qu’il a une réelle expérience dans l’immobilisation des personnes. Prestement retournée comme si j’étais une simple poupée, je suis aussitôt bâillonnée par une bouche de vorace. Tenue par le cou, je ne peux rien faire pour échapper à sa langue très envahissante et ses mains malaxant mon postérieur avec une envie évidente de sexe.

De sa poche il sort un large et long bandeau de tissu noir dont il fait faire plusieurs fois le tour de ma tête pour m’aveugler. Il serre trop fort, je me plains et ramasse une gifle avant d’être à nouveau bâillonnée par sa bouche toujours aussi vorace coupant net mes réfutations. Humm, cela commence à m’exciter terriblement tout ça, un de mes fantasmes de v i o l va se réaliser. Attrapée à bras le corps, je suis portée dans l’appartement jusqu’à ma chambre avant d’être jetée sur le lit. Mon coeur bât la chamade quand il m’abandonne là sans rien me dire. Alors que l’idée d’être cambriolée me traverse l’esprit, Milit m’attrape la cheville gauche pour y attacher une corde qu’il passe derrière ma nuque avant de me relever les jambes pour attacher ma deuxième cheville.

Dès que je suis sans défense et totalement offerte, il écarte mon string pour me bouffer le cul avec autant de voracité que lorsqu’il m’a embrassée. Sa langue jouant la bite sauvage me rend dingue tout comme cette sensation particulière et si excitante de savoir que je vais être « v i o l é e ». Milit abandonne mon « centre d’accueil » prêt à le recevoir pour se coucher sur moi et recommencer à m’embrasser. Je m’attendais à ce qu’il m’oblige à le sucer pour le mettre en forme et prendre plaisir à me défoncer la bouche, mais non, ce n’était pas son but. Son but était de me bâillonner pour m’empêcher de hurler ! ! !

Je ne le comprends que lorsque je sens son gland entre mes fesses. Sur le coup, j’ai pense que c’est son genoux ! ! ! ! J’exagère à peine cette impression et c’est bien sa bite qui commence à pousser mon anus. Le mot « pousser » est tout à fait adapté. J’ai peur et commence à me débattre mais menottée, jambes attachées en V au-dessus de mon corps recouvert par une montagne de chair, je ne peux que gémir puis crier dans sa bouche. Mon anus se refuse à éclore et Milit bataille en s’énervant.

Quand il abandonne ma bouche pour prendre de la salive en guise de lubrifiant supplémentaire, je le supplie d’arrêter, mais en vain. Ses lèvres recouvrent les miennes à nouveau et il m’embroche cash en poussant d’un coup. J’ai l’impression que mon cul prend feu quand il parvient à me prendre. Ma « rondelle » est comme en flamme, j’ai un mal de chien, aucun plaisir, que de la douleur. C’est horrible. Milit n’en a rien à faire et me laboure littéralement à grands coups de reins. Mes yeux coulent, s’il ne me bâillonnait pas de sa bouche, j’ameuterai l’immeuble tout entier tant j’ai mal.

Au bout de quelques minutes de massacre et de souffrance, mon anus finit par s’habituer à la présence d’un pieu, un pieu qui me remplit totalement et me dilate comme je ne l’ai jamais été. J’ai moins mal mais ne prends aucun plaisir physique, mentalement je me sens v i o l e r pour de vrai, mon fantasme n’était pas à vivre avec un mec aussi bien membré, trop membré qui me démonte.

C’est avec un immense soulagement que j’entends sa respiration s’accélérer juste avant qu’il se bloque un instant en moi pour éjaculer. Milit me donne encore quelques coups de reins rageurs avant de s’écrouler sur moi et de libérer enfin ma bouche. Écrasée par cette montagne de chair, je tente de reprendre mon souffle en priant le seigneur pour qu’il n’ai plus envie de moi. Lorsqu’il se retire, mon cul se met à palpiter, à se contracter tout seul. J’ai l’impression de rester « ouverte ». Je jouis du cul sans comprendre après ce que je viens de vivre.

- Tu es très bonne ! M’indique Milit en libérant mes jambes qu’il dépose avec douceur.

Que répondre à ça alors que l’on a souffert comme jamais ? Rien !

J’étais prévenue, j’ai acceptée, je lui ai même dit que j’adorais être bousculée, f o r c é e, il n’a fait que ce qui était convenu mais quand même...... Toujours avec la même douceur, il entreprend de retirer le bandeau occultant ma vue puis m’abandonne un instant. J’entrouvre doucement les yeux, la lumière me fait mal, il est devant moi avec mon whisky coca à la main.

