Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 09:16

Cuckold sur-le-cocu-lécheur-entravé, un récit, des photos et une vidéo


Elle l'a entravé nu sur sa table de massage et l'a laissé méditer avant de lui annoncer l'arrivé de son amant. Cela fait un moment qu'ils pratiquent le libertinage et le « cocufiage » mais ils aiment tous les deux en jouer.

Il ne s'estime pas cocu puisqu'il sait tout et qu'il est d'accord tout comme Rose n'estime pas tromper son mari puisqu'il participe à la recherche des amants. Si l'un d'entre eux ne plait pas à Paul, il le refuse, Rose approuve par principe les décisions de son mari. Par contre, une fois que l'amant et le jour sont choisis, Paul doit se soumettre à toutes les excentricités de sa femme devenant une Maîtresse perverse le temps d'une nuit.

Le mois dernier, elle a entravé Paul en couche sur la chaise de son bureau avec l'ordinateur ouvert sur MSN. Pour Paul, le plus dur n'était pas de voir sa femme en webcam en train de baiser dans un hôtel ni d'avoir le sexe enfermé dans une cage de chasteté mais d'être en couche. Qu'elle horreur pour lui que d'avoir du se pisser dessus. Lorsqu'elle est revenue au milieu de la nuit, il l'a traitée de grosse salope et d'autres noms d'oiseau ce qui lui a valu de finir la nuit sur la chaise au lieu de faire l'amour.

 

Ce soir, Rose est excitée comme une puce, elle n'arrête pas de l'allumer et de jouer avec son sexe bandé à rompre. Elle monte sur la table de massage pour se faire lécher le sexe, « il doit être bien lubrifié pour mon amant » lui dit-elle. Ces propos le rendent fou d'excitation, excitation qu'elle entretient en caressant son sexe dans pour autant chercher à le faire jouir, non, juste pour entretenir la libido de son mari.

Lorsque l'on sonne à la porte, elle saute quasiment de la table de massage, lui fait un baiser furtif avant d'enfiler son déshabillée de soie pour aller ouvrir à l'amant d'une nuit. Pendant qu'ils prennent un verre et s'échangent le test du sida fait récemment pour pouvoir réaliser les envies de Rose, faire lécher le sperme de l'amant son mari.

Après quelques coupes de champagne et caresses dignes d'une aluneuse de grand nom, Rose conduit son amant dans la pièce où Paul cagoulé pour la discrétion est entravé et impuissant. S'il n'avait pas été attaché, il se serait branlé comme un fou pour apaiser son excitation démesurée. La nouveauté pour eux est un très bon caméscope acheté la semaine précédente qu'elle vient de mettre en marche et qui va tout enregistrer. L'amant est d'accord pour être filmé, cela leur fera des souvenirs et sera sûrement la cause de x et x branlettes pour Paul.

 

Rose va tout faire sur Paul, sucer son amant, se faire baiser en l'utilisant comme support pour qu'il ressente tout et voit tous les détails. Pierre est un queutard de première, effectivement la présence du mari ne le gène pas du tout mais comment résister à une aussi belle bite pense Rose en lui taillant un pipe juste au dessus du visage de son mari.

L'appel du sexe et la situation la rendent folle d'excitation, elle se tourne puis s'allonge sur son mari en lui demandant de relever les jambes pour lui servir de coussin. C'est allongée sur le dos sur le ventre de son mari avec le sexe trempé qu'elle se fait pénétrer en grognant de plaisir. Paul ne loupe rien ou presque car les couilles de Pierre passent et repassent sur son nez, il voit même les fesses masculines qui s'ouvrent et se serrent lorsqu'il avance et recule pour baiser sa femme.

La tête et les longs cheveux soyeux de Rose appuient sur son bas ventre, transmettant à son sexe les mouvements désordonnés d'une femme prenant du plaisir. Hélas, cela ne dure pas assez longtemps pour qu'il parvienne à la jouissance, sa salope de femme veut se faire prendre à quatre pattes comme une chienne en chaleur. Là encore il ne loupe rien du sexe masculin pénétrant sans relâche sa chatte gluante de ses humeurs vaginales généreuses. Une odeur envoûtante, savamment épicée, un parfum des Déesse, indescriptiblement enchanteur comble les neurones olfactifs de Paul surexcité.

