Trop de godes ceintures

Lundi 3 août 1 03 /08 /Août 10:55

Trop de godes ceintures

Après avoir reçu un chèque de la Française des jeux lui permettant de ne plus travailler et de vivre ses passions sans compter, Carlos s'accorda quelques vacances de millionnaire. Adepte du plaisir Anal, il s'acheta sur ABCplaisir tout ce qui lui faisait envie en terme de plug, de gode et même un gode ceinture.

Oui mais, un gode ceinture sans personne dans la ceinture, cela manque d'intérêt nous en conviendrons. Il s'offrit une séance chez une domina qu'il paya grassement mais qui, devant le supplément donné n'osa pas trop bousculer le soumis, une personne aussi généreuse ne se bouscule pas ! ! ! ! Ce fut son erreur, Carlos désirait vraiment de la grande secousse, en clair, se faire baiser hard par une Maîtresse.

Déçu de ne pas éprouver le plaisir du strapon comme vue sur les vidéos BDSM de Fessestivites, il fouina longuement sur internet où il trouva un centre de dominatrice en Allemagne, pays bien plus libéral que la France. Ne désirant pas être déçu comme lors de sa première rencontre avec un gode, il demanda à la tenancière de lui réserver toutes les filles disponibles en exigeant qu'elles soient toutes équipées de gode ceinture et qu'elles lui fassent sa fête.

Dame Hilda lui annonça que cela allait lui coûter quelques argents de monopoliser plusieurs filles tout en précisant que sa maison était connue pour du BDSM assez dur. Carlos lui répondit que le prix n'était pas un problème et que ce qu'il voulait c'était de faire défoncer le cul par des filles équipées de gode ceinture. Dame Hilda lança un prix en l'air, cinq mille euros pour cinq filles en étant convaincue que le client serait moins prétentieux. Elle fut très surprise lorsqu'il la remercia et lui demanda de lui indiquer comment la régler pour réserver ! ! !

Lorsqu'elle reçut la somme sur son compte, Dame Hilda décida de prendre grand soin de ce lient fortuné puis le contacta pour avoir des précisions sur ses envies. Comme il venait de voir une vidéo très érotique sur la domination féminine par deux femmes, il lui demanda de fonctionner comme si il était contraint de les subir toutes et surtout qu'elles soient très sévères quitte à le bousculer ou l'attacher. Dans son moment de folie, il annonça qu'il n'hésiterait pas à laisser un gros "pourboire" si elles ne l'épargnaient pas !

Le fou !

Le jour de son arrivé chez Dame Hilda, il fut accueilli comme il se doit en grandes pompes, les filles lui offrirent un excellent champagne et l'aguichèrent un maximum, un client comme lui se bichonne. Conduit dans une cellule BDSM il fut dévêtu par cinq dominatrices équipées de gode-ceinture, puis poussé brusquement sur une couchette.

- Ah tu veux de la bite grosse salope, tu vas en avoir ! Lui cria la première des filles en lubrifiant son petite orifice.

- On va te faire chanter la Cucaracha, tu vas prendre cher petit soumis ! Rajouta l'une d'elle en lui donnant des coups de martinet pendant qu'une autre lui tirait les cheveux pour guider son visage vers son gode ceinture neuf, acheté pour la circonstance.

Ayant insisté sur le fait qu'il désirait du hard et être f o r c é puis malmené, il fut servi et ses réfutations ne furent pas entendues. La présence d'un mammouth assurant la sécurité devant les grilles de la cellule BDSM ne lui permit pas d'espérer pouvoir calmer les filles en les repoussant trop fortement.

Le pauvre Carlos vécu son fantasme au-delà de ses espérances. Il fut réellement baisé, embroché, défoncé et malmené au point d'avoir le cul en feu. Ses cris n'étaient pas feints et les douleurs dues aux échauffement de sa délicate petite rondelle furent bien réelles. Voyant les larmes monter dans les yeux de Carlos, Dame Hilda fit signe aux filles de lever le pied. Avec ce qu'il venait de prendre, il ne pouvait qu'avoir sa dose....

Oui mais des filles lancées dans un jeu de domination et qui commencent à s'amuser..... cela ne s'arrête pas aussi facilement que cela. Si le cul du pauvre Carlos fut abandonné, il prit quand même quelques claques supplémentaires avant de se retrouver contraint de remercier de sa bouche le gode ceinture de chacune des filles. Dans l'état de délabrement psychologique où il était, il accepta tout ce qu'elles voulaient et se laissa faire en priant le seigneur que la séance se termine rapidement.

Abandonné sur la couchette de la cellule vide il lui fallut plus d'une heure pour se remettre avant que Dame Hilda viennent avec quelques crèmes apaisantes pour l'arrière train malmené et une coupe de champagne pour son propriétaire. Carlos joua le jeu et fut généreux même s'il jura que l'on ne l'y prendrait plus. Pour avoir une idée de son calvaire, cliquez sur Voir la vidéo !