Je vois pour la première fois sa bite, ce n’est pas un sexe humain, c’est plutôt comme une bite de cheval qui pend entre ses jambes. Je comprends maintenant pourquoi il ne s’est pas fait sucer avant, j’aurai pris peur et j’aurai refusé. Il attrape ma tête et me fait boire, cela me fait du bien, sa douceur soudaine me rassure.

- Si tu veux que je te libère, il faut me sucer maintenant !

- Mais elle rentrera jamais dans ma bouche !

- Allez, fait un effort, essaye.

Je ne me suis pas trompée, ma mâchoire ne s’ouvre pas assez, mais je lèche ce pieu qui m’a défoncée comme jamais. Milit se remet à bander, à mes yeux suppliants et mon visage angoissé, il devine ma peur et me rassure, il ne me prendra plus ce soir. J’ai envie de lui crier « plus jamais » mais contient ma rage.

- Le plus dur, c’est la première fois, c’est comme un pucelage, si je reviens te baiser, tu verras, cela passera mieux. Je te rendrai encore plus salope que tu ne l’es déjà.

Milit se lève, sort de sa poche un cran d’arrêt dont il fait jaillir la lame. Ma gorge se serre aussitôt mais, quand il me demande de lui faire voir mes poignets, je comprends le but de son couteau. Il n’y a pas que mon anus qui a souffert, mes poignets sont bien marqués, les bouger et les masser est un réel soulagement.

- Alors heureuse petite salope, tu voulais être bousculée j’ai fait comme tu voulais. Mais qu’est-ce que tu couines quand tu te fais baiser !

- Tu oublies juste d’annoncer un « détail » de taille XXXL quand tu prends des contacts.

- Oh, 80 de diamètre c’est pareil qu’un petit fist non ?

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Chasteté
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 15:25

Magalie m’a piégée avec le BDSM

 

Magalie est une amie de très longue date. depuis des années, elle fait du BDSM avec son mari. Il gagne super bien sa vie, ils ont même un donjon dans leur immense villa de rêve avec piscine, sauna et un jardin de folie. Lorsque je vais en vacances dans le sud, je fais toujours un crochet par Nice, cela me donne l’occasion de la revoir. L’été dernier, nous étions en pleine confidences de filles après nous être baignées nues dans leur piscine. je lui parlais de mes aventures coquines, elle me parlait de son BDSM, des sensations grisantes qu’elle éprouve quand son chéri la martyrise.

J’étais en train de fignoler mon maillot à la pince à épiler quand elle me parla des sensations du bondage, que l’on se sent libre de s’abandonner et que c’est très agréable. Magali m’a proposée de me faire essayer, je n’étais pas très chaude à l’idée d’être attachée. Elle m’a proposée un jeu débile avec des cordes et des menottes en me disant que je pourrai toujours essayer d’aller plus loin toute seule chez moi. Je ne comprenais pas vraiment l’intérêt de s’attacher seule mais elle a insisté et j’ai fini par céder, pour ne pas mourir idiote, d’après elle. Deux minutes plus tard, elle revenait de leur donjon avec des barres, des cordes, des menottes et des bâillons.

Magalie a commencé par bloquer ses jambes écartées avec une barre en me disant de faire la même chose qu’elle. Elle était d’humeur très joyeuse et pleine de délire en me disant des trucs très cochons du style : « imagine que tu es attachée à la disposition de ton amant qui va te défoncer la choune, que..... » Ensuite, elle m’a fait voir comment se faire un bondage de poitrine pour bien faire ressortir les seins. Comme pour la barre des pieds, je devais faire les gestes en même temps qu’elle. Et là, elle a commencé à partir dans de graves délires avec un bâillon qui représente un sexe. Elle le léchait comme une salope en manque avant de me donner un bâillon boule qui se serre derrière la tête avec une sorte de harnais. Pour lui faire plaisir, je me suis donc bâillonnée. Elle a jeté les clés des cadenas et des menottes dans le salon puis m’a fait comprendre que l’on devait passer les mains dans le dos et se menotter.

Comme j’avais peur, elle a retiré son bâillon pour m’expliquer que nous libérer serait ultra facile. Elle a encore lécher le phallus en faisant des « hum » avant de se le remettre. Quand elle m’a tendue mes menottes, j’étais tellement amusée par ses simagrées que je ne me suis pas méfiée. J’ai donc fait comme elle, j’ai mis mes mains dans le dos et j’ai fermé les menottes en galérant un peu. Cette salope s’est mise à genoux puis a commencé à venir se frotter contre moi. Dans nos délires, à un moment nous étions à genoux face à face et nous nous boxions à coup de poitrine. J’étais pliée de rire, ce jeu débile m’amusait.