L'amant annonce déjà la montée de son plaisir, quel dommage pense Paul, la vision du merveilleux minou qui s'ouvre comme une fleur à chaque pénétration est si belle à ses yeux qu'il en arrive à haïr l'amant de venir si vite. Quelques minutes plus tard, les râles de plaisir s'accentuent, les mouvements s'accélèrent, les cris emplissent la pièce jusqu'à l'explosion finale accompagnée d'un beuglement masculin.

 

Comme convenu à l'avance par téléphone avec Rose, Pierre se retire lentement du sexe féminin puis quitte la pièce sans dire un mot pour laisser le couple maintenant vivre leur vie. Pendant qu'il s'habille dans le salon, Rose caresse déjà la verge tendue de son mari pour lui donner le courage de ce qu'elle aime lui imposer après les rapports sexuels avec ses amants : lui faire lécher sa chatte pleine de sperme. En domina décidée, sans aucune hésitation elle s'empare des tétons de Pierre qu'elle presse fortement de ses pinces digitales avant de poser sa chatte gluante de leurs sécrétions sur la bouche de son mari. Elle ne lâchera ses seins que lorsqu'elle s'estimera propre.

Confusion indicible l'envahit sur cette langue furetant en elle à la recherche des dernières gouttes de sperme. Elle venait de jouir éperdument mais, une fois sa chair emplie de lave son corps en demande encore plus, toujours plus. Assise maintenant sur Pierre, tout en caressant son clitoris dardé, elle se branle le cul sur le nez en se faisant brouter la chatte à en étouffer son mari. Une jouissance paroxystique emporte tout sur son passage comme un tsunami, après les gigantesques vagues de plaisir, elle s'écroule sur Paul, ravi et heureux de sentir sa femme foudroyée par l'extase. Les spasmes de son corps s'enchaînent, elle geint et les yeux sont clos roule la tête en tous sens sur son bas ventre. Quel bonheur !

Nous remercions soumcocucontent pour la vidéo qu'il partage ici.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Mondes Libertins
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Commentaires

Bonjour, je vais vous décrire ce que je suis devenu: une lopette.

A 29 ans, j'ai rencontré une jeune demoiselle (Luce) qui en avait 20 et nous avons vécu ensemble.
Au début, nous faisions l'amour normalement puis, petit à petit, elle a pris le dessus sur mes désirs.
Quand elle rentrait le soir, je devais arrêter mes activités et venir la lécher.
Puis, elle décidait de la façon de me vider.
La plupart du temps, c'était allongé sur le ventre, sur le lit, les couilles ressortant entre mes cuisses, la bite dans une capote, elle me tirait sur les couilles et m'enculait avec un ou plusieurs doigts. Je ne résistais pas longtemps, elle me retirait la capote, faisait un noeud et la gardait. Ensuite, je pouvais me mettre sur le dos, elle venait se faire lécher la chatte et le cul jusqu'à la jouissance. Je finissais mes nuits avec son nectar sur moi.

Puis un jour, alors que je la léchais à son retour, j'ai eu le goût du sperme dans la bouche. Je n'ai rien dit, ne voulant pas la décevoir. Le soir, j'ai eu droit à ma traite mais seulement par un savant branlage des couilles.
Le lendemain idem, sperme dans sa chatte. Je ne dis rien. Mais pas de branlage pour moi, juste deux doigts bien écartés dans ma rondelle qu'elle faisait tourner.

Ceci dura pendant une semaine. Je ne dis aucun mot sur ce qu'elle me faisait subir. Puis elle me dit:
- maintenant que tu aimes le sperme, je vais pouvoir inviter un couple ami à la maison.
Je restais sans rien dire tellement la douche était froide.
Cela ne prit pas longtemps, 1 semaine, pour que je me retrouve avec ces amis à la maison.
L'homme, 25ans, un peu enrobé, mais grosse bite.
La demoiselle, 20ans, pas canon, mais belle poitrine bien mise en valeur et un regard à vous tuer sur place.

Je suis devenu le trou de l'homme pendant que les 2 demoiselles nous regardaient.
Elles étaient devenues Maîtresses de nos pensées et de nos corps.

