Le blog de TSM
Avec son diplôme d'infirmière en poche Claudia jubile, le bonheur total car en plus, elle a eu l'immense chance d'être
prise à l'hôpital Carémau à Nîmes à quelques dizaines de kilomètres de chez elle.
Elle débute en service de nuit dans le service de Chirurgie Vasculaire assurant la prise en charge des maladies vasculaires
non cardiaques. Il s’agit des maladies artérielles telles que la maladie athéromateuse qui rétrécit le calibre des artères et entraîne un manque de d’irrigation des organes et des muscles en
fonction de sa localisation. Son rôle dans ce service est de passer régulièrement voir les patients et de répondre aux appels de nuit. Les patients inquiets étant souvent sous calmants, les
nuits sont relativement tranquilles.
Très coquine de nature, Claudia se laisse rapidement séduire par Paul, un interne un brin pervers mais si doué avec les
femmes, que dès leur première incartade il l'a faite grimper aux rideaux. Il faut dire que Claudia est des plus charmantes avec une taille de guêpe, une poitrine généreuse en forme de poire, un
visage d'ange bien souvent agrémenté d'un sourire enjôleur et d'une chevelure blonde mi-longue soigneusement entretenue au point que l'on dirait des fils de soie tant ils sont doux au
toucher.
Lors des discussions dans la salle de garde, les sujets sont multiples, de la vie ou soucis des uns et des autres à des
sujets plus chauds très souvent situés aux dessous de la ceinture. Lorsque Paul lui indique en plaisantant qu'elle devra passer une visite médicale avec lui, elle s'y oppose farouchement par
provocation car elle se doute bien que cette visite sera tout à fait agréable. Pour lui avoir tenu tête, il lui indique qu'elle sera fessée et devra assurer le service sans culotte sous sa
blouse. "Chiche" lui répond l'effrontée en ajoutant "si vous êtes capable d'assurer le service sans slip sous votre pantalon. Pour Claudia, ce petit jeu n'est en aucun cas un harcèlement
sexuel, il s'agit juste de deux personnes décidées à s'amuser un peu pendant le travail et à s'accorder quelques plaisirs.
Le lendemain, vers 22 heures, Paul la convoque dans son bureau pour lui faire voir un slip qu'il place dans un tiroir en
lui rappelant leur pari de la veille. Claudia ne se laisse pas impressionner, bien loin de là, elle se lève et retire son tanga, un sous-vêtement destiné à cacher le pubis tout en laissant une
grande partie des fesses découverte qu'elle lui jette à la figure en lui indiquant : "rendez-vous demain à 7 heures gros coquin pour récupérer nos sous-vêtements respectifs".
Pendant la nuit, elle intervient sur des appels portant plus sur des interventions de confort qu'autre chose avec des
patients opérés d'angioplastie. Evoluer dans l'hôpital les fesses nues ne lui pose aucun problème tout comme de retrouver son chef pour la restitution dudit tanga. Avant de le lui remettre,
Paul prend soin de fermer la porte de son bureau avant de l'attirer sur ses genoux où il la couche en lui rappelant que le deal était assorti d'une fessée. Pour Claudia c'est quelque chose de
nouveau qu'elle n'a jamais essayé mais qui la trouble au plus haut point. Malgré ses craintes, elle finit par acceptée, plus pour ne pas fuir le défi qu'une réelle envie de découverte. N'étant
pas une brute, Paul remonte la blouse avant d'entreprendre de flatter légèrement les deux sublimes hémisphères s'offrant à lui.
Devant l'absence de réaction, il augmente légèrement la puissance de la fessée avant de se laisser aller à une fessée plus
consistante. Claudia se mord la lèvre inférieure pour ne pas crier sous certaines claques. Elle se demande ce qu'elle fait dans cette position et se traite de folle, et pourtant la situation la
perturbe au plus haut point car elle sent monter en elle un plaisir nouveau et insoupçonné. La fessée terminée, lorsque Paul caresse sont entrejambe en lui indiquant qu'il ne s'attendait pas à
ce quelle mouille autant, elle en frémit à la fois de honte et de plaisir, cette main aurait pu devenir bien plus entreprenante....
Le fait qu'elle ait réagi ainsi la perturbe énormément. Lorsqu'elle rentre chez elle, Claudia fouine sur internet,
cherchant les mots clés "fessée", "plaisir " et finit par tomber sur le site Fessestivites qui lui semble assez documenté sur la question et qui propose aux adeptes des rencontres
autour de la fessées.
DEUX JOURS PLUS TARD
Profitant d'une période d'accalmie dans le service dont il a la charge, Paul passe en obstétrique emprunter quelques
accessoires puis au service Médico-Psychologique pour Adultes où il récupère quelques sangles médicales en prétextant qu'il a un patient agité pouvant arracher ses perfusions. La nuit
s'annonçant particulièrement calme, il demande à une infirmière de prendre en charge le service de 22 heures à minuit en lui indiquant qu'elle peut le joindre à tout moment sur son
biper.
A peine arrivée, Claudia est chargée de faire le tour des chambres sous un prétexte inutile, afin qu'il dispose du temps
nécessaire à son plan diabolique dans le mini bloc opératoire polyvalent à sa disposition. Le jeunette ne voit rien venir d'autre qu'un plan jambes en l'air lorsqu'il lui indique que le bloc
sera disponible pour leur petites folies et peut-être une fugace fessée plaisir en guise de conclusion.
Excitée comme une puce énervée (Duteil) Claudia se rend au bloc à l'heure convenue où Paul l'enlace dans ses bras pour un
énorme baiser accompagné de caresses mettant le feu aux poudre de libido exacerbée de la jeune infirmière coquine de plus en plus délurée. Elle se laisse bien volontiers porter sur la table
d'opération sur laquelle il la dépose en l'embrassant sauvagement et en lui indiquant "Prépare-toi à jouir comme une folle", propos permettant d'anéantir toute envie de résistance.