Elle m’a abandonnée un instant pour aller chercher les clés à genoux. La voir se casser quasiment la figure pour attraper les clés m’a faite pouffer de rire. Moins d’une minute plus tard, elle avait retiré ses menottes et libérait ses chevilles. C’est quand elle a entrepris de libérer sa poitrine bondagée, que j’ai vu son regard briller. Magalie s’est levée puis m’a abandonnée en partant avec les clés. Je n’étais pas inquiète du tout, elle est très farceuse et toujours pleine de délire. Lorsqu’elle est revenue avec des sextoys dans les mains, j’ai commencé à me poser des questions. Elle n’allait quand même pas se masturber devant moi avant de me libérer !

Ses idées étaient toutes autres ! Quand elle s’est penchée sur moi avec une barre et de gros bracelet en attrapant mes cuisses j’ai immédiatement compris son piège. Malgré mes ruades de désespérée, elle a réussi à la poser sur mes jambes au niveau des genoux, m’interdisant ainsi de serrer les cuises. Sous mes yeux et sans aucune gêne, elle a allumé un vibromasseur en forme de micro (je sais maintenant que c’est un magic wand massager) puis se le passait sur les seins avant de le faire descendre doucement sur son intimité à peine protégée par un string minimaliste. Ses yeux brillaient du feu du désir, elle était belle et rayonnait dans son exhibition coquine. Soudain, elle s’est approchée de moi et m’a fait la même chose. Sur les seins bondagées, les sensations étaient très fortes, j’essayais d’y échapper par principe car j’étais un peu gênée et faisait « non » de la tête. Et là, au lieu de s’arrêter, elle m’a plaquée sur le sol puis l’a plongé entre mes cuisses en s’attaquant à mon chaton. J’avais beau essayer de me débattre, les deux barres écartant mes jambes et mes cuisses lui laissaient le champ libre.

Même si j’étais très gênée, son machin vibrant de folie a commencé à me faire des choses. En me disant que je mouillais tellement que mon string en était trempé, Magalie me mettait face à une réalité. Au delà de ma gêne et de ma pudeur, mon plaisir était au rendez-vous. Quand en même temps qu’elle vibrait ma choune elle s’est mise à grignoter mes tétons, j’ai su qu’elle allait m’avoir, les tétons étant chez moi un déclencheur de plaisir. J’ai arrêté de lutter, le plaisir montait et je ne pouvais rien faire pour échapper à son piège. Cette salope allait me faire jouir. Trois minutes plus tard je me tordais dans tous les sens en criant comme une perdue dans mon bâillon.

Lorsque j’ai ré ouvert les yeux, Magalie était couchée contre moi et caressait mon visage avec douceur. Avec beaucoup de douceur elle m’a retiré le harnais maintenant le bâillon puis les cordes du bondage de poitrine avant de me prendre dans ses bras pour un gros câlin. Je l’ai traitée de salope sans haine ni colère, je ne lui en voulais pas, ce n’était pas la première fois qu’elle me faisait des pièges, ils s’étaient toujours bien terminés mais n’étaient jamais allés aussi loin question intimité. Elle m’a demandée si elle pouvait me faire découvrir encore un truc, j’ai voulu savoir quoi, elle n’a pas voulu me le dire. Comme je ne refusais pas, elle m’a à nouveau étendue sur le sol puis s’est jetée couchée entre mes jambes pour me dévorer le chaton. J’avais beau lui dire « non », elle ne m’écoutait pas. Sa seule réponse a été : « j’en ai envie depuis trop longtemps ». Experte en la matière, cette garce m’a rapidement faite grimper en titillant mes tétons et en lutinant à merveille mon clito. J’étais tellement bien, que je n’ai même pas « imprimée » qu’elle fourrait ses doigts dans mon chaton.

Au bout d’un moment, je m’en suis rendue compte mais le plaisir était tel que je n’ai plus rien refusé, sa langue magique étant un « anti réfutation ». En même temps que sa bouche de gloutonne, je sentais mon chaton s’ouvrir à ses doigts. C’était divin, je me sentais « pleine » de plaisir. A un moment j’ai eu un peu mal puis c’est redevenu très, très, très bon, sa langue se déchaînait, sa main aussi. Quand j’ai explosé façon puzzle dans ma tête et mon corps, j’ai cru perdre connaissance tellement c’était fort. J’étais comme un légume, étendue sur le sol et vidée de toute énergie. Et là, Magalie m’a demandée si je voulais bien lui rendre sa main. Pour me permettre de comprendre, elle m’a aidée à relever la tête, je ne voyais plus que son poignet, elle venait de me fister. Cela ne m’était jamais arrivée. Elle l’a retirée sans problème sans me faire mal, c’était juste un soupçon désagréable après la jouissance démentielle qu’elle venait de me faire vivre.