A partir de ce moment, tout a été bon pour que je ne sois qu'un objet de plaisirs visuels ou corporels.

Je me suis retrouvé devoir obéir à l'homme qui était vraiment très pervers.
Il m'emmena plusieurs fois dans des endroits sombres, me faisait mettre une jupette, m'attachait les mains dans le dos et je devais me faire prendre ou sucer devant lui. J'y ai pris goût, je l'avoue. Maintenant, quand je suce une bite, je m'écarte directement la rondelle même si personne n'est derrière.

Luce apprécie quand je la lèche avec la rondelle accessible mais elle ne m'encule plus. Elle préfère quand un homme me prend devant elle. C'est son plaisir et je le respecte.
Elle ne me trompe pas avec d'autres hommes, seulement avec son amie. Et bien sur, je dois servir pour son compagnon.

Nous avons passé plusieurs WE ensemble et je me devais d'être agréable à tout le monde. Je devais lécher les femmes quand elles le désiraient et servir l'homme bien évidemment.
Lorsqu'il indiquait: envie, je devais trouver un endroit, me mettre cul nu, ouvrir ma rondelle et attendre son bon vouloir. Des fois, je le suçais, des fois il m'enculait en direct et des fois rien, il me regardai et souriait.
Pendant cette période, mes jouissances n'étaient dues qu'à l'excitation de bien servir Luce et je ne pénétrais personne, ni devais me masturber.

Puis un jour, ses amis ont déménagé et nous nous sommes vus de moins en moins.
Luce a repris mon traitement mais différemment. Elle commença par me tirer sur les couilles car elle voulait qu'elle me rentre dans la rondelle pour être au chaud. Tous les soirs, j'avais à subir une séance d'élongation et, petit à petit, j'ai eu les boules pendantes.
Dans un sex-shop, Luce m'a acheté un cokring. Étant avec elle, je me sentais tout petit devant le vendeur. Elle expliqua que je devenais une vraie lopette et que son plaisir était de voir mes boules ballottées entre mes cuisses. Le vendeur, pris au jeu, lui conseilla de prendre une cage de chasteté mais elle refusa en indiquant que si je me servais de ma bite sans son accord, je serais castré directement et sur le champ. Je blêmis car elle ne m'avait jamais parlé de ça. Puis elle continua en expliquant qu'elle aimait bien voir ma nouille ballottée dans tous les sens quand je me faisait prendre comme une femelle. A ce moment, le vendeur me regarda et eut un sourire. Luce, ayant aussi vu, lui dit :
- Juste une pipe si vous voulez car nous sommes pressés, je dois m'occuper de ses couilles.
Je n'en croyais pas mes oreilles, j'étais devenu un sous mâle, vraiment utilisé selon les envies ma MAITRESSE car il faut bien l'avouer, Luce l'était devenue.
L'homme me fit signe de venir et sortit sa bite que je me mis à sucer. Luce me repris en disant :
- mieux que ça !
Je me mis cul nu, écartai ma rondelle et repris ma succion jusqu'à l'éjaculation du vendeur. Ayant son sperme en bouche, je me retournais vers Luce en lui demandant du regard ce que je devais faire.
- Prends-le dans ta main et enduis-toi le cul avec !
Ce que je fis, puis je me rhabillais, honteux mais heureux.
En sortant, Luce me prit par main et me dit:
- Tu vois, tu aimes faire la pute, moi aussi je te veux en pute tout le temps. Tes couilles détendues ne plairont plus aux femmes, donc tu vas devoir te faire sauter pour mon plaisir comme une chienne que tu deviens. A partir de maintenant, tu ne porteras que des sous vêtements féminins et je verrais par la suite comment je te ferais évoluer.
- Merci mon amour de t'occuper de moi comme cela, mais est-ce que le manque de sexe d'homme ne te dérange pas?
- Non, je préfère les femmes et j'en trouve quand je veux. D'ailleurs, tu vas devenir une boniche pour vieilles en manque de sexe.

commentaire n° :1 posté par : lailatvx le: 13/11/2012 à 05h00

vidéo : elle dilate bien le cul de son mari :

http://keyporntube.com/anal-fisting-f2m-1816908.html

commentaire n° :2 posté par : lailatvx le: 13/11/2012 à 05h15
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