A peine étendue, ses mains et bras sont liés sans qu'elle n'oppose la moindre résistance, un champ médical est tendu au
niveau de son abdomen avec pour but de masquer son intimité rapidement dévoilée par la mise en place de deux étriers obstétriques. Le string retiré, quelques caresses sur l'intimité on ne peut
plus offerte puis une dégustation sommaire de la perle clitoridienne la font déjà gémir. La belle devenue proie sans le savoir va pouvoir vivre des choses par elle inconnues et qu'elle n'aurait
jamais acceptées en d'autre temps.
Pour ouvrir les hostilités, Paul entreprend de lui faire passer une visite médicale approfondie en lui plaçant un spéculum
qu'il ouvre grandement tout en titillant de sa langue agile la perle sensible émergeant maintenant de son écrin. Histoire de jouer plus encore avec le jeunette, il entreprend de faire un examen
rectal avec le même spéculum. La chose est plus délicate à vivre car Claudia ne s'y attendait pas du tout. Encore une fois, la langue agile parvient à dompter la belle dont les réfutations
s'affaiblissent au fur et à mesure qu'il lui dévore le bouton des plaisirs.
N'y tenant plus, Paul retire le spéculum, enfile un préservatif avant "d'enfiler" la belle aux anges de l'être ainsi sans
rien pouvoir voir. Ressentir la pénétration sans rien voir, sans même pouvoir étreindre le mâle est une grande nouveauté pour Claudia qui ne peut se concentrer que sur les agréables sensations
éprouvées. Lorsqu'il décide de descendre d'un étage, traduire sodomiser la belle, elle réfute en indiquant son désaccord mais Paul parvient à la convaincre de ses mots et de son gland
turgescent et motivé puis de ses doigts agiles sur la perle clitoridienne qu'elle va adorer. Il n'a pas tort car une fois pénétrée avec douceur, Claudia ne tarde point à gémir et quémander plus
de vigueur.
Dans cette chevauchée, le Priape ne tarde point à s'emballer et la belle à chanter quand un interne entre discrètement dans
le bloc opératoire. Invité par Paul à participer aux ébats, il joue le jeu de la discrétion et, devant au aussi joli chaton offert, éprouve rapidement le désir de consommer. Aussitôt après
avoir enfilé un préservatif il pénètre le chaton ronronnant de plaisir sous cette virile générosité. Une grotte ainsi offerte de par les support d'obstétrique est un supplice de tantale pour un
spéléologue même occasionnel. L'interne profite donc de "l'occasion" pour effectuer une descente en rappel au centre des deux hémisphères qu'il claque bien volontiers pendant ses mouvements de
plus en plus vif.
S'étant envolée au paradis des plaisirs plusieurs fois, dans sa tête Claudia ne pouvant rien voir, elle n'est plus qu'un
sexe et des orifices avides de phallus motivés, plus rien d'autre ne compte pour elle tant le plaisir est grand. Elle ne réagit pas lorsque Paul lui pose une perfusion dans laquelle il injecte
un vasodilatateur, puis lorsqu'il lui fait une prise de sang dans son délire de visite médicale.
Derrière le champ médical, Paul et son ami préparent la suite des évènement ayant pour but de lui faire dépasser la
stratosphère des plaisirs féminins. Muni de gants médicaux, l'interne arrivé après entreprend de fouiller des ses doigts grandement lubrifiés le sexe et l'anus de Claudia continuant de pâmer
sous les sensations d'un autre monde. L'arrivée d'un vibromasseur magic wand sur son clitoris déjà bien exposé la fait crier un instant, cris qui ne tardent point à transformer en de bruyantes
exclamations de satisfaction.
Lorsque la main de Max, l'interne arrivé après, parvient à pénétrer totalement la vallée des plaisir grande ouverte pendant
que les phalanges de sa main gauche titillent grandement son petit orifice devenu grand et que Paul rend fou le clitoris à l'aide du vibromasseur Magic Wand, Claudia implose de plaisir en faisant femme fontaine pour
la première fois de sa vie. Le long jet trempe la boule de Max, Claudia hurle son plaisir avant de perdre connaissance.
Très professionnel, les deux internes stoppent immédiatement leurs agissements coquins pour s'occuper de ranimer la belle.
Deux gifles plus tard, c'est avec un masque à oxygène sur le visage que Claudia revient sur terre et découvre qu'elle n'était pas seule avec Paul. Max rassuré quitte les lieux et les laissent
se retrouver en amoureux puis résoudre les éventuels conflits à venir.
Dans un sens Claudia est en rage mais en même temps ce qu'elle vient de vivre en termes de jouissances dépasse
l'entendement et tout ce qu'elle aurait pu imaginer. Recouverte d'une couverture, il lui faut plus de vingt minutes pour que les contractions orgasmiques disparaissent totalement, ces vingt
minutes accompagnées de caresses et de mots doux permettront à Paul de retourner la situation à son avantage et à obtenir le baiser d'une mante religieuse comblée.
Depuis cette nuit inoubliable, Claudia est passée de coquine à libertine. Le bloc est parfois réservé mais cette fois elle
sait avant de s'y rendre qu'elle doit poser un jour de congés pour se remettre de ses jouissances paroxystiques. Il n'y a que lors de ces nuits et quand Paul la fiste qu'elle parvient à
connaître de telles sensations et à faire fontaine, à 23 ans, c'est un grand chemin qui s'est ouvert à elle lors de cette nuit de folie.
Ecrivaillon
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