Jugeant qu’il était temps de libérer sa prisonnière, Magalie a libéré mes jambes puis, en bonne garce qu’elle est, m’a confiée les clés de menottes en me disant qu’elle allait nous chercher à boire. Je galérais encore quand elle est revenue avec du coca frais, elle était pliée de rire quand elle m’a dit : « si dans deux minutes tu n’es pas libre, je recommence tout ».

Cette expérience m’a perturbée car effectivement, avec ses jeux BDSM j’avais joui bien plus fort que d’habitude.

Alain est arrivé vers 19 heures, il était ravi de me revoir, et moi aussi, car il est génial. Quand il nous a demandé ce que nous avons fait de notre journée, Magalie lui a parlé de la piscine et que nous avions câliné un peu mais a occulté son piège de selfbondage. Les sachant très joueurs, je lui ai indiqué qu’elle ne lui disait pas tout. Sa soumise a du lui dévoiler les « méchancetés » qu’elle m’avait faites en position 6, la position dite de O. D’humeur très joyeuse et joueur comme toujours, il a déclaré que je devais être vengée et qu’elle méritait une punition pour l’abominable piège qu’elle m’avait tendu, et en rigolant, qu’il regrettait de ne pas y avoir assisté. Il lui a ordonné de se mettre nue et d’aller au donjon avant de m’inviter à les suivre. Je ne voulais pas les gêner et j’ai refusé, il a insisté en m’expliquant que ma présence ne les dérangerait pas du tout.

Je me suis faite toute petite comme une souris pendant qu’il l’attachait bras et jambes en croix à des anneaux fixés dans le sol et au plafond. Et là, il m’a tendu un martinet en me disant de me venger. J’ai refusé en lui disant que je ne me voyais pas lui faire du mal, que ce n’était pas mon truc. Il m’a expliquée que ce n’est faire du mal, que c’est un plaisir différent, que je ne devais pas tout confondre. Après lui avoir donné des coups de martinet de partout, y compris sur les seins et le sexe, (j’avais mal pour elle) il est venu attraper ma main pour me guider jusqu’à l’entrejambe de Magalie afin que je touche son intimité. Si j’étais très gênée de la toucher, j’ai effectivement constaté qu’elle était trempée. La garce, en plus elle est maso !

- Tu vas m’aider à l’achever ! M’a indiquée Alain en me tendant un Melrose, tout en m’expliquant comment je devais bien l’ajuster pour qu’il aspire bien son clitoris. Il a rajouté que si elle se mettait à crier et même à hurler, il ne fallait surtout pas que je m’affole et qu’elle avait des jouissances très bruyantes. Je ne devais donc pas m’arrêter même si elle se débattait dans ses liens en criant des « non » ou des « stop ».

L’idée de me « venger » un peu m’amusait beaucoup malgré le fait que je n’avais encore jamais vraiment touchée une fille. J’ai fait un gros bisous sur la bouche de Magalie qui me l’a rendu de bon coeur, avant de m’asseoir entre ses jambes. Alain a fait claquer un fouet et faite bondir de peur. Il m’a ordonnée de m’occuper de sa chatte pendant qu’il s’occuperait de son cul. J’ai donc pour la première fois fouillé le sexe d’une femme pour faire ressortir son clitoris et poser le Melrose sur son bouton des plaisirs.

Magalie a immédiatement commencé à bouger dans ses entraves avant même qu’il la fouette. Je voyais les muscles de ses cuisses écartées se tendre, ses hanches bougeaient comme pour le fuir, c’était très amusant. Le fouet a commencé à claquer sur ses fesses, elle bondissait à chaque coup en se tordant comme si elle avait mal, mais aussi comme quand j’aspirais son clitoris avec le sextoys vibrant. Elle s’est rapidement mise à pousser des « ah » puis à respirer de plus en plus vite. J’étais impressionnée ! Je m’acharnais aussi à bien suivre son corps avec le Melrose car elle bougeait beaucoup.

Quand elle s’est mise à hurler et à crier « stop » j’ai cru qu’elle disait « stop » pour les coups de fouet et j’ai continué à m’acharner sur son clitoris. Les « stop » sont devenus des « arrête je t’en supplie » avant de redevenir des « ah ». Au bout d’un moment Magalie s’est mise à convulser, Alain est venu m’arrêter en m’expliquant que cela devenait trop fort pour Magalie. Il m’a dit de passer ma main entre ses jambes, je l’ai fait pour voir, elle a fait un bond comme si je l’avais électrocutée ! ! !

Alain a étendu une couverture sur le parquet du donjon avant de la libérer et de la couvrir. Elle s’est avachie dessus en continuant de convulser de temps en temps. Devant mon visage inquiet, il m’a rassurée en m’expliquant qu’elle continuait d’avoir des contractions de jouissance, que je ne devais pas m’inquiéter, qu’elle allait bien.

Après s’être remise, Magalie s’est vêtue d’une robe la mettant très en valeur et ne cachant rien ou presque de ses formes et de son intimité. Nous avons pris l’apéro et dîné en toute amitié en abordant de multiples sujets et le BDSM que je découvrais un peu plus. En fin de soirée, Magalie est aller chercher le Melrose au donjon. Elle m’a indiquée l’avoir désinfecté et qu’elle me le prêtait pour la nuit. J’ai accepté malgré la gêne, il n’est pas dans mes habitudes d’informer des gens de mes plaisirs solitaires mais je ne voulais pas les vexer. Lorsque nous sommes aller nous coucher, Magalie m’a souhaitée bonne nuit en me faisant un clin d’oeil très coquin plein de sous-entendus.

Je ne pensais pas me servir de leur Melrose, je l’ai posé sur la table de nuit avant de me coucher et d’éteindre la lumière. Repenser à toutes les aventures de cette journée particulière a éveillé des choses en moi. La coquine curiosité m’a incitée à au moins essayer leur nouveau sextoys. Ce fut magique, divin, extraordinaire mais presque trop rapide. J’ai jouis en moins de deux minutes. Presque déçue que cela ait été aussi rapide, j’ai remis le couvert dix minutes plus tard en entendant un lit butter régulièrement contre un mur. Cette fois, je suis arrivée à contrôler le jouet et à faire durer le plaisir. Il parait que j’ai été bruyante.... Ce qui est sûr, c’est que je vais m’acheter un Melrose dès que je rentre chez moi.

Magalie et Alain m’ont invitée pour les fêtes de fin d’année et promis une initiation BDSM en douceur si j’acceptais. J’ai très peur de céder à la tentation !

Ecrivaillon

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Mondes Libertins
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Jeudi 29 septembre 4 29 /09 /Sep 22:54

Plug défonceur en V anti fuite

 

Plug-defonceur-en-V.jpg

Tout est dans le titre pour décrire ce plug. Sans jeu de mot, il va vous combler au sens propre du terme !

A noter pour les soumises

Un plug défonceur en V en vaginal + un plug défonceur en V en anal + une ceinture de chasteté pour qu'elle ne puisse le retirer lui donnera des envies de folies. (Info pratique : il faut commencer par mettre le vaginal en premier, l'anal ensuite)

NOTRE AVIS

Ce produit est génial, sa base est solide comparent à d'autres plugs, c'est donc une valeur sûre il ne sera pas "avalé"

 

 

Le plug défonceur en V anti fuite est ici sur ABCplaisir

 

 

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Le sexe sans tabous
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Jeudi 9 juillet 4 09 /07 /Juil 09:37

Mon voisin ou le sadique sauveur de selfbondage

J'ai 24 ans, je suis un soumis hétéro sans pour autant être fermé et obtus, disons que si une Maîtresse m'imposait certaines choses, je les ferai pour elle.

Mon voisin est un adorable gay, mais un vrai gay déluré qui aime les choses que j'estime crade, mais à chacun son truc. Nous avons sympathisé dès mon arrivé dans l'immeuble, il m'a aidé pour le déménagement sans même que je le lui demande. Il nous arrive de passer la soirée ensemble en tout bien tout honneur à discuter de tout et de rien autour d'une pizza.

N'étant pas gêné par sa sexualité et ses fétichismes, il me raconte ses aventures avec parfois beaucoup de détails croustillants et parfois assez salace. Il a su me tirer les vers du nez et me faire parler de moi, de mes fantasmes, de mes envies. Henri sait donc que je suis soumis dans les choses du sexe. Un soir, alors que nous avions un peu exagéré sur la vodka je lui ai dévoilé qu'à défaut de Maîtresse, pour l'instant, je gérais mes envies en faisant un peu de selfbondage.

Comme il ne comprenait pas le plaisir que l'on peut avoir à s'attacher tout seul, je lui ai expliqué que cela permet d'avoir de fortes sensations, de vivre les plaisirs du bondage, de la contrainte et de rêver un peu, puis parfois, d'arriver à jouir sans même faire appel à la veuve Poignet disponible 24/24 et toujours motivée.....

Lorsqu'il m'a proposé d'être ma sécurité au cas où un jour je resterai bloqué, j'étais très gêné. Encore une fois, il a su me convaincre d'accepter en me rappelant que lui n'avait aucune gêne envers moi, quand il me racontait ses escapades nocturnes qui ne valait pas mieux que mes jeux solitaires. Depuis cette soirée, quand il part chez un mec sur lequel il a des doutes sur la moralité, il m'indique les coordonnées et adresses du lieu où il va pour que je le sécurise. Je fais de même quand je fais du selfbondage. Il a donc les clés de mon appartement pour venir me libérer si une nuit, je n'arrive pas à me libérer. Je le préviens donc que je vais jouer pour que si vers minuit je ne l'ai pas appelé il vienne me secourir.

Le problème quand on fait du selfbondage et que l'on sait que l'on est sécurisé, c'est que l'on va plus loin que lorsque l'on est seul !

Henri m'ayant prêté une cagoule d'isolation BDSM permettant de planer, il y a environ un mois, je me suis organisé un plan sévère et compliqué avec des cordes de shibari pour maintenir en moi un plug malgré la barre d'écartement m'obligeant à garder les jambes écartées. Pour caller mes bras, j'avais passé des ceintures autour de mon corps pour y enfiler mes bras et limiter mes mouvements.

Fantasmant un maximum sur une Maîtresse qui gèrerait ma sexualité grâce à une cage de chasteté, mon sexe était à l'abris de mes envies à l'intérieur d'une CB6000. Pourquoi mettre une cage de chasteté quand on est menotté ? Parce que je m'étais bloqué les poignets au niveau du sexe avec des menottes attachées au niveau de mon sexe par la corde de shibari maintenant le plug. En clair, l'auto supplice de Tantale, avoir envie de se caresser mais ne pas pouvoir le faire même si les mains sont sur le sexe.

Pour mon côté "maso" j'avais posé des pinces à sein sur mes tétons qui se sont méchamment vengés comme vous allez pouvoir le constater. Pour ne pas pouvoir les retirer avant la fin, je les ai plaquées contre ma poitrine avec du cellophane qui a fait plusieurs fois le tour de mon corps. Une fois prêt à faire des folies avec ce selfbondage :

- J'ai passé la cagoule d'isolation que j'ai bien fermé.

- J'ai jeté à l'aveugle les clés des menottes et des cadenas de la barre d'écartement de mes jambes.

- J'ai enfilé mes bras dans les ceintures passées autour de mon corps mais fermées dans mon dos. (Ouf ouf, j'avais trop séré)

- J'ai bloqué mes poignets dans les menottes.

Pour me libérer, il ne me restait plus qu'à ramper comme un vers à l'aveugle pour trouver les clés.

LE GROS PIEGE

Le gros piège est que sans la sécurité proposée par Henri, j'aurai posé les clés sur le carrelage. Là, je les ai jetées en l'air et, comme la cagoule d'isolation ne m'a pas permis d'entendre où elles tombaient la chose s'est toute de suite annoncée compliquée, sachant qu'un plus, cette putain de cagoule limite quand même un peu la respiration si l'on fait des efforts.

Pour trouver les clés, il m'a donc fallu ramper. Sur le dos le plug me renvoyait la balle dans le trou du même nom, sur le ventre, les pinces à sein faisaient de même. A cela se rajoute que les menottes ne laissent quand même pas beaucoup de latitude quand elles sont attachées au niveau de votre sexe. En clair, l'Art et la manière de se piéger pour de très longues heures.

A MINUIT

A minuit, l'heure convenue, Henri a téléphoné sauf que dans l'état où j'étais, lui répondre n'était pas possible. Il a débarqué chez moi sans tarder un peu affolé. La première chose qu'il a faite a été de retirer sa cagoule d'isolation et de me découvrir aussi trempé que si je sortais de l'eau. Rassuré de me voir vivant, cet enfoiré a pris son temps et s'est servi une bière dans mon frigo avant de se vautrer dans mon fauteuil en me disant "tout à un prix" puis en le levant pour trinquer tout seul.

Ma demande d'aide à la libération puis mes tentatives de séductions sont restées sans effet. Enfin si et du moins pas celles escomptées. Henri m'a demandé de me retourner pour voir mon dos, moi j'ai pensé que c'était pour délier les cordes. Et bien non, c'était pour voir mon cul qu'il a trouvé très mignon ! Et là, sans même me demander mon avis, il a entrepris d'écarter les cordes maintenant mon plug pour le retirer, chose que j'aurai préféré faire tout seul s'il m'avait donné les clés des menottes.

Quand il m'a dit " Ne t'inquiète pas, je reviens de suite" en emportant toutes mes clés j'ai pris peur mais je n'ai rien dit ne sachant plus où j'en étais. Que pouvait-il faire ? Pourquoi quitter mon appartement au lieu de me libérer ? Est-ce que sa proposition de sécuriser mes selfbondage avaient des intérêts particuliers ?

Cinq très longues minutes plus tard, il est revenu avec un sac à la main qu'il a posé sur le canapé clic clac me servant de lit. Il a pris les deux coussins qu'il a posé sous mon ventre après m'avoir soulevé d'une main par les cordes de shibari. Là, je me suis dit que j'allais y passer ! ! ! ! ! (Mettez-vous à ma place, un vrai gay déluré met vos fesses en l'air, vous pensez à quoi vous ?)

Et bien non, il avait juste décidé de me faire passer du plug de "fillette" à un plug de grand garçon. J'ai eu beau le supplier, il ne m'a pas écouté mais juste promis du plaisir en me disant de pousser comme si je voulais déféquer. Cet enfoiré est parvenu à me mettre un plug de 50 millimètres dans les fesses, qu'il a bloqué en bonne place avec les cordes de shibari. OUFFFF !

Je vous relate l'échange qui eut lieu ensuite ce soir là :

- Ce sont les clés de ta cage de chasteté ? Dit Henri en me montrant des clés.

- Tu les as trouvées où ?

- Sur la table à côté de la boite de ta cage de chasteté.

- Oui ce sont les clés du paradis.

- Je les prends, tu seras privé de ton petit robinet quelques jours pour m'avoir fait peur et m'obliger à me rhabiller au milieu de la nuit.

- Enfoiré !

- Parle-moi meilleurs ou je t'encule de suite !

- ........... Heu......... excuse-moi s'il te plait

- Voilà qui est mieux mais tu viens de prendre 3 jours de pénalité et un pack de bière à livrer chez moi avec mon plug dans ton cul si tu veux les clés de ta cage de chasteté.

................................................................

Cet enfoiré de sauveur m'a laissé attaché après avoir posé les clés des menottes et des bracelets de la barre d'écartement sur le carrelage de la salle de bain avant de me souhaiter bonne nuit. Il m'a fallu encore vingt minutes pour parvenir à me libérer et extraire son missile scud de sa positon retranchée au fond de mes fesses.

Est-ce le fait que je n'avais pas pu me "" soulager"" après mon selfbondage que cette nuit là j'ai rêvé qu'il profitait que j'étais entravé pour me baiser ? Je ne saurai dire mais cela m'a perturbé. J'ai donc du lui apporter le pack de bière avec son plug entre les fesses pour récupérer les clés de ma cage deux jours plus tard.

Il m'a clairement avoué avoir été tenté par mon petit cul d'une façon très interrogative, je n'ai pas su répondre. Cette idée me perturbait et générait en moi des questions sans réponse. Il s'est amusé de mon trouble, de ma soumission aussi car à cet instant j'avais encore son plug dans les fesses comme demandé.

Henri m'a indiqué avoir compris que je n'étais pas gay tout en jouant sur les mots puis sur ce que j'avais entre les fesses qui ne correspondait pas à un mec 100% hétéro non plus. Cet enfoiré m'a offert son plug puis a jeté les clés par la fenêtre en me conseillant d'aller rapidement les récupérer avant d'ajouter : "Tout travail mérite salaire, la prochaine fois que je viendrai te libérer, je me paierai peut-être en nature".

Que répondre à cela quand on ne sait plus où on en est ? Quand on vient d'accepter un plug comme cadeau et que l'on doit aller chercher les clés de sa cage de chasteté sur le trottoir ?

Les intensions d'Henri étaient claires, je savais donc que si je faisais appel à lui pour sécuriser mes selfbondages je prenais aussi le risque de passer à la casserole.

Il fit franchement pire comme vous le découvrirez au prochain épisode.

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 16:12

Le furring ou fursuit sex

 

Inspiré du Furry Fandom, littérature pour les petits avec des animaux qui parlent, le furring consiste à se déguiser en animal à fourrure (lapin, écureuil, ours) pour s’envoyer en l’air de préférence en pleine nature mais cela fonctionne aussi à la maison !

Le furring ou fursuit sex est-il un fétichisme à part ou entre t'il dans la catégorie ABDL puisque AB signifie adult baby ?

Quoi qu'il en soit, cette pratique entre dans le royaume des animaux et des personnages de cartoon à fourrure servie à la sauce érotico-charnelle

C'est une tendance sexuelle made in Angleterre, qui consiste à humaniser les animaux en BD, en littérature, en peinture, etc.

Le «dogging» et le Dog-trainning sont très connus mais si vous utilisez des costumes avec de la fourrure c'est donc du furring ou fursuit sex.

Le furring ou fursuit sex peut également s'adapter au BDSM.

 

 

Pour en parler plus longuement rendez-vous sur le forum ici

 

 

 

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 09:13

Le plug ouvert ou anneaux de dilatation anale ou les deux ou d'autres plaisirs ?

Plug-tunnel-metal-V3-b.jpg

La sensation d'être très « exposé » ou « très ouvert » est tout simplement géante.

JEUX LAVEMENT OU JEUX URO

Une fois le plug ouvert inséré, la douche anale peut se faire en profondeur, attention toutefois à modérer la pression d'eau. Pour les adeptes des jeux uro, une fois le plug ouvert inséré, vous transformez votre soumis ou votre soumise fesses en l'air en urinoir.

EN TERME DE DILATION

En terme de dilation, porté en 24/24 les résultats sont visibles en très peu de temps puis qu'aucune pause ne sera tolérée même pour les besoins. Il est conseillé de porter une protection....

LES ABDL VONT ADORER

Les ABDL vont s'en donner à coeur joie avec ce plug ouvert. L'incontinence fécale devient une réalité.

DIMENSIONS

Longueur totale d'environ 10 cm, 8,5 cm insertion. Diamètre externe de 3 à 5 cm, diamètre interne 2,5 cm.

Matériel: silicone

RAPPEL DE SECURITE

Ne jamais mettre d'alcool dans l'anus, le risque de comas éthylique est extrême.

  Choisir un plug tunnel à votre taille 

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Le sexe sans tabous
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Mercredi 13 août 3 13 /08 /Août 20:58

Le Body pour homme





À L'ORIGINE

Sans un Toulousain trapéziste du milieu du XIXe siècle, Jennifer Beals dans Flashdance n'aurait peut-être jamais porté de body. Vers 1860, Jules Léotard (photo), acrobate hors pair, demande qu'on lui fabrique un "maillot" - ce sont ses termes - qui lui collerait à la peau et n'entraverait aucun de ses mouvements. Le justaucorps est né. Après sa mort, le vêtement prendra le nom de "leotard", peu utilisé en France, plus courant aux Etats-Unis. Au milieu des années 1950, la pin-up Bettie Page sera l'une des premières à le sortir de son cadre sportif pour exploiter sa puissance érotique.

Contrairement aux idées reçues, le justaucorps ou le body n'est pas une tenue exclusivement réservée aux femmes. D'ailleurs les fabricants en tiennent compte, en proposant dans le monde de la danse des modèles souvent unisexes. Et pour cause ! Il s'avère que dans 3 cas sur 10 l'acheteur déclaré de ces articles est un homme !
Toutefois peu de forum en France, contrairement à d'autre pays comme les USA et plus proches l'Allemagne, traitent du sujet de manière libre et sérieuse.
Le sujet dans notre pays serait-il donc tabou ?
Abordons donc les modèles existant pour homme.

- Un body en coton pour l'hiver peut être porté pour une question de confort et de maintient. Quand on se penche en avant, le dos reste couvert.

- Un body gainant permet de masquer les bourrelets et pour les ABDL ou ceux qui sont obligés de porter des couches de les masquer un peu plus tout en les maintenant bien en place.

- Le body peut également être un vêtement très sexy pour les hommes qui n'ont pas froid aux yeux ni peur qu'à cause d'un sous-vêtement on leur attribue une sexualité ! (TRavesti / gay par exemple...)

Le body sexy pour homme peut se terminer en string ou en culotte ou en short. Il peut être transparent à certain endroit et simplement opaque à d'autres pour masquer la vue sans masquer les formes.

Ce type de lingerie sculpte le corps grâce à des matières intelligentes. Suivant le modèle il galbe les fesses ou les souligne...., aplanit les petits bourrelets, donne du maintien à votre petit ventre. Qu'on s'en serve pour sa fonction première de sous-vêtements ou qu'on en use en guise de vêtement de charme, le body peut faire partie de la garde robe des hommes.

RAPPEL : un homme qui porte un body n'est pas forcément PD ! Et même s'il était homosexuel, ne me dites pas que vous auriez un jugement de valeur ou vous êtes en ce cas homophobe !



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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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